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[RP – 16 janvier] Cathédrale – Sacre / Coronation

Joffrey
Répartis en deux véhicule , la Duchesse et sa famille suivait de près le carrosse de Clémence. Les chevaux piaffaient dans toute cette cohue et c'est non loin du parvis que les coches s'arrêtèrent.

[ Parvis de la cathédrale, 16 Janvier. ]

Jo descendit la première suivie de sa soeur , son fils, sa fille etc ...

En quelques pas ils rejoignirent la Princesse.

Pour l'occasion, Jo avait revêtu une robe bleu et or à collerette.

un monde fou se pressait vers les portes de la cathédrale.

Faisant signe de tête à droite , à gauche , saluant les personnes de sa connaissance , Jo se faufila auprès de Clémence.

Par Aristode , arriverons nous à entrer ?,
lui murmura t elle en souriant
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Lysesl


Parvis de la cathédrale, 16 janvier.

La soirée de la veille s’était étirée jusqu’aux petites heures du matin et c’est à la fois avec soulagement et avec regret qu’elle avait regagné, avec son mari, la chambre qui leur avait été attribuée. Après une toilette d’usage, elle s’était endormie d’un profond sommeil, fatigue du voyage et de la journée aidant.

Au matin, ce fut l’effervescence de la préparation. Quelle robe mettre ? Elle hésitait encore et toujours, ne pouvant se décider entre les deux tenues choisies pour l’occasion. Elle opta finalement pour la robe de velours bleu garnie de pierres au buste et assortie d’un manteau d’une teinte un peu plus foncée. À son cou, un collier de diamants et sur ses cheveux, un diadème fait de diamants et de pierres précieuses. La simplicité de la robe en faisait toute sa richesse.

Cette fois, ils n’évitèrent pas la cohue et c’est après un court trajet mais d’une durée plutôt longue que le coche s’arrêta finalement devant la cathédrale de Reims à la suite de la voiture de la Princesse Clémence ainsi que de celles de la Duchesse Joffrey. Tak descendit le premier puis l’aida à descendre et c’est à son bras que le couple comtal gravit les marches du parvis. Inutile d’essayer de rejoindre leur hôtesse, la cathédrale était noire de monde. Ils se reverraient sûrement au banquet.

A la porte, son époux annonça l’arrivée de la Comtesse et du Comte de La Ferté-Bernard, prit note de l’endroit qui leur était réservé, et c’est saluant tantôt d’un signe de tête, tantôt d’un sourire, que le couple comtal parvint à leurs places. La longue attente commençait…

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Angel_wittelsbach
[Devant les portes de la cathédrale,16 janvier 1459]

Voilà,désormais ils étaient tous là arrivés à bon port,il est vrai que le jeune Gostoro n'était pas trop doué pour établir des plans,comment avait il pu confondre la cathédrale Saint Jacques et la ville de Saint Jacques de Compostelle ?

Enfin,Angel devant le parvis essaya de se frayer un chemin parmi la foule,d'après un garde royale sa place étant au carré des officiers royaux.Le jeune Secrétaire d'Etat attendit patiemment.Il aurait bien voulu etre dans le carré familial après tout la reyne n'etait elle pas la grand mère de sa petite cousine.Cecilia Von Wittelsbach aurait pu aidé son cousin tout de meme rhalalla cette famille....

Le jeune Von Wittelsbach dépité d'etre seul parmi cette foule passa alors une annonce.


hEU...quelqun voudrait bien m'accompagner au carré des officiers royaux ? Non pas que je me sente seul mais enfin...Erf
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Ricco
[Jour J - à l'entrée de la cathédrale]

Du monde, toujours du monde, rien que du monde... le parvis devenait trop peuplé à son goût ! Ricco commençait à avoir chaud, heureusement que Dore était à ses cotés, Avec elle il arrivait à garder sa sérénité.

Lorsque la Dame de Paradis s'approcha à son tour pour entrer

- Dame Krystel ! lègère inclinaison de la tête Votre place se trouve dans la partie réservée aux officiers royaux, je suppose, dans l'allée centrale sur la droite, derrière les souverains étrangers, et l'Assemblée Episcopale de France

Toujours souriant, toujours calme, il continuait à surveiller la foule qui voulait rentrer et à répondre aux questions.
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Ka_devirieux
[ Après s'être installé...]

