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[RP – 16 janvier] Cathédrale – Sacre / Coronation

Bradbury
[Toujours à l’angle de la Nef et du Transept]

C’est quand tout paraît aller pour le mieux, que des éléments perturbateurs se glissent dans ce qui semble être si bien ordonné.
L’arrivée, dans la Cathédrale, d’un monstre gris à quatre pattes surmonté d’un homme affublé à la mode « pope grec », en avait surprit plus d’un à commencer par les gardes eux-mêmes, qui c’étaient vite repris ; et le monstre n’avait finalement pas atteint la Nef.

Si, elle avait été un moment décontenancée et indécise, entre intervenir et rester à sa place ; elle préféra ne pas s’éloigner, ce pouvait être une diversion après tout, et mieux valait rester attentive, d’autant que les choses avaient été rondement menées et le calme revenu.

Après une petite interruption dans le déroulement de la cérémonie, les portes de la Cathédrale étaient de nouveau ouvertes, et cette fois, on pouvait espérer, que, le prochain évènement serait l’arrivée de la Reyne, forcément…enfin si tout se passait comme prévu !...

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Grande Emissaire Dame Blanche

Flex
Absorbé par les paroles de Angelyque, le jeune vicomte ne s'aperçut même pas qu'elle faisait signe à quelqu'un. Pour lui, la duchesse de Bourgogne ne pouvait s'intéresser qu'à lui, d'ailleurs, tout le monde entier ne pouvait que s'intéresser à lui - sinon quoi ?. Cette pensée le rendait d'autant plus fier lorsque sa cavalière accepta de le prendre sous logis et pitance le temps de son séjour en Bourgogne. Pour rassurer Angelyque il lui glissait :

« - Allons, vous savez bien que je n'ai d'yeux que pour vous. Ho regardez, quelqu'un que je connais... !

Mise à part de connaitre presque tout le monde séant dans la cathédrale, tels que quelques Périgourdins se distinguant par leur verve et l'accent musical, la barbe philosophique du primat de France Odoacre, à la mode grec ; des Guyennois, l'un dans ses pamphlets et sources d'humiliation, d'autre de la beauté d'une Pair par le bleu de la royauté. Mais le borgne avait décidé de s'attacher à la duchesse de Bourgogne aujourd'hui, un caprice pour rien au monde il ne laisserait s'évader.

En marchant en direction des portes qui venaient de s'ouvrir, afin de voir au mieux la reine Béatrice de Castelmaure - son cœur battait la chamade à y songer - Enguerrand chercha un regard approbateur à Angelyque, puis lança au travers de la foule.


Mon écuyer ! Mon écuyer ! Approche vite !


Plus bas à sa cavalière.


Je vais vous présenter quelqu'un de rebondissant, hahaha. »
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Le recueil : Mes étoiles obscures, va paraitre pour le sacre de la Reine de France.
Beatritz
[Sur le parvis, dans le carrosse royal]

Pourra-t-on croire que la Reine n'a rien vu de ce qu'il s'est passé, de l'agitation sous le porche de la Cathédrale ? En tout cas, alors que la voiture hippomobile était arrêtée là, attendant un signe pour que la Reine et son époux en sortissent et s'avançassent dans la travée principale de la Cathédrale.
Il était bien prévu d'attendre un peu, d'attendre le signe. Alors la Reine, malgré son encombrant manteau, malgré ses cheveux si bien coiffés qui, parce qu'ils n'étaient pas noués, pouvaient s'emmêler si elle s'agitait, malgré le corset qui lui serrait la taille et maintenait son dos bien droit... Oui, malgré tout cela, elle laissa aller sa tête sur l'épaule de son époux.

Elle en avait fait, du chemin, à ses côtés, en ces quelques courtes années de vie commune. Il était vieux et reclus, mais il l'aimait. L'aimait-elle ? Son cœur était tout à un autre. Le patriarche von Frayner, Guise, l'avait prise tout de même, sachant très bien cet amour inconditionnel. Il avait pour se consoler l'assurance que le rival jamais n'entreprendrait rien.
Il l'avait portée aux nues, l'avait poussée dans l'ombre, vers le haut, vers l'estrade céleste. S'ils n'étaient pas enchaînés par l'amour, ils l'étaient par un lien au moins aussi fort, l'estime réciproque, le respect, de communes valeurs, elle toute en féminité, lui brut et percutant comme seul un homme sait le faire sans perdre en dignité.
Et de tant de bontés, la jeune Béatrice concevait pour lui quelque affection, largement entretenue par le plaisir tout physique qu'elle avait découvert sous ses caresses. Un jour, peut-être, l'aimerait-elle du plus profond de son cœur.

