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[RP – 16 janvier] Cathédrale – Sacre / Coronation

Mariealice
[Au Palais encore]

Elle était fin prête, enfin habillée, coiffée, parée en somme. Un coup d'oeil dans le miroir suivi d'un merci pour celles qui avaient permis ce résultat, ainsi qu'une pensée pour celle qui avait réalisé cette tenue puis elle était sortie de sa chambre pour se diriger vers la sortie du palais pour rejoindre ses com-Pairs et Grands Officiers qui résidaient en ce lieu pour le Sacre.Ne restait plus qu'à se rendre sur place, l'heure à laquelle ils devaient faire leur entrée allait bientôt sonner.

[Dans la Cathédrale]



Comme à chaque fois qu'elle se trouvait devant une cathédrale, Marie leva la tête pour en admirer la hauteur et se sentir petite, humaine en somme. Une profonde inspiration, bâton de Grand Maitre en mains, puis en avant, saluant au passage d'un signe de tête ceux qu'elle reconnaissait, un sourire parfois plus ou moins prononcé suivant les visages, elle remonta lentement jusqu'à la place qu'on lui avait indiqué. Il restait maintenant à attendre que tout le monde soit en place, y compris la Reine et son époux et la cérémonie débuterait.

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Vanwolk
[devant la Maitrise en la Cathédrale de Reims]



Le Grand Chambellan venait de faire signe à Monseigneur Vanwolk, pour lancer les Grandes Orgues, afin de marquer l'entrée des Grands Officiers, des Pairs de France et des Cardinaux de la Sainte Eglise aristotélicienne, ainsi que des clercs officiant en ce jour de sacre en la Cathédrale. C'est d'un geste ferme et ample que Vanwolk arreta les chuchotement au sein des choeurs, pour d'un geste de la main, faire raisonner un Te Deum solennel en guise de Marche de procession pour ces Grands.
L'orgue dans une puissance lanca le premier son qui figea la moitié de l'assemblée, puis les choeur s'éleverent dans les aigus et la Gloire t al Louange de Dieu volait, virvoltait dans les hauteur de la Cathédrale durant la longue procession d'entrée





Aurelien87
[ Dans la Cathédrale ]

Mgr Aurélien se trouvait depuis quelque temps sur le parvis, attendant son tour, comme le prévoyait l'ordo du sacre. Fidèle à son habitude, il n'avait pas cherché à revetir de riches habits rehaussé d'or, mais avait préféré sa bure de Grégorien, sur laquelle il avait passé un surplis brodé. Lorsque les huissiers royaux lui firent signe, il réunit auprès de lui ses deux frères de la Maison Ecclésiastiques pour faire leur entrée. Etant officiants tous les deux, c'est donc naturellement qu'il pouvaient entrer à ses cotés. a son bras, il avait la Secrétaire apostolique Titca de Divonne qui avait en charge sa sacoche dans laquelle se trouvait le sermon qu'il aurrait à prononcer à la cérémonie. La foule étant nombreuse, Mgr Aurélien ne chercha pas à voir s'il y avait quelques connaissances dans l'assistance, ce qui n'aurrait pas manqué. Et c'est solennellement qu'il se rendit jusqu'au fauteuil placé dans le choeur pour prendre sa place d'officiant et d'Archevêque -Grand Aumonier.
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Valnor
[Louvres]

Le Pair aidé de son intendant avait revêtu les atours des grands événements. Dans un silence qui traduisait la tension naturelle que pouvait précéder pareille cérémonie, il laissait à Gontrand le soin de réajuster et vérifier sa bonne tenue. Ce dernier, si loquace à l'accoutumée, était tout à son affaire et d'un simple signe de tête signifia au Pair qu'il était prêt. Son Manteau et les accessoires de ses charges lui paraissaient moins lourd à porter aujourd'hui que l'allocution qu'il allait devoir prononcer, non qu'il était anxieux à l'idée de s'exprimer devant une assemblée, mais surtout qu'il marquerait l'entrée du Royaume de France dans une nouvelle dynamique au travers du Sacre de la Reyne Béatrice.


