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[RP – 16 janvier] Cathédrale – Sacre / Coronation

Krystel_martin
[A l'entrée de la Cathédrale, puis dedans]

La jeune fille, soulagée, constata qu'elle avait bel et bien reconnu Ricco, qui l'avait reconnue à son tour. Tel un gentilhomme, il lui indiqua le chemin, et, le remerciant d'un hochement de tête, elle commença à s'éloigner, cette fois sûre d'aller dans la bonne direction. Elle reconnut alors, tout près d'elle, la voix d'un collègue. Le Secrétaire de Gascogne faisait une annonce collective. S'enhardissant, peut-être parce que l'occasion, et le lieu, étaient idéaux pour le faire, l'adolescente s'approcha de lui. Seulement voilà... quelqu'un venait d'entreprendre le jeune homme. Une poussée soudaine l'obligea alors à... entrer en contact avec le Secrétaire d'Etat. A le bousculer, quoi.

Humpf ! Pardon Officier, je... j'étais mal placée. Je... Hum... Pardonnez-moi...

Inutile de dire que la jeune fille s'empourpra autant qu'elle s'empêtra dans ce semblant d'explications (qui n'en étaient pas). Le pauvre Von Wittelsbach finirait-il par comprendre que sa poussée initiale était de le saluer, et non de lui marcher sur le pied et lui donner des coups ? Pas que Krystel avait très peur de lui. Elle supposait même que le jeune homme avait suffisamment d'éducation pour ne pas la frapper en retour. En revanche, elle ne voulait pas être grondée par Adrienne, si cette dernière apprenait que son Secrétaire avait des bleus par la faute de sa collègue...

Excusez-moi...

Elle inclina légèrement le buste en direction de l'inconnu qui saluait l'Officier (et dont le nom, entendu par hasard, lui était vaguement familier), salua poliment sire Angel Von Wittelsbach, et reprit ou du moins tenta, de reprendre sa marche vers les bancs des Officiers Royaux.
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Mug
Mug esquissa un sourire quand son regard croisa le regard surpris de Ricco.
Manisfestement il était très pris par sa charge.
Comprenant qu'il voulait lui montrer quelque chose, il se dirigea dans la direction indiquée, après avoir remercié son ami d'un signe de la tête.

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"En deuil d'Aldebbarant d'Ypriex, 6° Grand-Maistre de l'Ordre Royal Hospitalier."
Jmorelle
Il était temps. La délégation orléanaise commençait à être complète, Ju les voyait entrer au fur et à mesure dans le lieu saint. Petite brunette perdue au milieu de tout ce monde, bien trop alors qu'elle avait pris l'habitude du couvent où il y avait beaucoup moins de monde. C'est en "célibataire" que Ju avait fait le déplacement. Les choses étant trop compliquées ces derniers temps, elle avait décidé qu'un peu d'air frais lui ferait du bien.

Depuis son ordination, elle reprenait peu à peu des couleurs. Etait-ce un signe? Elle ne le savait point. Mais en tout cas, une chose est sûre, c'est qu'elle avait cassé les pieds à sa couturière préférée pour porter une de ses tenues pour le sacre. Elle qui n'osait jamais lui demander une tenue car ne se sentant pas à la hauteur pour porter pareille création, elle avait enfin franchi le pas. Tant qu'à faire de se montrer, elle le ferait avec classe aujourd'hui. Elle lui avait également cassé les pieds pour qu'elle vienne avec elle. Son amie connaissait elle-aussi une période difficile, et quoi de mieux que de sortir entre filles pour se remonter le moral.

La jeune Blésoise avançait à petits pas vers le parvis de la cathédrale, petits car sa belle tenue était bien lourde avec tous ces jupons. Elle s'arrêta à quelques mètres de là, levant la tête vers le haut. Ouch, c'était haut... Bien plus haut que chez elle en Orléans... Elle n'aurait pas aimé être sonneur de cloches... Ju sourit d'admiration, regardant les hirondelles - si si pourquoi pas, même en plein hiver, c'est un jour à part non? - virevolter entre les tours et les nuages, à moins que ce ne soit des pigeons... Attention à la robe... Ou... des vautours qui rôdaient... Malheureusement, il y en avait partout.