Pour l'heure, ils étaient à quelques minutes de leur sacre, et elle avait posé sa tête sur l'épaule de Guise. Elle l'ancienne béguine, qui quelques années plus tôt rêvait à peine que son père acceptât qu'elle récupérât la Vicomté de sa mère, ne voulait plus songer au tourbillon de sa vie actuelle. Puisque la contemplation du fond du carrosse n'était d'aucune espèce d'intérêt, elle ferma les yeux, sa main droite, gantée de blanc, posée sur l'avant-bras de son Roi.

Son esprit commençait à s'abandonner dans les prémisses d'un rêve lorsque la porte du carrosse s'ouvrit, signe qu'il était temps d'entrer en scène. Elle se redressa et chercha, sous ses sourcils en bataille, les yeux perçants de Guise. Elle le laissa sortir, car il était vêtu de moins encombrante manière - quoique très élégant.

Elle sortit, sous le ciel gris mais clair de Reims. Et là, elle la vit.
La grosse bête grise, l'éléphant, diagnostiqua-t-elle d'après des dessins et des descriptions qu'elle avait vus et lus. Elle n'aurait jamais imaginé que la bête fût aussi repoussante, d'une peau si terne et craquelée, comme une boue grise qui aurait séché et s'écaillerait au milieu d'un marais asséché.
Du milieu de l'escorte des gardes royaux, du bras de son époux, elle put tout de même distinguer, là, près de la porte qu'on venait d'ouvrir, le Primat de France.

Elle ne comprenait pas tout - la grosse bête, le Primat à la porte - et avant qu'on ne l'eût instruite des événements, elle s'approcha du Primat.


-« Monseigneur de Corinthe ! Nous ne pouvons entrer si vous n'êtes point en place, n'avez-vous pas place de choix dans la messe ? Hâtez-vous, il nous semble que la cérémonie a pris du retard. Puisqu'on nous a appelés, c'est que c'est notre tour de passer par la travée principale. Si vous pouviez vous hâter jusqu'à votre place par une travée de côté, ce serait parfait. »

Et si Béatrice de Castelmaure avait, dès sa première rencontre avec l'archevêque de Rouen quelques semaines auparavant, conçu une défiance pour sa mise négligée et ses manières rustres, jamais elle n'aurait imaginé qu'il y avait un lien entre le Primat et l'éléphant. Mais elle avait commencé à comprendre que son repos sur l'épaule de son époux avait duré plus qu'elle ne croyait, et le temps n'était pas aux palabres. En fin de compte, cela serait peut-être la solution involontaire à ce sac de nœuds diplomatique.

*

The Queen did not see what happened with the elefant. She was quite asleep in the coach on her husband's shoulder. As she stepped on the square of the church, she also did not understand why Odoacre, the Primate of France, was outside. She thought it was a mistake and advised him to get in quick, before anyone explained her this expulsion's reasons. An unwitting great diplomatic measure !

***

[Entrée de la Reine dans la Cathédrale]

Béatrice de Castelmaure et Guise von Frayner entrèrent dans la Cathédrale de Reims, lui à gauche, elle à droite, et tous les deux vêtus d'un bleu luxueux ; le bleu de la Couronne, rebrodé de fleurs de lis en fils d'or.

La Reine avait un large manteau au col d'hermine, enveloppant, asymétrique, fermé à droite par une broche de saphirs en forme de papillon. Sur ses épaules et sa poitrine, par dessus le manteau, reposait le collier de Grand Maître de l'Ordre du Lys, le collier or et diamant. Sa tête aux longs cheveux noirs et ondulés lâchés reposait sur un col haut maintenant son cou bien droit, ce qui ajoutait à sa dignité. Elle portait des gants absolument blancs, brodés chacun d'un B d'argent, sans autre ornement.

Lentement, cérémonieusement, sa main posée sur celle de son époux, levées toutes deux à hauteur d'épaule, Béatrice de Castelmaure avança, pas à pas, s'efforçant de ne point ralentir ni accélérer. Rester de marbre, un demi sourire sur le visage ; le sourire de la sincérité, le sourire de la fierté humble. Elle n'osait regarder sur les côtés qui était venu, si seulement elle pouvait apercevoir des visages connus. Elle ne voyait que le maître autel, devant elle, qu'ils atteignirent bientôt.

Elle s'arrêta, devant l'autel, laissant son époux légèrement en retrait, derrière son épaule gauche.


*

The Queen and the consort King are getting in the Cathedral church with great pomp.
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I sum up in english my messages during the coronation's RP (at the end of each message) for the enjoyment of the foreign readers ^_^
Odoacre
[Audience royale sur le parvis - Ou audience primatiale^^]

Lors de leur première rencontre, la jeune femme était grosse. A présent, une reine se tenait devant lui, accompagnée de soldats pour le moins.... tendus.

