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[RP – 16 janvier] Cathédrale – Sacre / Coronation

Fontvell
Posté dans le narthex en compagnie de Julien, Fontvell observait avec attention tout ce beau (et moins beau) monde qui défilait sous ses yeux...Nombre de ses compatriotes et connaissances du Lyonnais-Dauphiné passaient devant lui sans même faire mine de le reconnaitre.
"La peste soit de tous ces emblasonnés...Font moins les fiers en taverne quand ils sont pris de boisson..pfffff..." grommela-t-il tout bas.
Haussement d'épaules puis il se reconcentra sur sa tâche et interrogea du regard son compagnon afin de s'assurer que tout se passait bien de son côté.
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Oksana
L'heure était arrivée où les Grands Officiers et les Pairs avaient reçu le signal d'entrée dans cette cathédrale qu'elle connaissait si bien. C'est vêtue - une fois n'est pas coutume - richement, qu'elle pénétra tout de même impressionnée d'assister à un tel évènement, dans l'immense battisse d'un pas lent et respectueux. Elle rejoint la Grand Maitre de France et Mgr Aurelien déjà installés sur les bancs qui leur étaient réservés.

Elle s'était fait faire pour l'occasion une robe écrue, rehaussée d'arabesques en fil d'or, les insignes de sa charge royales brodées sur son sein gauche, symbole du cœur qu'elle mettait à l'ouvrage, et surtout en guise de remerciement envers Sa Majesté Levan et Armoria pour la confiance qu'ils avaient mis en elle en lui confiant le poste de Surintendante des Finances. Une capeline en fourrure posée sur ses épaules la protégeait de la fraicheur du bâtiment.

Elle salua ses confrères discrètement et pris sa place, attendant le début de la cérémonie.

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Verty
Son Eminence la cardinal de Montfort, avait entendu « l’ordre » qui avait été donné aux paires et aux cardinaux de gagner l’emplacement qui leur était réservé.
Les premiers cardinaux ayant pénétré dans l’édifice, elle se joignit au cortège et entra à son tour.




Sa camériste, avait eut un mal fou à trouver des gans roses assortie au ruban de sa robe se cérémonie.
Elle remonta l’allée centrale jusqu’au chœur qu’elle contourna pour aller se placer dans les stalles réservées aux cardinaux à gauche de celui-ci.

Elle essaya de s’assoir, et comprit très vite que les stalles n’avaient pas été conçues en pensant aux robes de cérémonies des cardinaux.
Elle s’assit comme elle pu et attendit en souriant l’arrivée de Son Eminence Ivrel pour voir comment cette dernière s’en sortirait.

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Tokai
[devant le parvis de la cathédrale]



Tokai avait mis ses plus beaux atours pour se présenter au sacre. Elle espérai ne pas etre en retard. Elle vit ses supérieurs à l' EAF se diriger vers leur place respective. Elle regarda la procession des nobles etétait impretionnée...

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Tully
Le signal fût donné, l'Archevêque fît ouvrir la double-porte de la sacristie, puis entra, tout en beauté, ses plus beaux habits de cérémonie sur le dos, il se mît en route, suivît par ses chanoines, il fît le grand tour, surprise ou pas, il avait décidé de saluer avec des bénédictions la majorité des invités, il parcouru donc la cathédrale dans le sens des aiguilles d'une montre pour terminer en remontant la nef centrale. Une entorse au protocole prévu, il se préparait déjà à l'après cérémonie, quand on viendrait le trouver pour lui dire ses quatre vérités... l'Archevêque se positionna devant l'autel et fît signe à sa suite de se placer à leur place, pour assister les différents intervenants, comme il se devait, apporter des exemplaires du LDV, encensoirs, etc... Puis alors qu'il avait pu capter l'attention de l'auditoire il fît le tour de l'autel pour se placer avec les autres officiants... En attendant la suite de la cérémonie, qui promettait d'être longue... Très longue...
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Petitsuisse
[Dans la cathédrale sur le pourtour des bancs des invités]

Thibaud surveillait la foule qui se pressait sur les bancs qui lui était destiné.
Il remarqua quelques visages qui lui étaient connu, il les salua de la tête préférant rester discret.

L'entré des cortèges protocolaires démarra.

Coup d'œil sur ses frères hospitaliers pour voir si leur attention redoublait de vigilance.