[Cathédrale de Reims]

Le protocole avait été soigneusement étudié et il n'y avait peu de place pour l'imprévu. Le Primus inter Pares suivait à quelques enjambées le Grand Maître de France. Concentré sur son affaire, il s'autorisa quelques regards sur les personnes présentes, saluant certaines connues d'un discret hochement de tête. Il arriva rapidement à sa place et s'y posta.
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Thomaslatapie
Le jeune hospitalier au septentrion regardais les gens s'amassait et s'assoir dans la cathédrale. Lui vérifié rien qu'avec l'œil que d'arme ne soit dans le seins de la basilique. Comme tous croyant personne ne devait avoir d'arme dans un lieu de sacre, toute fois il y aurait un assassin assez fou pour venir tuer la reyne. Thomas ne lui laissez que quelque minute de vie au vu du nombre de combattant dans la cathédrale.

Le grand hospitalier était vêtit de simple habit hospitalier blanc avec une croix de malte noir sur le cœur. Il avait une simple armure qui lui protégé son épaule et son bras de défense. Le jeune avait son bouclier a la main. Il était cabossé de toute part montrant son age et surtout le peu de richesse qu'avait l'homme. Mais il était fier comme un coq que son bouclier soit si résistant. Quand la cérémonie commencerai il mettrait son bouclier dans son dos et se concentrerai non pas sur le sacre mais sur ce qu'il se passerait autour la main sur la garde de son épée.

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"Ceux qui ont créé les mots croyaient au délire"
Platon

"En deuil d'Aldebbarant d'Ypriex, 6° Grand-Maistre de l'Ordre Royal Hospitalier."
Graoully
Toujours dans le chœur, près de Vanvolk, lorsque la procession se met en place

N'ayant pas été délogé, l'évêque angevin était resté dans le chœur pour écouter les chants de la Maîtrise de la cathédrale dirigés par un bon musicien. Il s'était assis pour mieux se laisser bercer par les voix, se disant qu'il lui faudrait bien bouger pour aller dans la nef avant que la messe ne commence. Le grand-orgue le "réveilla", et il ouvrit alors les yeux. La cathédrale était maintenant pleine, et la procession commençait à remonter la nef. Il était trop tard maintenant pour la redescendre plus vite que eux qui montaient afin d'aller s'asseoir à sa place.
S'il n'avait pas fait exprès de s'attarder autant pour écouter les voix, il ne regrettait pas non plus cela puisqu'il serait aux premières loges pour le sacre, certes relégué au fond du chœur, mais au moins dans cet espace réservé aux clercs. Il se leva, et resta devant la stalle où il était, promenant son regard entre la Maîtrise, le Maître de Chapelle, l'assemblée, et la procession qui remontait.

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Ladyjennet
[Inside the Cathedral of Reims]

As the Princess sat in her appointed place in the Cathedral of Reims, near the King and Queen of England, she reflected on what a truly lovely morning it had so far been. The walk from the accommodations set aside for the English Court had been brisk but refreshing. While other monarchs had chosen carriages or horses for their entrance, the King of England had ordained that his delegation would go on foot. The Princess had discussed this course with the King, wondering if the English Court should not seek to show their grandeur on this particular outing. But, no, the King had said, and wisely so, that it would show the French people the respect of the English if they walked amongst them on this particular day. The Princess had acquiesced to the King’s pronouncement and well did she remember from her time as Regent of England, that the rulers of her kingdom did not fear to go out among the people.