Le primat lui lança un regard perçant. Passer par une travée de côté ? Sa première réaction, la plus naturelle, eut été d'exiger que son rang fut respecté un minimum mais la précédente expulsion l'incitait à se faire violence d'une manière à laquelle il n s'habituerait jamais.

Dans le chœur, il serait à nouveau dans une position centrale, à la vue de tous... et il devrait même réciter une prière qu'il détestait, une occasion de montrer comme sa diction et son emphase était la plus belle et comme un Grec savait mieux que quiconque faire honneur à la liturgie.

Le regard de glace, il se fendit donc d'un sourire affable et hocha la tête pour donner son accord.


Le Ciel rencontre la Terre en ce jour glorieux et l'importance vitale de cette opération spirituelle me donnera la force de hâter mon bien vieux corps jusqu'au chœur ma très chère fille en Dieu.

Se tournant vers le jeune cornac

Père Lotx, veuillez-donc me prêter votre épaule pour soutenir ma marche jusqu'au chœur je vous prie.

Et avec un sourire en coin

C'est la reine qui vous l'ordonne !

Puis de se diriger vers les portes ouvertes où tous ces regards attentifs ne manqueraient pas de l'apercevoir dans ses vêtements flamboyants avant qu'il ne prenne une travée de côté...

Avant de franchir le seuil, il lança à Beatritz


Ah j'allais oublier. Après la cérémonie, je tiens à pouvoir remercier tout personnellement l'homme chargé de la protection des lieux.

Il fallait vraiment très bien connaître le vieux Grec pour imaginer ce que pouvait se cacher derrière de telles paroles, quel sort il avait pu imaginer réserver audit Actarius. Et en reprenant sa marche, il avait tout de même accordé un salut à l'homme qu'il imaginait être le roi en titre.

Mon fils.

Toujours transpirant en raison de l'effort précédent, reprenant seulement son souffle comme il fallait, il se mit en marche d'un pas relativement alerte, en tout cas suffisamment rapide pour ne pas se laisser dépasser par le pas majestueux et pompeux qu'on exigeait généralement pour les processions et autres entrées royales...
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Archevêque de Rouen
Siva
[Sur le Parvis,avant d'entrer]

L'Hotel d'Azayes de Reims se trouvait fort heureusement tout a coté de la Cathedrale.Malgré la proximité du lieu,il leur fallu prendre le Carosse,frappé des armes de la famille,pour s'y rendre.Le trajet en fut d'autant plus long,par l'amas de voitures qui faisait route vers le meme endroit.

La petite famille s'etait massée dedans.Charles Antoine etait resté aupres de la nourrice,tandis qu'Onaël veillait sur sa petite soeur.Dans le second carosse,le Cardinal Eveque de Bethleem cheminait avec les Ducs de Carrouges.

Quand ils arriverent,la porte s'ouvrit,et tout le monde descendit.Prenant le bras de son époux,elle remis en place les plis de sa tenue.Celle ci etait empreinte d'une grande sobrieté.La robe avait ete faite blanche,au tissu de qualité,et assez epais pour permettre de proteger du froid.Une houppelande blanche brodée d'or etait posée dessus,et enfin sur ses epaules,reposait une cape doublée de fourrure,frappée de la Croix de sable de Saint Jean,representant l'Ordre Hospitalier dont elle portait fierement les valeurs ancestrale.Seul la ceinture d'ambre qui maintenait le tout et la couronne ducale au tissu velouré imperial qu'elle avait posé sur sa tete faisaient guise d'ornements.
Sa main gantée sur celle de son époux,et ils avancerent sur le parvis.Là,au milieu des convives qui entraient,la Duchesse se separa de son Duc,et de ses enfants,la tristesse dans l'ame,mais le devoir au coeur,pour prendre le bras proposé courtoisement par son Eminence Thomas d'Azayes,afin de rejoindre les rangs des Chanoines.


[Entrée dans la Cathedrale:Cortege de Saint Rhemy et du Saint Chreme]

Aaron ouvrait la marche avec Vincent Diftain.Derriere eux,Cristol de Siarr,portant la sainte ampoule,et enfin ses gardiens suivaient.Jezabel etait de ceux la.Remontant a pas lent l'allée,au coté du Cardinal Eveque de Bethleem,se rejouissant de prolonger sa compagnie si rare,la Vicomtesse jeta un rapide coup d'oeil en passant devant les rangs de la noblesse de france,ou Arman et les siens avaient pris place.