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"En deuil d'Aldebbarant d'Ypriex, 6° Grand-Maistre de l'Ordre Royal Hospitalier."
jake
Le Seigneur d’Hasparren arrivait au bras de la Dame de Montoiron après une bonne nuit de sommeil à leur auberge. Il fût vraiment surpris par le monde sur le parvis attendant qu’on vienne leur permettre d’entrer et de s’installer. Tout avait été préparé et millimétré. Jake préféra rester en retrait car il était toujours paniqué au milieu de la foule. Il avait besoin d’espace et d’air.

Il s’était vêtit de ses atours confectionné Au doigt d’or par Dame Breiz, bien que déçu par les couleurs qu’il n’avait pu changé. Il n’y avait rien à faire, il n’aimait pas le vert.



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Baile
[Dans la Cathédrale - quand la nuit se lie au jour]


Insomniaque de nature, elle n'avait pas rencontré de difficulté à rester alerte en cette nuit de veille, dans la Cathédrale pour certaine, sur la Cathédrale pour d'autres. Mis à part l'enjeu, autrement plus important qu'une révolte ou une prise de château, rien dans l'organisation de cette garde ne différait des innombrables nuits passées sur les remparts des diverses villes du Royaume. Consciente de ses responsabilités envers "ses" filles, elle a passé son temps à circuler entre elles, s'enquérant de la situation, les encourageant de quelques mots ou d'un sourire sincère, échangeant rapidement avec elles, quand le temps semblait s'écouler en une éternité silencieuse, quelques anecdotes de missions passées.

Elle les voyaient à la fois surexcitées, concentrées, et désireuses de mener à bien cette mission. Mais elle savait, pour le vivre régulièrement, que le moment de creux d'une nuit sans sommeil aurait lieu bientôt, au lever du jour, quand l'euphorie de la première étape de la mission serait passée et que tout le monde ou presque, dehors, dormirait encore. Alors, et parce que le dispositif énorme de sécurité mis en place l'y autorisait, elle leur a conseillé d'opérer des roulements pour se reposer un peu, afin d'être les plus vigilantes possible au moment où la Cathédrale accueillerait les premiers invités.

Etre au contact des autres lui permettait de ne pas trop réfléchir. Elle n'était certes plus vraiment inquiète. La courte discussion de la veille avec le Chevalier de Saint-Yriex avait dissipé la tension qu'elle ressentait alors. Sur la même longueur d'onde qu'elle en ce qui concernait leur "travail", Thea savait, même involontairement, calmer par sa raison les craintes irrationnelles d'une Baile parfois trop seule dans sa tête. Cependant, l'idée persistante lui trottait dans l'esprit, qu'un tel rassemblement de nobles et de souverains, qu'une telle cérémonie à enjeu, ne pouvait qu'attirer irrésistiblement les amateurs de coups d'éclat et de dawas perturbateurs. Elle avait mis les Licornes au courant de ses inquiétudes par le biais de l'Auvergnate, elle savait les autres Ordres et Gardes conscients du danger, elle ne pouvait plus qu'attendre et voir venir, maintenant.

Elle s'était machinalement postée non loin d'Alethea, au niveau des places réservées aux Grands Feudataires, Maitres, vassaux d'Ile-de-France etc, quand les premiers invités ont commencé à envahir les lieux, cassant le rythme lent des heures qui s'étaient égrenées en silence. De là, elle voyait toutes les Blanches disséminées dans la Cathédrale. Le visage neutre, elle avait observé toute la noblesse du Royaume ou presque, faire étalage, sciemment ou malgré elle, de ses atours et richesses. Certes, elle n'était pas de ce monde-là, la Baile. Et elle avait cru un jour que c'était "ça" l'ennemi, jusqu'à ce qu'elle réalise une bonne fois pour toutes que ceux-là mêmes qui appelaient le plus fort à les combattre, portaient titres et y tenaient bec, ongles et langue dehors.

Le moule était partout, et les bien-pensants hypocrites des deux côtés. Tout comme les autres, les intéressants à connaître, qu'ils soient gueux, de plus noble extraction, chevaliers ou encore mercenaires... Pensée fugace pour une rasée, combattue en Alençon et que la Baile aurait simplement aimé aimer. Mais malgré les pensées qui défilaient devant ses yeux, le visage restait impassible à mesure que la nef se remplissait. La Blanche reconnaissait bien des visages, et se fit la réflexion que même si la protection de la Reine était la mission première, rien ne devait arriver à aucun des présents... Son regard se reporta sur les Blanches dispersées dans son champ de vision. Elles semblaient toujours aussi concentrées, et la jeune capitaine fut rassurée sur ce point.