Elle remit sa tête droite et reprit le chemin de la cathédrale. Elle grimpa rapidement les marches, puis ralentit en entrant dans l'édifice... Tout en se signant, elle s'habituait à la semi-pénombre - entre pénombre et lumière parce qu'il y a des bougies quand même, le clergé sort le grand jeu pour un tel évènement et ne lésine pas sur ces petites merveilles à cire d'abeille - et admirait les vitraux tout en écoutant les chants qui s'élevaient. Ouch une fausse note... On ferme les yeux, on serre les dents, puis on sourit comme si de rien n'était. Pas de tierce en la maison du Très-Haut tel le voulait la mode musicale religieuse. Et pourtant, l'on pourrait révolutionner tant de choses avec des tierces et leur renversement... oui, comme une tarte tatin...

Ju fut aimablement guidée par un jeune page quand elle demanda où devait s'installer la délégation des nobles... Et se rendit compte que peu de places avaient été prévues. Il faudrait donc se serrer. Après avoir salué les visages connus tout en en cherchant de nouveaux, Ju repéra un petit coin libre sur un banc. Elle se jeta presque dessus, et posa sa besace à côté, l'air de dire "c'est réservé"...

A voir si Kalo allait arriver et allait s'asseoir à côté d'elle, à moins qu'elle n'ait une place réservée plus sur le devant... Dans le doute...

En attendant, elle défroissa sa robe que le voyage avait plissé... En même temps, le modèle était fait exprès... Donc démarche inutile...




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--Chauconin


[Sur le parvis de la cathédrale avant - qui sait? - d'en découvrir l'intérieur]

Pestediable quel peuple!!! Alors qu'il croyait être parti bien à l'avance, le jeune bâtard s'était retrouvé coincé dans un micmac de gens pire que le RER C un jour de problèmes techniques. Du "pardon" par ci, du "Je dois passer par là", du coup de coude à droite et du croc en jambes à gauche, l'avancée avait été lente, et donc des plus pénibles. Encore bien qu'un valet l'accompagnait, et le relayait (très, mais faut pas le dire parce que le Guillaume il est pas du genre à aimer que ça se sache) souvent pour "faire la trace", comme disait ce dernier.

Une bonne demi-heure plus tard - ils avaient du couvrir la distance pharaonique et astronomique de 200 mètres -, c'était enfin l'arrivée à portée du parvis. Le lieu de son rendez-vous. La seconde étape de son apprentissage de la vie d'homme. Inutile de préciser qu'il espérait bien que celle-ci se déroule mieux que la première. Regard entendu échangé avec le serviteur, qui avec un peu de chance aurait bientôt fini journée, et on débarassait du drap de lin l'objet qu'ils avaient transporté avec tant de précautions.

Guillaume de Chauconin (ne trouvez-vous pas ce nom formidable?), fils naturel du chevalier de France et Chrèmophore Cristol de Siarr, habillé dans un pourpoint bleu rehaussé par un collier rouge arborait fièrement, au milieu de la plus belle noblesse de France et des pires tires-laines de la création - qui a dit euphémisme? - son écu et ses si parlantes brisures de batardise.