She had strolled behind the King and Queen, walking arm in arm with the Earl Marshal, enjoying the chill, but still warmer, air of France. The Earl Marshal, in his black velvet doublet and breeches, over a suit of red silk, and topped with a cape of black embroidered heavily with gold thread, was nearly as captivating as the architecture past which they walked. The Princess held her composure, but there was a pretty blush upon her fair cheek from the misunderstanding at the hostel for the English, and at the Earl Marshal’s subsequent near proposal of marriage. The Earl Marshal had been mistaken for the Princess’ husband and, fearful of giving insult to the very kind lady who had arranged for their stay, the Princess and the Earl Marshal had decided merely to play the part and say nothing to their hosts about the situation.

As they had entered the cathedral, the Princess had taken in the sight of the large rose window set within the soaring gothic architecture. Her own chapel at Beaumaris Castle had such arches in the chapel tower, and she much admired the delicate carving of the statues and the columns of Reims. But it was the rose window which most charmed the Princess. She had noticed the Earl Marshal, as nervous on this particular occasion as she knew he must be, thoroughly examining the same statues and stained glass as she, and the Princess thought to herself how she simply must commission a drawing of these elements in the cathedral so that she might take them home to her architect in Wales.

They had entered the cathedral behind the King and Queen of England with the Royal Guard arranged about them. The Earl Marshal gently held the fingers of the Princess’ gloved hand in a manner which spoke to all that this woman was his and he was proud to have her at his side.

The Princess had only moments before sat waiting for the beginning of the coronation ceremony and admired her handiwork this day in dressing the Queen. As ever, Queen Cordelia was a vision of loveliness, but, in her guise as Mistress of the Robes, the Princess had commissioned the creation of the embroidered dress which the Queen wore this day, and had lent her the crown which adorned her fiery red tresses. The crown had been in Jennet’s family for many years, once owned by another Queen of England long years ago, and Jennet thought it fitting for Cordelia to also wear it this day.

The Princess, however, wore an entirely new ensemble which had been assembled for this very occasion. Beneath her gown, the Princess wore a chemise which her seamstresses had dubbed the “Chemise of 10,000 Pearls” for its heavy pearlwork upon a ground of silk. Upon her hands, she wore white leather gloves covered with goldwork, upon her feet, beribboned gold silk shoes. Her gown was of ivory silk, covered with gold thread and jeweled at the neckline.



To complete the outfit, a diamond necklace sparkled at her throat, diamond earrings hung glittering from her ears, and, atop her carefully arranged chestnut tresses, a diadem shone brightly, befitting her station as a Princess of England.

Now, only moments before the ceremony began, the Princess turned her head slightly to the Earl Marshal, who was still holding her hand unobtrusively, and smiled at him, the very picture of happiness, as the time for the coronation drew close.


(OOC: Godmod of Barnaby with permission.)

Translation:

[A l'intérieur de la Cathédrale de Reims]


Tandis que la Princesse prenait place sur le siège qu'on lui avait désigné, près du Roi et de la Reine d'Angleterre, elle repensa au très agréable début de journée qu'elle venait de passer. La balade le long du chemin qui menait de l'hôtel mis à disposition de la Cour d'Angleterre jusqu'à la Cathédrale avait été vive mais rafraîchissante. Alors que d'autres souverains avaient choisi attelages ou chevaux pour leur arrivée, le Roi d'Angleterre avait décrété que sa délégation ferait le trajet à pieds. La Princesse avait bien essayé de discuter ce point avec le Roi, se demandant si la Cour ne devait pas chercher à montrer sa grandeur en cette cérémonie particulière. Mais le Souverain a répliqué, avec sagesse, qu'en marchant ainsi parmi le peuple français en ce jour spécial, ils leur montreraient le respect que leur portaient les Anglais. Et la Princesse a alors acquiescé, se souvenant que du temps où elle était Régente d'Angleterre, les gouvernants de son royaume n'avait pas peur de se mêler ainsi à la foule.