Puis elle tourna vivement la tête vers l'entrée lorsqu'une espèce de brouhaha plus sonore que les autres se fit entendre. Elle mit un temps à discerner les armoiries arborées, mais elle finit par reconnaître celles du Royaume d'Outre-Manche. La Garde Royale anglaise fut autorisée à rester derrière le cordon de sécurité*, et lorsque la Roi et sa suite prirent place dans le carré réservé, la Baile laissa échapper une espèce de râle discret qui la fit sortir de l'apnée hyper-tendue dans laquelle elle était tombée. L'arrivée des Souverains anglais rapprochait grandement l'heure à laquelle la Reine Beatritz elle-même allait faire son entrée. Et le visage de la capitaine de l'Ecu vert, de neutre, s'était complètement fermé.

Aussi, lorsqu'elle remarqua Davia qui s'éloignait légèrement de son poste, n'y laissant que deux femmes d'armes, et lorsqu'elle la vit zyeuter l'assemblée une espèce de sourire aux lèvres, elle n'hésita pas une seconde. Marchant à grandes enjambées vers la jeune apprentie, elle lui saisit le bras fermement mais sans violence et la fit reculer vers son poste tout en lui parlant, à voix basse et calme mais qui ne souffrait d'aucune contestation.

Davia, si tu as été placée à ce poste-là, c'est pour une raison précise. Je n'devrais pas te dire que tu ne dois pas le quitter, quelle qu'en soit la raison, sans mon autorisation. C'est compris? Tu ne laisses jamais cette place, ni les femmes d'armes toutes seules...

Elle répéta cette dernière phrase très lentement, et resta un moment à côté de la jeune Tourangelle avant de retourner à son poste d'observation. Les plus longues minutes de sa vie venaient tout juste de commencer, et elle ressentait avec plus de force sur ses épaules encore inexpérimentées, le poids de la responsabilité qui lui incombait.



* y avait pas de consignes pour la garde anglaise et si je dis des bêtises, ben envoyez un mp, je modifierai ^^

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"I have never seen a wild bird feel sorry for itself. A little bird will fall frozen from a bough without ever having felt sorry for itself."
Malone1
[Toujours aux pieds de l'échafaud]

Le temps passait, lentement, les nobles finissaient leur entrée. Et la blonde berrichone avec son air attentif était des plus craquant jusqu' à... jusqu'à ce qu'il se mette à faire un signe de main mais à qui ?! Les émeraudes de la jeune fille, interpelées par la chose, suivirent le regard de son frère hospitalier pour trouver ... la brune du mariage ! Celle vers qui Velden l'avait soudainement tirée, lors des noces de Hugoruth ! Laquelle, bien que cramponnée à un inconnu pour Malone, faisait un superbe sourire à l'hospitalier.
Outrée, et surtout profondément vexée, Malone adopta la moue la plus sérieuse en sa possession, afin de ne surtout pas laisser filtrer la moindre émotion au delà du rouge cuisant de ses joues, et reporta ce fameux regard des plus sérieux sur l'assemblée.
Non loin, les bavardages de ses frères Optat et Mug l'irritèrent bien plus qu'ils ne la divertirent, et une fois de plus, elle se reconcentra sur l'assemblée, non sans avoir jeté un petit regard fâché sur Velden, qui manifestement en plus de faire des petits signes à n'importe quelle brune, se laissait distraire de sa mission. Décidément, en une seconde, tout ce qui lui semblait initialement paisible l'irritait au plus haut point.

Dans l'assemblée, du côté de la noblesse de France, un homme tentait d'attirer l'attention d'on ne sait trop qui, avec des "HEP", des plus indiscrets, et y gagna les foudres oculaires de la jeune hospitalière.

Plus loin, une jeune femme portant la marque des apprenties Dames Blanches, que sa maman avait si longtemps portée, se faisait manifestement rabrouer par une autre Dame Blanche, loin d'être inconnue celle-là. Il faudrait réussir à au moins les saluer. Quelque part, la vision de ces femmes qui avaient si bien démontré leur force lors des recherches de sa maman l'apaisa un petit peu.