Le Ka était donc venu poser son séant là où il se devait dans la cathédrale, si l'on s'en referait au plan au tout devant sur la gauche. Fallait-il qu'il garde sa couronne pour le côté protocolaire où qu'il l'enlève par politesse pour ceux qui étaient derrière lui? C'est que ce grand machin ça prenait de la place et ça pouvait boucher la vue... surtout si tous les autres feudataires du Royaume venaient s'installer sur les mêmes rangées. Quelques instants d'hésitations puis il se dit qu'il verrait bien comment les autres font, en attendant, y'avait quand même encore rien à voir donc il la garderait sur sa tête.

Cette position avait pour lui un avantage et un désavantage...l'avantage? (car commençons par le meilleur) C'était qu'il pouvait très bien voir ce qui se déroulerait pour le Sacre juste devant lui, et qu'il était placé non loin des pairs de France ce qui le laisserait peut-être entrevoir son Oncle. Le désavantage à présent; lui qui aimait bien zyeuter tout ce qui se passait derrière lui, il devait se tortiller comme un vers de terre tant que la cérémonie n'avait pas encore débutée pour y faire.

Le coude jeté sur le dossier de la banquette, la tête tournée vers l'arrière, il sourit voyant que les Lyonnais-Dauphinois étaient présents en plus de ceux qui étaient venus avec lui, il en reconnut plusieurs parmi la foule de personne qui entrait. Enfin il ne les reconnaissait pas dès leur entrée dans la Cathédrale, mais lorsqu'ils s'avançaient un peu, car vu la longueur du machin il aurait fallu des yeux de rapaces pour reconnaître quelqu'un d'un bout à l'autre.

Il guettait également l'arrivée de sa jeune et tendre promise, elle sans doute l'aurait-il reconnu d'aussi loin tant il s'était habitué à la regarder. Il aurait reconnu sa silhouette entre milles. Où s'était t-elle perdue encore? Il porta la main jusqu'à son front espérant ne pas revivre l'épisode des joutes où elle s'était perdue près de la forêt.


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Justine
[Pénétrant dans le lieu saint, sous la lumière magnifique traversant les vitraux]

- Pardon... excusez-moi... pardonnez-moi... oups toutes mes excuses ! Pardon.. pourriez-vous me laisser passer je vous prie ?

Elle écrasait souliers, chausses, bottes, complètement contrite, poussait doucement de ses coudes, rouge de confusion, mais un tel capharnaüm régnait dans le lieu qu'une chatte n'aurait pu y retrouver ses petits, et encore moins une fiancé son Promis ! Les gardes de l'entrée avaient eu le mot de son Tendre et elle leur montra la bague du Gouverneur afin qu'ils la laissent pénétrer les lieux. Un sacre de Reyne se doit d'être parfaitement coordonné, surveillé, programmé, géré, établit, minuté et l'on voyait qu'ils prenaient leur rôle très à coeur. Peut-être craignaient-ils le piloris ?

Où se trouvait donc son Promis... "Sur le devant vous verrez ma douce, tout à fait à gauche... " Alors dans l'immense Cathédrale de Reims, magnifique bâtiment, elle le chercha des yeux sur sa droite, tout devant... La droite... elle regarda la main avec laquelle elle tenait habituellement la plume... ha, déjà ce n'était point le bon côté... tourna la tête à l'opposé et chercha la couronne ducale sous laquelle elle trouverait enfin sa raison de vivre...

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Graoully
Parvis de la cathédrale, 16 janvier

Ayant été réveillé tôt par tous les bruits alentours, l'évêque d'Angers, après avoir fait un tour par les cuisines pour manger quelque peu, monta dans son carrosse épiscopal et rallia comme il le put la place de la cathédrale, coincé dans les embouteillages formés par la file des carrosses et des badauds qui s'y rendaient également.
Descendant, il se fraya un chemin jusqu'à la garde.