Elle avait marché derrière le Roi et la Reine, pendue au bras du Comte Marshal, profitant du climat français qui, bien que frais, restait plus doux que celui de son pays. Le Comte, vêtu d'un doublet et de haut-de-chausses de velours noir, par-dessus une chemise de soie rouge, le tout couvert d'une cape noire lourdement brodée de fils d'or, était presque aussi fascinant que l'architecture des bâtiments près desquels ils passaient. La Princesse gardait la maîtrise d'elle-même, mais une légère rougeur colorait ses joues, tenace conséquence du quiproquo de la veille à l'hôtel des Anglais, et de la presque proposition de mariage du Comte qui en a découlé. En effet, celui-ci avait été pris pour son mari, et ne désirant pas manquer de respect à la charmante Dame qui avait pris soin de leur séjour, la Princesse et le Comte avaient décidé de jouer leur rôle et de ne rien dire de la situation à leurs hôtes.

Lorsque la délégation pénétra dans la Cathédrale, la Princesse fut immédiatement frappée par la grande rosace au milieu de l'architecture gothique en plein essor. Des arcs semblables à ceux qu'elle voyait se trouvait également dans sa chapelle du Château de Beaumaris, et elle admirait la taille des statues et des colonnes de Saint-Remy. Mais c'était la rosace qui la charmait le plus. Elle remarqua le Comte Marshal en pleine admiration, tout comme elle, des mêmes statues et vitraux, et la Princesse se fit la réflexion qu'elle devrait tout simplement commander un dessin de ces éléments de la Cathédrale, qu'elle rapportera à son architecte au pays de Galles.

Ils sont donc entrés dans l'église, derrière le Roi et la Reine d'Angleterre, la Garde royale autour d'eux. Le Comte tenait doucement les doigts gantés de la Princesse, sa façon à lui de dire que cette femme était sienne et qu'il était fier de l'avoir à ses côtés.

La Princesse prit place, attendant que la cérémonie du sacre commence, admirant son travail dans l'habillement de la Reine. Comme toujours, la Reine Cordelia était resplendissante, mais, dans son rôle de Maîtresse des Robes, la Princesse avait commandé la création de la robe brodée que la Souveraine portait en ce jour. Elle lui avait également prêté la couronne qui ornait ses tresses d'un rouge ardent. La couronne était dans la famille de Jennet depuis de très longues années, portée une fois également par une autre Reine d'Angleterre, et la Princesse avait jugé qu'elle irait à merveille à Cordelia aujourd'hui.

La Princesse, elle, était vêtue d'une tenue entièrement nouvelle, spécialement faite pour cette occasion. Sous sa robe, elle portait une chemise que sa couturière avait surnommé la "chemise aux 10.000 perles", à cause de son lourd ornement de perles sur soie. Sur ses mains, elle avait enfilé des gants de cuir blanc finement couverts d'or, et elle portait à ses pieds des chaussures de soie au ruban doré. Sa robe était en soie couleur d'ivoire, recouverte également de fils d'or et ornée de bijoux au niveau du buste.

(photo)

Pour compléter sa tenue, un collier de diamants étincelait à son cou, et des boucles d'oreille également en diamant, pendaient, brillantes, à ses oreilles. Sur ses tresses châtain soigneusement arrangées, elle avait posé un diadème éclatant, honorant son statut de Princesse d'Angleterre.

A quelques minutes du début du couronnement, la Princesse tourna légèrement la tête vers le Comte Marshal, qui lui tenait toujours discrètement la main, et lui sourit, parfaite image du bonheur en cet instant.


Translation courtesy of Baile.
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~Chancellor of the Royal Embassy~Admiral of the Fleet~Mistress of the Robes

CoH-Herald of Arms | RHA | Royal English Navy-Captain | Knights of Saint George | Law Society
Blanche_
Blanche avait quitté la Bretagne depuis quelques mois. Les jours, au début, avaient été bien longs et bien fades, compte tenu des évènements qui l'avaient décidée à partir.
Mais les jours s'étaient transformés en semaines, puis en mois. Et elle était désormais sûre d'avoir fait le bon choix, depuis qu'elle était auprès de Béatrice, ou que la Reine était près d'elle, l'un ou l'autre, l'un et l'autre, cela ne faisait aucune différence.
Elle avait retrouvé, en Bourgogne, les amies les plus pures, et cela, oui, cela allégeait le fardeau d'une vie entamée loin de sa patrie, et de son coeur.