Il était temps de redevenir attentive, le Te Deum raisonna soudain, calmant le brouhaha ambiant, mais marquant l'entrée imminente de personnalités d'importance. Et qui dit "personnalités d'importance" dit aussi qu'il était essentiel que nul ne puisse porter atteinte à leur intégrité physique. Le cortège se déroula sans incident notoire, à part un religieux, qui décida de se promener à contre-sens, bénissant une majorité des rangs au passage. Etrange ...

Pour le coup, elle pardonna a ses frères présents auprès d'elle leurs actes si irritants quelques minutes auparavant, pour leur adresser un regard étonné. Qu'étaient-ils censés faire ? L'interrompre, ou le laisser faire ?

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En deuil d'Aldebbarant d'Ypriex, 6° Grand-Maistre de l'Ordre Royal Hospitalier.
Fildais
Pour ceux qui ne connaissent pas ma blonde, elle est folle, ceci expliquant cela !


[Une blonde sur un banc qui se demandait ce qu’elle fichait là !
Pour être précise, dans la zone dévolue aux officiaux royaux entre une Kali et une Teïa, ‘fin j’crois…]



Regard éthéré qui ausculta les alentours, du beau monde, du froufrou, de la plume, voilà ce qui frappa la rétine de la Compostelle. Fildaïs par contre n’avait pas dérogé à la règle, vêtement masculin, mise grise pour grise mine, à croire qu’elle voulait se fondre dans les murs pour passer inaperçue.
Ses yeux entreprirent de remonter un peu, loin de l’exubérance vestimentaire du parterre qui s’agitait sous les voûtes dans le brouhaha qui signait les grandes assemblées bien éduquées.
De toutes apparences, elle était dans une Cathédrale, et si ce n’était pas ça, hé bien c’était vachement ressemblant.
Les premières questions pointèrent narguer les petites voix internes qui semblaient aussi sur le coup de l’interrogation.


-Hum ? Dites les filles ? On est où là ? Qu’es-ce qui se passe ?

Les azurines glissèrent sur sa gauche puis sur sa droite où il lui sembla reconnaître quelques têtes connues… hum ou pas finalement… était-ce Teïa et là Amory, mille excuses c’était pas le chef juste un pilier de l’édifice.

-C’est une réunion de la prévôté parisienne ?
-Dans une cathédrale ??? Non autre chose, d’ailleurs Kali n’est pas là !
-Ben si, juste à côté-là, en robe noi…
-En robe !!!
-Ah ben c’est déguisé alors ? Mais c’est pas très festif de faire ça dans une cathédrale.
-J’vous rappelle juste,
dit une petite voix stricte, que c’est le couronnement de la Reyne…
-…


La blonde cligna un instant des yeux, une mise en évidence cinglante. En soi c’était logique, puisqu’elle y était conviée. Néanmoins quelques zones d’ombres persistaient. Ça n’était pas la première fois que ça lui arrivait, des périodes entières passées à la trappe.
Fildaïs n’avait plus toutes les pièces de la mécanique cérébrale bien huilées, elle avait fêlé le carafon après le décès de son promis, et sérieux la fêlure.
Il fallait dire que la damoiselle, parfois, avait de la peine avec ses cinq personnalités engoncées dans sa caboche, ça laissait moins de place à la raison et sa mémoire défaillait légèrement sous le poids continuel d’avoir cinq voix qui donnaient de leur avis en continu.


-On n’était pas en route pour le Languedoc ?
-Ben si…
-Ben… alors ?
-Ben on ne sait pas…
-‘core un coup d’la numéro cinq…

-Hey même pas vrai, j’y suis pour rien moi ! P’têtre qu’il y a une voix qui prend le pouvoir et qu’on est pas au courant…
-…
, long silence suspicieux.
-Ou pire, une sixième voix qui prendrait le dessus et qui resterait invisible…
-…
, long silence horrifié.
-Invisible-Fild qu’on l’appelerait, la Fildaïs en mode furtif… non mieux Fild-Fantômas mouhahahahaha


Oh misère !
Les azurines de la Compostelle se posèrent sur sa voisine Kali et la jeune femme se plia dans un sourire agréable. Surtout ne pas l’inquiéter, faire comme si tout allait bien, et ne pas lui montrer qu’on est aussi perdu qu’un chaton sans sa mère.
Dans un petit soupir, la jeune femme se dit qu’heureusement personne n’avait accès à toutes les conneries que pouvaient débiter ses entités emmurées dans sa tête, sinon ça serait le premier coche pour le couvent, section « aliénées du bocal ».


