[RP] 1 place de la Reine Nathan, chez Henri et Pailette

Henri_de_plumaugat

Citation:

- Quelle magnifique chambre ! C'est superbe !

- Merci mon amour.

Citation:

- papa...

Henri ne pouvant pas résister, comme toujours, à ces petits bras qui se tendaient vers lui, prit Violette dans ses bras et lui fit un câlin.

- Tu veux voir ta chambre, ma grande ? Allons-y. Tu viens mon amour ?

Prenant le couloir, Henri les conduisit à la nouvelle chambre de Violette.

- Attention, on ferme les yeux. Voilà, vous pouvez les ouvrir !

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Pailettedargent

Pailette ouvrit les yeux

-...Alors là...C'est ...c'est magnifique...une chambre de princesse!...

Elle regardait la chambre en détail

-Et bien,ma chérie,tu en as de la chance!

Pailette embrassa tendrement son fiancé.

-Merci pour elle...
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Merci pour elle...

- Mais je t'en prie. Tout ce que je fais c'est par amour pour toi.

Et Henri répondit passionnément au baiser de celle qui est tout, absolument tout pour lui.
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Pailettedargent

Citation:

- Mais je t'en prie. Tout ce que je fais c'est par amour pour toi.

Pailette le serra dans ses bras,lui murmurant:je t'aime mon Amour.

Elle entendit Joseph se réveiller.

-Oh!...Notre fils se réveille...Le devoir m'appelle!...Violette,tu restes avec papa ou tu viens voir Joseph?

La petite passa ses bras autour de la jambe d'Henri

-Papa!

-Bien,ma chérie...Profitez bien tout les deux!

Pailette les embrassa et alla voir Joseph.
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Henri_de_plumaugat

Henri se laissa faire, et après l'avoir embrassée lui répondit :

- Moi aussi ma chérie !

Citation:

- Profitez-en bien tous les deux !

- Ne t'inquiète pas pour ça mon Amour !

Henri lui fit un sourire entendu. Il prit Violette dans ses bras et rentra dans sa chambre avec elle.

- On joue à la poupée ma grande ?

- Viiiiii !!!!

Violette sortit rapidement les poupées des endroits où Henri les avait patiemment rangées. Elle en donna une à son papa et prit la plus belle pour elle. Henri s'allongea sur le tapis pendant que Violette s'asseyait appuyant son dos sur le ventre de son papa. Et ils commencèrent à se raconter de petites histoires de princesses.
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Pailettedargent

Pailette s'approcha du lit de Joseph

-Bonjour mon petit coeur...Tu as bien dormi?...Apparament oui.

Elle prit son fils dans ses bras et le câlina.
Après s'en être occupé,Pailette l'emmena voir son père et sa soeur.
Elle les surprit entrain de jouer sur le tapis,elle resta un instant à les admirer en souriant.
Que pouvez t'elle demander de plus...Son bonheur était complet.
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Henri_de_plumaugat

Tout en jouant avec sa fille, Henri sentit une présence derrière lui. Il se retourna et vit sa fiancée avec Joseph dans les bras. Il se fit une fois de plus la réflexion qu'il n'aimait pas penser à elle comme sa fiancée. Il voulait pouvoir dire "son épouse", mais Mimi tardait à rentrer et ils ne pouvaient toujours pas se marier. Il lui sourit tendrement.

- Nous avions la princesse, maintenant que tu es là, nous avons la reine. Tu viens jouer un peu avec nous avant que nous fassions prendre son bain à la petite ?
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Pailettedargent

Citation:

- Nous avions la princesse, maintenant que tu es là, nous avons la reine. Tu viens jouer un peu avec nous avant que nous fassions prendre son bain à la petite ?

Pailette souria ,déposant Joseph sur le lit,le calant avec des coussins et s'installa sur le tapis.

-Maman..

Violette lui donna une poupée,Pailette la prit.

-Dis-moi Violette,pourquoi tu as la plus belle?

-...Moi!

Pailette se mit à rire ,elle posa son regard sur Amour

-Au moins,çà a le mérite d'être clair.

Ils jouèrent un moment tout les trois,rire,complicité,tout était réunit,ils formaient une famille unies.
Pailette se leva

-Violette,il est temps d'aller au bain.

La petite retroussa son petit nez

-Non,non,pas besoin de faire çà...Tu y vas,il est l'heure.

Violette regarda son père avec un air suppliant

-papa..na
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Henri_de_plumaugat

Henri était heureux aussi. Toute la famille était là, jouant ensemble. Mais même les meilleures choses ont une fin :

Citation:

- Violette, il est temps d'aller au bain.

Leur petite princesse n'était visiblement pas contente. Mais Pailette, en bonne maman qu'elle était, ne céda pas :

Citation:

- Non, non, pas besoin de faire ça... Tu y vas, il est l'heure.

Violette se tourna vers lui avec ses petits yeux coquins, le suppliant de ne pas lui imposer cette chose que l'on appelle le bain.

- Allez, ma chérie, il faut y aller, maman l'a dit. Viens dans mes bras, on va aller mettre l'eau à chauffer.

Violette lui courut dans les bras. Il l'attrapa en la faisant tournoyer un peu puis il lui fit un gros baiser. S'approchant de Pailette il dit à Violette :

- Fais un gros baiser à maman et à Joseph.

Sans se le faire dire deux fois, Violette passa ses petits bras autour du cou de sa maman et lui fit un gros baiser auquel Pailette répondit. Puis, s'inclinant vers son petit frère, elle lui fit un baiser. Profitant de l'occasion, Henri embrassa tendrement son Amour et leur petit Joseph. Mettant Violette sur ses épaules, il descendit les marches de la maison. Arrivé dans la cuisine, il prit un grand bac d'eau qu'il posa sur le feu. En attendant que ça chauffe, il s'assit par terre devant le feu, Violette confortablement installée sur ses genoux croisés face à l'âtre. Ils regardèrent le feu en silence, fascinés par la beauté de ses flammes.
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Pailettedargent

Pailette descendit avec Joseph pour rejoindre ses deux autres Amours,lorsqu'elle vit un pigeon sur le rebord de la fenêtre.

-Oh,je le connais ce pigeon,c'est celui de Maël...

Elle l'attrappa et lut la missive,un sourire se dessina sur son visage,elle se dépêcha de rejoindre Henri et Violette.

-Mon Coeur!...On va bientôt avoir de la visite ,si tout se passe bien!

Pailette s'asseya par terre à côté d'eux,Joseph dans ses bras

-Maël et Kenshi vont peut être bientôt venir à Vannes.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Mon Cœur !... On va bientôt avoir de la visite, si tout se passe bien !

Henri leva les yeux vers elle avec un air interrogateur. Il passa un bras autour de ses épaules quand elle s'assit à côté de lui.

Citation:

- Maël et Kenshi vont peut être bientôt venir à Vannes.

- Mais c'est une merveilleuse nouvelle ! Tu entends ma grande ? Tante Maël et tonton Kenshi vont venir nous voir !!! Et quand sont-ils censés arriver ?
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Pailettedargent

Citation:

-...Et quand sont-ils censés arriver ?

Pailette secoua la tête

-Elle ne sait pas trop ,apparament,elle doit attendre sa démission en tant que lieutenant...Je pense d'ici une dizaine de jours,ils seront là...ou moins,j'espère...Il me tarde de serrer ma soeurette dans mes bras.

Elle posa sa tête sur l'épaule de son bien-aimé pendant ce temps Violette embrassait sans cesse son petit frère,Pailette sourit en voyant la petite faire,puis leur fille les regarda

-Bébé...Bisou...
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Elle ne sait pas trop, apparemment,elle doit attendre sa démission en tant que lieutenant... Je pense d'ici une dizaine de jours, ils seront là... ou moins, j'espère... Il me tarde de serrer ma sœurette dans mes bras.

- Ah elle démissionne ? Ce sera formidable. Et Muse ? Elle ne veut pas les accompagner ? Il faudra préparer leur chambre. Oui, je me doute bien qu'elles te manquent toutes les deux...

Henri lui sourit.

- Bébé... Bisou...

- Oui, tu es gentille ma grande. Mais allez, c'est le moment d'aller au bain, l'eau est chaude.

- Nan, veux pas...

- Oh mais si tu vas y aller.

Se tournant vers Pailette :

- Je te la laisse, le temps de verser la bassine dans la baignoire et je viens la reprendre.

Henri embrassa son Amour puis se leva. Il sortit la bassine de la cheminée et entreprit l'ascension de l'escalier. Ayant versé l'eau chaude dans la baignoire, il redescendit, remit de l'eau à chauffer et tendit les bras à Violette.

- Allez, tu viens ?
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Pailettedargent

Citation:

Et Muse ? Elle ne veut pas les accompagner ?

-Muse est toujours en voyage,je ne sais même pas où elle se trouve d'ailleurs...

Citation:

- Je te la laisse, le temps de verser la bassine dans la baignoire et je viens la reprendre.

Pailette jouait a attrapper le nez de Violette quand Henri revint

Citation:

- Allez, tu viens ?

-Nan...

Violette se sauva dans un coin de la cuisine.

-Veux pas...

-Violette ,il faut aller prendre ton bain!

-Nan!

La petite commença a pleurer

-Tu peux pleurer,çà ne changera pas...Tu vas te laver.
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Henri_de_plumaugat

Henri se dirigea vers Violette et la prit doucement mais fermement dans ses bras. La petite se débattit un peu puis finalement renonça tout en continuant à pleurer. Henri fit un sourire et un clin d'œil à Pailette. Puis il se dirigea vers la salle de bain. Ayant assise Violette sur la table à langer il entreprit de la déshabiller. Mettant la main dans l'eau, il sentit que la température était bonne et plongea Violette dans l'eau. Celle-ci arrêta bientôt de pleurer et se mit à barboter gentiment.

- Bah tu vois, ce n'est pas si terrible. Tu es une grande fille maintenant, il ne faut pas faire de caprice comme ça.

Avec sa main, Henri faisait des vaguelettes qui venaient éclabousser doucement la petite qui en riait beaucoup. Après l'avoir bien lavée, Henri la sortit du bain et l'enveloppa dans une grande serviette. Puis, la prenant dans ses bras il se dirigea vers sa chambre pour la préparer pour la nuit. Au passage, il cria à Pailette dans l'escalier :

- Ca y est, ma chérie, nous avons terminé. Tu peux prendre la place avec Joseph ! Si tu veux encore un peu d'eau chaude, dis-le moi, j'irai la chercher !
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1 place de la Reine Nathan, chez Henri et Pailette

Henri_de_plumaugat

Don Camillo, tout heureux de sa nouvelle maison, commence par la regarder depuis le bout de la place. Il en rêvait depuis bien longtemps d'avoir sa maison à lui, et maintenant son rêve est là, devant lui. Il est on ne peut plus heureux.

Il finit quand même par rentrer. La maison est propre, mais n'avais pas été aérée depuis un moment. Don Camillo en ouvre toutes les fenêtres pour laisser entrer le bon air marin. C'est une nouvelle époque qui commence pour cette demeure. Avant de commencer les travaux, Don Camillo plante une pancarte devant :

EN TRAVAUX. La visite ne sera autorisée que lorsque les travaux seront terminés. Fête prévue pour l'inauguration.
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Wizz

Wizz avait décidée d'aller faire un tour chez Don, elle était toute contente et courait presque vrs sa maisonnée.
Quand elle arriva elle vit la pancarte et ronchonna.

Mais euh! Vilain! J'veux voir ta maisn moi! S'te plaiiiit!!

Elle resta là, plantée devant la maison, n'ayant pas l'intention de bouger son popotin!

Henri_de_plumaugat

En regardant par la fenêtre, Henri vit Wizz attendre pour voir sa maison. Il sortit pour lui demander ce qu'elle faisait là. Sur sa réponse de vouloir absolument voir sa maison, il lui dit :

- Mais ma chère Wizz, il n'y a vraiment rien à voir, rien n'est encore fait. Il y a bien quelques araignées, mais ça n'a pas grand intérêt...

[i]Cela ne semblait pas toucher beaucoup la demoiselle car elle répondit qu'elle aimait beaucoup les araignées. Vaincu, Henri lui dit :

- Allez viens, entre, nous allons faire un tour à l'intérieur.

Il lui prit la main et l'emmena dans la maison.
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Wizz

Elle lui sourit, satisfaite et entra avec lui, entremêlant leur doigts.
Elle regarda partout, c'était grand, beau, aéré...

Y a rien à voir?! C'est magnifique malgrès la poussière! Allez va! On va faire l'ménage ensemble!

Et ils commencèrent à faire le ménage en s'amusanten riant. Quand ils voyaient des araignées ou autres bêtes, ils les remettaient en liberté.
C'était super bien....

Henri_de_plumaugat

Après tout ce travail, la maison paraissait encore plus coquette qu'avant. Il y avait encore du travail, mais c'était quand même bien avancé. Henri et Wizz purent contempler leur œuvre et en être satisfait. Par un baiser, Henri remercia Wizz pour son aide.

- Tu verras, quand ce sera terminé, ce sera magnifique. Un vrai petit nid douillet. J'y passerai le temps qu'il faudra mais je ferai de cette maison une petite merveille, un vrai refuge dans lequel se mettre à l'abri, où tout oublier...
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Centinel

Apres une aprés midi un peut stressante j’eu envie de sortir un peut, je me décidai à allais rendre visite à don.
Bien qu'il et dis qu'il se trouvé actuellement en travaux, je mis rendis quand même.
Chemin se faisant je ne pu m'empêché de repensé à cette homme qui venez perturber ma petite vie tranquille, mon esprit étais perpétuellement sans cesse à revenir dessus.
Arrivais devant chez lui je regardai la bâtisse de bas en haut et fit un sourire.

-don tu es la?

Des rires s'échappé de l'intérieur je cru reconnaitre la voix de wizz , vite à pas Legé je fis demi tour pour ne pas les dérangé.
Tempi me dis je, je reviendrai quand se seras finit.

Henri_de_plumaugat

S'amusant avec Wizz après une journée de travaill harrassante, Henri crût entendre une voix.

- Attends, Wizz, j'ai cru entendre quelqu'un m'appeler. Je crois même que c'est Centinel.

Henri se précipite sur la porte, mais personne.

- Personne, soit j'ai rêvé, soit c'était trop tard, elle était déjà partie. Ca fait longtemps que je ne l'ai vu, tout comme Floyanne. J'espère qu'elles vont bien les autres bisonnes.
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Henri_de_plumaugat

Ce soir-là, Henri est rentré bien triste. Il n'a pas pu dire au revoir à sa chère et tendre Wizz. En plus de cela, il a appris que son amie Centinel a des problèmes. Il s'attend au pire mais est bien décidé à faire ce qui est en son pouvoir pour l'éviter. Non mais sans blague... Il se croit tout permis ce Charles de Ville d'or... Ca se met à la solde des étrangers et ça vient faire la loi et la morale ? Il va trouver à qui parler !!!

- Allons, il faut quand même travailler un peu dans la maison.

Ce soir-là, Henri commença la construction de quatre balcons, aux quatre points cardinaux de sa maison afin de pouvoir profiter du soleil ou de l'ombre à toute heure de la journée.
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Henri_de_plumaugat

Nouvelle journée, nouveaux travaux. Les balcons étant finis, il fallait terminer d'aménager le deuxième étage en un ensemble de jolies chambres. Henri, prenant son courage à deux mains, commença l'installation de cloisons et de portes. Le tout commençait à prendre bonne tournure. Il tenait à ce que ses enfants soient bien installés, un juste milieu entre le confort nécessaire à des enfants, et une saine rudesse. Le luxe n'est pas une bonne chose, tout comme un excès de dureté.

Henri est heureux car c'est son avenir qu'il bâtit, celui de sa future femme et celui de ses enfants. Peu importe les difficultés et les fatigues devant un tel but. Et il chantait :

Dedans ma chaumiè-è-re,
Pour y être heureux,
Combien faut-il ê-ê-tre ?
Il faut être deux.

Oui ma chaumiè-è-re,
Je la préfè-è-re,
Avec toi, oui, avec toi,
Avec toi, oui, avec toi,
Au palais d'un roi.

Si l'étranger pa-a-sse
Je lui tends la main
Et lui fait homma-a-ge
D'un grand verre de vin.

Oui ma chaumiè-è-re,
Je la préfè-è-re,
Avec toi, oui, avec toi,
Avec toi, oui, avec toi,
Au palais d'un roi.
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Wizz

Wizz gambadait dans la rue dans le but d'aller chez Henri. Elle arriva à destination, frappa à la porte et entra.

Salut mon chéri !!!! On fait la luge et on choisit les chiffres????

Henri_de_plumaugat

Entendant cette voix tant aimée, Henri sortit immédiatement et embrassa son amour.

- Mais bien sûre, ma chère Wizz, si tu veux bien te donner la peine d'entrer. J'ai déjà commencé la luge, regarde.

La luge se composait de deux bandes de bois assez larges pour ne pas s'enfoncer dans la neige, et d'une plus petite devant pour diriger. Restait à mettre l'armature et à la fixer solidement. Toutes les pièces étaient à côté. Il y avait un bac pour mettre les boules de neige, et dans ce bac, une louche...

- Pourquoi une louche ? Hé, hé, comme ça tu n'aura qu'à te baisser et ramasser la neige avec. Les boules se feront toutes seules. Qu'en penses-tu ? Je pense même ajouter une sorte de fronde pour envoyer les boules.

Pour les chiffres, je te laisse choisir toute seule et les communiquer à qui de droit car ma connexion est tellement mauvaise que je ne suis pas sûr de parvenir à me connecter ce soir ou dans la journée

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Wizz

Wizz sourit et embrassa Henri. Elle entra et vit la luge...Ouaouh !!!!!!!

Elle est vraiment super! C'est trop bien le truc d'la louche et tout ça! Merciii mon amour!

Elle lui sourit et s'installa dans un fauteuil

Henri_de_plumaugat

- Mais c'est moi qui te remercie pour tes compliments. Il faut absolument qu'on gagne. Et on va gagner.

Henri en profita pour s'assoir aux pieds de Wizz pour se reposer un moment et pour profiter de ces quelques instants de tranquillité qui leurs sont accordés.

- Et pour Wazz, qu'est-ce qu'on fait ? On élargit une fenêtre ?

Ils rirent gentiment tous les deux de la mésaventure de la pauvre Wazz.
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Henri_de_plumaugat

Henri s'éloigna un peu pour voir l'effet que faisait la maison depuis le bout de la place. Il n'en fut pas peu fier. L'extérieur commence à prendre plutôt bonne tournure. Sa maison a beaucoup d'allure. En prévision des beaux jours, Henri s'occupa du jardin. Il dessina des plans dans lesquels il garda de grands espaces de pelouse pour les jeux des enfants. Mais il voulu aussi que ce jardin soit un régal pour les yeux, et un plaisir lors des promenades. Il y mis tout ses soins. Les fleurs les plus belles et les plus rares sont plantées dans la plus pure tradition des jardins à la bretonne. Les arbres ne sont pas en reste. Henri planta des sapins, des chênes, et beaucoup d'autres arbres destinés à abriter les oiseaux mais aussi la famille lors des grosses chaleurs de l'été.

Mais ce n'est pas fini, il reste tout l'aménagement intérieur à faire, les meubles, poser les rideaux, aménager les différentes pièces. Le reste de l'hiver ne risque pas d'entraîner de l'ennui...
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Henri_de_plumaugat

Ayant terminé la luge, Henri décida d'aller l'essayer pour voir si elle était maniable et si son système de glisse était au point. Il se promenait dans la forêt en recherche d'une bonne pente quand il entendit une galopade effrénée, assourdie par la neige. Il se recula près d'un arbre pour voir ce dont il s'agissait. Et là, qu'elle ne fut pas su surprise de voir apparaître trois magnifiques chevaux blancs galopant avec de magnifiques élancements de leurs corps d'acier.

Henri n'en revenait pas d'assister à une telle splendeur... Dans le halo de neige soulevé par les sabots des destriers, le soleil formait de multiples arcs-en-ciel, rendant la scène presque irréelle. Henri ne bougea pas de sa place, profitant du spectacle jusqu'au bout.

Il se rappelait ses longues promenades à cheval, et les galops étourdissants sur les plages de Dinan du temps où il était encore sur ses terres. Comment pouvait-il oublier son magnifique étalon blanc que son père lui avait offert pour ses 12 ans...

Ces escapades lui manquaient beaucoup. Il voudrait pouvoir de nouveau sentir le sifflement du vent dans ses oreilles, se sentir de nouveau libre, chevaucher où bon lui semblera sur le dos de son fidèle coursier. Hélas, le temps de l'insouciante jeunesse est passé pour lui, il a des responsabilités, une maison à construire et d'autres choses...

Mais au fait, Centinel lui avait qu'elle gardait chez elle le pur sang arabe d'un ami. Oserait-il lui demander de le lui prêter ?

Satisfait des performances techniques de la luge, Henri rentre chez lui et se remet au travail.

Arrivé chez lui, il met les bouchées doubles. Il doit terminer la future chambre nuptiale aujourd'hui. Après des heures de travail, il est satisfait du résultat.

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Henri_de_plumaugat

Ce jour-là, Henri rentra chez lui excédé. Tout d'abord il a à peine vu Wizz de la journée et il en est malheureux, mais bon... Elle a sa vie à mener elle aussi, il ne peut lui en vouloir de ne pas pouvoir venir soit chez lui, soit en taverne.
Non, ce qui l'a énervé au plus haut point, c'est d'entendre ses amies parler légèrement au sujets d'hommes d'Eglise. En plus de cela, le duc en personne se permet des plaisanteries plus que douteuse sur ces gens-là.

Pour se calmer, il se met au travail de plus belle. Il termine presque toutes les chambres en commençant par celle du bébé. Il ne s'arrêta de travailler que tard dans la nuit, mais cela lui a changé les idées. Il était d'ailleurs assez content du résultat :

Toujours pour se calmer, il monta sur son balcon, s'installa dans son fauteuil et regarde la lune sur la mer...

Et il chantait pour essayer de se redonner un peu de bonne humeur :

As-tu compté les étoi-a-les
Et les astres radieux
Déployant aux nuits sans voi-a-le
Leur cortège dans les cieux ?
Dieu qui leur donna
La vie et le pas
Dieu qui leur fixa
La course et le pas
Sait aussi quel est leur nom-om-bre
Et ne les oublie pas.
Sait aussi quel est leur nom-om-bre
Et ne les oublie pas.

As-tu compté les abei-è-lles
Butinant parmi les fleurs
Papillons, mouches vermei-è-lles
Sans soucis et travailleurs ?
Dieu qui les vêtit
Couleur Paradis
Dieu qui leur fournit
Vivre et logis
Sait aussi quel est leur nom-om-bre
Et ne les oublie pas.
Sait aussi quel est leur nom-om-bre
Et ne les oublie pas.

As-tu compté les fleure-e-ttes
Souriant au gai printemps
Boutons d’or et pâquere-e-ttes
Fleurs des bois et fleurs des champs ?
Celui qui leur fit
Ces riches habits
Celui qui leur mit
Ces frais coloris
Sait aussi quel est leur nom-om-bre
Et ne les oublie pas.
Sait aussi quel est leur nom-om-bre
Et ne les oublie pas.

Sais-tu combien, sur la te-e-rre
Vivent d’enfants comme toi,
Dans le luxe ou la misè-è-re,
Fils de pauvres ou fils de rois ?
Dieu les connaît tous
Et les aime tous
Dieu les garde tous
Et Dieu les veut tous
Tu es aussi dans le nom-om-bre
De ceux qu’Il n’oublie pas.
Tu es aussi dans le nom-om-bre
De ceux qu’Il n’oublie pas.
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Centinel

J’arrivé devant chez Don, immense deumeur ou tout étais élluminé,
Une voix grave s’échapper de quelque part,
Trop grand pour cherchez je mis à appelé…

-Hé ho !! Don tu es là?!!

-Don!!

Soudain plus rien et j’entendis Doncamillo crié…

-J’arriveuuuu!!!

Je m’avançai vers la porte attendant que quelqu' un veuille bien m’ouvrir.
Don arriva et d’un grand sourire ouvrit la grande porte.

-Salut, je passé voir comment tu allais et je vois que tu as bien avancé dis

-Bon j’espère que tu n’est pas trop fâché, ont s’amuse Don c’est tout, ont penses pas réellement tout ce qu’on dis tu sais.

-Bon tu me fais visité, ou je me débrouille

Je le regardé et me mise à ricané pour le taquiné encore,
Je voyait bien sur lui qu’il étais pas si fâché, et même si sa avais étais le cas nous somme amis,
Et les amis c’est comme sa aussi sa se prend le choux.

-Wizz et avec toi? Je ne voudrai pas déranger

Henri_de_plumaugat

- Tiens, bonjour Centinel. Ca me fait plaisir de te voir. Entre, je t'en prie. Veux-tu que je t'offre un verre ? Veux-tu me faire plaisir ? Appelle-moi Henri, s'il-te-plaît. Je sais que ce n'est pas évident de changer des habitudes.

Henri fit assoir Centinel dans un des fauteuils qu'il avait construit.

- Qu'est-ce que tu en penses ? Du chouchen et du fauteuil... Pas mal, hein ? Bon, j'en ai raté pas mal avant, mais maintenant ça va, je les réussis assez bien.

- Wizz n'est pas là, non. J'espère qu'elle va passer car nous devons discuter tous les deux, un peu sérieusement... Si tu la vois, tu peux le lui rappeler, s'il-te-plaît ? Merci. Bon, tu veux visiter la maison ? C'est un peu de la triche, tu le sais bien... Mais c'est bien parce que tu es une bonne amie que je te fais cette fleure. Allons-y, et prend ton verre.

- Voilà l'étage. Il y a beaucoup de chambres comme tu peux le constater, mais ce n'est quand même pas pour toutes les remplir d'enfants. Je fais des chambres pour les invités, les gens de passage qui n'ont pas où dormir, des chambres d'amis. La maison est grande, il y a de la place pour tout le monde.

Après avoir fait le tour de la maison, Centinel et Henri redescendent au rez-de chaussée qui lui n'est pas encore aménagé. Ils se réinstallent dans les fauteuils et discutent pendant un bon moment.

- Tu sais, Centinel, ça me fait vraiment plaisir que tu ne sois plus seule et que tu sois amoureuse. Quand je t'ai connue, tu donnais l'impression de quelqu'un qui ne voulait pas que l'on touche à sa coquille. Quelqu'un non pas de renfermée, mais plutôt se mettant à l'abri de coup dur. Ca me fait vraiment plaisir de te voir si heureuse.
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Henri_de_plumaugat

- Tiens, au fait, je dois mettre le panneau pour la fête.

Henri sort et enlève le panneau indiquant les travaux. Il le remplace par celui-ci :

Vannetais, Vannetaises, vous êtes tous conviés à la fête d'inauguration de ma demeure le mercredi 3 février 1458 au soir.
Etrangers, étrangères, vous l'êtes aussi.
Attention, il est interdit de se saouler dans cette demeure, de mal se tenir ou de tenir des propos licencieux.

- Et voilà !!
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Henri_de_plumaugat

- Bon, ce n'est pas tout ça, mais il faut la préparer cette fête. Alors au travail.

Henri se rend au marché avec toutes ces économies et fait plusieurs voyages pour ramener chez lui toutes les victuailles. Il amoncelle chez lui des tonneaux de chouchen, de bière, de vin venant de Bordeaux. La cave est bien remplie.

Il veut que ses invités soient bien traités.

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Wizz

Lalalala...J'arrive en chantonnant chez mon amuuuuur et...Ouaouh !!!!!!!!! C'est MAGNIFIQUEUUUUUU !!!!!!!! Je regarde les jardins, émerveillée et...

TOC TOC TOC !!!

Henri_de_plumaugat

Entendant frapper, Henri pose ses ustensiles de cuisine, se lave les mains et se dirige vers la porte. Quelle ne fut pas sa surprise de voir sa chère Wizz toute souriante devant chez lui.

- Bonjour ma chérie ! Ca me fait tant plaisir de te voir ! Ce que tu as pu me manquer...

Il la prend dans ses bras et l'embrasse de tout son cœur. Elle lui avait beaucoup manqué, depuis le temps qu'ils ne s'étaient pas vus...

- Viens voir tous les derniers aménagements de la maison, tu me diras ce que tu en penses. Il y a toujours besoin d'un peu de goût féminin. Tu vas pouvoir aussi goûter à ma cuisine, si tu n'as pas peur de t'empoisonner.

Ils rirent tous les deux de bon cœur.

- Dis, tu n'oublie pas que nous devons parler un peu tous les deux ?
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Wizz

J'ouï des pas et je vois mon amuuur ouvrir la porte. Je lui saute au cou et l'embrasse tendrement.

Tu m'as manqué aussi!Allez, emmène moi visiter ta maison. Le jardin est magnifique et la façade de la maison aussi, c'est pas une maison, c'est un palais!

Je rigole toute seule et entre dans le "palais". La sale à manger, le séjour, la cuisine...Je m'émerveille à chaque pas, regardant à droite et à gauche...

C'est magnifique mon amuuur! T'as fait du bon boulot dis moi!

On va ensuite goûter ses plats, je m'en lèche les babines...je porte la cuillère à ma bouche et je goûte tout les plats...

Mmmmmh !!!! C'est délicieux! T'es un vrai cuisto en plus de ça!

Un p'tit sourire sur mes lèvres.
Quoi? Moi oublier, jamais! Pas l'temps c'est tout! Nan mais!

Je n'ai pas oublié mon amuuuur.

Henri_de_plumaugat

Après la visite de Wizz, Henri se remet au travail car le jour de la fête est arrivé. Henri met les bouchées doubles pour que tout soit prêt pour les invités. Ce n'est pas tous les jours qu'une telle fête est organisée, et il ne veut pas que les invités soient déçus. Il décore la maison de guirlandes et de bouquets de fleurs rares qu'il a fait venir exprès pour l'occasion.

Henri vérifie aussi les différents plats disposés sur les tables.

Il se frotte les mains. Il espère bien faire honneur à tous ses convives.
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Wizz

Lalalalalala...Je gambade tranquillement vers la cambuse de mon amuuur, je toc, entre, embrasse mon amuuur et l'aide à tout préparer.
Quand tout est près je m'assied sur un fauteuil, à côé d'Henri. Voilà, manque plus qu'à attendre les autre!

Centinel

Je rentra de mon moulin à toute jambe la journée fut longue pour moi,
Mais je pris le temps quitte à arrivé un peut en retard chez Henri, d’écrire une petite missive à mon Ange,
qui ne serais pas en ma compagnie ce soir.
Puis je pris la direction de la salle d’eau pour me lavé et me faire une petite beauté.
Voila j’étais fin prête j’enfila ma cape me couvris les cheveux, et je quitta la taverne.
En chemin je croisé quelque personnes, qui elles aussi se rendais chez don.
Arrivé devant la grande porte je m’arrangea un peut les cheveux et…

-Toc, toc toc!!

La porte ne mis pas longtemps à s’ouvrir

-Hé Centinel entre et sois la bienvenu

-Merci Don, heu..Henri excuse moi j’ais un peut de mal à mis faire encor

-Hann! Henri c’est magnifique, c’est ton œuvre tout sa ? Hmm ! Je sent que je vais me régalé,
et t’inquiète pas je sais me tenir en dame exemplaire aussi

Je le regardé en ricanant sans pouvoir me retenir, j’étouffa mon ricanement d’un…

-Wizz et déjà la ?

Puis doucement je me dirigeai vers le buffet, c’était géant et coloré de toute sorte de mets.
Henri n’avez pas fait les choses à moitié, mais une chose et sur il donné l’impression d’êtres une personne très minutieuse.
Même la décoration des lieux étais splendide,
des fleurs encore des fleurs, des guirlande et des lanternes par dizaines venais tamisé tout sa d’une ambiance festive.

Henri_de_plumaugat

- Entre Centinel, tu es la bienvenue. Tu sais que tu es chez toi ici.

Henri fait rentrer Centinel et tous ceux qui arrivaient déjà.

- Oh la, merci pour tous ces compliments, c'est vraiment trop aimable... Je te fais confiance, ne t'inquiète pas. Bien sûr que Wizz est là.

Le maître de maison, accompagné de Wizz, emmène les invités devant les buffets garnis.

- Mes amis, régalez-vous, tout ceci est pour vous. Pour vous remercier de votre accueil lors de mon arrivée à Vannes, pour votre aide lors de mes premiers pas dans cette ville, et pour votre amitié.
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Chimera

Elle prend sur elle, prend sur elle, prend sur elle....
Nolwenn a poudré son visage plus pâle encore qu'à l'accoutumée, histoire de la rendre légèrement moins cadavérique, et de dissimuler les cernes et rougeurs ornant ses yeux.

Elle a promis, et elle honore sa promesse. Elle l'aurait honorée avec davantage d'enthousiasme en d'autres circonstances. L'apparition sera sûrement brève, mais elle sera, foi de Chimera.

Epouse du duc de Vannes, elle est bien informée et sait où se rendre. Elle se rend, donc, à pieds... Paix et simplicité, dans les rues de sa ville...

Parvenue devant la bâtisse, elle frappe quelques coups à la porte après avoir pris une profonde inspiration.
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margot_wolback

Margot arrive devant la porte, surprise de la taille de la maison.
Eh bien, Henri avait raison, il pourra en avoir des enfants!^^

Elle s'est habillée rapidement, revenant à grand peine de l'île d'Arz, le passeur s'étant fait prier!
Mais ma bonne Dame, l'est trop tard pour traverser! Dormez là cte nuit, vous srez toute arrivée pour le mariage!

Sauf qu'il n'avait encore pas essayé de se défendre contre la pestouille têtue! Et donc il a du céder! Normal non?

Et elle se trouve dans cette rue, voyant de loin une silhouette... Chimera... Margot se met à ses cotés, et frappe à la porte

Toc toc toc!
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Chimera

Une présence, et l'écho des coups qu'elle vient de frapper, plus dynamique...
Chimera tourne la tête et découvre la jeune Margot.
Elle...
A ses côtés sans prononcer le moindre mot.
Elle la regarde longuement, silencieuse, puis sourit faiblement, et tourne à nouveau les yeux vers la porte, attendant qu'elle s'ouvre enfin vers, qui sait, peut-être de nouvelles perspectives.
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Zabou

Mais dépêche toi donc!! On s'ra encore les derniers, je l' sens!! D'jà qu'on sait même pas où ça s'trouve, on va mettre une plombe à trouver...

Elle soupirait, souriant amusée de voir Oban s'apprêter. Une fois que ce fut chose faite, elle lui empoigna la main et le tira d'autorité dans un des couloirs du château de leurs amis, Chimera et Mum, un doigt sur les lèvres lui intimant le silence, toujours craignant de tomber sur Isoldes qui devait moyennement apprecier le fait qu'ils ne parviennent jamais a retrouver leur chambre....

Quelques rues, quelques échoppes, quelques places plus tard, ils parvinrent sur le perron de la demeure d'Henri, où Chimera et Margot patientaient, attendant que la porte leur soit ouverte.

Noz vat!! Noble compagnie... Dites, nous aurions presque pu faire la route ensemble à ce qu'il me semble..

Sourire de la Zab, heureuse de les trouver là.
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--Loannemontfortlaval

Et oui je suis là entre mon papa et ma maman. Mes freres et soeurs sont dans les bras de Lelf et Mimi. On arrive devant chez Camillo, ma marraine est là. Maman m'a demandé d'être gentille et calme mais je ne peux me retenir de courrir vers elle.
Marrrraine !

Je t'aime fort tu sais tu m'as manqué.

Comme quoi les enfants sont moins pudiques que leur parent. Et les voilà, tous avec Margot devant la porte à attendre qu'on leur ouvre.

Diat

Sylvana et Diat arrive sur la place de la reine Nathan.

La maison de Don est impressionnante. ILs cherchent l’entrée et voit une grande porte ouverte.
Ils voient Chimera,Margot et Zabou sur la place qui cherche l'entrée.

Suivez nous l'entrée est ici.

Ils rentrent dans cette grande maison.
Ils vont vers Don et Wizz qui accueillent les invités. Ils les salut et entrent dans le grand salon.
Il y a déjà beaucoup de monde.

Ils cherchent leurs amis tout en se profitant du buffet.
Ils font le tour de tous Margot, Chirmera, Centinel…

C’est vraiment une belle soirée

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Wizz

Wizz accueillait les gens, souriant, cachant sa tristesse. Bonsoir, bienvenue, le buffet est là-bas...Pfiouuuu !!! Tout ça est bien fatiguant! Hop, moi j'vais m'assoir sur un fauteuil...Aaaaaaah, ça fait du bien au popotin! Mmmmh...que c'est bon ce qu'il nous a préparé l'amuuur !!!

Centinel

-Nos vat Diat, tu va bien je vient de voir Sylavana, tu la cache ou?

Je rigola en me penchant légèrement elle étais la devant le buffet elle aussi.
Le grand salon se remplissait doucement de convives.
J’aperçu Margot, les écossés et même la dame du duc, je me dirigea vers eux pour les salué

-Noz vat à tout le monde, je vais vous épargner mes bisouilles pour ce soir,
mais juste par ce que je n’en finirais pas.

Je me mis à rire à leurs regards amusé, m’éloignent un peut je me saisie du bras de Wizz.
L’entraînant avec moi vers un plateaux de fruits je lui déposa une bise sur la joue,
elle savais le pourquoi mais la ont devais continué de s’amusé quand même.

-Wizz t’aurais pas un verre d’eau s’il te plait?

Elle me fit un sourire en ricanant et me chuchota « juste un verre d’eau ? »

Je la regardai un bref instant le regard malicieux,

-Oui oui… juste un verre d’eau… merci

Jettent un œil sur don qui étais occupé à accueillir les invités,
je me disais vau mieux t’y tenir mi zelle Centi si non bha.. Si non heu… en faite je savais pas trop quoi.
Regardant à nouveau Wizz je lui dis..

-Bon va pour un verre de chouch Wizz! Tu as sa ?

Je souriais amusé regardant tout le monde grignoté à son aise.

Aliena

Elle avait promis d'aller à l'inauguration de la maison d'Henri... c'est donc apres un ptit tour en taverne qu'elle décida de trouver le chemin de sa maison.
Malheureusement, elle n'était pas habituée encore aux rues de vannes, et c'est comme d'habitude en se perdant qu'elle arriva assez tard.
Essouflée d'avoir tant marché dans les ruelles, la soif se faisait sentir. Devant la porte elle sortit une bouteille de sa besace et en bu une bonne razade. Elle allait s'en envoyer une deuxieme quand elle se souvint qu'Henri n'aimait pas trop les gens bourrés....et elle se ravisa.

Elle toqua..mais personne ne répondit. Le brouhaha qui se dégageait de lamaison lui laissa penser que personne n'avait du l'entendre frapper. Elle poussa alors légerement la porte, qui s'entrouvrit.
A l'intérieur, de bonnes odeurs remplissaient la maison, elle apercut des vannetais qu'elle connaissait et henri qui discutait dans un coin.

Apres avoir salué henri et l'avoir remercié de son invitation, elle s'approcha du buffet. Les bonnes odeurs avaient réveillée son estomac qui la tiraillait dans tous les sens...

Floyanne

Avant de franchir les portes de la ville..flo fît un détour et passa discrètement par la maison de Henri..elle savait qu'il avait organisé une grande recption afin d'y accueillir chaleureusement ses amis..Henri que nous ses amis avions tendance à toujours appeler Don avait toujours eue une grande générosité de gestes.. d'écoute et d'amitié..Flo ne pouvait partir sans avoir auparavant déposé un mot.

La grande demeure était majesteuse et toutes les pièces semblaient être allumées..Flo souria en voyant les ombres des personnes derrières les fenêtres..sa fête semblait être une reussite..elle l'imaginait courant de partout en voulant satisfaire le moindre bsoin de ses amis

elle relisa son parchemin une drniere fois,sur lequelle elle lui avait écris quelques lignes..puis en voyant que prsonne n'était dans le hall d'entrée elle le déposa sur le guéridon et tourna sur ses talons un petit pincement au coeur,en sachant que tous ses amis étaient ici

Citation:

Mon Chère Henri..Don

Je ne peux quitter cette ville sans t'adresser tout mes remerciements pour ton écoute et ta gentillesse qui m'on étaient à maintes reprises d'un grand réconfort..j'espère que tu n'en m'en voudras pas de ne pas assister à ta superbe fête..mais rester aurait été encore plus dur aprés pour moi de partir..je n'aime guère les adieux..
Sache que ton futur mariage avec Wizz me réchauffe le coeur..je ne vous oublies pas et ne le ferais jamais
Transmet toute mon amitié à Wizz

Amicalement

Floyanne

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Pitchoune32

Pitch avait rencontré cet après midi Camillo qui l'avit gentiment proposé de passer à sa fête.Malgré les évènement qui s'étit passé malgre tout elle ne pouvait pas ne pas y aller.

C'est avec le coeur lourd de changrin qu'elle arriva non sans mal devant l'immense batisse.Elle resta là quelques instants pour l'admirer.

Elle toqua à la grande porte et la vit s'ouvrir par l'un des convives, elle reconnue Aliena et lui sourit.

Noz vat

Puis elle vit camillo un peu plus loin qui etait en pleine conversation, elle lui fit un signe de la main n'osant le déranger.

Elle se dirigea vers le buffet au côté d'Ali et adimra la disposition de celui-ci, les fleurs étaient magnifiques, les gens semblaient si heureux.
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Ex mairesse de Brest
100% Brestoise

Henri_de_plumaugat

Henri ne savait plus où donner de la tête, ses amis étaient venus nombreux et il en était ravi. Rayonnant, il passait de convive en convive, saluant tout le monde, vérifiant que personne ne manquait de rien.

Centinel, dame Chimera, Margot, Zabou et Oban, Diat et Sylvana, Lelf et Mimi et leurs enfants, Aliena, Pitchoune et bien d'autres... avaient eu la gentillesse de se déplacer pour venir à la fête.

Il alla saluer dame Chimera tout particulièrement.
- Madame, votre présence en ses murs honore ma demeure. Elle est vôtre. Si jamais vous avez besoin un jour avec votre mari d'un havre de paix, loin de tous les tracas du château, vous serez toujours les bienvenus.

- Bonsoir Margot, je suis heureux de vous voir ici. Entrez, entrez.

- Bonsoir dame Zabou, bonsoir messire Oban. Merci d'être venus. Vous êtes ici chez vous. J'espère que vous apprécierez la cuisine d'ici.

- Bonsoir Mimi, bonsoir messire Lelf, bonsoir les enfants. Je suis vraiment très heureux de vous revoir un peu plus longtemps qu'en taverne, après tout ce temps... Vous nous avez beaucoup manqué, vous savez. Comme vous pouvez le constater, les jardins sont grands, et j'ai aussi installé une salle de jeu pour les enfants. Vous venez quand vous voulez avec eux, vous serez toujours les bienvenus.

- Bonsoir dame Sylvana, bonsoir messire Diat. Allez-y, les buffets sont par là et les rafraichissements par ici.

Laissant Wizz se reposer quelques instants, Henri continua à s'occuper de ses invités. C'est alors qu'il vit entrer Aliena.

- Dame Aliena ! Je commençais à désespérer. Vous pouvez goûter à toutes les spécialités bretonnes, comme ça vous pourrez vous faire une idée de la cuisine d'ici avant de prendre la décision de vous installer parmi nous.

Henri laissa un moment ses convives pour aller ouvrir en grand la porte d'entrée afin que personne ne se dise qu'il n'est pas attendu. Passant devant le guéridon, il vit un parchemin posé dessus. Il le prit et commença à le lire. Son cœur était partagé entre la tristesse et la joie. La tristesse de ne pas avoir Floyanne à sa fête et de la savoir partie pour un certain temps, et la joie d'avoir reçu ce petit mot d'amitié. Comment pourrai-je t'en vouloir Floyanne de ne pas assister à le fête, je comprends que tu n'as pas beaucoup le coeur à la faire. Henri rangea précieusement le parchemin dans son pourpoint. Il retourna voir Wizz qui conversait avec Centinel et lui tendit le parchemin.

- Tiens, voici un petit mot de Floyanne. Tu peux le lire avec Centinel.

Il retourna parler avec ses convives.

De loin, il aperçu Aliena qui accueillait Pitch, la dame dont il avait fait connaissance cet après-midi même en taverne. Et selon le principe "les mais de mes amis sont mes amis" puisque Pitch était une amie de Mimi, elle était devenue une de ses amies aussi. Il répondit à son salut puis s'excusa auprès des personnes avec qui il parlait pour aller accueillir la brestoise.

- Pitch ! Noz vat ! Soyez la bienvenue. J'espère que vous allez bien profiter de toutes ces spécialités vannetaises. Mais je vous sens toute triste. Que vous arrive-t-il ? Vous avez des problèmes ? Y-a-t-il quelque chose que je puisse faire pour vous ? Si vous n'avez pas le cœur à faire la fête, je ne veux pas vous y obliger et je ne vous en voudrais pas, bien sûr.
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Pitchoune32

Pitch regardait les yeux un peu dans le vague tout ces gens qui s'amusait, elle en avait le tourni, elle aurait dû se sentir bien, elle aurait dû venir accompagnée, elle.....

- Pitch ! Noz vat ! Soyez la bienvenue. J'espère que vous allez bien profiter ...........Si vous n'avez pas le cœur à faire la fête, je ne veux pas vous y obliger et je ne vous en voudrais pas, bien sûr

Elle se retourna et vit le propriétaire de la maison, il était tellement avenant qu'elle réussit à laisser un sourire naitre sur son visage.

Oh Camillo, trugarez pour ces mots, je suis désolé de ne pas être d'une bonne compagnie ce soir, je n'aurais peut être pas du venir.

Disons que mon coeur saigne ce soir, et que l'enthousiasme de cette après -midi est disons.......envolée en voyant une certaine personne.

Peut être que je devrais vous laisser, ce soir c'est fête et non un moment de tristesse.
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Ex mairesse de Brest
100% Brestoise

Henri_de_plumaugat

- Mais je vous en prie voyons. Allons, cette soirée est pour réjouir les cœurs qui pourraient être blessés. Et puis si vous n'étiez pas venue, j'aurai eu de la peine aussi.Je suis désolé que vous ayez de la peine... Puis-je faire quelque chose ? Quelqu'un vous a donc fait du mal ? Je ne veux pas vous obliger à rester, mais si cette fête peut vous changer les idées, profitez-en. Sinon vous pouvez rester au jardin, tranquillement. Je vous apporterai à manger et à boire et si vous voulez nous pourrons parler un peu. Je serai obligé de faire quelques aller-retours quand même, mais je ne vous laisserai pas seule. Mais si vous préférez rentrer chez vous, je ne veux pas vous en empêcher.
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margot_wolback

La blonde se promenait parmi les invités. Elle ne savait trop quoi dire à Chimera, ne la connaissant suffisamment... Au vu de la tête de Pitch, les choses n'avaient pas tourné comme elle le souhaitait.
Margot soupire, les gens qu'elle aime ne sont pas heureux, et elle ne peut rien pour eux...
En déambulant parmi ses amis, elle ne peut s'empêcher de chercher le rat de bibliothèque... Elle s'en doutait, il n'est pas arrivé à se sortir de ses parchemins.

Elle se dirige vers le buffet, bien décidée à ne pas se laisser abattre par la morosité ambiante. Et puis demain, elle marie sa mère!!
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Centinel

Laissant Wizz un instant pour assouvir l’appelle de mon estomac, je rejoignit les autres au tour du buffet.
Margot baladé ces doigts fin autour d’un plat de pâtisserie je le regarda et hop..je la doubla sur sont choix.

-Hé hé ! Ce lui la c’est pour moi!

Surprise elle me regarda et se mis à rire

-bha oui margot faut êtres rapide quand y s’agit de bonne chose.

Lui faisant un grand sourire je lui rendu le gâteaux

-allais je te le rend y en plein d’autres!

Elle le repris aussitôt en riant, mon regard ce posa sur de drôles de petits baignés.

-hmmm! Sa ma l’air trop bon sa, en faite je vais me faire une assiette tient comme sa je goûte a tout!

Je pris donc une assiette et fis le tour du buffet, voila celle si étais bien pleine peut êtres trop même.
J’allai m’installer confortablement devant le grand feu de cheminer.
Regardant tout le monde discutaillé je croqué dans un fruit confie passant aussitôt a autres choses, c’étais très bon le salé sucré pour moi y a pas mieux me dis je.

-Hé Don.. Heu.. Henri, bravo hein je savais pour les grillades, mais… la pâtisserie tu m’épate.

Henri_de_plumaugat

Henri sourit au compliment fait par Centinel. Il se souvint tout d'un coup de cette soirée très simple à la Taverne de la Rose, mais si sympathique... Ah cette taverne, elle en aura vu passer des évènements de sa vie, et pas des moindres...

- Merci Centinel, c'est très gentil.
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Chimera

Une puis deux puis toute une foule de personnes s'étaient jointes à elles derrière la porte avant même. La petite Loanne même, affectueuse enfant qui ne cessait jamais de l'étonner. Aimante, toujours, malgré la mine affreuse qu'elle devait avoir. Les enfants sont comme ça, ils sentent parfois mieux les choses que le plus sage des adultes...
Et puis l'une d'elles -impossible de se rappeler qui- avait pris les devant et ouvert ladite porte. Accueil chaleureux, sourires, bonne chère, bonne bière, demeure spacieuse et coquettement aménagée... de quoi réjouir les coeurs les plus maussades.
Centinel les avait accueillis, puis Henri s'était précipité au devant de ses invités, saluant chacun par un mot gentil, digne des hôtes les plus légendaires... Il les avait salués tous... Elle la première. Qu'avait-elle donc fait pour mériter ça?
Elle avait posé une main pâle sur l'épaule du jeune vannetais.

Vos mots me touchent Henri. Nous avions autrefois, Mumia et moi, une demeure non loin d'ici. Simple et spacieuse... rien de comparable au château. Nous y sommes heureux, mais elle nous manque tout de même. Je devrais songer à la faire habiter, qu'elle ne soit pas envahie par les herbes et les insectes...
Je m'égare.
Loin de moi l'idée de débarquer avec ma smala pour venir perturber votre paix à vous en cherchant égoïstement la mienne, mais trugarez pour votre proposition, je saurai m'en rappeler. Elle a de la valeur, en tant que telle.
Elle avait incliné la tête, l'autorisant à prendre congé:
Allez, profitez de votre fête. Je reste dans les parages, vous avez d'autres invités à saluer.

La fête battait son plein. Une demeure vannetaise vivante comme on les aime, avec ses joies ses drames, un petit concentré de vie... Elle contemplait l'animation d'un regard légèrement distant, incapable d'invoquer cette bonne humeur qui la caractérisait pourtant. Le mieux de son possible aujourd'hui, n'était que quelques sourires aimables aux têtes connues, ou en réaction aux pitreries des uns des autres.
Elle resterait un peu encore, puis s'éclipserait...
En d'autres circonstances, elle aurait conté l'histoire de Buchet...
Peut-être en avait-elle besoin, après tout...
L'idée chemine, alors qu'elle se rend finalement auprès d'une Margot bien discrète et solitaire qui fait sa fête au banquet.

M'en laisserez-vous un petit peu? N'ayez crainte, je n'ai ces jours-ci que peu d'appétit, mais ce serait faire insulte à notre hôte que de ne pas toucher à toutes ces merveilles. Qu'avez-vous testé?
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margot_wolback

Citation:

M'en laisserez-vous un petit peu? N'ayez crainte, je n'ai ces jours-ci que peu d'appétit, mais ce serait faire insulte à notre hôte que de ne pas toucher à toutes ces merveilles. Qu'avez-vous testé?

Et voilààà!! Prise en flagrant délit de gourmandise...
La blonde rougit, rosit, bredouille...
Ahh... Mais.... Euh.... Bien sûr qu'il en reste Dame, Henri a prévu pour tenir au moins 3 jours!
Vous pouvez gouter ces petites gourmandises, elles sont délicieuses. Et là ces tranches de jambon sont d'une finesse...

Bon, elles ne vont pas discuter de mangeaille toute la soirée. Mais en même temps, ne pas remuer le couteau dans la plaie, Margot lit la tristesse dans les yeux de son interlocutrice. Un sujet, trouver un sujet!! Ahh mais oui....

Et dites moi alors, comment va se passer le mariage de Zabou et Oban? En quoi puis-je vous aider?
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Henri_de_plumaugat

Citation:

Vos mots me touchent Henri. Nous avions autrefois, Mumia et moi, une demeure non loin d'ici. Simple et spacieuse... rien de comparable au château. Nous y sommes heureux, mais elle nous manque tout de même. Je devrais songer à la faire habiter, qu'elle ne soit pas envahie par les herbes et les insectes... Je m'égare. Loin de moi l'idée de débarquer avec ma smala pour venir perturber votre paix à vous en cherchant égoïstement la mienne, mais trugarez pour votre proposition, je saurai m'en rappeler. Elle a de la valeur, en tant que telle.

- Si vous avez besoin d'aide pour la remettre en état, faites-moi signe, je n'ai pas encore perdu la main pour les travaux d'aménagement. Mais si c'est moi qui vous le propose de venir chez moi, ne vous en faites donc pas. Et puis, si la smala dont vous parlez est du même style que votre petite Loanne, ne vous faites pas de soucis. Vous devriez savoir pourtant que j'aime beaucoup les enfants, il paraît que c'est presque une légende à Vannes. Vous avez des responsabilités que je n'ai pas, si je peux vous en soulager quelques instants, j'en serai très heureux, je vous assure. Mais je ne veux pas m'imposer non plus dans votre vie.

Henri lui sourit. Il essaye de faire passer dans ce sourire tout son désir de se dévouer pour celle dont il a juré de défendre les couleurs quoiqu'il arrive. Son père lui avait appris à honorer son suzerain, il tenait à faire honneur à l'éducation donnée. Il lui avait appris la fidélité, celle pratiquée par tous les seigneurs de Tréveleuc, Henri avait fait le serment de ne pas être le premier à manquer à la parole donnée.

Henri, continua à s'occuper de ses invités, allant tous les voir, faisant connaissance avec les familles de tout un chacun, prenant des nouvelles des absents, et surtout se réjouissant de voir tous ces sourires sur les visages.
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Lastree

La fête ... Henri ... elle avait dit qu'elle passerait ... aussi c'est avec beaucoup de retard mais pas les mains vides qu'elle se présenta devant l'immense batisse qu'il occupait avec sa compagne.

Levant la tête, elle l'évalua du regard, sincèrement impressionnée par les travaux accomplis. Il avait dit vouloir une grande maison pour accueillir énormement d'enfants, il devait secrètement espérer en avoir une bonne douzaine au moins!

Il y avait du monde dans la maisonnée, elle entendait le concert des voix qui s'égayaient à l'intérieur, elle frappa, se demandant si elle serait entendue.
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Henri_de_plumaugat

Malgré toutes ses occupations, Henri restait attentif à ce qui pouvait se passer à la porte de chez lui. Il entendit frapper et vit dame Lastree hésiter à entrer malgré la porte grande ouverte. Il se dirigea vers elle :

- Mais entrez, dame Lastree, ne restez pas dehors. Venez vous restaurer et boire un bon verre.

Henri la précéda vers les buffets et lui désigna les différents plats qui s'y trouvaient. Il lui fit également servir un verre de bon vieux chouchen.
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Centinel

La soirée fut très agréable, mais la fatigue commencé à me gagné,
Je me dirigeai vers mon ami Henri..

-Henri, merci pour cette soirée je me suis bien régalé c’étais sympas

-je vais dire au revoir à tout le monde et je file, demain je me lever tôt encore

Je fit donc le tour des convives les saluant, et j’embrassai Wizz qui avais l’air fatigué elle aussi.

- tu devrez allais te reposé Wizz, sa va te faire du bien

Je la bisouilla encore, et enfila ma cape c’est les cheveux couvert que je quitta la grande demeure.
Je marché doucement, profitant du silence de la nuit jusque chez moi.

Lastree

- Mais entrez, dame Lastree, ne restez pas dehors. Venez vous restaurer et boire un bon verre.

Elle se laissa entrainer docilement vers le buffet, d'ailleurs elle avait grand faim et elle entendit son estomac protester énergiquement lorsque ses yeux se posèrent sur les mets, tous plus appétissants les uns que les autres ...

"Trugarez Henri pour votre charmante invitation, je vous ai apporté ceci ..."

Elle sortit de sa gibecière un flacon de verre, qu'elle lui tendit en souriant avant de s'expliquer:

"Ceci est un vin que j'ai rapporté d'un lointain séjour en Gascogne, il y a des années de cela. Je comptais l'offrir à une personne qui m'était chère mais ... l'occasion ne s'est pas présentée ..."

Elle ne pu s'empêcher de grimacer, ce devait-être un cadeau de mariage ... aujourd'hui, la vision même de cette bouteille lui était devenue insupportable et elle n'était pas mécontente de s'en débarrasser. Elle poursuivit:

"Il appellent cela du Floc, je crois que c'est un équivalent de notre Chouchen"

C'est à ce moment là que Centinel vint dire au-revoir à Henri et Wiss, la vannetaise en profita pour subtiliser un ... qu'était-ce d'ailleurs? Peu lui importait, c'était très appétissant et elle s'empressa de le porter à sa bouche.
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Henri_de_plumaugat

- Je vous en prie, dame Lastree. C'est à moi de vous remercier d'être venue. Et en plus, je dois vous remercier pour ce cadeau que vous me faites. Je suis désolé que vous n'ayez pas pu faire ce cadeau comme vous le prévoyiez... Allons, ne soyez pas triste, il ne faut pas.

Henri sourit à Lastree pour l'encourager. Il n'en revenait pas de voir autant de Vannetaises tristes. Ca lui faisait mal au coeur. Mais qu'y faire ? A part être aimable lui-même et ne chagriner personne, il ne voyait pas de moyen.
C'est à ce moment qu'arrive Centinel pour lui dire au revoir.

- Mais je t'en prie Centinel, tout le plaisir était pour moi. Alors reposes-toi bien et bon courage pour demain.

Puis, s'adressant à Wizz :

- Centinel a raison, ma chérie, va te reposer. Merci de ton aide et de ta présence.

Henri prit sa bien-aimée dans ses bras et l'embrassa tendrement. Il lui murmura à l'oreille :
- Je t'aime ma colombe...
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Centinel

A près m’êtres levé très tard ce matin et avoir servi quelques repas à la Rose, je commençais sérieusement à m’y ennuyé.
Je pris ma cape et mes petits louveteaux Ken et Avo, avec l’intention de me rendre à la plage histoire de leur faire dégourdir leurs petites pattes de velours.
Marchant a leur rythme je passé devant chez Henri, il étais en train de taillé des arbustes dans son parc.
Je le regardé et criais…

-hé ho!! Henri ta pas une tisane à m’offrir je m’ennuie!! je veux causé!

Je me mis à rire et me dirigea vers lui en essayant temps bien que mal de faire suivre les boules de poils.
Henri avais posé ces outilles et me regardé me démené à faire suivre la jeune troupe.

Henri_de_plumaugat

Entendant Centinel l'appeler, Henri s'arrêta et la regarda arriver.

