Hermine.
La soirée avait prit le pas sur le petit matin, en raison d'une longue discution entre les deux amis.
C'est très tard et bien ivres que Tristan et Hermine s'étaient quittés, le gentilhomme raccompagnant la gente damoiselle.
Des rumeurs courraient à leur sujet dans le village mais qu'importe. Leur amitié était pure, sincère et tout simplement belle.
Hermine avait l'habitude qu'on lui prête de amants et ça lui plaisait plutôt bien.
Quand elle se leva, ce matin là, la tête lui tournait encore, et elle avait le coeur au bord des lèvres.
Elle aurait bien voulu rester en son lit chaud mais le maire par intérim lui avait fait parvenir une missive, quelques petites heures après qu'elle ce soit endormit .
Elle avait donc une décision à prendre mais laquelle ?
De plus, les ordres de l'armée étaient tombés : elle devait rejoindre un groupe armé, dirigé par Tristan.
Se préparant en hâte, elle sortit dans le brouillard matinal pour ouvrir sa boutique et y prendre quelques plantes qui la remettraient sur pieds bien vite.
En raison de la purée de pois matinale, elle ne vit qu'au dernier moment une masse sombre installée à sa porte.
Elle prit peur sur le coups puis reconnu le cheval : celui de Bonito.
Que lui voulait-il donc à la fin ?
Et bien mon brave, que faite vous de bon matin, assis devant mon échoppe ?
Ne restez pas là de grâce, vous allez attraper la mort avec le froid qu'il fait !
Profitant qu'il se lève, Hermine ouvrit la porte et l'invita à entrer.
Installez vous, je vous en prie. Je vais faire de la tisane, en voulez-vous ?
J'en ai grandement besoin !
La jeune femme, confiante par nature, accueillait cet homme comme il se devait, espérant ne pas l'effrayer car elle oyait dans ses yeux une telle détresse qu'elle ne voulait pas l'effaroucher.
C'est très tard et bien ivres que Tristan et Hermine s'étaient quittés, le gentilhomme raccompagnant la gente damoiselle.
Des rumeurs courraient à leur sujet dans le village mais qu'importe. Leur amitié était pure, sincère et tout simplement belle.
Hermine avait l'habitude qu'on lui prête de amants et ça lui plaisait plutôt bien.
Quand elle se leva, ce matin là, la tête lui tournait encore, et elle avait le coeur au bord des lèvres.
Elle aurait bien voulu rester en son lit chaud mais le maire par intérim lui avait fait parvenir une missive, quelques petites heures après qu'elle ce soit endormit .
Elle avait donc une décision à prendre mais laquelle ?
De plus, les ordres de l'armée étaient tombés : elle devait rejoindre un groupe armé, dirigé par Tristan.
Se préparant en hâte, elle sortit dans le brouillard matinal pour ouvrir sa boutique et y prendre quelques plantes qui la remettraient sur pieds bien vite.
En raison de la purée de pois matinale, elle ne vit qu'au dernier moment une masse sombre installée à sa porte.
Elle prit peur sur le coups puis reconnu le cheval : celui de Bonito.
Que lui voulait-il donc à la fin ?
Et bien mon brave, que faite vous de bon matin, assis devant mon échoppe ?
Ne restez pas là de grâce, vous allez attraper la mort avec le froid qu'il fait !
Profitant qu'il se lève, Hermine ouvrit la porte et l'invita à entrer.
Installez vous, je vous en prie. Je vais faire de la tisane, en voulez-vous ?
J'en ai grandement besoin !
La jeune femme, confiante par nature, accueillait cet homme comme il se devait, espérant ne pas l'effrayer car elle oyait dans ses yeux une telle détresse qu'elle ne voulait pas l'effaroucher.