Ce jour,elle ressentait un sentiment melé.Pour la seconde fois de sa vie,indirectement,et involontairement,elle faisait partie de la famille royale.Avant de par sa soeur,épouse de Levan,et a present par sa cousine par alliance.Rapide souvenir du bref echange epistolaire qui lui avait fait decouvrir une personne pleine de fierté pour sa famille,comme elle,et qui lui avait inspiré un profond respect,sans meme la connaitre vraiment.
Marcher aupres des autres Chanoines aussi ravivaient quelques souvenirs.Le dos de Cristol la ramenait des années en arriere,en la Commanderie,ou a Melun,tandis que la silhouette de l'ancien Duc du BA,lui rappelait leurs echanges diplomatique,et quelques voyages.
Le temps de se laisser bercer par ces souvenirs agreables,d'une vie bien pleine,et le petit cortege arriva au bout de son chemin.

Il y eut un petit moment de battement,quand une entrée originale se fit.Rien d'alarmant semblait il,si ce n'est une silhouette imposante,rapidement evacuée.C'est du moins tout ce qu'elle avait vu de l'affaire.
Les Chanoines gagnerent leur place et Siva attendit l'entrée du couple royal,les yeux perdus dans ses souvenirs.

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Ricco
[Sur le parvis à l'entrée de la Reine]

Ricco regardait donc l'animal, le vieux grec, le jeune lotx, le poney et la femme être sorti de la cathédrale.

Ricco regardait le poney rose et la jeune femme. Son visage lui rappelait quelqu'un mais où l'avait-il déjà vue ??
"Était-ce à Bergerac, avec le siège de Falco ?? non pas possible, sinon Dore l'aurait reconnue aussi...
...peut-être l'année suivante ?? ...
... ou bien en Guyenne ou en gascogne ???..."


Sa réflexion s'interrompit quand il vit la porte du carrosse royale s'ouvrir et la Reine sortir.

Droit, inclinaison de la tête au passage de la Reyne et de son époux.

Les portes allaient se refermer de nouveau, et il serait ensuite tranquille pour un certain temps...
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--Yoyoletroll


Du parvis à l'intérieur de la cathédrale

Le chariot royal venait de faire apparition sur le parvis et n'était pas encore arrêté lorsqu'un vieil homme somptueusement vêtu arriva à son tour.

A son côté pendait le ruban écarlate du Grand cordon de l'Ordre de Saint Louis, vestige d'un âge qui par ce sacre allait connaître ses derniers instants.

Sur sa tête reposait la couronne des comtes illustrissimes de Châteauvieux, leur dernier fief, une terre impériale, quelle ironie pour eux, les Médicis de France.

Son pourpoint or aux besans de gueule avait fait se retourner les têtes sur son passage. Il avait marché droit, fier et invincible. L'Histoire s'écrivait aujourd'hui.

La garde royale entourait à présent le chariot. Le vieil homme s'approcha suffisemment pour pouvoir distinguer nettement les silhouettes lourdement vêtues qui étaient encore assises à l'intérieur. Il vit le futur roi descendre, puis la future reine, la future monarque de son royaume bien-aimé. "Point n'est roi qui à Reims n'est oint", se remémora-t-il. Mais cela suffierait-t-il à sauver le royaume ?

Il ne pu arriver avant que le couple royal ait pénétré au sein du vénérable édifice mais qu'à cela ne tienne, il entra à leur suite.

Avisant un garde, il dit :


- La paix soit sur toi, menez-nous aux bancs de la noblesse de France.
Gwenhwyvar
[dans la cathédrale, carré du Lys]

La Reyne et son époux firent leur entrée dans la cathédrale. Gwen se leva immédiatement, et admira la mise de la Reyne, de fort bon goût. Elle était divinement belle, jeune, noble, altière. Elle regarda le collier or et diamant de l'Ordre du Lys et posa machinalement sa main sur son collier orné d'un Saphir. Elle fit une profonde révérence, comme toutes les personnes présentes, faisant une sorte de vague accompagnant le passage du couple royal...
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Gwenhwyvar uí Fergus, Duchesse de Brie, Baronne de Boissy-le-Châtel, Dame de Creil
--Elea.de.marigny


[Dans la cathédrale - Un peu avant l'arrivée de la Reyne et du Roy, puis arrivée de ces derniers. ]

Ce n'était pas donné à tout le monde d'avoir Albine pour cousine, surtout quand cette dernière vous rassurait, et comment mieux rassurer Eléa que de parler de son père ? Son père qui avait porté la Sainte Ampoule, Eléa espérait qu'il lui raconterait la Sainte Ampoule ! Le Marigny way of life et ça, c'était sans doute le mieux !


Un cheval ? Où ça ? Ah oui là !

Eléa se tourna de nouveau et observa ensuite le poney rose, elle se frotta les yeux, persuadée de rêver.

Un poney rose ? Ca existe ? Han j'vais demander à Papa un poney rose !


Eléa était bien une fille et puis un poney noir c'est d'un triste... Et puis Albine qui prend Camille sur ses genoux pour lui montrer le beau spectacle, Eléa sourit et fait une bise à sa nouvelle amie, qui portait une belle robe.