Mon fils, l'évêque d'Angers et inquisiteur de la Foi que je suis peut-il entrer ?

Revêtu de ses ornements épiscopaux de cérémonie, il attendit la réponse.


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Aloara
[Le grand jour enfin et un voyage de nouveau sans Lui...]

La nuit passa fort vite au sein de l'Hostel Saint Michel... Elle avait retrouvé les siens pour son plus grand bonheur et surtout son Mini pour son plus grand plaisir... Des retrouvailles pas comme les autres... Car faut dire que depuis leur rencontre, ils ne s'étaient plus quittés...
C'est en compagnie de Vivi que la "Barounette", comme elle s'amusait si bien à dire, se prépara... Une robe qu'elle appréciait plus que toutes les autres allait sortir de sa malle... Et pas n'importe qu'elle robe... Celle qu'elle avait mise en Savoie pour la réception donnée en l'honneur de Clémence...



Faites par des doigts de fée, elle vouait une grande admiration pour cette couturière... Puis montrant le reste des robes, elle pria à Vivi d'en choisir une pour elle aussi et qu'elle ne fut pas son choix lorsqu'elle sortit la robe confectionnée par une personne chère à son coeur... D'un bleu étincellant, elle ne pouvait faire meilleur choix...

Une fois les Demoiselles apprêtées, elles rejoignirent les autres et c'est voyant deux coches prêts à partir, qu'elle se douta que le voyage se ferait encore sans Sa moitié cachée... Enfin, encore un trajet sans Lui mais que de belles retrouvailles sur le parvis de la Cathédrale... Du moins c'est ce qu'elle espérait... Surtout d'être à ses côtés lors de la Cérémonie...

Courte fut la route jusqu'à la Cathédrale et c'est sans dire un mot qu'elle descendit gracieusement du coche... La famille précédait celle des Carpadant et c'est sourire sur les lèvres qu'elle regarda sa Mamou se faufiler près de Clémence... Que de mieux que de laisser les parents ensemble et de se consacrer qu'à Son Mini... Du moins presque...
Jetant un regard sur Killijo, elle voyait bien qu'il n'était jamais loin d'elle... Aussi collant et protecteur que la sève d'un arbre, il allait guetter la Baronne sur le moindre de ses faits et gestes...

Se rapprochant du Vicomte en délicatesse, elle lui glissa à l'oreille :

Je suis contente de vous avoir retrouvé, vous savez...
Bien que j'aurais aimé que cela soit en dehors de toutes cérémonies mais davantage autour d'une ballade...


C'était dit et cela était sincère... Elle revivait la Baronne, et pour sûre que ceux qui la connaissait merveilleusement bien pouvaient le voir au travers de ses petites prunelles scintillantes et ses joues rosies...

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Juliette
[L'intérieur de la Cathédrale]

Reims... elle n'aimait pas. le nom, l'endroit, les gens du coin et encore moins le duché. Imaginez une bourguignonne chez les champi... champenois... non, c'était inqualifiable. Et pour le sacre d'une Reyne, elle était pourtant dans cette ville au côté de son époux. Ce n'était peut-être pas si impossible donc.
Pour cette journée exceptionnelle, elle avait opté pour une robe avec du pourpre - sa couleur préférée - mais aussi et surtout avec de l'azur. Elle portait cette robe occasionnellement et était un peu loin de ses robes provocatrices au décolleté osé.
La Baronne-Duchesse - ou inversement selon les sentiments respectueux que l'on pouvait avoir à son égard - aimait s'habiller. Il n'était pas difficile de comprendre le sens des couleurs. Juliette aimait jouer sur la symbolique.

Estienne ne changeait pas non plus sur ses couleurs vestimentaires de prédilection, le noir notamment. Cependant, les touches de couleurs variaient et celle d'aujourd'hui - le rouge - plaisait évidemment voir amusait beaucoup Juliette. Un symbole encore... un autre.