Fort heureusement, de là où Blanche était placée, elle ne voyait ni les nouvelles Altesses, ni le nouveau Roi, et c'était, si un signe divin, au moins une bénédiction due au hasard ; l'aurait-elle supporté, de voir sa déchéance sous le ciel en vitraux de la cathédrale de Reims ? Dans l'état où elle était, la faiblesse et maladie légitime, et le teint plus pâle, quoique encore joli grâce aux travaux des domestiques Wagner, dans l'état où elle était, en fleur fanée, voir s'amuser des boutons à peine éclots, cela aurait été tellement, tellement cruel...
Une personne seulement lui manqua, tandis qu'elle voyait des visages connus.
Maeve, sa Maeve, sa rousse et amie, et soeur et fille aussi, tout cela, celle qu'elle aurait voulu près d'elle avec les autres. Della, et Clémence, cela faisait deux blondes, une brune avec Béatrice, une blonde avec Yolanda, mais pour parfaire la valse des couleurs, il lui fallait une lueur enflammée, une rousse tignasse, un peu folle et démesurée, il lui fallait un peu de Breizh sur son banc et dans sa main, il lui fallait Maeve...
Demain, elle lui écrirait.
En attendant, saisissant l'instant parfait avec Clémence, tandis qu'elle portait une robe, aussi, signée d'Attia, elle sourit en levant la tête vers le ciel, ravie que le moment soit si pur, que le tonnerre en son sein cesse de battre, et que son ventre, soudain se délie.
Elle était calme et posée, et, traits défaits de leur chape de souffrance, elle précisa à Clémence qu'elle n'aurait préféré personne pour assister à cette cérémonie, que "sa" Marquise de l’Épine.

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Riches, tenez bon !
Cordelia
[Inside the Cathedral]

On Viceroy's arm, she lets him lead them to their seats. Her French was very poor, she could not understand most of what was being said, but there was an air of excitement in the room.

She wore an outfit carefully chosen by the Princess. She had chosen right in naming her Mistress of the Robe.



As they walked, she resisted the urge to touch the crown on her head to assure herself it wasn't about to topple off. the Princess had assured her, however, that it would not fall off and that if she knocked it crooked, it was her own fault. She had been beyond delighted when Jennet had unveiled the hierloom for the occasion. Cordelia could do many things, but when it came to finery, she was often like a babe in the woods.



They sit and she takes her husband's hand, a smile upon her face.

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A l'intérieur de la Cathédrale


Accrochée au bras de Viceroy, elle le laisse les mener jusqu'à leur siège respectif. Ne parlant presque pas du tout le Français, elle ne comprenait pas grand chose à ce qui était dit autour d'elle, mais on sentait l'excitation envahissant la Cathédrale.

Elle était vêtue d'une tenue soigneusement choisie par la Princesse. Et elle savait qu'elle avait fait le bon choix en nommant sa Maitresse des Robes.

(photo)

Tout en marchant, elle résista à l'envie de toucher la couronne sur sa tête, pour vérifier qu'elle était bien en place. La Princesse lui avait assuré, cependant, qu'elle ne tomberait pas, et que si elle changeait de position sur sa tête, c'était bien de la faute de la jeune femme. Cordelia avait été ravie lorsque Jennet avait dévoilé l'héritage pour cette occasion. La Reine consort était capable de beaucoup de choses, mais dès qu'il s'agissait de parure, elle était comme un enfant émerveillé.