T'es belle.

Albine se présenta et Eléa lui sourit, bien sur qu'elle lui avait parlé d'Albine à l'auberge !! Comment ne pas parler d'Albine voyons ? D'ailleurs le gros cheval gris venait de partir et le poney rose aussi ? Bref, bientôt le calme fut de retour et la Reyne entra avec le Roy, des gens se levait et Eléa en fit de même, mais debout sur le banc.

Albine, Camille ! Relevez-vous, la Reyne arrive ! Elle a une belle robe bleu du Roy et des fils d'or !

Eléa n'en revenait pas, jamais elle n'avait vu de si près une robe si merveilleuse, rien à voir avec les peintures des anciens Roys et Reynes.


Bientôt on va voir Althiof, il va donner une bague à la Reyne.


Le regard plein de fierté, Eléa regardait sa cousine et son amie, elle avait un peu peur quand même, mais la fierté l'emportait, un petit instant de gloire pour la fillette, celui de voir son père approcher la Reyne.

Après il va nous raconter, vous verrez ! Il nous dira tout tout tout !

La cérémonie allait bientôt commencer et Eléa ne voulait pas en perdre une miette. Pas tous les jours que l'on voyait ça !!
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Fille de Korydwen & Althiof.
Soeur de Matthis et Timothée.
Filleule de feu Tonton Azdrine et feue Tata Amadeus.
Un petit faible pour Louis
Angelyque
Angelyque allait répondre à son frère quand la Reyne fit son entrée, elle posa rapidement un doigt sur les lèvres de celui-ci puis se fendit en une profonde révérence et lui murmura rapidement alors que la Souveraine avançait lentement.

Chut..voici la Reyne..regardez comme elle est majestueuse.
Encore heureux que vous n'ayiez d' yeux que pour moi! Vous me presenterez votre écuyer après, j'adore les personnes rebondissantes...elles sont souvent bien plus interessantes que les dindes..plus tard je vous en montrerai deux, si vous saviez comme elles ont tenté de tirer mon duché vers le bas, mais elles sont tombées sur un os avec moi et leurs piailleries n'auront servies qu'à me permettre de conserver le pouvoir, il faudra un jour que je les en remercie...à ma façon...


A aucun moment elle ne lacha sa main.
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Estalabou
Le vieux Duc qui commençait à se sentir mal à l'aide au milieu de toute cette foule sursauta quand toute l'assemblée se mis à chuchoter en même temps... Puis le silence revenu, il pu alors comprendre que le moment arrivait.... La reyne de France faisait son entrée... C'était la première fois qu'il assistait à un sacre et cela le changeait grandement des cérémonies d'allégeance qu'il vivait en province....
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Ladyjennet
[During the incident with the elephant]

The Princess was watching the crowd enter the cathedral, evaluating the clothing of the French noble women to pass the time while the English delegation awaited the beginning of the coronation ceremony. The commotion in the back jerked her from her idle fashion study and caused her eyes to fix on the door of the cathedral. Unable at first to see exactly what was transpiring, she turned to her manservant, Rhys, who was masquerading as a member of the English Royal Guard so as to remain close to the Princess in case of need. The merest gesture of her head towards the source of the uproar was enough to send Rhys discretely walking towards the back, his hand on the sword at his side.

The thing was as big as a house, grey, legs as wide as tree trunks, and upon the beast’s back, Rhys could have sworn he saw the Primate of France. His French was not so good, and the young man could only catch glimpses of the conversation. The French guards wanted the Primate to turn the beast around…it was a threat to the French Court…a threat to the English King and everyone inside…the Primate refused…the guards were stalwart, refused to help the prelate down. So, a war of wills, then, the Welshman surmised. But the beast could be spooked, could rampage at any time, and how in the name of Aristotle would the English Royal Guard protect the King from a rampaging monster?!

Rhys hurried back to the Princess’ side, bowing and making proper obeisance as he passed the nobility and arrived close behind the Princess where he whispered what he had observed in her ear. He described the beast as best he could, startled, but battle hardened, he did not tremble.


“Your Royal Highness, some in the crowd called the beast éléphant," The Welshman pronounced the foreign word as if it might tangle on his tongue and choke him on the way out.

"Elephant…. "the Princess corrected him,"the prelate has ridden here on an elephant." It was a statement of fact, mixed with no small bit of wonder, but the noise of the crowd around the elephant and the prelate was growing, causing the Princess to address the English Royal Guard in a soft voice, just loud enough to carry to the guard but not loud enough to cause a panic. After all, the Princess was accustomed to commanding in times of both peace and war.

