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[RP – 16 janvier] Cathédrale – Sacre / Coronation

Terwagne_mericourt
[Intérieur de la Cathédrale, début de la nef :]

La beauté indescriptible des lieux la sortit un instant de son mal-être, mal-être qu'elle éprouvait depuis qu'elle s'était rendue compte à quel point la proposition qu'elle avait faite au sieur Hermance de lui servir d'accompagnateur pour rejoindre sa place était maladroite et irréfléchie... Enfin, ça n'était pas de sa faute non plus, ou alors si peu... Elle était persuadée que cet homme était un noble du Lyonnais-Dauphiné, tant elle avait entendu souvent parler de lui en bien des endroits différents.

Et là, maintenant, elle s'en voulait, se disant qu'elle n'était plus du tout certaine qu'on le laisserait s'avancer avec elle jusqu'aux rangées où elle-même était autorisée à s'installer, celles des Officiers royaux.

Sa main légèrement crispée sur son bras, elle faisait exprès de ralentir leur marche, espérant que la réponse à ses doutes tombe de la voûte sans doute... Terwagne Méricourt, quelle idiote tu fais parfois!

Enfin, avec un peu de chance elle repérerait le Baron de Serves avant d'arriver à la "limite" tracée dans la Cathédrale et en profiterait pour lui présenter celui qui se tenait à ses côtés.

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Arthuro
[Sur le chemin de la Cathédrale]

Vous avez déjà vu une petit enfant dans un magasin de sucrerie ? Bien si vous voyez la tableau : surexcitation, sautillement, énorme sourire sur le visage et les yeux ronds. Il tentait de regarder le plus de chose possible pour ensuite allez se pavaner devant ses camarade de la caserne pour leur raconter en grossissant bien 200 fois la chose. Il collait aux bottes du CR, ne le lâchant pas d’une semelle surtout lorsqu’il avait fallut se faufiler à travers la foule.

[Dans la Cathédrale - à l’entrée]

Une fois dans la Cathédrale, sa bouche s’ouvrit … s’était le première fois qu’il y mettait les pieds. Il tourna la tête dans tous les sens puis voyant que le Lieutenant Hersent et le CR étaient plus que sérieux, il reprit une air plus mature. Il eut cru que sa épaule allait se démettre quand le CR le bouscula … qu’avait il vu ? Il le suivit comme Hersent et Occide.

Ils stoppèrent devant un homme qui menaçait une visage familière. Il regarda le CR et copia son attitude en mettant sa main sur son épée aussi. Arthur resta derrière l’homme attendant un signe ou une parole du CR pour intervenir, les doigts le démangeaient.

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Killijo_de_denere
Killijo avait accompagné sa mère, sa tante, sa soeur, sa fille, pour être sûr qu'elles étaient en de bonnes mains, et de surveiller que personne ne viendrait les importuner. Il était aussi heureux de revoir son amie Vivi qui semblait s'être bien remise de l'attaque qu'elle avait subie. Il suivit sa mère sans un mot, attendant la suite de l'évènement.
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Chez moi
Elainedetroy
[Entrée de la cathédrale]


- N'oubliez pas mes leçons, mes Damoiselles. Tenez-vous noblement pour faire honneur à votre père, le Primus Inter Pares, Valnor de Lande Morte, Comte d'Aubeterre. Et faire aussi honneur à votre nouveau blason.

Elayne et ses deux belles-filles, Mahaut de Nabinaud et Orkaange de Bors, suivaient lentement la foule des nobles qui s'avançait vers l'entrée de la cathédrale. Chacun était contrôlé par des gardes qui avaient à coeur la sécurité de la Reyne.

- Admirez, mes Damoiselles, toute la noblesse du Royaume de France et des Royaumes alentours. Vous ne reverrez tel spectacle de sitôt. Okaange, tenez-vous droite ! Mahaut, ne poussez point votre soeur ! De la dignité dans la démarche. De la noblesse dans le port de tête. N'oubliez point de sourire et de saluer. Mais toujours avec parcimonie. Point d'exclamations. Point de cris. Tout doit vous sembler naturel.

Mais Elayne elle-même était admirative devant tant de luxe et de splendeurs.
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Ricco
[entrée de la cathédrale... encore et toujours ]

Ricco en finissait avec la Dame de Paradis qu'il se voyait déjà accoster par quelqu'un

-Mon fils, l'évêque d'Angers et inquisiteur de la Foi que je suis peut-il entrer ?

Ricco inclina à nouveau la tête ne signe de salut !


- Mon Seigneur ! Si vous voulez bien vous donner la peine !