Aujourd'hui, dans cette cathédrale, elle était plus que ravie de pouvoir assister à une cérémonie royale - avant elle n'avait pas pu - et surtout de paraitre aux côtés d'Estienne, face à toute la noblesse de France. Les Morkar étaient là, peut-être pas au complet mais ils avaient répondu présents. Une Reyne allait être couronnée aujourd'hui. Et même si le fait que cette dernière ait des origines bourguignonnes attisait un peu plus la fierté de Juliette, cette Reyne était le signe d'un changement quelque part dans ce royaume. Un instant comme celui-ci méritait la présence de tous.


Estienne, Quand est ce que cela commence ? Je suis impatiente... voyez vous des connaissances ?
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Val1
Val1 venait de se reposer dans l'auberge attenante, le monde arrivait à la cathédrale pour le sacre, le public commençait à affluer. Les voitures avec armes diverses et variées arrivaient, laissaient les occupants et repartaient. Il arriva de la même manière, la seule différence est que son carrosse n'arborait pas de sceau personnel mais celui des ambassades de France.

Val1 sortit et se dégourdit les jambes. Il vit le parvis plein de monde, il y avait des habits de toutes le couleurs, de tout type.

Il pensait trouver soit Raphael83, en tant qu'accompagnateur de sa majesté, soit Althiof le Grand Prévôt, soit ses collègues du SE ou alors ses collègues ambassadeurs.

Il se joignit à la foule en essayant de reconnaitre du monde voire d'entrer. Ce qui put se faire non sans mal, mais avec beaucoup de diplomatie auprès de gardes à l'entrée.

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[url=http://www.heraldique-europeenne.org]
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Hersent
[Arrivée à Reims -Entrée de la cathédrale- Avant la Cérémonie]

Lorsque le Capitaine Royal Polibe leur avait dit, en caserne, que les Loups avaient obtenu l'insigne honneur de participer à la sécurité du sacre de la Reyne, Hersent n'en avait pas crû ses oreilles. Elle était enthousiaste et en même temps fébrile: cela n'arrivait pas souvent dans une carrière d'avoir le privilège de suivre, comme veilleur, une cérémonie de sacre royal! Elle était fière et son coeur battait la chamade... comme avant une bataille. Elle avait nettoyer de fond en comble son uniforme de lieutenant, consolider son écusson, briquer son bouclier et graisser son épée. Elle avait vérifié son arc et testé ses flèches. Tout était en ordre, prêt à occire le moindre fauteur de trouble.
La petite troupe des Loups avait suivi son CR par les rues grouillantes d'activités et surpeuplée de Reims, capitale royale le temps d'un prestigieux sacre. Il avait fallu jouer des coudes et aussi de menaces pour se frayer un passage dans la foule hurlante, grivoise et joyeuse, prompte à lancer quolibets et plaisanteries douteuses. Puis, ils étaient parvenus sur le parvis de la cathédrale, ce splendide édifice qu'elle ne se lassait jamais d'admirer dès qu'elle passait à proximité. Les gargouilles lui lançaient de terribles regards atténués par la douceur ineffable des anges et des saints. La rosace semblait accueillir la foule des invités, plus prestigieux les uns que les autres, dans une aura multicolore.
Les barons et les princes, en cortège ou en petit groupe, s'engouffraient dans la nef, parés de leurs plus beaux atours et de leur plus belle coiffe. Les dames resplendissaient de brocards, de bijoux, leur chevelure était parsemée de pierres précieuses et se pressaient pour avoir la meilleure place pour savourer le spectacle émouvant et solennel du couronnement de la nouvelle souveraine.
Hersent n'avait pas assez de ses yeux pour tout voir, pour tout admirer tout comme Arthuro qui n'en revenait toujours pas d'être là! ....heureusement, très vite, le Capitaine leur enjoignit de le suivre afin qu'ils prennent leur poste de surveillance. Elle suivit le mouvement, entra dans la cathédrale et aperçut une garde royale qu'elle connaissait bien...Dame Coxynel.
Cette dernière était en grande conversation avec un homme inconnu, arborant une épée...avant qu'on ne puisse dire ouf, le Capitaine rappliqua vers Coxynel et le reste de la troupe ne put que suivre le mouvement. Une sueur froide descendit lentement entre les omoplates de Hersent qui posa sa main sur la garde de son épée, prête à intervenir.
Elle pria pour qu'aucun incident ne vienne entacher le début de la cérémonie. Son Capitaine devenait intraitable dès que l'intégrité d'un certain garde royal semblait être menacée. Hersent, les sens en alerte, scrutait autour d'elle les invités qui ne cessaient d'arriver, écoutant avec attention le moindre bruit insolite. Elle fit signe à Arthuro de regarder aussi autour de lui et au lieutenant Occide de scruter les déambulatoires bondés.
Elle chercha le commandant Sirwiston et le vit qui épiait les faits et gestes des passants. Elle eu la désagréable impression que le temps avait choisi de s'arrêter....elle attendit, les nerfs tendus, les ordres du Capitaine. Elle avait envie que le lieutenant Occide lui glisse discrètement une blague dont il avait le secret mais il était occupé à surveiller les passages annexes.
Esther_adelie
Ses modestes moyens ne lui auraient même pas permis de rivaliser avec la perdante dans ce défilé ultra-chic, cette escalade de mises époustouflantes c’est pourquoi elle avait opté pour la tenue de bon aloi des officiers royaux.