"Protect the King !" Jennet ordered and relayed the information to the Earl Marshal as quickly and succintly as possible. She had seen an elephant once, long ago on a trading trip with her father to the continent, much further south than they were now in Reims. She had watched the animal crush the stand of a fruit seller after being startled by a small animal scurrying across its path. Majestic creatures, to be respected and not to be toyed with as an amusement. That the Primate had ridden such a beast here, to a sacred ceremony, was…less than respectful in the Princess’ eyes.

She allowed the Earl Marshal to take charge of the guard, as was his right as chief military leader of England, and focused for a moment on searching the cathedral for anything that might be used as a spear in case things went horribly wrong. After all, Jennet was a practical Princess if nothing else. Settling on a set of lovely standing candelabra with sturdy stems several feet long, she thought that this might possibly be the best that the religious building had to offer in terms of weaponry and decided that it would have to do in case of emergency.

Some time later, the Primate himself came walking into the cathedral as if nothing had happened. The Princess was shocked, to say the least, but she held her tongue. Had this been England, man of the cloth or not, Jennet had a fair idea what would have happened to the man. But, she chided herself, this was not England, nor was it her place to do anything other than to protect her own King and Queen should worse come to worse. Luckily, it appeared that the episode was ending. She politely raised her fan to hide her expression as the French guards escorted the Primate from the building, and the crowd began to calm themselves and continue on with the ceremony.

Jennet rested a hand on the arm of the Earl Marshal to reassure him that all was well, but all the while she wondered if Barnaby, like her, had felt the surge that prefaces a battle, only for a moment, but there beneath the surface nonetheless. So out of place here in this house of Jah, and it was with some degree of difficulty that the Princess eased back in her seat and slowly, ever so slowly, relaxed.


Translation:

[Durant l'incident avec l'éléphant]

La Princesse observait la foule qui entrait dans la Cathédrale, s'amusant à jauger les tenues de la noblesse française, pour patienter jusqu'au début du couronnement. L'incident qui se produisit à l'arrière de l'église la fit sortir de sa contemplation vestimentaire et elle fixa l'entrée de la Cathédrale. Incapable tout d'abord de distinguer ce qui s'y déroulait, elle se tourna vers Rhys, son serviteur particulier, habillé comme un membre de la Garde royale anglaise afin de pouvoir demeurer auprès d'elle en cas de nécessité. Un signe discret de la tête vers l'origine des troubles fut suffisant pour envoyer discrètement Rhys vers l'arrière, main sur le pommeau de l'épée qu'il avait réussi à garder.

La "chose" était aussi grande qu'une maison, grise, les pattes larges comme des troncs d'arbre, et sur son dos, Rhys aurait pu juré avoir reconnu le Primat de France. Sa maîtrise de la langue n'était pas grande, et le jeune homme ne put que saisir quelques bribes de phrases. La Garde française voulait que le Primat fasse faire demi-tour à la bête.. C'était une menace pour la Cour de France... une menace pour le Roi d'Angleterre et pour tout le monde à l'intérieur... Le Primat a refusé... Les gardes restaient inflexibles, refusant d'aider le prélat à descendre. En somme, une guerre de volonté, supposa le Gallois. Mais la bête pouvait être effrayé, et charger à n'importe quel moment. Comment, au nom d'Aristote, la Garde royale anglaise pourrait protéger son Roi d'un animal saccageant tout sur son passage?!

Rhys retourna précipitamment d'où il venait, s'inclinant au passage devant les nobles, et murmura à l'oreille de la Princesse ce qu'il avait observé. Il décrivit du mieux qu'il put la bête, un peu effrayé mais ne tremblant pas.

"Votre Altesse, certains dans la foule appelaient la bête "éléphant"". Le Gallois prononça ce mot étranger du bout de la langue, comme s'il avait pu l'étrangler.

"Eléphant...", corrigea la Princesse, "le Prélat est arrivé jusqu'ici sur un éléphant." C'était un constat, mêlé d'une grande interrogation, mais le brouhaha de la foule autour du Prélat et de la bête augmentait, obligeant la Princesse à s'adresser au Garde anglais d'une voix légèrement plus forte mais encore suffisamment calme pour ne causer aucune panique. Après tout, la Princesse était habituée à commander en temps de guerre comme en temps de paix.

"Protège le Roi!" Jennet lança l'ordre et relaya l'information au Comte Marshal aussi clairement et brièvement que possible. Elle a vu un éléphant une fois, il y a longtemps de cela, lors d'un voyage commercial avec son père sur le continent, beaucoup plus au sud de Reims où ils étaient en ce moment. Elle a vu la bête saccager l'étal d'un vendeur de fruits après avoir été effrayée par un petit animal courant entre ses pattes. C'était des créatures majestueuse, qu'il fallait respecter et non traiter comme des jouets. Que le Primat ait décidé de monter pareille bête pour assister à une cérémonie de sacre était... plus qu'irrespectueux aux yeux de la Princesse.