- Une tisane ? Toi ? Serais-tu malade ? Mais si tu y tiens, entre, je vais te préparer ça. Tu veux que je donne à manger à tes petits louveteaux aussi ?

Henri en attrapa un dans ses bras, et tout en le caressant, il ouvrit la porte de chez lui, laissa passer Centinel puis rentra.

- Installe-toi pendant que je fais chauffer de l'eau. De quoi veux-tu qu'on parle ?
_________________

Centinel

Henri vient m'ouvrir le grande grille et m'invita à rentré,
Je pris le deuxième louveteau et le suivi à l’intérieur .

Citation:

- Une tisane ? Toi ? Serais-tu malade ? Mais si tu y tiens, entre, je vais te préparer ça. Tu veux que je donne à manger à tes petits louveteaux aussi ?

-Henri si je suis pas malade mais je sent que je vais pas tardé à l’êtres, en tout cas y fait meilleur ici.

-Tu sais Henri, j’ais un drôle de pressentiment pour Flo, j’ais comme l’impression qu’elle reviendras jamais.

Je baissa les yeux et laissa une larme glissée sur mes joues, quand Henri revient avec les tisanes, je séchât vite mon visage de sorte qu’il ne me voit pas.

-Et puis tu sais j’ais pas besoin d’excuse pour venir te voir, mais la fallais que je cause encore.

Henri me regardé et devais ce dire décidément je suis vraiment le confident de ces dames.
Mais moi il étais pas qu’un confident il étais un amis en qui j’avais confiance.
Je me saisie de la tasse de tisane qu’il me tendait gentiment…

-Merci Henri, et Wizz elle va bien ?

Henri_de_plumaugat

- Ah non, il ne faut pas être malade. Réchauffe-toi bien près du feu. Tiens, bois cette bonne tisane. Elle est faite à base des thuyas de mon jardin. C'est une vieille recette qui fonctionne très bien pour aider à lutter contre les refroidissements.

Citation:

-Tu sais Henri, j’ai un drôle de pressentiment pour Flo, j’ai comme l’impression qu’elle reviendras jamais.

- Allons, ne dis pas ça, elle nous l'a promis qu'elle reviendrait, et j'ai confiance dans sa parole. Et puis tu vois deux bisonnes se marier alors qu'il en manque une ? Tu plaisantes.

Henri sourit à Centinel pour essayer de la rassurer.

- J'espère bien que tu ne cherches pas d'excuses pour venir me voir, il ne manquerait plus que ça. Tu sais que ça me fait toujours plaisir de te voir et de parler avec toi.

Mais lorsque Centinel lui posa la question au sujet de Wizz, son visage se rembrunit un peu :

- Je ne sais pas, je n'ai aucune nouvelle depuis bien longtemps...

Henri disait cela tout en caressant la petite boule de poils qu'il avait dans les bras. Puis, secouant la tête, il se tourna de nouveau vers Centinel :

- Alors, comment vas-tu ? Toujours heureuse, j'espère ?
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Chimera

Et Chimera de se saisir des gourmandises recommandées, ainsi que de cette petite tranche de jambon fine dont Margot lui vante les mérites.

Et dites moi alors, comment va se passer le mariage de Zabou et Oban? En quoi puis-je vous aider?

J'ai déjà vos missions toutes prêtes, cela vous aidera de plus à vous familiariser avec le chateau et ses occupants.

Un regard autour d'elle. Lastree était ici également. Sourire à son intention. Chacun passait un agréable moment, elle y compris peut-être. Mais bien des choses se pressaient à la porte encombrée de son esprit, sentiment d'être dépassée qui se traduit par une fatigue et une lassitude carabinées. Un pâle sourire après avoir bavardé encore avec Margot et goûté un dernier plat du bout des lèvres.

Je ne vais pas tarder à rentrer. Vous saluerez Henri de ma part si je ne le vois pas?
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Henri_de_plumaugat

Henri était heureux car sa fête avait eu beaucoup de succès. Il s'était rendu compte aussi combien nombreux étaient ceux qui souffraient à Vannes. Il essayait de soulager par des paroles aimables ces souffrances souvent silencieuses, mais c'était souvent bien peu.

Le tournoi approchant, il ne voulut pas faire pâle figure devant tous les nobles chevaliers devant y participer. Il s'occupa tout d'abord de se trouver un cheval. Se promenant dans les alentours de sa propriété, dans le calme d'un matin, il en vit un venir boire à sa fontaine. N'en revenant pas, il s'en approcha. Mais le destrier s'enfuit au triple galop.

Plusieurs matins de suite, Henri répéta la même opération et le cheval finit par s'habituer à lui. Henri pu l'approcher, le caresser et finalement entreprit son dressage. Il le laissait tout le temps dans son jardin, ne voulant pas l'enfermer. Cependant, la porte de l'écurie était toujours ouverte, ainsi le cheval pouvait y entrer et se mettre au chaud comme il veux.

Soudain Henri se dit :
- Mais au fait, il faut que je lui trouve un nom...
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Henri_de_plumaugat

Ce soir là, Henri rentra chez lui dans un état complétement second. Il venait d'apprendre une terrible nouvelle : sa bien-aimée Wizz est morte. Qu'allait-il devenir sans elle ? Qu'allait devenir sa vie sans ce soleil qui l'illuminait...

Il ne laissa pas tomber tout ce qu'il faisait, il n'en avait pas le droit. Mais comment faire bonne figure dans une telle épreuve...??? Il ne voulait pas faire faux bond à Chimera, il lui avait promis.

Epuisé de tristesse et de chagrin, Henri se laissa tomber dans un fauteuil devant sa cheminée et regarda le feu briller, puis diminuer et enfin s'éteindre...
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Henri_de_plumaugat

Soudain, un pigeon se pose sur la fenêtre. Henri n'en crois pas ses yeux, c'est celui de... Mais oui, c'est celui de Wizz !!!!!! Comme un fou il se jette sur le pigeon et attrape le message.

Merci mon amuuur !! Je pars en retraite pour une semaine. A très bientôt, je t'aime de tout mon battant (coeur).

Je t'aimeuuuuu !!

Wizz.

Il n'en revenait pas. Mais alors ? Elle est bien vivante ? Pourquoi ? Comment ? Il ne comprenait plus rien. Mais le principal est qu'il pourra la serrer dans ses bras très bientôt.
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Centinel

Centinel ce leva très tard dans l’après midi, après c’êtres bien reposé de son voyage.
Elle se rendit chez Henri et cogna à la porte, Henri lui ouvrit avec un grand sourire.
Elle leva un sourcil et sans ce faire invité elle passa devant lui pour le taquiné et entra.

-ta reçu mes missive concernant Wizz?
-J’ais comme une impression de bonne nouvelles Henri je me trompe?
-bon alors tu me raconte!!

Puis elle s’installa confortablement sur le canapé avec petit sourire malicieux.
Centinel savais pour Wizz elle souriait amusé regardant le bonheur qui inondé le regard de son ami henri.
Elle aussi était soulagée, elle avait aussi reçu des ces nouvelles.

Henri_de_plumaugat

Entendant frapper chez lui, Henri alla ouvrir la porte et tomba nez-à-nez avec Centinel. Celle-ci entra chez lui sans plus de manière et s'installa tranquillement dans un de ses fauteuils.

Citation:

-ta reçu mes missive concernant Wizz?
-J’ais comme une impression de bonne nouvelles Henri je me trompe?
-bon alors tu me raconte!!

- Oui, j'ai bien reçu tes messages. J'en profite pour te remercier et pour ces messages, et pour nous avoir ramené Floyanne.
Non mais est-ce que tu imagine ? Vendredi soir, je vais voir à la mairie pour savoir quand était son dernier passage, et là qu'est-ce qu'on me dit ? Wizz est morte... Ca a été le coup de massue, j'ai bien cru devenir fou de douleur. 'est à ce moment-là que je t'ai envoyé mon premier pigeon car tu étais la seule vers qui je pouvais me tourner. Et tu n'étais pas là... Mais je ne t'en veux pas, bien sûr, puisque c'était pour la bonne cause.
N'y croyant pas, j'y suis retourné une deuxième fois, à la mairie, après avoir fait un tour de taverne, complètement hagard. On m'a confirmé de nouveau qu'elle était morte. Ivre de douleur et de chagrin, je suis rentré chez moi. C'est alors que j'ai reçu ton message me disant que Wizz était en retraite spirituelle. J'ai repris espoir et un messager de la mairie est venu me prévenir de cette nouvelle lueur dans mon existence. C'est alors que le pigeon de Wizz s'est posé sur ma fenêtre avec un message. Tiens, lis-le :

Citation:

Merci mon amuuur !! Je pars en retraite pour une semaine. A très bientôt, je t'aime de tout mon battant (cœur).

Je t'aimeuuuuu !!

Wizz.

Imagine ma réaction à la lecture de cette lettre !!! J'étais fou de bonheur. J'ai faillit perdre la tête une fois de plus.

Henri sourit.

- Deux chocs comme ceux-là laissent des traces... Enfin, le principal est qu'elle soit bien en vie. Mais dès son retour, je fixe avec elle une date de mariage, je ne peux plus supporter de ne pas l'avoir à mes côtés. Je sais, elle va râler et me trouver collant, mais tant pis. Je tiens trop à elle.

Et toi, ne souris pas comme ça, j'ai l'impression que tu te moques de moi.

Henri montra par un sourire qu'il ne pensait pas un mot de sa dernière phrase.
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Centinel

Bien installé dans le fauteuil j’écouté Henri, il avais une façon de parler qui m’amusé.
Je sentais dans sa voix qu’il étais vraiment heureux et qu’à ce moment la rien ni personne n’aurais pu le perturbé.
J’étais heureuse pour lui, il vivais un vrais un bonheur avec Wizz.
Puis il s’arrêta un bref instant en me regardant taquin et me dis…

Citation:

-Et toi, ne souris pas comme ça, j'ai l'impression que tu te moques de moi.

Faisant mine de rien je lui sourit bêtement et passa la main derrière mon do j’attrapas un petit coussin, discrètement je le ramena sur mes genoux et vlan!! Je lui envoyai en pleine figure pour le taquiner.

-dite donc vous ont cause pas ainsi à une grande dameuuuu!!!

J’éclata de rire en regardant les yeux rond qu’il faisais, et oui Henri aimais les gens qui savais bien ce tenir.
Mais avec moi c’était peine perdu, j‘avais une envie permanente et insatiable d’embêté mes amis.

Henri_de_plumaugat

Se prenant le coussin en plaine figure, Henri resta un moment interloqué, mais vu que la place du coussin était sur le fauteuil, il le réexpédia aussi sec à l'envoyeuse.

- Tiens ! Attrapes ! Tu ne te rends pas compte de ce que j'ai souffert. Maintenant on en rit, mais franchement je ne riais pas l'autre soir.

Dit-il en souriant.
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Centinel

Citation:

- Tiens ! Attrapes ! Tu ne te rends pas compte de ce que j'ai souffert. Maintenant on en rit, mais franchement je ne riais pas l'autre soir.

J’éclata rire en le voyant faire, je me saisi du coussin et le serras contre mon ventre hésitante à le renvoyé ou pas.

-je sais c’est pas marrant Henri, mais n’empêche que sa ramène à ce rendre compte de combien ont peut aimais une personne.

-bon allais l’ami je vais allez faire un tour au marché je dois y faire un petit achat pour Flo.

Je me mit a rire en pensent à floyanne, et me leva en lui renvoyant le coussin dans mon élan.
Il l’attrapa au vol comme si il se douté que j’allais lui renvoyé.

- hm bravo Henri rapide!

-bon allais je file a plus tard l’ami, bouge pas je connais la sortie.

Je ricané en douce de mon comportement taquin et pris la direction de la sortie.

Henri_de_plumaugat

- Oh, ne t'inquiète pas, je n'avais pas besoin de ça pour me rendre compte combien je l'aime. C'est simple, je ne vis pas sans elle... Quand elle n'est pas là, c'est horrible, c'est plus de la survie que de la vie.

Après avoir rattrapé le coussin, et voyant Centinel partir, Henri lui dit :

- Au revoir Centi. A bientôt sans aucun doute. Mais si tu crois que je ne vais pas t'accompagner, tu te trompes. On accompagne toujours les grandes dameuuuuuuuuu jusqu'à la porte.

Henri lui sourit l'air innocent.
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Centinel

Citation:

- Au revoir Centi. A bientôt sans aucun doute. Mais si tu crois que je ne vais pas t'accompagner, tu te trompes. On accompagne toujours les grandes dameuuuuuuuuu jusqu'à la porte.

Je m’arrêtât juste devant la porte me retourna et lui fit un grand sourire jusqu’au oreilles.

-Bien messire, je vous remercie de votre galanterie

Je le regardais m’ouvrir la porte et lui déposa une grosse bise sur la joue suivie d’un clin d’oeil amical, on se comprenait plutôt bien tout les deux.

-Au revoir Henri

Henri_de_plumaugat

Henri rendit son sourire à Centinel et lui fit aussi une grosse bise.

- Mais je vous en prie, Madame.

Et il s'inclina jusqu'à terre au passage de la grande dame.

- Au revoir Centinel.
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Henri_de_plumaugat

Durant toute la journée, Henri avait travaillé durement dans les bois. La transpiration mouillait sa chemise. En revenant de la forêt, Henri voulut passer par la plage pour respirer un peu l'air marin. Mais ce fut très imprudent de sa part. Il attrapa un gros coup de froid.

Revenu chez lui, il eu mal à la tête et sentit un accès de fièvre. Il se mit au lit et chercha le sommeil. Mais la nuit fut très agitée, les cauchemars se succédaient. Le matin, il ne put se lever. Son estomac refusait toute nourriture. Il resta donc au lit.

Cette maladie dura deux jours entiers. Ce n'est qu'après ce temps qu'il pu enfin se lever et manger un minimum pour reprendre des forces. Il pouvait enfin retourner voir ses amis.
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Centinel

Centinel passa assez tôt dans la matinée chez Henri, sa faisais un petit moment qu’elle apercevais plus dans son jardin.
Tout étais si calme ont aurais dis un jardin enchantée bercé par le champ des oiseaux.
Sur ment dormais t’il encore ce dis elle, alors pour ne pas le dérangé elle laissa un petit mot devant sa porte.

Henri_de_plumaugat

Sortant de sa maladie et pouvant enfin se lever, Henri se décida à faire un tour pour revoir ses amis. La lettre déposée par Centinel lui avait vraiment fait plaisir. L'amitié n'est pas un vain mot. Mettant son gros manteau sur ses épaules et serrant son écharpe autour de son cou, il sortit prendre l'air dans son jardin. Il aimait beaucoup flâner entre les arbres et les fleurs, surtout le matin quand tout est encore calme et paisible, que les gouttes de rosée font des toiles d'araignées dans les sapins des guirlandes multicolores lorsque les rayons du soleil viennent les chatouiller. L'âme d'Henri retrouvait alors tout son calme. Il se mit donc à réfléchir à tous les évènements de ces derniers jours. Puis, il prit la direction de la taverne de la Rose.
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Henri_de_plumaugat

Ces derniers temps, Henri ne sortait pas beaucoup de chez lui. Il était fatigué et avait même encore été malade. Son projet d'hôpital lui tenant aussi beaucoup à cœur, il avait commencé à faire quelques travaux dans sa maison pour accueillir tous ces petits bébés qu'il pourra recueillir ou qu'il aura à soigner. Il voulait qu'ils se sentent chez eux. Pas de grande salle avec tous les petits berceaux alignés comme dans une caserne, non, chacun sa chambre, bien décorée, bien illuminée par le soleil. Il fallait qu'il y ait de la joie de vivre pour ces enfants, surtout pour les orphelins.

Ce matin-là, Henri décida d'aller tailler ses rosiers, car comme dit l'adage : "Taille tôt, taille tard, mais surtout taille en mars". Et comme le temps était doux, il se dit qu'il n'y avait plus de risque de gelée. Il sortit tôt de chez lui et se mit à l'ouvrage. L'air frais du matin lui faisait le plus grand bien. Il respirait cet air marin à plein poumon. Cela le mettait toujours de bonne humeur. Il se mit gaiement à l'ouvrage.
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Centinel

Je m’étais levé à la traîne et avais quitté la Rose à toutes vitesses.
« Allais, allais centinel dépêche toi un peut » me parlent toute seul, y me fallais vite me rendre au moulin la ou une dame m‘attendais pour me racheté de la farine.
Quand j’aperçu Henri dans son magnifique parc en train de taillé ces rosiers.
On ce croisé pas beaucoup c‘est temps si et ne pouvant passé mon chemin sans allez le salué je m’avança vers lui.

-Coucou Henri, tu va mieux?

Henri_de_plumaugat

En entendant l'appel de Centinel, Henri faillit bien se couper à cause de la surprise.

- Oh, Centinel ! Ca me fait plaisir de te voir. C'est gentil de me faire une petite visite. Oui, je vais beaucoup mieux, merci. Je suis désolé de ne pas me montrer beaucoup en ce moment, mais je n'y peux pas grand-chose. Du moins, je fais ce que je peux pour aller mieux. Je me repose et je prends du bon temps dans mon jardin. Et toi ? Comment vas-tu ? Et comment va Flo ? Et Doo ? C'est promis, je tâcherai de mon montrer un peu plus.

Henri prit Centinel par la main et l'entraîna vers le petit étang derrière sa maison. il se pencha et cueilli deux nénuphars.

- Tiens, ils sont les premiers, je te les offre. Si tu as besoin de fleurs pour ton mariage, demande-moi. Le jardin en sera bientôt couvert.
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Centinel

M’entendant par surprise Henri sursauta et manqua bien de ce blessé.

- Oh, Centinel ! Ça me fait plaisir de te voir. C'est gentil de me faire une petite visite. Oui, je vais beaucoup mieux, merci. Je suis désolé de ne pas me montrer beaucoup en ce moment, mais je n'y peux pas grand-chose. Du moins, je fais ce que je peux pour aller mieux. Je me repose et je prends du bon temps dans mon jardin. Et toi ? Comment vas-tu ? Et comment va Flo ? Et Doo ? C'est promis, je tâcherai de mon montrer un peu plus.

-Je vais très bien moi et Flo et Doo et tout le monde va bien va bien quoi.
Je suis contente de te voir à nouveau en forme tu m’inquiété un peut.

Nous discutâmes un bon moment oubliant complètement mon rendez vous avec la dame.
Il faisait beau et rien de mieux que d’êtres dans un aussi bel endroit.
Henri me pris par la main et m’en mena voir l’étant caché au fond de son jardin derrière la maison.
Il se baissa et en cueilli de joli nénuphars qu’il m’offris gentiment.

- Tiens, ils sont les premiers, je te les offre. Si tu as besoin de fleurs pour ton mariage, demande-moi. Le jardin en sera bientôt couvert.

Je le regarda toute contente moi qui aimer temps les fleures j’avais un amis prêt en m’en couvrir.

-Ho merci Henri ils sont magnifique c’est nénuphars, t’es adorable.
Et pour le mariage pourquoi pas, mais dis moi t’auras des roses qui aurons éclos dans un moi?
J’aime les Roses Henri je veux plein de Rose!

Je mis à rire de ma demande et le bisouilla en le remerciant encore.

Henri_de_plumaugat

- Puisque tout le monde va bien, il n'y a pas de raison que j'aille mal, au contraire. Tu veux plein de roses dans un mois ? Ouh, ça va être dur... Je vais les caresser et les encourager tous les matins pour qu'elles poussent plus vite.

Henri répondit aux bises que lui fit Centinel et rit avec elle. Il paraissait heureux, mais Wizz lui manquait beaucoup...
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Centinel

Henri ce moquai de moi et ce mis a rire aussi me disant…

- Puisque tout le monde va bien, il n'y a pas de raison que j'aille mal, au contraire. Tu veux plein de roses dans un mois ? Ouh, ça va être dur... Je vais les caresser et les encourager tous les matins pour qu'elles poussent plus vite.

-Bha oui Henri les Roses elle aime bien la douceur et le soleil, et comme monsieur printemps tu vas bien t’en occuper.

Je me mis à rire encore décidément y en vais pas un pour rattrapé l’autre.
Je resta encore un moment avec lui à marché et a discuté.
Puis je repensai à la Dame que je devais rencontré.

-Hannn! Henri une Dame m’attendais au moulin pour de la farine elle à du prendre racine la pauvre.
Je vais devoir te laissais mon ami, je suis contente de t’avoir vu et occupe toi bien de mes fleures hein.
Henri passe à la Rose tu nous manque!

Je le bisouilla et repris vite le chemin du moulin.

Henri_de_plumaugat

- C'est promis Centinel, je ferai ce que je pourrai pour passer à la rose. Vous me manquez tous beaucoup.

Henri fit une bise à Centinel et la regarda s'éloigner. Puis il se remit à tailler ses rosiers. Il fallait qu'ils reprennent vite s'il voulait avoir les roses demandées par son amie.
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Floyanne

Cela faisait plusieurs semaines avait promis à Henri de passer le voir dans sa nouvelle demeure..mais à chaque fois un evenement imprévu retarde cette visite..Bien sur Flo s'en voulait...Henri avait toujours était là si elle avait besoin et à chaque fois il ne dmandait rien en retour tels un vrai ami

Elle savait qu'il avait été malade....elle esperait malgrés tous le trouver en bonne forme

Elle toqua à la porte et espéra qu'il ne soit pas à l'autre bout de sa demeure sinon il ne l'entendrait pas

TOc!!!TOc!! t'es là Henri ??? c'est Flo !!!!

Elle s'asseya sur les marches du péron esperant qu'Henri ne soit pas sortit et en profita pour observer les alentours[/i]
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Henri_de_plumaugat

Après le départ de Centinel, Henri continua de s'occuper des rosiers. Une fois la taille de ceux-ci achevée, il alla cueillir les primevères et les jonquilles qui commençaient à poindre leurs corolles. Il se dirigea ensuite vers sa maison.

Arrivé devant sa porte, quelle ne fut pas sa surprise de trouver son amie Floyanne assise sur les marches de son perron.

- Oh bonjour Flo ! Comment vas-tu ? J'espère que ça ne fait pas trop longtemps que tu es là... Viens, entre.

Disant cela, Henri poussa la porte de sa demeure et fit entrer son amie.

- Installe-toi, fais comme chez toi. C'est vraiment gentil de passer me voir. Veux-tu boire quelque chose ?
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Floyanne

Flo souria en voyant enfin arriver Henri

- Oh bonjour Flo ! Comment vas-tu ? J'espère que ça ne fait pas trop longtemps que tu es là... Viens, entre.

Coucou Henri !!! je vais bien comme tu vois..j'ai décidée de venir te rendre une petite visite ,depuis le temps que je te promets de passer

T'inquiètes pas je n'ai pas attendu longtemps..et puis ca m'a permis d'admirer le paysage

Flo le suivit à l'intérieur..l'impression qu'elle avait eue quand elle était venue y déposer un mot était la même .. c'était immense

Elle s'installa confortablement et laissa ses yeux vagabonder partout

Veux-tu boire quelque chose ?

Oui je veux bien .. je prendrais la même chose que toi Henri.. alors raconte ... avez vous fixer une date toi et wizz???

elle le regarda et lui adressa un qourire amical et taquin..elle savait Henri fou amoureux de wizz et elle savait que ce mariage représentait un bonheur immense pour son ami
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Henri_de_plumaugat

Citation:

Oui je veux bien, je prendrais la même chose que toi, Henri. Alors raconte... Avez-vous fixé une date, toi et Wizz ???

Henri referma la porte et partit dans la cuisine chercher une bouteille de chouchen et deux verres. Il déposa le tout sur le guéridon, remplit les deux verres, en tendit un à Flo et s'installa dans le fauteuil en face d'elle.

- Non, nous n'avons pas encore fixé de date précise. Mais ce sera vraisemblablement en avril, ou au pire en mai. Wizz pensait même au jour du printemps. Mais je lui ai dit que c'était quand même un peu juste pour faire les préparatifs. C'est drôle, je ne sais pas ce qui a pu la faire changer d'avis comme ça. Elle qui voulait attendre, maintenant elle veut qu'on aille vite. Elle est imprévisible, et c'est en partie pour ça que je l'aime. Elle est pleine de surprises.
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Floyanne

Flo trinqua avec son ami henri et écoutait son recit sur la péripétie des dates du mariage..flo souria..elle voyait dans les yeux de son ami milles et une lumieres y briller et cela faisait bien plaisir à voir

Tu sais tu ne devrais pas te poser autant de questions..je pense que si elle est désormais préssée.. c'est tous simplement qu'elle t'aime plus que tous et qu'elle est fière de devenir ta femme.. tu sais Henri les femmes sont compliquées.. parfois faut pas chercher à comprendre

Elle lui souria de nouveau et se leva..il était temps pour elle de rentrer à sa boulangerie..elle y avait encore tant de choses à faire..elle regrettais de toujours manquer de temps ..mais elle reviendrait une autre fois

ç a m'a fait tres plaisir de partager ce moment avec toi henri..malheureusement je dois déjà me sauver...je repasserais un autre jour si tu le veux..merci pour le verre Henri et à bientot

Elle le bizouilla bien fort et sortit de la demeure sans oublier de lui demander de bizouiller bien fort la bisonne
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Henri_de_plumaugat

Aux mots de Flo, Henri ne put s'empêcher de sourire. Compliquées les femmes ? Oh oui. Mais n'est-ce pas justement ça qui est formidable avec elles ? C'est que c'est tous les jours un nouveau défi à relever et la vie est pleine de surprises, jamais monotone.

- Si je le veux ? Mais voyons, tu es toujours la bienvenue, c'est toi qui viens quand tu veux. Si ça ne dépendait que de moi, nous resterions toujours tous ensemble, notre bon groupe d'amis... J'ai été très heureux de ta visite, merci beaucoup. A bientôt, sans doute.

Henri répondit à sa bise en lui en faisant une très grosse aussi.

- Ne t'inquiète pas pour Wizz, je l'embrasserai très fort. Merci pour elle.

Henri sourit, il était heureux.
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Henri_de_plumaugat

Cela faisait un moment que Henri ne sortait plus. Il n'était même plus au courant de ce qui se passait à Vannes. Mais il a décidé de se rattraper. Il avait promis à Flo de passer la voir, aussi prit-il son manteau et se dirigea-t-il vers la boulangerie de son amie.
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Centinel

Arrivant devant la demeure d’Henri tout semblé bien Calme, le soleil brillé encore mais pas d’Henri dans les parages étonnant pour un jardinier.
Je m’avançai doucement vers la porte et cogna dessus…

-Toc Toc t’es la Henri ?

J’attendis un moment mais sans réponse de sa part je rebroussai chemin en passant par la plage faire courir mes petits loups déjà bien grand.

Henri_de_plumaugat

Henri entendit frapper et appeler alors qu'il était dans l'arrière de la maison en train de faire les derniers travaux pour son hôpital. Il mit beaucoup de temps à venir ouvrir et ne vit plus personne sur le pas de la porte. Il entendit cependant des jappements qui venaient d'un peu plus loin. Il les suivit à l'oreille et aperçut Centinel avec ses deux petits loups.

- Centi, eh Centi, je suis là ! Excuses-moi, j'étais tout au fond de la maison.
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Centinel

Prête à me rendre à la plage j’entendis une vois m’appelé, je me retournai et aperçu Henri qui faisais de grands signes avec les bras.
Je me mis à rire et demi-tour toute…

-pas de chance pour vous mes petits grands la ballade s’arrête ici.

Je m’avancé vers Henri qui venez à ma rencontre, je le bisouilla et fis un grand sourire.

-Alors moi je viens te voir et toi tu compte les grenouilles ? Hm pas bien sa.

Ricanant comme à mon habitude je fis encore un petit sourire et lui dis…

-Henri ta pas un verre de quelque chose plutôt fort dans ta maison, j’ais soif !

Henri_de_plumaugat

- Allons, Centi, laisse tes deux petits loups dans le jardin, il est bien assez grand et ils vont pouvoir gambader tout leur saoul.

Les deux amis rentrèrent dans la maison.

- Je n'étais pas en train de compter les grenouilles, mais de faire des aménagements de l'arrière-maison pour notre hôpital. Tiens, d'ailleurs, viens voir.

Il la prit par la main et lui fit faire un tour de tous les aménagements.

- Allons boire un verre puisque tu as soif. Un ami d'Ecosse m'a envoyé un très bon whisky, tu veux essayer ?
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Centinel

J’avais quitté Henri après une visite guidé de son projet et un verre de quelque chose de plutôt fort mais qui me plaisais assez bien.
Il avait prévu de donné naissance à son projet des mon retour à Vannes, de belle chose étais en perceptive.
Henri étais un homme hors du commun, quelqu’un de très humble et plein de bonté en vers les autres et partagé ces idées avec lui me plaisais bien.
Quelque part ont se ressemblé beaucoup nos idées étais les même ont se comprenez.
Je rentré donc de mon voyage, après une petite mise en forme c’est la première personne chez qui je me rendis.
Arrivé devant chez lui avec une bonne bouteille sous le bras je frappai à la grosse porte…

-Toc !Toc ! Toc, Henri c’est Centinel ouvreuuuu ! Que je te serre dans mes bras tit frère tu me manque !!

Je foutée un vrai boucan devant chez lui les quelques passant qui passé devant s’arrêté et me regardé hurlé comme une sauvage.
Je les regardé aussi et pour finir mon insolence sauvage je leur tiré la langue en disant…

-quoi ? Qu’est ce qui à ? Ont à plus le droit de gueulé ou quoi !

Je me retournai et toca de plus belle à la porte toujours en criant…

-Henriiiiii !! Ouvreuuuu !!!

Henri_de_plumaugat

Henri avait passé les trois Jours Saints en retraite au monastère, et en avait bien profité pour assister aux belles cérémonies. Il revenait gonflé à bloc. En arrivant chez lui, il eût la bonne surprise de voir Centinel devant sa porte. Il courut pour la retrouver. Elle était partie depuis bien longtemps, trop longtemps. Henri s'était rendu compte encore plus combien il tenait à elle, combien il aimait cette grande sœur.

- Centinel ! Je suis là ! Oh ma grande sœur, ce que tu m'as manqué toi aussi...

Il la prit dans ses bras et la couvrit de bises. Il était si heureux de la retrouver enfin. Bras-dessus, bras-dessous, ils rentrèrent dans la maison. Henri ouvrit les fenêtres toutes grandes pour laisser entrer l'air chargé de senteurs printanières.
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Centinel

- Centinel ! Je suis là ! Oh ma grande sœur, ce que tu m'as manqué toi aussi...

Henri arrivais en courant de je ne sais ou, je couru vers lui et ce fut une pluie de bisouilles qui nous tombé dessus.
Il m’avait manqué comme manque heu…, l’eau aux poissons ! Je respiré en le voyant un vrai bonheur que d’êtres avec lui.

-J’étais prête à enfoncé la porte Henri !

Je me mis à rire et le suivi à l’intérieur comme deux enfants joyeux de se retrouver s’entremêlant sous les bras l’un de l’autre.

-Henri je suis trop mais trop contente de te revoir, j’ais comme l’impression que sa fait des mois que je suis parti.

Il se mit à ouvrir les fenêtres et je mis à le copié y en avais à ouvrir des fenêtres, y en avais par tout et le soleil se faisais présent dans toutes les pièces comme pour dire bienvenue.

-Alors Henri tu étais ou moi je chahuté devant ta porte comme une folle.

Henri_de_plumaugat

- Enfoncer ma porte ? Carrément ? Mais elle ne t'a rien fait !!!

Ils rentrèrent donc en riant.

- Où étais-je ? Mais là où je t'ai dit, en retraite. Il faut bien se refaire une santé spirituelle de temps en temps, non ? Mais c'est vrai que c'était dur de ne pas te voir... Comment s'est passé ton voyage ? Tu as fait tout ce que tu voulais ? Tout s'est bien passé ?
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Centinel

- Enfoncer ma porte ? Carrément ? Mais elle ne t'a rien fait !!!

Je lui fis un grand sourire haussa les épaules et lui répondis.

-Oui j’allais l’enfoncé, et elle ma rien fait à par m’empêché de rentré te cherché

- Où étais-je ? Mais là où je t'ai dit, en retraite. Il faut bien se refaire une santé spirituelle de temps en temps, non ? Mais c'est vrai que c'était dur de ne pas te voir... Comment s'est passé ton voyage ? Tu as fait tout ce que tu voulais ? Tout s'est bien passé ?

-Alors combien y a de curé la bas ? Par ce que moi je veux…

Je le regardais avec un sourire malicieux valais mieux pas que je demande la suite au risque de voir mon ami me fâché.

-Non rien finalement je veux juste savoir combien y en as ?

Je mis a ricanai et noyé le poisson en passant a autres chose

-Et moi bein rien j’ais baladé et me suis reposé aussi, et j’ais rien fait de ce que je voulais faire, pas le temps et de toutes façon…de toutes façon pas le temps voila.

Je lui fis un sourire et regarda le grand jardin par la fenêtre.

-Henri ont vois toute l’attention que tu porte à ton parc il est très baux.

Henri_de_plumaugat

- Combien il y a de moines ? Oh, ils sont une bonne vingtaine. Le monastère est très beau et très reposant. Il y fait un calme...

Henri sourit en écoutant Centinel parler du parc.

- Oui, je l'aime beaucoup, c'est mon havre de paix. Il y manque encore quelques petits animaux et ce sera parfait. Mais je dois m'en occuper ces jours-ci car les mauvaises herbes ont profité de mon absence et de l'alternance pluie/soleil pour envahir mes plates-bandes.
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Centinel

-Tu à raison Henri c’est la période des pluies et sa fait du bien aussi.

J’admiré le parc et je trouvé que sa faisais pas vilain moi, toutes ces herbes donné un air sauvage et naturel.

-Tu pourrais laisser un petit coin d’herbes haute dans ton parc sa fait joli aussi tu sais.

Je disais sa mais je savais bien que Henri étais bien trop soigneux pour sa, puis je détournai mon regard vers lui.

-ha quand même une vingtaine ! Sa va le…

-heu …sa va doivent pas s’ennuyé hein.

Je me mis à rire toute seul en redescendant du bord de la fenêtre, j’étais sur le point de dire une grosse bêtise dans la foulé encore.

-Si non y fons quoi de leur journée à part médité les moines?

Centinel

Et voila l’après midi ce passa tranquillement, je passé mon temps à pausé des questions mais Henri étais très patient avec moi.
C’est réponses se succédé sans jamais un « sa suffit sans est de trop !»
J’aimer son comportement calme et sa façon de rire de mes demandes sans se posé de questions a mon sujet.
Un ami un vrai qui me regardé comme une sœur de cœur et qui jamais ne me jugé.
Puis je finis par le quitté malgré moi, j’aimer bien sa compagnie, mais il était l’heure d’allez préparer le diné.
Je lui collai une grosse bisouille baveuse et dans un « je file plus le temps !! » je me dirigeai vers la sortie.

-à plus tard Henri !!

Henri_de_plumaugat

Après le départ de Centinel, Henri se sentit bien seul. Mais qu'y pouvait-il ? Il prit la direction de son jardin et s'allongea au soleil parmi les fleurs.
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Henri_de_plumaugat

Depuis quelques jours, Henri ne sortait plus beaucoup de chez lui. Il soignait son jardin qui commençait à prendre les couleurs du printemps. Les fleurs sortaient de terre et présentaient leurs belles corolles aux caresses bienfaisante du soleil. Les bourgeons sur les arbres avaient donnés depuis longtemps déjà leur feuilles d'un vert tendre.

Henri se dirigea vers ses rosiers et en vit quelques-uns en fleurs. Bien précoce ceux-là, se dit-il. Il coupa les prémices de la floraison pour les offrir à celle à qui il les avait promises. Mais comme il attendait de la visite, il coupa d'autres fleurs afin d'en faire des compositions qui donneront un peu de vie et de fraîcheur à sa maison.
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Lastree

[ De bon matin]

Elle avait dit qu'elle passerai avant son départ sans vraiment lui donner de jour exact, aussi ce matin là, voyant que le soleil s'appretait à leur offrir, une fois de plus une belle journée ensoleillée, elle décida de s'habiller avec soin et de se coiffer un peu, pour aller rendre visite à son ami Henri.

La distance qui séparait l'ancienne Bergerie où résidait Auria de la vaste demeure d'Henri, n'était pas très grande ... elle décida donc de s'y rendre à pied, profitant de l'air frais et des premiers rayons de l'astre solaire.

C'est donc les joues rougies par l'air vif et la marche, qu'elle se présenta au numéro un de la place de la reyne Sainte Nathan. Elle frappa.
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Henri_de_plumaugat

Ce jour-là, de bon matin, Henri entendit frapper à sa porte. Il ouvrit grand la porte et...

- Dame Lastree !!! Bien le bonjour. Je vous en prie, entrez.

Henri s'écarta et la laissa entrer. Il la conduisit dans le salon et lui présenta un fauteuil.

- Voulez-vous vous assoir ? Voulez vous prendre un petit quelque chose ? Je suis très heureux de vous voir. Vous savez que vous êtes vraiment ravissante...
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Lastree

Hélas, elle ne le savait que trop et elle supportait de moins en moins qu'on le lui fasse remarquer, sachant pertinemment que ce genre de compliments cachaient presque à tout coup des intentions inavouables.

Pourtant elle savait que venant d'Henri, le compliment était à la fois sincère et désintéressé, aussi l'accepta t-elle, se payant même le luxe de rosir un peu, juste ce qu'il fallait pour ne pas passer pour une infernale coquette.

"Trugarez Henri, votre hospitalité vous honore et vos compliments flattent la femme que je suis, même si je doute de les attirer encore longtemps avec ce ventre qui enfle un peu plus chaque jour."

Elle sourit, là encore elle savait que son état ne la rendait pas plus laide à ses yeux, mais elle ne pouvait s'empêcher de le souligner.
Elle observa l'intérieur de la pièce puis se tourna vers lui:

"Alors Henri ... Parlez-moi de ce projet qui vous tenait tellement à coeur"
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Modano_lancedragon

Modano inspecta la place Sainte Nathan, demandant aux soldats de la maréchaussée de se déployer.

"Faites moi un rapport, interrogez les gens que vous croiserez, demandez leur si ils ont été témoin de scènes intrigantes, ou inhabituelles."

Les soldats aquiescèrent face au dragon. Modano de son coté s'engagea dans une ruelle sombre qui débouchait par une voie sans issue, qui formait un cerle à son bout. Il y avait décidément de nombreuses cachettes à Vannes, suffisament pour y camoufler un passage secret vers un souterrain ou une cave qui pourrait faire office de quartier général.

L'enquête n'avançait guère, les soldats n'eurent pas plus d'ouverture que lui dans son allée. Il soupira et leur fit signe.

"C'est bon, on se regroupe, on continue."

La patrouille reprit le cours de son inspection nocturne.
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Henri_de_plumaugat

- Mais je vous en prie. Allons, la grossesse ne diminue jamais la beauté d'une femme, bien au contraire, elle l'épanouit.

Henri savait que sa grossesse lui pesait un peu, et il essayait de la lui rendre la plus supportable possible.

- Mon projet ? Mais vous en connaissez déjà les grandes lignes. Mais je vais tout vous raconter de nouveau. Vous savez que j'aime beaucoup les enfants, et surtout les bébés. Et j'ai constaté qu'il n'y a rien à Vannes pour les soigner. Il n'y a non plus aucune structure d'accueil pour ceux qui sont abandonnés et pour les mamans ou futures mamans en difficulté. Je me suis donc dit que je pourrais palier à ce manque en transformant l'arrière de ma maison. Elle est très grande, il y a donc de la place. Les transformations sont désormais terminées. Si vous voulez, nous pourrons aller les voir. J'ai suivi des cours de médecine, Centinel a accepté d'être infirmière et Gaedjin qui est herboriste, est aussi volontaire pour m'aider.
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Lastree

Elle écoutait avec attention, ravie de constater que ce projet prenait forme peu à peu, avec de beaux locaux, la passion d'Henri, le dynamisme de Centi et les talents de cette petite au nom si charmant ... ce n'était pas la première fois qu'elle entendait parler de la jeune herboriste et elle espérait pouvoir s'entretenir avec elle et sonder un peu son coeur pour déterminer si elle aimerai s'engager sur la voie de la Déesse.

Elle sourit et le félicita chaleureusement:

"Cela me semble très bien tout cela, j'ai grande hâte de pouvoir inaugurer l'ouverture d'un tel établissement avec vous tous. Je pense qu'il sera un atout pour notre ville et un véritable réconfort pour ces jeunes mères démunies ainsi que pour les orphelins qui dorment dans nos rues."

Elle fit une petite pause durant laquelle elle s'imagina l'endroit peuplé de rires d'enfants et de joyeuses cavalcades puis lui demanda:

"Quand pensez-vous commencer?"
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Henri_de_plumaugat

Henri sourit aux félicitations de Lastree.

- Merci beaucoup pour vos encouragements. Je pense commencer la semaine prochaine. Nous verrons si nous aurons beaucoup de travail. De toute façon, ce seront des enfants et des bébés, donc même si j'ai du travail par dessus la tête, ce ne sera pas trop pénible. Il faut que je trouve un nom à cet hospice, et je n'ai pas trop d'idées. Centinel m'en avait données, mais je les ai oubliées.
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Lastree

Trouver un nom ... bien sûr l'idée était bonne, cela contribuerai à rendre l'endroit plus chaleureux, elle lui répondit donc:

"C'est en effet une bonne idée Henri, il nous faudrait un nom breton évidemment ..."

Puisqu'elle devait être une des marraines du lieu, elle tenait à ce que leur culture figure en bonne place dans ce projet.

"Vous me direz quel nom vous convient et je tenterai de le faire traduire par un linguiste compétent."

La semaine prochaine ... elle devrait être encore là et elle se réjouïssait à l'idée de participer à l'ouverte d'un tel endroit.
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Henri_de_plumaugat

Henri réfléchit.

- Nous avions pensé à "Le nid des anges". Est-ce que ça vous va ? On peut traduire ça en breton ? Et que dites-vous de mercredi pour l'inauguration ?
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Henri_de_plumaugat

[Des jours et des jours plus tard]

Très pris par son hôpital et sa forge toute neuve, Henri avait un peu délaissé sa maison. Mais il était fiancé maintenant, et avec la plus merveilleuse des jeunes femmes de Vannes. Il était heureux comme jamais il ne l'avait été. Il allait bientôt se marier et pouvoir rendre heureuse une femme, son cher et tendre amour, Poupette. il fallait qu'il prépare la maison, qu'il aménage une chambre pour Therea, une jolie petite chambre où elle se sente bien. Il se mit au travail, profitant de la tranquillité de la fin de semaine.
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Pailettedargent

Pailette avait réfléchi à la proposition d’Henri, elle s’approcha de la demeure, un peu intimidée, un petit balluchon d’un bras et de l’autre sa petite Violette ainsi que sa chienne Orphée à ses pieds.
Elle observa sa fille, tout en avançant dans l’allée :

Et bien, mon petit cœur, qu’est ce que je ne fais pas pour toi, tout de même…J’espère juste qu’on ne va pas le déranger …Tu sais, avant ta naissance, Muse et moi lorsqu’on voyageait, on s’endormait n’importe où !

Elle sourit, en se souvenant d’un jour où elle avait retrouvé Muse dans un buisson, endormie ou plutôt entrain de cuver !

Pailette monta les quelques marches du perron, la nuit venait de tomber sur Vannes.
Elle hésita un instant, contemplant le paysage aux alentours.

Elle prit sa respiration profondément, posa son balluchon à ses pieds et frappa à la porte.
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Henri_de_plumaugat

Henri était assis devant une porte-fenêtre de sa maison en train de contempler les fleurs de son jardin qui, doucement, s'ouvraient les unes après les autres. Soudain il entendit frapper à la porte. Il se leva et alla ouvrir. Et quelle ne fut pas sa surprise de trouver Pailette et son si joli bébé.

- Oh Pailette ! Mais entrez, entrez.

Henri s'effaça pour la laisser rentrer.

- Je suis heureux que vous soyez là. Voulez-vous coucher Violette ? J'ai une chambre de bébé tout prête à l'étage. Je peux aussi lui descendre un berceau ici pour qu'elle soit près de vous. C'est comme vous voulez.
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Pailettedargent

Citation:

- Oh Pailette ! Mais entrez, entrez.

Pailette prit son balluchon et entra dans la vaste demeure.

Citation:

- Je suis heureux que vous soyez là. Voulez-vous coucher Violette ? J'ai une chambre de bébé tout prête à l'étage. Je peux aussi lui descendre un berceau ici pour qu'elle soit près de vous. C'est comme vous voulez.

-Bonsoir Henri...Oui ,Violette tombe de sommeil...

Elle jeta un oeil sur la petite en souriant

-Je vais la garder près de moi pour l'instant,ce petit trésor est un peu énervé en ce moment...peut être l'air de la mer?!

Pailette serra Violette contre elle pour la bercer tendrement...
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Henri_de_plumaugat

Henri regarda aussi le petit bébé en souriant.

- Bien sûr. Voulez-vous boire quelque chose ? Qu'est-ce que je peux vous préparer à manger ? Est-ce que la petite n'aime pas certaine choses ?
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Pailettedargent

-Non,merci Henri...J'ai mangé il y a peu et Violette,pour l'instant est encore au lait...Euh...par contre,je souhaiterais me rafraîchir,si celà ne vous dérange pas...

Paillette regarda autour d'elle

-Votre maison est magnifique!
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Henri_de_plumaugat

Henri sourit :

- Je me doute bien qu'à une semaine et demie, Violette soit encore au lait. Ce que je voulais dire c'est qu'il y a peut-être des aliments qui passant dans le lait ne lui font pas de bien, ça arrive. Vous rafraîchir ? Mais bien sûr. Que voulez-vous ? J'ai de l'eau tout court, bien sûr, et puis des infusions diverses à la menthe, au thuya, à la citronnelle. Je les fais avec les plantes de mon parc que je fais infuser et ensuite je les laisse refroidir. J'ai aussi quelques cerises.
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Pailettedargent

Citation:

- Je me doute bien qu'à une semaine et demie, Violette soit encore au lait. Ce que je voulais dire c'est qu'il y a peut-être des aliments qui passant dans le lait ne lui font pas de bien, ça arrive

Pailette sourit,en pensant:
Hummm...Réfléchis un peu plus Pailette çà te fera pas de mal!

Citation:

J'ai de l'eau tout court, bien sûr, et puis des infusions diverses à la menthe, au thuya, à la citronnelle. Je les fais avec les plantes de mon parc que je fais infuser et ensuite je les laisse refroidir. J'ai aussi quelques cerises.

-Au thuya?...On peut faire des infusions avec?...Et bien,je ne le savais pas!...Je veux bien y goûter!...Vous avez beaucoup de plantes dans votre parc?...Et sont-elles toutes comestibles ou utiles comme pour faire des baumes ou autre?

Pailette sourit en rougissant légérement

-Désolé...Je suis de nature curieuse..
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Henri_de_plumaugat

- Oui, on peut faire des infusions au thuya. C'est un remède contre le scorbut. Mais c'est aussi très bon, un peu amer, mais bon. On a l'impression d'être dans une magnifique pépinière tellement c'est parfumé.

Henri alla chercher un broc et deux gobelets. Il servit une rasade à Pailette et en prit une aussi.

- Effectivement, j'ai beaucoup de plantes dans le parc. Toutes ne sont pas utiles ou comestibles, non, mais certaines le sont. Quelques-une sont là depuis longtemps, d'autres viennent d'être plantées soit par moi, soit par Gaedjin depuis l'ouverture le l'hôpital. J'ai quand même laissé une partie du parc un peu sauvage, ça me permet de voir de temps en temps des animaux s'y promener.

Citation:

- Désolé... Je suis de nature curieuse...

- Mais je vous en prie, il n'y a pas de mal. De toute façon, j'aime bien parler.
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Pailettedargent

Pailette prit le gobelet en le remerciant,elle le porta sous son nez pour humer l'infusion.

-Ohhh c'est incroyable cette odeur!

Elle trempa ses lèvres pour goûter la boisson

-Ah oui..un peu amer...mais c'est pas mauvais du tout!

Citation:

J'ai quand même laissé une partie du parc un peu sauvage, ça me permet de voir de temps en temps des animaux s'y promener.

-Des biches?...

Le regarde avec des yeux d'enfant

-...Elles vont avoir leurs faons!...Vous en voyez?
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Henri_de_plumaugat

- Non, la maison est trop proche de la ville pour pouvoir apercevoir des biches. Mais une de mes amies a une cabane dans les bois de laquelle on peut certainement en voir à l'aube. Par contre, il y a régulièrement des écureuils, toutes sortes d'oiseaux. Un vrai plaisir pour les yeux et les oreilles. Il m'arrive de me lever très tôt, alors que le soleil n'est pas encore levé et de me poster dans un endroit bien tranquille de mon jardin pour assister au réveil de la nature. C'est un spectacle fascinant...
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Pailettedargent

-Saviez vous que les écureuils font des réserves pour l'hiver un peu partout,dans différents endroits car ils ont une tête de linotte et ils oublient leur cachette?

Pailette sourit en pensant aux écureuils,toujours entrain de faire les fous de branche en branche.

-La nature,nous offre tellement de choses magnifiques,un spectacle inédit à chaque représentation!
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Henri_de_plumaugat

- J'en avais entendu parler, mais sans plus. Mais alors toutes ces graines doivent germer et pousser au printemps ? C'est vraiment un animal plein de surprises cet écureuil. Je les aime beaucoup. Mais pas moyen d'en apprivoiser un seul. J'essaye depuis longtemps pourtant. Il y en a un qui se rapproche plus que les autres, mais il reste très craintif.

Citation:

- La nature,nous offre tellement de choses magnifiques,un spectacle inédit à chaque représentation !

- Oh oui... Voulez-vous que je vous réveille demain à l'aube pour que vous puissiez les voir ?
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Pailettedargent

Citation:

- Oh oui... Voulez-vous que je vous réveille demain à l'aube pour que vous puissiez les voir ?

-Oui,volontiers!...Et peut-être qu'on pourrait installer un petit tas de noisettes pour attirer cet écureuil un peu curieux?

Pailette lui adressa un sourire,elle avait hâte de voir ces petits boules de poils courir partout ainsi que le reste de la faune et de la flore du parc.
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Henri_de_plumaugat

Henri sourit.

- D'accord. Comme cela nous pourrons raconter nos péripéties matinales à votre sœur et son ami le soir autour du feu. Je peux demander à Bonne Maman de venir surveiller Violette Pendant ce temps. C'est une femme d'expérience qui m'aide à la maternité. Par contre, je n'ai plus de noisettes, et ce n'est pas vraiment la saison. Nous mettrons des fruits, je crois qu'ils aiment ça aussi.
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Pailettedargent

Citation:

Je peux demander à Bonne Maman de venir surveiller Violette Pendant ce temps. C'est une femme d'expérience qui m'aide à la maternité

-D'accord,si elle vous aide,c'est qu'elle est une Dame de confiance!

Citation:

Nous mettrons des fruits, je crois qu'ils aiment ça aussi.

-Oui,se sont des gourmands!...D'ailleurs ce ne sont pas les seuls...

Pailette sourit et pensa à son enfance avec Muse quand elles allaient grimper aux cerisiers ou quand elles envoyaient Maël piquer les fraises du voisin.
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Henri_de_plumaugat

- Oh oui, c'est une dame de confiance. Je le préviens alors. Ils ne sont pas les seuls à être gourmands ? Qu'est-ce que cela veut dire ? Vous voulez goûter aux cerises de mon jardin ?

Henri la regarda d'un air malicieux.
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Pailettedargent

Citation:

Ils ne sont pas les seuls à être gourmands ? Qu'est-ce que cela veut dire ? Vous voulez goûter aux cerises de mon jardin ?

Pailette le regarda en affichant un grand sourire.

-J'avoue que mon deuxième défaut après la curiosité c'est bien la gourmandise...ou bien c'est le premier?...

Elle se mit a réfléchir un instant...Puis elle leva une main

-Euhhhh...Par contre,je ne suis pas contre de goûter les cerises de votre jardin!...

Pailette se mit à rire
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Henri_de_plumaugat

Henri rit de bon cœur avec elle de cet aveu naïf et alla chercher les cerises. Il posa le plat entre eux deux avec un plat pour les noyaux. Ils mangèrent les délicieuses cerises, gorgées de jus et de sucre, tout en devisant gaiement.

- Vos présences à toutes les deux sont un véritable rayon de soleil dans cette grande maison vide. Je vous remercie de tout coeur d'avoir accepté mon invitation.
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Pailettedargent

Pailette savoura les cerises,elles étaient comme elle les aimait,croquantes et sucrées.

Citation:

- Vos présences à toutes les deux sont un véritable rayon de soleil dans cette grande maison vide. Je vous remercie de tout coeur d'avoir accepté mon invitation.

-C'est à moi de vous remercier,vous n'étiez vraiment pas obliger de nous inviter.C'est très aimable de votre part...J'espère pouvoir vous rendre service un de ces jours,en échange de votre bonté.

Tout en parlant,Pailette avait prit des cerises qu'elle mit au dessus de ses oreilles comme des boucles d'oreilles.
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Henri_de_plumaugat

- Oh mais je vous en prie. Ces boucles d'oreilles vous vont très bien, je vais voir si elles ont le même effet sur moi.

Et Henri se mit aussi des cerises sur les oreilles en riant avant d'aller se regarder dans un miroir.

- Bof...
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Pailettedargent

Citation:

Ces boucles d'oreilles vous vont très bien, je vais voir si elles ont le même effet sur moi.

Pailette l'observa en souriant se mettre les cerises aux oreilles.

Citation:

- Bof...

-...Mais non pas ''bof''...,Pailette se retient de rire,çà donne un certain style...Un style ...Comment dire...euh...Un style quoi!

Elle se mit à rire en le voyant se retourner vers elle,les cerises suivant ses mouvements de tête.

-Ne sortez pas comme çà,sinon les écureuils ne vont pas venir!

Pailette pleurait de rire en imaginant la situation.
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Henri_de_plumaugat

[Le lendemain matin, très tôt]

Alors que le soleil commençait à peine à éclaircir le bleu du ciel nocturne, Henri alla gratter à la porte de la chambre de Pailette et chuchota pour ne pas réveiller Violette :

- Pailette ! Pailette ! Les écureuils nous attendent !
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Pailettedargent

Pailette dormait profondement quand elle entendit:

Citation:

- Pailette ! Pailette ! Les écureuils nous attendent !

Elle sortit la tête de l'oreiller,se leva doucement pour ne pas réveiller la petite et sur la pointe des pieds,alla se changer vite fait.
Elle se dirigea vers sa fille et lui murmura:

-Je reviens très vite mon Ange...T'inquiètes pas, bonne maman n'est pas loin pour veiller sur toi.

Pailette alla rejoindre Henri en souriant.

-Demat Henri!...Comment allez vous de si bon matin?...Je suis prête,on peut y aller!
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Henri_de_plumaugat

- Demat Henri !...Comment allez vous de si bon matin ?...Je suis prête, on peut y aller !

- Demat Pailette ! Ca va, et vous ? Bien dormi ? D'accord, alors allons-y.

Henri fit signe à Pailette de le suivre et l'emmena dans le fond de son parc après avoir pris le plat de cerises. Henri le posa dans une petite clairière puis ils s'installèrent confortablement contre un arbre, et regardèrent les premiers rayons de soleil caresser le ciel puis la cime des arbres. Les toiles d'araignées resplendissaient de mille arcs-en-ciel grâce aux gouttes de rosée posées délicatement sur leurs fils. Les fleurs ouvraient délicatement leurs corolles et s'épanouissaient en jetant mille feux. Quelques oiseaux s'abreuvaient de la rosée matinale aux creux des feuilles. Les premiers papillons virevoltaient, déroulant leurs trompes pour pomper le suc des fleurs ou un peu de rosée. Quand tout à goût... Un bruit, plus exactement un grattement fit s'envoler les oiseaux. Pailette et Henri ne bougèrent plus et attendirent... Et soudain il apparut...

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Pailettedargent

Citation:

- Demat Pailette ! Ca va, et vous ? Bien dormi ? D'accord, alors allons-y.

-Oui,je vais bien et j'ai bien dormi,merci.

Pailette suivit Henri dans le fond du parc.Elle s'appuya contre un arbre et observa la nature s'éveillait lentement.

-C'est si beau!...Si paisible

Un grattement...Il était là,non loin d'eux...Méfiant mais gourmand,il s'approcha doucement des cerises,levant son petit nez vers eux,il sentait leur présence...L'écureuil hésita un moment ,les fixant de son air polisson,il prit une cerise entre ses pattes et commença à la grignotter.
Pailette sourit en le voyant faire,attendrie par ce spectacle,elle se pencha doucement vers Henri,pour ne pas effrayer l'écureuil, murmurant:

-Il est trop mignon!
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Henri_de_plumaugat

- Oui, c'est très tranquille. Vous comprenez pourquoi j'aime cet endroit.

Henri lui sourit puis regarda l'écureuil se saisir d'une cerise et la grignoter tranquillement. Impossible de s'arracher à un tel spectacle.

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Pailettedargent

-Ah oui,je comprends!

Pailette,trop curieuse comme à son habitude,avança sa main,un peu vers l'écureuil,tout en douceur pour ne pas l'effrayer...Il s'arrêta de manger,aux aguets,sentant sa main de loin.
Elle n'osa plus bouger,de peur qu'il s'enfuit.
L'écureuil sentant qu'il n'y avait pas de danger,continua son petit festin,tranquillement.
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Henri_de_plumaugat

Henri regarda Pailette avancer la main vers le petit animal et celui-ci s'arrêter de grignoter. Puis le petit écureuil, rassuré, continua de se nourrir des cerises.

- Il a moins peur de vous que de moi.

Henri lui sourit.
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Pailettedargent

Pailette lui sourit,elle lui prit la main en l'approcha de l'écureuil qui s'arrêta net de manger ,se dressant sur ses pattes arrière,le regard inquiet vers eux.
Ne plus bouger...L'écureuil était trop sur ses gardes,le moindre bruit et il allait s'enfuir.
Un moment passa...L'écureuil observait les cerises puis eux,que devait il faire?...Pailette aimait s'imaginer ce que pouvait se dire les animaux..

-Henri...Tendez lui une cerise. Il va peut être la prendre...
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Henri_de_plumaugat

Henri frémit au contact de la main de Pailette mais se laissa faire. Comme elle le lui demandait, il prit une cerise, tout doucement, et l'approcha de l'écureuil qui les regardait avec ses petits yeux légèrement craintifs.
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Pailettedargent

Pailette regardait la cerise dans la main d'Henri,l'écureuil aussi d'ailleurs!
Il approcha son petit museau de la main,tout en gardant ses pattes arrière loin de son corps près a s'enfuir à la moindre alerte.
D'un mouvement rapide,inattendut,l'écureuil arracha la cerise de la main d'Henri,et se sauva dans la clairière.

-Et bien,il a osé!..C'est déjà une bonne chose,il commence à prendre confiance en vous.