(photo)

Ils prirent place finalement, et elle se saisit de la main de son mari, un sourire éclairant son visage

Thanks Baile for the translation!
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Queen Consort | Lady High Steward | Viscountess of Beaumaris & Arundel

Jah is great, Beer is good, and People are crazy | 8x Sussex Council | CoH, REN, RHA, Embassy
Axel2fersen
[Sur le parvis encore mais plus pour longtemps ben oui ça va commencer!!]

Une voix connue hélait un nom encore plus connu

Aymeric!

Aymeric!!! Axel se hissa sur la pointe des pieds pour essayer de voir son blanc-bec de cousin. Un petit ourson blanc ca fait toujours son petit effet et en effet le voilà au bras d'une demoiselle qui ne pouvait être que sa soeur se dirigeant vers... madame la rectrice!

Le dame de Roynac avança vers eux consciente qu'elle allait tombée comme un cheveu sur la soupe (à l'ours bien sûr la soupe, ou au castor c'est bien aussi).

Aymeric, chéri!! Elyandre!!

Elle fit aussi alors que tout le monde se retournait une petite révérence à la Dame Desbois. Puis elle les rejoignit et étreignit les jeunes gens sans trop les serrer contre elle ne voulant absolument pas risquer de froisser ou diantre pire de plisser sa robe or et pourpre sublimement découpée dans un tissu chatoyant par la grande Attia.

Quelle joie de vous voir j'ai bien cru que vous n'arriveriez jamais!
Madame auriez-vous vu ma fille? Elle devait venir depuis le collège..

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Joffrey
[dans la cathédrale, noblesse de France]

Jo ne put répondre à sa sœur que déjà les grands ogres se mettaient à jouer.

elle avait pu apercevoir encore quelques personnalités entrer et prendre place , juste avant que s'élève le chant.

Tournant la tête avec le plus de grâce possible ,sans paraître se tortiller , elle admira le cortège.
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Eilinn_melani
[Pendant le placement des invités, chuchotements entre une Goupil et une Salamandre]

Assise au côté de Jehanne Elissa, Eilinn murmurait à voix basse sur les derniers potins de la Cour, et unetelle portait telle toilette, machine elle a dit ça, et il parait que truc a vraiment une très très mauvaise haleine à faire s'évanouir un troupeau de vache.

- "Regarde, Actarius ! Il est beau non ? Mais il semble si mélancolique… J’irais le voir après le sacre, je n’aime pas le voir triste."

- Oui, le Vicomte de Tournel est fort bien vêtu, mais l'organisation a été épique à mettre en place, ainsi je pense qu'il est un peu fatigué par tout cela...

Et encore, ce n'était pas fini, le sacre était à peine entamé.

- "D’ailleurs tu sais ce que m’a dit Mattie, l’autre fois ? Mattie c’est la dame âgée qui vend des œufs sur la place de Montpellier… Et bien elle m’a dit d’arrêter de sourire car ça va abîmer mon visage et plus tard je serais laide. N’importe quoi ! "

- "Mattie dit des sottises, elle ne sourit jamais parce qu'elle a des dents pourries comme une pomme épluchée restée trop longtemps dehors... Tu ne devrais jamais cesser de sourire... Sinon ce ne serait plus vraiment toi !"

- "Aléanore aurait aimé tout comme je suis sûre que de là ou elle est, elle est très touchée de te voir avec sa robe… Parfois, j'aime me dire qu'elle est en Italie."

- "Je pense qu'elle est vraiment en Italie parfois, elle me manque beaucoup..."

- "Rhân sera présent ? Et… Eoghan ? "

Eilinn se rembrunit aux dernières paroles de la rouquine. Voilà bien des noms qu'elle n'avait pas envie d'ouïr ce jour, qui symbolisaient chacun à leur façon son avenir brisé au sein de l'Eglise Aristotélicienne, même si le second n'en était pas directement responsable.

- "Je n'en sais rien, et ..."