Elle autorisa le Comte Marshal à prendre en charge la garde, comme il était de son devoir en tant que chef militaire du Royaume, et se concentra un moment sur la recherche d'un quelconque objet pouvant servir de lance dans la Cathédrale, dans le cas où la situation dégénérerait. Le sens pratique de Jennet se mettait en alerte. Avisant un charmant candélabre aux tiges fermes, de plusieurs pieds de long, elle décida que c'était là ce que la bâtisse religieuse avait à offrir de mieux en matière d'armement, et cela ferait l'affaire en cas d'urgence.

Quelques instants plus tard, le Primat de France fit son entrée en la Cathédrale comme si de rien n'était. La Princesse était pour le moins choquée, mais se retient de dire quoi que ce soit. Si cet incident avait eu lieu en Angleterre, homme d'église ou pas, Jennet avait une petite idée de ce qui serait arrivé au prélat... Mais, se morigéna-t-elle, ce n'était pas l'Angleterre, et ce n'était pas son rôle de faire quoi que ce soit d'autre que protéger son Roi et sa Reine si le pire devait avoir lieu. Heureusement, le malencontreux épisode touchait à sa fin. Elle leva poliment son éventail pour cacher l'expression de son visage tandis que la Garde française escortait le Primat, et que la foule se calmait pour que la cérémonie reprenne.

Jennet reposa sa main sur le bras du Comte Marshal pour lui faire sentir que tout allait bien, mais elle se demanda si Barnaby, tout comme elle, avait senti, l'espace d'un instant, cette montée d'adrénaline qui préfigurait un combat, et si incongrue dans cette maison de Dieu... C'est avec quelques difficultés que la Princesse s'adossa de nouveau sur son siège, et se détendit lentement, très lentement.

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~Chancellor of the Royal Embassy~Admiral of the Fleet~Mistress of the Robes

CoH-Herald of Arms | RHA | Royal English Navy-Captain | Knights of Saint George | Law Society
Lanfeust86
Délégation du Bourbonnais Auvergne...


Les nobles du Bourbonnais Auvergne, ou en tout cas une partie, s'étaient rassemblés autour de leur Duc Petitrusse pour se rendre au Sacre de leur future Reyne Beatritz.
Le convoi de carrosses était arrivé en entier malgré la dangerosité des routes et tous pénétrèrent alors dans la Cathédrale de Reims.
Lanfeust, le Chambellan, accompagné de son épouse et de leurs enfants admirèrent le lieu mais il fut abassourdi devant cette marée humaine de nobles, religieux et de gardes.
C'était la première fois qu'il assistait à un sacre et il était vrai qu'un évènement pareil avait fait déplacé beaucoup de monde.

Suivant d'autres nobles auvergnats, ils cherchèrent des places, trouvant encore quelques bancs ou morceaux de bancs pour s'asseoir.
Ce qu'il fallait absolument c'était de la place pour les femmes enceintes, son épouse en faisant partie.
En marchant le long de l'allée centrale, il reconnu sa soeur et ses nièces par alliance qui étaient présentes, Valnor ne devait pas être bien loin.

Peu de temps après c'était un immense capharnaüm qui commença, Odoacre entra dans l'édifice sur le dos d'un animal qui ne venait sûrement pas de France.
Imposant, gris, avec une sorte de tube qui descendait d'entre deux grands yeux...
Il ne savait plus quoi inventer celui-là pour se faire remarquer.
Les enfants étaient plutôt intrigués ce qui était compréhensible.
Plus qu'à attendre maintenant que la garde royale règle le problème pour voir apparaître celle que tous attendent.


Et bien ma chère épouse, cela promet comme sacre.

A peine eut il finit de parler qu'un silence se fit, des chuchotis emplirent ensuite la salle car elle était là, cella qui régnerait sur leur royaume.
Tout le monde s'inclinait à son passage devant chaque rang, voilà bien la seule personne qui pouvait faire incliner tous les nobles de France.
Majestueuse dans ses habits, la future Reyne, Lanfeust scruta également son époux qu'il ne connaissait pas du tout et se demandait d'ailleurs qu'elle serait son titre et sa place au sein d'une monarchie élective.
Passage devant eux, Lanfeust incite ses enfants à faire comme lui et tous s'inclinent.

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Chambellan du Bourbonnais Auvergne
Stephandra
[Parvis...A vie.]

Azurs qui s'écarquillaient au fur à mesure qu'ils approchaient de la Cathédrale, quelle était cette forme sur le parvis? Cette chose énorme grise?