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Kilia
[A l'entrée de la Cathédrale, puis dedans carré violet clair ^^]

Que de monde. La duchesse se pressait comme les autres nobles. Comme les autres nobles? Oui il y en avait de partout. Un moment de réflexion se demandant pourquoi elle avait fait tout ce chemin et se faisait subir cette de foule. Petite grimace se disant que oui, elle était comme tout le monde, très curieuse et ne pouvait pas ne pas être là.
Pas qu'elle voulait se montrer loin de là, mais voir de ses yeux un sacre cela pouvait être très instructif.
Voilà, elle se rassurait en pensant qu'elle était la pour apprendre. Et puis en Anjou elle s'ennuyait que trop. La prise du château par Clodeweck avait mis tous ses espoirs de réconciliation Anjou-Eglise à l'eau. Plus la peine de prêcher la bonne parole durant au moins quelque semaines tellement les angevins en avaient soupé de la religion que ce soit Aristotélicienne où autre. Le sujet en Anjou en devenait presque Tabou. Autant faire un saut jusqu'ici.
Cela lui avait permis de passer des heures de carrosse fort agréable avec son futur époux. De retrouver son altesse Clémence et de pouvoir papoter. Que demander de plus.
Quelle belle sortie que voilà. Bon il fallait se coltiner la foule un moindre mal.

Regard noir vers un seigneur qui semblait trouver que sa robe était un beau repose pied. Chuchotement à son oreille: S'il est des jours où je suis patiente celui-ci n'en est pas un et si vous n'ôtez pas de suite votre botte du pan de ma robe vous risquerez, Sieur, de me mettre en colère et pour votre gouverne il n'est jamais bon de mettre en colère une angevine.

L'homme moins sot qu'elle ne le croyait déplaça son pied et notre duchesse put enfin entrer dans la cathédrale au bras de son vicomte.
Place de droite pour la noblesse, sièges en vu bien placés, quart de tour sur elle même et créneau digne de ce nom.
La duchesse et son vicomte en place, elle pouvait désormais faire les salutations de convenance. Petite inclinaison de tête par-ci. Petite inclinaison de tête-par là. Le spectacle pouvait commencer.

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Dict Lumière de l'Anjou,EX-Paire de France. Future Reyne! Note JNCP: "Peut mieux faire"
Guilhem
[croisée du transept, quelques minutes avant que les hordes enrubannées ne s'engouffrent dans l'édifice]

La Capitaine Licorneuse s'approcha de Guilhem.
Il ne fallu pas à mot, son simple regard suffit à signifier à Guilhem que son placement temporaire au pied de la colonne n'était plus nécessaire, et qu'il était à présent temps de rejoindre l'emplacement prévu.
Il avança d'un pas discret mais assuré vers le Narthex à travers le bas-coté Sud.
Il se dirigea alors vers le coin Sud-Ouest de la Cathédrale où l'attendait un homme d'armes.


Rien à signaler?

L'homme d'armes secoua simplement la tête.
Guilhem fit une moue approbatrice.


Rejoignez votre poste et ouvrez l'œil.

L'homme d'armes disparu alors dans le mur pour réapparaître quelques instants plus tard une dizaine de mètres plus haut sur le triforium.
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Althiof
[Sur le parvis de la cathédrale - le 16 janvier]


Le trajet depuis le Palais du Tau jusqu'à Notre Dame de Reims avait été bien plus long que prévu, les rues étant pleine de monde pour cet événement qui avait rassemblé tant de monde dans la capitale champenoise et qui était assurément l'évenement de ce début d'année. Beaucoup d'entre eux étaient trop jeunes ou encore incultes pour s'être alors intéressés au sacre de Lévan III de Normandie et le couronnement de la Reyne Beatritz resterait à n'en point douter dans les mémoires.

Lorsqu'enfin leur carosse de malheur se trouva devant la cathédrale on vint les aider à descendre. Enfin surtout on vint aider sa superbe épouse à descendre et cela lui convenait parfaitement car comme souvent la dame dans sa superbe toilette attirait tous les regards et l'homme lui servait de faire-valloir tant cela pouvait parfois paraître classique. Son costume de grand prévôt était magnifique également et se mariait très bien avec la tenue de son épouse et s'il espérait ne pas trop avoir de remarques, notamment de tous leurs amis auvergnats, il saurait y répondre avec les piques usuelles.