Ricco fît un pas de coté laissant le passage à l'évêque. En se bougeant, il aperçu une tête qui lui fit un tirer un sourire.

Mug est dans la place ! Mais vient-il pour escorter le comte ou bien épauler les hospitaliers ? pensa-t-il.

Un petit signe de la main car parler actuellement eu été impossible tant le monde commençait à arriver et la surveillance devenait de pus en plus difficile. Ensuite un autre signe pour montrer une direction dans laquelle il espérait que son ami voit les autres hospitaliers.
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Vanwolk
[durant l'entrée des Invités dans la Cathédrale]



Tapant sur son pupitre :

Allons ! Allons un peu de calme, nous allons reprendre quelques chants pour échauffer nos voix et harmoniser les instrument

en levant les deux mains devant lui, Monseigneur vanwolk obtenait le silence des choeurs,a pres un rapide regard vers l'orgue, il lanca la mesure et les premières notes et voix s'éleverent dans la Choeur, puis dans l'ensemble des la Cathédrale ! "Peuple criez de Joie" voilà que cette phrase raisonnait dans les voutes et les colonne de la magistrale cathédrale de Reims .
Alexandre*
Le Premier Huissier Royal ne vit pas le petit bonbon rose se faufiler pour voir la Reyne que déjà le Maistre de Cérémonie était intervenu.

Déjà un homme se présenta à lui en déclinant son identité

Arfast de Riveroy, Seigneur du Rouvray et Capitaine Royal

Alexandre lui indiqua là ou il devait se trouver

Capitaine, vous êtes placés au troisième rang sur votre droite derrière les membres de l'Assemblée épiscopale.

De plus en plus de personnes arrivaient dans tous les sens, et il était difficile de placer tout le monde. Il se demanda ou était passé ses huissiers, surement y aurait il une petite mise au point à faire.

Des Officiers Royaux, des Nobles, des Feudataires tout le monde voulait trouver place avant que la cathédrale soit complètement pleine. Les Dames portaient de magnifiques robes faites surement pour l'occasion pendant que les Messires arboraient leurs plus beaux costumes aux couleurs chatoyantes, ornés parfois d'insigne lorsqu'ils ne portaient pas couronne

Un évèque se présenta à lui, nul doute vu la façon dont il était vétu.


Je suis Monseigneur Thalor de Riveroy, évêque de Beauvais et membre de l'Assemblée épiscopale de France. Rassurez-moi, il s'agit bien du deuxième rang à gauche ?


Bonjour Monseigneur, en effet vous trouverez place au second rang sur la droite dans l'allée centrale. Je vous souhaite une bonne cérémonie.

Et un de plus qui aurait une place.

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Jay64
[Aux portes de la cathédrale]

Le parvis était derrière eux. Hermance avait eu le temps de contempler les détails extérieur de la cathédrale pendant l'instant ou il était sur le parvis en compagnie de Terwagne. Maintenant il avançait lentement vers les portes de la cathédrale. D'autre personnes accompagné, ou bien seul, franchissaient les portes pour arriver à la nef.

Ils avançaient lentement, découvrant tous deux les détails de la cathédrale de Reims. Hermance sentit que la personne qu'il accompagné ralentissait le pas, encore un peu plus.
Il était heureux d’être ici présent. De vivre cela au moins une fois dans sa vie, qui était pour l'instant remplit que d'une vie de soldat.

Le sénéchal ne voulait pas perturbée le "silence" qui s’était installer entre Terwagne et lui. Laissant la magie de l'instant prendre le pas sur toute les pensées qu'il pouvait avoir.

Son premier Sacre. Quand soudain une harmonieuse musique s’éleva dans la cathédrale.

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Riwenn


Le Duc voulait faire les choses de la meilleure des manières mais voilà que l'on lui "sautait dessus". Il voulait simplement savoir ce qu'il devait faire de son arme.

Sir,posée cette épée rien ne sert de la menacer, si vous avez l'autorisation vous pouvez la garder.Mais si vous avez aucune autorisation je vous demande de la ranger dans son fourreau et de nous la laisser jusqu'à la fin de la cérémonie ou d'aller la déposer dans votre chambre d'hôtel.

Bah oui mais non, il n'avait pas d'autorisation ! Il lui tendait simplement l'arme à cette jeune femme. Cela ne l'aurait pas estonné de la part d'une femme d'interpréter cela comme une menace. Oui, en effet, il est très féminin d'interpréter une choses à double sens de la plus mauvaise manière. Enfin là il s'agissait d'un homme. Et puis il avait respondu à la question que Riwenn se posait. Un mal pour un bien donc. Donostiri n'eut point le temps d'agir qu'un autre homme jaillit.