n’arborant qu’une étoile brodée d’or à huit raies, symbole de l'astre polaire, axe du monde soulignée de la devise « Vigilat ut quiescant » qui distingue ceux du guet de Paris.
C’était justice : sans sa fonction, elle n’aurait jamais eu la moindre chance d’être aujourd’hui au cœur de « the place to be »

Sur le parvis, nul ne criait merci.
Les collègues parvenaient, pour le dire simplement et sans bégayer, à une gestion de foule sans usage disproportionné de la force et pour sûr, le modèle méritait d’être exporté.
Elle se laissa canalisée et « rangée » parmi ses pairs cherchant du regard le Sire de Lucas pour protéger, comme toujours la face postérieure de ce dernier
Sirwiston
Sirwiston était arrivé le veille à Reims , il s'était installé dans une petite auberge à la périphérie du bourg, histoire d'être un peu plus tranquille et de mieux se reposer qu'en centre ville ou l'agitation durerait sûrement toute la nuit...

Il était fier de faire parti du détachement des Loups de Champagne qui allait assurer une parti de la sécurité et encore plus d'assister au sacre de la Reyne...Pour ce faire il avait revêtu son plus bel uniforme, arborant fièrement l'insigne des Loups de Champagne.

Tôt le matin, il sortit de l'auberge ; la ville était encore assez calme, certains finissaient de cuver mais tout était encore calme, il rejoignit le Capitaine royal sur le parvis de la cathédrale...

"Mes respect Mon Capitaine, je vous suis"

Il aperçut l'ancienne GES des Loups qui montait la garde également et qui leur fit un petit signe discrêt auquel il répondit aussi discrètement que possible...

Ils s'arrêtèrent devant le garde et attendirent les ordres...
Mug
Mug arriva sur le parvis.
Toutes les personnes présentes semblaient vouloir entrer dans la Cathédrale.
Il cherchait du regard le groupe des Hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem quand son regard fut attiré par une silhouette qu'il reconnaissait sans difficulté.
Il se fraya un chemin à travers la foule, écrasant quelques pieds par ci par là, s'excusant rapidement et continuant son chemin pour arriver près de l'entrée.

Il n'avait pas rêvé, c'était bien Ricco de la Garde Royale, en compagnie de Dame Diorenor, qui filtrait les entrées. Il s'approcha de lui et attendit que leurs regards se croisent.

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"En deuil d'Aldebbarant d'Ypriex, 6° Grand-Maistre de l'Ordre Royal Hospitalier."
Charles_de_valorl
[Sur le parvis]

Arrivé sur le parvis noir de monde, le comte Charles de Valorl chercha du regard des têtes connues.

Soudain il apperçu le sire de Wittelsbach. Il se fraya un chemin dans la foule qui n'était pas si compacte que ça et alla à sa rencontre.


- Messire Angel v. Wittelsbach, quelle joie de vous voir ici !
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