Montant les quelques marches conduisant au parvis, son épouse à ses côtés, accrochée du bout de la main à son bras, il lui sourit et s'eclipsa quelques secondes pour toucher deux mots à son capitaine de la garde, Stephandra du Moutier, qui comme de coutume veillait parfaitement au respect du bon ordre. Enfin plus que deux mots, il s'asurait que tous les gardes étaient bien en poste, qu'il n'y avait pas de problème particulier, ni des bandit de renom qui pourriat créer un incident. Il avait remarqué les gardes partout, qui avait l'aide de la garde episcopale et des ordres royaux maintenaient le peuple à distance. Car seuls les grands du royaume et les nobles étaient invités à assister au sacre.

Il revint donc trouver son épouse, non sans ayant jeter de longs regards alentours à la recherche du moindre indice suspect, faisant plusieurs tours sur lui même. L'on était jamais trop prudent, et comment se débarasser de ses vieux reflexes quand surveiller une telle foule avait toujours fait partie de lui, depuis presque aussi longtemps qu'il avait fini de parcourir le monde pour s'installer sur les bords d'un lac auvergnat.


Voilà j'ai les infos importantes. On ne peut pas tout savoir, par contre il faut savoir demander à ceux qui savent. Principe de base de la maréchaussée.

Il sourit. Les invités peuvent rentrer, ce qui exclut pour faire simple la roture. C'est pourquoi la cathédrale est fermée au public depuis hier soir.

Les portes s'étaient ouvertes et les invités commençaient à entrer.

Tous les invités s'installent, ce qui durera probablement jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de place. Notre Dame de Reims est immense mais n'a pas une capacité illimitée.

Ensuite les Pairs de France, les Grands Officiers de la Couronne et les Cardinaux feront leur entrée suivi par les Porteurs de la Sainte Ampoule.

Ensuite ce sera au tour de la Reyne et de son époux.


Prenant la main de son épouse.

Depêche toi pour avoir une belle place. Il y aura du monde pour les places réservées à la noblesse. Heureusement, beaucoup peuvent se mettre également ailleurs et dans tous les cas je crois qu'il n'y aura guère de place libre quand la cérémonie débutera.
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Thithili
Qui n'a jamais rêvé de voir un Roy, ou en locurence une Reyne, se faire courronner ?
Thithili avait eu cette extraordinaire chance, cet extraordinaire honneur.

Sa présence était si extraodinaire qu'il avait l'impression d'être le seul roturier. En faite non. Il était le seul roturier dans cette noble assemblée.
Il fut impressionné du nombre de soldats présents, et de la diversité des ost représentés.
Au moins aucun risque d'incident, et si arrestation il y a, il suffit d'appeler le Geolier Royal du Grand Chatelet, Thithili, pour enfermer les malotrus.

Ah ! Finallement Thithili n'était pas là par hasard... C'est déjà une bonne nouvelle...
Silanie


[Savoie]

Cela faisait un moment maintenant qu'elle parlait de quitter l'Empire, de rejoindre les siens en Royaume de France, de tout quitter pour tout recommencer. Elle était partie, puis revenue suite a la levé du ban. La guerre avait éclaté, les projets reporté. La jeune Treviere rêvait de l'Armagnac, comté si souvent raconté par son père, terre qu'elle chérissait déjà, alors qu'elle n'avait pas encore eu le plaisir d'y poser pied.

Comme tout enfant de l'Empire, dont le seul intérêt est de faire prospérer son duché dans ce royaume qu'elle aime tant, elle n'avait eu que bien peu d'occasion pour s'intéresser aux choses du Royaume de France. Elle avait eu l'occasion d'échanger un peu avec les représentant du Rouergue lorsqu'elle fut ambassadrice, mais le reste se limitait a quelques lecture de la KAP.