Pailette cueilla une fleur l'accrochant dans ses cheveux.
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Henri_de_plumaugat

Henri fut très surpris que l'écureuil osa prendre la cerise qu'il tenait dans sa main.

- Oui, il a osé, mais il est parti. Il ne nous reste plus qu'à finir les cerises qu'il a laissé.

Henri rapprocha le plat d'eux. Il regarda en souriant Pailette mettre une fleur dans ses cheveux.

- Ca vous va très bien, vous êtes ravissante. Une fleur venant en couronner une autre...
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Pailettedargent

Citation:

- Ca vous va très bien, vous êtes ravissante. Une fleur venant en couronner une autre...

Pailette rougit légérement,et s'attaqua aux cerises,jetant les noyaux dans l'herbe

-Bientôt pleins de petits cerisiers pointront leur nez ici!

Elle se mit à rire,se laissant tomber dans l'herbe,observant la course des nuages.

-Cet endroit est si paisible...
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Bientôt pleins de petits cerisiers pointeront leur nez ici !

- Oui, comme si un écureuil avait oublié une de ses caches.

Citation:

- Cet endroit est si paisible...

- Comme je vous disais, j'y viens régulièrement, le matin. Mais aussi en fin de soirée. Cela me repose. On y est bien. Les samedis et les dimanches, je passe le plus clair de mon temps ici.
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Pailettedargent

Citation:

- Oui, comme si un écureuil avait oublié une de ses caches.

Pailette sourit à cette idée.

Citation:

- Comme je vous disais, j'y viens régulièrement, le matin. Mais aussi en fin de soirée. Cela me repose. On y est bien. Les samedis et les dimanches, je passe le plus clair de mon temps ici.

-Je vous comprends...J'adore cet endroit...A Fougères,nous avons un lac,je m'y rends régulièrement,il est magnifique,le matin de bonne heure,la brume se trouve encore dessus,se levant doucement pour laisser apparaitre le paysage ...C'est simplement magique!...Et le soir ,la lune veille sur le lac ,se reflétant dedans ,on a l'impression que l'eau s'anime de milliers de diamants...Le silence est tel que çà en est presque impressionnant...On se sent si petit,si vulnérable face à la beauté de cette nature.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Je vous comprends... J'adore cet endroit... A Fougères,nous avons un lac, je m'y rends régulièrement, il est magnifique, le matin de bonne heure, la brume se trouve encore dessus, se levant doucement pour laisser apparaitre le paysage... C'est simplement magique !... Et le soir, la lune veille sur le lac, se reflétant dedans, on a l'impression que l'eau s'anime de milliers de diamants... Le silence est tel que çà en est presque impressionnant... On se sent si petit, si vulnérable face à la beauté de cette nature.

- A vous entendre, on s'y croirait. Il faudra que je vienne m'en rendre compte par moi-même un de ces jours. C'est un motif suffisant pour un voyage. Et comme ça je viendrai vous voir là-bas, toutes les deux. La nature est vraiment belle, oui, et si diverse...
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Pailettedargent

-J'en serais ravie de vous recevoir à Fougères...

Pailette lui sourit et se leva d'un bond.

-Je vous propose de faire la course jusqu'à votre demeure!..Le premier arrivait..Euh...Bah il gagne!...D'accord?

Elle le regardait en souriant d'un air malicieux.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- J'en serais ravie de vous recevoir à Fougères...

Henri lui sourit.

- C'est très gentil à vous.

Citation:

- Je vous propose de faire la course jusqu'à votre demeure !... Le premier arrivé... Euh... Bah il gagne !... D'accord ?

- D'accord, mais je ne suis pas rapide à pied, je préfère le cheval. Enfin... Je vais essayer. A vous l'honneur de donner le signal.
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Pailettedargent

Citation:

- D'accord, mais je ne suis pas rapide à pied, je préfère le cheval. Enfin... Je vais essayer. A vous l'honneur de donner le signal.

-Je préfére le cheval aussi mais bon..à pied,c'est pas mal non plus!...
Bon ...Vous êtes prêt?...Alors ...Attention...3...2...1...Partez!!!!

Pailette se mit à courir vers la demeure,se retournant pour voir si Henri suivait.
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Henri_de_plumaugat

Après le signal de Pailette, Henri se mit à courir aussi. Mais il ne parvint pas à rattraper la jeune femme. Il arriva haletant à la maison. En riant il dit à Pailette :

- Vous avez gagné. Pfiou... Il y avait longtemps que je n'avais couru. Bon, je vous laisse aller vous occuper de votre petite fille. Pour ma part, je vais me mettre aux fourneaux pour préparer le dîner de ce soir avec Xéres et Muse. Je pourrai enfin vous raconter l'histoire promise.
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Pailettedargent

Pailette le regarda arriver sur le seuil de la porte en riant:

-Oui...Celà doit faire longtemps...

Elle rentra dans la maison

-Je file m'occuper de Violette,si vous avez besoin d'un coup de main pour le repas,n'hésitez pas à m'appeler!
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Henri_de_plumaugat

- D'accord, je vous ferai signe.

Laissant Pailette aller s'occuper de sa merveilleuse Violette, Henri se dirigea vers son garde-manger pour sortir la nourriture. Il se demandait ce qu'il allait bien pouvoir préparer pour ses invités. Ah oui, bien sûr, de la viande pour le carnassier Xeres. Alors Henri prépara un petit buffet avec de la viande, des fruits et des légumes.

Puis il prépara une assiette pour chacun.

Il manquait un petit quelque chose, mais quoi ? Ah mais oui, bien sûr, des fleurs. Henri prit un de ses couteaux et alla cueillir quelques beautés de son jardin.

Tout étant prêt, Henri s'installa dans un fauteuil pour se reposer un peu et observer son jardin.
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La_muse

Muse arriva chez Henri, main dans la main avec Xeres.
Elle était heureuse d'aller diner chez ce charmant garçon qui avait gentiment proposé à Pailette de l'héberger le temps de leur séjour à Vannes. Séjour qui s'éternisait, c'est que les frangines se sentaient bien ici !

Elle marchait à pas lent, tout en discutant avec son chou. Une bonne odeur se dégageait de la maison, ils allaient se régaler et passer une bonne soirée, elle en était persuadée, d'autant plus qu'Henri devait leur conter une de ses histoires, et curieuse comme une belette, elle n'oublierait surement pas lui rappeler.

Ils arrivèrent tous deux devant la porte, Muse frappa et attendit qu'on vienne leur ouvrir.
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Henri_de_plumaugat

Entendant frapper, Henri appela :

- Pailette, on vient de frapper, je pense que ce doit être Muse et Xeres !

Puis il se dirigea vers la porte qu'il ouvrit toute grande.

- Entrez ! Entrez ! Soyez les bienvenus chez moi. J'ai installé la table dehors, j'espère que ça ne vous gène pas. Il fait si bon.
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Pailettedargent

Pailette préparait Violette

-Tata Muse ne va plus tarder...

Citation:

- Pailette, on vient de frapper, je pense que ce doit être Muse et Xeres !

-Ahhh!Tu vois mon Trésor!...Tata est toujours à l'heure!

Pailette embrassa sa fille ,la prenant dans ses bras,elle alla rejoindre Henri à la porte pour accueillir sa soeur et Xeres.

-Coucou vous deux!!!!
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La_muse

Muse entra devant Xeres.

Noz vat, vous deux ! Trés bonne idée d'avoir mis la table dehors, nous allons pouvoir profiter de la vue de votre jardin tout en écoutant vos histoires.

C'était plus fort qu'elle, curieuse et impatiente, il avait fallu qu'elle lui rappelle d'entrée.

Elle tendit un panier à Henri...

Je me suis dit qu'une bonne bouteille de vin vous ferait plaisir. Et je tenais encore à vous remercier de nous avoir conviés à votre table. *sourit*

Elle s'approcha de sa soeur, embrassa sa nièce et tendit les bras pour la prendre un peu.

Je peux ?
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Pailettedargent

Citation:

Je peux ?

-Humm...Sais pas..Laisse moi réfléchir....Mais ouiiiiii!Biensûr!

Pailette lui déposa Violette dans les bras.
La petite ouvrit les bras par le changement de bras et referma ses petits poings.
Pailette se tourna vers Henri et lui sourit

-J'ai hâte aussi d'entendre vos histoires!
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Je me suis dit qu'une bonne bouteille de vin vous ferait plaisir. Et je tenais encore à vous remercier de nous avoir conviés à votre table.

- Oh, c'est très gentil. Mais tout le plaisir est pour moi. Je suis désolé d'avoir du remettre ce dîner de jour en jour. Vous deviez bouillir d'impatience pour l'histoire. Saurez-vous attendre le petit digestif devant la cheminée ou dois-je la raconter pendant le repas ?
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La_muse

Citation:

Saurez-vous attendre le petit digestif devant la cheminée ou dois-je la raconter pendant le repas ?

eh bien, heuuu...

Muse se gratta la tête

C'est à dire, que je suis à la fois curieuse et impatiente, donc, j'avoue que de vous entendre durant le repas serait bien plaisant, mais, pour une fois, je vais être raisonnable, et nous attendrons donc la fin du repas et vous écouter au coin du feu avec un digestif sera bien plus apréciable, je pense.

C'est sur que dés qu'il s'agissait de boire un coup, le choix était vite fait, elle n'aurait loupé un digestif pour rien au monde.
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Henri_de_plumaugat

- Bon, alors passons à table, voulez-vous ?

Henri les invita à s'assoir autour de la table et apporta les plats.

- Voilà un bon gibier pour notre ami. J'ai bien cru que vous tomberiez par terre lorsque j'ai osé suggérer que j'étais végétarien. Mais je vous apporte la preuve du contraire.
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Pailettedargent

Pailette reprit Violette à Muse et l'installa dans le berceau près de la porte.
Elle prit place à table,face à sa soeur en regardant les plats arrivés

-Hummm..çà à l'air très bon !...Et la table avec les fleurs du jardin est magnifique.
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Henri_de_plumaugat

- Merci beaucoup pour tous ces compliments. J'en rougirais presque. Mais vous savez, c'est un réel plaisir de vous avoir ici. Ce ne serait pas très courtois de vous dire que ce n'est que parce que je me sens trop seul, ce qui n'est plus le cas depuis quelques jours. Mais je vous apprécie tous beaucoup et votre présence réjouit mon cœur. C'est donc plutôt à moi de vous remercier.
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La_muse

Muse s'installa à table, suivant les autres.
Elle en bavait presque en voyant Henri arriver avec les plats.

-Hummmm, oui, Pailette a raison, ça a l'air excellent, je pense que nous allons nous régaler. Avez-vous besoin d'un peu d'aide pour apporter d'autres plats, s'il y a ?

Elle tourna la tête vers Xeres qui restait bien silencieux...
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Henri_de_plumaugat

- D'autres plats ? Auriez-vous si faim que cela ? Allons, il faut pouvoir manger le dessert après. Le repas n'est pas encore fini. Et puis j'ai un principe que je ne viole jamais : les invités ne se lèvent jamais chez moi.

Henri apporta les chopes remplies de bonne bière pour désaltérer ses convives.

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La_muse

Muse avait besoin d'aller se soulager un peu, mais elle n'osait bouger de sa chaise, de peur qu'Henri ne la force à se rassoir, si la tradition chez lui était de ne pas faire bouger les invités, elle préférait donc ne pas demander à se lever.

Elle se dandinait discrétement sur sa chaise, c'est que ce que ce besoin se faisait de plus en plus urgent... Alors quand elle vit Henri apporter les chopes pleines, elle n'y tena plus, regardant Pailette en essayant de se faire la plus discréte possible...

Pssstt ...,

elle lui donna un léger coup de pied sur la table, de peur qu'elle ne l'entende pas l'appeler.

Pailetteeee

L'air de rien, elle se tourna vers Henri, toute souriante, le remerciant une fois de plus pour tout ce qu'il avait préparé pour eux.

Puis reposa son regard sur sa soeur, attendant qu'elle veuille bien la regarder.
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Pailettedargent

Pailette releva la tête en sentant le coup de pied de sa soeur

-Aïeeeuuuhh....Mais quoi?

Elle sourit,se retenant de rire,en voyant Muse se dandiner sur sa chaise,elle comprit de suite.

-Un soucis,soeurette?

Continuant de la regarder,Pailette prit son air malin

-Muse,te souviens -tu,lorsqu'on buvait la bière cul-sec?...Pour se rappeler le bon vieux temps,on refait le concours la première qui finit?
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La_muse

Citation:

-Muse,te souviens -tu,lorsqu'on buvait la bière cul-sec?...Pour se rappeler le bon vieux temps,on refait le concours la première qui finit?

Elle allait se sentir mal, c'est sur !

Mais elle ne pouvait pas se défiler, devant n'importe quel défi, d'ailleurs, elle les avait toujours tous relevés jusqu'à ce jour, et une fois de plus reléverait celui ci aussi...

Muse regardait sa soeur avec de gros yeux, tentant de faire bonne figure devant Henri et Xeres, sourire forcé plaqué sur le visage.

Sa vessie était sur le point d'exploser, elle avala sa salive bruyamment avant de chuchoter à Pailette :

Tu sais que tu vas me le payer ça... tu sais, hein ?! ^^ mais dis moi avant où sont les latrines, que je puisse y courir une fois la chope vidée

Elle se racla la gorge puis répondit à voix haute à son ainée.

Un peu que je me rappelle de cette bonne époque!!! alors c'est d'accord, je te prends au mot, la première qui vide sa chope.

Se tourna vers Henri:

Désolée, nous ne sommes vraiment pas sortables, voyez-vous, c'est plus fort que nous, aussitôt on voit une chope pleine qu'il faut qu'on s'amuse à la vider au plus vite, à croire qu'on a été privé dans notre enfance...
Mais heuuu, dites-moi...Vous avez d'autres bières aprés celle ci, oui ??

Muse leva sa chope et attendit que sa soeur en fasse de même, et qu'elle lui dise enfin où se trouvait l'endroit intime qu'elle voulait tant rejoindre, avant de la porter à ses lévres.
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Pailettedargent

Citation:

Tu sais que tu vas me le payer ça... tu sais, hein ?! ^^ mais dis moi avant où sont les latrines, que je puisse y courir une fois la chope vidée

Pailette défiait sa soeur du regard

-Hummm...les lactrines,j'te le dis seulement si tu gagnes!

Elle leva sa chope,sans lâcher du regard Muse,un petit sourire en coin.
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La_muse

Citation:

-Hummm...les lactrines,j'te le dis seulement si tu gagnes!

Toujours la chope à la main, sa soeur qui la défiait du regard, on se serait cru dans un western, personne ne parlait, on aurait pu entendre les mouches voler.
Elle comptait bien gagner La muse, mais elle zieuta quand même alentour, au cas où elle perde, qu'elle trouve quand même un endroit tranquille où se soulager...

Bien, Pailette... allons-y ! et que la meilleure gagne !!!

Heureusement, les frangines étaient trés complices, celui qui l'ignorait, aurait pu croire à une vraie compétition.

Muse fit un clin d'oeil à sa soeur pour lui annoncer le départ de la descente, et elles mirent toutes deux en même temps le nez dans leur chope.
La bière se vidait à une vitesse dans leur gosier, elles étaient décidées plus que jamais à battre l'autre.
Muse avait une récompense qui l'attendait...
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Pailettedargent

Et glou...et glou,la bière touchait à sa fin,les soeurs se regardaient par dessus leur chope,le souffle commençait à manquer mais aucune des deux ne lâcher.
Elles posèrent en coeur leur chope sur la table.

-Rhoooo..pas de gagnant!...Tant pis pour toi Muse,pas de récompense!

Pailette éclata de rire
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La_muse

Elles avaient fini en même temps, posés leurs chopes en même temps aussi

Arf, pas de lattrines... tant pis, aux grands maux, les grands remédes.

Muse fit mine de faire la mauvaise perdante, ce qu'elle n'était absolument pas, raison pour se lever de table et s'éloigner un peu.
Elle trouva un buisson éloigné de tout et se soulagea discrétement avant de rejoindre les autres à table.

Eh voilà, une fois de plus, pas de gagnantes, faudra inviter Mael à nos petits concours, je suis sure qu'on aurait toutes nos chances
*rit*
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Henri_de_plumaugat

Henri regardait les deux sœurs faire leur concours de descente de chopes.

- Il n'y a pas de gagnante ? Bon, alors passons au dessert. Un bon gâteau breton dont vous me direz des nouvelles. Pour l'accompagner dignement, il faut du bon cidre bien de chez nous.

Et Henri apporta l'assiette contenant le dessert.

Il le découpa et servit à chacun une part, puis il retourna à la cuisine pour aller chercher le cidre. Il revint avec deux bouteilles qu'il déboucha. il fit le tour des bolées pour les remplir.
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La_muse

Muse se lécha les babines en voyant arriver Henri avec le gâteau, elle raffolait des desserts de la région. Elle se lécha les babines une fois de plus quand elle le vit verser le cidre dans les petits bols.

Elle attendit que chacun ait entamé sa part pour commencer à son tour.
Elle gouta son cidre qui était excellent et regarda en direction de Xeres qui était resté bien calme durant tout le diner. Ses yeux passaient du bollet de Xeres, à lui même.

Tu ne m'en voudras pas si je bois ta part, hein ?!

Comme il n'avait pas sorti un mot de la soirée, elle se dit qu'il en dirait rien cette fois non plus et échangea son bollet vide avec le plein de son chou.

Henri, je me suis régalée avec ce festin, vous nous avez gatés, mais il y a une petite chose que vous avez du oublier...
Notre histoire ?
*sourit*
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Henri, je me suis régalée avec ce festin, vous nous avez gâtés, mais il y a une petite chose que vous avez du oublier...
Notre histoire ?

- Oh non, je n'ai pas oublié. Nous pouvons rentrer maintenant, la nuit commence à être fraîche. Je vais allumer un bon feu et nous allons prendre notre petite digestif.

Henri fit rentrer ses convives et alluma le feu comme il l'avait dit.

- Installez-vous où vous voulez, comme vous voulez. Voilà une bouteille de derrière les fagots. C'est une liqueur de chez nos voisins, du Calvados. Je vais vous servir et vous me direz ce que vous en pensez. Ensuite, je vous raconterai mon histoire.
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Pailettedargent

Pailette entra dans le salon,en prenant Violette dans ses bras et alla s'installer dans le fauteuil près du feu ,elle la serra doucement contre elle ,lui déposant un bisou sur son front.
Pailette se tourna vers Henri en lui souriant,prête a écouter l'histoire.
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La_muse

Muse entra au salon, s'asseya à terre, prés de la cheminée, les jambes croisées, le dos appuyé contre le fauteuil où sa soeur avait pris place.

Elle regardait Henri, impatiente d'entendre ses histoires...
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Henri_de_plumaugat

Tout le monde étant installé, Henri s'accouda à la cheminée, et son verre à la main commença son histoire :

Mon nom est Henri de Plumaugat, comme vous le savez, seigneur de Tréveleuc. Je suis né en plein automne, au moment où les feuilles sont déjà presque toutes tombées. Ces feuilles, dans ce trajet si court de la branche à la terre comme elles savent mettre une beauté dernière, et malgré leur terreur de pourrir sur le sol veulent que cette chute aie la grâce d'un vol.

Mon père était le seigneur du Tréveleuc, Jean de Plumaugat. Notre domaine surplombe la ville de Dinant. Et si on monte au dernier étage de notre manoir, on peut voir ses clochers se détacher sur le ciel. Mon père a rendu son âme à Dieu alors que je n'avais que 15 ans. Mais il avait eu le temps de m'apprendre plein de choses. Avec lui, j'ai navigué sur un petit canot, sillonnant la baie de Saint-Malo dans tous les sens et par gros vent. Il m'a appris à monter à cheval, à me battre à l'épée. Il ne me passait rien. Pour que j'apprenne à commander aux paysans, il a voulu que je loge chez eux pendant un certain temps, que je fasse les travaux des champs, comme eux. Cela pour m'apprendre à les respecter, à respecter leur travail et à ne pas leur demander des choses impossibles. Grâce à cela, je les connaissais et ils me connaissaient aussi. Ils savaient qu'ils pouvaient venir au manoir en cas de litige. Mon père était juste et m'apprenait à rendre la justice. Mais je l'ai perdu trop tôt.

Ma douce mère a terminé mon éducation seule. Malgré leur modeste condition, mes parents ont voulu me donner la meilleure éducation afin que je n'ai pas à rougir de ma condition même chez les plus grands. Etant fils unique, je fus le seul objet de leurs soins et de leur attention. Mon éducation a été rude et sans compromission. Mes parents voulaient me rendre capable d'affronter la vie. Très tôt, ils m'ont mit au travail, et aux travaux des champs, comme je vous disais, ce qui m'a permis de subvenir aux besoins de ma mère et aux miens lorsque mon père nous a quitté.

Notre manoir est situé sur les terres du seigneur de Dinant. Veuf depuis bien des années, il était devenu triste et aigre. Seule sa fille, la si belle et si douce Anne, parvenait à lui redonner un peu de joie de vivre. Il tenait à elle comme à la prunelle de ses yeux d'abord parce qu'elle était sa fille unique, mais surtout parce qu'elle lui rappelait sa chère et tendre épouse.

Lorsqu'Anne et moi nous nous sommes rencontrés pour la première fois, ce fut le coup de foudre. Sa beauté, sa douceur, son intelligence, sa perfection enfin m'ont immédiatement séduit. Au début, tout se passait bien, nous pouvions nous voir souvent sans problème et faisions de longues randonnées à cheval. Plus nous faisions connaissance, et plus notre amour se renforçait. Mais son père finit par lui demander pourquoi elle s'éloignait du manoir si souvent. Sachant très bien qu'il n'accepterait pas l'explication, elle ne dit rien mais arrêta de sortir. Je continuait à la voir en montant au lierre sous la fenêtre de sa chambre.

Malheureusement, son père entra un jour à l'improviste et nous surprit devant sa fenêtre, en train de parler. Il entra dans une fureur noire et me chassa de ses terres. Anne eut beau faire tout ce qui était en son pouvoir, elle ne put infléchir la décision de son père : "Jamais sa fille n'épouserait un noble de si médiocre extraction !!!"

Sans même pouvoir dire au revoir à ma bien aimée, je fus jeté hors du manoir par les gardes. Je devais quitter ses terres sur le champ et ne jamais y revenir. Ma bonne mère eût le cœur brisé de me voir partir, mais elle ne pouvait s'opposer à la volonté du seigneur. Je marchais donc des jours et des jours sur les routes de Bretagne, et enfin j'arrivais ici, à Vannes où je fut très bien accueilli par les Vannetais qui voulurent bien m'accepter dans leur ville.

J'ai décidé de me faire une nouvelle identité afin que les sbires du seigneur de Dinant ne puissent me retrouver. C'est ainsi que j'ai pris le nom d'un noble italien, Don Camillo. Mais je me suis rendu compte au bout d'un certain temps que je ne craignais plus rien. Aussi, j'ai repris mon vrai nom. Mais depuis tout ce temps, je n'ai reçu aucune nouvelle de ma bien aimée mère. Par contre, j'ai appris qu'Anne avait fini par épouser un grand noble, selon le désir de son père.

Henri regarda dans le vague pendant quelques instants, perdu dans ses souvenirs. Puis, mettant la main dans sa poche, il sortit un écrin, l'ouvrit, laissant apparaître un magnifique solitaire.

- Ma mère n'a pu me donner qu'une seule chose avant que je ne parte, cette bague. C'est elle que portent toutes les dames de Tréveleuc depuis de nombreux siècles.
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Pailettedargent

Pailette écouta son histoire,serrant Violette contre son coeur.
Une histoire si bien racontée comme un conte mais sans la fin heureuse .
Pailette ne trouvait mot pour exprimer ce qu'elle ressentait ,seul ses yeux parlaient pour elle,on pouvait y voir de la tristesse mais aussi de compassion.
Elle tourna doucement son visage vers sa soeur ,assise par terre,le souvenir du pacte lui revenait en tête mais tel le plus grand secret du monde,jamais elle ne le trahira.
Pailette redressa sa tête vers Henri

-...Ton histoire est belle ...mais si triste...

Elle lui prit doucement la main ,la serrant dans la sienne.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- ...Ton histoire est belle... mais si triste...

Mettant un genou en terre devant elle, Henri répondit à Pailette :

- Il ne tient qu'à toi de la rendre heureuse pour toujours. Cette bague, acceptes-tu de la porter ? Veux-tu m'épouser ?
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Pailettedargent

Citation:

- Il ne tient qu'à toi de la rendre heureuse pour toujours. Cette bague, acceptes-tu de la porter ? Veux-tu m'épouser ?

Pailette le regarda,aucun son ne sortit de sa bouche,elle tremblait légèrement,elle regarda rapidement sa soeur et posa à nouveau ses yeux sur Henri.Un seule réponse venait sur ses lèvres.

-Oui...
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Oui...

A cette réponse qu'il espérait, Henri sentit son cœur déborder de bonheur. Il passa la bague au doigt de Pailette et déposa un baiser sur sa main. Il la regarda dans les yeux et essaya de faire passer dans son sourire et son regard toute sa joie, toute sa reconnaissance. Lui passant un bras par dessus l'épaule, il l'attira à lui et l'embrassa doucement, tendrement.
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Pailettedargent

Pailette le regarda ,les yeux remplis d'amour,un sourire de bonheur se dessina sur son visage.Elle répondit à son baiser avec autant de tendresse que son coeur pouvait lui en donner.
Elle observa Violette qui bougeait ses petits bras entre eux deux.
Pailette posa sa tête contre l'épaule d' Henri en lui murmurant

-Je t'aime...Je vous aime vous deux...mes deux Amours.
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La_muse

Muse s'était faite plus que discréte, contrairement à ses habitudes. Elle restait bouche bée de voir Henri faire une telle demande à sa soeur, elle cru manquer d'air un moment...

Elle se leva discrétement, toujours sans dire un mot, pris Xeres par le bras et se dirigea vers la porte pour rentrer et laisser les nouveaux tourtereaux profiter seuls de leur bonheur.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Je t'aime... Je vous aime vous deux... mes deux Amours.

Henri posa sa tête en souriant sur celle de Pailette et dit tout en regardant Violette :

- Moi aussi, je vous aime toutes les deux...
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Cam3

Cam avait été invitée par Henri pour le dessert et arriva, Emelyann dans une main et Aurore dans le couffin de l'autre main. Elle toqua à la porte doucement, espérant retrouver quelque amis qu'elle ne voulait pas quitter. La solitude de ne pas avoir eu le chance de revoir Jem depuis l'accouchement lui pesait malgré la présence turbulente d'Emelyann et calme de Aurore. Un contraste étonnant. De plus, Chimera lui avait envoyée une lettre qui, si elle l'acceptait, devrait l'éloigner de Vannes jusqu'à Guyenne pour un certain temps. Ses amis allaient lui manquer, mais elle était enfin prête à faire sa part pour Vannes. Il était temps ou jamais d'aller faire une petite visite de courtoisie à son ami. Elle poussa la porte déjà, miraculeusement, entrebâillée et pénétra dans la chaleureusement maison d'Henri. Elle espérait ne pas arriver trop tard pour l'histoire de son ami et...pour le dessert que Emelyann réclamait également depuis un moment. Elle passa la tête et regarda la scène qu'elle surpris. Muse qui poussait gentiment un monsieur vers la porte et, en arrière-plan, Pailette et Henri enlacés. Et la bague au doigt ! OH MON DIEU. Elle ne pus s'empêcher de laisser échapper un sursaut.

- Hiiiiiiiiiiii ! Wouah ! Quelle extraordinaire surprise !

C'était plus fort qu'elle...Elle savait qu'elle allait briser le merveilleux moment, mais c'était que trop tentant. Elle déposa Aurore dans les bras de Muse qui la regarda, interdite, laissa Emelyann glandouiller et trépigna jusqu'à eux. Elle s'excusa d'avance et se jeta dans les bras de son cher ami. Elle le serra si fort, trop heureuse de cette merveilleuse nouvelle. Il allait peut-être un peu lui en vouloir de s'interposer comme ça, mais c'était impossible pour elle de faire autrement. Elle plongea son regard azur dans celui de son ami, essayant de lui démontrer à quel point elle était heureuse pour lui...Puis, après une grosse bisouille bruyante, elle se retourna et se lança dans les bras de Pailette lui faisant aussi un grosse bisouille et la serrant dans ses bras...

- Félicitation !!!!!! Je suis TEL-LE-MENT heureuse pour vous. Vous pouvez pas savoir comment. Oh, ça veut dire que vous aller rester plus longtemps ? Pas vrai, pas vrai? ça veut dire qu'à mon retour, vous aller être ici ? Nah ? Pas question de quitter Vannes. Quand on aime, on reste. Alors vous restez. C'est décidé. Montre la bague, je t'en prie...OUAH ! C'est trèèèèès jolie. Mon cher Henri, va chercher quelque chose à boire pour fêter tout ça....non ? Aller un petit verre. Oh, ma fille. Non, j'en est deux maintenant. Emelyann rapporte tes fesses ici. Dit félicitation à Henri et Pailette. Voilà...C'est bien. Oh je suis contente...Je vais devoir être présente dans les premières rangées pour le mariage, hein ? Pas le choiiiiiiix ! Si,Si. Oh, Pailette tu vas être si jolie dans une belle robe. En plus, y'a la petite Violette. Un rêve de réalisé pour toi, Henri. Vous allez voir, Pailette...Il va bien s'en occuper. Pas que je doute de vous, mais c'est que c'est quelqu'un de vraiment bien le petit Henri. Un coeur en or, mais vous le savez probablement déjà !

Cam continua à parler n'espaçant ces phrases que par des respirations prises à la hâte jusqu'à ce que Emelyann lui fit les gros yeux et la supplia d'arrêter. Cam râla et rougit bêtement en réalisant toutes les phrases qu'elle venaient de dire en moins d'une minute. oulaaaaa. C'était toujours l'effet que la joie trop intense lui faisait. Elle s'excusa et constata qu'ils trouvaient plus ça amusant que pénible. Elle pris le verre que lui tendit Henri et lui rendit son sourire. Elle repris Aurore dans ses bras, s'excusant à Muse et lui sourit également. Elle trinqua à eux et but cul sec. Elle sautilla encore quelque pas et leur expliqua qu'elle devait partir pour un mois environs, mais quand elle va revenir elle voulait les voir ici même. C'était une obligation.M'enfin, elle l'espérait. Elle s'excusa de son départ précipité, mais elle devait réunir ce qui lui manquait pour son départ et les bisouilla chaleureusement chacun d'entre eux. Elle trépigna jusque dehors en chantonnant de nouveau heureuse plus que jamais. Oh, cet épisode lui avait même enlevé l'envie du dessert...tant mieux.

- ÉCRIVEZ MOI !
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>Breizh da virviken, Breizh da virviken !

Pailettedargent

Pailette vit entrer un véritable ouragan dans la maison,elle sourit en voyant Cam débiter son flot de paroles.Elle n'avait que le choix de répondre que par oui ou par non,tellement Cam parlait vite

Citation:

ça veut dire qu'à mon retour, vous aller être ici ? Nah ?

-Oui...

Citation:

Je vais devoir être présente dans les premières rangées pour le mariage, hein ?

-Oui...

Pailette jeta un oeil sur Emelyann ,qui faisait les gros yeux à sa mère,elle se mit à rire.
Elle continua de regarder Cam,l'ouragan de Vannes,amuser de la voir faire beaucoup de choses en un temps très limité.
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Henri_de_plumaugat

Henri, tout occupé de dire à Pailette combien il l'aimait ainsi que sa fille, n'entendit pas frapper à sa porte. Mais la porte étant restée entrouverte, Cam rentra dans la maison, accompagnée d'Emelyann et de la petite Aurore.

Citation:

- Hiiiiiiiiiiii ! Wouah ! Quelle extraordinaire surprise !

Henri sursauta. C'est alors qu'il se rendit compte que Muse et Xéres avaient pris la direction de la porte et qu'ils y avaient rencontré Cam et ses deux filles. Il attrapa Cam dans ses bras et la serra très fort aussi contre lui.

- Ma si chère amie... Je suis bien content que tu ai pu passer, surtout dans un moment pareil. Voilà, tu vois, j'ai pris une décision que je suis sûr être la bonne.

Il fit une grosse bise à son amie puis la laissa aller embrasser Pailette. Il attrapa Emelyann qui lui fit aussi de gros baisers auxquels il répondit en riant.

- Mais bien sûr que tu seras là pour le mariage, il faudra aussi des enfants d'honneur.

Citation:

- Ecrivez-moi !

- Tu peux en être certaine.
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Henri_de_plumaugat

[Longtemps après...]

Et voilà, Henri était enfin rentré de voyage. Dès son arrivée dans la maison avec Pailette et Violette, il ouvrit grand toutes les fenêtres pour laisser pénétrer dans la maison l'air pur et frais du matin. Quel bonheur de se sentir chez soi, avec une fiancée et une petite filles si merveilleuses.

- Et nous voilà chez nous mes chéries !!! Voilà la maison dans laquelle nous pourrons vivre toujours heureux.

Il serra Pailette et Violette contre son cœur et les embrassa toutes les deux. Puis il se mit aussitôt au travail pour préparer la maison, faire le ménage, les lits... Il jeta un coup d'œil au jardin et vit qu'il allait avoir pas mal de travail pour couper la pelouse et arracher les mauvaises herbes, tailler les buissons et les arbres. Mais qu'importe tout ce travail, il était heureux.
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Pailettedargent

Citation:

- Et nous voilà chez nous mes chéries !!! Voilà la maison dans laquelle nous pourrons vivre toujours heureux.

-Oui!...Si tu savais mon Amour comme je suis heureuse d'être ici!

Pailette l'embrassa tendrement ,elle le regarda commencer a s'affairer dans la maison.
Violette s'agita
-Oh ma puce,tu commences a avoir faim,toi

Elle s'installa dans le fauteuil près de la cheminée,Violette contre elle,elle l'allaita en lui chantonnant une berceuse,lui caressant doucement ses petits cheveux.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Oui !... Si tu savais mon Amour comme je suis heureuse d'être ici !

Henri la prit dans ses bras en entendant cette phrase et il répondit à son baiser avec tout son amour. Oh il le savait bien qu'elle était heureuse, mais il avait toujours un petit il ne savait quoi qui le gênait, comme un scrupule de l'avoir enlevé de chez elle. Lui-même avait dû quitter sa maison et il en avait souffert. Certes, les raisons n'étaient pas les mêmes, mais cela restait une séparation d'avec ses racines. La savoir heureuse était son principal souci.

- Et je suis très heureux que tu sois là ma chérie. Enfin, mes chéries...

Il laissa Pailette s'occuper de Violette et se mit à l'ouvrage. Mais bientôt il s'arrêta et regarda cette scène d'une beauté extraordinaire : une maman nourrissant son bébé. Il ne savait pas pourquoi, mais voir une maman nourrir son enfant le remplissait toujours d'admiration. L'enfant qui se nourrit de sa maman, la maman qui se donne à son enfant. En plus de cela, la maman était sa fiancée et serait bientôt sa femme, et le bébé sa fille. Des larmes de bonheur lui montèrent aux yeux.
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Pailettedargent

Pailette continuait de chantonner la berceuse,son regard plongeait dans celui de sa fille quand elle se sentit observer,elle releva la tête et vit Henri,les yeux brillants.

-Oh mon Amour...Tout va bien?

Pailette ,le regard inquiet,lui tendit une main pour qu'il s'approche d'elles.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Oh mon Amour... Tout va bien ?

Henri plongea ses yeux dans ceux de Pailette et vint prendre sa main. Il s'assit à ses pieds, la tête appuyée sur ses genoux.

- Oh oui, tout va bien mon cher et tendre amour. Tout va tellement bien que je n'arrive pas à croire à mon bonheur. Et puis, je trouve ça si beau une maman qui allaite son enfant. Non contente de garder l'enfant pendant neuf mois dans son ventre, le nourrissant, le protégeant, la maman lui donne encore de son propre corps en le nourrissant de son lait. Et puis là, c'est toi, ma chère et tendre fiancée qui est la maman, et ce petit bébé est notre fille...
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Pailettedargent

Pailette l'écouta en souriant.
Après l'allaitement,elle lui tendit Violette

-Et bien mon Coeur...Maintenant notre chère fille a besoin de sa sieste,je te confie le soin de t'occuper de cette tâche,je sais que tu adores ces petits moments avec elle.

Pailette déposa un tendre baiser sur le front de ses deux Amours.
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Henri_de_plumaugat

Henri prit doucement Violette dans ses bras.

- Si tu veux aller te reposer aussi, vas-y. Je vais m'occuper d'elle sans problème.

Et il se mit à la bercer, lui chantonnant une berceuse. Il aimait beaucoup tenir ce tout petit bout de chou dans ses bras.
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Pailettedargent

Citation:

- Si tu veux aller te reposer aussi, vas-y. Je vais m'occuper d'elle sans problème.

-Je vais aller faire un tour au jardin

Pailette l'embrassa amoureusement et partie se promener,sa direction se fit sans soucis,elle alla directement là où Henri lui avait montré l'écureuil.
Elle s'installa contre l'arbre,profitant du soleil,admirant cet endroit paisible,les herbes folles et les fleurs sauvages avaient repris leur droit pendant leur absence.
Dans sa poche,elle se souvint de son petit caillou,elle le prit en souriant,se relevant ,Pailette aperçut un creux dans l'arbre,elle le laissa glisser dedans tout en pensant:
je n'ai plus besoin de toi...Mon bonheur,je l'ai enfin trouvé mais je sais que tu seras toujours là.
Elle détacha ses cheveux , retira ses bottes,marchant tranquillement, cueillant un bouquet de ces fleurs sauvages,les longues herbes lui chatouillaient les pieds et les jambes...Elle était si bien,aucun nuage ne venait troubler ce bonheur,son petit monde ,sa famille était là,Pailette sourit en pensant à l'avenir,dans quelques temps,Violette ira gambader dans ces herbes,pieds nus,elle aussi et peut être que d'ici là,sa petite famille sera agrandit par le fruit de leur amour.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Je vais aller faire un tour au jardin.

- D'accord. A tout à l'heure ma chérie.

Henri répondit à son baiser très tendrement et la regarda s'éloigner avec amour. Puis, il se regarda de nouveau Violette en train de dormir et lui chuchota :

- Tu sais, ma petite princesse, tu as une maman formidable, la meilleure de toutes. Mais le plus chanceux dans tout ce petit monde c'est moi. J'ai deux femmes merveilleuses dans ma maison.

Il la vit sourire pendant son sommeil, comme si elle entendait et comprenait chacune de ses paroles. Il la berçait, doucement. Il regardait ses deux petits poings fermés. Il ne pouvait vraiment pas se lasser de ce spectacle.
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Pailette revint de sa promenade,un gros bouquet dans une main,ses bottes dans l'autre.Elle pénétra dans la maison sans bruit pour ne pas déranger le bébé et son papa.
Elle s'appuya contre la porte pour les observer,qu'ils étaient touchant tout les deux.Pailette s'approcha doucement vers eux,déposant ses bottes et son bouquet.
Elle murmura à Henri

-Tout va bien mon coeur?....Apparament oui?!

Elle s'installa près de lui,posant sa tête sur son épaule
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Henri_de_plumaugat

Revenant de sa promenade, Pailette s'installa à côté d'Henri et posa sa tête sur son épaule.

- Tout va bien mon coeur ? ... Apparemment oui?!

Henri lui répondit par un sourire qui voulait tout dire. Il appuya sa tête sur celle de Pailette. Ils étaient bien tous les trois.

- Regarde comme elle dort paisiblement. Son petit ventre se soulève doucement... C'est si fragile, si mignon.

Il déposa un doux baiser sur le front de Pailette.

- Je t'aime plus que tout au monde, ma chérie.
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Pailette l'écoutait et le regardait ,elle adorait le voir aussi attendrit par leur fille.

Citation:

Je t'aime plus que tout au monde, ma chérie.

-Je t'aime tout autant mon Amour

Elle se leva,les laissant tout les deux,à leur moment à eux.Pailette alla à la cuisine pour s'occuper de son bouquet de fleur.
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Henri_de_plumaugat

Après une sieste d'une bonne heure pendant laquelle Violette n'avait pas quitté les bras d'Henri, la petite se réveilla. Henri en profita pour se lever.

- Ma chérie ! Je vais me promener avec Violette dans le jardin. Est-ce qu'il faut que je la couvre un peu plus ou non ? Elle ne va pas attraper froid ?
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Citation:

- Ma chérie ! Je vais me promener avec Violette dans le jardin. Est-ce qu'il faut que je la couvre un peu plus ou non ? Elle ne va pas attraper froid ?

Pailette se pencha par la porte

-Tu peux l'emmener comme çà,il ne fait pas froid...Je vous rejoins,dès que j'ai fini...Je prépare un panier pour qu'on grignotte dehors,il fait tellement beau!

Elle les regarda s'éloigner dans le jardin et retourna à la préparation de son panier.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Tu peux l'emmener comme ça, il ne fait pas froid... Je vous rejoins dès que j'ai fini... Je prépare un panier pour qu'on grignote dehors, il fait tellement beau !

- D'accord. A tout de suite, chérie.

Tenant Violette dans ses bras, Henri sortit dans le jardin.

- Tu vois, ma petite fille, si on laisse un jardin sans soins pendant un moment, la nature reprend le dessus. Les mauvaises herbes poussent et étouffent les bonnes.

Mettant un genou en terre devant ses rosiers, Henri expliqua à Violette :

- Tu vois, ça ce sont des roses. Ce sont les reines des jardins. Elles sont si belles, si parfumées.

Il cueillit une des plus belles roses et la donna à Violette qui la prit dans ses petites mains et l'agita en tout sens, finissant par la lâcher. Henri la ramassa et la respira. Il la mit ensuite sous le petit nez de Violette qui se mit à le frotter en fronçant ses petits yeux à cause des chatouilles.

Henri rit et fit un baiser à sa petite fille puis lui fit un câlin très long tout en continuant à se promener dans le jardin. Il finit par arriver là où Pailette et lui avaient vu le petit écureuil.

- C'est ici que je me suis vraiment aperçu combien je tenais à ta maman. Nous étions là tous les deux à attendre un petit écureuil, et quand il était là, elle a prit ma main pour la première fois. Puis les quelques moments que nous avons passé ensemble m'ont convaincu que je l'aimais. Et tu sais, c'est un peu grâce à toi tout ça. Tu est tellement mignonne que je craquais complètement en te voyant. Et nous avons commencé à parler, ta maman et moi. Et je t'aime d'autant plus fort pour ça.

Henri s'assit dans l'herbe.

- C'est là qu'elle s'est allongé pour regarder les nuages. Et c'est à ce moment-là que j'ai vraiment pu la regarder et m'apercevoir combien elle était belle...

Il souriait à ce souvenir. Il assit Violette juste devant lui.
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Pailette remplit le panier de cerise ,de pain et d'un peu d'eau,elle sortit de la maison,cherchant du regard sa petite famille,elle entendit la voix de Henri au loin.Elle s'approcha d'eux s'en faire de bruit,écoutant la fin du récit qu'il faisait à Violette.

Citation:

- C'est là qu'elle s'est allongé pour regarder les nuages. Et c'est à ce moment-là que j'ai vraiment pu la regarder et m'apercevoir combien elle était belle...

-Et bien,pour moi,mon Amour...Ce fut dès le premier regard,dès tes premiers mots que j'ai ressenti ce merveilleux sentiment...Mais te sachant pris par ta promesse,j'ai du me taire même si mon coeur voulait le crier,ma tête me disait de ne rien faire...Je souffrais de te voir aussi malheureux ,j'aurais voulu te soulager de cette souffrance...Muse connaissait mes sentiments pour toi,elle me répétait:patience...Je n'arrivais pas à partir pour Fougères,me détacher de toi...Tu étais encré en moi...Comme une evidence...

Pailette s'asseya près de lui,posant son panier,elle prit Violette dans ses bras pour l'allaiter,elle posa son regard sur leur fille.

-Si par malheur,la vie vient à nous séparer,je ne le supporterais pas,vous êtes tout pour moi,vous êtes ma raison de vivre.

Elle leva son regard vers Henri,une larme coula sur sa joue.

-...Non...Je ne le supporterais vraiment pas...Je t'aime,je vous aime...
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Citation:

Henri n'avait pas entendu Pailette s'approcher et il sursauta un peu. Il écouta attentivement ce qu'elle lui disait et lui tendit la main pour qu'elle s'asseye près d'eux.

- Je t'ai donc quand même fait souffrir alors... Pardonne-moi. Mais je ne pouvais pas te regarder avant. Comme tu le dis toi-même, j'étais lié. Et puis, je ne voulais pas que l'on puisse croire que je me suis simplement jeté dans les bras d'une autre parce que j'étais triste. Mais toutes ces raisons ont été vaines devant mon amour grandissant.

Il lui tendit Violette afin qu'elle puisse la nourrir.

Citation:

- Si par malheur, la vie vient à nous séparer, je ne le supporterais pas, vous êtes tout pour moi, vous êtes ma raison de vivre.

- Ma chérie, la seule chose qui pourra nous séparer, c'est la mort. Rien dans notre vie ne pourra nous séparer, rien ! Rien n'est assez fort pour cela. Tu n'aura pas à supporte cela, je te le promets. Moi non plus je ne supporterai pas cela. Je vous aime si fort aussi.

Et Henri, posant sa main sur la joue de sa fiancée, lui essuya la larme qui coulait sur sa joue, telle une perle brillant de mille feux. Puis il passa son bras autour de ses épaules et la serra tendrement contre son cœur.
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Citation:

- Je t'ai donc quand même fait souffrir alors... Pardonne-moi...

Pailette lui sourit

-Tu n'as rien a te faire pardonner...Tu as fais ce que tu devais faire.

Elle se serra contre lui,Violette les regardait de ses grands yeux,attrapant une mèche des cheveux de Pailette en gazouillant.
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- Tu n'as rien à te faire pardonner... Tu as fait ce que tu devais faire.

Henri la serra un peu plus contre lui. Pouvait-on imaginer bonheur plus parfait ? Il ne croyait pas, et pourtant, chaque jour il l'aimait toujours plus. Il lui déposa un très doux baiser sur le front et dit en riant :

- Bon, dans tout ça, il n'y a que Violette qui mange. Allez, il faut faire honneur au panier que tu as amené.

Henri rapprocha d'elle le panier car elle pouvait difficilement bouger tout en allaitant leur princesse. Il lui tendit quelques cerise.
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Pailette prit les cerises que Henri lui donnait,tout en regardant la nature quand elle entendit un petit bruit.
Ce n'était pas les oiseaux,Pailette vit les hautes herbes bouger devant eux mais à bonne distance quand même.
Elle se tourna vers Henri

-Je crois que c'est notre ami l'écureuil,il a du sentir les cerises,le gourmand.

Pailette regarda à nouveau dans la direction du petit bruit.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Je crois que c'est notre ami l'écureuil, il a du sentir les cerises,le gourmand.

Ce petit écureuil n'était pas un écureuil comme les autres pour Pailette et Henri, c'était une partie de leur Histoire.

Henri regarda dans la même direction que Pailette. Il vit tout a coup une petite tête apparaître discrètement.

- Regarde ! Tu avais raison, il est là.
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Citation:

- Regarde ! Tu avais raison, il est là.

Pailette sourit en voyant la petite bouille de l'écureuil,elle donna Violette à Henri,prit une cerise ,se mettant à genoux dans l'herbe,elle se pencha doucement vers lui,tendant la main.
L'écureuil,les regarda,il s'approcha lentement,timidement vers la main de Pailette,il attrappa la cerise et se sauva vite fait dans les herbes.
Pailette se retourna vers Henri,un grand sourire se dessinant sur son visage,telle une enfant,emerveillée par ce moment.
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Henri pris Violette dans ses bras. Il en profita pour lui faire un câlin. Puis il la tourna vers Pailette et lui dit :

- Ca, mon bébé, c'est un écureuil. C'est un petit animal qui monte dans les arbres. C'est notre écureuil.

Puis, s'adressant à sa fiancée :

- Il s'habitue de plus en plus, bientôt il n'aura plus peur.

Il sourit aussi en voyant la joie tout simple de sa bien-aimée.
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Citation:

- Il s'habitue de plus en plus, bientôt il n'aura plus peur.

-Oui,il fera un petit compagnon pour Violette

Pailette revient près d'eux,se blottisant contre lui,jouant avec la petite main de leur fille.
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Henri serra contre lui son cher et tendre amour.

- J'espère qu'elle aura bientôt des petits frères et sœurs... Il faut que je relance Mimi pour la pastorale pour que nous puissions enfin nous marier. Je suis tellement impatient de te promettre fidélité devant tout le monde. Bien sûr, tu sais bien que je te serai fidèle tous les jours de ma vie, même sans mariage.
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Pailette le regarda en souriant,elle plongea ses yeux dans les siens.

-Des petits frères et soeurs...Je les vois bien entrain de courir partout..

Pailette se leva

-Allez....On va rentrer,Violette va avoir froid...même si elle est bien au chaud dans tes bras.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Allez... On va rentrer, Violette va avoir froid... même si elle est bien au chaud dans tes bras.

Henri se leva à son tour et tous ensembles, ils rentrèrent dans la maison. Henri tendit Violette à sa maman :

- Tiens, prends-là, je vais aller préparer sa chambre. Je redescend tout de suite.

Il lui déposa un baiser sur ses lèvres et monta les marches pour se rendre à l'étage. Il termina de préparer la petite chambre de leur fille. Il y mit tout le soin nécessaire pour que leur petite Violette se sente chez elle et qu'elle y soit bien.

- Pailette ! Tu peux venir voir et le dire ce que tu en penses !

Et il ouvrit toute grande la porte de la chambre.

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Citation:

- Tiens, prends-là, je vais aller préparer sa chambre. Je redescend tout de suite.

Pailette prit Violette,répondant à son baiser,le regardant partir dans l'escalier.
Elle regarda la petite et s'asseya dans le fauteuil

-Ton papa revient tout de suite,il te prépare ta chambre

Pailette câlina leur fille,en lui déposant de petits bisous

Citation:

- Pailette ! Tu peux venir voir et le dire ce que tu en penses !

-Ahh,papa a finit,on va aller voir çà tout de suite.

Elle monta l'escalier,découvrant la chambre de Violette

-Oohh mon Amour...C'est tout simplement magnifique!....

Pailette l'embrassa tendrement,elle lui sourit

-...Mais la gâte pas trop,elle va en prendre le goût

Elle mit Violette dans son lit

-Et voilà mon coeur,ton lit...tu vas pouvoir faire de beaux rêves là dedans.

Pailette regarda Violette gazouiller,bougeant ses petits pieds,elle se pencha au dessus de leur fille et lui murmura

-Tu as beaucoup de chance d'avoir un papa comme le tien...ne l'oublis jamais.
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Citation:

- Oohh mon Amour... C'est tout simplement magnifique!...

Henri répondit tendrement à son baiser et à son sourire.

Citation:

- ...Mais la gâte pas trop, elle va en prendre le goût.

- Ne t'inquiète pas, il sera toujours temps au fur et à mesure qu'elle grandit de lui apprendre à se priver.

Il la regarda coucher leur petite princesse qui gazouillait, toute heureuse de son petit lit. Puis il se pencha sur elle et lui déposa un baiser sur le front.

- Dors bien, petite princesse.

Puis il s'éloigna doucement, sans faire de bruit et redescendit au salon.
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Pailette chantonna une berceuse à Violette,qui s'endormit très vite.
Elle resta un moment à la contempler,lui caressa légérement sa petite joue et s'éloigna sans faire de bruit pour rejoindre Henri.
Elle le trouva dans le salon.Pailette s'approcha de lui,se blottissant dans ses bras,le regardant amoureusement,elle l'aimait tant.
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Henri prit Pailette dans ses bras et la serra très fort contre lui. Ils étaient toujours bien l'un contre l'autre. C'étaient des moments qu'ils appréciaient tout particulièrement. Ils en profitaient pour se raconter leur journée, faire des projets d'avenir... C'étaient de moments précieux.
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[le lendemain]

Pailette se leva tranquillement,le coeur triste,Henri devait s'absenter une semaine.
Elle se prépara et alla s'occuper de leur fille qui gazouillait dans son lit.
Pailette la prit dans ses bras ,la câlinant,elle s'installa dans un fauteuil près de la fenêtre,perdant son regard dans le jardin.
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[quelques jours après...]

Les journées s'écoulaient lentement,trop lentement!...Sans Henri,la maison paraissait vide,très calme malgré les gazouillis de Violette.
Pailette prit la petite et alla se promener dans le jardin,elle s'installa à l'ombre d'un des arbres,écoutant les bruits de la nature.
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Son baluchon sur le dos, Henri poussa la porte de la maison. Enfin il était de retour ! Pailette et Violette lui avaient tant manquées... Il appela :

- Mon amour ! Je suis là ! Je suis rentré !
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Pailette était dans le salon avec Violette

Citation:

- Mon amour ! Je suis là ! Je suis rentré !

Elle sursauta,reconnaissant la voix de son bien aimé,elle alla se jeter dans ses bras

-Oh tu es rentré!..Comme tu m'as manqué,mon Coeur!

Pailette l'embrassa amoureusement
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Jetant son baluchon, Henri attrapa sa bien-aimée et répondit passionnément à ses baisers. Il la serra très fort contre son cœur.

- Comme tu m'as manqué toi aussi... Mais je n'ai pensé qu'à toi pendant cette longue semaine.

Puis, prenant Violette dans ses bras, il lui fit un gros câlin.

- Bonjour mon bébé ! Mais tu es magnifique, tu sais ? Qu'est-ce que tu grandis... Au fait, venez voir ce que j'ai acheté pour vous deux en route.

Henri pris Pailette par la main et l'emmena à la porte de la maison.

- Regarde...

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Pailette suivit Henri

Citation:

- Regarde...

Elle vit les chevaux,elle en resta sans voix,Pailette se tourna vers Henri,les yeux brillants.

-Ils sont superbes!!..Tu aurais pas dû mon Amour...

Elle l'embrassa avec passion

-Merci!

Violette agitait ses bras en direction des chevaux.
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Citation:

- Ils sont superbes !!... Tu aurais pas dû mon Amour...
- Merci !

Henri répondit tendrement à son baiser.

- Mais si il le fallait, voyons. Nous pourrons faire de longues promenades ensembles. Et en plus, grâce à mon étalon, nous allons avoir un élevage de chevaux. Mais maintenant il faut trouver des noms pour ces deux chevaux. Qu'est-ce que tu proposes ? Puisque c'est le tien et celui de Violette.
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-Pour celui de Violette,je propose Etoile..euh,par contre pour le mien..Je ne sais pas...

Pailette s'approcha de la jument,lui caressant la tête

-Hum...Comment ,vais je pouvoir t'appeler?...

La jument la regarda et lui donna un léger coup de museau,Pailette sourit ,l'enlaçant au niveau de l'encolure.
Elle se retourna vers Henri

-J'ai trouvé!...Je vais l'appeler Féerie!..Tu en penses quoi mon Amour?...Féerie et Etoile...
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Citation:

- J'ai trouvé !... Je vais l'appeler Féerie !... Tu en penses quoi mon Amour ?... Féerie et Etoile...

- C'est parfait à mon sens, ça leur convient parfaitement. Ce qui nous fait Féerie, Etoile et Alizé. Pas mal du tout. J'espère qu'Alizé va les adopter aussi.

Henri détacha la jument et son poulain et les emmena dans le pré voisin de l'écurie. Puis il se rendit auprès de son bel étalon blanc dont il flatta l'encolure.

- Alors mon beau. Ca va ? Je t'ai amené de la compagnie. Une belle jument et un mignon petit poulain. Il faut que tu sois gentil avec eux, d'accord ? Allez, va leur dire bonjour.

Henri ouvrit la porte de son box et le laissa partir dans le pré.
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Pailette regarda Alizé se diriger vers Féerie et Etoile.Le poulain se cachait derrière sa mère.L'étalon colla son museau sur celui de la jument.
Pailette sourit,le premier contact se passait bien entre ces deux là.
Etoile tenta une approche timide vers Alizé, qui se finissa dans un galop du genre ''courage,fuyons"
Pailette se mit à rire
Très vite,Féerie alla rejoindre son poulain comme pour le rassurer.

-Je pense que ces trois là vont bien s'entendre.

Elle s'installa dans l'herbe,Violette assise à côté d'elle.
La petite regardait en direction de son père,elle tendait ses petits bras vers lui.

-Mais oui,t'inquiètes pas ma chérie,papa arrive vers nous.

Violette gazouillait tout en regardant Henri, quand soudain elle prononça
-...Papa...

Pailette leva son regard vers lui,en souriant.
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Henri_de_plumaugat

Henri sortait de l'écurie et rentrait dans le pré. Il regarda pendant un moment les chevaux faire connaissance puis il alla rejoindre Pailette et Violette tranquillement assises dans l'herbe. Il vit Violette lui tendre les bras ce qui le fit sourire. Arrivé près d'elles, il entendit Violette dire :

Citation:

-...Papa...

Il fondit complètement en l'entendant l'appeler ainsi et il s'assit à côté d'elles, souriant à Pailette.

- Oh mon bébé...
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-Son premier mot...et il est pour toi.

Elle regardait leur fille,en admiration devant une pâquerette,elle posait son petit doigt dessus

Pailette releva la tête et observa les chevaux dans le pré.
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Citation:

- Son premier mot... et il est pour toi.

Henri sourit.

- Il aurait quand même dû être pour toi. Mais je suis très heureux, tu sais. Je ne pensais pas qu'un tel bonheur fut possible.

Disant ses mots, il passa son bras autour des épaules de celle qu'il aimait.

- Tu vois, même les chevaux sentent qu'ici ils sont en sécurité, qu'ils sont avec une vraie famille qui s'aime et ils en sont rassurés.
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Citation:

- Il aurait quand même dû être pour toi...

Pailette sourit,se serrant contre lui.

-Tu sais ,mon Amour,je suis ravie que son premier mot soit pour toi..Avec Violette,j'ai dejà une relation très privilégiée,on a pas besoin de mots pour se comprendre,un regard en dit beaucoup plus entre elle et moi.

Pailette attrapa Violette en douceur,l'installa dans ses bras lui fredonnant sa petite chanson que son père lui chantait quand elle était encore qu'une enfant.
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Henri_de_plumaugat

La tenant contre son cœur, Henri l'embrassa tendrement sur le front.

Citation:

- Tu sais, mon Amour, je suis ravie que son premier mot soit pour toi... Avec Violette, j'ai déjà une relation très privilégiée, on a pas besoin de mots pour se comprendre, un regard en dit beaucoup plus entre elle et moi.

- Merci ma chérie. Bien sûr, c'est normal, entre un bébé et sa maman.

Henri caressa la joue de Violette et prit sa petite main. Il la regardait tendrement. Oui, c'était bien sa fille. Il écouta la chanson que Pailette fredonnait.

- Elle est très belle, tu sais... Je ne la connaissait pas. Et combien vrai... J'ai peur pour elle, quand elle sera une jeune fille, si belle, si fragile. Le premier qui essaiera de lui faire du mal, je le truciderai !
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Pailette le regarda en souriant

-Mon Amour,tu ne pourras pas toujours la protèger des maux de coeur...Mais je sais que tu la protègeras le mieux que tu peux.