-Joli temps pour un couronnement, n’est-ce pas Kali ?

Sourire exquis, conversation météorologique, comportement normal, tout allait bien se dérouler… ‘fin normalement.

-C’est quand que ça commence, fait une petite voix excitée, un brin enfantine.
-C’est quand que ça se termine, j’ai soif !
-Z’avez-vu tous ces beaux mâles… wahoooo !

-LA FERME, numéro cinq !!!

Soupir.
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Frappée par le deuil et de plus en plus cintrée ! [Les voix rouges sont dans sa tête et personne d'autre qu'elle ne peut les entendre]
Kalimalice

[dans la cathédrale assise entre celticdom, la folles et les autres à l’endroit réserver aux officiers royaux ]


Tu es très en beauté Prévôt! Daignerais tu accepter ma compagnie pendant la cérémonie?


En même temps que ces paroles fort agréables à entendre de la part de Celtic celui-ci ce mit à sa gauche .Elle le regarda lui sourit et répliqua

Merci du compliment, comme si une seule fois, j’avais refusé que tu sois auprès de moi bien au contraire .


Les officier du guet se mettait en place .Esther –Adelie la petite nouvelle, Teia tout prés d’elle et bien sure Fidaïs proche du pilier . Ces dernier temps elle préférait l’emmener partout avec elle Dois dire que la pauvre depuis la mort de Mackx le licorneux, elle avait plus toute sa tête ,restée muette pas mal de temps ,maintenant souvent elle divaguait .Tiens qu’est ce que je disais la voila qui reprend un peu pied


-Joli temps pour un couronnement, n’est-ce pas Kali ?

Oui Fil très joli temps .

Pourvu qu’elle reste tranquille pensa t elle .Du coup elle s’approcha de Teia et murmura

Dis tu la surveille la Fildaïs .Qu’elle ne déraille pas.

La cathédrale se remplissait de plus en plus .Du coup elle se demanda si elle allait être assez grande.Les robes faisaient leurs effets sans oublier les pantalons ,les chemises ,les pourpoints et tous le reste .Un vrai défiler de mode .Mon dieu qu'elle avait l'air cruche avec sa petite robe .

Ses yeux maintenant bien accoutumés à la pénombre balayèrent les bancs.
Que de tête connues .Si elle se devait d’aller saluer chacun, elle s’en sortirait pas du coup elle se contentait de sourire et hocher la tête
Hum !!! la duchesse de Normandie, elle irait la bisouiller celle qui faillit être sa belle sœur .Un œil du côtés des ordre royaux des têtes connues, des nouvelles aussi le temps passé ,la vie aussi Des jeunes venaient remplacer ceux qui partaient ou mouraient .
Elle vit sa marraine, mais celle-ci n’était pas avec les blanches .Mais toujours aussi belle la dame des dames.
Cela lui fit un sourire bien longtemps qu’elle n’avait pas vu Nanny ……
Mais bon on s’épanche pas sur sa vie, on est la pour le sacre de la Reyne et on patiente que la cérémonie commence

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Helena.
La Dame de Montoiron arriva sur le parvis de la cathédrale au bras du Seigneur d’Hasparren son fiancé. Bientôt ça serrait au bras de son parrain le Comte Cyphus Garion qu'elle franchirait les lourdes portes de la cathédrale de Poitiers pour s'unir devant le Très Haut pour toujours avec Jake. La belle brunette rougit à ses pensées.

Une immense foule était réunie sur le parvis. Helena sourit cherchant du regard quelques têtes connues.



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Arfast
Arfast était assis avec son épouse parmi les Officiers Royaux. Ils avaient tout de même une belle vue, et il n'enviait pas son frère Thalor, évêque de Beauvais qui était assis un peu plus à l'avant. Bien que le silence fut de mise dans une cathédrale, celle-ci était emplie de brouhaha. La noblesse de France se retrouvait, les cardinaux se saluait et arrivaient en grande pompe. C'était une ambiance amicale et surtout enthousiaste qui était là, à la différence des mendiants, paysans et autres roturiers qui, sur le parvis, se chamaillaient presque pour une meilleure vue.