Le jour tant attendu du sacre de la nouvelle régnante du royaume était arrivé. Sil avait longuement hésité. Elle petite noble de Savoie, avait elle sa place dans cette assemblé ou les grands noms de France seraient réunis? Elle avait appris que son père, le Comte d'Armagnac allait s'y rendre. Sil sauta sur l'occasion, elle souhaitait de tout cœur s'intègre dans ce qui serait sa nouvelle vie, et avait l'envie de faire honneur a la nouvelle Reine. Elle fit donc préparer tout le nécessaire pour faire route jusque Reims, un peu comme Sarkozy ou Obama quand ils se déplacent, mais a un niveau un peu en dessous. Bah oui, les jet privé, ça existe pas encore!

[Reims]

Jamais elle n'avait vu ville aussi vivante. Quoiqu'à deux exception près. Les rues grouillaient de gens, pour la majorité d'entre eux, les atours étaient de sortie. Un coche était venu la chercher a l'auberge ou elle avait élu domicile pour l'occasion, peinait a avancer. Plus souvent a l'arrêt, la jeune Dame de Castiglione avait fini par se résigner, descendre du coche, le remercier et de finir a pied la distance qui la séparait de la Cathédrale.

En arrivant, elle vit quelques tête qu'elle connaissait. Stephandra a qui elle fit un sourire pour la saluer, se demandant si parmi toute cette foule, elle l'a verrait, ou quelques autres, croisés en Savoie a l'occasion de la guerre qui sévissait. Sil avança doucement, enfin surtout comme elle put, vers l'intérieur. Elle aperçut son père et fit donc route en sa direction. Il n'était pas seul et la jeune femme sourit de voir qui lui tenait compagnie. Elle se présenta a eux, s'inclinant devant la princesse. En espérant pas faire de bourde, Sil prit la parole, dieu ce qu'elle avait encore a apprendre sur les protocoles.

Votre Altesse, Votre Grâce, le bonjour.

Elle leur sourit, avant de se tournée vers son père. Elle n'osa lui faire une douce bise pour le saluer, et n'ose même pas le tutoyez comme a son habitude.

Père, quel plaisir de vous voir. J'espere que vous allez bien.

Elle sourit, heureuse de le voir, avant de se presenter la dame qu'elle ne connaissait pas, Silanie de Treviere, Dame de Castiglione. C'est drôle, a ce moment précis, Sil se demanda si l'endroit était dépourvu de trou de souris ou se cacher.

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Riwenn


Du calme, ce n'est rien...

En faict, la femme semblait plus intelligente que ses acolytes, et la suite de ses propos confirma la pensée du Duc.

Votre Grâce...Votre Grâce, je vous demanderais de ranger cette belle arme dans son fourreau afin de ne pas l'abimer, s'il vous plait...

La jeune femme s'empara de l'arme qu'elle plaça dans un coffre derrière elle.

Là voilà bien en sécurité votre Grâce, je vous la restituerais en fin de cérémonie. Je vais en prendre soin, promis! Je vous laisse aller vous assoir si vous le voulez bien... Il ne faudrait pas trop laisser patienter les gens derrière vous.

Mercé se contenta de respondre Donostiri, non conscient de sa maladresse passée.

Charmante la petite. La Pierre avait bien choisi ses troupes. Il ne les dérangea pas plus longtemps d'ailleurs et avança en la Cathédrale. De nombreuses testes avaient déjà esté vues, aperçues, entraperçues, croisées, imaginées, tranchées dans ses instants oniriques... Bref, que du beau monde !

Il continua son avancée jusqu'au rang de la Noblesse Françoise, sur la gauche du corridor qui découpait en deux l'intérieur de Nostre-Dame de Reims. Il prit ainsi place sur un banc au hasard, se disant que le plus important serait la cérémonie mais qu'une rencontre pouvait toujours estre amusante, si elle devait avoir lieu, et ne connoissant point ses voisins, elle adviendrait sans nul doute.

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Héraldique européenne
Alexandre*
Et que voilà la Baronne aux longs ciseaux qui s'avance vers notre Premier Huissier de France ne sachant pas trop par ou se diriger. Pour sur que dans les salons de couture du Louvre, il y avait moins de monde que pour ce sacre.