Elle manqua prononcer un anathème "qu'ils aillent sur la Lune !", mais se retint, ne soufflant qu'à demi-voix un :


- "Je m'en fiche un peu..."

C'était des paroles bien étonnantes provenant d'Eilinn, qui aimait en général tout le monde, et bien rares étaient ceux qui provoquaient sa colère ou sa haine.

Encore plus bas, elle murmura quelques mots, prenant la main de Jehanne Elissa pour éviter tout réflexe vif de la rouquine.

- "Rhân a refusé que j'entre dans les ordres hier."

Les processions solennelles débutèrent alors et Eilinn se tût, non sans garder la main de Jehanne Elissa dans la sienne.

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Eloin


Extérieur de la cathédrale, juste avant l'arrivée des cardinaux et des pairs


Accompagnée du vice-légat de son ordre, couverte de sa cape doublée de velours qui serait bien utile pour supporter le froid, la capuche rabattue sur ses épaules pour mettre en évidence la coiffe des moniales cisterciennes, Eloin parvint à se frayer un chemin jusqu'aux premiers rangs de la foule, certains des badauds s'écartant avec un respectueux salut à leur égard, d'autres les laissant passer de mauvaise grasce.

La Grande Prieuse glissa ses mains dans les poches de sa vesture et se prépara à l'attente qui serait la leur, comme celle des milliers de curieux les entourant, en attendant que la cérémonie ne suive son cours.

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Héraldique
Bess.scte.merveille
[Sur le Parvis puis entrée dans la Cathédrale ]

Voilà, elle était fin prête. Depuis le matin elle était plutôt excédée d'avoir du trouver tenue qui corresponde aux volontés de Nebisa, tout en restant dans le "portable" selon Bess. Et ça c'est pas une mince affaire. Bref, elle pensait s'en être sortie pas trop mal, arborant la belle soie argent. Nebisa n'avait pas tort, et le magnifique raz de cou agrémenté d'un rubis le plus gros que Bess avait jamais vu rehaussait son teint. Elle n'avait su bien entendu garder sa sempiternelle tresse mais avait réussi à éviter voiles et fanfreluches. Les cheveux relevés, sa couronne de Baronne trônant sur le haut du crâne.

Elle se sentait un peu nue ... pas d'épée à son flanc, le poids lui manque presque. Ses mains libres, et le monde font qu'elle se sent presque menacée, et plus encore ... pas à sa place. Bon si évidemment qu'elle y est mais vous ne la changerez pas n'est ce pas ? Elle leva les yeux sur la cathédrale s'élevant devant elle, cherchant un courage prêt de la quitter, elle ... le Chevalier. Une courte prière, elle inspire un grand coup et se vide l'esprit avant de pénétrer dans l'édifice, fixant un point devant elle, n'osant regarder celles et ceux déjà installés, elle avance, sans penser à ce qu'il pouvait arriver si jamais elle se prenait les pieds dans sa robe, se vautrant à la face de tous dans un bruissement de soie.

Enfin, elle y est arrivé, pas un faux pas, pas de chute, pas de vautrage en règle. Elle prend place en s'autorisant cette fois à esquisser un sourire. Bien ! le plus dur ... enfin presque... est passé.


edit pour balisage

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melior
[cathédrale de Reims]

Il y avait déjà foule, alors pour éviter de commettre un impair, Melior fit le choix de suivre de près Marie Alice et Valnor...comme ça, sûre de ne pas se perdre.
La solennellité de la cathédrale donnait déjà à la cérémonie qui s'amorçait toute sa symbolique : écrin dans lequel serait exposé aux yeux des hommes et du Très Haut le joyau du Royaume de France. Pût-il l'éclairer de ses feux, en faire sa richesse.
Robe de pourpre, rehaussée d'un rubis à son cou, la Duchesse suivait le cortège...jusqu'à sa place.

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Duchesse de Castelmoron d'Albret, Vicomtesse de Beaumont en Périgord
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