Rangez cela … Menacer un Garde Royal ? Si vous ne reprenez pas vos esprits rapidement, nous vous mettrons dehors alors que la Cérémonie n’est pas commencer

Encore "menacer". Les gardes de la cérémonie avaient-ils tous une part de féminin ?

Reprendre nos esprits ? nous savons estre parfois perturbé, mais de là à perdre nos esprits, il y a une sacrée marge. Nous sommes noble, duc qui plus est, nous n'allons point chercher à agresser qui que ce soit un jour tel qu'huy, ce serait perdre nostre fief bien stupidement. Nous ne faisions que tendre nostre espée à ce garde afin qu'elle la conserve avec elle, car nous n'avons eu autorisation à garder arme. Se plier aux règles serait-il devenu un mal ?

Il souriait légèrement tout au long de son discours, et pour corriger ce qui fut pris comme une attaque, il retourna son glaive et tendit le pommeau à la jeune femme alors qu'il respondait.

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Héraldique européenne
Alatariel
Le sacre. Enfin, on y était. Ces derniers jours avaient épuisants pour l’angevine restée au service de la nouvelle Reine. Préparer la reine pour son Sacre serait très probablement la dernière grande chose qu’elle ferait pour la royauté… Elle n’était plus que l’ombre d’elle-même. De couturière far, elle était devenue simple Grand Maitre de la Garde Robe. Finalement, il était difficile de tolérer l’ombre d’une gitane lorsqu’on a été seul à avoir une place au soleil pendant si longtemps.
Car la Grand Maître de la Garde Robe avait commencé son service pour la Royauté alors que la Reine Victoire était encore en vie. Cela commençait à faire.

Les abords de la Cathédrale étaient noirs de monde. Le convoi des gens de la Maison du Roy eut des difficultés à se frayer un chemin du palais épiscopale jusqu’au parvis.
Sautant du palefroi blanc, harnaché de vert et de blanc, Alatariel gravit les marches à pas lents, mesurés, comme si le poids des années l’extrayait de l’agitation environnante.

Remontant progressivement la nef, l’angevine observa ceux qui l’entouraient. Le nombre de femme qui étaient vêtus par Attia la fit frissonner. La gitane allait devenir au moins aussi célèbre qu’elle, si ce n’était pas déjà le cas…
Parce qu’elle voulait se démarquer fortement de la nouvelle Maître Couturière, l’angevine avait choisit de laisser la mode anglaise aux grandes dames, et avait repris une tenue toute classique.
Cotte, mantel, guimpe et voile. La richesse de la tenue ne tenait alors plus qu’à l’art de la maître des couturières.


Et puis, cela avait le net avantage de cacher les années qui avaient élargi la taille de l'angevine ...
Parce qu’elle faisait parti de la maison de la reine, l’angevine savait fort bien ou se placer. Enfin, non, il y avait deux endroits où elle pouvait se positionner. Soit avec les officiers soit avec les récipiendaires de l’ordre du Lys… Alexandre tranchera. Avisant le Premier Huissier, l’angevine redevint angevine et son pas fut léger et rapide.


- Le Bonjour, Alexandre. Dois-je me placer avec les officiers de Sa Majesté ou bien avec récipiendaires de l’ordre du Lys ?

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Graoully
[Dans la cathédrale]

Un garde s'étant effacé pour lui permettre l'entrée, l'abbé entra après l'avoir remercié.


Merci mon fils, bonne garde !


Il découvrit alors la nef, tout en cherchant la place qu'auraient les évêques de France dans la cathédrale. Les clercs n'ayant rien à faire durant la cérémonie étaient bannis du chœur, et cela, l'évêque avait eu du mal à le digérer. Ne pouvant toutefois rien faire, et ne comptant pas s'asseoir pour l'instant, il gravit les degrés du choeur, lieu réservé au clergé, et alla voir son frère Vanvolk qui dirigeait la maîtrise. Avant que le chant ne commence, il lui glissa.

Bonjour mon frère, je me réjouis de vous voir, et de pouvoir admirer le travail que vous avez dû accomplir avec la maîtrise que vous dirigez. Je ne m'y entends que peu à la lecture de ce que l'on appelle les partitions, et si j'osais, quand vous aurez le temps, je vous demanderais volontiers de m'initier à la lecture de ces curieux morceaux de parchemin.
Mais faites donc votre travail pour le moment, que mes oreilles puissent écouter la beauté des chants que vous avez choisis !

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Vanwolk
[dans la cathédrale]

Mgr Vanwolk qui battait la mesure et fesait répeter les cantiques et louange de la cérémonie vit son frère éveque Graoully venir vers lui, il inclina la tete en guise de salut .