Un animal, elle ne rêvait pô, c'était une bête...Froncement de sourcil, elle en avait eut vu sur des tapisseries ou des peintures mais jamais en vrai. Punaise quel engin! Bon on se reprenait , on se reprenait, images pleins la tête, cet énorme bidule avec un mandibule gigantesque! Arf... Faudrait qu'elle en parle à son époux: "han vous savez quoi j'ai vu un éléphant! Si je vous assure!"

Ce membre si long, si mouvant, étonnant animal, pourtant elle le trouvait plutôt joli, enfin un charme certain...revenons à nos moutons, regard qui délaissa l'animal pour revenir au carrosse Royal..Ce dernier stoppa , lentement en descendit l'époux Royal puis la Reyne.

Stéph était descendu rapidement d'Acamar pour se positionner non loin de ses Majesté; suivant à distance raisonnable, plissa le nez en reconnaissant Odoacre...

Aux mots de Sa Majesté elle comprit qu'il y avait maldonne...Nope lui dites pas que cet animal avait un rapport avec Odoacre? Elle hocha la tête tentant de trouver une certaine ressemblance au Grec et à la bête... Esquisse de sourire, balayage de la main sur sa mèche rebelle afin de remettre ses idées en place, pas le moment de faillir.

Jusque là tout se déroulait bien, fallait que cela dure.
Ils pénétrèrent lentement dans le lieux saint, tous les regards étaient rivés sur le couple Royal, surtout sur la Reyne...Impeccable ainsi elle pu saluer de la tête ses gr, et surveiller au mieux les alentours de sa Majesté.

Stéphandra contourna discrètement l'endroit pour aller prendre place au lieux prévu, murement réfléchit, qui lui offrait excellente visibilité, qui lui permettait en peu de pas d'accéder aux côtés de la Reyne.

Discrètement, la cap se posta, tous les sens en éveil, la récréation était terminée, la vigilance devait à nouveau être le mot d'ordre, elle aurait bien le temps après de papoter de tout cela avec les gr et d'autres...

Minutieusement, elle détailla les personnes présentes, bon nombres ne lui étaient pas inconnues, d'autres totalement par contre... En tous les cas, du beau monde, que de beau monde.

La Reyne était magnifique, vêtue royalement, port de tête impeccable, Stéphandra l'admira, une femme souveraine, et quelle femme...
N'osant à peine imaginer le genre de responsabilités que pouvait engendrer le fait d'être à la tête du Royaume, elle avait déjà bien assez des siennes.

Justement, une des siennes était de veiller à la sécurité de la famille Royale. Rapide relevé des personnes en faction, les licorneux, les blanches, les ge, les hospitaliers, les gr...tout le monde était là et chacun savait ce qu'il avait à faire.

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"Être je peux, paraître ne veux..."
Davia
[Bas-côté nord, un oeil sur la Nef et le Transept]

Et voilà, déjà la Capitaine lui remontait les bretelles... Elle ne pouvait donc pas aller faire mumuse avec Céraphin et taquiner son ami. Elle ne dit mot à la réprimende de Baile. Obéir faisait partie de sa mission en temps que Blanche et la jeune fille ne prenait pas toujours conscience des enjeux liées avec leurs missions.

Elle reprit donc son poste de garde, entourée des deux femmes d'armes. Les cérémonies étaient toujours très longues, sources à la fois d'amusement et d'ennui terrible. Là, c'était l'instant de l'ennui. Elle était contrariée de s'être fait enguirlander par la Capitaine et encore plus contrariée de ne pouvoir aller communiquer avec Céraphin.

Il fallait donc faire bonne figure et continuer. Marchant lentement, de long en large, elle s'occupait en regardant consciencieusement la Nef, le Transept et bien sûr, là où elle se trouvait. Guettant le moindre signe suspect.

Ce sacre ressemblait un peu à une foire. Tout le monde semblait ou endormi, ou très excité. L'atmosphère était de liesse mais aussi légèrement tendue. Les ordres présents redoutaient qu'on attente à la vie de la Reyne.

C'est alors qu'Elle fit son entrée. La Reyne. Davia tourna la tête pour mieux la voir, se rappelant le moment émouvant de son arrivée à la commanderie et des conditions dans lesquelles elle avait mis au monde son fils. Un léger sourire étira les lèvres de la jeune Blanche. Elle l'aimait bien cette Reyne, au moins, elle était proche du peuple et puis, elle n'était pas beaucoup plus vieille qu'elle.

Attentive, elle continua sa garde, chaque pilier, chaque centimètre de "son" bas-côté était scruté, vérifié. La Blanche releva la tête vers les voûtes. Ah tiens, il y avait des Blanches là haut aussi. Elle eut envie de les saluer en gesticulant puis, se ravisa, ça n'était peut-être ni le lieu, ni le moment.

Un soupire sur les lèvres, il fallait prendre son mal en patience et apprécier la cérémonie à sa juste valeur.

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