Elle lui donna leur fille et se leva

-Je te laisse avec Violette,je vais préparer les balluchons.

Pailette l'embrassa avec amour et lui murmura je t'aime...
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Je te laisse avec Violette, je vais préparer les balluchons.

- Ah oui, c'est vrai... Pfff... Nous étions si bien que j'oubliais ce départ en retraite. Ca va être long une fois de plus, quinze jours comme ça. Mais nous n'avons pas le choix malheureusement.

Il prit Violette qu'il installa sur ses genoux et répondit tendrement à son baiser.

- Je t'aime aussi...
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[De trop longs jours plus tard]

Henri poussa la porte de la maison. Il y respira cet air si familier si plein d'odeur de pierres et de bois, tout ce qui fait la noblesse des vieilles maisons bretonnes. Il ouvrit toutes les fenêtres pour faire entrer l'air pur et frais de cette magnifique soirée d'été. Se rendant au jardin, il cueillit un magnifique bouquet pour Pailette et déposa le paquet pour Violette sur la table du salon. Il allait bientôt pouvoir les serrer de nouveau dans ses bras toutes les deux.
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Pailette,tenant Violette dans les bras, arriva enfin à la maison.

-Ouf!..Nous voici de retour ...Et apparament ton papa est arrivé

Elle poussa la porte de la maison ,se dirigeant vers le salon,cherchant Henri .
Pailette regarda par la fenêtre,l'aperçevant dans le jardin...Violette aussi,elle pointa son petit doigt dans sa direction
-Papa

-Oui,ton papa est là!

Violette s'agitait dans ses bras ,frappant dans ses mains.
Pailette la posa par terre,et la regarda se diriger vers Henri ,de petits pas hésitants,sa démarche était encore long d'être sûre,Violette perdit l'équilibre plusieurs fois ,se laissant tomber sur ses fesses,se relevant laborieusement mais continuant vers son père .
De temps en temps,elle se retournait vers Pailette,montrant du doigt-Maman...Papa

-Oui,ma chérie...Vas y! ...Vas voir papa...Je suis là,t'inquiètes pas ,je te suis.

Violette souriait et reprenait son petit air sérieux pour se concentrer sur ses pas.
Pailette la suivait de près ,pensant à ces mois passés près d'elle...10 mois...
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Henri_de_plumaugat

Henri, tout occupé à cueillir des fleurs, n'entendit tout d'abord pas ses deux amours arriver. Mais il entendit la petite voix de sa fille l'appelant :

- Papa...

Ne pouvant se tromper ni résister à un tel appel, il se retourna et vit Violette arriver vers lui en marchant de son petit pas, et derrière, Pailette qui suivait doucement. Il ouvrit grand ses bras dans lesquels Violette vint se jeter. Tout en la serrant contre son coeur, il la fit tourner dans ses bras.

- Mon bébé !!! Comme tu m'as manqué. Mais tu es une grande fille maintenant, dis donc... Tu marche comme une grande. Ton papa a un cadeau pour toi.

La couvrant de baiser, Henri continua vers Pailette qu'il serra contre lui de son bras libre. Il l'embrassa doucement, tendrement, de tout l'amour qu'il avait pour elle.

- Bonjour mon amour. Comme je suis heureux de vous revoir enfin. Vous m'avez tellement manqué... Je t'aime, je vous aime toutes les deux. Nous sommes enfin réunis.

Et lui tendant le bouquet de fleurs :

- Tiens, mon amour. Leur beauté est bien pâle par rapport à la tienne, mais chacune de ces fleurs t'est offerte avec tout mon amour.
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Pailette observa, en souriant, Henri accueillir Violette dans ses bras protecteurs.

-Bonjour mon Amour...Toi aussi,tu nous as beaucoup manqué!

Elle se mit dans ses bras,l'embrassant tendrement.

-Ton bouquet est magnifique,merci!

Pailette huma avec délice les fleurs et lui souria.

-Enfin,nous sommes réunis!J'espère ne plus être séparé de toi!...Mais...Tu n'as pas dis que tu avais un paquet pour notre fille?...Et si nous allions voir?!...Oui,je sais ma curiosité est grande!
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Citation:

- Ton bouquet est magnifique, merci !

Henri lui sourit et l'embrassa tendrement une fois de plus.

Citation:

- Enfin,nous sommes réunis ! J'espère ne plus être séparé de toi !... Mais... Tu n'as pas dis que tu avais un paquet pour notre fille ?... Et si nous allions voir ?!... Oui, je sais ma curiosité est grande !

- Oui, nous sommes enfin dans les bras l'un de l'autre. Ca m'a terriblement manqué. Effectivement, j'ai un petit paquet pour notre fille. Allons dans le salon, je l'ai déposé là-bas.

Passant un bras autour de son cou, il l'entraina devant la table sur laquelle était posé le paquet. Il prit le paquet et le donna à Violette, toujours dans ses bras. La petite s'en empara et déchira le papier.

- Regarde, mon amour, on a l'impression qu'elle a déjà fait ça.

Le papier ouvert, la petite robe apparut.

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Pailette regardait Violette déchirait le papier

Citation:

-Regarde, mon amour, on a l'impression qu'elle a déjà fait ça

-Oui...Elle est marrante

Pailette souriait en la voyant faire et découvrit la robe

-Ooohh qu'elle est jolie!...Je vais lui mettre de suite

Elle prit la petite robe et Violette,elle l'installa debout sur la table et la changea puis la posa par terre en l'admirant

-Une véritable petite princesse!Tu es magnifique mon petit coeur!

Pailette alla dans les bras d'Henri

-Cette petite robe lui va a ravir!

Elle l'embrassa tendrement lui murmurant:je t'aime
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Henri_de_plumaugat

Henri regarda Pailette mettre la robe à Violette. Lui aussi admira leur petite fille dans cette si jolie petite robe.

Citation:

- Une véritable petite princesse ! Tu es magnifique mon petit cœur !

Henri sourit et attrapa Pailette dans ses bras.

Citation:

- Cette petite robe lui va a ravir !

- Heureusement que je l'ai prise plus grande, je ne m'attendais pas à ce qu'elle grandisse aussi vite. Mais c'est vrai qu'elle est magnifique notre petite princesse.

Il répondit tendrement à son baiser et lui murmura aussi :

- Je t'aime de tout mon amour, ma chérie, comme jamais je n'ai aimé qui que ce soit.
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Pailettedargent

Citation:

- Je t'aime de tout mon amour, ma chérie, comme jamais je n'ai aimé qui que ce soit.

Pailette lui sourit et sentit Violette contre elle.

-Toi aussi ,tu veux des câlins,ma puce?!

Elle la prit dans ses bras ,lui déposa de petits bisous sur ses joues

-Et si nous allions voir les chevaux ....Quand pensez-vous mes deux Amours?
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Et si nous allions voir les chevaux.... Quand pensez-vous mes deux Amours ?

- Proposition acceptée à l'unanimité !!

Henri passa un bras autour des épaules, ils prirent tous trois la direction de l'écurie. Ils furent accueilli par des hennissement joyeux venant du pré.

- Regardez, ils viennent tous les trois vers nous ! Ils sont contents de nous revoir. Que dis-tu d'aller faire une promenade tous les trois ? Cela leur dégourdirai un peu les jambes et nous serions un peu tranquilles en forêt.
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Pailettedargent

Citation:

Que dis-tu d'aller faire une promenade tous les trois ?

-Oui!Très bonne idée...Allons-y!

Pailette était enchantée de cette sortie en forêt.Elle appela Féerie prêt d'elle et commençà à la seller pendant ce temps Etoile lui mordillait ses bottes

-Eeeeh...Faut pas de gêner mon grand...Non mais oh!

Pailette se tourna vers Henri

-Je te laisse prendre Violette avec toi?
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Henri_de_plumaugat

En voyant Etoile venir mordiller les bottes de Pailette, Henri se mit à rire.

- Que veux-tu, il doit vouloir sortir lui aussi. Je vais lui mettre un licol et nous le prendrons avec nous.

Après avoir terminé de seller et brider son étalon Alizé, Henri prit un licol qu'il passa autour du museau d'Etoile. Puis avec une longe, il l'attacha à la selle de son cheval.

Citation:

- Je te laisse prendre Violette avec toi ?

- Si tu veux. Tu me la passe une fois que je suis là-haut, s'il te plaît ?
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Pailettedargent

Citation:

- Si tu veux. Tu me la passe une fois que je suis là-haut, s'il te plaît ?

-D'accord...

Violette regardait Alizé en souriant
-Dada...

-Cheval,ma chérie...

Pailette se mit à genoux devant elle

-Che-val..Tu répètes?!

Violette regardait sa mère en faisant la moue
-Dada!

-Mouais....Aussi têtue que moi,à ce que je vois!

Pailette se releva en soupirant ,se retournant vers Henri qui venait de monter.
Elle attrapa Violette,lui colla un gros bisou sur sa joue

-Je t'adore ma chérie,ne change surtout pas!

Elle lui sourit et la déposa dans les bras d'Henri
Pailette monta Féerie

-Tout le monde est prêt?
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Henri_de_plumaugat

Du haut de son cheval, Henri contemple la scène en souriant. Pas facile de faire rentrer des choses dans ces petites têtes blondes. Mais il savait bien que ce n'est qu'à force de répéter, patiemment encore et toujours les même choses, que ça finit par rentrer. Il attrapa sa petite fille que lui tendait son Amour et la tint bien devant lui.

Citation:

- Tout le monde est prêt ?

-Affirmatif !
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Pailettedargent

Citation:

-Affirmatif !

- C'est parti!

Pailette donna un petit coup de talon à Féerie et se dirigea vers la forêt en trottinant.Elle se retourna pour voir ses deux Amours,Violette riait aux éclats.
Ils rentrèrent dans la forêt au pas,les oiseaux chantaient dans les arbres,au détour du sentier,une biche et son faon les regardaient.
Pailette et Henri arrêtèrent les chevaux pour les observer.Violette poussa un petit cri,la biche et son petit prirent la fuite à travers le sous-bois.
Ils reprirent leur promenade à la cadence des chevaux.
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Henri_de_plumaugat

Donnant lui aussi un coup de talon, Henri mit Alizé sur les traces de Féérie. Il se porta à sa hauteur pour chevaucher à côté de sa bien-aimée. On sentait le bonheur flotter autour d'eux, presque palpable. Peut importe où les conduisaient les chevaux, ils étaient ensembles, tous les trois et c'est la seule chose qui compte.
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Pailettedargent

Pailette se tourna vers Violette,elle frottait son petit nez.

-Et bien ma chérie,tu commences a fatiguer?!...On va rentrer tranquillement à la maison pour que tu puisses faire un gros dodo.

Elle arrêta Féerie,Alizé se mit à côté,Pailette en profita pour se pencher sur Henri et l'embrassa avec tout son amour.

-Je t'aime mon Coeur,je suis si bien avec toi...Jamais je ne me suis sentie aussi bien...Une chose est certaine,tu es l'homme de ma vie,je ne me vois pas vivre sans toi.

Pailette lui sourit,glissant sa main sur sa joue.
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Henri_de_plumaugat

Henri se pencha pour regarder Violette.

- Oh oui, la petite puce, elle est fatiguée.

Henri répondit au baiser de Pailette de toute sa tendresse.

Citation:

- Je t'aime mon Cœur, je suis si bien avec toi... Jamais je ne me suis sentie aussi bien... Une chose est certaine, tu es l'homme de ma vie, je ne me vois pas vivre sans toi.

- Je t'aime aussi mon Amour. Rassure-toi, nous ne vivrons jamais séparés. Je t'aime, et moi non plus je ne peux concevoir ma vie sans toi. Tu es mon soleil qui me réchauffe le cœur et l'air qui me permet de vivre.

Attrapant la main de Pailette, il la garda quelques instants sur sa joue puis y déposa un baiser.
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Pailettedargent

Pailette lui sourit et remit Féerie au pas pour rentrer à la maison.
Une fois là-bas,elle attacha sa jument,prenant Violette dans ses bras.

-Je vais la coucher de suite,elle tombe de sommeil.Je reviens après pour m'occuper de Féerie.

Elle embrassa Henri avant de partir,serrant leur fille contre elle,elle prit le chemin de la maison.
Violette s'endormit aussitôt dans ses bras.
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Henri_de_plumaugat

De retour à la maison, Pailette prit Violette des bras d'Henri pour aller la coucher.

Citation:

- Je vais la coucher de suite, elle tombe de sommeil. Je reviens après pour m'occuper de Féerie.

- Ne t'en fais pas pour ça, si tu veux je peux m'en occuper. A moins que tu ne préfère t'en occuper toi-même.

Il l'embrassa et la regarda s'éloigner, Violette endormie dans ses bras. Il finit par descendre de cheval. Menant Alizé par la bride, il l'attacha devant son box et entreprit de le desseller et de le débrider. Il posa la selle sur son support puis il se mit à bouchonner Son étalon avec de la paille fraîche.
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Pailettedargent

Pailette revint à l'écurie après avoir couché Violette,elle vit Henri occuper avec Alizé,elle s'approcha doucement sans bruit en prenant une poignée de paille dans la main,elle lui mit dans les cheveux en riant.

-Ohh tu es beau comme çà!

Pailette lui sourit,déposant délicament un baiser sur ses lèvres et alla s'occuper de Féerie.
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Henri_de_plumaugat

Tout occupé à bouchonner Alizé, Henri n'entendit pas Pailette revenir. Il ne s'aperçut de sa présence que lorsque de la paille, reposant normalement si sagement sur le sol, se retrouva curieusement sur sa tête. Il comprit ce qui se passait lorsqu'il entendit une voix rieuse dire :

Citation:

- Oh tu es beau comme ça !

Après s'être secoué les cheveux et avoir répondu au baiser de celle qu'il aimait, Henri réfléchit quelques instants à une vengeance digne de ce nom. Avisant un seau d'eau bien fraîche, il en pris un peu dans sa main et la fit couler dans le cou de sa bien-aimée.

- Oh excuses-moi, comme je suis maladroit...

En riant, il la prit dans ses bras pour la réchauffer et déposa un doux baiser sur ses lèvres.
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Pailettedargent

Pailette sursauta au contact de l'eau froide dans son cou

Citation:

- Oh excuses-moi, comme je suis maladroit...

Elle se mit à rire ,l'embrassa tendrement,elle le fixa en souriant malicieusement.
D'un croche-pied,Pailette le fit tomber dans la paille.

-Oups...mon pied a glissé
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Oups... mon pied a glissé...

Henri se retrouva assis dans la paille. Il secoua la tête pour remettre ses idées en place. Tendant la main à Pailette, il lui dit :

- Ah c'est malin... Aide-moi au moins à me relever maintenant.

Et alors que celle-ci lui tendait innocemment la main, Henri la lui agrippa traîtreusement et l'entraina avec lui, la faisant tomber à ses côtés sur la paille. Allongés l'un à côté de l'autre, ils riaient aux éclats. Henri, s'appuyant sur un coude, lui écarta les cheveux qui étaient sur sa figure d'une douce caresse et l'embrassa tendrement.
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Pailettedargent

Pailette lui sourit,lui rendant son baiser.

-Hum...Tu as osé me faire tomber?!...Tant pis pour toi!

Elle se jeta sur lui et se mit à le chatouiller
Pailette riait de le voir se débattre pour esquiver les chatouilles.
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Henri_de_plumaugat

Henri se tortillait et essayait d'attraper les mains de Pailette. Il riait aux éclats et les larmes lui montaient aux yeux. Il était terriblement chatouilleux.

- Arrête ! Arrête ! S'il te plaît ! Tout mais pas ça...

Mais il riait tellement que Pailette ne devait pas comprendre un seul mot de ce qu'il disait.

- D'accord, je m'excuse de t'avoir fait tomber. Ca te va ?
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Pailettedargent

Citation:

- D'accord, je m'excuse de t'avoir fait tomber. Ca te va ?

Pailette arrêta de le chatouiller

-Laisse moi réflèchir un instant...Voyons...euh...Oui mais à une seule condition...

Elle lui souria ,voyant son regard inquiet posé sur elle

-...Que tu m'embrasses!
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Oui mais à une seule condition...

- ...Que tu m'embrasses !

- Ca me va très bien, lui chuchota Henri.

Mettant ses mains sur ses joues, il attira sa bouche contre la sienne et l'embrassa doucement, tendrement, lui murmurant à l'oreille les mots les plus doux du monde.
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Pailettedargent

-...Humm...C'est bon...tu es pardonné!

Pailette l'embrassa passionnément et se releva.

-C'est pas tout çà mais Féerie m'attend...La pauvre.

Elle se dirigea vers sa jument,jetant un regard complice à son fiancé.

-Allez,zou ma belle à nous deux!

Elle finissa de s'occuper de Féerie et la rentra dans son box.
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Henri_de_plumaugat

Henri resta allongé sur la paille, ne se lassant pas de contempler sa fiancée. Quand elle eût finit de s'occuper de sa jument, il se leva et prenant son cheval par la bride, l'emmena lui aussi dans son box. Il lui flatta l'encolure puis rejoignit Pailette. La prenant par les épaules, il l'attira contre lui pour l'embrasser puis ils sortir tous les deux de l'écurie.

- Comme le jardin est calme... C'est une très belle journée. Veux-tu que nous fassions un petit tour tranquille tous les deux ?
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Pailettedargent

Citation:

- Comme le jardin est calme... C'est une très belle journée. Veux-tu que nous fassions un petit tour tranquille tous les deux ?

-Oh oui!C'est une très bonne idée!

Voilà ce que Pailette adorait,les choses toutes simples,le bonheur d'être ensemble en famille ou à deux ,pour elle, rien ne valait plus que ses petits bonheurs,ces moments partagés.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Oh oui ! C'est une très bonne idée !

Se prenant par la main, ils sortirent dans le jardin et marchèrent tranquillement sur la pelouse, regardant les fleurs, les arbres, écoutant le chant des oiseaux et le frissonnement des branches agitées par le vent du soir. Ils partageaient tous les deux ces instants de pur bonheur, savourant ces instants ensembles. Par un simple regard, ils disaient à l'autre tout ce qu'ils ressentaient. Ils s'aimaient...
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Pailettedargent

[La famille s'agrandit...]

De retour de l'orphelinat,Pailette entra dans la maison.

-Et voilà mon petit Joseph,bienvenue chez toi dans ta famille.

Elle regarda Henri en souriant et posa son regard sur Violette qui commençait à fouiller dans un des meubles.

-Non,Violette...On ne fait pas les meubles ,c'est dangereux pour toi,tu es encore trop petite.

-Pô pitite moi!

Pailette déposa Joseph dans les bras de son père et attrapa Violette dans ses bras.

-Bien,Mademoiselle...Moi,je te dis que tu es encore trop petite...Allez,on va à la cuisine,je vais te donner quelque chose à grignoter...Mon Amour,je te laisse t'occuper de Joseph.

Elle l'embrassa tendrement et s'en alla avec Violette dans la cuisine.
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Henri_de_plumaugat

Henri prit Joseph dans ses bras.

Citation:

- Mon Amour, je te laisse t'occuper de Joseph.

Il répondit à son baiser puis lui dit :

- Je monte à l'étage, je vais lui préparer sa chambre. Que penses-tu de changer Violette de chambre maintenant qu'elle est une grande fille et qu'on mette Joseph à sa place, juste à côté de nous ?
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Pailettedargent

Citation:

- Je monte à l'étage, je vais lui préparer sa chambre. Que penses-tu de changer Violette de chambre maintenant qu'elle est une grande fille et qu'on mette Joseph à sa place, juste à côté de nous ?

-Très bonne idée,mon Coeur,je te laisse gérer tout çà.

Pailette lui fit un clin d'oeil,quand elle sentit une petite main la tapoter

-Oui,Violette...Sois pas si impatiente,on y va!
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Henri_de_plumaugat

Henri monta donc à l'étage avec Joseph dans les bras. Arrivé en haut, il le déposa délicatement dans un berceau après l'avoir embrassé doucement.

- Dors mon bébé, tu es en sécurité. Papa va s'occuper de toi.

S'asseyant quelques instants à côté du berceau, il lui fit prendre un lent mouvement de balancier pour que le petit s'endorme. Joseph ne tarda pas à fermer ses petits yeux et à s'endormir profondément. Henri le regarda pendant quelques instants tout en souriant. Mais il fallait qu'il se mette au travail. Il remonta ses manches de chemise et se mit à déménager les affaires de Violette pour les mettre dans une chambre plus grande. Il y mit un lit plus grand aussi car ce n'était plus un bébé maintenant, mais une toute petite fille. Puis il s'occupa de la chambre de Joseph. Heureusement, grâce à tout le travail qu'il avait fourni avant l'ouverture de la maternité, il avait pas mal de meubles en réserve.

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Pailette déposa Violette sur une des chaises et lui prépara une tartine de pain avec de la confiture.

-Voilà,ma puce,régale toi.

Elle regarda sa fille mangeait sa tartine,tout en se collant de la confiture partout sur la figure et sur ses mains.

-Oh ...Bah tu es jolie comme çà!

Pailette attrapa un linge, l'humidifia légèrement et nettoya Violette
Après un petit moment de jeu partagé avec la petite,elle se leva

-Allez,on va aller voir papa et Joseph.

Elle prit la petite princesse dans ses bras et se dirigea à l'étage.
Devant la porte de la chambre de leur fils,Pailette admira le travail de son tendre Amour.

-Quelle magnifique chambre!C'est superbe!

-A moi..

-Non,ma chérie,c'est la chambre de ton frère...Toi maintenant,tu as une chambre de petite fille.

Violette regarda son père en lui tendant ses petits bras.

-papa...
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Quelle magnifique chambre ! C'est superbe !

- Merci mon amour.

Citation:

- papa...

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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Merci pour elle...

- Mais je t'en prie. Tout ce que je fais c'est par amour pour toi.

Et Henri répondit passionnément au baiser de celle qui est tout, absolument tout pour lui.
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Pailettedargent

Citation:

- Mais je t'en prie. Tout ce que je fais c'est par amour pour toi.

Henri_de_plumaugat

Henri se laissa faire, et après l'avoir embrassée lui répondit :

- Moi aussi ma chérie !

Citation:

- Profitez-en bien tous les deux !

Pailettedargent

Henri_de_plumaugat

Pailettedargent

Citation:

- Nous avions la princesse, maintenant que tu es là, nous avons la reine. Tu viens jouer un peu avec nous avant que nous fassions prendre son bain à la petite ?

Henri_de_plumaugat

Henri était heureux aussi. Toute la famille était là, jouant ensemble. Mais même les meilleures choses ont une fin :

Citation:

- Violette, il est temps d'aller au bain.

Leur petite princesse n'était visiblement pas contente. Mais Pailette, en bonne maman qu'elle était, ne céda pas :

Citation:

- Non, non, pas besoin de faire ça... Tu y vas, il est l'heure.

Pailettedargent

Henri_de_plumaugat

Citation:

- Mon Cœur !... On va bientôt avoir de la visite, si tout se passe bien !

Henri leva les yeux vers elle avec un air interrogateur. Il passa un bras autour de ses épaules quand elle s'assit à côté de lui.

Citation:

- Maël et Kenshi vont peut être bientôt venir à Vannes.

- Mais c'est une merveilleuse nouvelle ! Tu entends ma grande ? Tante Maël et tonton Kenshi vont venir nous voir !!! Et quand sont-ils censés arriver ?
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Pailettedargent

Citation:

-...Et quand sont-ils censés arriver ?

Henri_de_plumaugat

Citation:

Pailettedargent

Citation:

Et Muse ? Elle ne veut pas les accompagner ?

-Muse est toujours en voyage,je ne sais même pas où elle se trouve d'ailleurs...

Citation:

- Je te la laisse, le temps de verser la bassine dans la baignoire et je viens la reprendre.

Pailette jouait a attrapper le nez de Violette quand Henri revint

Citation:

- Allez, tu viens ?

Henri_de_plumaugat

Pailettedargent

Pailette regardait amusée,la scène entre Henri et Violette,elle les regarda partir dans à l'étage.
Quelques instants plus tard,une voix s'éleva du haut de l'escalier

Citation:

- Ca y est, ma chérie, nous avons terminé. Tu peux prendre la place avec Joseph ! Si tu veux encore un peu d'eau chaude, dis-le moi, j'irai la chercher !

Pailette prit Joseph dans ses bras

-Allez mon grand,à nous deux!

Elle arriva dans la salle d'eau,posant le petit non loin d'elle,vérifia la température du bain.

-Mon Coeur...Pas besoin d' amener d'eau,elle est encore bonne!

Pailette regarda Joseph en souriant.

-Et si nous prenions notre bain ensemble,mon chéri?!

Elle se déshabilla ainsi que le petit et plongea dans le bain.
Pailette posa Joseph sur ses jambes,lui mouillant légèrement la tête.

-Voilà,mon bébé...On est bien comme çà,tout les deux.

Elle admirait son fils,lui parlant doucement.
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Henri_de_plumaugat

Ayant terminé d'habiller et de coiffer Violette, Henri lui dit :

- Tu veux qu'on fasse la cuisine tous les deux ? On va préparer ton petit repas, d'accord ?

Violette lui répondit par un sourire désarmant dont elle a le secret. Prenant sa princesse dans ses bras, Henri se dirigea vers la salle d'eau. Restant à la porte il demanda à son Amour :

- Ma chérie, je descend avec Violette préparer son repas, et puis le nôtre par la même occasion. Qu'est-ce que tu as prévu ?
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Pailettedargent

Citation:

- Ma chérie, je descend avec Violette préparer son repas, et puis le nôtre par la même occasion. Qu'est-ce que tu as prévu ?

-Je suis allée au marché ,le panier est sur la table,tu trouveras ton bonheur.

Pailette regarda Joseph

-Tu sais que tu es adorable mon ange?!

Elle entreprit de le laver,tout en fredonnant une petite chanson.Une fois fait,elle sortit du bain ,posant le petit près d'elle,elle l'entoura dans une serviette et en profita pour s'habiller.

-Allez mon chéri,on va finir de te préparer!

Pailette se dirigea vers sa chambre et l'habilla.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Je suis allée au marché, le panier est sur la table, tu trouveras ton bonheur.

Henri descendit donc les escaliers pour se rendre à la cuisine. Mais en partant, il entendit Pailette dire à Joseph :

Citation:

- Tu sais que tu es adorable mon ange ?!

Sachant pertinemment que cela ne lui était pas destiné, il dit en riant :

- Je sais, je sais mon Amour !

Ne laissant pas à Pailette le temps de lui répondre, il descendit vite à la cuisine. Il vit effectivement le panier rempli de bonnes choses trônant majestueusement sur la table de la cuisine. Posant Violette, il entreprit de le vider. Il aligna sur la table le pain, les légumes et un gros jambon.

- Nous allons nous régaler ma chérie.

S'accrochant à la jambe du pantalon de son papa, Violette regardait tout cela avec de grands yeux.

- Mniam, mniam...

Cela fit beaucoup rire Henri.

- Ne t'inquiète pas ma chérie, tu vas bientôt manger.

Prenant une marmite il mit de l'eau sur le feu pour faire bouillir les légumes. En attendant que le tout cuise, il entreprit de mettre la table pour Pailette et lui. Violette le regardait avec envie en train de fouiller dans les placards. Elle tendit les mains vers les assiettes.

- Moi...

- Non, pas les assiettes, c'est trop fragile. Tiens, prends la tienne.

Prenant son assiette en bois, Violette, très fière, se dirigea vers la table. Mais elle était trop petite pour la poser dessus. Elle regarda son papa avec des yeux suppliants.

- Papa...

Henri posa ses assiettes et prenant Violette dans ses bras il lui permit de poser son assiette sur la table. Il lui fit un gros baiser sur la joue et retourna avec elle à la cuisine en esquissant quelques pas de danse avec sa petite fille chérie.

Soulevant le couvercle de la marmite, il jugea les légumes cuits. Posant Violette, non sans quelques ronchonnements de sa part, il sortit la marmite du feu, et récupérant les légumes il entreprit de faire une bouillie. Il ajouta quelques fines herbes pour donner plus de goût et pour que Violette apprenne à aimer les bonnes choses.

- Allez, à table ma grande !

La prenant sur ses genoux, Henri fit manger tranquillement sa fille.
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Pailettedargent

Pailette arriva dans la cuisine avec Joseph.

-Bon appétit Violette.

La petite la regarda

-...ci...

Pailette souria

-Ce n'est pas ci mais merci.

Violette tirait la manche d'Henri

-a faim...'core

-Gourmande!

Pailette prépara un biberon ou plutôt une sorte de gourde pour donner à manger à Joseph.Elle s'installa sur une chaise,le petit se mit à têter,elle le regardait faire,elle laissa échapper un soupir,elle aurait tant voulu l'allaiter aussi.
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Henri_de_plumaugat

- a faim... 'core

- Comment on demande ?

- ...plait papa !

- C'est bien ma grande.

En souriant Henri se leva pour remettre quelques légumes dans l'assiette de Violette. De nouveau assis, il regarda Pailette assise avec Joseph dans les bras. Il lui adressa un sourire qui traduisait tout son bonheur. Une vraie vie de famille.
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Pailettedargent

Pailette lui rendit son sourire.

-Oh! J'allais oublier!...Ma cousine de Tréguier va venir nous rendre visite d'ici peu...Tu vas voir,elle est très gentille.

Elle redressa Joseph qui avait fini ,le mettant contre elle.

-Je vais coucher notre petit Ange,il s'endort.

-...Bichou

-Violette,on ne parle pas la bouche pleine,c'est mal poli.

Elle lui approcha Joseph,la petite colla sa bouche sur la joue de son frère,lui laissant une marque de légumes.
Pailette se mit à rire ,essuyant le petit, puis elle l'approcha de son bien-aimé pour qu'il puisse lui déposer un baiser.

-Et maintenant au lit.

-Na...pas dodo...

-Non,pas toi...Toi,tu finis d'abord ton assiette.

Violette pointa son doigt vers l'assiette

-A pu

-Si...Il en reste...Donc tu finis.

Pailette se dirigea vers la chambre de Joseph.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Oh ! J'allais oublier !... Ma cousine de Tréguier va venir nous rendre visite d'ici peu... Tu vas voir, elle est très gentille.

- Encore une bonne nouvelle. Comment s'appelle-t-elle ? Tu veux dire dans quelques jours ? Je n'en doute pas une seconde qu'elle est gentille. De toute façon, serait-elle la plus méchante des femmes, si ça te fait plaisir de la voir, cela ne me poserait aucun problème.

Citation:

- Je vais coucher notre petit Ange, il s'endort.

- D'accord. Je te rejoins bientôt avec Violette.

Henri fit un gros baiser sur le front de leur fils.

- Dors bien mon bonhomme.

Laissant Pailette aller le coucher, il s'occupa de nouveau de Violette, finissant de lui donner à manger. Une fois l'assiette finie, il lui essuya la bouche et l'emmena au salon. Il s'assit par terre devant le feu et se mit à lui raconter une histoire. Mais bientôt, la petite se mit à bailler très fort et ses petits yeux se fermaient.
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Pailettedargent

Citation:

Comment s'appelle-t-elle ?

-Elle se nomme Saroyane.

Pailette coucha leur petit prince dans son berceau,lui fredonnant une berceuse.,elle lui caressait doucement ses fins cheveux.Quand il fut endormi,elle l'observa un moment puis s'en alla sur la pointe des pieds.
Elle se dirigea vers la chambre de Violette pour lui préparer son lit.
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Henri_de_plumaugat

Henri se leva doucement pour ne pas réveiller Violette et, la tenant serrée contre son cœur, il la montât dans sa petite chambre pour la coucher. Il y trouva Pailette qui avait déjà fermé les volets et ouvert le petit lit. Il fit un gros baiser à sa fille et la donna à son Amour pour qu'elle lui dise bonsoir et qu'elle la couche.

- Dors bien ma princesse, fais de beaux rêves.
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Pailettedargent

Pailette prit la petite dans ses bras,la serrant doucement contre elle,respirant l'odeur de ses cheveux et lui déposa un tendre baiser.

-Je t'aime ma puce...Dors bien mon Ange.

Elle la coucha,lui remontant ses draps.Violette se mit sur son côté,ouvrant légèrement les yeux et d'une voix endormie:

-T'aime maman..

Pailette se mit à genoux devant elle.

-Tu es mon petit trésor ...Je t'adore.

Elle lui déposa à nouveau un baiser, sortant doucement de la chambre avec Henri.

-Bon,les enfants sont couchés et si nous allions mangés?
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Henri_de_plumaugat

Henri les regarda toutes les deux en souriant.

Citation:

- Bon, les enfants sont couchés et si nous allions manger ?

- C'est une très bonne idée. Allons-y, ma chérie.

Henri lui passa un bras autour des épaules et l'entraina vers la cuisine. Il la fit assoir sur une chaise.

- Tu ne bouges pas, tu as déjà suffisamment travaillé pour aujourd'hui, c'est moi qui fait la cuisine.

Il l'embrassa sur le front et lui murmura :

- Je t'aime...
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Pailettedargent

Pailette s'asseya en lui souriant.

-Je t'aime aussi mon Amour.

Elle le regarda s'affairer aux fourneaux,tout en se plongeant dans ses pensées.
Pailette se souvenait de sa vie d'avant,un brin d'aventure,un zest de folie et des fous rires incontrôlables avec Muse...Elle souria en repensant à tout çà mais une personne était venue troubler cette vie:Son Henri...Sans aucun regret,elle l'avait suivi ici,ils ont crées leur famille avec Violette et Joseph.
Sa nouvelle vie lui plaisait,elle l'adorait et pour rien au monde,elle ne reviendrait en arrière même si ses soeurs lui manquait.
Pailette se leva,enlaçant Henri qui était de dos,toujours entrain de cuisiner.

-Je t'aime tant mon Amour...
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Henri_de_plumaugat

Tout occupé à faire la cuisine, Henri sentit les bras de Pailette l'enlacer. Posant ce qu'il avait dans les mains, il se retourna et l'embrassa tendrement. Ces moments d'intimité, de tendresse, de douceur était merveilleux, et jamais ils n'en gaspillaient une seconde.

- Moi aussi, je t'aime infiniment ma chérie, mais...

Il la regarda malicieusement.

- Si je te dis combien, ou si je t'embrasse aussi longtemps que je le voudrais, les œufs vont être trop cuits.
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Pailettedargent

Citation:

- Si je te dis combien, ou si je t'embrasse aussi longtemps que je le voudrais, les œufs vont être trop cuits.

Pailette se mit à rire.

-Je te laisse finir alors...Tu me le diras après le souper.

Elle lui fit un sourire amusé et alla se remettre à table pour laisser Henri finir la préparation du repas tranquillement.
Pailette continuait de le regarder du coin de l'oeil.
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Henri_de_plumaugat

Henri termina l'omelette, y ajouta des fines herbes du jardin, coupa quelques tranches de jambon et apporta le tout sur la table.

- Et voilà ! Rien de bien sensationnel, mais la cuisine n'est pas mon fort. Je ne sais pas si du coup c'était vraiment une bonne idée que je la fasse.

Il embrassa Pailette au passage avant de s'assoir à côté d'elle.

- Voudras-tu une infusion de menthe à la fin du repas ?
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Pailettedargent

Pailette répondit à son baiser avec tendresse.

-Si...C'était une bonne idée,je suis sûre que cette omelette est très bonne.

Elle goûta ce repas qu'il avait préparé avec soin.

-Humm...Elle est très bonne cette omelette!

Citation:

- Voudras-tu une infusion de menthe à la fin du repas ?

-Volontiers..Et on ira la déguster près de la cheminée.

Pailette finissa son assiette ,sans en laisser une miette.
Puis elle entreprit de débarasser la table et de nettoyer pendant qu'Henri préparait l'infusion.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Humm... Elle est très bonne cette omelette !

- Merci ma chérie.

Citation:

Et on ira la déguster près de la cheminée.

- Figures-toi que j'avais la même idée.

Laissant a fiancée s'occuper de la table et de la vaisselle, Henri se rendit dans le jardin pour cueillir des brins de menthe fraîche. Il les nettoya puis les plongea dans une casserole d'eau chaude. Il fit monter la température de l'eau jusqu'à ce qu'elle frémisse légèrement. Il servit la tisane dans deux tasses qu'il amena près du canapé. Puis il appela son Amour, lui indiquant la place à côté de lui.

- Tu viens ma chérie ?
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Pailettedargent

Pailette se lavait les mains..

Citation:

- Tu viens ma chérie ?

-J'arrive mon Coeur!

Elle alla vers le canapé près d'Henri,prenant sa tasse ,elle s'appuya contre lui,regardant la cheminée

-Qu'est ce qu'on est bien ,ici tout les deux...Ecoute ce silence....

Pailette souria

-...Mais j'aime aussi entendre Violette avec son petit caractère.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Qu'est ce qu'on est bien ici tous les deux... Ecoute ce silence...

Henri tenait Pailette contre lui, regardant la lueur du feu danser dans les yeux de sa bien aimée.

- Nous sommes merveilleusement bien. Plus de bruit d'enfant, rien que nous, l'un contre l'autre. Je crois que ce doit être le même instant de repos et de bonheur pour tous les parents du monde.

Citation:

- ... Mais j'aime aussi entendre Violette avec son petit caractère.

- Bien sûr, on est toujours content de les avoir avec nous. Ce sont nos enfants...

En souriant, Henri déposa un doux baiser sur la magnifique chevelure de Pailette.

- Tu es si belle...
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Pailettedargent

Citation:

- Tu es si belle...

-Oui,je sais .

Pailette se mit à rire et l'embrassa tendrement.
Elle s'allongea sur le canapé,posant sa tête sur les genoux de son fiancé.

-Tu crois que l'on peut arrêter un instant le temps?

Elle regardait les flammes dans l'âtre,petit à petit le sommeil l'envahissait,un soupir de bien-être,Pailette était détendue,en sécurité,elle s'assoupissa.
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Henri_de_plumaugat

Henri répondit tendrement à son baiser.

Citation:

- Tu crois que l'on peut arrêter un instant le temps ?

- Même si on ne peut pas, on va quand même essayer.

Henri lui caressait doucement les cheveux. Voyant qu'elle s'assoupissait, il arrêta complètement de bouger et ne pouvait détacher son regard de son visage si serein. Il lui murmurait doucement des mots doux tout en la regardant.
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Pailette dormait paisiblement,elle rêvait ,elle se voyait enfant avec Muse entrain de courir à travers champ,elles se prennaient pour des chevaliers allant secourir leur petite soeur...Au loin,elle entendit une voix,des mots doux...Pailette se réveilla,levant ses yeux vers son bien-aimé.

-...Je t'aime.
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Henri_de_plumaugat

- Je t'aime aussi, de toutes mes forces...

Disant cela, il lui caressait doucement le front. Puis il lui prit la main et la tenant dans la sienne, il y déposa un doux baiser.

- Il m'est impossible de vivre sans toi. Tu es mon soleil qui me réchauffe et m'illumine pendant mes journées, mon étoile qui me guide pendant la nuit. Tu es mon Amour... Et je n'ai plus de cœur car il est tien.
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Pailette l'écouta ,s'asseyant à côté de lui,ne sachant pas quoi répondre à ses paroles,elle lui déposa un tendre baiser.
De petits pleurs se firent entendre à l'étage.

-Papaaaa...Papaaaa..

-Ohh..Violette a besoin de toi!...Je te laisse y aller,je vais voir vite fait Joseph et après je vais au lit.

Pailette se leva,l'embrassant tendrement .
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Oh...Violette a besoin de toi !... Je te laisse y aller, je vais voir vite fait Joseph et après je vais au lit.

- On dirait, oui. Allons-y.

Henri se leva avec elle et répondit à son baiser avec toute sa tendresse.

- Dors bien ma chérie.

Arrivé à l'étage, Henri entra dans la chambre de Violette. Il la trouva en train de pleurer. Il la prit tendrement dans ses bras.

- Qu'est-ce qu'il y a ma grande ? Tu as fait un mauvais rêve ? Allez, viens dans mes bras me faire un câlin. Voilà, c'est fini. Chut, chut, chut ma princesse., C'est tout.

Henri resta quelques instants avec sa fille dans ses bras, la berçant doucement. Elle finit par se rendormir et il la recoucha doucement en fredonnant un petit air de berceuse. Il la borda puis sortit de la chambre sur la pointe des pieds.
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Pailette entra sans bruit dans la chambre de Joseph,elle se pencha sur son petit lit,il dormait profondément.
Elle sortit sans faire de bruit,dans la chambre voisine,Pailette entendit Henri fredonnait une berceuse,elle sourit et se dirigea vers sa chambre.
Pailette brossa ses cheveux et se coucha,elle plongea dans les bras de Morphée.
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Henri_de_plumaugat

Lorsque Henri sortit de la chambre de Violette, il n'alla pas tout de suite se coucher. Le sommeil ne voulait pas venir. Il redescendit donc au salon et s'assit confortablement dans le canapé. Il regarda l'âtre pendant un bon moment, observant le feu en train de mourir doucement. L'obscurité devint bientôt totale. Finalement, recru de fatigue, il s'endormit à l'endroit même ou sa bien aimée s'était endormie quelques moments auparavant.
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Au petit matin,une voix se fit entendre

-Maman...A 'bout!

Pailette ouvrit un oeil

-Bonjour mon petit coeur,tu as bien dormi?

-Vi...câlin...

Violette grimpa dans le lit contre sa mère.
Pailette l'enlaça contre elle,la couvrant de petits bisous.
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Henri_de_plumaugat

En bas, sur le canapé, Henri fut réveillé par le soleil qui entrait à flot par la porte du jardin. Il eût un peu de mal à se rappeler où il était. Dormir sur le canapé, quelle drôle d'idée... Il alla ouvrir en grand la porte du jardin et respira le bon air de cette fin d'été. Puis il prit la direction du premier étage pour aller voir tout le monde. Ce qu'il vit le combla de bonheur immédiatement.

- Est-ce que moi aussi j'ai droit à un câlin ?
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Citation:

- Est-ce que moi aussi j'ai droit à un câlin ?

Pailette le regarda en souriant

-Mais bien entendu...Violette,tu fais une place à papa?!

Violette se mit bien au milieu du lit,tapotant de sa petite main le lit.

-Viens papa...A place..
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Henri_de_plumaugat

- Viens papa... A place...

- Merci mes amours.

En souriant, Henri s'installa à côté d'elles. Il embrassa tendrement Pailette.

- Tu as bien dormi ma chérie ?

Puis il fit des baisers à Violette tout en la chatouillant.

- Et toi ma grande ? La nuit a été bonne malgré tes cauchemars ?
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Pailette l'embrassa avec autant de tendresse

Citation:

- Tu as bien dormi ma chérie ?

-Très bien mon Coeur et toi?

Citation:

- Et toi ma grande ? La nuit a été bonne malgré tes cauchemars ?

-A peur cau'mars

Violette fit sa bouille de malheureuse en fixant son père de ses grands yeux bleus,se qui fit sourire Pailette.
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Citation:

- Très bien mon Cœur et toi ?

- Pas merveilleux... Je me suis réveillé dans le canapé ce matin, je ne sais pas pourquoi. Et puis je me suis endormi tard. Mais bon, sinon ça va.

-A peur cau'mars

Henri lui caressa les cheveux.

- Mais oui, c'est normal, mais ce ne sont que des mauvais rêves. Et puis papa et maman sont toujours là.
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Dans la chambre voisine,Joseph se fit entendre.

-Je vais le chercher et je reviens...

Pailette sauta hors du lit et alla chercher Joseph.

-Bonjour mon petit Ange,tu viens,on va faire un câlin avec papa et Violette

Elle le prit dans ses bras ,le serrant contre elle.
Pailette revint dans la chambre.

-Bisou ,bébé

Elle se remit sur le lit,posant Joseph près de sa soeur.
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Henri sourit en voyant toute la petite famille réunie. Il fit un gros baiser à Joseph après que Violette ai donné son lot à elle.

- Bonjour mon petit bonhomme.

Mais Violette voulu reprendre sa précédente activité et elle se remit à embrasser son petit frère.

Appuyé sur son coude, Henri contemplait les trois êtres qui lui sont le plus cher.
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Pailette regardait Violette en souriant

-Ooohh tu vas user ton petit frère à force de lui faire des bisous.

Violette regarda sa mère en fronçant son nez.

-A moi,bébé...Bisous..

-Joseph n'est pas qu'à toi,c'est le bébé de papa et de moi aussi.

La petite se tourna vers son père

-Bébé,à moi...a vi papa?!

Pailette leva les yeux au ciel en soupirant et se leva.

-Violette,tu viens préparer le petit déjeuner avec moi?

La petite lâcha son frère et sauta dans les bras de sa mère.

-Viiiii!

-Parfait!...Mon Amour,je te laisse avec ton fils,je t'appelle dès que c'est près.

Pailette descendit à la cuisine avec Violette dans ses bras.
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Henri_de_plumaugat

- Bébé, à moi... a vi papa ?!

Henri lui répondit en souriant.

- Ma grande, ne croit pas que parce que je t'aime beaucoup je vais dire oui et céder à tous tes caprices. Si maman dit quelque chose, je ne dirai pas le contraire.

Citation:

- Mon Amour, je te laisse avec ton fils, je t'appelle dès que c'est prêt.

- Pas de problème, à tout à l'heure ma chérie.

Henri prit Joseph dans ses bras et lui fit un gros câlin.

- Mon bonhomme... Tu me fais un sourire ? Oui ? Oh, tu es trop mignon...
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Une fois dans la cuisine,Pailette posa sa fille par terre

-Alors ma chérie,tu as faim?

Violette essayait déjà de monter sur une des chaises.

-Vi,a faim!

Pailette fit chauffer du lait,sortant le pain,la confiture que Violette raffolait.
La petite trempa son doigt dans le pot et le mit à sa bouche,d'un air gourmand

-Hummm..A bon!

Pailette lui sourit

-Je vois çà!

Elle sortit les bols du buffet,Violette sauta de sa chaise.

-A moi!

-Non,c'est trop fragile pour toi..Par contre,tu peux appeler papa

La petite se dirigea au bas de l'escalier.

-Papa!..A 'bout!

Elle revint s'asseoir à sa place,mangeant de bon appétit sa tranche de pain à la confiture.
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Henri_de_plumaugat

- Papa !... A 'bout !

Entendant la voix de Violette l'appeler, Henri se leva et descendit à la cuisine avec Joseph dans les bras. Quand il y arriva, il vit Violette en train de manger allègrement sa tartine, en en mettant autant dans sa bouche qu'autour.

- Eh ben, tu es belle comme ça.

- Mmmmh...

- On ne parle pas la bouche pleine, ma grande.

Henri s'installa sur une chaise. Joseph se mit à pleurer.

- Oh, il a faim le pauvre bonhomme...
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Citation:

- Oh, il a faim le pauvre bonhomme...

Pailette prépara le lait pour Joseph et le tendit à Henri.

-Tiens,mon Amour,je te laisse faire,tu as la chance de pouvoir le nourrir comme çà.

Elle lui fit un grand sourire et jeta un oeil sur Violette.

-çà va...Tu te régales?

-Vi,à bon

Pailette se mit à rire en la voyant toute barbouillée,elle prépara des tartines pour Henri et elle.
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Henri_de_plumaugat

Henri prit le lait en souriant à sa bien-aimée et commença à donner à manger à Joseph, tout en lui faisant des baisers sur le front. Il en profitait pour regarder Violette s'en mettre partout mais surtout Pailette s'affairant aux fourneaux. Elle était si merveilleuse, si gentille, si belle, si pleine de qualités... Il n'en revenait pas d'avoir autant de chance, et il en pouvait se lasser de la regarder.
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Pailette s'asseya après avoir servit

-Qu'allons nous faire de cette jolie matinée?...Ohhhh,j'ai une idée!Si nous allions cueillir des mûres pour faire de la bonne confiture et de la bonne tarte?!

Violette frappa des mains

- 'afiture!..Viiii
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Qu'allons nous faire de cette jolie matinée ?... Ohhhh, j'ai une idée ! Si nous allions cueillir des mûres pour faire de la bonne confiture et de la bonne tarte ?!

- 'afiture!..Viiii

- Proposition approuvée semble-t-il... dit Henri en riant. Mais avant cela, mademoiselle Violette, il faut aller s'habiller et se laver les mains et la frimousse.
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Citation:

Mais avant cela, mademoiselle Violette, il faut aller s'habiller et se laver les mains et la frimousse.

-Na...Veux pas...Veux 'afiture!

-Violette,tu écoutes papa et on va au débarbouillage!

La petite se leva de sa chaise et partie en ronchonnant vers l'escalier.

Pailette la suivit,se retourna pour regarder ses deux hommes.

-A tout de suite vous deux,je vous adore.
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Henri_de_plumaugat

- Nous aussi on t'adore, n'est-ce pas mon petit bonhomme ?

Joseph approuva d'un sourire plein de lait et en agitant ses petits bras et ses petites jambes. Henri lui fit un gros baiser en riant. Puis il sourit à Pailette et lui dit :

- Tu vois.
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Pailette ria

-Oui, je vois çà

-Maman...'iens!!!

-Oui, oui Violette,j'arrive...

Pailette aida la petite a gravir l'escalier.

-Hop ,on se débarbouille et on s'habille

Elle passa un linge humide sur le visage et les mains de Violette,puis l'habilla.

-Moi,toute seule

-D'accord,ma chérie,essaye.

Pailette s'asseya sur le lit et observa sa fille choisir ses vêtements et commencer à s'habiller.
Violette fit un mélange de couleurs ,enfilant une petite chemise et une jupe.Pailette se retenait de rire...

-'A y est Maman..es belle...ah vi?!

-Euh...C'est original mon Coeur...Tu ne veux pas mettre autre chose?

-Na,es belle...

Pailette se mit à rire

-Bien...On va faire voir çà à papa...En tout cas ,pas de danger de croiser l'écureuil ou autre petite bête,vu les couleurs.

Violette regarda sa mère en retroussant son petit nez,elle avait bien compris qu'elle se moquait d'elle.
Pailette prit la petite et alla à la cuisine,essayant de ne plus rire.
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Henri_de_plumaugat

Henri avait terminé de donner à manger à Joseph et lui avait fait faire son petit rototo. Il se promenait dans la cuisine essayant tant bien que mal de nettoyer la table après le passage de Violette. Il entendit du bruit dans l'escalier et se retourna. Il vit Pailette faire tout ce qu'elle pouvait pour ne pas rire et il comprit en regardant Violette. Il resta un moment interloqué puis il dit à Violette :

- Ma chérie... Tu est... Comment dirai-je... Euh... Eblouissante...

Il lança un regard plein de détresse et d'interrogation.
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Citation:

- Ma chérie... Tu es... Comment dirai-je... Euh... Eblouissante...

-Vi 'es belle!

Pailette se mit à rire à nouveau en voyant le regard d'Henri.

-Ta fille a voulu s'habiller toute seule comme une grande...Et...Voilà le résultat.

Elle riait aux éclats,Violette la regardait d'un air perplexe.

-Si! 'es belle!

-Ecoute ma chérie,tu es adorable mais là...Non,tu peux pas sortir comme çà pour aller chercher des mûres.

-Papa...hein belle?!
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Henri_de_plumaugat

- Papa... hein belle ?!

- Ecoute ma grande, il y a des couleurs qui ne vont pas du tout ensembles. Et là... On peut dire que c'est le cas. Et puis, encore une fois, ne cherche pas auprès de moi un avis contraire à celui de ta maman.

Violette n'aimait pas beaucoup qu'on la contredise et elle se mit vraiment à faire la moue. Elle prit un petit air buté et croisa les bras, bien décidée à ne pas bouger.
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-Exactement le caractère de Muse,çà promet!...Enfin...Allez Violette,viens te changer.

Pailette attrappa la petite et l'emmena se changer puis elle redescendit avec Violette qui continuait de bouder.
Elle prit un panier.

-Bien...Tout le monde est prêt?!On va à la cueillette des mûres!
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Henri_de_plumaugat

Henri les vit redescendre toutes les deux.

- Ah oui, tu es beaucoup plus jolie comme ça, ma princesse. Ne fait pas cette tête-là, voyons.

Citation:

- Bien... Tout le monde est prêt ?! On va à la cueillette des mûres !

- Attends, je monte chercher une couverture pour Joseph, le temps me paraît un peu frais et instable.

Henri se rendit dans la chambre de Joseph puis redescendit rapidement.

- Cette fois c'est bon. En route !

Tenant Joseph sur un bras, il présenta l'autre à Pailette qui tenait Violette par la main. Toujours unis comme à leur habitude, il se rendirent dans la forêt.
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Devant la lisière de la forêt,Violette lâcha la main de Pailette,continuant de marcher à côté d'elle,elle regardait les fleurs.

-Ah voilà des mûres!

Pailette montra à la petite comment les cueillir sans se piquer.Elle se tourna vers son Amour ,l'embrassant tendrement..

-çà me manquait.

Elle lui sourit quand elle regarda Violette,elle vit leur fille remplit de mûres sur le visage.

-'es bon!

-Oui,j'en doute pas mais c'est pas comme çà que l'on va remplir le panier.

La petite lui fit un sourire désarmant,mettant dans le panier une mûre et deux autres dans sa bouche.
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Citation:

- Ca me manquait.

Henri répondit à son baiser de tout son amour.

- Moi aussi... répondit-il en souriant. Puis voyant Violette barbouillée de jus de mûres, il leva les yeux au ciel.

- Eh ben... Attention à ta robe quand même, ma grande.

Puis, se tournant vers Pailette :

- Mettons-nous à la cueillette avant qu'il n'y ai plus rien.

Et de sa main libre, Henri entreprit laborieusement de cueillir des mûres. Ce n'était pas très efficace, mais quand même plus que celle de Violette.
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Pailette cueillait les mûres,non loin de Violette quand la petite se piqua à une épine.

-Maman...A pique...

Elle sanglotait,Pailette lui prit doucement la main et retira l'épine.

-Voilà,ma chérie s'est finie...Tiens,un bisou magique.

Elle déposa un baiser sur son doigt.

Violette alla voir son père.

-A pu bobo,'garde.
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- A pu bobo, 'garde.

Henri se baissa et regarda attentivement le doigt de Violette.

- Ah non, il n'y a plus de bobo. Tu vois, maman est meilleure médecin que moi. Les blessures que je soigne sont plus longues à disparaître. Profites-en pour faire un baiser à papa.

Henri tendit sa joue à Violette qui lui fit un bisou plein de mûre ce qui la fit beaucoup rire.

- Bébé aussi.

- Alors attend que je t'essuie la bouche...

Henri nettoya la bouche de Violette qui fit ainsi un baiser à son petit frère. Il essaya ensuite de nettoyer sa joue. Il alla voir Pailette et lui demanda :

- J'en ai encore ?
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Citation:

- J'en ai encore ?

-Ah oui!...Attends ,ne bouge pas...

Pailette essuya sa joue et en profita pour l'embrasser.

-Voilà,il n'y a plus rien...Je pense que l'on a assez de mûre pour faire la confiture et une tarte.

-Viiiii...'fiture!

-Très bien!A la maison alors!
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Très bien ! A la maison alors !

Violette partit en courant devant. Henri et Pailette, se tenant par la main, suivaient tranquillement derrière alors que Joseph dormait profondément. Arrivés à la maison, Violette fonça directement à la cuisine. Trouvant que ses parents n'arrivaient pas assez vite, elle revint sur ses pas pour attraper la main de sa maman.

- ...'lez maman ! ...'fiture !

Henri lui sourit.

- Le devoir t'appelle ma chérie. Je vais coucher Joseph et je vous rejoins tout de suite.

Il déposa un doux baiser sur ses lèvres et monta vers la chambre de Joseph.
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Citation:

- ...'lez maman ! ...'fiture !

-Oui,oui ma chérie,on y va.

-

Citation:

Le devoir t'appelle ma chérie. Je vais coucher Joseph et je vous rejoins tout de suite.

Pailette répondit à son baiser avec amour.

-A toute suite mon coeur.

Elle se tourna vers la gourmande

-Bien...A nous deux maintenant,tu vas d'abord commencer par te laver les mains

Violette y alla directement sans un mot.
Pailette aperçut un pigeon sur le rebord de la fenêtre,elle prit la missive et la lut,un sourire se dessina sur son visage...Enfin,la réponse qu'elle attendait,celle de l'évêque....Elle mit la lettre sur le coin de la table,à la vue d'Henri.

-Violette...On va laver les mûres avant toute chose.

-'fiture!

-Oui,t'inquiètes pas..

Elles se mirent a laver les mûres,tout en rigolant.
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Henri_de_plumaugat

Henri déposa le petit Joseph dans son lit et resta quelques instants à côté de lui en chantonnant une berceuse et à le regarder. Il lui murmura doucement :

- Dors, mon petit bonhomme, tu seras toujours notre petit garçon.

Il lui caressa le front, y déposa un baiser puis sortit de la chambre sur la pointe des pieds, laissant la porte entrouverte.

D'en haut, Henri entendait Pailette et Violette rire. Il descendit les rejoindre à la cuisine. Il les vit toutes les deux en train de laver les mûres. Apercevant une missive bien en évidence sur la table, il s'assit tranquillement sur une chaise et se mit à la lire. Au fur et à mesure de sa lecture, ses yeux s'écarquillaient de plus en plus. Ayant fini, il se leva d'un bond !

- Mais c'est merveilleux ! Formidable ! Oh mon amour, comme je suis heureux...!

Il l'attrapa et l'embrassa fougueusement. Violette les regardait d'un drôle d'air.
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Citation:

- Mais c'est merveilleux ! Formidable ! Oh mon amour, comme je suis heureux...!

Pailette se tourna vers lui,et fut surprise par cette élan d'amour,elle glissa ses bras autour de son cou et répondit à son baiser.

-Je suis si heureuse aussi..Enfin,on va être uni devant Aristote!

Elle prit Violette dans ses bras,la mettant entre eux deux.

-Ma chérie...Papa et moi,on va se marier,tu vas être une jolie demoiselle d'honneur,tu vas avoir une belle robe...

Violette fronça les sourcils.

-'fiture...

-T'inquiètes pas ,on a le temps de faire cette confiture!
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- 'fiture...

Henri se mit à rire.

- Là ce n'est plus de l'amour pour la confiture, c'est de la rage ! Je crois que nous expliquerons tout ça quand elle aura l"esprit un peu plus libre.
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Pailettedargent

Pailette se mit à rire.

-Oui...D'ailleurs,je vais me remettre à la préparer.

Elle embrassa tendrement son Amour et retourna à ses fourneaux.

-Mon Coeur,peux tu t'occuper de Violette,s'il te plait?!...Car là c'est chaud,je ne veux pas qu'elle se brûle.
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Henri_de_plumaugat

Henri répondit au baiser de sa fiancée.

Citation:

- Mon Cœur, peux tu t'occuper de Violette, s'il te plait ?!... Car là c'est chaud, je ne veux pas qu'elle se brûle.

- Bien sûr ma chérie ! Allez viens, ma grande, maman va s'occuper du reste parce que c'est trop dangereux pour une petite fille comme toi.

