Clkikoz

Elle aurait bien embrassé le brave Sylvestros tant son bonheur était grand.
Cet homme avait décidément une façon de parler des relations homme-femme, mais cétait sa façon à lui... il avait bien vu ce qui se passait entre sa patronne et lhomme darmes.
Avec une émotion quelle ne cherchait même pas à dissimuler, elle prit le paquet et louvrit délicatement. Sa curiosité était à vif, mais le bonheur de la découverte ne dure quun instant, alors, il fallait aller lentement, mais pas trop, juste à la limite du supportable.
Lorsquelle découvrit la bague, son cur se mit à battre dans sa poitrine à faire trembler les murs de la ville. Plus rien nexistait que Lui, dans sa main... Elle caressa la gemme, merveilleusement polie et sertie dans un entrelacs dor finement travaillé. Le choix quIl avait fait nétait pas anodin : ce vert profond, symbole de force, renaissance et amour. La taille elle-même témoignait de la puissance de son attachement.
Avant même que son apprenti lui tende un billet, elle déposa un baiser sur la bague et la plaça cérémonieusement à son annulaire droit.
Elle quitta sa main du regard pour lire le message. «Un bout de papier » !!! Décidément cet homme des bois manquait de délicatesse...
Les mots étaient forts, un frisson la traversa, elle porta sa main à son cur, crut défaillir. Elle avait compris depuis longtemps limportance que cet homme lui avait donnée mais à chaque nouvelle déclaration elle était submergée du bonheur quIl lui faisait... Il faisait son bonheur, Il était son bonheur...
Merci Sylvestros, vous devriez aller manger quelque chose, un bon bourguignon à lOranger et revenez prendre votre service ensuite, les carcasses sentassent depuis votre départ.
Elle savait quelle ne tirerait pas grand-chose de plus de ce brave homme et voulait savourer son bonheur dans la quiétude.
Elle regagna sa table décriture et ouvrit le Livre du Bonheur. Elle avait des choses importantes à écrire, surtout cinq lettres et trois mots : « Merci, je vous aime ».
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Cet homme avait décidément une façon de parler des relations homme-femme, mais cétait sa façon à lui... il avait bien vu ce qui se passait entre sa patronne et lhomme darmes.
Avec une émotion quelle ne cherchait même pas à dissimuler, elle prit le paquet et louvrit délicatement. Sa curiosité était à vif, mais le bonheur de la découverte ne dure quun instant, alors, il fallait aller lentement, mais pas trop, juste à la limite du supportable.
Lorsquelle découvrit la bague, son cur se mit à battre dans sa poitrine à faire trembler les murs de la ville. Plus rien nexistait que Lui, dans sa main... Elle caressa la gemme, merveilleusement polie et sertie dans un entrelacs dor finement travaillé. Le choix quIl avait fait nétait pas anodin : ce vert profond, symbole de force, renaissance et amour. La taille elle-même témoignait de la puissance de son attachement.
Avant même que son apprenti lui tende un billet, elle déposa un baiser sur la bague et la plaça cérémonieusement à son annulaire droit.
Elle quitta sa main du regard pour lire le message. «Un bout de papier » !!! Décidément cet homme des bois manquait de délicatesse...
Les mots étaient forts, un frisson la traversa, elle porta sa main à son cur, crut défaillir. Elle avait compris depuis longtemps limportance que cet homme lui avait donnée mais à chaque nouvelle déclaration elle était submergée du bonheur quIl lui faisait... Il faisait son bonheur, Il était son bonheur...
Merci Sylvestros, vous devriez aller manger quelque chose, un bon bourguignon à lOranger et revenez prendre votre service ensuite, les carcasses sentassent depuis votre départ.
Elle savait quelle ne tirerait pas grand-chose de plus de ce brave homme et voulait savourer son bonheur dans la quiétude.
Elle regagna sa table décriture et ouvrit le Livre du Bonheur. Elle avait des choses importantes à écrire, surtout cinq lettres et trois mots : « Merci, je vous aime ».
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