Le Capitaine Royal vit s'avancer dame Kalimalice, Prévost de Paris.

- Bien le bonjour madame, ravi de vous voir icelieu, je constate que nous serons à proximité.


Se tournant vers son adorée:

- Tu as remarqué ?L'Orléanais est bien représenté ici, la noblesse, le Duc, le chambellan ...
Koyote
[ Dans la cathédrale ]

C'est essoufflé mais présentable - du moins selon les critères qu'il se donnait - que le baron de Chevreuse prit place dans le cortège des Pairs. C'était la première fois qu'il entrait dans l'édifice et avait déjà été impressionné pendant sa station sur le parvis. Les bâtisseurs de Champagne et de Picardie n'avaient pas ménagé leurs efforts pour rendre ces édifices impressionnants.

La tunique et le manteau ainsi que la couronne, qu'il ne revêtait qu'en de très rares occasions, lui donnaient une démarche mal assurée. Pour dire vrai, il ne manqua pas de se prendre à plusieurs reprises les pieds dans un si long manteau, fut-il d'hermine et de vair.

La présence de quelques com-Pairs le rassurait car pour être honnête, peu habitué à participer à ce genre d'événements, il ne savait quelle conduite tenir, si ce n'est afficher cet air pincé que la noblesse affectionnait tant.

Les courants d'air faisaient vaciller les flammes de la nuée de bougies placées pour l'occasion dans le cœur de la nef. Un bâtiment si immense et si lugubre au premier abord revêtait quelque chose d'irréel sous les lux de tous ces bâtons de cires.

La procession commençait...
Akane
[ Parvis de la cathédrale, On attend, on attend…Il suffira d'un signe, un matin ... Ou pas ...]

Tagada tagada voilà les Normands !
Oui on aurait pu dire cela de ce cortège qui s’était séparé en arrivant à la cathédrale, chacun ayant une place bien précise, ils ne pouvaient rester ensemble…
Une fois ses camarades au loin, et alors que certaines personnalités rentraient déjà dans l’édifice religieux, la brune constata qu’il y’avait foule. Pas moyen de saluer des homologues pour le moment visiblement, ce ne serait que partie remise, resterait les festivités pour se faire…

D’un revers de la main, elle chassa un faux pli sur le satin rouge du bas de sa robe, ni vu ni connu, s’assura que sa couronne ne glissait plus – et oui un réajustement de la taille de celle-ci était nécessaire, vu qu’elle se trouvait trop grande… Que voulez vous, elle n’avait pas la grosse tête comme certains nobles qui aimaient se pavaner sans respecter les vraies valeurs de la noblesse, fin de l’aparté... – Tout était parfait… Enfin presque tout, restes droite Tempête…



Sa robe faite de satin, de velours et de dentelle pesait un certain poids, et pour une personne n’affectionnant pas ce genre de tenues, il n’était pas évident de garder un certain équilibre. La couturière avait fait un excellent travail, veillant aussi à respecter l’originalité de sa grâce plus que gracieuse à ce moment là. pour agrémenter le tout, elle portait un fermail incrusté de pierres fines, et un ras de cou en rubis. Elle eut une pensée pour les normands qui ne s’étaient pas déplacés , pour les disparus, et pour ceux qui avaient misé leur confiance en elle, la choisissant il y’a bien des années de cela, comme duchesse… Peut être cela était dû au lieu… Une cathédrale, comme à Bayeux, mais évidemment bien plus grande…

Doucement, et avec un certain port altier, elle se déplaça en veillant à ne pas se prendre les pieds dans les tissus, et se mit en quête des autres chanoines du Saint Chrême avec lesquels elle entrerait. Manque de chance, elle n’aperçut aucune tête connue et vue lors de la réunion préliminaire… Pas de chance, vraiment pas de chance… Maintenant, elle n’avait plus qu’à espérer que Son Éminence Aaron arrive, et ce, le plus rapidement possible, pour regrouper les chanoines…Or, elle détestait attendre, l'impatience la gagnant ainsi qu'une légère appréhension espérant être digne de l'honneur et de la confiance placée en elle pour être garante de valeurs ancestrales…

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Par la justice, la plume, et l'épée !
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