- Nan, 'veux pas !!! 'fiture !!!

- Mais oui, elle est en train de se faire. On se lave les mains et on va aller jouer et se promener dans le jardin.

Faisant un peu la moue, Violette finit par consentir à ce que lui disait son papa. Elle se laissa faire pour le lavage des mains. Ceci fait, elle lui tendit les bras.

- Dans bras...

Henri la prit dans ses bras et partit avec elle. Ils allèrent tous deux dans le jardin, profitant de la fin de cette magnifique matinée.
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Pailette se remit à la confiture tranquillement,préparant les pots.
Elle la versa doucement dedans,en souriant,en pensant à Violette.

-Voilà,la petite gourmande va être contente!

Elle regarda par la fenêtre et aperçut Henri et Violette,elle les admira un long moment .
Joseph se fit entendre à l'étage.
Pailette monta le voir.

-Coucou mon bonhomme,tu as bien dormi...

Elle s'occupa de lui changer ses langes et descendit à la cuisine,une bonne odeur de confiture embaumait l'air.
Pailette prépara le biberon de son fils,s'installa dans le salon,savourant ce moment.
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Au milieu de la pelouse, Henri déposa Violette et s'assit à côté d'elle. Elle s'amusait à cueillir des fleurettes mais se lassa bientôt de cette activité. Henri lui dit :

- Viens ma grande, je vais t'apprendre à faire des galipettes, on va bien s'amuser. Regarde-moi bien !

Il posa sa tête et ses mains au sol et se laissa rouler.

- Hop là !

Un sourire naquit sur les lèvres de Violette. Et au fur et à mesure qu'il enchainait les roulades, le petit sourire devint un rire clair.

- A moi ! dit-elle.

Essayant de faire comme son papa, elle posa ses mains au sol. Mais la coquine préféra rester dans cette position, découvrant le monde à l'envers. Henri s'approcha d'elle en riant et lui donna un petit coup sur le derrière. Violette fit ainsi sa première galipette. Elle était prise d'un fou-rire mais ne voulait pas s'arrêter en si bon chemin. Elle se releva et reprit sa position initiale. Ne se décidant pas à se laisser rouler, Henri répéta la même opération avec les mêmes conséquences. Ils n'en pouvaient plus de rire tous les deux.
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Pailette entendit des rires s'élever du jardin,elle se dirigea vers la porte ,aperçevant Henri et Violette faire des roulades.
Elle alla les rejoindre avec Joseph.

-As vu maman?!

-Oui!C'est très bien ma chérie.

Pailette lui souria et se tourna vers Henri

-Mon coeur,je viens de recevoir une missive de ma cousine Saroyane,elle sera là demain...Je vais préparer sa chambre,je vous laisse vous amuser,je prends Joseph avec moi.

-Est qui Sa'yane?

-C'est ma cousine,mon poussin,sa maman et la mienne étaient soeurs.

Violette retroussa son petit nez.

-Aime pas 'sine

-Tu ne peux pas juger,Violette,tu ne la connais pas...Et puis elle t'amenera peut être de la confiture.

La petite se mit à sourire.

-Ah vi...Aime bien 'sine.

-Gourmande!

Pailette déposa un baiser sur la joue de sa fille et embrassa tendrement Henri.

-Je file préparer la chambre!
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Pailettedargent

[ le lendemain...]

La chambre était prête Pailette finissait de préparer un repas pour l'arrivée de sa cousine.
Une fois ,tout fini,elle s'installa dans le salon avec Henri qui s'occupait de leur fils .
Violette jouait tranquillement au pied de son père.
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Henri_de_plumaugat

Tenant Joseph dans ses bras, Henri se dirigea vers la cuisine. Il embrassa furtivement Pailette en train de préparer le repas et lui demanda :

- Ca va ma chérie ? Tu as besoin de quelque chose ? Ca sent rudement bon... J'espère que ta cousine va se sentir bien chez nous.
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Pailettedargent

-Tout va bien...J'ai besoin de rien...Merci,mon coeur.

Violette arriva dans la cuisine.

-A faim...'fiture...plait maman.

-D'accord ,ma chérie,mais juste une tartine

-Vi...

Pailette lui prépara sa tartine et lui donna.

-'Ci maman...'garde papa,'fiture!
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Henri_de_plumaugat

- 'Ci maman... 'garde papa, 'fiture !

Henri sourit en voyant le regard gourmand de Violette.

- Oui, je vois ça... J'ai comme l'impression que tu aimes ça... Fais attention de ne pas en mettre partout, mange proprement.

Puis, se tournant vers sa fiancée :

- Elle n'est pas timide au moins, ta cousine ? Tu crois qu'elle pourrait être en train d'attendre devant la porte ?
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Saroyane

TOC,TOC,TOC...
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Pailettedargent

Citation:

- Elle n'est pas timide au moins, ta cousine ? Tu crois qu'elle pourrait être en train d'attendre devant la porte ?

Au même moment,ils entendirent quelqu'un à la porte.

-Quand on parle du loup...Je pense que c'est elle.

-A qui?

Pailette se dirigea vers la porte avec Violette dans ses jambes.

-C'est sûrement Saroyane.

-'sine...'fiture?

-Tu verras bien ma chérie.

Elle ouvrit la porte.

-Demat Saroyane!Bienvenue chez nous!...Viens, rentre...Tu as fais un bon voyage?

Pailette débarrassa sa cousine.

-Je te présente Violette,elle a 11 mois...se retournant...Et voici mon fiancé,Henri et notre fils Joseph,on vient de l'adopter,il a 1 mois.

Violette se cacha derrière sa mère,épiant Saroyane.
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Henri_de_plumaugat

- Demat Saroyane ! Oui, soyez la bienvenue ! Vous êtes ici chez vous. Je suis ravi de faire votre connaissance.

Regardant Violette :

- Il ne faut pas avoir peur ma grande. Va faire un gros baiser à la cousine de maman pour lui dire bonjour.
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Saroyane

Saroyane avait à peine franchie la porte qu'elle se jeta dans les bras de sa cousine.
J'ai fait bon voyage oui, Je suis si contente de te voir Pailette ...tu est radieuse
dit Saroyane avec admiration.
Bonjour Henri je vous remercie de m'accueillir chez vous et félicitation pour vos fianciailles dit-elle en lui tendant la main
Attendez mais... qui se cache là?
en s'agenouillant Saroyane sortie quelque chose de son sac et le tendie à la petite fille.
Aimes tu la musique Violette? c'est un pipeau que j'ai taillé rien que pour toi en chemin.
Elle fit un bisou à la petite fille et se relevant elle donna un objet en bois dans lequel elle avait emprisonnée une noisette.
J'ai pensé que pour Joseph se ressait très bien comme hochet
Pour vous Henri j'ai pensé qu'une bouteille de Chouchen vous ferez plaisir
Elle tendi bravement une bouteille sur laquelle trôner fièrement le drapeau de Tréguier, la ville natale de Saroyane
Et pour toi Pailette un parfum de coquelicot, j'espère que tu aimeras.
Saroyane se retrouva au millieu de la pièce et une odeur agréable lui parvint...Dans un grand sourir elle dit
Tu fais de la confiture?
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Bonjour Henri je vous remercie de m'accueillir chez vous et félicitation pour vos fiançailles.

- Oh mais je vous en prie, c'est avec le plus grand plaisir. Merci à vous d'être venu nous voir ainsi que pour vos félicitations.

Citation:

- Aimes-tu la musique Violette ? C'est un pipeau que j'ai taillé rien que pour toi en chemin.

Violette prit le joli pipeau et murmura :

- 'ci...

Henri prit la bouteille de chouchen.

- Merci beaucoup, c'est très gentil à vous.
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Pailettedargent

Citation:

J'ai pensé que pour Joseph se ressait très bien comme hochet

-C'est très gentil,merci pour lui!

Pailette prit le hochet et le donna à Joseph,qui se mit à le secouer.

Citation:

Et pour toi Pailette un parfum de coquelicot, j'espère que tu aimeras.

-Ah oui,là pas de soucis!

Citation:

Tu fais de la confiture?

Violette pointa son nez de derrière sa mère.

-'fiture!

-Oui, j'ai fais de la confiture de mûre que Violette adore d'ailleurs!...Je vais te montrer ta chambre pour que tu puisses te reposer un peu.

Pailette prit les devants et monta à l'étage.

-Voilà ta chambre,j'espère qu'elle te convient.

-Si il te manque quoique se soit,n'hésite pas!...Je te laisse,à tout à l'heure.

Pailette redescendit,entendant Violette essayait de faire du pipeau.
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Saroyane

Saroyane pouvait enfin se reposer après un si long voyage, elle sallonga sur le lit et fixa le plafond, mais elle était trop énervée pour dormir.
Elle entendis Violette souffler dans son pipeau et cela la fit sourir.
Elle redescendit et trouva Pailette occuper à débarbouiller Voilette, Henri été à ses côtés.

Dites moi Henri, je suis passée à la mairie en venant est le Maire voudrait que je lui vende mon épée à un bon prix, cela me permettrait peu-être de m'acheter une propriété, pensez vous qu'il soit judicieux de me défaire de mon arme?
Il semblerait que même les autorités m'en n'aient pas assez.

Elle avait l'air préoccupée, elle savait que la vente de son arme ne lui permettrait pas cette achat. Elle ne souhaitée pourtant pas déranger le jeune couple très longtemps.
Puis se regardant elle se tourna vers sa cousine

Pailette y aurait-il un endroit ou je peux faire mes abblutions s'il te plaît?
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Dites-moi Henri, je suis passée à la mairie en venant, et le Maire voudrait que je lui vende mon épée à un bon prix. Cela me permettrait peut-être de m'acheter une propriété. Pensez-vous qu'il soit judicieux de me défaire de mon arme ? Il semblerait que même les autorités n'en n'aient pas assez.

- Lastree vous a demandé de lui vendre votre épée ? Ca m'étonne d'elle. La guerre menaçant, il n'est pas très prudent de vous en débarrasser sauf si vous ne comptez pas vous battre. Mais effectivement, les autorités sont en recherches d'armes. Ils ont contacté tous les forgerons pour qu'ils acceptent de faire des armes à moindre coût. Pas assez d'armes, pas assez d'argent. Mais pourquoi vouloir vous acheter une propriété ? Vous allez vous installer à Vannes ? Mais que vous le fassiez ou non, vous êtes ici chez vous. La maison est bien assez grande. Restez le temps que vous voulez.
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Pailettedargent

Citation:

Pailette y aurait-il un endroit ou je peux faire mes abblutions s'il te plaît?

-Oui,à l'étage...Fais comme chez toi ma Saro!

Pailette lui fit un sourire.

-Bon,je vais préparer le repas...Du moins le finir.

-Moi 'ssi!

-Non,Violette,tu restes avec papa.

Violette s'asseya dans le sofa,croisant ses bras,en boudant.
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Henri_de_plumaugat

Henri s'assit à côté de Violette.

- Bah dis-donc, ce n'est pas gentil de faire cette tête là quand maman te dit de rester avec moi. Viens sur mes genoux, on va essayer de jouer du pipeau tous les deux.

Henri attrapa Violette et la déposa sur ses genoux.

- Alors, tu le prends comme ça et tu souffle, comme tu faisais tout à l'heure.

De mauvaise grâce Violette souffla dans le pipeau pendant que son papa bouchait et débouchait les trous. Violette fur surprise du changement de son et elle regarda son papa avec ses grands yeux. Elle voulut recommencer. Au fur et à mesure, son sourire s'agrandissait. A un moment elle dit :

- A moi !

Guidé par son papa, elle mit ses doigts sur les trous et souffla de plus belle.
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Pailettedargent

Pailette dressa la table et alla voir sa petite famille.

-Et bien,de vrais musiciens

Elle se boucha les oreilles quand Violette souffla dans le pipeau.

-Saro,je te retiens!...Ma vengeance sera terrible!

Pailette se mit à rire.

-Allez tous à table,le repas est prêt.

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Henri_de_plumaugat

- Tu as entendu ma puce ? On passe à table.

Il pris Violette dans ses bras, lui fit un gros baiser au passage et l'amena sur sa chaise haute.

- Ma chérie, ça rend vraiment bon. Je sens qu'on va se régaler.

Il la regarda malicieusement et poussa un soupir :

- On devrait avoir des invités plus souvent...
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Pailettedargent

Citation:

- On devrait avoir des invités plus souvent...

-Hummm...Tu veux dire quoi par là?....Attention à toi,non mais oh!

Pailette se retenait de rire et lui donna un couteau

-Tiens,au lieu de dire des bêtises....Tu n'as qu'a couper le poulet,çà t'apprendras!

Violette tendait son assiette.

-A faim!
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Saroyane

Mais pourquoi vouloir vous acheter une propriété ?

Ne pensez surtout pas que je ne sois pas bien ici, bien au contraire, mais je ne peux indéfiniment partager dans votre vie de couple et j'aimerais moi aussi fonder un foyer

Restez le temps que vous voulez.

Je vous en suis très reconnaissante

Saroyane retrouva son sourire et dit

Bon je vous laisse je vais à l'étage

Elle redescendit un peu plus tard et éclata de rire en voyant Violette souffler dans le pipeau. Elle se dirigea vers la cuisine et aida à mettre la table.

Ca sent rudement bon! Demain avec ta permission Paillette c'est moi qui fera le dîner, une recette de chez moi,
vous m'en direz des nouvelles

dit-elle à la cantonade en faisant un clin d'oeil amusé.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Ne pensez surtout pas que je ne sois pas bien ici, bien au contraire, mais je ne peux indéfiniment partager dans votre vie de couple et j'aimerais moi aussi fonder un foyer.

- Bien sûr, je comprends très bien. Vous désirez donc vous installer définitivement à Vannes, si je comprends bien.

Il fit un grand sourire à Pailette en entendant parler de fonder un foyer.

Citation:

- Hummm... Tu veux dire quoi par là ?... Attention à toi, non mais oh !

Henri prit l'air le plus innocent du monde.

- Mais rien du tout. Où vas-tu chercher ça ?

La voyant le couteau à la main, il dit en riant :

- Oulah, je retire ce que j'ai dit...

Citation:

- Tiens, au lieu de dire des bêtises... Tu n'as qu'à couper le poulet, ça t'apprendras !

- Bien M'dame.

Prenant le couteau, Henri découpa le poulet.

- A faim !

- Dites-donc mademoiselle Violette, on ne t'a pas appris à demander ?
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Pailettedargent

Citation:

Demain avec ta permission Paillette c'est moi qui fera le dîner, une recette de chez moi, vous m'en direz des nouvelles

-D'accord Saro,pas de problème!

Citation:

- Mais rien du tout. Où vas-tu chercher ça ?

-Houlàààà..Très loiiinnnn!

Pailette souria,le regardant couper le poulet.
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--Violette.

Du haut de sa chaise,Violette avait faim et de voir sa maman servir ce poulet et cette tarte...Miam!

-A faim!

Citation:

- Dites-donc mademoiselle Violette, on ne t'a pas appris à demander ?

Coup d'oeil vers papa...Rhoo,pourquoi papa dit çà?!..

-'Plait...

Un p'tit sourire charmeur vers les parents,çà devrait marcher!

Saroyane

Saroyane avait pris place à la table de ses hôtes.

C'est excellent, j'adore le poulet grillé avec des pommes de terre et du maïs

Une idée lui trottée dans la tête depuis ce matin

Dites moi seriez vous d'accord si j'emmener Violette promener cet après-midi il fait si beau.

Elle parler tout en jetant un regard complice à Violette et dit

Je pourrais préparer un panier et Violette et moi pourrions pique-niquer avec quelques tartines de confiture.

Elle faisait un grand sourire à la petite fille comme pour l'inviter a dire oui

N'est-ce pas que tu aimes la confiture de maman, violette?
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Pailettedargent

Citation:

Dites moi seriez vous d'accord si j'emmener Violette promener cet après-midi il fait si beau.

-Je ne vois aucune objection...Tu peux l'emmener en promenade

Pailette regarda Violette

-D'accord Violette?
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--Violette.

N'est-ce pas que tu aimes la confiture de maman, violette?

-Viiii

Oh que oui!La confiture de maman ,elle adorait çà!

Citation:

-D'accord Violette?

Biensûr qu'elle était d'accord!Si çà pouvait lui permettre de manger de la confiture.
Elle fit un sourire timide à Saroyane.

Henri_de_plumaugat

- Bon, et bien puisque vous partez toutes les deux en promenade, Pailette et moi allons faire une sieste au soleil tranquillement pendant que Joseph fait la sienne.
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Pailettedargent

-Ah oui,bonne idée....Et Violette,tu es sage avec Saro,d'accord?

-Vi

Pailette prit Joseph dans ses bras

-Et toi,mon bonhomme ,au lit!

Elle déposa un gros bisou sur sa joue et le monta dans sa chambre.
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Henri_de_plumaugat

Henri regarda Saroyanne et Pailette partir chacune avec un enfant. Il commença par s'occuper de la tale et de la vaisselle puis il resta devant la porte du jardin à attendre sa bien aimée.
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Pailettedargent

Pailette descendit l'escalier en souriant,voyant son fiancé devant la porte.

-Et voilà...On peut y aller mon coeur!

Elle s'arrêta devant lui,se mettant sur la pointe des pieds et déposa un tendre baiser sur ses lèvres.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Et voilà... On peut y aller mon cœur !

Henri sourit et répondit tendrement à son baiser en la prenant dans ses bras. Puis, bras dessus bras dessous, ils sortirent dans le jardin tout en parlant gaiement.

- Où préfères-tu faire la sieste ? Près de l'étang ? Au soleil ? Sous le grand chêne ?
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Pailettedargent

Citation:

Où préfères-tu faire la sieste ? Près de l'étang ? Au soleil ? Sous le grand chêne ?

-Euh...Sous le grand chêne!

Pailette marchait tranquillement au bras de son bien-aimé,profitant des dernières belles journées de soleil.
Ils arrivèrent sous le grand chêne,elle retira ses bottes,détacha ses cheveux et se laissa tomber dans l'herbe,fermant les yeux un moment,sourire aux lèvres.
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Saroyane

Saroyane resta seule avec la fillette

Viens m'aider à préparer de quoi faire un ENORME goûter dit-elle en faisant une grosse voix

Elle commença par énumérer ce qu'il lui falait
Alors du pain,de la confiture, du lait peu-être, miam

Et puis elle réfléchie et dit

Dis moi Violette à tu déjà manger des fleurs ou des plantes de la forêt ou du jardin même? C'est comme les champignons il y en a des bons et des...qui vaut mieux pas toucher dit elle précipitemment de peur d'en avoir trop dit ça pouvait être dangereux si la petite avait l'idée d'en goûter tout seule.

Tout en discutant Saro avait mis dans un panier le goûter et une couverture ainsi que quelques marionnettes trouver dans un coin de la maison que Violette avait laissé trainées

Bon tout en prêt, as tu pensé à prendre ton pipeau, je connais un air tout mignon. Aller en route

Elle se prirent par la main et quittèrent la maison tout en bavardant, un bel après-midi commencé.
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--Violette.

Citation:

Alors du pain,de la confiture, du lait peu-être, miam

-'fiture!

Citation:

Dis moi Violette à tu déjà manger des fleurs ou des plantes de la forêt ou du jardin même? C'est comme les champignons il y en a des bons et des...qui vaut mieux pas toucher

Violette la regarda d'un drôle d'air...Pourquoi manger des fleurs ou des plantes,quelle drôle d'idée!

Citation:

Bon tout en prêt, as tu pensé à prendre ton pipeau, je connais un air tout mignon. Aller en route

La petite lui montra le pipeau

-A souffle

Violette prit la main de Saroyane

Henri_de_plumaugat

Henri la regarda quelques instants puis s'allongea à côté d'elle. Il glissa une main sous sa tête et de l'autre saisit celle de Pailette. Il tourna la tête vers elle, il la trouvait si belle. Il lui murmura à l'oreille :

- Je t'aime plus que tout ma chérie.
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Pailettedargent

Pailette le regarda en souriant

-Je t'aime aussi mon amour

Elle se serra contre lui,écoutant les oiseaux dans le chêne.

-Au faites,j'ai reçu une missive de Maëlféa.

Elle lui fit voir la lettre.

Citation:

Ma grande soeur,

ne pouvant être à vos côtés en ce jour, toutes nos pensées vont vers vous. Je sais combien ce jour est important car il est la clé de votre futur mariage. Nous sommes heureux que vous preniez le chemin qu'aristote à tracé pour nous tous.

Nos meilleures pensées, bisous, mael

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Henri_de_plumaugat

Henri prit la lettre et la lu attentivement.

- C'est vraiment très gentil à elle. Est-ce que tu crois qu'elle pourra quand même se libérer pour notre mariage ?
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Pailettedargent

Citation:

Est-ce que tu crois qu'elle pourra quand même se libérer pour notre mariage ?

-Je ne sais pas et Muse est en retraite pour un petit moment mais dès qu'elle revient ,elle vient à Vannes pour nous voir.

Pailette cueilla une pâquerette ,la faisant tourner entre ses doigts,regardant la course des nuage.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Je ne sais pas et Muse est en retraite pour un petit moment mais dès qu'elle revient, elle vient à Vannes pour nous voir.

- Oh... Veux-tu que nous attendions un peu pour leur permettre de venir ?
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Pailettedargent

Citation:

- Oh... Veux-tu que nous attendions un peu pour leur permettre de venir ?

Pailette lui adressa un sourire

-D'un sens,j'aimerais qu'elles soient présentes mais de l'autre je suis impatiente de devenir ta femme...Celà fait tellement longtemps que l'on attend ce moment.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- D'un sens, j'aimerais qu'elles soient présentes mais de l'autre je suis impatiente de devenir ta femme... Cela fait tellement longtemps que l'on attend ce moment.

Henri la remercia d'un sourire pour cette magnifique preuve d'amour et il l'embrassa tendrement.

- Je ne sais pas si je te mérite ma chérie, mais je t'aime comme je suis sûr que personne n'a jamais aimé qui que ce soit avant.
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Pailettedargent

Pailette lui rendit son baiser.

-Biensûr que tu me mérites...C'est simple,on est fait l'un pour l'autre...Rien, ni personne ne pourra nous séparer.
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Saroyane

En chemin Saroyane et Violette avait parler de se que la petite faisait de ses journées et sans s'en apercevoir elles étaient arrivaient dans un endroit magnifique

Et si nous pique-niquions ici

dit elle en regardant autour d'elle s'est très bien regarde il y a un peu d'ombre, et la rivière est juste à côté on pourra se baigner

... dit-moi tu sais nager violette?

Elles entreprirent toutes deux de déployer la couverture mais celà s'averra plus difficile que prévue, un coup elles tiraient trop à gauche, ou trop à droite...elles riaient temps qu'elles s'écroulairent sur le couverture

Tant pis ça restera comme çà!

Dans cette position saroyane pouvait voir les nuages,
Regarde celui-là on dirait un poisson, et celui là a ton avis il ressemble à quoi?

Puis dans un regard amusé Saroyane clama

Le premier dans la rivière à gagnée!

elle se leva et courru tout en essayant d'enlever ses bottes et ...boum!!!elle tomba toute habillée, tête la première dans l'eau,
...
Elles avaient passées un bon moment sur le bord de la rivière à s'éclabousser et l'heure du goûter avait sonné

Tu viens violette on va manger les tartines à la confiture!

Elles repartirent s'asseoir sur la couverture , elles ne dirent rien comme si elles profitaient de se moment paisible.

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--Violette.

Violette avait bien rigolé et bien mangé avec Saro.
La fatigue se fit sentir.Elle posa sa tête sur les genoux de Saro,suçant son pouce ,Violette s'endormit.

Henri_de_plumaugat

Henri la serra tendrement contre lui.

- Tu as raison, comme toujours. Rien ne pourra jamais nous séparer.
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Pailettedargent

Pailette se leva,prenant un couteau dans le panier,elle grava sur l'écorce du chêne leur nom.

Puis elle revient se mettre à genoux face à lui,prenant ses mains dans les siennes et plongea son regard dans le sien.

-Je te fais le serment ce jour et pour l'éternité que toi et moi ne seront jamais séparés,qu'Aristote en soit témoin ainsi que ce chêne,il portera et protégera notre amour le long de sa vie .

Pailette sortit une feuille de sa poche et se mit à lui lire
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Henri_de_plumaugat

Henri la regarda se lever et l'observa attentivement pendant qu'elle travaillait du couteau sur le tronc. Quand elle s'écarta et qu'il pu voir ce qu'elle faisait, il resta sans voix. Et quand bien même aurait-il voulu dire quelque chose il n'en eu pas le temps car elle revint vers lui, et se mettant à genoux face à lui il l'entendit dire :

Citation:

- Je te fais le serment ce jour et pour l'éternité que toi et moi ne seront jamais séparés, qu'Aristote en soit témoin ainsi que ce chêne, il portera et protégera notre amour le long de sa vie.

Puis ce petit mot si beau, si touchant... Il en avait les larmes aux yeux. Il la prit doucement dans ses bras et lui répondit en disant tout ce que son coeur voulait lui exprimer comme amour.
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Saroyane

Violette avait dormie un bon moment, pendant ce temps Saroyane en avait profité pour cueillir des champignons tout près de l'endroit ou dormait la petite fille. Elle savait les reconnaître car son père lui avait tout appris sur les fleurs et leurs vertues et les champignons comme disait son père faisait parti de la flore locale.

Violette s'éveilla juste quand Saroyane revint s'asseoir, sans doute avait-elle fait du bruit

Comment va ma belle au bois dormant? Elle passa ses doigts dans les boucles blondes de la fillette et la laissa revenir à la réalité

Elle pris le pipeau et joua quelques notes non chalement : fa fa la do ré do la faaaaaaaa

Tu vois il faut souffler tout doucement si tu veux des sons mélodieux, essayes un peu, tu mets tes doigts là,

elle pris les doigts de la petite fille et les mis un à un sur chaque trous de l'instrument,

Vas y souffles tout doucement comme si tu souffler une bougie ffffffffffffffffff

C'est très bien ma chèrie, tu est douée, quand tu mets tous tes doigts tu joue un DO puis tu en enlèves un puis un autre et encore en autre...

Mais quand on s'amuse le temps passe vite

Je pense qu'il serait sage de rentrer maintenant, nous ne sommes pas loin de ta maison mais tes parents vont peut-être s'inquièter et puis tu as quelques notes de musique à jouer ce soir

puis tout bas

je t'aiderais si tu veux!

Aller aide moi à tout ranger dans le panier et fait attention aux champignons car vois tu demain c'est moi qui fait à dîner!

Elle reprirent toutes deux le chemin du retour
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Pailettedargent

Pailette l'écouta,émue de ses paroles.Elle plongea son regard dans le sien,elle y voyait toute cette sincérité,cet amour,cette gentilesse que seul lui pouvait avoir.Et pourtant lors de ses voyages,elle en avait croisé des gens, des bons comme des mauvais mais jamais personne ne l'avait touchée autant...Si vraiment l'âme soeur existait,Pailette n'avait plus besoin de chercher,elle l'avait face à elle.Tel un ange,il était apparut au début de l'été...L'été partait mais son ange restait à jamais avec elle.
Il avait su,sans le vouloir,l'apprivoiser,à regarder au fond d'elle même,à trouver celle qu'elle était vraiment.
Et Pailette était heureuse...Heureuse de savoir qu'enfin son présent et son avenir était là près de son bien-aimé et de ses enfants.
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--Violette.

Violette tenait la main de Saro pour rentrer à la maison.Dans sa petite tête,les choses se bousculaient,elle avait passé de bons moments avec Saro.
Violette s'était rapprochée d'elle,elles avaient partagés des moments de complicitées.
Elle leva ses grands yeux bleus vers Saro

-T'aime Sa'yane.

Henri_de_plumaugat

Les yeux dans les yeux, Henri et Pailette passèrent un long moment ainsi. Ils en étaient arrivés, et depuis longtemps déjà, à ce point de l'amour où il n'est plus nécessaire d'échanger des paroles pour se comprendre.
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Pailettedargent

Voyant le soleil décliné à l'horizon ,Pailette se leva.

-Nous allons peut-être rentrer,Saro et Violette vont nous chercher.

Ils reprirent le chemin de la maison,main dans la main,plus amoureux que jamais.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Nous allons peut-être rentrer, Saro et Violette vont nous chercher.

- Tu as raison, allons-y. Regarde ces magnifiques couleurs du coucher de soleil. J'espère qu'elles ne vont pas se laisser surprendre par la nuit, je n'aimerais pas beaucoup ça.

Se tenant toujours par la main, ils rentrèrent dans la maison.

- Je vais voir Joseph. Il a bien dormi semble-t-il.
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Saroyane

Citation:

T'aime Sa'yane

Oh c'est trop chou, t'es un ange p'tite bouille moi aussi je t'aime!

La maison était déjà en vue

Regarde ces jolies fleurs, si on cueillait un bouquet pour Maman? ça te dit?

Elles entreprirent de faire le plus gros bouquet qu'on ait jamais vue de se côté de la Bretagne...

Bah je crois que celles là c'est pas la peine de les cueillir tu sais, elles sont magnifiques mais on ne peut les garder dans un vase, si tu les cueillent elles vont perdre tous leurs pétales, regarde on vas juste en cueillir une tu vas comprendre, on les appellent... des coquelicots.

Saroyane cueilla un coquelicot est bien sûr les pétales tombèrent presque immédiatement.

Eh regardes s'est Papa et Maman là-bas,

elles faisaient de grands signes pour attirer l'attention de Pailette et d'Henri

On fait la course pour les rejoindre? dit Saro d'un ton amusé
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Henri_de_plumaugat

A l'instant où Henri allait entrer dans la maison, ils entendirent appeler derrière eux et ils virent Saroyanne et Violette leur faire de grands signes. Soudain, elles se mirent à courir toutes les deux, Violette avec ses petite jambes, et Saroyanne faisant semblant d'avoir du mal à la suivre. Henri cria :

- Vas-y Violette ! Tu vas arriver la première dans les bras de maman !
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Pailettedargent

Pailette regardait les filles courirent vers eux,elle riait de voir Saro faire semblant de perdre.

-Allez Violette!Tu peux le faire!

Elle se mit à genoux pour accueillir sa fille dans ses bras.

-Bravo,ma chérie...Tu cours vite.

Saro arriva juste derrière

-Bravo à toi aussi...Alors tu as passé un bon moment avec la petite?
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Saroyane

Citation:

Bravo,ma chérie...Tu cours vite.

Tu l'as dit elle est rapide comme l'éclair.

Citation:

Bravo à toi aussi...Alors tu as passé un bon moment avec la petite?

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Saroyane faisait mine d'être essoufflée

Je suis sur les genoux. Qu'est-ce que tu en pense Violette on a passée un bon moment?

Dit-elle en se tournant vers la petite

J'ai de quoi fait un festin pour le dîner ,tu n'oublis pas Pailette tu me prêtes tes fourneaux demain! Et attention c'est un dîner spectacle, Melle Violette ici présente vous offrira en avant première son unique morceau de musique au pipeau intitulé "Viens poupoule".
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Pailettedargent

Citation:

Je suis sur les genoux. Qu'est-ce que tu en pense Violette on a passée un bon moment?

-Viii

Citation:

J'ai de quoi fait un festin pour le dîner ,tu n'oublis pas Pailette tu me prêtes tes fourneaux demain! Et attention c'est un dîner spectacle, Melle Violette ici présente vous offrira en avant première son unique morceau de musique au pipeau intitulé "Viens poupoule".

-Pas de problème Saro,la cuisine est à toi!

Pailette regarda Violette

-Un spectacle?

-Vi...a 'zic!
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Henri_de_plumaugat

Laissant les femmes entre elles, Henri monta à l'étage pour s'occuper de Joseph. Il le trouva éveillé et en train de jouer dans son petit lit. Henri le prit dans ses bras.

- Oh, viens là mon bonhomme. Viens voir papa. Tu as bien dormi ? Oh, oh, tu ne sens pas très bon... On va aller se changer.

Henri le coucha sur la table à langer et entreprit de le nettoyer.

- Voilà, tu es tout propre, on peut maintenant descendre voir ces dames qui nous attendent.
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Pailettedargent

Pailette discutait avec Saro et Violette de la journée passée.Elle entendit des pas dans l'escalier,elle se retourna et vit Henri avec Joseph.

-Oh..Voilà les deux hommes de ma vie.

Elle prit leur fils dans ses bras et lui donna un gros bisou sur sa joue.

-Bisou aussi à 'Zeph

Pailette se pencha pour que Violette lui fasse un baiser.

-Bon..Je vous laisse,je vais à la cuisine,Joseph a faim.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Bon... Je vous laisse, je vais à la cuisine, Joseph a faim.

- A tout à l'heure ma chérie.

Henri l'embrassa doucement. Puis, il prit Violette dans ses bras, s'assit sur le canapé et la pose sur ses genoux.

- Alors ma grande, qu'est-ce que tu as fait de beau avec tante Saroyanne ? Tu t'es bien amusée ?
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--Violette.

Citation:

- Alors ma grande, qu'est-ce que tu as fait de beau avec tante Saroyanne ? Tu t'es bien amusée ?

-Vi!...a fais dodo...Elle prit son air pensif......a mangé 'fiture...a fais 'zic ...Elle regarda son père en haussa les épaules...Sais pu...

Violette posa sa tête contre son papa et se mit à sucer son pouce.

Henri_de_plumaugat

Henri sourit aux réponses de sa petite fille. Il la serra contre lui et lui fit un gros câlin quand elle posa sa tête sur son cœur. Il l'embrassa tendrement sur le front.

- Je t'aime très fort ma grande.
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Saroyane

Saroyane pris la suite de ce que disait Violette,

On s'est baignée, et je suis tombée toute habillée dans la rivière hein Viollette.
On a fait du théatre avec les marionnettes, tiens je te les rends d'ailleurs dit-elle en les sortant du panier et les tendant à la fillette,

Oh regarde j'allait oublier, tu n'avait rien a offrir à Maman,

Saroyane sortit un gros, énorme bouquet de fleurs des champs et fit un signe de tête pour l'inviter à l'offrir à sa mère.

Ensuite pendant que Violette dormait, j'en ai profité pour cueillir des champignons, vous aimez les champignons Henri?

J'ai aussi montré à Violette comment tailler un pipeau dans une branche de Sureau et puis nous voilà!

On a passé une bonne journée,

dit-elle en s'adossant au fauteuil.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- On s'est baignée, et je suis tombée toute habillée dans la rivière hein Violette. On a fait du théâtre avec les marionnettes, tiens je te les rends d'ailleurs.

Violette tendit la main libre et attrapa les marionnettes.

- 'ci, Sa'yane.

Citation:

- Oh regarde j'allais oublier, tu n'avait rien a offrir à Maman ?

Saroyane sortit un gros, énorme bouquet de fleurs des champs et fit un signe de tête pour l'inviter à l'offrir à sa mère.

- Oh dis donc, Ma grande, vous avez cueilli ça toutes les deux ? C'est très beau. Va vite le donner à maman.

La petite dû sortir son pouce de la bouche pour aller fièrement porter le bouquet à sa maman dans la cuisine.

Citation:

- Ensuite pendant que Violette dormait, j'en ai profité pour cueillir des champignons, vous aimez les champignons Henri ?

- Je ne suis pas fana, mais j'en mange volontiers quand même.

Citation:

- J'ai aussi montré à Violette comment tailler un pipeau dans une branche de sureau et puis nous voilà ! On a passé une bonne journée.

- Merci de vous être occupé d'elle comme cela.
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Pailettedargent

-Pou' toi maman

Pailette vit arriver Violette avec un gros bouquet.

-Merci mon coeur,il est magnifique...Tu l'as cueilli toute seule?

-Na,avec Sa'yane

-C'est très gentil,tu n'as qu'à le poser sur la table,je m'en occupe dès que j'ai fini avec Joseph...Et viens là ,que je te fasse un gros bisou.

Violette s'approcha de sa maman en posant le bouquet sur la table.
Pailette lui fit un gros bisou sur sa joue.

-Je t'aime mon trésor..

-T'aime aussi.

La petite tourna les talons et s'en allant rejoindre les genoux de son papa.
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Henri_de_plumaugat

Henri repris Violette sur ces genoux et ils reprirent le cour interrompu de leur câlin. La joue appuyée sur les cheveux de sa petite fille chérie, Henri parlait avec Saroyane.

- Alors parlez-moi de chez vous. Vous venez de Tréguier, n'est-ce pas ? Comment est-ce ? Comment sont les gens, comment est la nature ?
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Pailettedargent

Pailette avait fini de nourrir Joseph,elle alla le déposer dans les bras de Saro.

-Je vais m'occuper des fleurs et j'arrive...

Elle retourna à la cuisine,prenant un vase ,elle mit les fleurs dans l'eau.
Pendant ce temps,un pigeon se posa sur le rebord de la fenêtre.

-Ohh ,est ce la réponse que j'attends?!

Pailette prit la missive et se mit à sourire.
Elle alla rejoindre Henri près du sofa.

-Je viens de recevoir une grande nouvelle...La date du mariage est fixé au samedi 23 octobre!
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Henri_de_plumaugat

Tout occupé à faire un câlin à Violette, Henri profitait de ce moment quand Pailette vint le retrouver sur le canapé en souriant largement.

Citation:

- Je viens de recevoir une grande nouvelle... La date du mariage est fixé au samedi 23 octobre !

Henri écarquilla les yeux, n'osant y croire... Enfin ! Enfin il allait pouvoir l'épouser ! Il passa son bras libre autour des épaules de celle qu'il aime plus que tout et lui dit :

- Oh ma chérie, comme je suis heureux ! C'est formidable, merveilleux !

Et il l'embrassa longuement de toute sa tendresse.
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Saroyane

Citation:

Alors parlez-moi de chez vous.

OH chez moi c'est assez monotone les gens se terrent chez eux, les tavernes sont vides... peut-être parce qu'il n'y a jamais rien à boire ni à manger, mème le légumes sont prohibés sur les marchés alors que j'avais investit justement dans ce genre de production. J'ai du changer moyennant finance bien sûr.

elle racontait son histoire avec un pincement aux lèvre qui trahissait son amertume

Il n'y a qu'a voir le nombre de propriètés à vendre, quand je suis partie il y en avait déjà 15 en attente alors j'ai décider de garder la mienne...pour le moment.

Les voyageurs qui y font escales ne restent pas longtemps et pour cause, on les comprend.

Citation:

Merci de vous être occupé d'elle comme cela.

Vous plaisantez c'est un vrai plaisir, vous avez là un petit ange adorable.

Citation:

La date du mariage est fixé au samedi 23 octobre!

Ca alors pour une nouvelle c'est une BONNE nouvelle, je suis ravie d'être la première a vous féliciter!

dit-elle en tendant la main à Henri et serra fort Paillette dans ses bras.
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Henri_de_plumaugat

Henri écouta Saroyane attentivement.

- Eh ben... La vie n'est pas rose chez vous... Vous faites bien de venir chez nous, c'est une ville très animée. Pour la nourriture, tout est permis.

Citation:

- Vous plaisantez c'est un vrai plaisir, vous avez là un petit ange adorable.

Henri regarda tendrement Violette en train de s'endormir doucement dans ses bras et murmura comme pour lui même en lui caressant doucement les cheveux :

- Oui, elle est vraiment merveilleuse, tout autant que sa maman.

Citation:

- Ca alors pour une nouvelle c'est une BONNE nouvelle, je suis ravie d'être la première a vous féliciter !

Henri lui serra la main.

- Merci, merci beaucoup !

Et se tournant vers Pailette, il la regarda tendrement.
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Pailettedargent

Citation:

- Ca alors pour une nouvelle c'est une BONNE nouvelle, je suis ravie d'être la première a vous féliciter !

-Merci,Saro!...Mais là...Faut bien avouer...Que le stress commence déjà à se manifester...Qu'est ce que celà va donner dans 15 jours?!

Pailette respira profondément.

-Je vais ...euh...faire des invitations...Saro,je t'en envois pas mais biensûr tu es invitée!

Elle embrassa tendrement Henri et alla dans une pièce adjacente.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Mais là... Faut bien avouer... Que le stress commence déjà à se manifester... Qu'est ce que cela va donner dans 15 jours ?!

- J'avoue aussi que je le suis un peu aussi ma chérie... Mais je crois que c'est normal.

Citation:

- Je vais... euh... faire des invitations... Saro, je t'en envois pas mais bien sûr tu es invitée !

Henri répondit à son baiser. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas ressenti cette sorte de tension au plus profond de lui-même. C'était le passage le plus important de sa vie qui se profilait à l'horizon. C'est curieux ce mélange de bonheur indicible et d'appréhension. Mais sa raison de vivre était là, tout près de lui. Sa bien aimée, ses enfants illuminaient sa vie depuis quelques temps déjà et l'avaient transformé. Jamais il ne pourrait renoncer à eux. Il en mourrait, c'est sûr.

Dans ses bras, Violette s'était profondément endormie, fatiguée par la journée, mais aussi paisiblement, se sentant aimée et en sécurité. Sa respiration tranquille soulevait doucement sa petite poitrine, à l'unisson avec les battements du cœur de son papa.
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Saroyane

Citation:

Que le stress commence déjà à se manifester

Non, non , non il ne faut pas ceder au stress, je vous auderais du mieux que je peut à tout préparer ce nous ferons de ce jour le plus beau de tous.

Saroyane malgré ses dires ne cedait pas au stress mais à l'exitation, elle suivi presque en courant Pailette dans la pièce adjacente.
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Pailettedargent

Pailette se tourna vers sa cousine

-Les invitations...çà c'est bon...Enfin,je crois...J'ai fais une liste mais je ne sais plus où...Maël et Kenshi partent dès ce soir de Fougères...D'ici 3 jours,ils seront là...Muse va essayer de se sauver de retraite pour venir...

Elle posa son regard sur Joseph.

-Et si tu allais le coucher,le petit bonhomme?...Pendant ce temps,je vais trouver cette fameuse liste.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Et si tu allais le coucher, le petit bonhomme ?... Pendant ce temps, je vais trouver cette fameuse liste.

Henri attrapa un coussin et déposa Violette sur le canapé, doucement pour ne pas la réveiller. Il alla ensuite prendre Joseph qui prit la place de sa sœur dans ses bras. Il l'embrassa tendrement et monta avec lui l'escalier jusqu'à sa chambre. Il changea ses langes, lui mit sa petite chemise de nuit. Il le berça ensuite dans ses bras pendant un long moment puis il le coucha.

- Dors bien mon petit bonhomme et que le bon Dieu te protège.

Il déposa un baiser sur son front et sortit de la chambre sur la pointe des pieds. Puis il alla rejoindre Pailette et Saroyane. Violette dormait toujours.

- Ma chérie, est-ce que je la réveille pour qu'elle mange ou est-ce que je vais la coucher maintenant ?

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Pailettedargent

Citation:

- Ma chérie, est-ce que je la réveille pour qu'elle mange ou est-ce que je vais la coucher maintenant ?

-Peut-être la réveiller..Même si elle va ronchonner...Il y'a une soupe de légumes sur le feu..Je pense que çà lui suffira...

Pailette lui fit un sourire.

-Bon courage..Au réveil,elle n'est pas facile.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Bon courage... Au réveil, elle n'est pas facile.

- Tu sais, je ne sais pas s'il y a beaucoup d'enfants qui sont faciles au réveil dans ces circonstances... D'ailleurs, je ne sais pas comment je serais moi-même...

En riant, Henri s'assit par terre, sa tête au niveau de celle de Violette. Il lui caressa doucement les cheveux.

- Ma grande, ma grande, il faut te réveiller pour aller manger.

Premiers mouvements de Violette. Henri se leva et attrapa sa fille pour la prendre dans ses bras.

- Mmmm euh...

La petite se débattit un peu et commença à pleurer.

- Mais non ma grande, ne pleure pas, on va juste manger un peu et après on retourne se coucher.

Mais cela ne sembla pas la satisfaire et elle éclata en gros sanglots. Henri la serra contre lui tout en souriant à Pailette.

- Allez, c'est tout. Oh ma petite fille, je sais que c'est dur, mais il faut manger un peu.

Disant cela, Henri prit la direction de la cuisine. Il s'assit et installa confortablement Violette sur ses genoux, sa tête appuyée sur sa poitrine. La petite se calmait doucement et son papa pu lui placer une serviette autour du cou.

- Regarde, maman nous a préparé une bonne soupe aux légumes.
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--Violette.

Citation:

- Regarde, maman nous a préparé une bonne soupe aux légumes.

Violette plissa son nez

-Na...veux pas...

Elle leva son regard bleu vers son papa d'un air suppliant,elle savait comment le faire craquer...Mais apparament,il en avait décidé autrement
Il lui tendit une cuillère de soupe.Violette ouvrit la bouche à contre-coeur...Et changea d'avis.

-A bon...

Quand elle eut fini ,elle se colla contre son papa en suçant son pouce,écoutant son coeur battre,elle s'endormit.

Saroyane

Saroyane avala son repas sans dire un mot et se retira dans sa chambre en prétextant une grande fatigue.

Je suis exténuée ce soir, si vous n'y voyez pas d'inconvénients je monte me coucher...Bonne nuit!

En réalité elle se sentait un peu de trop et préférait les laisser savourer ces instants de bonheur qui n'appartenaient qu'a eux.
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Pailettedargent

Citation:

Je suis exténuée ce soir, si vous n'y voyez pas d'inconvénients je monte me coucher...Bonne nuit!

-Bonne nuit Saro,dors bien et à demain.

Pailette débarassa la table et mit de l'eau à chauffer pour une tisane,elle revint s'asseoir et regarda son fiancé et leurs petite fille...Quel tableau touchant...Un père et sa fille.
Pailette plongea dans ses souvenirs,du temps qu'elle aussi partageait ses moments là avec son père.
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Henri_de_plumaugat

Quand Violette eût fini sa soupe, Henri l'embrassa doucement sur le front. Elle posa sa tête contre lui et s'endormit doucement.

Citation:

- Je suis exténuée ce soir, si vous n'y voyez pas d'inconvénient je monte me coucher... Bonne nuit !

- Merci Saroyane, à vous aussi.

Tout en câlinant Violette, Henri regardait Pailette s'occuper de tout ranger et nettoyer. Une petite fée du logis, une maîtresse de maison parfaite et une maman exemplaire. Il lui envoya son plus beau sourire.
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Pailettedargent

Pailette sortit de ses songes lorqu'elle vit Henri lui sourire.

-Je te laisse coucher la petite,je te prépare une tisane...On se rejoint au salon,d'accord?
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Je te laisse coucher la petite, je te prépare une tisane... On se rejoint au salon, d'accord ?

- Tu crois qu'il faut aller la coucher ? Elle est bien là, et moi aussi... Mais tu as raison, elle sera mieux dans son lit.

Il se leva et s'approcha de Pailette afin qu'elle puisse embrasser la petite qui poussa un grand soupire de béatitude au contact de ces lèvres maternelles et si aimantes mais sans se réveiller. Henri monta donc dans la chambre de la petite, profitant de chaque instant avec sa fille dans ses bras. Au prix de nombreuses difficultés, il réussit à préparer Violette pour la nuit sans la réveiller. L'ayant allongé dans son petit lit et bien recouverte avec la couverture, il lui caressa doucement la tête, l'embrassa une dernière fois puis quitta la chambre.

Il descendit de nouveau au salon, ranima un peu le feu dans l'âtre et s'installa à côté de Pailette sur le divan. Une tisane bien chaude l'attendait.

- Merci ma chérie. Ca y est, nous ne sommes plus que tous les deux.

Disant cela, il l'attira contre lui et l'embrassa tendrement.
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Pailettedargent

Citation:

- Merci ma chérie. Ca y est, nous ne sommes plus que tous les deux.

-Oui..Rien que nous deux.

Elle l'embrassa tendrement ,se blottissant entre ses bras.
Que dire en de tels moments...Rien...Pailette était là,contre lui,que demander de plus...Son bonheur durait depuis pas mal de temps et allait continuer encore très longtemps.
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Henri_de_plumaugat

Henri répondit tendrement à son baiser et la prit dans ses bras. Ces moments d'éternité, ils les goûtaient toujours tous les deux. Ils étaient on ne peut plus heureux, l'un avec l'autre, l'un contre l'autre. Deux cœurs battants à l'unisson ? non, un seul et même cœur.
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Pailettedargent

Pailette regardait les flammes danser dans la cheminée,donnant une douce lumière dans la pièce.
Elle ferma les yeux,se serrant un peu plus contre lui,elle sombra dans un sommeil profond,rêvant de ses journées qui lui paraissent toujours trop courtes mais si riche en émotions.
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Henri_de_plumaugat

Henri la regarda s'endormir. Il ne pouvait cesser de la contempler. Doucement, il lui caressait les cheveux. Bientôt, cette jeune femme allait devenir sa femme. Il en était heureux comme jamais. Certes, il appréhendait un peu la chose car ce n'est pas une mince responsabilité que d'être époux et père de famille. Mais il abordait l'avenir avec confiance car avec elle à ses côtés, tous ses doutes, toutes les difficultés s'évanouissent et son cœur est dans la paix la plus totale.
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Pailettedargent

Pailette sentit les caresses sur ses cheveux,elle ouvrit doucement les yeux mais ne bougea pas...Elle n'avait pas envie que ce moment s'arrête.
Elle regardait les flammes entrain de mourir dans la cheminée et dans un murmure elle lui dit:

-Je t'aime mon Amour..

Pailette se tourna vers lui et déposa un baiser sur ses lèvres.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Je t'aime mon Amour...

- Je t'aime aussi mon Amour, de tout mon cœur, et pour toujours.

Il se pencha vers elle et répondit à son baiser.
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Pailettedargent

Pailette s'installa confortablement contre Henri,bien décidé à ne pas bouger de là.
Un petit sourire de satisfaction se dessina sur son visage.
Elle ferma les yeux mais ne s'endorma pas.
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Henri_de_plumaugat

Henri la tint serrée dans ses bras, remplaçant pour elle la chaleur du feu qui s'éteignait. Il appuya sa joue sur sa si belle chevelure. Ils étaient bien tout les deux, chacun le sentant chez l'autre.
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Pailettedargent

Pailette se redressa d'un bond,tendant l'oreille.

-Je crois que Joseph pleure...Je vais lui faire un câlin ... on se rejoint dans la chambre?

Elle se leva ,embrassant Henri au passage.

-A toute de suite mon coeur.

Pailette monta à l'étage,direction la chambre du petit bonhomme.

-Eh bien,mon bébé..Que t'arrive t'il?!

Elle prit Joseph dans ses bras et le berça un moment.
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Henri_de_plumaugat

Henri fut un peu surpris par son redressement mais en compris tout de suite la raison.

Citation:

- Je crois que Joseph pleure... Je vais lui faire un câlin... On se rejoint dans la chambre ?

- J'arrive tout de suite.

Il répondit à son baiser, resta quelques instants à regarder le feu mourir. Puis il se leva, dispersa les cendres pour éviter que le feu ne reprenne et enfin pris la direction de l'escalier. Arrivé devant la porte de la chambre de Joseph, il s'approcha doucement de Pailette berçant Joseph dans ses bras. Il déposa un baiser sur le front de leur petit garçon puis il s'éloigna pour les regarder du pas de la porte.
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Saroyane

Seule dans sa chambre Saroyane était allongée sur le lit est lisait avec ravissement un roman. Elle fût tirée de sa lecture par les pleures de Joseph, et tout en entendant des pas dans l'escalier, elle décida de se reposer.

Aller assez veillée. Demain je doit me lever tôt pour aller au marché!

Se dit-elle a voix haute

En effet demain elle préparerais un dîner typiquement breton pour ces hôtes.

Dans sa tête elle listait les courses à faire.
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Pailettedargent

Pailette fit un sourire lorsque Henri déposa un baiser à Joseph.
Après un moment,elle le déposa doucement dans son petit lit et alla rejoindre son bien-aimé à la porte,elle lui prit la main et ils allèrent se coucher.
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Saroyane

Perdue au milieu de nul part Saro courait, la peur au ventre, les larmes coulaient sur ses joues, elle courait, courait toujours plus vite, toujours plus loin et pourtant elle ressentait cette sensation de ne pas avancer, elle était incapable de s'éloigner du danger, de cette ombre qui tendait son bras pour...

Saroyane poussa un cri et se redressa en sueur. Elle venait de faire un horrible cauchemar et avec sa main serra sa gorge comme pour se prouver qu'elle était encore là!

Elle écouta un instant le silence qui régnait dans la maison et se leva pour boire un peu d'eau à la cuisine.

Toujours sans bruit, elle passa devant la chambre de Joseph et sa respiration calme et paisible la fit sourire.

La lueur de la lune éclairait suffisament pour ne pas avoir besoin de lumière.

Elle descendit avec prudence l'escalier.
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Pailettedargent

Pailette dormait contre Henri,lorsqu'un cri la fit sursauter,elle se redressa légèrement,tendant l'oreille.
Elle se rendit compte que c'était sa cousine,elle l'entendit se lever et se diriger vers l'escalier.
-Hum...Il faudra que je pense à lui demander ce qu'il lui a fait peur...

Pailette jeta un oeil sur Henri et mit a nouveau dans ses bras.
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Henri_de_plumaugat

Plongé dans le plus beau des rêves puisqu'il vivait avec Pailette et qu'ils coulaient toujours des jours heureux, Henri fut réveillé par le mouvement de Pailette. Elle ne fut pas longue à reprendre sa place. Curieusement, Henri ne fut pas fâché d'avoir été réveillé dans un aussi beau rêve car la fiction faisait place à la plus belle des réalités.

- Qu'est-ce qui se passe ma chérie ?
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Pailettedargent

Citation:

- Qu'est-ce qui se passe ma chérie ?

-Oh je t'ai réveillé!...Excuse-moi mon coeur...Je crois que Saro a fait un cauchemar,je l'ai entendu crié.

Elle se replaça ,au chaud, entre ses bras.
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Saroyane

Arrivée dans la cuisine Saroyane se versa un verrre d'eau.

Là devant elle se trouver un pot de confiture, qui lui donna faim immédiatement, elle entrepris de se préparer une belle tranche de pain à la confiture.

Un fois accomplis son escapade nocturne, elle retourna se coucher.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Oh je t'ai réveillé !... Excuse-moi mon cœur... Je crois que Saro a fait un cauchemar, je l'ai entendu crier.

- Ce n'est pas bien grave, va. Je rêvais de toi alors que maintenant je suis conscient que je suis avec toi. Entre les deux je ne balance pas. Ce n'est pas drôle pour elle.

Il la pris entre ses bras et l'embrassa.

- Allez, dors mon amour.
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--Violette.

Violette se réveilla au cri de Saroyane...Elle attrappa vite fait son petit ourson et fila dans la chambre de ses parents.
De derrière la porte,Violette entendit son papa,elle entra doucement.

-...Papa...A peur..Dodo..

Elle s'approcha du lit et regarda son père d'un air triste.

-...Plait...

Henri_de_plumaugat

- ...Papa... A peur... Dodo...

Henri se tourna vers sa petite fille. La voyant avec son nounours et son petit air triste, il ne pouvait que craquer. Ah mais non, il faut qu'elle grandisse. Allons, elle n'est encore qu'une toute petite fille si mignonne, elle a le temps de grandir. Mettant un terme à ses réflexions intenses sur l'éducation à la peur des petites filles durant la nuit, la petite voix de Violette se fit entendre :

- ...Plaît...

Ouvrant les draps du lit, il lui tendit son bras libre.

- Allez, viens ma puce, il reste un bras libre.

Soupirant un peu pour la forme, Henri était on ne peut plus heureux. Il serra sa petite fille contre lui, se prit une patte de nounours dans l'œil mais lui fit un gros baiser.

- Dors mon bébé. Tu es dans mes bras maintenant.
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--Violette.

(le lendemain matin...)

Violette se réveilla doucement,elle s'asseya dans le lit et vit que son papa et sa maman dormaient encore.
Elle tapota le bras de son père.

-Papa...A 'bout!

Gaby8

Gabrielle s'approcha de la maison, elle rajusta sa capuche. Elle ne pouvait pas rester, elle passait en coup de vent. Le soleil n'était pas encore levé.

Elle s'approcha de la porte et déposa son panier pour Paillette et Henri. Elle l'avait séparé en deux. Des beaux fruits de Rieux d'un coté et un cadeau pour leur mariage de l'autre. Une nappe au crochet qu'elle avait fait elle même. Elle espérait que ce modeste cadeau plairait.

Elle glissa un petit mot :

Citation:

Merci pour l'invitation à votre mariage,
Nous ne pourrons être présents, c'est pourquoi je vous dépose ce modeste présent en cadeau. Nous ne restons pas à Vannes, nous repartons de suite. C'est pourquoi je vous dépose simplement ce présent devant votre maison.
Pailette, tu as été ma confidente après la mort de mon fiancé, ma compagne à l'église et ton soutien m'a fait du bien. Je vois qu'Henri te rend heureuse et ça me fait plaisir.

Henry prend bien soin d'elle. Elle est précieuse.

Nous vous souhaitons tout nos voeux de bonheur.

Gabrielle et Céliano

Gabrielle s'éloigna et rajusta sa cape noire afin de ne pas être vu.

Henri_de_plumaugat

- Papa... A 'bout !

Henri mit un peu de temps à retomber dans la réalité.

- Hein ? Quoi ?

Se frottant les yeux il vit Violette assise dans le lit, serrant son nounours contre elle et suçant son pouce.

- Oh ma chérie... Tu n'as pas envie de dormir encore un peu ? Allez, viens faire un gros câlin à papa.Attention de ne pas réveiller maman.

C'était un bon prétexte pour avoir sa fille dans ses bras et se laisser encore un peu de temps pour émerger complètement.
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--Violette.

Violette fit un câlin à son papa mais bien réveillé pour sa part,elle se mit à lui poser pleins de questions..

-A 'core dodo maman?

-Pis Sa'yane?...Et bébé?

-Papa...a dors?

Pailettedargent

Pailette se réveilla au son de la voix de sa fille

-Tu es déjà debout mon coeur?

-Vi!

Elle embrassa ses deux amours et se leva pour aller se débarbouiller et s'habilla.

-Je vais préparer le petit déjeuner..Profitez vous deux!

Pailette passa devant la chambre de Joseph,jeta un oeil,il dormait profondément.
Elle descendit à la cuisine .

-Hum...Je dois aller chercher des oeufs.

Elle ouvrit la porte et vit un panier,elle regarda autour d'elle...Personne.
Pailette le prit et regarda dedans,elle souria en lisant le mot.
Elle retourna dans la chambre,chargé de son panier.

-Regarde mon chéri,je viens de trouver çà devant la porte.

Pailette lui donna le mot et lui fit voir les cadeaux.

-C'est trop gentil de leur part!...Elle est formidable Gaby!Je l'apprécie énormement.
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Henri_de_plumaugat

- A 'core dodo maman ?

- Oui, elle dort encore, chut. Et papa aussi aimerait dormir encore un peu...

- Pis Sa'yane ?... Et bébé ?

- Ils doivent dormir encore tous les deux, sans doute.

- Papa... a dors ?