Ca serait avec plaisir mon frère ! Je souhaite un bon office
Angel_wittelsbach
[A l'entrée de l'Eglise]

Soudain,le jeune Von Wittelsbach entendit une voix qui lui était familière.Il se retourna donc et scruta la foule,manque de chance allant dans le sens contraire,il ne pouvait que se faire piétiner les pieds

Aieuuu!!!Rhooo mais faictes attention!!!Mais....Youhouuu...Sire de Valorl ?Je ne vous vois pas!aiiEUUU!
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Coxynel
La foule arrivait encore et toujours... La noblesse du Royaume avait sorti de bien belle vêture pour l'occasion... rivalisant de beauté les unes des autres! Coxynel surveillait toujours, bien évidemment, elle était là pour ça et non pour passer des vacances.

La foule se densifiait un peu plus et c'est alors qu'un homme fit son entrée et caressa de son épée la gorge de la jeune femme. Elle fut d'abord un peu surprise de la réaction de la tête couronnée qui lui faisait face puis la situation l'amusa. L'homme n'avait pas froid aux yeux, les armes étaient proscrites dans la cathédrale et ce dernier, plutôt que de tenter de la dissimuler, se baladait avec ouvertement... genre "ouh ouh regardez, j'ai mon épée".

La jeune femme réprima un sourire d'autant plus que ses petits camarades n'avaient pas trop apprécié la blague et se tenaient sur leurs gardes. Coxynel prit alors la parole.

Du calme, ce n'est rien...

Puis avisant la couronne qui reposait sur la tête de l'homme à l'épée, elle lui dit.

Votre Grâce, hésite à faire une blagounette du style "Voyons votre Grâce, on ne fait pas du charme à une femme en lui chatouillant le cou avec une épée!!" mais elle se ravise, ça ne se fait pas et elle ne connait pas le messire en question sans compter qu'il pourrait mal le prendre... Elle reprit donc avec le sourire. Votre Grâce, je vous demanderais de ranger cette belle arme dans son fourreau afin de ne pas l'abimer, s'il vous plait...

Coxynel prit l'arme que lui tendait le duc et la plaça dans la malle qui se trouvait derrière elle.

Là voilà bien en sécurité votre Grâce, je vous la restituerais en fin de cérémonie. Je vais en prendre soin, promis! Je vous laisse aller vous assoir si vous le voulez bien... Il ne faudrait pas trop laisser patienter les gens derrière vous.

Elle lui adressa un sourire et l'invita à avancer afin que la foule à l'entrée puisse elle aussi aller s'assoir.
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Uriel
Il avait logé dans un hôtel quelconque ... euh non, pas tant que ça, c'était celui de la famille Melani, aux cuisines aussi fournies que celles d'un castel.
Levé bien avant l'aurore, il avait eu le privilège de dormir quelques heures, non pas comme les gardes qui avaient du surveiller la cathédrale, afin d'en éloigner les curieux et autres badauds.
La journée allait être rude et dure, de nombreuses personnes allaient ce jour fouler le sol de l'édifice sacré, il faudrait que chacun prenne place, les nobles par ici, les clercs par là, les ambassadeurs ailleurs, ...

Prenant quelques minutes supplémentaires pour s'habiller, il termina d'enfiler sa tenue blanche, liserée d'or, avec les insignes de la Garde Épiscopale. Enfilant alors ses bottes, impeccablement cirée, il attacha alors son épée à sa ceinture.
L'arme n'avait pas servi depuis longtemps. Pas vraiment l'envie, ni l'occasion de la sortir et plût à Dieu qu'elle reste dans son fourreau.

Le soleil n'était pas encore levé lorsqu'il quitta la bâtisse et à cette heure, il y avait bien peu de personnes dans les rues. Arrivé près de la Cathédrale, les gardes épiscopaux et royaux reconnurent la blondeur de ses cheveux coiffés ... hum ... en épi ?
Il les salua, prit de leur nouvelle, renvoya l'un ou l'autre de ses subalternes et pénétra enfin dans le lieu sacré. Rapidement, il retrouva la Capitaine Stephandra, chargée de la coordination. Il se remémorèrent les directives et la place de chacune des personnes qu'ils avaient désigné la veille.

Uriel en profita pour inspecter le choeur ; en tant que clerc, il avait aussi tout latitude pour ce faire. Il s'agenouilla pour réciter une silencieuse prière au Très-Haut.

Et là ... la foule arriva, il en reconnût un certain nombre, pour ne pas dire un nombre certain, mais en l'état, à part accorder quelques sourires, il n'avait ni le temps, ni l'opportunité de tailler un brin de causette ...

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