Henri réprima un bâillement. Il frotta doucement sa joue pleine de poils sur la joue de Violette. Celle-ci fit une petite grimace et caressa la joue de son papa avec sa petite main.

- A pique...

- Papa il aimerait bien dormir encore un peu. Mais il aime bien aussi faire des câlins à sa petite fille chérie.

Emergeant de son demi-sommeil, Henri répondit au baiser de Pailette.

Citation:

- Je vais préparer le petit déjeuner... Profitez vous deux !

Henri remonta le drap sur Violette et lui.

- On se cache ?

- Vi !

Tous les deux riaient ensemble. Mais comme tous les enfants, Violette se lassa vite de cette activité. Alors Henri la prit sur ses genoux et la fit sauter doucement. Violette riait aux éclats.

- Chuuut ! Tu vas réveiller bébé.

A ce moment-là, Pailette revint dans la chambre avec un panier dans les mains.

Citation:

-Regarde mon chéri,je viens de trouver çà devant la porte.

- Qu'est-ce mon Amour ?

Elle lui montra le tout.

- Oh ! c'est non seulement gentil mais magnifique.
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Floyanne

Floyanne était arrivée depuis la veille dans la belle ville de Vannes...cela faisait désormais plusieurs mois qu'elle n'était pas revenue dans son ancienne ville..mais elle avait fait une prromesse à son fidèle ami et flo aimait tenir ses promesses..jamais elle n'aurait manqué cela...

Trés vite elle retrouva le chemin de la grande batisse...que de souvenirs en parcourant ses ruelles....Malgrés le sourire qui s'affichait sur son visage..elle s'en voulait de ne pas avoir eue le temps de trouver un cadeau pour les futurs mariés et de venir les mains vides...

Elle était parties précipitement de Laval et n'avait eue guère le temps de flaner dans les étales de marché...

Elle s'avança sur le péron et frappa doucement à la grande porte..Flo savait que des enfants résidait ici et elle ne voulait pas les réveillés au cas où il dormaient..

Toc...Toc...Toc....

En attendant que la grande porte s'ouvre ... elle admira les belles fleurs d'Henri..toujours la main verte..pensa t'elle...

Elle s'asseya sur les marches..un peu lasse de tous ces jours de marches et attendit tranquillement .. en esperant que son ami serait heureux de la voir.. et que cela serait une bonne surprise !!!
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Pailettedargent

Citation:

- Oh ! c'est non seulement gentil mais magnifique.

-Oui,je vais lui faire une missive pour les remercier..

Citation:

Toc...Toc...Toc....

-...Ah?! On frappe,je vais voir qui est là.

Pailette descendit l'escalier et alla ouvrir la porte,elle vit une Dame assise sur les marches.

-Demat Dame...Suis Pailette.

Elle lui fit un sourire .
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Saroyane

levée depuis longtemps, Saroyane était partis au marché quand tout le monde dormait encore.

Elle avait laissée un petit mot sur la table de cuisine, bien en évidence pour que Pailette ne s'inquiète pas de son absence.

Le marché de Vannes était très bien garni, il y avait des exposants sur toute la grande place, les uns criaient, les autres faisaient griller divers volailles.

Saroyane écarquilla les yeux devant ces étalages de toutes les couleurs

C'est si différent de Tréguier dit-elle

Se faufilant parmi tous ces gens elle entreprit de remplir son panier de courses.

Alors qu'est-ce qui me faut? : du poisson, de l'andouille, du cidre, du lard... et de quoi faire mon fameux Kouign amann.
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Floyanne

lo était en admiration devant les magnifiques fleurs de son ami...soudain elle entendit la porte s'ouvrir et vit une dame sortir de la maison et la saluée

-Demat Dame...Suis Pailette.

[i]Floyanne se leva ... la conclusion qui vint à Flo était que cette dame devait être la futur femme de son amie...elle répondit chaleureusement à son sourire et se présenta à son tour

enchantée Dame Pailette et ravie de vous rencontrer..je suis Floyanne..une amie de Henri...je lui avait promis de passer le voir..est -il ici ?? sinon je repasserais plus tard je ne voudrais pas vous importuner

[i]Flo était contente de ne pas s'être déplacée pour rien..mais un peu déçue que ce ne soit pas son ami henri qui soit venu lui ouvrir la porte..elle aurait tant aimé voir la suprise sur son visage...mais cela n'étais que partie remise
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Pailettedargent

Citation:

enchantée Dame Pailette et ravie de vous rencontrer..je suis Floyanne..une amie de Henri...je lui avait promis de passer le voir..est -il ici ?? sinon je repasserais plus tard je ne voudrais pas vous importuner

-Oh oui,Dame Floyanne!Entrez donc!Ravie de faire votre connaissance!...Vous ne dérangez nullement!Je vais vous chercher Henri de suite...Vous n'avez qu'a vous installer au salon.

Pailette monta à l'étage.

-Mon coeur,c'est pour toi...Quelqu'un qui désire te voir...Je m'occupe de Violette.

Elle prit la petite dans ses bras et se dirigea vers sa chambre,ne laissant pas le temps à Henri de poser d'autres questions,sachant que cette visite allait lui faire plaisir.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Mon cœur, c'est pour toi... Quelqu'un qui désire te voir... Je m'occupe de Violette.

- Je descend tout de suite.

Henri passa une robe de chambre et descendit les escaliers. Arrivé à mi-chemin, il s'arrêta net :

- Flo !!!!!!!!!

Il descendit en courant les marches qui restaient et se jeta à son cou pour lui faire plein de bises.

- Oh Flo, comme je suis content de te voir !!! Merci d'être venu, c'est vraiment très gentil.

S'avisant de sa tenue, il recula et lui dit :

- Hum, désolé, je paressais au lit avec ma petite Violette. Mais viens, je vais te présenter la petite famille. Tu connais donc Pailette maintenant puisque c'est elle qui t'a ouvert. Elle est à l'étage avec Violette.

Ils montèrent tous les deux à l'étage. Passant devant la chambre de Joseph qui dormait toujours il lui murmura :

- Ici, c'est la chambre de Joseph mais il dort encore. C'est un petit bout de chou que Pailette a trouvé devant la porte de l'orphelinat. il avait tout juste une petite semaine. Nous l'avons adopté. Il a quatre mois maintenant.

Ils continuèrent vers la chambre de Violette. Elle était en train de s'habiller avec sa maman.

- Voici donc Pailette, ma future femme, celle qui a conquis mon cœur et qui le garde. Et voici notre petite merveille Violette. Violette, dit bonjour à la dame. C'est une très bonne amie de papa.

Violette cacha ses petits yeux derrière ses mains mais finit par dire :

- 'jour m'ame.

S'adressant de nouveau à Floyanne :

- Est-ce que tu as mangé ce matin ? Est-ce que tu veux prendre le petit déjeuner avec nous ?
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Floyanne

Floyanne attendait sagement au salon le temps que dame Pailette aille prévenir henri de sa venue...restée plantée là au milieu de la pièce ..elle admirait la décoration... quand soudain un bruit de pas dans l'escalier attira son attention...

elle n'eue guère trop le temps de se poser des questions car un FLO!!ce faisait dejà entendre...elle allait lui dire une banalité losque celui ci de mit à devaler les marche à une vitesse vertigineuse et se jetter dans ses bras sans oublier de lui écraser les joues de bizouilles

- Oh Flo, comme je suis content de te voir !!! Merci d'être venu, c'est vraiment très gentil.

entre deux éclats de rire .. elle le bizouilla tout aussi fort et l'enlaça amicalement

et moi donc mon cher ami ?? et moi donc !!! dis moi je ne te savais pas aussi svelte !! quelle souplesse !!

De nouveau elle ria.. heureuse de voir son ami rayonnait de bonheur.. qu'il était bon de le revoir et de constater que la vie ne lui avait pas fait trop de misère

- Hum, désolé, je paressais au lit avec ma petite Violette. Mais viens, je vais te présenter la petite famille. Tu connais donc Pailette maintenant puisque c'est elle qui t'a ouvert. Elle est à l'étage avec Violette.

Flo adorait la courtoisie et la politesse de son ami...mais elle adorait aussi le taquinais... et sans hésitation elle lui lacha en le regardant de la tete aux pieds

Humm!!! c'est vrai que tu es tres sexy mon p'tit henri je ne m'attendais pas a ce que tu m'accueille dans cette tenue...sa te vas bien .. tu vas te marier comme ça ???

Elle lui fit un clin d'oeil.. signe de taquinerie amicale.. puis elle le suivat dans les étages ou il lui présenta toute sa petite famille... flo fût attendrie de voir toutes cette amour rayonnait dans cette maison..puis elle salua la jolie petite violette .. qui derriere toute sa beauté innocente degagée un petit regard malicieux qui ses petits mains tentée de cacher... henri apres les présentations fit comme à son habitude.. s'inquietait de savoir si flo avait manger ou avait besoin de quelque chose.. décidément il ne changeait pas.. sa gentillesse et son dévouement aux services des autres était intact et Flo l'adorait pour cela..même si parfois elle trouvait qu'il s'oubliait lui même

Je te remercie Henri.. ne t'inquiète pas j'ai mangé ce matin..mais si tu as un bon verre de lait bien frais je ne te dis pas non... et puis j'ai encore pas mal de gens à voir en ville .. mais je tenais à venir te rendre visite à toi et ta famille avant

Floyanne etait heureuse .. son ami avait de quoi resplendir de bonheur et elle était fière d'être là pour son mariage et de connaitre sa belle petite famille
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Humm !!! c'est vrai que tu es très sexy mon p'tit Henri je ne m'attendais pas à ce que tu m'accueilles dans cette tenue... ça te va bien... tu vas te marier comme ça ???

- Bah écoute, si tu trouve que ça me va bien, pourquoi pas. Je cherche justement une tenue pour ce jour-là. Si tu me dis que ça me va bien, pourquoi pas.

Et Henri de lui sourire de toutes ses dents. Il était si content de la revoir. Puis, après le petit tour de la maison et de la famille :

Citation:

- Je te remercie Henri... ne t'inquiète pas j'ai mangé ce matin... mais si tu as un bon verre de lait bien frais je ne te dis pas non... et puis j'ai encore pas mal de gens à voir en ville... mais je tenais à venir te rendre visite à toi et ta famille avant.

- Mais bien sûr que j'ai du lait. Viens au salon, installe-toi, je reviens tout de suite. C'est vraiment gentil d'avoir commencé par moi.

Henri se rendit à la cuisine et remplit deux grands verres de lait. Revenant au salon, il en tendit un à Floyanne, se réservant l'autre.

- Sans vouloir te retarder, dis-moi comment tu vas et comment se passe ta vie à Laval ? Es-tu heureuse ?
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Pailettedargent

Pailette descendit avec Violette d'une main et de son autre bras le petit Joseph.
Elle alla dans le salon ,Violette restait près de la porte, intimidée.

-Désolée,de vous déranger...Tiens mon coeur,je te donne ton fils,je vais faire le petit déjeuner de Violette et de Joseph.

Pailette retourna à la cuisine avec leur fille,elle lui prépara son lait chaud ainsi qu'une grande tartine de confiture.
Sur la table,elle trouva le mot de Saro.

-Humm..Matinale la cousine!

-Sa'yane?

-Oui,ma chérie ,Saro est au marché,elle revient après...Régale toi ma puce,je vais donner le biberon à Joseph.

Pailette passa à nouveau dans le salon et donna le lait à Henri.

-Et voilà...Un bon biberon pour ton fils....Je vous laisse,je vais finir de m'occuper de Violette et on part en promenade toutes les deux.

Quand elle revint à la cuisine,elle trouva Violette pleine de confiture.

-Ohhh,comme tu es jolie comme çà!

Elle se mit à rire et nettoya la petite.

-Allez,zou!..On y va!
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Floyanne

De nouveau Floyanne s'était installée dans le salon et attendait le retour d'henri avec la boisson..

- Sans vouloir te retarder, dis-moi comment tu vas et comment se passe ta vie à Laval ? Es-tu heureuse ?

Elle ne savait si elle devait dire les choses à son ami..pas qu'elle n'avait pas confiance..mais elle ne voulait pas ternir sa bonne humeur..pourtant elle ne voulait en rien lui cacher..lui qui avait toujours était là pour elle quelques soit la situation... alors la vérité elle le lui devait

Déjà sache que tu ne me retarde pas et que pour moi c'est un enorme plaisir de converser avec toi comme au bon vieux temps... ensuite.. et bien...

Flo baissa la tête...jouant avec son verre de lait et n'osant pas afronter le regard d'Henri..elle prit sa respiration et déclara timidement

Heureuse ?? le mot est un peu exagéré.Vini mon futur mari est mort dernierement.. et.. enfin voila tu vois rien de bien agreable a vivre..mais je crois que la mort me cotoie trop souvent..c'est ainsi.. d'ailleur en parlant de vini je t'ai apporté quelque choses pour tes petits.. je ne sais pas si ils sont assez grand.. enfin tu verra

elle fouilla dans son baluchon et en sortit deux petites sculture de bois representant des petites vaches que vini aimait sculter pour ses futurs enfants avec elle...elles les caressa les larmes aux yeux.. souvenirs de merveilleuse soirées au coin du feu... et les tendit a henri

Tiens je te les donnes ..elles étaient destinées a nos futurs enfants..mais j'aimerais que ton petit joseph et ta petite violette les possedent..vini aurait aprecier

elle avait donné les deux petites scultures que Pailette entra en s'excusant

-Désolée,de vous déranger

oh!! vous ne nous dérangez pas du tous bien au contraire ... je serais ravie de discuter avec la dame qui fait le bonheur de mon meilleur ami..mais je comprends qu'avec deux merveilles comme les votres on soit un peu deboprdée...de toute façon je ne vais pas tardée..peut etre nous reverrons nous une autre fois.. enfin je l'espere vivement dame pailette

Flo lui souria une nouvelle fois ..puis fut attendrit de voir son ami avec le Bébé ..cela lui allait si bien
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Floyanne

Pailettedargent

Pailette,une fois dehors,prit une grande inspiration,le jour du mariage approché et le stress avec....Elle regarda Violette qui l'attendait un peu plus loin.

-'iens maman...

-Oui,ma chérie,j'arrive.

Elles prirent la direction de la clairière,marchant au rythme du pas de la petite,profitant de ces instants de complicité.
Pailette et Violette allèrent voir les chevaux...Etoile avait bien grandi.Puis elles reprirent le chemin de la maison.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Déjà sache que tu ne me retarde pas et que pour moi c'est un énorme plaisir de converser avec toi comme au bon vieux temps... ensuite... et bien...

Henri sourit. Oui, le bon vieux temps, bien sûr, comment pourrait-il l'oublier... Il y pense tous les jours à ses débuts à Vannes, à ces longues discussions qu'ils avaient tous les deux, parfois à trois quand Centi était là aussi. Mais il sentit comme une retenue dans sa voix quand elle continua à parler, et pour cause...

Citation:

- Heureuse ?? Le mot est un peu exagéré. Vini mon futur mari est mort dernièrement... et... enfin voila tu vois rien de bien agréable à vivre... mais je crois que la mort me côtoie trop souvent... c'est ainsi... d'ailleurs en parlant de Vini je t'ai apporté quelque choses pour tes petits... je ne sais pas si ils sont assez grands... enfin tu verras.

Henri regardait Floyanne. Il était bouleversé d'apprendre ses malheurs. Lui qui était si heureux pour elle lorsqu'elle lui avait annoncé qu'elle avait trouvé un homme qui la rendait heureuse... Et voilà qu'elle lui annonçait sa mort. Il ne savait trop que dire ou que faire. Il la laissa fouiller dans son baluchon. Elles en sorti deux mignonnes petites vaches en bois.

Citation:

- Tiens je te les donnes... elles étaient destinées a nos futurs enfants... mais j'aimerais que ton petit Joseph et ta petite Violette les possèdent... Vini aurait apprécié.

Avant qu'il ait eu le temps de dire quoique ce soit, il se retrouva avec Joseph sur un bras et un biberon dans la main libre. Il avait presque honte de son bonheur devant son amie qui traversait tant de difficultés. Pailette et Violette étant sorties, il dit à Floyanne :

- Je ne sais pas trop quoi dire, je suis vraiment bouleversé d'apprendre tout ça. Et moi qui suis là, à vivre mon petit bonheur... Merci beaucoup pour les petites sculptures, elles sont magnifiques. Je suis si désolé pour toi. Je ne sais que faire... Y a-t-il quelque chose, la moindre petite chose que je peux faire pour toi ? Demande-moi ce que tu veux, si c'est dans mes possibilités, je le ferai ! Moi qui me disais que j'allais pouvoir faire la connaissance de l'homme qui te rendait heureuse, que j'allais pouvoir remercier de cela... Et voilà que tu me donnes ce qui était pour vos enfants... Je t'assure que je prends ce cadeau à sa juste valeur, sachant très bien ce que cela doit te coûter. Et je te remercie vraiment du fond du cœur.
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Saroyane

Saroyane avait flânnée au marché et après avoir dévalisés les étals elle pris le chemin du retour.
Mais elle se trouva tout a coup lasse et sans forces.

Oh, ça c'est le contrecoup de ma nuit mouvementée!

Elle s'adossa à un arbre bordant la route, son regard examina les alentours et là elle vit quelque chose, quelque chose d'assez important pour quitter sa retraite, devant un superbe bosquet de ronces, saroyane venait de dénicher un tréche a quatre feuilles.

Un large sourire apparu sur son visage et elle repris sa route, comme si toute fatigue avait disparue.

Ca c'est un bon présage, dès que je rentre je glisserais dans mon livre préféré!

En chemin elle passa près d'une petite bâtisse en ruine qu'elle n'avait pas remarquée à l'allée tant elle s'emblée avalée par la nature qui la recouvrait presque totalement.

La curiosité la poussa a s'aventurer dans les broussailles et après quelques mètres ou les mauvaises herbes semblaient la retenir ou l'empêchaient d'avancer.

Son sang ne fit qu'un tour; là dissimulé sous de veilles planches abîmées par la végétation un trou a peine assez large pour laissé passer un homme.

Elle s'alongea pour essayer de voir quelque chose certainement enhardie par sa précédente découverte, mais il faisait si noir là dessous qui était impossible de se faire une opinion,'elle rebroussa chemin,( sans oublier de se promettre de revenir plus tard et mieux équipée), d'ailleurs elle avait un dîner à préparer.

Ce n'était de toute façon pas le moment de parler de cette découverte à sa cousine, avec son mariage elle avait déjà tant a faire.

Mais après le mariage il faudra que je la persuade de descendre avec moi dans cette crypte...il y a peut-être un trésor, ou des vieux livres ou même des secrets ...

Saroyane avait repris sa route avec en tête les plus folles idées.
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Saroyane

Après avoir marché un bon quart d'heure, Saro arrivée enfin à la maison, ses pensées l'avait tellement absorbée quelle avait marché par erreur dans une crotte de chien.

Oh zut, flute, crotte, ça n'arrive qu'a moi çà!

elle du se déchausser pour entrer! C'est donc en chaussette qu'elle entra dans la maison.

Elle entendit des voix au salon et s'avança pour saluer ses hôtes, mais en passant la porte elle se trouva très génée de se présenter dans cette accoutrement devant une tiers personne.

Une atmosphère pesante régnait dans le salon, comme si quelque chose de grave se passait, prenant son courage à deux mains et essayant d'oublier ses chaussettes, elle s'avanca la main tendu vers la jeune femme qui se trouvait au côté d' Henry.
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Henri_de_plumaugat

Henri vit Saroyane entrer dans la maison et s'approcher d'eux. Il fit les présentations :

- Floyanne, voici Saroyane, une cousine de Pailette. Saroyane, voici Floyanne, ancienne vannetaise et l'une de mes meilleures amies.
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Pailettedargent

Pailette arriva à la maison juste derrière Saro,elle vit les chausses de sa cousine près de la porte,vu l'odeur qui s'en échappé,elle comprit de suite.

-Eh Saro!...çà porte chance parait-il!

Elle entra dans le salon avec Violette et s'installa près d'Henri ,la petite fit un bisou à Saro et s'agrippa à sa mère,intimidée par Floyanne.
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Henri_de_plumaugat

Henri se tourna vers Saroyane :

- Alors, qu'est-ce que vous allez nous préparer de bon pour ce midi ? Vous avez trouvé tout ce qui vous fallait au marché ? Si vous voulez faire la cuisine pour la réception après le mariage, vous pouvez aussi.
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Saroyane

Code:

Floyanne, voici Saroyane, une cousine de Pailette

Enchantée de vous rencontrer Floyanne, dit-elle dans un sourire avenant

Code:

Eh Saro!...çà porte chance parait-il!

Oui je crois que vu la quantité, je vais en avoir a revendre! dit-elle en riant

Citation:

Si vous voulez faire la cuisine pour la réception après le mariage, vous pouvez aussi.

Oh là vous ne dirait plus çà après avoir goûter à ma cuisine

Citation:

Alors, qu'est-ce que vous allez nous préparer de bon pour ce midi

Alors j'ai tout ce qu'il faut pour concocter de l'andouille en entrée, une fricassée de dinde au cidre avec du lard, des oignons, pommes de terre tout plein de bonnes choses et en dessert mon légendaire Kouign amann

elle baissa le ton de sa voix et dit comme une confidence

Je mettrais une fève dedans se sera rigolo pour Violette!

et tant que j'y suis j'ai pris de quoi faire une soupe de poisson pour ce soir

puis elle pris congés

Excusez moi mais j'ai du travail en cuisine

[i]puis tournant les talons elle dit comme pour faire comprendre à Henry quelque chose

J'ai ai pris pour un régiment!
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Pailettedargent

Pailette écoutait sa cousine en souriant.Elle avait hâte de passer à table.
Violette regardait son petit frère dans les bras de son père.

-A moi câlin papa...

-Eh oh,Mademoiselle Violette...C'est quoi ces manières?!...Joseph est avec papa,chacun son tour.

La petite croisa les bras en retroussant son nez.
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Henri_de_plumaugat

- A moi câlin papa...

Citation:

- Eh oh, Mademoiselle Violette... C'est quoi ces manières ?!... Joseph est avec papa, chacun son tour.

Henri sourit et dit à Violette :

- Si je te le donne, tu feras bien attention, n'est-ce pas ?

- Voui !

Doucement, Henri lui mit le petit bonhomme entre les bras et l'aida à le tenir. Violette, tout sourire, commença à le serrer contre elle et à lui faire plein de bisous.

- Attention ma grande, ne le sers pas trop fort.
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--Violette.

Violette était toute fière de tenir son frère

Citation:

- Attention ma grande, ne le sers pas trop fort.

-Na...Aime 'Zeph...A moi bébé.

Elle jeta un oeil vers sa mère qui la regardait.

Pailettedargent

Pailette regardait le frère et la soeur,relevant son regard vers Henri et se penchant vers lui.

-Humm..Elle t'a encore eu...Son charme a encore agi sur toi.

Elle lui fit un grand sourire.
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Henri_de_plumaugat

- Na... Aime 'Zeph... A moi bébé.

- C'est très bien de l'aimer ma grande, mais justement, il ne faut pas lui faire mal. Il est encore fragile, c'est un tout petit bébé.

Citation:

- Humm... Elle t'a encore eu... Son charme a encore agi sur toi.

Henri soupira et lui répondit sur le même ton :

- Eh oui, je suis désolé... Enfin, merci de me le dire.

Il lui sourit.
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Pailettedargent

Citation:

Eh oui, je suis désolé... Enfin, merci de me le dire.

-Mais de rien,mon coeur..

Pailette lui fit un sourire et l'embrassa amoureusement

-A moi 'ssi ...bisou maman...

Elle regarda sa fille qui tendait ses lèvres vers elle,Pailette se pencha et se laissa faire,déposant en même temps un baiser sur le front de Joseph.

-Je vous adore mes deux Anges...

-T'aime maman
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Henri_de_plumaugat

Henri répondit au baiser de Pailette tout aussi amoureusement.

- On ne sera pas trop de deux pour réussir à éduquer cette petite. Regarde-là tendre ses lèvres, comment ne pas craquer...

- T'aime maman !

Henri regarda Pailette d'un air désespéré, l'air de dire "comment résister"...
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Pailettedargent

Pailette se mit à sourire en voyant l'air desespéré d'Henri.

-Ce n'est que le début mon Coeur...

Elle prit Joseph des bras de Violette.

-Naaaaa..'core 'Zeph!

-Il est fatigué ,ma chérie,on va le mettre au lit...Tu viens m'aider?

-Viii

La petite se tourna vers son père et de son petit air sérieux

-'Zeph...Dodo...'atigué...ssssshhhuuttt.
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Henri_de_plumaugat

- 'Zeph... Dodo... 'atigué... ssssshhhuuttt.

Henri mit son doigt devant ses lèvres en souriant :

- D'accord petite maman, chhhhuuuuttt...
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Saroyane

Tout en cuisinant Saroyane poussait la chansonnette :

mi ron don deine la la la ... et ron don don...

Une bonne odeur de cuisine bretonne envahissait la maison et Saroyane prépara la table sans oublier de mettre en son centre une bonne bouteille de vin du pays.

Son Kouign amann était cuit et refroidissait sur le rebord de la fenêtre tandis que la dinde dorait doucement dans le four.

Les andouillettes je les prépareraient au dernier moment murmura -t-elle
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Henri_de_plumaugat

Pailette et Violette étant montées, Henri se rendit à la cuisine pour voir ce que préparait Saroyane. Ce qu'il vit le mit en appétit.

- Alors Saroyane ? Tout se passe comme vous voulez ? Hum, ça sent rudement bon. Je suis sûr que nous allons nous régaler !
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Saroyane

Citation:

Tout se passe comme vous voulez

Oui, tout est presque terminé, je vais faire un peu de vaisselle car quand je cuisine, j'ai la fâcheuse habitude d'avoir besoin de tous les plats et si je l'a laisse à Paillette je crois pas qu'elle serait contente.

[i]Saroyane fit couler de l'eau dans l'évier et se mis au travail

puis elle dit[/i]

Bon... dès que tous le monde est prêt, on passe à table!
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Pailettedargent

Pailette revint avec Violette

-Et voilà,Joseph est couché...On peut passer à table...çà sent trop bon!

Elle passa à côté d'Henri,effleurant sa main à la sienne ,lui faisant un sourire.

-Allez Violette,viens t'asseoir.

La petite s'installa.

-A faim!
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Et voilà, Joseph est couché... On peut passer à table... ça sent trop bon !

- Ah ça, pour sentir bon, ça sent bon.

Il répondit à son sourire et attrapant sa main il y déposa un baiser.

- A faim !

Son papa se glissa derrière elle et se mit à lui faire des chatouilles.

- Mais oui, on sait, tu as faim tout le temps, petit ventre à patte.
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Saroyane

Quand tous le monde fût assis, Saroyane déposa l'entrée sur la table et chacun pouvaient se servir a sa guise

Des andouillettes de Guéméné à la Saro dit-elle en s'asseyant!
et bonne appétit!

Ensuite se fût le plat de résistance que Saroyane avait préparé à la mode bretonne.

Prenant un faux air chichiteux elle dit: Je vous propose ensuite en fricassé de dinde au cidre accompagnée de ses pommes de terre, lards, et champignons!

Henry pouvez vous servir le vin s'il vous plait?

Elle mangait de bonne appétit et était ravies de voir les assiettes se vider aussi rapidement

Après avoir discutait un peu elle proposa de servir le dessert.

Alors Violette écoute bien, le dessert d'aujourd'hui c'est un peu comme un jeu: le gagnant c'est celui qui trouve quelque chose d'insolite , une fève, dans son gâteau.

Alors je veux que tu ailles sous la table et tu me dira a qui je donne la part, d'accord?

Alors celle-là a qui?

celle-ci a qui?

et celle-là?

et la dernière pour qui?

Très bien Viollette tu peux revenir à table!

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Henri_de_plumaugat

Henri fit honneur à chacun des plats. Il faut dire qu'ils étaient délicieux.

Citation:

- Henry pouvez-vous servir le vin s'il vous plait ?

- Mais bien sûr ! Vos plats sont vraiment fameux.

Il prit la bouteille et commença le service. Il en versa une larmichette dans son verre, sentit le nez, puis le goûta.

- Hum, délicieux.

Il servit Pailette puis Saroyane. Violette tendit son petit verre aussi.

- Moi 'si !

- Oh non, pas pour toi ma grande, tu es encore trop petite.
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Pailettedargent

-Excellent chère cousine!Bravo!

- Moi 'si !

Pailette regarda sa fille en souriant.
La petite s'attaqua à son morceau de gâteau de bon appétit quand elle grimaça

Maman,pas bon...

Elle se mit à tirer la langue pour faire voir
Pailette la regarda et prit la fève

-Et bien ma chérie,tu as gagné!

Violette frappa dans ses mains en regardant Saro.

-A gagnée!
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Saroyane

Citation:

-A gagnée!

oH tu est une petite fille bien chanceuse dit moi

Elle se leva , prit un objet dans un tiroir et dit

Tu crois que la gagnante à droit à une récompense Violette?

Elle lui tendit quelque chose qui était enveloppé dans du papier journal

Dans celui-ci Saro avait mis un beau coquillage jaune et bleu qu'elle avait trouvé au port en allant faire ses courses.
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--Violette.

Citation:

Tu crois que la gagnante à droit à une récompense Violette?

-Viiii

Violette attrappa le papier et le déchira,découvrant le coquillage

-Est beau!..A vu papa?!

Henri_de_plumaugat

Henri contemplait la scène en souriant. Sa petite reine conquérait tous les cœurs. Il regarda Pailette en souriant. Mais Violette, après avoir ouvert le paquet, lui dit :

- Est beau !... A vu papa ?!

Henri la regarda, elle et le coquillage, et lui dit rêveusement :

- Oui, il est magnifique ma grande... Tout est tellement magnifique ici...

Disant cela, il prit la main de Pailette qu'il embrassa tendrement.
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Pailettedargent

Pailette serra doucement la main d'Henri dans la sienne,elle lui sourit.
Elle se tourna vers sa cousine

-Saro!...Quand tu veux pour nous refaire un repas!...Et toi,Violette...Au dodo!...Une petite sieste te fera pas de mal!
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Henri_de_plumaugat

Henri renchérit :

- Absolument ! Si vous avez d'autres spécialités à nous faire connaître, n'hésitez surtout pas !

Il regarda un instant Pailette monter avec Violette dans les bras, à moitié endormie sur son épaule. Puis il se leva, aida Saroyane à débarrasser et à faire la vaisselle, puis il alla s'installer devant le feu de cheminée. C'était on ne peut plus agréable d'être sous un bon toit, avec un bon feu lorsqu'il vente et pleut dehors, et Henri en profitait.
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Pailettedargent

Pailette redecendit à la cuisine pour préparer une infusion.

-Saro..Une infusion?!...

Elle se dirigea vers le salon avec son plateau

-En tout cas si tu en veux,c'est servi au salon!

Pailette s'installa près de son époux.

-Qu'on est bien ici...
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Missanges

Un bruit de sabot qui martèlent les pavés de Vannes. J’entre dans la ville de Vannes en recherche de 1, place de la reine nathan. Quelle belle adresse !

Trois petits coups sec d’une main repliée sur elle –même. Et j’attends qu’une personne m’ouvre la porte. Je tiens dans le creux de mon bras un présent pour les mariés.

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Henri_de_plumaugat

Lorsque Pailette vint s'assoir à côté de lui, Henri lui passa le bras autour des épaules. Puis il prit une tasse qu'il posa à côté de lui.

- Merci ma chérie.

Citation:

- Qu'on est bien ici...

- Oh oui qu'on est bien...

Et il appuya sa joue contre les doux et soyeux cheveux de celle qu'il aime. Soudain, il entend un bruit de sabots qui s'arrête devant la maison. Puis ce furent des coups frappés à la porte. Henri déposa un baiser sur le front de Pailette et lui dit :

- Ne bouge pas, j'y vais.

Il prit une petite gorgée de son infusion puis se leva et ouvrit la porte toute grande.

- Missanges ! Quelle merveilleuse surprise ! Entrez, entrez ! Voulez-vous que je mène Nuage à l'écurie ? Il sera mieux qu'ici. C'est vraiment gentil d'être passé nous voir. Est-ce que je peux vous proposer quelque chose à manger ou à boire ? Ou les deux d'ailleurs.
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Missanges

La porte s’ouvre et c’est Henri qui est devant moi. Des regards qui s’échangent et des lèvres qui s’étirent.
Je ne vous dérange pas ? Je suis de passage dans votre ville pour la journée et je me suis permise de venir vous porter un présent de mariage.

Déroulant le cadeau que j’avais au creux de mon bras. J’espère que cela vous plaira. Un achat effectué lors de mon voyage …Heu ! Pour Nuage merci, je veux bien il sera mieux dans le foin que sur les pavés. Merci de votre hospitalité un verre de prune si vous avez…

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Saroyane

Citation:

Saro..Une infusion?!

Ah oui je veux bien, après un bon repas c'a fait couler comme on dit!

Elle alla s'instaler au salon avec ses amis.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Je ne vous dérange pas ? Je suis de passage dans votre ville pour la journée et je me suis permise de venir vous porter un présent de mariage.

- Comme si vous pouviez nous déranger... Connaissez-vous ma merveilleuse épouse ? Missanges, voici Pailette. Ma chérie, voici Missanges, une très bonne amie de Kastell. Et voici Saroyane, une cousine de mon épouse.

Missanges déroula un magnifique tapis.

Citation:

- J’espère que cela vous plaira. Un achat effectué lors de mon voyage… Heu ! Pour Nuage merci, je veux bien il sera mieux dans le foin que sur les pavés. Merci de votre hospitalité un verre de prune si vous avez…

- Il est splendide, merci beaucoup. C'est vraiment très gentil. Bon, je vous laisse faire connaissance, je vais mettre Nuage à l'écurie et je reviens.

Il fit assoir Missanges au salon, alla lui servir le verre qu'elle lui avait demandé. Puis il sortit pour s'occuper de Nuage.

- Tu es toujours aussi magnifique. Allez viens, tu vas avoir de la bonne eau fraîche et du bon avoine. En plus, tu auras de la compagnie.

L'ayant amené à l'écurie, Henri le débarassa de sa selle et de sa bride et le bichonna un moment. Puis il lui remplit une mangeoire d'avoine et le conduisit à l'abreuvoir.
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Missanges

Discutant avec la maîtresse de maison et sa cousine. Je me souvenais fort bien de Paillette. Mais lorsque nous sommes en bonne compagnie le temps passe très vite et ce fut déjà le moment de repartir.

Merci de ce moment et merci pour Nuage. Le moulin des Kerdren vous est grand ouvert si vos pas vous mènent à Kastell.

Me faisant raccompagner je reprenais ma monture et le chemin de kastell.
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Saroyane

Citation:

Et voici Saroyane, une cousine de mon épouse.

Enchantée Missanges dit Saro dans un grand sourir.
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Pailettedargent

Pailette était contente de parler avec Missanges,une Dame d'une grande gentillesse.
Elle la remercia sincèrement pour le magnifique tapis.

Citation:

Merci de ce moment et merci pour Nuage. Le moulin des Kerdren vous est grand ouvert si vos pas vous mènent à Kastell.

-Merci à vous,Missanges,j'espère que l'on se reverra très prochainement.

Pailette l'accompagna jusqu'à la porte

-Je vous souhaite un bon retour et à bientôt.
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Henri_de_plumaugat

[Le jour du mariage, après al cérémonie à l'église...]

Henri et Pailette arrivèrent donc chez eux en calèche.

Henri en sauta tranquillement, prit Violette dans ses bras et la posa par terre. Puis il tendit ses bras à sa jeune épouse, l'aida à descendre. Il l'accompagna jusqu'à la porte, puis l'ayant ouverte il prit Pailette dans ses bras :

- Ma chérie, il est de tradition que la jeune épouse franchisse le seuil de sa nouvelle maison dans les bras de son époux. Il est vrai que tu habites déjà ici depuis quelques temps, mais maintenant, puisque tu es officiellement mon épouse, tout ce qui est ici t'appartient. Tout ce qui est à moi est à toi.

Henri lui fit franchir la grande porte de sa maison puis il la posa mais la garda tout contre lui.

- Tu es ici chez toi pour toujours, mon Amour. Je suis fier et heureux que tu sois mon épouse. Que cette maison soit le berceau et le vivier de notre amour, et ce pour toujours.

Disant cela, il l'emmena jusqu'au jardin, et l'embrassa de toute sa tendresse et de tout son amour.

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Pailettedargent

Pailette lui fit un sourire.

-Je suis aussi fière d'être enfin ton épouse...Je t'aime tant mon coeur.

Elle répondit à son baiser avec tendresse,le regarda:

-Bien,mon cher époux...Que faisons nous maintenant?!
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Je suis aussi fière d'être enfin ton épouse... Je t'aime tant mon cœur.

- Je t'aime aussi de toute mon âme. Tu sais, j'ai toujours pensé qu'un couple c'est comme une bague. L'anneau est le support, mais n'a qu'une bien faible beauté, même s'il est en or, sans un diamant qui s'y accroche. De même un homme, quand bien même aurait-il toutes les qualités, ne serait pas grand chose sans une épouse à ses côtés. Tu es mon diamant ma chérie.

Citation:

- Bien,mon cher époux... Que faisons nous maintenant ?!

- On peut commencer à manger tout ce que les convives ne mangeront pas. Est-ce que tu as faim ? Si tu veux, je nous prépare une table. Si tu n'as pas faim...
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Pailettedargent

Citation:

- On peut commencer à manger tout ce que les convives ne mangeront pas. Est-ce que tu as faim ? Si tu veux, je nous prépare une table. Si tu n'as pas faim...

-Oui!!! J'ai faim!....A vrai dire,je n'ai presque pas mangé,tellement le stress était grand!

Pailette lui fit un grand sourire

-Mais si je n'aurais pas eu faim?....Tu n'as pas fini ta phrase.

Elle le regarda,attendant sa réponse.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Oui !!! J'ai faim !... A vrai dire, je n'ai presque pas mangé, tellement le stress était grand !

- Alors je vais m'occuper de ça.

Henri répondit à son sourire. Mais Pailette ne s'arrêta pas là.

Citation:

- Mais si je n'aurais pas eu faim ?... Tu n'as pas fini ta phrase.

Henri rougit légèrement. C'était idiot de sa part car c'était chose normal entre époux, justement. Mais c'était si nouveau qu'il ne savait pas trop comment s'y prendre.

- Eh bien... Comment dire...

Il se traitait de tous les noms en lui-même. Mais vas-y, dis-lui...

- Nous avons attendu si longtemps ce mariage, et je voudrai te donner ce que j'ai toujours gardé pour toi.
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Pailettedargent

Elle le regarda rougir légèrement

Citation:

- Nous avons attendu si longtemps ce mariage, et je voudrai te donner ce que j'ai toujours gardé pour toi.

Pailette lui souria et l'embrassa tendrement.

-Et bien,le repas attendra un peu alors...
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Et bien, le repas attendra un peu alors...

Henri lui sourit et répondit à son baiser de toute sa tendresse.

- Comme tu veux mon Amour.

Il la prit dans ses bras et la porta jusqu'à leur chambre.
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Pailettedargent

Pailette se laissa porter jusqu' à la chambre.
Une sorte de gêne,de timidité,de pudeur s'empara d'elle...Elle le regardait,un léger sourire aux lèvres.
Son coeur battait la chamade,elle avait l'impression qu'il résonnait dans la pièce.
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Henri_de_plumaugat

Henri la déposa sur le lit et l'embrassa de tout son amour.

Oui, cette femme il l'aimait, il l'entourait de tout son respect. Et c'est pour cela qu'il avait voulu attendre, c'est pour cela qu'il s'était toujours conservé pour elle. Il avait toujours voulu se conserver pour celle qui accepterait de passer tous les jours de sa vie avec lui. Il voulait lui faire un don total de lui-même. Il voulait bien lui montrer, mais elle le savait bien, que ce n'était pas une passion passagère chez lui, mais un véritable amour qui la regarde telle qu'elle est, qui l'embrasse toute entière, ne laisse rien de côté. Il l'aimait, il était à elle. Pour lui, même cet acte magnifique qui donne la vie, ce n'était pas son propre bonheur qu'il y cherchait, mais le sien, celui de sa femme. Par ce "oui" prononcé devant Dieu et devant la foule de leurs amis, c'était un serment solennel de consacrer sa vie au bonheur de son épouse et de celui de leurs enfants. Oui, Pailette avait bien choisi les fleurs lorsqu'elle avait demandé des roses blanches pour signifier la pureté de leur amour.

Mais ses gestes étaient bien maladroit. Ils étaient tous deux un peu gênés, mais leur tendresse et leur amour prirent le dessus et il s'étreignirent d'une étreinte qui ne devrait jamais finir.
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Pailettedargent

Pailette,au creux de ses bras,le regarda s'endormir.
Qu'est-ce-qu'elle pouvait l'aimer son Henri,son mari!...Elle avait juste un infime regret,celui de ne s'être gardé pour lui...Oui,d'un sens ce petit regret mais de l'autre ,elle ne regrettait pas non plus,puisqu'elle avait eu sa magnifique Violette.
Pailette s'était donné à son époux,elle lui avait promis fidélité...Promesse qui lui semblait si facile à tenir,ils s'étaient trouvés,deux âmes soeurs,enfin unis à jamais de corps et d'esprit.
Elle déposa un tendre baiser sur ses lèvres

-Je t'aime mon Amour.
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Henri_de_plumaugat

Henri se réveilla au bout de quelques instants, au doux contact des lèvres de Pailette sur les siennes.

Citation:

- Je t'aime mon amour.

- Moi aussi je t'aime.

Il la serra contre lui.

- Ce que nous sommes bien, là, tous les deux.
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Pailettedargent

Citation:

- Ce que nous sommes bien, là, tous les deux.

-Nous sommes toujours bien tout les deux,affirma Pailette

Elle plongea son regard dans le sien

-Je t'aimerai jusqu' à la mort et bien au delà mon Coeur.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Nous sommes toujours bien tout les deux.

- Oui, c'est vrai, tu as raison. Mais reconnait que je n'ai pas dit le contraire.

Il lui sourit malicieusement.

Citation:

- Je t'aimerai jusqu'à la mort et bien au delà mon Cœur.

La regardant aussi il lui répondit :

- Je te fais le même serment, ma si chère épouse.

Et il l'embrassa de nouveau de toute sa tendresse. Ne dit-on pas qu'un baiser est le point sur le i du verbe aimer...
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Pailettedargent

Pailette se leva

-C'est pas tout çà..mais j'ai faim!

Elle se mit à rire,se penchant sur Henri et l'embrassa à nouveau
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- C'est pas tout ça... mais j'ai faim !

Henri répondit en riant à son baiser.

- Alors ne bouge pas, je t'appelle quand c'est prêt, d'accord ?

Il descendit rapidement et prépara la table. Il fit réchauffer quelques plats, mit la table et alluma les bougies. S'approchant de l'escalier il cria :

- C'est bon ma chérie, tu peux descendre !

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Pailettedargent

Citation:

- Alors ne bouge pas, je t'appelle quand c'est prêt, d'accord ?

-D'accord,mon Coeur.

Elle le regarda partir,elle en profita pour se faire un brin de toilette.

Citation:

- C'est bon ma chérie, tu peux descendre !

Pailette alla le rejoindre,une bonne odeur venait lui chatouiller les narines.

-Ohh quelle jolie table!

Elle l'embrassa tendrement.

-Merci,mon chéri.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Merci, mon chéri.

- Mais je t'en prie mon Amour.

Il répondit à son baiser tout aussi tendrement. Puis il la conduisit à sa chaise.

- Le siège de Madame est avancé.

Il recula la chaise pour lui permettre de s'assoir et en profita pour lui glisser un baiser dans le cou. Puis, le torchon sur le bras, il joua au maître d'hôtel :

- En entrée, je vous propose des huîtres au sabayon de champagne ainsi que des coquilles Saint-Jacques gratinées aux champignons et au curry. Le tout accompagné d'un petit vin blanc pétillant et délicieusement frais venant de l'est de la France. Que préférez-vous ?
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Pailettedargent

Pailette le regardait faire en souriant

-Humm...Je vais prendre les coquilles Saint-Jacques,s'il vous plait!

Elle le regarda la servir avec soin et s'installer face à elle.

-T'es adorable,mon Coeur.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Humm... Je vais prendre les coquilles Saint-Jacques, s'il vous plait !

- Alors les coquilles Saint-Jacques pour Madame. Et pour Monsieur, ce sera les huîtres.

Il posa une assiette devant son épouse.

Il posa la sienne à sa place.

Puis prenant la bouteille de champagne, il en servit une flûte à Pailette puis en prit une à son tour. S'asseyant en face d'elle, il leva son verre en disant :

- Ma chérie, c'est à toi que je bois ! A notre Amour et à notre famille ! Je te remercie de m'avoir choisi et de me rendre si heureux.
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Pailettedargent

Citation:

- Ma chérie, c'est à toi que je bois ! A notre Amour et à notre famille ! Je te remercie de m'avoir choisi et de me rendre si heureux.

-Merci à toi,mon Amour...Merci de m'offrir tout ton amour.

Pailette trinqua et bu doucement
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Merci à toi, mon Amour... Merci de m'offrir tout ton amour.

Henri lui sourit :

- Mais je t'en prie ma chérie...

Il prit une gorgée de champagne. La fourchette à la main il dit :

- Allez, attaquons, ça va refroidir, contrairement à notre Amour !
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Pailettedargent

Citation:

- Allez, attaquons, ça va refroidir, contrairement à notre Amour !

Pailette mangea sa coquille de bon appétit.

-Humm...Délicieux!

Elle en fit goûter un peu à Henri et lui piqua une huître au passage.

-çà aussi c'est bon!

Elle se mit à rire
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Henri_de_plumaugat

Henri goûta donc la coquille de son épouse.

- Je confirme, c'est très bon.

Il la regarda lui piquer une huître.

- Oooooohhhhhh !!! Au voleur !!! Ah non, c'est vrai qu'on est censé tout partager maintenant. Bon, maintenant que tu m'as fini mon assiette, on va passer à la suite ?

Henri la regarda d'un regard malicieux puis il se leva et alla chercher le grand plat de charcuterie.

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Pailettedargent

Rhhooo..J'ai pas fini ton assiette...Il en restait qu'une toute petite.

Pailette afficha un large sourire
Henri revint avec un autre plat

-Humm..çà à l'air d'être aussi bon çà.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Rhhooo... J'ai pas fini ton assiette... Il en restait qu'une toute petite.

- Mais justement ! Tout le monde sait que les plus petites sont les meilleures !

Henri se mit debout derrière elle et l'enserra un moment dans ses bras avant de l'embrasser.

- Et je suis bien content qu'elle ait été pour toi. Tu mérite d'avoir tout ce qu'il y a de meilleur.

Citation:

- Humm... Ca a l'air d'être aussi bon ça.

- Le meilleur moyen de s'en assurer, c'est d'y faire honneur.

Henri lui présenta le plat.

- Est-ce que tu voudras un plat chaud après ? De la viande ? Du poisson ? Un accompagnement ?
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Pailettedargent

-Non,merci mon chéri,je crois qu'après ,je n'aurais plus faim...Sauf pour un dessert!

Pailette dégusta son plat tranquillement,observant son époux du coin de l'oeil.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Non, merci mon chéri, je crois qu'après, je n'aurais plus faim... Sauf pour un dessert !

- D'accord.

Henri mangeait de bon appétit. Mais il surprit le regard de Pailette.

- Qu'est-ce qu'il y a ma chérie ? Pourquoi me regarde-tu ainsi ?
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Pailettedargent

Citation:

- Qu'est-ce qu'il y a ma chérie ? Pourquoi me regarde-tu ainsi ?

-Humm?!!..Non ,rien,je te regarde comme çà,je vais me répéter mais je me dis que j'ai vraiment beaucoup de chance de t'avoir.

Pailette lui fit un sourire.

-Je t'aime mon coeur.
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Henri_de_plumaugat

Henri sourit lui aussi. Il prit sa chaise et vint s'assoir à côté de celle à qui il a consacré sa vie. Il passa un bras autour de ses épaules et l'embrassa tendrement.

- Merci ma chérie. Alors nous serons deux à nous répéter et à nous dire la même chose car j'ai aussi beaucoup de chance de t'avoir, de t'aimer et d'être aimé par toi. Je t'aime aussi...
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Pailettedargent

Pailette se mit dans le creux de son bras,elle était bien,elle se sentait protéger de tout.
A eux quatre,ils avaient formé un cocon familial.
Apparament,rien ne pouvait venir ternir ses moments de bonheur et de joie.
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Henri_de_plumaugat

Pailette et Henri restèrent ainsi quelques instants l'un contre l'autre. C'étaient leurs moments favoris. Ils n'avaient pas besoin de parler, leurs cœurs et leurs yeux se disaient tout. Il la serrait contre lui, et leurs deux cœurs battaient à l'unisson, l'un pour l'autre. Il lui murmura :

- Ce n'est pas que j'ai envie de bouger, tu le sais bien, mais est-ce que tu veux un petit dessert ?
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Pailettedargent

-Ah oui, un petit dessert!..Je ne peux pas refuser.

Gourmande,oui elle l'était,le sucré,son pêché mignon.
Elle regarda Henri allait en cuisine,pendant ce temps Pailette se mit à la fenetre,observant la nature,les premières feuilles tombées,l'automne était bien là..
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Henri_de_plumaugat

Henri déposa un doux baiser sur son front et se rendit à la cuisine. Qu'est-ce qu'il allait bien pouvoir servir comme dessert... Il regarda à droite et à gauche. Un gâteau ? Pourquoi pas. Mais il fallait aussi un petit quelque de léger. Ah voilà ! Des fruits. Une tranche de gâteau et une petite salade de fruits, l'idéal, enfin, à son avis.

Prenant le plat avec le gâteau, il l'apporta sur la table. Voyant Pailette devant le fenêtre, il lui coupa une tranche de gâteau, s'en servit une également puis il alla la retrouver.

- Tiens mon Amour. Il y a aussi une petite salade de fruits, si ça te dit.
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Pailettedargent

Merci,mon coeur

Elle prit la part de gâteau et se tourna vers la table.

-Humm..de la salade de fruits!!!

Pailette le regarda

-Pas tout les jours des repas comme çà,sinon je ne vais plus pouvoir me bouger.

Après ce repas,elle alla préparer une infusion,tout en chantonnant.
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Henri_de_plumaugat

Henri rangea un peu la table et la cuisine pour que la maison ne ressemble pas à un chantier puis il alla s'installer tranquillement dans le canapé du salon. Il écoutait Pailette chantonner et cela le fit sourire. Elle était heureuse, il l'était aussi. La savoir non loin de lui, toujorus à ses côtés le réconfortait. Les journées pouvaient être grises et maussades, le soleil brillait toujours au 1 place de la Reine Nathan car c'est là qu'habitait le soleil. Et Henri avait la charge de veiller sur lui. La charge ? Allons donc... Peut-on appeler une charge ce qu'il y a de plus formidable sur cette terre, veiller sur Pailette et les enfants, et vivrent avec eux tous les jours de sa vie.
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Pailettedargent

Pailette revint avec un plateau,dedans elle avait mit l'infusion et de petits biscuits qu'elle avait confectionné .
Elle s'installa contre lui...Elle ne pouvait s'en empêcher,elle aimait sentir sa peau contre la sienne.
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Henri_de_plumaugat

Lorsque sa femme revint avec les infusions et qu'elle s'installa contre lui, Henri passa un bras autour de ses épaules et déposa un baiser sur ses cheveux. Il prit aussi une infusion et goûta aux gâteaux que Pailette avait fait.

- Merci ma chérie. Hum, ils sont très bons tes gâteaux.

Ils restèrent un moment en silence, profitant de ces instants. Puis Henri dit :

- Quelle journée merveilleuse... Nous en emporterons le souvenir tous les jours de notre vie. On devrait pouvoir se marier tous les jours, tu ne trouves pas ? Vois tous ses amis près de soi, se dire que l'on va passer sa vie avec la personne qu'on aime le plus au monde... Mais c'est vrai aussi que si ces moments n'étaient pas uniques, nous en profiterions beaucoup moins.

Il prit la main de Pailette et posa un baiser sur le doigt où elle portait maintenant deux anneaux. Puis il appuya sa joue contre ses cheveux et lui murmura :

- Je t'aime pour toujours et plus que tout, ma chère épouse...
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Pailettedargent

Pailette le regarda

-Moi aussi,je t'aime plus que tout.

Un bruit se fit entendre,Saro,Violette et Joseph rentrèrent à la maison.
Violette arriva en courant

-Maman..Papa

-Bonjour mon petit coeur

Pailette attrapa leur fille dans ses bras,la couvrant de baiser.
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Henri_de_plumaugat

- Maman... Papa... !

Henri la regarda courir vers eux et se jeter dans les bras de sa maman qui lui fit plein de baisers. Il se leva et alla prendre Joseph des bras de Saroyane.

- Merci Saro de vous être occupée d'eux.

Il retourna s'assoir à côté de Pailette tout en embrassant lui aussi leur petit bonhomme. Celui-ci, sentant le bonheur qui émanait de tout le monde souriait et riait même. Avec se petites mains maladroites, il touchait le visage de son papa.

- Notre petite famille est au complet, mon amour.

Il lui sourit et lui présenta Joseph pour qu'elle puisse aussi l'embrasser.
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Saroyane

Citation:

Merci Saro de vous être occupée d'eux.

C'a été un plaisir!

Maintenant que le calme est revenu, j'ai moi aussi un cadeau. elle sortie de la pièce et revint avec un paquet qu'elle tenait avec précaution.

J'ai tout de suite pensé à vous en la voyant!

une jolie pendulette!
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Pailettedargent

Pailette déposa un gros baiser sur la joue de Joseph

Citation:

une jolie pendulette!

-Merci Saro,c'est très gentil de ta part!
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Henri_de_plumaugat

- Oh, c'est très joli, merci beaucoup Saro, encore une fois.

Henri se tourna ensuite vers sa grande fille.

- Tu n'as pas fait de baiser à papa, ma grande, et il aimerait beaucoup t'en faire un aussi.

Tout en disant cela, il lui tendit la joue.
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--Violette.

Violette s'approcha de son père et lui colla un gros bisou sur la joue

-T'aime papa

Elle lui fit son sourire charmeur.

Henri_de_plumaugat

Henri reçut le bisou en souriant. Puis, libérant un bras il attira sa petite fille contre lui et lui fit un gros baiser.

- Je t'aime aussi ma grande, beaucoup très fort. Je vous aime tous très fort.

Ne pouvant résister à son sourire, il l'attira contre lui et lui fit un câlin.
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Pailettedargent

Pailette posa Violette par terre

-Et bien Saro,que me racontes-tu de beau?

Elle se doutait que sa cousine avait un truc à lui dire,celà se voyait comme le nez au milieu de la figure.
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Henri_de_plumaugat

Henri contemplait Joseph tout en câlinant sa petite fille.

- Oh, regarde ma grande, il frotte ses petits yeux. Tu ne crois pas qu'il faut aller le mettre au lit ? Et toi ? Tu ne veux pas dormir un peu ?
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--Violette.

Violette plissa son nez

-Na..pas dodo...Moi graaannde...'Zeph est petit,lui dodo

Elle sentait bien que son père avait décidé de la coucher mais elle voulait jouer les grandes,Violette laissa échapper un baillement...Non,non et non,elle ne céderait pas à la fatigue!

Henri_de_plumaugat

- Na... pas dodo... Moi graaannde... 'Zeph est petit, lui dodo

- Puisque tu es une grande fille, tu viens quand même pour m'aider à le coucher ?

- Viii !

Bien sûr, ça c'est du travail de grande. Cela fit sourire Henri. Il dit à Pailette :

- Je monte coucher Joseph qui dort presque déjà et Violette va venir m'aider. La journée a été longue pour eux.

Il présenta leur petit bonhomme à son épouse pour qu'elle puisse l'embrasser puis il dit à Violette :

- Tu fais un baiser à maman avant de monter ?
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Pailettedargent

Citation:

- Je monte coucher Joseph qui dort presque déjà et Violette va venir m'aider. La journée a été longue pour eux.

-D'accord mon coeur

Pailette embrassa Joseph

-Dors bien mon fils

Et elle tendit sa joue pour que Violette lui fasse un bisou

-Fais bien attention à ton frère mon petit coeur.

-Viii

Elle les regarda partir à l'étage puis se tourna vers Saro

-Bon..Tu veux me dire quoi cousine?...Un secret?

Henri_de_plumaugat

Henri monta avec Joseph sur un bras et tenant Violette par la main. Arrivés dans la chambre de Joseph, Henri demanda à Violette :

- Tiens, ma grande, tu peux attraper le pyjama de ton frère posé sur son lit, s'il te plaît ?

Toute fière de son rôle de grande sœur et de pouvoir aider son papa, elle alla chercher le vêtement demandé et l'apporta presque solennellement à son papa. Celui-ci l'observait du coin de l'œil en souriant tout en changeant les langes de Joseph. Il n'y a pas de doute, elle le faisait complètement craquer. Elle ressemblait tellement à sa maman...

- Merci beaucoup.

Ayant fini de préparer Joseph, il voulut le coucher mais il se ravisa.

- Violette, tu veux bercer un peu ton petit frère ?

Le regard de la petite s'illumina :

- Oh viii ! Plait papa !

- Alors assied-toi là que je te le mette dans les bras.

Violette s'assit donc sur une petite chaise et tendit ses petits bras vers Joseph et son papa. Henri lui posa le bébé dans les bras et s'assit par terre à côté, en veillant que Violette ne le lâche pas. Celle-ci était fascinée par son petit frère et n'avait d'yeux que pour lui. Elle le berçait doucement, comme elle avait vu faire par ses parents. Au bout d'un petit moment, Joseph s'endormit complètement.

- 'garde papa, y dort !

- Oui, il dort ma chérie. Je vais le mettre dans son petit lit. Fais-lui un petit baiser tout doux pour ne pas le réveiller.

Violette ne se le fit pas dire deux fois. Elle effleura le front de son petit frère avec ses lèvres. Henri sourit puis reprit doucement Joseph et le coucha. L'ayant bordé sous les yeux attentif de sa fille, il l'embrassa à son tour. Puis prenant Violette dans ses bras, ils le regardèrent tous deux un moment. Puis Violette, gagnée par l'exemple de son petit frère, se mit à bailler. Henri sortit de la chambre en lui faisant un câlin.

- Oh oui, toi aussi tu es fatiguée ma grande. La journée a été longue pour toi... Mais tu était si mignonne pour le mariage de papa et maman, et tu as très bien apporté les anneaux. Allez, on va aller se reposer un peu.

N'ayant plus la force de refuser, elle se laissa faire. Henri la coucha tranquillement après un gros, gros, gros câlin et beaucoup de gros baisers.
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Saroyane

Citation:

Bon..Tu veux me dire quoi cousine?...Un secret?

Toute exitée saroyane s'avança au bord du siège en sautant comme si le temps pressait.

[size=18]Quand je suis allait en ville j'ai remarqué une ruine, on la voit a peine de la route, tu connait ma curiosité, et bien je me suis aventuré plus près et les fortes pluies de la semaine dernière ont duent venir à bout d'un plancher qui recouvrait un trou...

elle s'arrèta regarda autour d'elle,passa la langue sur ses lèvres et dit

On dirait une crypte, on passe à peine mais je suis sûr que bien équipée on pourrait passer.

Demain on y va...dit ou,i dit oui, dit oui s'il te plait je meurs d'envie d'aller voir!!!!

Elle fit sa bouille de petite fille comme quand elles étaient petites et qu'elle coulait de sa cousine fasse une bétisse avec elle.
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Pailettedargent

Pailette écoutait sa cousine ,la voir aussi surexcitée,la faisait sourire

Citation:

Demain on y va...dit oui, dit oui, dit oui s'il te plait je meurs d'envie d'aller voir!!!!

Elle fit mine de réfléchir,en regardant sa cousine du coin de l'oeil...Rhhhoo cette bouille là ,elle la connaissait bien,la bouille à bêtise!

-D'accord!Je suis partante!...Un peu d'aventure me rappellera le bon vieux temps!...

Pailette regarda autour d'elle et baissa la voix.

-Demain,à l'aube....On y va!

Au moins,cette fois ci,elles ne se feront pas punir par leurs parents!
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Henri_de_plumaugat

Henri descendit de l'étage sur la pointe des pieds et redescendit au salon. Il s'assit à côté de son épouse, l'entourant d'un bras.

- Voilà, ils sont couchés. Les pauvres... Ils tombaient de sommeil. Mais qu'est-ce que c'est que ces mines de conspiratrices ? Qu'est-ce que vous préparez toutes les deux ?
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Pailettedargent

Citation:

Mais qu'est-ce que c'est que ces mines de conspiratrices ? Qu'est-ce que vous préparez toutes les deux ?

-Nous?!...Euh...Rien mon coeur

Pailette lui fit un large sourire et fit un clin d'oeil à sa cousine
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Nous ?!... Euh... Rien mon cœur.

Henri la regarda en souriant. Que pouvaient-elles bien préparer... Bah, il le saura bien assez tôt.

- Rien ? Ah bon. Si tu le dis...

Il posa sa tête sur l'épaule de sa femme et regarda la cheminée.
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Pailettedargent

Citation:

- Rien ? Ah bon. Si tu le dis...

Pailette lui déposa un baiser sur les cheveux,elle trouvait celà drôle de préparer un plan avec Saro et de faire une petite cachoterie à son époux..
Elle pensa...Humm..Pire que des enfants!
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Henri_de_plumaugat

Henri se laissa embrasser, pas dupe pour deux sous. Mais être marié n'impliquait pas une surveillance de toutes les minutes. Il avait complètement confiance en celle qu'il aimait.

- C'était vraiment une journée merveilleuse... Tu as vu ? L'église était archi-comble. Presque tous nos amis sont venus. Nous avons beaucoup de chances d'en avoir autant. Il faut dire que tu les mérites bien, tu es si merveilleuse...
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Pailettedargent

Pailette le regarda

-Mais toi aussi,tu les mérites tout ces amis et surement plus que moi.

Elle l'embrassa tendrement.

-Et si nous allions nous coucher...Demain,une grande journée nous attend.

Pailette fit un sourire complice à sa cousine
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Saroyane

Citation:

Pailette fit un sourire complice à sa cousine

Saroyane rendit le clien d'oeil et dit

Je vais rester encore un peu...
Euh dit moi Henry est-ce que vous permettez que je vous emprunte deux trois trucs dans le garage?

Elle allait profiter d'être seul pour préparer leur escapade avec des cordes, des lampes et tous se quelle trouverait d'utile.
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Henri_de_plumaugat

- Mais toi aussi, tu les mérites tout ces amis et sûrement plus que moi.

Ce nouvel échange à qui fera le meilleur compliment à l'autre fit sourire Henri.

- Bon, alors disons que nous le méritons tous deux de la même manière.

Il répondit tendrement à son baiser.

Citation:

- Et si nous allions nous coucher... Demain, une grande journée nous attend.

- Oui, c'est une bonne idée, allons-y.

Il se leva et tendit la main à Pailette. C'est alors que Saroyane lui demanda :

Citation:

- Euh dites-moi Henry, est-ce que vous permettez que je vous emprunte deux trois trucs dans le garage ?

Henri les regarda toutes les deux d'un faux air soupçonneux.

- Mouais... Vous pouvez... Mais pas de bêtise ou d'imprudence, hein ?
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Pailettedargent

Citation:

- Mouais... Vous pouvez... Mais pas de bêtise ou d'imprudence, hein ?

-Comme si!...On est trèèèèès sage!

Pailette lui fit un sourire angélique

-Bonne nuit Saro!

Elle tira le bras de son époux

-Allez zou...Au dodo,mon coeur!
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Henri_de_plumaugat

Le sourire angélique de Pailette en fit naître un sur le visage d'Henri.

Citation:

- Allez zou... Au dodo, mon cœur !

Henri lui donna le bras et ils montèrent tous les deux dans leur chambre. En passant, ils s'arrêtèrent brièvement pour regarder leurs deux enfants dormir profondément, et écouter leur respiration régulière.

- Ils sont vraiment trop mignons...
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Pailettedargent

Citation:

- Ils sont vraiment trop mignons...

-Oui et se sont les notres!

Pailette l'embrassa amoureusement et ils allèrent rejoindre leur chambre.
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Henri_de_plumaugat

Henri se répéta cette phrase qui résonnait si agréablement à ses oreilles... Il répondit très tendrement à son baiser puis, main dans la main, l'un contre l'autre, ils se rendirent dans leur chambre. Après un brin de toilette, ils se retrouvèrent l'un contre l'autre. Henri la regardait tendrement. Il regarda aussi rapidement la magnifique robe de mariée déposée délicatement sur un fauteuil.

- C'était la plus belle journée de toute ma vie. Je suis comblé. Tu sais, tu étais resplendissante dans ta magnifique robe, tu étais radieuse. J'ai la plus merveilleuses des épouses, des enfants extraordinaires, une belle maison. Nous n'avons plus qu'à en profiter et à faire grandir notre amour et notre bonheur. Je t'aime tant mon épouse adorée...
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Pailettedargent

Pailette se mit entre ses bras,la tête sur son épaule,l'écoutant

-Grandir notre amour et notre bonheur...Tu crois que la maison sera assez grande?...Je t'aime aussi mon cher époux.

Elle lui donna un baiser,puis ferma les yeux,berçée par le battement de son coeur.
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Saroyane

Citation:

Mouais... Vous pouvez... Mais pas de bêtise ou d'imprudence, hein

Oh c'est juste pour bricoler un peu, rien de bien interressant!

Quand ses amis fûrent montés, elle passa au garage et se mit à chercher tout se dont elles pouraient avoir besoin, elle dénicha entre autre deux lampes, des cordes, un couteau, un hâche, un marteau, une gourde...quelques uns de ses objets lui paraissait inutile à prendre mais comme elle ne savait pas trop ce dont elles allaient avoir besoin, elle les mis quand même dans son sac.

Puis elle monta se coucher, mais elle était certaine de ne pas trouver le sommeil...Vivement demain!
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Grandir notre amour et notre bonheur... Tu crois que la maison sera assez grande ?... Je t'aime aussi mon cher époux.

- Hum, tu as raison... Mais de toute façon, pas besoin de se mettre en peine d'une maison plus grade car elles seront toutes trop petites.

Il répondit tendrement à son baiser et la regarda en train de s'endormir. Lui même succomba bien vite au sommeil, emportant la vision de son épouse dans ses rêves.
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Pailettedargent

Pailette se réveilla aux aurores,sans bruit,elle se leva,jetant un oeil vers son mari,elle ne put s'empêcher de lui donner un baiser,elle enfila vite fait ses affaires préférées,braies et chemise puis elle alla vers les chambres des enfants,ils dormaient profondement.Sur la pointe des pieds,elle alla à la porte de Saro,Pailette frappa doucement.

-Saroooo...Debout,on y va,il est l'heure...
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Saroyane

Saroyane ouvrit la porte en entendant la voix de sa cousine

Oui oui je suis prête!

elles descendirent l'escalier sans bruit

J'ai préparé quelques affaires près de la porte d'entrée

elle prit un sac et tendit l'autre à son accolite

elles sortirent de la maison

Aller suit moi, l'aventure et par là! on y sera pour le levé du soleil.

Elles prirent la route en direction de la ville
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Pailettedargent

Pailette attrapa le sac et elle suivit sa cousine...Elle se tourna vers la maison,jetant un oeil à la fenêtre de la chambre où Henri dormait.

Elles marchèrent un petit moment quand Saro la stoppa net dans son élan.

-Ohh cousine,préviens quand tu t'arrêtes!

Pailette suivit le regard de Saro

-Ah bah je suppose que c'est ici!

Saro l'emmena jusqu'au trou

-Euh....Tu crois que j'vais passer?...Vu mon popotin?!

Elle se mit à rire,puis toussa un coup

-Bref...On y va alors?!
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Saroyane

Fais attention ou tu mets les pieds c'est pas très stable!

Citation:

-Euh....Tu crois que j'vais passer?...Vu mon popotin?!

euh je suis obligée de répondre?dit-elle en regardant le fessier de sa cousine puis elle éclata de rire

Citation:

Bref...On y va alors?!

T'as raison en avant euh je veux dire en dessous! quand Saro faisait ce genre d'humour cela voulait dire qu'elle cachait son stress.

Elle entreprit de trouver un arbre pas trop loin pour y nouer la corde et faciliter leur descente.

Dit dont il fait très noir la dedans!elle venait de se pencher au dessus du trou et restait en contemplation.

J'ai pensait à prendre des lampes...tiens!

A qui l'honneur? lança t-elle en lancant l'autre bout de la corde dans l'obsurité et
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Pailettedargent

Citation:

A qui l'honneur?

Pailette regarda dans le trou,avala sa salive et d'une voix pas trop rassurée

-Euhh..J'y vais...

Elle commença a descendre prudemment,la flamme vascillait au courant d'air,laissant apparaitre vaguement de grandes ombres pas très rassurantes.

-Tu feras attention...çà glisse!

Après une descente qui lui parut une éternité,ses pieds touchèrent le sol,elle fit un tour sur elle-même observant les alentours,une sorte de petit tunnel s'ouvrait face à elle.

-C'est bon,Saro...A ton tour!
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Saroyane

Il n'était plus question de reculer, Saroyane attrapa la corde et commença à descendre le long de la corde, son pieds glissa sur la paroi rocheuse humide et Saroyane fût projetée sur la roche.

Oups, ça glisse en effet!

Le reste de la descente se passa sans problème, elle voyait danser la flamme que Paillette tenait tout en explorant les allentours.

Arrivé sur la terre ferme, elle tendit sa lampe à sa cousine pour quelle l'allume avec sa flamme.
Un amoncellement de veilles caisses se chevauchées parmi les débris de l'éboulement.

Saro s'aventura dans le tunnel, des poutres étaient encore debout pruve que le tunnel avait était consolidé mais il y avait bien longtemps. Par moment il fallait se frayer un chemin. elles arrivèrent à un embranchement ou le tunnel se séparait en deux.

Bon le choix et vite fait celui-là a était bouché par un éboullement.

Elle se tourna vers son amie Ca va toujours?

Elles s'enfonçaient de plus en plus, les torches s'affolèrent dans un courant d'air, comme pour attirer leurs attentions.

T'as vu ça? Elle s'approcha de la paroi et avança sa torche.

Le mur était recouvert de dessins et de textes incompréhenssibles
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Pailettedargent

Citation:

Ca va toujours?

-Oui,çà, va toujours !

Pailette regardait où elle mettait se pieds,le sol était glissant,à un moment ,les flammes s'agitèrent,Pailette faillit se ramasser de tout son long.

-Ah bah vi...C'est malin çà...

Citation:

T'as vu ça?

-Hein..Quoi?!

Elle s'approcha près de Saro

-A ton avis ,c'est quoi?...Personnellement,je comprends pas...Jamais vu çà..
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--Violette.

Violette se réveilla au petit matin et fila directement dans la chambre de ses parents.Elle fut surprise de ne pas y voir sa mère.Elle tapota le bras de son père.

-Papa...Maman est où?

Henri_de_plumaugat

- Papa... Maman est où ?

- Huuummm ??? Quoi ? Oh, c'est toi ma grande fille. Viens dire bonjour à papa. Maman est partie se promener avec tante Saroyane. Tu veux prendre la place de maman ?

Henri ouvrit le lit et Violette bondit dans ses bras. Il l'embrassa très fort et Violette lui répondit par un gros baiser. La serrant contre lui, Henri lui dit :

- Je t'aime très fort ma grande fille, tu sais ?
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--Violette.

-Vi...Moi 'si t'aime fort.

Violette se colla à son papa,en suçant son puce et s'endormit ,le sourire aux lèvres

Henri_de_plumaugat

- Vi... Moi 'si t'aime fort.

- Oh ma grande...

Henri l'embrassa de plus belle et la regarda s'endormir dans ses bras.

- Tu es si belle ma grande fille, tu ressembles tellement à ta maman...

Et Henri profitait au maximum de ces instants merveilleux.
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Pailettedargent

Pailette essayait de comprendre l'écriture

Bon...Saro,tu arrives a déchiffrer?...Parce que moi,rien du tout!

Elle s'asseya sur une roche,attendant que sa cousine trouve une solution.
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Saroyane

Citation:

Bon...Saro,tu arrives a déchiffrer?...Parce que moi,rien du tout!

J'ai toujours su que l'intello s'était moi!dit-elle en riant

il semblerait que les dessins soit une sorte de rébus et là ça ressemble à une latitude et une longiture s'est tout se que je peut dire pour l'instant quand au texte je reste perplexe.

Laisse moi deux minutes je vais les reproduire sur mon cahier et je tenterais de les déchiffrer, mais pour l'instant je crois qu'on a pas d'autre choix que de continue par là.
Elle désigna de son crayon le tunnel qui continuait.

Aller on continue, si dans une heure on n'a toujours rien trouvé on rentrera!
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Pailettedargent

Citation:

J'ai toujours su que l'intello s'était moi!

Pailette lui tira la langue

Citation:

Laisse moi deux minutes je vais les reproduire sur mon cahier et je tenterais de les déchiffrer, mais pour l'instant je crois qu'on a pas d'autre choix que de continue par là.

D'accord,on va par là!

Elle se leva du rocher et commença à avancer doucement,le temps que sa cousine finisse de noter tout.
Pailette se mit à chantonner en sautillant...

Citation:

Aller on continue, si dans une heure on n'a toujours rien trouvé on rentrera!

Elles continuèrent dans le tunnel quand elle se retouvèrent dans un endroit plus large,un fin filet d'eau coulé à leurs pieds mais pas d'autre tunnel en vue.

Bon bah je crois qu'il te reste plus qu'a déchiffrer tes dessins...
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--Violette.

Violette s'éveilla doucement dans les bras de son papa,elle le regarda et lui colla un bisou un peu baveux sur sa joue.

-A'bout papa...A faim..

Saroyane

Pailette et Saro se retrouvaient dans un cul de sac

Bon, c'est pas banal, un chemin qui mène nul part!

Citation:

Bon bah je crois qu'il te reste plus qu'a déchiffrer tes dessins

Saro s'assit sur un gros caillou et tourna dans tout les sens le papier sur lequel elle avait recopié les étranges dessins trouvés sur la paroi du tunnel.

Quelques instants plus tard elle redressa la tête

Dit Paillette le vent qui faisait vaciller les flammes tout a l'heure est-ce qu'il venait bien d'un petit trou en forme d'oeil?

Ecoutes çà : elle lu a voix haute ses notes: LE VENT DE L'OEIL TE GUIDERAS EN POUSSIERE.

Elle se leva précipitemment : Il faut rebrousser chemin, jusqu'à l'endroit ou le vent passe, j'ai ma petite idée...
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Pailettedargent

Pendant que Saro faisait ses déchiffrages,Pailette s'amusait à faire des ombres chinoises sur les parois

Citation:

Dit Paillette le vent qui faisait vaciller les flammes tout a l'heure est-ce qu'il venait bien d'un petit trou en forme d'oeil?
Ecoutes çà : elle lu a voix haute ses notes: LE VENT DE L'OEIL TE GUIDERAS EN POUSSIERE.

Elle réfléchissa un instant

-Euh...oui,il avait la forme d'oeil...Mais si il nous guide en poussière,pas envie moi d'être en poussière na mais oh!

Citation:

Il faut rebrousser chemin, jusqu'à l'endroit ou le vent passe, j'ai ma petite idée...

Pailette la regarda partir à la va vite dans le tunnel

-Eeeehh!T'as le droit de m'expliquer quand même...Rhalalalala

Elle se mit à courir pour la rattraper.Elles se retrouvèrent à l'endroit du courant d'air.

-Vas y explique!...Suis un peu blonde là...
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Henri_de_plumaugat

- A'bout papa... A faim...

- Non, je ne me lève pas si tu ne me fais pas un bisou mieux que ça !

Violette recommença et fit un gros baiser à son papa. Celui-ci l'attrapa et lui fit plein de gros baisers avec des chatouilles.

- Ah bah voilà ! C'est beaucoup mieux comme ça.

Violette se tortillait dans tous les sens en riant aux éclats et en essayant d'échapper aux chatouilles. Henri termina la séance en lui faisant un gros baiser. Il sortit du lit et tendit les bras à Violette qui s'y jeta.

- Tu veux venir faire le cheval sur mes épaules ?

- Viiii !

Henri la mit à califourchon sur ses épaules et entreprit de descendre les escaliers en faisant le cheval. Violette riait tout ce qu'elle savait. Arrivés en bas, Henri l'assis sur une chaise et se mit à lui préparer son petit déjeuner. Il prit une tranche de pain et la recouvrit de confiture sous le regard brillant de sa fille.

- Tiens, une bonne tartine de confiture aux mûres. Oh, j'entends Joseph qui pleure, je vais aller le chercher. Tu restes là bien sagement, hein ? Je reviens tout de suite avec lui.

Avant de monter, Henri mit le biberon dans une casserole pour le chauffer doucement. Il rentra dans la chambre de Joseph et le prit dans ses bras.

- Bah alors, mon bonhomme, c'est quoi ce gros chagrin... Viens avec papa. Tu dois avoir faim. On va aller rejoindre ta grande sœur en bas.

Le serrant doucement dans ses bras, Henri retourna à la cuisine. A peine entré, il vit Violette dans un état...

- Bah Violette ! Qu'est-ce que tu as fait ??
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--Violette.

Violette mangeait de bon coeur lorsqu'elle vit son père revenir avec Joseph,elle sauta de sa chaise,courant vers son frère.

-A 'zou a'Zeph...

Elle se mit sur la pointe des pieds pour essayer de l'embrasser,le visage barbouillé de confiture.

Henri_de_plumaugat

-A 'zou a'Zeph...

- Ah bah non, pas dans cet état... Tu en as partout ! Attend, je vais te laver la figure rapidement.

Henri prit une serviette, la trempas dans l'eau et essaya de laver la figure de Violette avec une seule main. Mais celle-ci ne pensait qu'à une chose, faire un bisou à son petit frère.

- Ne bouge pas comme ça ! De toute façon, tu ne lui fera pas de baiser avec la bouche pleine de confiture.

De mauvaise grâce, Violette finit par se laisser faire. Puis vint la récompense : Henri s'assit à côté d'elle, mettant le front de Joseph à sa portée. Violette se mit à lui faire plein de baisers.

- Allez, tu termine de manger. Pendant ce temps, je vais donner à manger à Joseph et après nous irons lui donner son bain tous les deux, d'accord ?
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--Violette.

Citation:

- Allez, tu termine de manger. Pendant ce temps, je vais donner à manger à Joseph et après nous irons lui donner son bain tous les deux, d'accord ?

-Viiii

Violette retourna à sa place et se dépécha de finir son pain.
Elle regarda son papa donner le biberon à Joseph,lorsqu'elle vit son petit frère baver un petit peu,Violette se leva ,prit une serviette et très sérieusement,lui essuya sa joue,elle leva son regard vers son père est toujours aussi sérieusement:

-Rhhooo...'Tention à 'Zeph...

Henri_de_plumaugat

- Rhhooo... 'Tention à 'Zeph...

Henri la regarda tendrement.

- Tu es une merveilleuse petite maman, dis donc. Allez, tu viens ? On va lui donner son bain maintenant.

Henri lui tendit la main et tous trois montèrent dans la salle de bain. Il posa Joseph au sol et dit à Violette :

- Tu fais attention à lui, ma grande, je descends rapidement chercher l'eau que j'ai mise à chauffer.

Violette ne se le fit pas dire deux fois, elle s'assit à côté de son petit frère et le regarda attentivement.
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--Violette.

Violette surveillait son frère tel un trésor,il ronchonna un peu

-Vi 'Zeph,tu veux maman...Elle est pa'ti avec Sa'yane

Le petit bonhomme arrêta de ronchonner,il regardait sa soeur en gazouillant comme pour essayer de lui dire quelque chose,quand soudain il prononçà un ''maman".
Violette se mit à l'applaudir.

B'avo 'Zeph!!

Elle se mit à lui raconter,du haut de ses 2 ans, une histoire que leur maman lui avait conté,avec des dragons,des fées,des princesses.

Henri_de_plumaugat

Henri remonta rapidement avec le bac plein d'eau. De l'escalier, il entendit Violette raconter une histoire à Joseph. Il s'approcha doucement de la salle de bain pour ne pas les déranger et écouta l'histoire pendant un moment. Il jeta un regard et les vit tous les deux, l'un à côté de l'autre, Violette racontant son histoire, et Joseph écoutant de toutes ses oreilles. Et une fois de plus, le cœur d'Henri fondit comme neige au soleil. Il ne parvenait pas à interrompre cette scène, mais d'ailleurs, le voulait-il...
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--Violette.

-...pis la p'incesse est pa'ti avec le p'ince loinnnnn et pis z'ont eu plein plein de bébés!

Violette colla un gros bisou à son frère ce qui le fit rire.

-...T'aime 'Zeph,pis z'aime papa,pis maman...

Saroyane

Citation:

Vas y explique!...Suis un peu blonde là..

D'après le peu de chose que je comprend dans ce dessin c'est les mots VENT, OEIL et UN TRUC LEGE QUI VOLE.

Saroyane fixait sans relache la flamme pour localiser le trou par lequel passait l'air. La torche se mit à s'agiter dans tous les sens lors qu'elle approcha la paroie.

C'est là! elle regarda au alentour sans comprendre.

C'a n'a aucun sens, pourquoi il faut toujours qu'il disent les choses de façon étrange, ils diraient directement : voilà le trésor et là! se serait plus simple.
Elle avait l'air contrariée et énervée.

Puis en regardant par terre elle vit un sac de sable.
Regarde pourquoi il y a un sac de sable ici?étrange non.

Elle se baissa et pris une grosse poignée de sable sec, alors que tout dans ce tunnel était humide le sac avait protégé le sable.

Elle dit Qui ne risque rien n'a rien! elle lanca dans le courant d'air le sable fin.

T'as vu çà!

Dans la lumière des torches le sable brillait comme une pluie d'étoiles, il virevolta et se posa sur un tas de boue qui s'emblait dégouliner du mur.

Saro se tourna vers sa cousine: Moi j'ai réfléchit toi tu creuse!

elle eu du mal a garder son sérieux, Oh je rigole

Puis faisant sa petite fille, J'ai pas pris de pelle
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Pailettedargent

Pailette l'écoutait en hochant la tête,style "je comprends mais en faites...non"

Citation:

Regarde pourquoi il y a un sac de sable ici?étrange non

-Tu me demandes çà à moi?!

Pailette se prit la moitié des grains de sable dans la figure que Saro laissa s'envoler.

-Eh oh!..T'es gentille...pppff...

Citation:

T'as vu çà!

-Bah vi et de très près!

Citation:

Moi j'ai réfléchit toi tu creuse!

Pailette regarda partout.

-Hein?...Quoi?...Que dis tu?....Qui me parle?

Citation:

Oh je rigole

-Mouais,j'préfère...

Citation:

J'ai pas pris de pelle

Elle regarda l'air enfantin de sa cousine

-Rhhoo...Bah tant pis,c'est que de la boue,on fait çà avec nos mains!

Pailette se mit à genoux et commença a creuser.

-En récompense,un tour au lavoir en rentrant...Vais être propre...tsss.
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Henri_de_plumaugat

- ...T'aime 'Zeph, pis z'aime papa, pis maman...

Henri se décida quand même à rentrer car l'eau allait devenir trop froide. Il versa l'eau dans la baignoire et attrapant Violette, il lui déposa deux gros baisers, un sur chaque joue.

- On t'aime tous aussi ma grande fille... Je déshabille Joseph et on lui donne son bain.

Henri enleva au petit bonhomme son petit pyjama et ses langes et le mis dans l'eau. Joseph se mit à taper dans mes mains dans l'eau éclaboussant Violette et son papa. Cela le fit rire beaucoup, mais un peu moins sa grande sœur.

- 'rête Zeph !

- Oh mais Violette, ce n'est que de l'eau.

Soutenant la tête de Joseph d'une main, Henri le frottait doucement avec sa main libre. Appuyée sur le bord de la baignoire, Violette regardait.
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--Violette.

Citation:

- Oh mais Violette, ce n'est que de l'eau.

Elle retroussa son nez,signe de mécontentement.
Puis elle regarda son père laver Joseph

-'Tention papa....Pas bobo,hein?!

Violette alla chercher une serviette et attendit.

Henri_de_plumaugat

- 'Tention papa... Pas bobo, hein ?!

- Ne t'inquiète pas, je ne vais pas lui faire mal. Allez, mon bonhomme, c'est fini, on sort de l'eau ! Oh, merci ma grande.

Henri mit Joseph sur la table à langer et l'enveloppa avec la serviette apportée par Violette. Il le frictionna doucement pour qu'il n'attrape pas froid et pour le sécher. Ensuite, il lui passa ses petits vêtements qui lui allaient si bien. Ensuite, il se rendit dans la chambre de Violette pour l'habiller à son tour. Il déposa Joseph par terre puis il prit les vêtements soigneusement préparés par sa merveilleuse épouse.

- Allez viens, ma grande, il est temps de t'habiller.
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--Violette.

-Viiii!

Violette se laissa habiller et regarda son papa d'une mine triste

-Maman est longue...

Elle s'accrocha à ses jambes

-Veux câlin...'plait..

Henri_de_plumaugat

- Maman est longue...

- Ne t'inquiète pas ma petite chérie, elle va revenir.

- Veux câlin... 'plait...

- Mais bien sûr ma grande, viens là, viens dans mes bras.

Et Henri lui tendit les bras dans lesquels elle se jeta. Elle appuya sa tête sur l'épaule de son papa en suçant son pouce. Henri aimait toujours beaucoup faire un gros câlin à sa fille. Il serra tendrement sa fille contre lui après lui avoir fait un baiser.
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Saroyane

Citation:

,c'est que de la boue,on fait çà avec nos mains

Je suis pas sur qu'Henry te trouve sexy avec autant de boue sur la figure, mais enfin regarde on creuse avec les mains pas avec le nez...

Elle étala une grosse poignée de boue sur le visage de sa cousine

Faute de mieux elles creusaent éffectivement avec les mains, Saro regarda Paillette du coin de l'oeil:

C'est pas ma faute, j'ai pas pensé aux pelles je te jure!

Elle patogaient depuis un moment quand un objet brillant rougeatre cintilla dans la lumière

Eh regarde, elle prit l'objet, le débarassa d'un maximum de boue, et le tendit devant Paillette d'après l'inscription c'est une pièce de l'époque bysantine en bronze apparemment.

Tu crois que ça a de la valeur?

23, c'est le nombre de pièces qu'elles trouvèrent

Bien empaquetées dans un foulard, elles prirent le chemin du retour.
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Pailettedargent

Citation:

Je suis pas sur qu'Henry te trouve sexy avec autant de boue sur la figure, mais enfin regarde on creuse avec les mains pas avec le nez...

Pailette se retrouva avec un pâté de boue sur la figure

-Sarrrrrrooooo...Tu vas me le payer cher çà,tu t'en doutes,hein?!

Elles creusèrent...

Citation:

C'est pas ma faute, j'ai pas pensé aux pelles je te jure!

Mouais,mouais...Pô grave

D'un coup,Saro lui montra une pièce

Citation:

Eh regarde, elle prit l'objet, d'après l'inscription c'est une pièce de l'époque bysantine en bronze apparemment.
Tu crois que ça a de la valeur?

-Euhhhh..Bah...Je sais pas....

Pailette se dit que c'est malin...Au lieu de faire les 400 coups avec Muse,elle aurait dût mieux écouter ce que sa mère avait essayer de lui apprendre.

Elles reprirent le chemin du retour,une fois dehors,Pailette regarda ses vêtements et passa une main sur son visage boueux.

-Pffff...Bah suis belle comme çà!

Elle se tourna vers sa cousine et lui fit un gros câlin,lui étalant plein de boue,Pailette éclata de rire en la voyant.
Au bout d'un moment,elle virent la maison.
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Henri_de_plumaugat

Tout en câlinant sa fille et en surveillant son fils, Henri regarda par la fenêtre. C'est alors qu'il vit son épouse et Saroyane qui revenaient, toutes les deux couvertes de boue.

- Oh, regarde Violette ! Regarde qui arrive !
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Pailettedargent

Pailette et Saro passèrent la porte

-On est rentré!!!!!!!!!!

Pailette retira ses bottes et alla à l'étage,elle trouva sa petite famille dans la chambre de Violette

-Coucou mes Amours!On est revenue!Sale et pleine de boue mais entière

Elle ne put s'empêcher de déposer un bisou du bout des lèvres aux enfants et à son époux.

-Vous m'avez manqué!...Mais là je passe par un bon lavage

Pailette alla se laver et mettre des vêtements propres,puis elle se dépêcha de rejoindre sa famille.
Elle attrapa Joseph et lui colla un gros bisou,ainsi qu'à Henri et Violette.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- On est rentré !!!!!!!!!!

- Vous avez entendu les enfants, maman est rentrée avec tante Saroyane !

Violette tapa des mains pendant que Joseph essayait de faire pareil. Pailette les rejoignit très vite.

Citation:

- Coucou mes Amours ! On est revenue ! Sale et pleine de boue mais entière.

- Aaaaaaahhhhhhh ! Enfin ! Encore heureux entière... Mais dis donc, vous avez joué à quoi ?

Citation:

- Vous m'avez manqué !... Mais là je passe par un bon lavage.

- Euh oui, là, ça s'impose.

Ils restèrent tous trois dans la chambre de Violette pendant que Pailette allait se laver. Enfin, elle revint toute propre et ils purent lui faire plein de câlin et de baisers.

- 'A manqué maman...

Un peu tristounette, Violette fit un gros câlin à sa maman. Joseph profita de ses bras libres pour attraper Joseph.

- Viens-là mon bonhomme. Maman est là.

- Ma'ma...

Henri se tourna vers son épouse.

- Lui, son premier mot aura été pour toi.
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Pailettedargent

- Ma'ma...

Citation:

- Lui, son premier mot aura été pour toi.

Pailette regarda son fils ,émue jusqu'aux larmes,elle le prit dans ses bras,le serrant contre elle.

-Oh mon petit ange...

Pailette les embrassa tout les trois

-Et si nous passions au salon?....Saro va te montrer notre découverte.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Et si nous passions au salon ?... Saro va te montrer notre découverte.

- Ah oui ! J'espère que ça valait vraiment le coup.

Joseph étant dans les bras de sa maman, Henri prit Violette dans les siens, et passant son bras libre autour de la taille de sa femme, ils descendirent tous les quatre au salon.
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Pailettedargent

Pailette posa Joseph sur une couverture par terre.

-Je vais préparer une infusion pendant que Saro se nettoie et vienne nous rejoindre.

Elle se dirigea vers la cuisine
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Saroyane

Citation:

Elle se tourna vers sa cousine et lui fit un gros câlin,lui étalant plein de boue,Pailette éclata de rire en la voyant.

Ah c'est malin et si je rencontre un galant...j'aurais aucune chance!

De retour a la maison, tout le monde était content de se retrouver en un seul morceau.

Oui oui je vais me laver, je reviens tout de suite dit elle

elle s'éclipsa un bon moment, ben oui il y avait du boulot!

De retour au salon, elle prit le foulard dans lequel elles avaient empaqueté leur butin.
elle l'ouvri et laissa découvrir a Henry les 23 pièces byzantine en bronze

Ne me demandez pas se que ceci faisait là, j'ai ai aucune idée. On aurait cru qu'elle avait coulées avec la boue dans le tunnel.
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Henri_de_plumaugat

Henri regarda attentivement les pièces.

- Elles sont bien belles. C'est étrange qu'elles soient arrivées là. Un tunnel ? Quel genre de tunnel ?
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Pailettedargent

-Un tunnel creusé par l'homme,je pense...Au bout,il y avait juste un fin filet d'eau...Pis un trou en forme d'oeil juste avant...Et la boue..hein Saro,l'oublieuse de pelle?!

Pailette se mit à rire
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Henri_de_plumaugat

- Ah, je comprends maintenant pourquoi vous étiez plein de boue toutes les deux. Ce n'était quand même pas très prudent de partir seules, sans prévenir qui que ce soit de là où vous alliez... Je sais, ça aurait été beaucoup moins drôle avec un peu plus d'organisation. Mais je tiens tellement à toi mon amour...
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Saroyane

Citation:

hein Saro,l'oublieuse de pelle?!

Je peux pas penser a tous et puis la boue c'est bon pour la peau.

Citation:

Elles sont bien belles

Elle appartenaient peu être a l'ancien propriétaire de la maison, mais vu l'état de celle-ci ...il doit y avoir des centaines d'années qu'elle est innoccupée.
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Pailettedargent

Citation:

Mais je tiens tellement à toi mon amour...

Pailette lui fit un sourire

-C'est vrai ,on a pas était très prudente...Mais c'est bien plus drôle...Et je ne me serais pas mise en danger,moi aussi je tiens à toi.

Citation:

Je peux pas penser a tous et puis la boue c'est bon pour la peau.

Pailette se mit à rire

Citation:

Elle appartenaient peu être a l'ancien propriétaire de la maison, mais vu l'état de celle-ci

-Je crois que l'on ne le saura jamais.
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Henri_de_plumaugat

Henri regarda les pièces de plus près.

- C'est peut-être un Croisé qui a rapporté ces pièces de Terre Sainte. Ils sont passés par Constantinople, enfin, je veux dire Byzance, pour se rendre là-bas. Mais assez de spéculations pour ma part, je suis le seul à ne m'être pas encore habillé dans tout ça. Je redescend tout de suite.

Ayant passé tout son temps avec ses enfants, Henri n'avait pas pris le temps de s'habiller. Il monta rapidement dans sa chambre et après un bon coup d'eau froide sur la tête pour s'éclaircir les idées, il passa ses vêtements. Un coup de peigne dans les cheveux et hop ! Le voilà fin prêt.
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Henri_de_plumaugat

Pailettedargent

Pailette en profita pour servir l'infusion ainsi que de préparer de bonne tartine,l'aventure lui avait donné faim.Violette s'installa à table.

-Tu as déjà pris ton petit déjeuner ma belle.

-Vi...mais à faim

-Non ,ma chérie.

Violette regarda sa mère et lui fit un sourire.

-Gourmande!

Elle lui fit pleins de chatouilles,Violette éclata de rire.
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Henri_de_plumaugat

Henri descendit donc à la cuisine. Il vit son épouse faire des chatouilles à Violette et la pauvre petite se tordre de rire sur sa chaise.

- Encore à table ma grande ?

Disant cela, il prit une tasse de l'infusion préparée par Pailette et se mit à boire tranquillement.

- Hum, elle est très bonne ma chérie, et elle fait beaucoup de bien. Je vais ranimer un peu le feu pour que vous ayez un peu plus chaud.

S'approchant de la cheminée, Henri remit quelques buchettes et ranima le feu en soufflant sur les braises.
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Pailettedargent

Pailette le regarda ranimer la cheminée,elle se mit à rire quand elle le vit revenir,de la cendre s'était posée sur son visage.

-Viens mon coeur,je vais te retirer la cendre

Violette se mit aussi à rire.

-Papa est sale.

Pailette prit un linge et lui nettoya le visage,en profita pour l'embrasser tendrement.

-Et voilà,tout propre!
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Saroyane

Saroyane était assise avec tous le monde dans la cuisine, elle lisait un trac qu'elle avait arraché d'un arbre en revenant du tunnel.

Eh vous avez vu Dimanche il y a un cirque de troubadours qui donne une représentation en ville.Il y a bien longtemps que je n'ai pas assisté à un spectacle!

Si on y allez, se serait sympa? en plus c'est l'après-midi.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

-Viens mon cœur, je vais te retirer la cendre.

- Papa est sale.

Henri les regarda, faussement fâché :

- C'est fini de vous moquer de moi, toutes les deux...!!!

Il se laissa faire par sa femme qui lui nettoya la figure. Il répondit à son baiser avec beaucoup de douceur.

Citation:

- Et voilà, tout propre !

- Merci ma chérie.
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Pailettedargent

Citation:

Si on y allez, se serait sympa? en plus c'est l'après-midi

-Humm...Oui pourquoi pas.

Pailette prit Joseph contre elle

-Et toi,mon bonhomme quand penses tu?

Joseph lui fit un sourire en gazouillant.
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Henri_de_plumaugat

Henri renchérit :

- C'est effectivement une bonne idée. Mais je ne savais pas qu'il y avait une activité de ce genre. Ca nous fera une petite sortie de famille.
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Pailettedargent

-Je ne savais pas non plus...

Pailette câlina Joseph,Violette agrippa sa mère.

-Moi 'ssi,câlin à toi

Pailette s'asseya et prit sa fille sur ses genoux
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Saroyane

Saroyane continua de lire :

il y aura toutes sortes de saltimbanques : bouffons, mimes, accrobates, funambules, jongleurs...ça a l'air très bien.
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Pailettedargent

[Quelques jours plus tard...]

Pailette et Henri rentrèrent de la clinique.Elle appela tout le monde au salon,elle prit son petit Joseph contre elle,Violette alla directement dans les bras de son père et Saro s'installa dans le fauteuil face à eux.

-Bien tout le monde est là...Voilà...Henri a une annonce à faire.

Pailette se tourna vers leur fille.

-Surtout pour toi ma grande...Ecoute bien.
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Henri_de_plumaugat

Violette dans les bras, Henri s'assit à côté de son épouse. Il sourit à Pailette et lui prenant la main, il dit :

- Violette, ma grande, tu vas avoir un petit frère ou une petite sœur en plus. Dans le ventre de maman, il y a un tout petit petit petit bébé qui va grandir. Et quand il sera assez grand, il va naître.

Il prit la main de Violette et la posa sur le ventre de sa maman.

- Il est là, encore tout petit. Tu ne peux pas le sentir tellement il est petit, mais il est là. Il faut donc être très douce avec maman.
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--Violette.

Violette écouta son père,ne comprenant pas tout...Un bébé?...Dans le ventre de sa mère?...Mais qu'est ce qu'il fait là?
Elle posa la main sur le ventre et fronça les sourcils.

-Il est où bébé?...Veux faire bisou...

Violette regarda Joseph et pointa son doigt vers lui.

-'Zeph...Bébé là...Pas dans ventre Maman

Henri_de_plumaugat

- 'Zeph... Bébé là... Pas dans ventre Maman.

Henri se gratta la tête un instant. Comment lui expliquer ça avec des mots justes mais simples à la fois...

- Non, effectivement. Joseph n'était pas dans le ventre de maman. Papa et maman l'ont adopté, ils en ont fait leur véritable fils, ton frère, ton petit frère, mais il a été dans le ventre d'une autre maman. Si tu veux faire un baiser au bébé, fais un baiser là, sur le ventre de maman, doucement.
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--Violette.

Violette regarda le ventre de sa maman et lui fit un petit bisou.
Elle se tourna vers son père.

-Veux voir bébé...plait...

Violette entendit rire ,elle regarda sa mère,l'air interrogatif

-Excuse moi,ma chérie...C'est...euh..nerveux..

Violette fit la moue et se tourna à nouveau vers son père,attendant sa réponse.

Henri_de_plumaugat

- Veux voir bébé... plait...

- Ce n'est pas possible ma chérie, il est trop petit. Lorsqu'il sera plus grand, tu pourras le voir. Mais pour l'instant, il se cache, il se prépare. Ne fait pas cette tête là, toi aussi, tu étais là, tu te préparais, tu te faisais belle avant de venir au monde.

Henri n'avait certainement jamais réfléchit aussi vite de toute sa vie. C'est dur de répondre aux enfants, de trouver les mots justes pour les satisfaire sans pour autant manquer à la vérité.
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Pailettedargent

Pailette écoutait Henri donner ses explications,sourire amusé aux coins des lèvres.Elle se pencha vers lui.

-Tu comprends maintenant pourquoi je t'ai laissé faire?!

Pailette se leva,donnant Joseph à Saro et fila aux latrines,elle revint après un petit moment.

-Bon...Je ne vais plus me moquer...A croire que le bébé te défend.

Elle se mit à rire,malgré qu'elle avait le coeur au bord des lèvres,en s'asseyant près de lui.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Tu comprends maintenant pourquoi je t'ai laissé faire ?!

- Oui, je comprends très bien. Ne t'inquiète pas, le prochain qu'il faudra annoncer, je te le laisserai.

Henri lui sourit malicieusement. Mais Pailette se leva et partit. Quand elle revint, elle lui dit :

Citation:

- Bon... Je ne vais plus me moquer... A croire que le bébé te défend.

- Non, ne dis pas ça ma chérie. Ca va ? Est-ce que tu veux aller t'allonger ?

Henri la serra contre son cœur et lui caressa doucement les cheveux.
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Pailettedargent

Citation:

- Non, ne dis pas ça ma chérie. Ca va ? Est-ce que tu veux aller t'allonger ?

-Oui oui,çà va,merci mon coeur...Non,je ne vais pas m'allonger par contre je prendrais bien une infusion ou quelque chose contre les nausées.

Pailette vit le regard inquiet de Violette.

-T'inquiétes pas mon petit coeur,je vais bien et le petit bébé dans mon ventre aussi.

Elle lui fit un gros bisou sur sa joue.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Oui oui, ça va, merci mon cœur... Non,je ne vais pas m'allonger par contre je prendrais bien une infusion ou quelque chose contre les nausées.

- D'accord, je vais te préparer ça tout de suite.

Il déposa un baiser sur son front et partit rapidement chercher ce qu'il faut : un tiers de marjolaine, un tiers de menthe et un tiers de chardon. Il mit tout son soin pour choisir les meilleures feuilles, faire tout infuser juste à point. Il apporta le tout à son épouse, avec un gros pot de miel.

- Tiens mon amour, j'espère que ça t'aidera. J'ai pris le miel pour que ça aide à passer.

Puis, se tournant vers Violette :

- Alors ma grande, tu es contente ?
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Pailettedargent

Citation:

- Tiens mon amour, j'espère que ça t'aidera. J'ai pris le miel pour que ça aide à passer.

-Merci,mon coeur.

Pailette prit son infusion avec beaucoup de miel.
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--Violette.

Citation:

- Alors ma grande, tu es contente ?

-Vi...Bébé.

Elle alla près de sa maman et colla son oreille sur son ventre.

-T'aime bébé...

Henri_de_plumaugat

- Je t'en prie ma chérie.

Son bras autour de ses épaules, il regarda avec tendresse leur fille aînée s'approcher de sa maman et coller son oreille sur son ventre.

- T'aime bébé...

- Lui aussi, il t'aime déjà certainement très, très, très fort.

Il lui caressa doucement ses jolis cheveux bouclés.
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Pailettedargent

Pailette se demandait comment Violette allait réagir lorsque le bébé allait gigoter.
Elle prit la main d'Henri et entrelaça ses doigts aux siens.
Le bonheur tout simplement...
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Henri_de_plumaugat

Lorsque Pailette prit sa main, Henri la regarda tendrement et lui sourit.

- Et tout ça grâce à Violette et à un petit écureuil. Il ne doit pas s'en douter notre petit ami de la forêt. Il faudrait qu'on aille le revoir un de ces jours.
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Pailettedargent

-Oui...Grâce à Violette et à l'écureuil..

Pailette l'embrassa tendrement et se leva

-Et si nous allions voir les saltimbanques?!
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Et si nous allions voir les saltimbanques ?!

- Allons-y. Saroyane, prenez la tête, nous vous suivons. Violette, tu donnes la main à Maman, il va y avoir du monde et on ne veut pas te perdre.

Henri prit Joseph dans ses bras.

- Je monte avec lui pour l'habiller plus chaudement.
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Saroyane

La séance commence dans 45 minutes, nous avons tout le temps.Mais il est vrai qu'il risque q'y avoir du monde, alors en route.

Ils partirent quelques instants plus tard, effectivement le monde affluait.

Je vais chercher les billets, attendait moi!

Les gens faisaient la queue pour pouvoir assister a la représentation et elle fit de même.

Elle fût bientôt de retour et toute la famille pu prendre place sur un banc.

Le spectacle allait bientôt comencer...
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Saroyane

Oyez, oyez bonnes dames et bons hommes, soyez les bienvenus!

Les artistes se succédèrent en montrant leur savoir faire:

D'abord se fût les jongleurs, ils lançaient des torches enflammées, puis des balles et des massues.

un magicien présentait des anneaux qu'il enclavaient et séparaient tour en tour, puis il coupait une corde qu'il racommodait aussitôt.Il chercha dans l'assemblée un enfant pour assurait a tous que les anneaux étaient bien rond et la corde bien coupé...il s'arrèta devant Violette...

Toi comment tu t'appelle, veux tu venir pour vérifier que mon numéro et vrai de vrai?

Un équilibriste soutenait une échelle à la force de son menton puis faisait de même avec une chaise et un tonneau.

Un cracheur de feu réchauffait l'ambiance de ses flammes

et se fût le tour des accrobates, trois hommes grimpaient l'un après l'autre sur un quatrième qui soutenait tous la monde à la seule force de son cou.

un archer tirait avec une arbalète sur une cible humaine adossait à une roue pleine

Puis un Homme a annoncait que le spectacle se poursuivait dans les rues de ville et nous invitait a les arpenter...
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--Violette.

Violette s'était assise près de ses parents,elle n'était pas très rassurée.Mais au fur et à mesure que le spectacle avancé,elle se mt à sourire.

Citation:

Toi comment tu t'appelle, veux tu venir pour vérifier que mon numéro et vrai de vrai?

Violette se cacha sous la cape de son père,toute intimidée.
Par la suite,Violette se mit à applaudir,riant aux éclats.
Le spectacle continuait dans la rue,ils y allèrent,la petite n'avait pas assez de ses yeux pour tout voir.

Henri_de_plumaugat

Joseph dans les bras, Henri suivait la petite famille. Ils s'assirent tous pour regarder le spectacle, Violette entre son papa et sa maman. Lorsque Violette se cacha sous sa cape, Henri lui dit de ne pas avoir peur et de ne pas être aussi timide. Joseph, lui, gazouillait gentiment, applaudissant de ses petites mains pour imiter tout le monde. C'était trop mignon.

Le spectacle terminé, ils se levèrent et arpentèrent les rues, se rendant de stands en stands, plus ou moins au gré des mouvements de Violette. Elle ne restait pas une seconde tranquille. A peine un stand aperçu, elle tirait sur la main de sa maman pour l'attirer vers un autre.

- Doucement Violette, n'oublie pas que maman est fragile.
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Pailettedargent

Citation:

- Doucement Violette, n'oublie pas que maman est fragile

-Ne t'inquiète pas mon coeur,tout va bien.

Pailette lui déposa un tendre baiser sur ses lèvres.

-Si tu t'inquètes maintenant,qu'est ce que çà va être lorsque je vais avoir un gros bedon.

Elle lui fit un grand sourire
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Henri_de_plumaugat

Henri l'embrassa tendrement aussi.

Citation:

- Si tu t'inquiètes maintenant, qu'est ce que çà va être lorsque je vais avoir un gros bedon.

- Tu sais, je crois que je vais être insupportable jusqu'à la naissance à force de m'inquiéter...
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Pailettedargent

Citation:

- Tu sais, je crois que je vais être insupportable jusqu'à la naissance à force de m'inquiéter...

Pailette se mit à rire et le regarda tendrement

-Tout va très bien se passer,tu verras...Et pour février,on aura un joli bébé.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Tout va très bien se passer, tu verras... Et pour février, on aura un joli bébé.

Henri lui sourit et regarda pensivement Joseph qui s'était endormi dans ses bras malgré le bruit de la foule et des attractions.

- Il me tarde déjà d'y être, en février...

Disant cela, il caressa doucement de sa main libre le ventre de son épouse et la regarda en souriant.
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Pailettedargent

Pailette posa sa main sur celle d'Henri et lui sourit quand soudain elle sentit une autre main,plus petite,la tirer vers l'avant.

-'iens maman!...Là bas...

-Oui ma puce,on y va.

Pailette se retrouva devant une étale d'"épice de chambre" ,elle en acheta un peu et en donna un à Violette.

-'ci maman.
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Saroyane

Dans les rues de Vannes il y avait beaucoup d'animation,

Parmi ceci, des musiciens jouant des aubades pour quelques pièces, des conteurs narrant les prouesses de tel et tel personnage, et des marionnettistes jouant devant un castelet ou deux mini princes se disputent une princesse.
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Pailettedargent

Pailette alla rejoindre Saro,glissant son bras au sien.

-Bien,vu cousine!...Heureusement que tu as vu l'affiche!...C'est une très bonne idée,Violette est aux anges!

La petite mangeait son épice de chambre,regardant à droite et à gauche

-Maman 'a bras,'plait...

Pailette attrapa sa fille ,la tenant contre elle.
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Henri_de_plumaugat

Henri s'approcha de Pailette.

- Dis, je ne voudrai pas que notre petit bonhomme prenne froid, il dort à poings fermés. Je vais rentrer à la maison, au chaud, avec lui. Continuez sans moi.
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Pailettedargent

Citation:

- Dis, je ne voudrai pas que notre petit bonhomme prenne froid, il dort à poings fermés. Je vais rentrer à la maison, au chaud, avec lui. Continuez sans moi.

-Tu es sûr mon coeur?...Tu ne veux pas que j'y aille à ta place?

Pailette posa Violette par terre,remontant le col sur le cou de Joseph et lui déposa un doux baiser.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Tu es sûr mon cœur ?... Tu ne veux pas que j'y aille à ta place ?

- Oui, j'en suis sûr, c'est mieux que tu restes avec ta cousine et Violette. Nous resterons entre hommes.

Il lui sourit et l'embrassa sur le front. Se baissant il dit à Violette :

- Ma grande, papa rentre à la maison avec Joseph. Tu restes avec maman et tante Saroyane. Tu restes bien sage, n'est-ce pas ? Et tu veilles sur maman et sur le bébé, d'accord ? Fais-moi un baiser.
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--Violette.

Citation:

Tu restes bien sage, n'est-ce pas ?

-Vi...

Citation:

Et tu veilles sur maman et sur le bébé, d'accord ?

Violette regarda le ventre de sa mère

-...Vi

Citation:

Fais-moi un baiser.

La petite fit un gros bisou à son papa.

-T'aime

Henri_de_plumaugat

Henri reçut le baiser de sa fille et lui fit à son tour un très gros baiser.

- Moi aussi je t'aime ma grande fille.

Se redressant, il embrassa Pailette.

- A tout à l'heure mon amour.

Serrant tendrement son garçon contre lui, Henri rentra à la maison tranquillement. Une fois rentré dans la bâtisse, il monta directement dans la chambre de leur petit bonhomme et lui enlevant tous les manteaux qu'il avait sur lui, il le recouvrit doucement de ses couvertures. Après l'avoir bordé, il le regarda longuement en train de dormir, son petit pouce dans la bouche. Il pensa au petit bébé en train de grandir.
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Pailettedargent

Citation:

- A tout à l'heure mon amour

-A toude suite mon coeur.,Pailette l'embrassa tendrement.

Elle continuèrent leur visite des échopes,Violette qui voulait aller par là...puis ici...et tout compte fait non...
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Pailettedargent

Pailette commençait à fatiguer,le bébé lui fit comprendre qu'il était temps de rentrer.

-Allons y rentrons..

-Na,veux pas!

Elle regarda sa fille et se mit à son hauteur.

-Ma chérie,il faut rentrer,le bébé commence à fatiguer,tu comprends?

-Vi.

Elles prirent le chemin du retour,Pailette posa une main sur son ventre,de légers tiraillements se faisaient sentir.Elles passèrent la porte de la maison.

-On est de retour mon coeur!
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- On est de retour mon cœur !

Toujours dans la chambre de Joseph, Henri entendit Pailette arriver. Il fit un baiser sur le front de son fils et quitta discrètement la chambre dont il laissa la porte entrebâillée. Il descendit doucement l'escalier.

- Coucou mon amour ! Notre petit bonhomme dort profondément. Oh dis donc, tu as l'air fatiguée... Va donc t'assoir, je vais m'occuper de Violette.

Il embrassa son épouse, caressa doucement son ventre en lui souriant.

- Viens ma grande, on va enlever ton manteau. Tu t'es bien amusée ?
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Pailettedargent

Pailette l'embrassa tendrement,le laissant s'occuper de Violette .

Citation:

- Viens ma grande, on va enlever ton manteau. Tu t'es bien amusée ?

-Viiiii

Pailette fit un sourire en entendant le père et la fille,elle s'installa dans le salon près de la cheminée et s'endormit.
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Henri_de_plumaugat

Tout en déshabillant sa fille, Henri lui demanda :

- Alors, racontes-moi ce que tu as vu après que je sois parti.

Ayant accroché son manteau, il prit sa fille dans ses bras et lui fit un gros baiser. De nouveau dans le salon, Violette demanda :

- Est où maman ?

- Je ne sais pas, on va la chercher.

Ils se mirent tous les deux à la chercher et ce fut Violette qui la trouva. Elle mit son petit doigt devant sa bouche :

- Chuuuut ! E'dort !

Henri s'approcha de son épouse doucement. Il déposa un doux baiser sur son front.

- Fais un petit baiser à maman, je vais chercher une couverture.

Henri monta à l'étage rapidement et prit une couvrante qu'il déposa doucement sur son épouse endormie. Puis il s'occupa de raviver le feu. Le temps commençait à devenir humide et le froid pénétrant. Il ne voulait pas que qui que ce soit fut malade, surtout la petite maman. Il la regarda un moment en souriant.

- Allez, viens ma grande, on va monter dans ta chambre où tu me raconteras tout ce que tu as vu.
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--Violette.

Citation:

- Allez, viens ma grande, on va monter dans ta chambre où tu me raconteras tout ce que tu as vu.

-Vi

Violette prit la main de son père et allèrent dans la chambre.

-A vu ,beaucoup,beaucoup..euh...clowns

Elle le regarda de son petit air sérieux

-Aime pas clowns..A peur..Pas beaux...Pis a vue...A feu!

Violette se souvenait des cracheurs de feu,celà l'avait beaucoup impressonné.
Et elle continua à lui raconter toutes les choses qu'elle avait vu en faisant de grands gestes et essayant d'imiter les personnes du spectacle.

Henri_de_plumaugat

Assis par terre avec Violette sur les genoux, Henri discute tranquillement avec sa fille :

- A vu, beaucoup, beaucoup... euh... clowns.

- Tu as vu des clowns ? Et ils étaient drôles ? Ils t'ont fait rire ?

- Aime pas clowns... A peur... Pas beaux... Pis a vue... A feu !

- Oh, mais non, il ne faut pas avoir peur des clowns, ils sont gentils. Ils se mettent du maquillage sur la figure pour faire rire. Tu as vu aussi du gens ? Des gens qui crachent du feu ? Eh ben dis donc. T'en as vu des choses... Et tu n'as pas eu peur du feu ?

Evitant de temps en temps de se prendre un bras de sa fille dans la figure, Henri l'écoutait en souriant. C'est extraordinaire cette faculté qu'on les enfants de s'émerveiller de tout.
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--Violette.

Citation:

Et tu n'as pas eu peur du feu ?

-Na...Pas eu peur...Suis grande moi!

Violette se mit a bailler,elle se nicha contre son papa,attrapant un bout de sa chemise entre ses petits doigts et suçant son pouce.

Henri_de_plumaugat

- Na... Pas eu peur... Suis grande moi !

- Oui, bien sûr que tu es une grande fille. Mais tu es fatiguée aussi. Dors dans les bras de papa, mon ange.

La serrant et la berçant doucement contre lui, Henri l'embrassa tendrement sur le front.
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Pailettedargent

Pailette se réveilla et ne vit personne,elle alla à l'étage et aperçut Henri entrain de bercer Violette,elle les admira un moment du seuil de la porte.Ne voulant pas interrompre cet instant entre le père et sa fille,Pailette alla voir Joseph,qui lui était réveillé et gazouillé dans son lit.

Coucou mon chéri...Alors tu as fais un gros dodo?

Le petit bonhomme regarda sa mère,lui tendant ses bras.
Pailette le prit doucement tout contre elle et l'embrassa tendrement sur la joue.
Elle alla à la cuisine pour lui donner son biberon.
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Saroyane

[i]Dans sa chambre

saroyane notait se qu'elle avait fait de sa journée, elle avait prit l'habitude de mettre par écrit au jour le jour ce qu'elle avait ressentit, le temps qu'il faisait enfin presque tout.[/i]
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Henri_de_plumaugat

Violette avait fini par s'endormir dans ses bras. Henri ne bougea pas pour ne pas la réveiller malgré les fourmis qui commençaient à gagner ses jambes. Mais ces douleurs un peu pénibles ne sont que bien peu de choses devant le spectacle de sa fille en train de dormir, le pouce dans la bouche. Elle grandissait vite, trop vite... Bientôt elle sera trop grande pour venir dans ses bras, elle sera très vite une belle jeune fille qui ne pourra plus dormir dans les bras de son papa. C'était donc des instants qu'il ne voulait pas perdre. Elle finit quand même par se réveiller, malheureusement. Elle frotta ses petits yeux et se blottit encore un peu dans les bras de son papa. Mais même les meilleures choses ont une fin :

- Papa, a faim !

- Tu as faim ? Bon, on va descendre voir ce que je peux bien te donner à manger. Il doit bien rester un peu de confiture...

- Viiii ! ...fiture ! Plaît papa !

- Allons-y !

Henri mit sa fille debout et essaya de se lever, mais l'immobilité forcée lui avait bloqué la circulation dans les jambes et la douleur fut très vive. Il ne parvint pas à se lever. Faisant tout son possible pour ne pas le lui montrer, réprimant la grimace qui voulait tordre son visage, il dit à sa fille :

- Descend sans moi ma grande, j'arrive tout de suite.
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Pailettedargent

Pailette donnait le biberon à Joseph lorsque Violette arriva,elle s'attendait à voir Henri juste derrière mais non...

-Et bien ma chérie,il est où papa?

-En haut

-En haut?,Pailette fronça légèrement les sourcils,ce n'était pas logique qu'Henri ne vienne pas.

-Très bien mon coeur,je te donne ta tartine et tu t'assois,je vais voir papa.

Pailette lui tartina une tranche de pain avec de la confiture.

-Et tu es sage,j'arrive de suite,d'accord?!

-Vi

-C'est bien mon coeur.

Elle prit le petit homme avec elle et alla voir Henri dans la chambre.

-Çà va mon amour?
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Ca va mon amour ?

Henri, toujours assis par terre, la regarda.

- Pour être franc, pas très bien. J'ai des fourmis terribles dans les jambes et je n'arrive pas à me lever. Mais ça va passer.
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Pailettedargent

Pailette se mit à rire en entendant son explication,elle se mit près de lui.

-Oh mon pauvre amour...C'est vrai que ce n'est pas agréable.

Elle l'embrassa tendrement et posa Joseph sur la couverture face à eux.

-Lorsque j'ai vu Violette et pas toi,je me suis inquietée...Et oui,moi aussi,je m'inquiete!

Pailette l'embrassa à nouveau et se leva

-Bon...Je retourne voir notre fille maintenant que je suis rassurée!...Je te laisse Joseph ou pas?
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Henri_de_plumaugat

Henri répondit à son baiser.

- Ca va beaucoup mieux maintenant. J'aime ce genre de médecine.

Il lui sourit.

Citation:

- Lorsque j'ai vu Violette et pas toi, je me suis inquiétée... Et oui,moi aussi, je m'inquiète !

- Merci mon amour. Je t'aime !

Il répondit tendrement à son baiser.

Citation:

- Bon... Je retourne voir notre fille maintenant que je suis rassurée !... Je te laisse Joseph ou pas ?

- Oh bah oui, je vais profiter de lui le temps que mon sang se décide à me faire moins mal.
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Pailettedargent

Citation:

- Oh bah oui, je vais profiter de lui le temps que mon sang se décide à me faire moins mal

-D'accord,mon coeur..Je te dis à tout de suite alors.

Pailette redescendit à la cuisine,retrouvant Violette entrain de finir sa tartine.

-Alors c'était bon?

-Vi!..'core!

-Non ,tu en as assez mangé ma puce.

Elle la prit sur ses genoux et lui fit un gros câlin.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- D'accord, mon cœur... Je te dis à tout de suite alors.

- Oui, à tout de suite ma chérie.

Henri resta donc encore quelques minutes à se masser la jambe pour que la circulation se fasse de nouveau normalement. Joseph le regardait tout en se promenant à quatre pattes. Henri se dirigea vers lui et le prit dans ses bras.

- Viens là mon bonhomme. Il faut que tu apprenne à marcher, maintenant. Tu es un grand garçon.

Henri le mit debout et essaya de le faire marcher un peu. Mais dès qu'il le lâchait, le petit bonhomme tombait sur son derrière. Après quelques essais infructueux, Henri se leva à son tour, secouant un peu sa jambe engourdie, et prit son petit garçon dans les bras, le faisant sauter en l'air. Joseph riait aux éclats. L'ayant attrapé une dernière fois, Henri le mangea de baisers :

- Oh je t'aime, je t'aime, je t'aime !!!

Ceci se termina par un gros câlin. Et c'est avec son fils serré tendrement dans ses bras qu'Henri alla rejoindre sa femme et sa fille.
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Saphyra

A la proposition de son ami Henry, Saphyra était venue lui proposer son aide pour remettre en route son atelier d'herboristerie et surtout pourrait il lui enseigner quelques connaissances médicales dont il avait le secret.

C'est sous la neige, qu'elle retourna à son dispensaire où elle savait qu'il y séjournait le plus souvent.

Elle frappa à la grande porte de bois.
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Henri_de_plumaugat

Entendant frapper à la porte, Henri déposa Joseph à côté de Pailette et Violette pour qu'il ne prenne pas froid à la porte. Puis il alla ouvrir. Quelle ne fut pas sa surprise de voir Saphyra devant la porte.

- Saphyra ! Entre, ne reste pas dehors avec cette température. Viens te réchauffer un moment, tu nous diras après le but de ta visite.

Henri lui prit son manteau qu'il mit sur un crochet non loin du feu.

- Assied-toi, je t'en prie. Tu veux prendre quelque chose de chaud ?
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Saphyra

Citation:

- Assied-toi, je t'en prie. Tu veux prendre quelque chose de chaud ?

Saphyra lui sourit, génée de venir chez Henri aussi tardivement.

"Merci mon ami...je suis venue te voir pour savoir si ta proposition de venir t'aider dans ton hopital en tant qu'herboriste tenait toujours ?
Et à l'inverse je te demandais de voir si tu pouvais venir nous donner un coup de main à la Légion..."

Elle lui sourit en regardant les petits bouts de choux qui étaient avec Paillette.
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Henri_de_plumaugat

- Merci mon ami... je suis venue te voir pour savoir si ta proposition de venir t'aider dans ton hôpital en tant qu'herboriste tenait toujours ? Et à l'inverse je te demandais de voir si tu pouvais venir nous donner un coup de main à la Légion...

- Mais je t'en prie. Bien sûr, tu peux toujours venir à l'hôpital, il n'y a aucun soucis. Ca me dépannerais bien, d'ailleurs, car je ne sais pas du tout ce qu'est devenue Gaedjin. Pour ce qui est de la Légion, je veux bien vous donner un coup de main. Mais je n'en ferai pas partie à part entière, je vous ai expliqué pourquoi à tous.
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Pailettedargent

Pailette salua Saphyra dans un grand sourire de bienvenue. Elle se leva avec Joseph dans ses bras et Violette accrochait à elle.

-Je vous laisse discuter,je vais changer le petit bonhomme.

Elle s'effaça de la cuisine,rejoignant l'étage.

-Maman...a qui la dame?

-C'est une amie,elle s'appelle Saphyra et elle a besoin de papa...Rhooo,petite curieuse.

Pailette s'occupa de changer les langes de Joseph, pendant ce temps la petite jouait avec son nounours.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Je vous laisse discuter, je vais changer le petit bonhomme.

- D'accord, à tout à l'heure ma chérie.

Et il lui envoya un baiser.
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Saphyra

saphyra les regarda.

Ce couple respirait l'amour, et c'était un réel bonheur de les voir.

"Alors montre moi le laboratoire de Gaedj et dis moi ce que tu attendrais de mon aide...sachant que je ne suis toujours pas confirmée..c'est en cours mais j'ai bcp de temps devant moi....Athris étant trop occupé à sa Mélusine"
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Henri_de_plumaugat

- Alors montre moi le laboratoire de Gaed et dis moi ce que tu attendrais de mon aide... sachant que je ne suis toujours pas confirmée... c'est en cours mais j'ai beaucoup de temps devant moi... Athris étant trop occupé à sa Mélusine.

Henri se leva et dit à Saphyra :

- Viens, je vais te le montrer. Il est à l'hôpital. On va passer par la porte de derrière. Il communique avec la maison. Ce que j'attends de toi ? Oh bah tu sais, je n'ai pas trop le temps de m'occuper de planter les herbes, les soigner, les cueillir, les mettre à sécher, les broyer, les mettre en pots Et encore beaucoup d'autres choses. Donc si tu pouvais faire un peu de tout ça, ce serait vraiment bien.

Puis, criant dans l'escalier il dit à Pailette :

- Ma chérie, je fais un saut rapide à l'hôpital avec Saphyra, je vais lui montrer l'herboristerie. Je ne serai pas long !
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Pailettedargent

Citation:

- Ma chérie, je fais un saut rapide à l'hôpital avec Saphyra, je vais lui montrer l'herboristerie. Je ne serai pas long !

-D'accord,prends ton temps,à tout à l'heure!

Pailette retourna au près de ses enfants ,elle se mit par terre avec eux et leur conta une histoire.
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Henri_de_plumaugat

Après avoir montré toutes les subtilités et tous les recoins de l'hôpital à Saphyra, Henri rentra chez lui. Sa petite famille lui manquait déjà. Il n'aimait pas être loin d'elle, même si cet éloignement n'est que relatif. Il se sentait comme un poisson hors de l'eau lorsqu'il ne respirait pas cette odeur familiale.

- Ma chérie, je suis là ! Où êtes-vous tous ?
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Pailettedargent

Citation:

- Ma chérie, je suis là ! Où êtes-vous tous ?

Pailette regarda les enfants

-Hum...Qui vient de rentrer?

Joseph dans un large sourire

-Papa..

-Oui mon coeur,c'est papa!....Violette,tu dis à papa qu'on est là,s'il te plait.

Violette se mit en haut de l'escalier

-Papa...on est là!
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Henri_de_plumaugat

- Papa... on est là !

Henri entendit la voix de sa petite fille chérie. Il monta les escaliers quatre à quatre et attrapa Violette dans ses bras.

- Coucou ma grande ! Alors ça va ? Qu'est-ce que vous êtes en train de faire ?
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--Violette.

Citation:

- Coucou ma grande ! Alors ça va ? Qu'est-ce que vous êtes en train de faire ?

-Maman raconte des n'histoires.

Violette serra fort ses petits bras autour du cou de son papa

-'seph est sage et pis bébé aussi.

Henri_de_plumaugat

- Maman raconte des n'histoires.

- Oh, c'est merveilleux ça. Tu crois que je peux venir écouter aussi ?

Lorsque Violette serra ses petits bras autour de son cou, son papa en profita pour l'embrasser très fort.

- 'seph est sage et pis bébé aussi.

- Très bien. Et toi ? Tu es sage aussi ?

Et Henri de la regarder avec des yeux taquins.
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--Violette.

Citation:

- Oh, c'est merveilleux ça. Tu crois que je peux venir écouter aussi ?

-Vi...A toi te 'aconter des n'histoires!

Citation:

- Très bien. Et toi ? Tu es sage aussi ?

-Ah vi,moi sage,moi grande!

En disant celà,Violette prit son petit air sérieux.

Henri_de_plumaugat

- Vi... A toi te 'aconter des n'histoires !

- On ne dit pas des n'histoires, ma grande, mais des z'histoires. Qu'est-ce que tu veux que je raconte comme histoire ?

- Ah vi, moi sage, moi grande !

Cette réponse et la tête que fit sa fille firent rire Henri qui l'embrassa très fort. Ils rejoignirent Pailette et Joseph et s'assirent avec eux.

- Violette me dit qu'il faut que je raconte aussi des histoires ?
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Pailettedargent

Citation:

- Violette me dit qu'il faut que je raconte aussi des histoires ?

-Ah mais oui mon coeur,elle a eut une très bonne idée notre fille!

Pailette lui fit un sourire et s'appuya contre son mari.

-Nous t'écoutons!
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Saroyane

Citation:

Tu crois que je peux venir écouter aussi ?

Moi aussi je peux écouter? dit Saro en entrant dans la pièce.

Elle avait enfin décidé de quitter sa chambre, mais partager la vie d'un jeune couple n'était chose facile et elle essayait de se faire la plus discrète possible
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Ah mais oui mon cœur, elle a eut une très bonne idée notre fille !

- Ah tu trouves...

Henri soupira, mais il sourit quand son épouse s'appuya contre lui. Il l'embrassa doucement sur le front.

Citation:

- Nous t'écoutons !

- Moi aussi je peux écouter ?

- Mais bien sûr, installez-vous donc.

Serrant son épouse contre lui, Henri commença à raconter une histoire :

- Il était une fois, tandis qu'un seigneur et son serviteur cheminaient de par le monde, ils se sentirent bien fatigués. Il faisait une chaleur terrible mais en cours de route ils ne trouvèrent pas la moindre âme charitable pour leur donner un verre d'eau, pas le plus petit ruisseau pour leur procurer un filet d'eau. Cheminant cahin-caha, le seigneur, qui marchait devant, vit sur le sol un fer à cheval ; il se retourna vers son serviteur et lui dit :

– Mon ami, ramasse ce fer à cheval et garde-le.

Mais le serviteur, qui était d'une humeur de chien, lui répondit :

– Ce morceau de fer ne vaut pas la peine de se baisser. Laissons-le là, Seigneur.

Le maître, comme d'habitude, ne fit aucun commentaire ; il se contenta de se baisser, de ramasser le fer et de le mettre dans sa poche. Ils se remirent en route, muets et silencieux.

Au bout de quelque temps, ils rencontrèrent un forgeron qui allait dans la direction opposée. Le seigneur lia conversation avec lui au cours de la halte qu'ils firent tous ensemble, et au moment de se quitter, il lui vendit le fer qu'il avait trouvé.

Ils poursuivirent leur chemin et tombèrent par hasard sur un marchand ambulant qui se rendait au village voisin pour vendre des fruits. Le maître l'arrêta et acheta avec les quatre écus de la vente du fer à cheval, une demi-livre de cerises. Pendant tout ce temps,le serviteur restait muré dans son silence et sa mauvaise humeur empirait.

La chaleur redoublait ; les gorges se desséchaient. Seul le serviteur souffrait de la soif, car son maître mangeait les cerises et le jus des fruits rafraîchissait son palais. Le serviteur, qui marchait péniblement derrière lui, regardait le Sauveur avec envie ; mais comme les cerises avaient été achetées avec le gain de la vente du fer à cheval qu'il n'avait pas voulu ramasser, il n'osait pas demander à son maître sa part du festin. Celui-ci, sans avoir l'air de rien, laissait tomber une cerise de temps en temps, et le serviteur se penchait avec avidité pour la ramasser et la porter à sa bouche assoiffée. Quand il n'y eut plus de cerises, le maître se retourna vers son serviteur et lui dit :

– Tu vois, mon ami, on ne doit rien dédaigner en ce monde, même ce qui nous paraît mesquin et dépourvu de valeur. Pour n'avoir pas voulu te baisser une fois et ramasser le fer à cheval, tu as dû t'incliner de nombreuses fois pour les cerises que je laissais tomber sur le sol. Ceci t'apprendra, mon ami, à ne dédaigner rien ni personne.

Le serviteur ne trouva rien à répondre ; il baissa la tête et poursuivit humblement le trajet derrière son Seigneur.
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Pailettedargent

Pailette l'écoutait attentivement,jetant un oeil vers le reste de la petite famille,Saro,sage comme à son habitude,Violette pendue aux lèvres de son père,Joseph quand à lui avait trouvé le nounours de sa soeur et jouait avec,essayant de lui retirer ses poils.
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Henri_de_plumaugat

Henri les regarda tous en souriant. Personne ne parlait. Il décida de raconter une autre histoire :

Il y avait une fois un roi et une reine qui s'aimaient si fort, si fort, qu'ils faisaient la joie l'un de l'autre. Leurs cœurs et leurs sentiments se trouvaient toujours d'intelligence ; ils allaient tous les jours à la chasse tuer des lièvres et des cerfs ; ils allaient à la pêche prendre des soles et des carpes ; au bal, danser la bourrée et la pavane ; à de grands festins, manger du rôt et des dragées ; à la comédie et à l'opéra. Ils riaient, ils chantaient, ils se faisaient mille pièces pour se divertir ; enfin c'était le plus heureux de tous les temps. Leurs sujets suivaient l'exemple du roi et de la reine ; ils se divertissaient à l'envi l'un de l'autre. Par toutes ces raisons, l'on appelait ce royaume le pays de joie.

Il arriva qu'un roi voisin du roi Joyeux vivait tout différemment. Il était ennemi déclaré des plaisirs ; il ne demandait que plaies et bosses ; il avait une mine renfrognée, une grande barbe, les yeux creux ; il était maigre et sec, toujours vêtu de noir, des cheveux hérissés, gras et crasseux. Pour lui plaire, il fallait tuer et assommer les passants. Il pendait lui-même les criminels ; il se réjouissait à leur faire du mal. Quand une bonne maman aimait bien sa petite fille ou son petit garçon, il l'envoyait quérir, et devant elle il lui rompait les bras ou lui tordait le cou. On nommait ce royaume le pays des larmes.

Le méchant roi entendit parler de la satisfaction du roi Joyeux ; il lui porta grande envie, et résolut de faire une grosse armée, et d'aller le battre tout son saoul, jusqu'à ce qu'il fût mort ou bien malade. Il envoya de tous côtés pour amasser du monde et des armes ; il faisait faire des canons. Chacun tremblait. L'on disait : sur qui se jettera le roi, il ne fera point de quartier.

Lorsque tout fut prêt, il s'avança vers le pays du roi Joyeux. A ces mauvaises nouvelles il se mit promptement en défense ; la reine mourait de peur, elle lui disait en pleurant :

- Sire, il faut nous enfuir : tâchons d'avoir bien de l'argent, et nous en allons tant que terre nous pourra porter.

Le roi répondait :

- Fi, madame, j'ai trop de courage ; il vaudrait mieux mourir que d'être un poltron.

Il ramassa tous ses gens d'armes, dit un tendre adieu à la reine, monta sur un beau cheval, et partit. Quand elle l'eut perdu de vue, elle se mit à pleurer douloureusement ; et joignant ses mains, elle disait :

- Hélas, je suis grosse ; si le roi est tué à la guerre, je serai veuve et prisonnière, le méchant roi me fera dix mille maux.

Cette pensée l'empêchait de manger et de dormir. Il lui écrivait tous les jours ; mais un matin qu'elle regardait par-dessus les murailles, elle vit venir un courrier qui courait de toute sa force, elle l'appela :

- Hô, courrier, hô, quelle nouvelle ? - Le roi est mort, s'écria-t-il, la bataille est perdue, le méchant roi arrivera dans un moment.

La pauvre reine tomba évanouie ; on la porta dans son lit, et toutes ses dames étaient autour d'elle, qui pleuraient, l'une son père, l'autre son fils ; elles s'arrachèrent les cheveux, c'était la chose du monde la plus pitoyable.
Voilà que tout d'un coup l'on entend :

- Au meurtre, au larron !

C'était le méchant roi qui arrivait avec tous ses malheureux sujets ; ils tuaient pour oui et pour non, ceux qu'ils rencontraient. Il entra tout armé dans la maison du roi, et monta dans la chambre de la reine. Quand elle le vit entrer, elle eut si grande peur, qu'elle s'enfonça dans son lit, et mit la couverture sur sa tête. Il l'appela deux ou trois fois, mais elle ne disait mot ; il se fâcha, bien fâché, et dit :

- Je crois que tu te moques de moi ; sais-tu que je peux t'égorger tout à l'heure ?

Il la découvrit, lui arracha ses cornettes, ses beaux cheveux tombèrent sur ses épaules ; il en fit trois tours à sa main, et la chargea dessus son dos comme un sac de blé : il l'emporta ainsi, et monta sur son grand cheval qui était tout noir. Elle le priait d'avoir pitié d'elle, il s'en moquait, et lui disait :

- Crie, plains-toi, cela me fait rire et me divertit.

Il l'emmena en son pays, et jura pendant tout le chemin qu'il était résolu de la pendre ; mais on lui dit que c'était dommage, et qu'elle était grosse.
Quand il vit cela, il lui vint dans l'esprit que si elle accouchait d'une fille, il la marierait avec son fils ; et pour savoir ce qui en était, il envoya quérir une fée, qui demeurait près de son royaume. Étant venue, il la régala mieux qu'il n'avait de coutume ; ensuite il la mena dans une tour, au haut de laquelle la pauvre reine avait une chambre bien petite et bien pauvrement meublée. Elle était couchée par terre, sur un matelas qui ne valait pas deux sous, où elle pleurait jour et nuit. La fée en la voyant fut attendrie ; elle lui fit la révérence, et lui dit tous bas en l'embrassant :

- Prenez courage, madame, vos malheurs finiront ; j'espère y contribuer.

La reine un peu consolée de ces paroles, la caressait, et la priait d'avoir pitié d'une pauvre princesse qui avait joui d'une grande fortune, et qui s'en voyait bien éloignée. Elles parlaient ensemble, quand le méchant roi dit :

- Allons, point tant de compliments ; je vous ai amenée ici pour me dire si cette esclave est grosse d'un garçon ou d'une fille.

La fée répondit :

- Elle est grosse d'une fille, qui sera la plus belle princesse et la mieux apprise que l'on ait jamais vue.

Elle lui souhaita ensuite des biens et des honneurs infinis.

- Si elle n'est pas belle et bien apprise, dit le méchant roi, je la pendrai au cou de sa mère, et sa mère à un arbre, sans que rien m'en puisse empêcher.

Après cela il sortit avec la fée, et ne regarda pas la bonne reine, qui pleurait amèrement ; car elle disait en elle-même :

- Hélas ! que ferai-je ? Si j'ai une belle petite fille, il la donnera à son magot de fils ; et si elle est laide, il nous pendra toutes deux. A quelle extrémité suis-je réduite ? Ne pourrai-je point la cacher quelque part, afin qu'il ne la vît jamais ?

Le temps que la petite princesse devait venir au monde approchait, et les inquiétudes de la reine augmentaient : elle n'avait personne avec qui se plaindre et se consoler. Le geôlier qui la gardait, ne lui donnait que trois pois cuits dans l'eau pour toute la journée, avec un petit morceau de pain noir. Elle devint plus maigre qu'un hareng : elle n'avait plus que la peau et les os.
Un soir qu'elle filait (car le méchant roi qui était fort avare, la faisait travailler jour et nuit), elle vit entrer par un trou une petite souris, qui était fort jolie. Elle lui dit :

- Hélas ! ma mignonne, que viens-tu chercher ici ? Je n'ai que trois pois pour toute ma journée ; si tu ne veux jeûner, va-t'en.

La petite souris courait de-çà, courait de-là, dansait, cabriolait comme un petit singe ; et la reine prenait un si grand plaisir à la regarder, qu'elle lui donna le seul pois qui restait pour son souper.

- Tiens, mignonne, dit-elle, mange, je n'en ai pas davantage, et je te le donne de bon cœur.

Dès qu'elle eut fait cela, elle vit sur sa table une perdrix excellente, cuite à merveille, et deux pots de confitures.

- En vérité, dit-elle, un bienfait n'est jamais perdu.

Elle mangea un peu, mais son appétit était passé à force de jeûner. Elle jeta du bonbon à la souris, qui le grignota encore ; et puis elle se mit à sauter mieux qu'avant le souper.
Le lendemain matin le geôlier apporta de bonne heure les trois pois de la reine, qu'il avait mis dans un grand plat pour se moquer d'elle ; la petite souris vint doucement, et les mangea tous trois, et le pain aussi. Quand la reine voulut dîner, elle ne trouva plus rien ; la voilà bien fâchée contre la souris.

- C'est une méchante petite bête, disait-elle, si elle continue, je mourrai de faim.

Comme elle voulut couvrir le grand plat qui était vide, elle trouva dedans toutes sortes de bonnes choses à manger : elle en fut bien aise, et mangea ; mais en mangeant, il lui vint dans l'esprit que le méchant roi ferait peut-être mourir dans deux ou trois jours son enfant, et elle quitta la table pour pleurer ; puis elle disait, en levant les yeux au ciel :

- Quoi ! n'y a-t-il point quelque moyen de se sauver ?

En disant cela, elle vit la petite souris qui jouait avec de longs brins de paille ; elle les prit, et commença de travailler avec.

- Si j'ai assez de paille, dit-elle, je ferai une corbeille couverte pour mettre ma petite fille, et je la donnerai par la fenêtre à la première personne charitable qui voudra en avoir soin.

Elle se mit donc à travailler de bon courage ; la paille ne lui manquait point, la souris en traînait toujours par la chambre où elle continuait de sauter ; et aux heures des repas, la reine lui donnait ses trois pois, et trouvait en échange cent sortes de ragoûts. Elle en était bien étonnée ; elle songeait sans cesse qui pouvait lui envoyer de si excellentes choses.
La reine regardait un jour à la fenêtre, pour voir de quelle longueur elle ferait cette corde, dont elle devait attacher la corbeille pour la descendre. Elle aperçut en bas une vieille petite bonne femme qui s'appuyait sur un bâton, et qui lui dit :

- Je sais votre peine, madame ; si vous voulez je vous servirai.

- Hélas ma chère amie, lui dit la reine, vous me ferez un grand plaisir venez tous les soirs au bas de la tour, je vous descendrai mon pauvre enfant ; vous le nourrirez, et je tâcherai, si je suis jamais riche, de vous bien payer.

- Je ne suis pas intéressée, répondit la vieille, mais je suis friande ; il n'y a rien que j'aime tant qu'une souris grassette et dodue. Si vous en trouvez dans votre galetas, tuez-les et me les jetez ; je n'en serai point ingrate, votre poupard s'en trouvera bien.

La reine l'entendant se mit à pleurer sans rien répondre ; et la vieille, après avoir un peu attendu, lui demanda pourquoi elle pleurait.

- C'est, dit-elle, qu'il ne vient dans ma chambre qu'une seule souris, qui est si jolie, si joliette, que je ne puis me résoudre à la tuer.

- Comment, dit la vieille en colère, vous aimez donc mieux une friponne de petite souris, qui ronge tout, que l'enfant que vous allez avoir ? Hé bien, madame, vous n'êtes pas à plaindre, restez en si bonne compagnie, j'aurai bien des souris sans vous, je ne m'en soucie guère.

Elle s'en alla grondant et marmottant. Quoique la reine eût un bon repas, et que la souris vînt danser devant elle, jamais elle ne leva les yeux de terre, où elle les avait attachés, et les larmes coulaient le long de ses joues.
Elle eut cette même nuit une princesse, qui était un miracle de beauté ; au lieu de crier comme les autres enfants, elle riait à sa bonne maman, et lui tendait ses petites menottes, comme si elle eût été bien raisonnable. La reine la caressait et la baisait de tout son cœur, songeant tristement.

- Pauvre mignonne ! chère enfant ! si tu tombes entres les mains du méchant roi, c'est fait de ta vie.

Elle l'enferma dans la corbeille, avec un billet attaché sur son maillot, où était écrit :

Cette infortunée petite fille a nom Joliette.

Et quand elle l'avait laissée un moment sans la regarder, elle ouvrait encore la corbeille, et la trouvait embellie ; puis elle la baisait et pleurait plus fort, ne sachant que faire.
Mais voici la petite souris qui vient, et qui se met dans la corbeille avec Joliette.

- Ah ! petite bestiole, dit la reine, que tu me coûtes cher pour te sauver la vie ! Peut-être que je perdrai ma chère Joliette ! Une autre que moi t'aurait tuée, et donnée à la vieille friande ; je n'ai pu y consentir.

La souris commence à dire :

- Ne vous en repentez point, madame, je ne suis pas si indigne de votre amitié que vous le croyez.

La reine mourait de peur d'entendre parler la souris ; mais sa peur augmenta bien quand elle aperçut que son petit museau prenait la figure d'un visage, que ses pattes devinrent des mains et des pieds, et qu'elle grandit tout d'un coup. Enfin la reine n'osant presque la regarder, la reconnut pour la fée qui l'était venue voir avec le méchant roi, et qui lui avait fait tant de caresses. Elle lui dit :

- J'ai voulu éprouver votre cœur ; j'ai reconnu qu'il est bon, et que vous êtes capable d'amitié. Nous autres fées, qui possédons des trésors et des richesses immenses, nous ne cherchons pour la douceur de la vie que de l'amitié, et nous en trouvons rarement.

- Est-il possible, belle dame, dit la reine en l'embrassant, que vous ayez de la peine à trouver des amies, étant si riches et si puissantes ?

- Oui, répliqua-t-elle ; car on ne nous aime que par intérêt, et cela ne nous touche guère ; mais quand vous m'avez aimée en petite souris, ce n'était pas un motif d'intérêt. J'ai voulu vous éprouver plus fortement ; j'ai pris la figure d'une vieille ; c'est moi qui vous ai parlé au bas de la tour, et vous m'avez toujours été fidèle.

A ces mots elle embrassa la reine ; puis elle baisa trois fois le bécot vermeil de la petite princesse, et elle lui dit :

- Je te donne, ma fille, d'être la consolation de ta mère, et plus riche que ton père ; de vivre cent ans toujours belle, sans maladie, sans rides et sans vieillesse.

La reine toute ravie la remercia, et la pria d'emporter Joliette, et d'en prendre soin, ajoutant qu'elle la lui donnait pour être sa fille. La fée l'accepta, et la remercia ; elle mit la petite dans la corbeille, qu'elle descendit en bas ; mais s'étant un peu arrêtée à reprendre sa forme de petite souris, quand elle descendit après elle par la cordelette, elle ne trouva plus l'enfant ; et remontant fort effrayée :

- Tout est perdu, dit- elle à la reine, mon ennemie Cancaline vient d'enlever la princesse ! Il faut que vous sachiez que c'est une cruelle fée qui me hait ; et par malheur, étant mon ancienne, elle a plus de pouvoir que moi. Je ne sais par quel moyen retirer Joliette de ses vilaines griffes.

Quand la reine entendit de si tristes nouvelles, elle pensa mourir de douleur ; elle pleura bien fort, et pria sa bonne amie de tâcher de ravoir la petite, à quelque prix que ce fût.
Cependant le geôlier vint dans la chambre de la reine ; il vit qu'elle n'était plus grosse ; il fut le dire au roi, qui accourut pour lui demander son enfant mais elle dit qu'une fée, dont elle ne savait pas le nom, l'était venue prendre par force. Voilà le méchant roi qui frappait du pied, et qui rongeait ses ongles jusqu'au dernier morceau :

- Je t'ai promis, dit-il, de te pendre ; je vais tenir ma parole tout à l'heure.

En même temps il traîne la pauvre reine dans un bois, grimpe sur un arbre, et l'allait pendre, lorsque la fée se rendit invisible, et le poussant rudement, elle le fit tomber du haut de l'arbre ; il se cassa quatre dents. Pendant qu'on tâchait de les raccommoder, la fée enleva la reine dans son char volant, et elle l'emporta dans un beau château. Elle en prit grand soin et si elle avait eu la princesse Joliette, elle aurait été contente mais on ne pouvait découvrir en quel lieu Cancaline l'avait mise, bien que la petite souris y fît tout son possible.

Enfin le temps se passait, et la grande affliction de la reine diminuait. Il y avait quinze ans déjà lorsqu'on entendit dire que le fils du méchant roi s'allait marier à sa dindonnière, et que cette petite créature n'en voulait point. Cela était bien surprenant qu'une dindonnière refusât d'être reine ; mais pourtant les habits de noces étaient faits, et c'était une si belle noce, qu'on y allait de cent lieues à la ronde. La petite souris s'y transporta ; elle voulait voir la dindonnière tout à son aise. Elle entra dans le poulailler, et la trouva vêtue d'une grosse toile, nu-pieds, avec un torchon gras sur sa tête. Il y avait là des habits d'or et d'argent, des diamants, des perles, des rubans, des dentelles qui traînaient à terre ; les dindons se hochaient dessus, les crottaient et les gâtaient. La dindonnière était assise sur une grosse pierre ; le fils du méchant roi, qui était tordu, borgne et boiteux, lui disait rudement :

- Si vous me refusez votre cœur, je vous tuerai.

Elle lui répondait fièrement :

- Je ne vous épouserai point, vous êtes trop laid, vous ressemblez à votre cruel père. Laissez-moi en repos avec mes petits dindons ; je les aime mieux que toutes vos braveries.

La petite souris la regardait avec admiration ; car elle était aussi belle que le soleil. Dès que le fils du méchant roi fut sorti, la fée prit la figure d'une vieille bergère, et lui dit :

- Bonjour, ma mignonne, voilà vos dindons en bon état.

La jeune dindonnière regarda cette vieille avec des yeux pleins de douceur, et lui dit :

- L'on veut que je les quitte pour une méchante couronne ; que m'en conseillez-vous ?

- Ma petite fille, dit la fée, une couronne est fort belle ; vous n'en connaissez pas le prix ni le poids.

- Mais si fait, je le connais, repartit promptement la dindonnière, puisque je refuse de m'y soumettre ; je ne sais pourtant qui je suis, ni où est mon père, ni où est ma mère ; je me trouve sans parents et sans amis.

- Vous avez beauté et vertu, mon enfant, dit la sage fée, qui valent plus que dix royaumes. Contez-moi, je vous prie, qui vous a donc mise ici, puisque vous n'avez ni père, ni mère, ni parents, ni amis ?

- Une fée, appelée Cancaline, est cause que j'y suis venue ; elle me battait ; elle m'assommait sans sujet et sans raison. Je m'enfuis un jour, et ne sachant où aller, je m'arrêtai dans un bois. Le fils du méchant roi s'y vint promener ; il me demanda si je voulais servir à sa basse-cour. Je le voulus bien ; j'eus soin des dindons ; il venait à tout moment les voir, et il me voyait aussi. Hélas ! sans que j'en eusse envie, il se mit à m'aimer tant et tant, qu'il m'importune fort.

La fée , a ce récit, commença de croire que la dindonnière était la princesse Joliette. Elle lui dit :

- Ma fille, apprenez-moi votre nom ?

- Je m'appelle Joliette, pour vous rendre service, dit-elle.

A ce mot la fée ne douta plus de la vérité ; et lui jetant les bras au cou, elle pensa la manger de caresses ; puis elle lui dit :

- Joliette, je vous connais il y a longtemps, je suis bien aise que vous soyez si sage et si bien apprise ; mais je voudrais que vous fussiez plus propre, car vous ressemblez à une petite souillon ; prenez les beaux habits que voilà, et vous accommodez.

Joliette, qui était fort obéissante, quitta aussitôt le torchon gras qu'elle avait dessus la tête, et la secouant un peu, elle se trouva toute couverte de ses cheveux, qui étaient blonds comme un bassin, et déliés comme fils d'or. Ils tombaient par boucles jusqu'à terre. Puis prenant dans ses mains délicates de l'eau à une fontaine qui coulait proche le poulailler, elle se débarbouilla le visage, qui devint aussi clair qu'une perle orientale. Il semblait que des roses s'étaient épanouies sur ses joues et sur sa bouche ; sa douce haleine sentait le thym et le serpolet ; elle avait le corps plus droit qu'un jonc ; en temps d'hiver, l'on eût pris sa peau pour de la neige ; en temps d'été, c'était des lys.
Quand elle fut parée des diamants et des belles robes, la fée la considéra comme une merveille ; elle lui dit :

- Qui croyez-vous être, ma chère Joliette, car vous voilà bien brave ?

Elle répliqua :

- En vérité, il me semble que je suis la fille de quelque grand roi.

- En seriez-vous bien aise ? dit la fée.

- Oui, ma bonne mère, répondit Joliette, en faisant la révérence ; j'en serais fort aise.

- Hé bien, dit la fée, soyez donc contente ; je vous en dirai davantage demain.

Elle se rendit en diligence à son beau château, où la reine était occupée à filer de la soie. La petite souris lui cria:

- Voulez-vous gager, madame la reine, votre quenouille et votre fuseau, que je vous apporte les meilleures nouvelles que vous puissiez jamais entendre ?

- Hélas ! répliqua la reine, depuis la mort du roi Joyeux et la perte de ma Joliette, je donnerais bien toutes les nouvelles de ce monde pour une épingle.

- Là, là, ne vous chagrinez point, dit la fée, la princesse se porte à merveille ; je viens de la voir ; elle est si belle, si belle, qu'il ne tient qu'à elle d'être reine.

Elle lui conta tout le conte d'un bout à l'autre, et la reine pleurait de joie de savoir sa fille si belle, et de tristesse qu'elle fût dindonnière.

- Quand nous étions de grands rois dans notre royaume, disait-elle, et que nous faisions tant de bombance, le pauvre défunt et moi, nous n'aurions pas cru voir notre enfant dindonnière.

- C'est la cruelle Cancaline, ajouta la fée, qui sachant comme je vous aime, pour me faire dépit, l'a mise en cet état ; mais elle en sortira, ou j'y brûlerai mes livres.

- Je ne veux pas, dit la reine, qu'elle épouse le fils du méchant roi ; allons dès demain la quérir, et l'amenons ici.

Or, il arriva que le fils du méchant roi étant tout à fait fâché contre Joliette, fut s'asseoir sous un arbre, où il pleurait si fort, si fort, qu'il hurlait. Son père l'entendit ; il se mit à la fenêtre, et lui cria :

- Qu'est-ce que tu as à pleurer ? Comme tu fais la bête !

Il répondit :

- C'est que notre dindonnière ne veut pas m'aimer.

- Comment ! elle ne veut pas t'aimer, dit le méchant roi. Je veux qu'elle t'aime ou qu'elle meure.

Il appela ses gens d'armes, et leur dit :

- Allez la quérir ; car je lui ferai tant de mal, qu'elle se repentira d'être opiniâtre.

Ils furent au poulailler, et trouvèrent Joliette qui avait une belle robe de satin blanc, toute en broderie d'or, avec des diamants rouges, et plus de mille aunes de rubans partout. Jamais, au grand jamais, il ne s'est vu une si belle fille ; ils n'osaient lui parler, la prenant pour une princesse. Elle leur dit fort civilement :

- Je vous prie, dites-moi qui vous cherchez ici ?

- Madame, dirent-ils, nous cherchons une petite malheureuse, qu'on appelle Joliette.

- Hélas ! c'est moi, dit-elle ; qu'est-ce que vous me voulez ?

Ils la prirent vitement, et lièrent ses pieds et ses mains avec de grosses cordes, de peur qu'elle ne s'enfuît. Ils la menèrent de cette manière au méchant roi, qui était avec son fils. Quand il la vit si belle, il ne laissa pas d'être un peu ému ; sans doute qu'elle lui aurait fait pitié, s'il n'avait pas été le plus méchant et le plus cruel du monde. Il lui dit :

- Ha, ha petite friponne, petite crapaude, vous ne voulez donc pas aimer mon fils ? Il est cent fois plus beau que vous ; un seul de ses regards vaut mieux que toute votre personne. Allons, aimez-le tout à l'heure, ou je vais vous écorcher.

La princesse, tremblante comme un petit pigeon, se mit à genoux devant lui, et lui dit :

- Sire, je vous prie de ne me point écorcher, cela fait trop de mal ; laissez-moi un ou deux jours pour songer à ce que je dois faire, et puis vous serez le maître.

Son fils, désespéré, voulait qu'elle fût écorchée. Ils conclurent ensemble de l'enfermer dans une tour où elle ne verrait pas seulement le soleil.
Là-dessus, la bonne fée arriva dans le char volant, avec la reine ; elles apprirent toutes ces nouvelles ; aussitôt la reine se mit à pleurer amèrement disant qu'elle était toujours malheureuse, et qu'elle aimerait mieux que sa fille fût morte, que d'épouser le fils du méchant roi. La fée lui dit :

- Prenez courage ; je vais tant les fatiguer, que vous serez contente et vengée.

Comme le méchant roi allait se coucher, la fée se met en petite souris, et se fourre sous le chevet du lit : dès qu'il voulut dormir, elle lui mordit l'oreille ; le voilà bien fâché ; il se tourna de l'autre côté, elle lui mord l'autre oreille; il crie au meurtre, il appelle pour qu'on vienne ; on vient, on lui trouve les deux oreilles mordues, qui saignaient si fort qu'on ne pouvait arrêter le sang. Pendant qu'on cherchait partout la souris, elle en fut faire autant au fils du méchant roi : il fait venir ses gens, et leur montre ses oreilles qui étaient toutes écorchées ; on lui met des emplâtres dessus. La petite souris retourna dans la chambre du méchant roi, qui était un peu assoupi ; elle mord son nez et s'attache à le ronger ; il y porte les mains, et elle le mord et l'égratigne. Il crie :

- Miséricorde, je suis perdu !

Elle entre dans sa bouche et lui grignote la langue, les lèvres, les joues. L'on entre, on le voit épouvantable, qui ne pouvait presque plus parler, tant il avait mal à la langue ; il fit signe que c'était une souris ; on cherche dans la paillasse, dans le chevet, dans les petits coins, elle n'y était déjà plus ; elle courut faire pis au fils, et lui mangea son bon œil (car il était déjà borgne). Il se leva comme un furieux, l'épée à la main ; il était aveugle, il courut dans la chambre de son père, qui de son côté avait pris son épée, tempêtant et jurant qu'il allait tout tuer, si l'on n'attrapait la souris.
Quand il vit son fils si désespéré, il le gronda, et celui-ci qui avait les oreilles échauffées, ne reconnut pas la voix de son père, il se jeta sur lui. Le méchant roi, en colère, lui donna un grand coup d'épée, il en reçut un autre ; ils tombèrent tous deux par terre, saignant comme des bœufs. Tous leurs sujets qui les haïssaient mortellement, et qui ne les servaient que par crainte, ne les craignant plus, leur attachèrent des cordes aux pieds, et les traînèrent dans la rivière, disant qu'ils étaient bienheureux d'en être quittes.
Voilà le méchant roi tout mort et son fils aussi. La bonne fée qui savait cela, fut quérir la reine, elles allèrent à la tour noire, où Joliette était enfermée sous plus de quarante clés. La fée frappa trois fois avec une petite baguette de coudre à la grosse porte qui s'ouvrit, et les autres de même ; elles trouvèrent la pauvre princesse bien triste, qui ne disait pas un petit mot. La reine se jeta à son cou :

- Ma chère mignonne, lui dit-elle, je suis ta maman la reine Joyeuse.

Elle lui conta le conte de sa vie. 0 bon Dieu ! quand Joliette entendit de si belles nouvelles, à peu tint qu'elle ne mourût de plaisir ; elle se jeta aux pieds de la reine, elle lui embrassait les genoux, elle mouillait ses mains de ses larmes, et les baisait mille fois ; elle caressait tendrement la fée qui lui avait porté des corbeilles pleines de bijoux sans prix, d'or et de diamants ; des bracelets, des perles, et le portrait du roi Joyeux entouré de pierreries, qu'elle mit devant elle. La fée dit :

- Ne nous amusons point, il faut faire un coup d'état : allons dans la grande salle du château, haranguer le peuple.

Elle marcha la première, avec un visage grave et sérieux, ayant une robe qui traînait de plus de dix aunes ; et la reine une autre de velours bleu, toute brodée d'or, qui traînait bien davantage. Elles avaient apporté leurs beaux habits avec elles ; puis elles avaient des couronnes sur la tête, qui brillaient comme des soleils ; la princesse Joliette les suivait avec sa beauté et sa modestie, qui n'avaient rien que de merveilleux. Elles faisaient la révérence à tous ceux qu'elles rencontraient par le chemin, aux petits comme aux grands. On les suivait, fort empressés de savoir qui étaient ces belles dames. Lorsque la salle fut toute pleine, la bonne fée dit aux sujets du méchant roi, qu'elle voulait leur donner pour reine, la fille du roi Joyeux qu'ils voyaient, qu'ils vivraient contents sous son empire ; qu'ils l'acceptassent, qu'elle lui chercherait un époux aussi parfait qu'elle, qui rirait toujours, et qui chasserait la mélancolie de tous les cœurs. A ces mots chacun cria :

- Oui, oui, nous le voulons bien ; il y a trop longtemps que nous sommes tristes et misérables.

En même temps cent sortes d'instruments jouèrent de tous côtés ; chacun se donna la main et dansa en danse ronde, chantant autour de la reine, de sa fille et de la bonne fée :

- Oui, oui, nous le voulons bien.

Voilà comme elles furent reçues. Jamais joie n'a été égale. On mit les tables, l'on mangea, l'on but, et puis on se coucha pour bien dormir. Au réveil de la jeune princesse, la fée lui présenta le plus beau prince qui eût encore vu le jour. Elle l'était allé quérir dans le char volant jusqu'au bout du monde ; il était tout aussi aimable que Joliette. Dès qu'elle le vit, elle l'aima. De son côté, il en fut charmé, et pour la reine, elle était transportée de joie. On prépara un repas admirable et des habits merveilleux. Les noces se firent avec des réjouissance infinies.
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Pailettedargent

Pailette regarda Henri en souriant.

-Que de belles histoires!...Et tu sais si bien les raconter!

Violette frappa des mains

-'core papa!

Joseph était intrigué de voir sa soeur ,un moment d'hésitation et il frappa aussi des mains tout en riant.

Pailette prit la main d'Henri ,la posant sur son ventre,un léger coup se fit sentir.

-Je crois que notre bébé aime aussi tes histoires.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Que de belles histoires !... Et tu sais si bien les raconter !

- Merci mon amour.

Henri mit toute sa tendresse dans le sourire qu'il lui adressa.

- 'core papa !

- Encore ? Oh la la, mais je ne vais plus avoir de souffle, et puis il faut en garder d'autres pour plus tard, non ?

Lorsque Pailette lui prit la main et la posa sur son ventre, Henri sentit effectivement un petit coup. Il regarda amoureusement son épouse, ému jusqu'au larmes.

Citation:

- Je crois que notre bébé aime aussi tes histoires.

- Bon, alors d'accord, une dernière.
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--Violette.

-Viiii!

Violette s'approcha de son père et se mit contre lui,suivit de Joseph à quatre pattes.

-Une autre papa!

Henri_de_plumaugat

Comment Henri pouvait-il être plus heureux qu'à ce moment-là... Il serra doucement toute sa petite famille contre lui et commença une nouvelle histoire :

L'écureuil court, grimpe. Sans cesse en mouvement, attiré semble-t-il par une odeur, une couleur, un bruit particulier. Gai, insouciant, vif, surprenant.

Le hérisson l'observe souvent. Il constate qu'outre cette tendance à toujours avoir la bougeotte, ce bel animal accumule de la nourriture un peu partout dans la forêt. Que de fruits secs cachés en mille et uns endroits ! La souris profite bien souvent de cette habitude pour se nourrir à peu de frais. Elle aussi observe l'écureuil. Elle s'amuse de son comportement. Contrairement au hérisson, elle ne se torture pas les méninges pour chercher une explication à tant d'agitation et à tant de provisions accumulées.

Le hérisson, peureux, anxieux, s'interroge et interroge les bêtes les plus inoffensives qu'il rencontre. Parmi ses connaissances, il y a le blaireau, celui-là même qui, pour se défendre, trouve moyen d'envoyer aux importuns une odeur pestilentielle. "Dis-moi donc blaireau, pourquoi l'écureuil juge-t-il bon d'accumuler ainsi sa nourriture ? Pourquoi fait-il de telles réserves ?"

"Franchement, je ne me suis jamais posé la question. J'ai bien assez avec mes propres soucis. Je ne m'inquiète pas de ses excentricités. C'est qu'il y en a des êtres bizarres ici. T'es-tu demandé pourquoi le sanglier se roule tellement volontiers dans la boue comme s'il se prélassait dans une eau pure ?" Telle est la réplique empreinte d'une certaine sagesse de blaireau.

"J'ai entendu dire que des bestioles se nichent dans ses poils épais, s'y réchauffent à plaisir, y trottinent, lui occasionnant quelques démangeaisons. Cet être rustre, n'ayant pas l'idée de demander à l'un de nous de lui gratter le dos, apaise ainsi ses démangeaisons. C'est ce qu'on dit et cela me paraît possible."

Mis en confiance, le blaireau ose pousser plus loin la conversation : "Tiens, explique-moi pourquoi tu te roules si souvent en boule, brave hérisson ?"

Le hérisson se confie : "C'est que je suis froussard. Je me protège comme je peux. Ne suis-je pas impressionnant, quand je suis roulé en boule, pareil à une pelote d'aiguilles et d'épingles ?"

"Peut-être que l'écureuil a peur de manquer de nourriture, tu ne crois pas ?" répond le blaireau gêné d'avoir amené le hérisson à livrer un tel secret.

"Je ne le pense pas. Quand on est sympathique comme lui, on doit se trouver facilement des amis en cas de nécessité. Je suis sûr qu'il y en aurait plus d'un, disposé à lui offrir de la nourriture s'il le demandait." Sur cette réflexion, le hérisson demeure pensif. Ô qu'il envie cet écureuil incroyablement beau, joyeux, aimé de tous.

La souris qui a tout entendu et qui se mêle volontiers de ce qui ne la concerne pas, ne résiste pas à la tentation d'intervenir de manière judicieuse. Elle murmure : "Mais hérisson, si cela te préoccupe tant, demande donc à l'écureuil pourquoi il fait de telles provisions qu'il dissimule partout. Il n'est pas farouche pour un sou. Il sera trop heureux de te satisfaire. En plus, tu seras vraiment sûr de la réponse."

"C'est vrai. Demande-lui et informe-nous. Tu as aiguisé notre curiosité, à toi de l'assouvir", repartit le blaireau en riant sous cape. Car peureux comme il l'est, le hérisson osera-t-il un jour interroger le sémillant écureuil ?

Et bien oui, il osa. Et la réponse le laissa pantois : "Je suis tellement distrait mon ami, que j'oublie où je range tout. Alors en multipliant les lieux, il me paraît que j'ai plus de chance de ne jamais rester sur ma faim. Pas la peine de t'inquiéter pour moi. Tu vois, je ne suis pas maigre et je ne manque pas d'énergie. Il faut dire que contrairement à toi, ma nourriture n'est pas constituée de pauvres insectes innocents. Je suis végétarien. Ma nourriture se conserve parfaitement là où je la mets. Ne devrais-tu essayer d'agir comme moi à l'avenir ? Juste pour me plaire davantage !"

Sur ce, le hérisson se roula en boule non parce qu'il se sentait menacé par l'écureuil mais parce qu'il était troublé de ce qu'il avait entendu.
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Saroyane

Assise sans bruit, Saro écoutait avec attention les histoires d'Henry, elle avait l'impression que le temps s'était arrêté juste au bon moment! au moment le plus calme et le plus agréable d'une journée! au moment ou la famille était réunie et heureuse d'être ensemble ... c'était bien!
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Pailettedargent

Pailette,tout en l'écoutant,se souvint de leur petit écureuil...Le début de leur histoire.Elle le regarda,de ce regard qui en disait long sur son amour pour lui.
Joseph s'était endormi contre son papa et Violette avait écouté attentivement l'histoire.

-Papa...Veux un n'hérisson,pis un écun'euil..Plaiiit
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Henri_de_plumaugat

Henri prit doucement dans ses bras son petit bonhomme endormi. Il sentit le regard de son épouse se poser sur lui. Il savait bien qu'elle avait compris le pourquoi du choix de cette histoire. Il la regarda aussi tendrement. Mais il était écrit qu'ils ne pourraient pas se regarder longtemps, Violette les rappela à la réalité.

- Papa... Veux un n'hérisson, pis un écun'euil... Plaiiit !

- Rien que ça... Tu sais, un hérisson c'est plutôt dangereux. Tu as entendu comment il réagit, il se met en boule et devient très piquant. Par contre, pour l'écureuil, on va voir ce qu'on peut faire.
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Pailettedargent

Pailette regarda Violette sauter de joie pour l'écureuil.

-Doucement ma chérie,rien n'est fait...L'écureuil,il faut l'apprivoiser,qu'il est confiance sinon il ne viendra pas.

-Suis gentille moi..

-Oui tu es gentille mais tu n'as pas beaucoup de patience..Et pour le voir près de toi ,il faut de la patience.

Violette fit sa jolie petite moue contrariée,Pailette lui fit un gros bisou sur la joue.
Elle se leva et prit Joseph

-Je vais le coucher,on se retrouve tous au salon,d'accord?!
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Je vais le coucher, on se retrouve tous au salon, d'accord ?!

- D'accord, à tout à l'heure ma chérie.

Il lui donna le petit bonhomme qui dormait si paisiblement, son petit pouce dans la bouche. Il lui fit un baiser sur la joue puis embrassa tendrement son épouse.

- Moi 'si, bisou...

En riant, Henri prit Violette dans ses bras et lui fit un gros baiser sur la joue.

- Jalouse va. Allez, viens, on descend.

Ils descendirent tous les deux. Henri s'assit sur le canapé, Violette sur ses genoux.

- Tu sais, ma grande, si tu veux un petit animal, comme disait maman, il faut être patiente. Il faut d'abord l'apprivoiser, c'est à dire qu'il doit apprendre à te connaître, à t'aimer. Il doit avoir confiance en toi. Après, il faut aussi que tu t'en occupe. Et puis, tu ne pourras pas le garder tout le temps dans la maison car un écureuil ça a besoin de beaucoup d'arbres pour sauter partout et s'amuser.
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--Violette.

Violette écoutait son père

-Moi n'aime les n'écureuils

Elle fit la moue quand son papa lui expliqua qu'il fallait le mettre dehors.

-Pas dehors...A câlin à moi...Pis dodo avec avec moi aussi.

Henri_de_plumaugat

- Pas dehors... A câlin à moi... Pis dodo avec avec moi aussi.

Henri regarda sa petite fille.

- Ma chérie, un animal n'est pas un jouet comme ton nounours, il a besoin d'air, il a besoin de vivre là où il est né, sinon il risque de mourir. Tu pourras lui faire des câlins dehors. Et tu sais, ce qui te rendra heureuse, c'est de le savoir heureux. Quand on aime, le principal ce n'est pas d'être heureux soi-même, c'est de rendre heureux celui qu'on aime, sinon c'est de l'égoïsme, on ne fait que penser à soi. Ton écureuil sera très gentil avec toi et te rendra heureuse si tu cherches à le rendre heureux, lui. Tu comprends ma grande fille ?
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Pailettedargent

Pailette écouta la conversation de loin en souriant,elle voyait que Violette était très attentive à l'explication d'Henri.

-Vi,comprends moi!

Oh oui,c'était sûr,Violette avait bien compris,elle voulait tellement son petit écureuil!
Elle s'approcha d'eux

Et bien,je crois qu'il va falloir que le petit écureuil pointe son nez près de notre arbre mon amour.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Et bien, je crois qu'il va falloir que le petit écureuil pointe son nez près de notre arbre mon amour.

- Ce n'est pas moi que ça va déranger d'y retourner ma chérie, de si doux souvenirs y sont attachés... Quand y allons-nous ?
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Pailettedargent

Nous pourrions y aller demain et....

-Vi vi demain!

Pailette regarda sa fille.

-On ne coupe pas la parole,ce n'est pas poli Violette.

-Pa'don maman

-Donc je disais...On pourrait y aller demain et amèner des noisettes,il m'en reste à la cuisine.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Donc je disais... On pourrait y aller demain et amener des noisettes, il m'en reste à la cuisine.

- Alors c'est bon pour demain, projet adopté à l'unanimité, n'est-ce pas Violette ?

- Est-quoi unimité...?

- Euh... C'est à dire par tout le monde.

Henri l'embrassa sur le front.

- Mais il va falloir être très patiente et ne pas faire de bruit. Tu vas y arriver ? Et puis il ne viendra pas tout de suite, dès la première fois.
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--Violette.

Citation:

Mais il va falloir être très patiente et ne pas faire de bruit. Tu vas y arriver ? Et puis il ne viendra pas tout de suite, dès la première fois

-Vii,vais être pat'ente...Et pis chuuuuut,pas bruit!

Violette était toute excitée d'aller voir l'écureuil,elle ne tenait plus en place.

Henri_de_plumaugat

- Vii, vais être pat'ente... Et pis chuuuuut, pas bruit !

- C'est exactement ça. Bon, si tu le dis, je te crois.

Henri la regarda en souriant puis regarda Pailette. Il lui dit doucement :

- Ce sera une expérience intéressante.
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Pailettedargent

Citation:

- Ce sera une expérience intéressante.

Pailette le regarda et acquisse de la tête,elle se demandait combien de temps Violette allait tenir sans faire de bruit.
Elle s'asseya près d'Henri,lui prenant la main et la posa sur ventre,le bébé bougeait doucement.
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Henri_de_plumaugat

La main sur le ventre de son épouse, Henri sentait le bébé bouger. Ce mystère de la vie est vraiment quelque chose de fascinant et si beau. Un tout petit être qui grandit à l'abri, protégé dans le ventre de sa maman... Henri posa sa tête sur l'épaule de Pailette.

- Merci mon amour.
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Saroyane

En se qui me concerne je n'irais pas voir les animaux, je dois aller visiter des maisons...il est grand temps que je me trouve un chez moi.
elle avait dit ses paroles en se levant avec un air embarrassé, en effet depuis quelques jours elle avait cherché la meilleure façon de leur annoncer son prochain départ...du moins après avoir trouvé une jolie petit maison.
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Pailettedargent

Citation:

- Merci mon amour.

Pailette lui fit un sourire

Citation:

En se qui me concerne je n'irais pas voir les animaux, je dois aller visiter des maisons...il est grand temps que je me trouve un chez moi.

Elle regarda sa cousine dire celà en se levant

-Tu pars?...Mais tu restes à Vannes,hein?!
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Saroyane

Oui, je reste à Vannes mais je suis à la recherche d'une maison, je ne peux pas éternellement vivre à vos crochets et abuser de votre hospitalité.

Mais pour le moment je n'ai encore rien trouvé. Mais rassure toi je ne serais pas bien loin.
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Pailettedargent

T'as pas interet d'etre loin,na mais oh!

Pailette lui fit un sourire

Et tu n'abuses pas de notre hospitalité,tu es et seras toujours la bienvenue ici
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Et tu n'abuses pas de notre hospitalité, tu es et seras toujours la bienvenue ici.

Henri avait écouté les deux cousines, lui même restant occupé à sentir le petit bébé qui grandissait doucement. Cependant, il sortit de son mutisme.

- Pailette a raison, vous êtes toujours la bienvenue.
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Saroyane

Citation:

T'as pas interet d'etre loin,na mais oh

Non, non je reste dans le coin promis, et puis je ne veux pas être loin de vos petits monstres
et puis je serais souvent là, à tel point que tu croiras que j'habite toujours ici

Citation:

vous êtes toujours la bienvenue

Merci mais Je compte bien en abuser encore un peu!
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Henri_de_plumaugat

Henri regarda Pailette :

- Nos petits monstres... Tu crois que c'est de nos enfants qu'elle ose dire une chose pareille ??? Qu'est-ce qu'on lui fait pour avoir osé dire une chose pareille ?
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Pailettedargent

-Houlà...Elle mérite un châtiment corporel!...Style des chatouilles?!...Quand penses tu mon Coeur?

Pailette regarda son époux en souriant,Violette frappa des mains..

-Viiiii,des 'atouilles à Tataaaaaa!!!!!
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Saroyane

Citation:

-Viiiii,des 'atouilles à Tataaaaaa!!!

Non, non, à moi, au secours....

Saro fuya dans la maison à petits pas, elle riait, riait sans pouvoir s'arrêter.
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Henri_de_plumaugat

Citation:

- Houlà... Elle mérite un châtiment corporel !... Style des chatouilles ?!... Quand penses-tu mon Cœur ?

Henri lui rendit son sourire.

- Mais je suis tout à fait d'accord !!! Il faut au moins ça pour lui faire expier cette parole !

Puis, s'adressant à Violette, enthousiaste à l'idée de faire des chatouilles :

- Vas-y ma grande, attrape Tata !
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--Violette.

Citation:

- Vas-y ma grande, attrape Tata !

Violette se mit a courir derrière Saroyane,tout en riant,elle s'accrocha aux habits de sa tata

-T'es 'ttrapée Tata! 'atouilles à toi!

De ses petites mains ,Violette chatouilla Saroyane.

{Utopic}

Ce topic à atteint 50 pages, je le verrouille... Et n'en profitez pas pour me chatouiller.

Vous pouvez en créer un nouveau et ainsi continuer votre RP.

bon jeu
{utopic}
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Parce que l'on ne fait de remarque que par MP...
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Souvenez vous que les RRs sont un jeu...
Alors jouer pour vous divertir.

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[RP] 1 place de la Reine Nathan, chez Henri et Pailette