Fallait il dire que notre Alexandre ressemblait plus à un ours venu d'un Rouergue désertique et que si sa fonction ne l'avait pas obligé à faire présence en pleine allée de cette magnifique cathédrale, certes moins jolie que celle de Notre Dame de Paris, il se serait adossé discrétement à un pilier pour profiter de la vue de ce poulailler qui ne cessait de caqueter racontant ces dernières prouesses.

Bref retournons à nos moutons qui d'ailleurs auraient bien besoin d'un coup de ciseaux.


Le Bonjour, Alexandre. Dois-je me placer avec les officiers de Sa Majesté ou bien avec récipiendaires de l’ordre du Lys ?


Le Bonjour Baronne aux ciseaux. Permettez en premier lieu de vous dire que vous êtes resplendissante dans cette magnifique robe.
Vous avez en effet le choix de vous placer avec les Officiers Royaux ou bien avec les membres de l'Ordre du Lys, mais je vous conseillerai le premier qui est mieux placé.


Il réflechit un instant , se grattant la tête.

Mais peut être devriez vous être plus proche de sa Majesté au cas ou sa robe se découdrait. Imaginez le scandale d'une Reyne en petite tenue.

Alexandre pouffa discrétement


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Flaithbheartach
Le Seigneur Lyon, Roi d'Armes du Royaume d'Ecosse et Ambassadeur Héraldique à France, entré le cathedral. Il a trouvé un endroit dans la foule et attendu avec respect pour le sacre à commencer. Pendant son attente le Seigneur Lyon a fouillé la foule pour quelqu'un il savait et examiné toutes les décorations belles.

"Mon dieu, c'est divin!"

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Seigneur Lyon Roi d'Armes + Fidèle Aristotélicien Moine + Vieil Homme Archétypal
Viceroy
[Le chemin de la Cathédrale - Janvier 16th]

Marcher dans les rues, la garde royale de regarder autour de tout problème éventuel. Il avait été depuis longtemps un roi anglais qui avait résidé en Angleterre sorti à pied de son sol. Il y avait des rumeurs que le précédent roi avait laissé les seules personnes à abdiquer le trône en les années à venir. Tom regarda autour de lui et a tiré une carte. Il maudit lui-même pour son écriture moche qui fait de ce voyage un peu plus difficiles. "Votre Majesté, nous devrions être là en un rien de temps," at-il dit marcher un peu en avant du roi d'Angleterre. Vice-roi hocha la tête vers Tom et sourit en profitant des paysages de la belle ville. Il avait toujours entendu des rumeurs de la beauté, mais n'a jamais eu la chance de visiter.

"Ma chère reine, je vous parie que Fiona et Michael adorerait ce point de vue, " il a dit admirer le chemin. Tom regarda autour de regarder et sachant qu'il ne pouvait pas faire tard pour le couronnement, mais nécessaire de garder les gardes viligent pour assurer la sécurité de la famille royale et le chancelier. En regardant ses notes, il a vu l'encre sale. Il regarda autour de la structure massive de la cathédrale à la place. En la voyant au loin, près, il signe pour les gardes à la tête plus près de lui.
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“They may forget what you said, but they will never forget how you made them feel.”
Samuel_de_treviere
Apres un defilé de servants dans les appartements du comte il fini par sortir de sa chambré... Il descendit les marches de son domaine et se rendit dans un petitt boudoir pour discuter intendance avec sa fidéle Mirabelle...

Une fois fait il voulu attendre dehors mais il fut vite decouragé par une pluie qui se faisait de plus en plus presente... il sauta donc dans la carosse... Il eu une pensé pour harald et ignacio qui allaient rester sous la pluie.

Puis la... il attendit...

attendit

attendit encore

puis commencant a somnolé il fut reveiller pas un mouvement des chevaux... Sa cousine sauta a bord.
Etant pret le cortege s'elanca sur les longues routes de france pour rejoindre la ville des roys...
Elisabeth semblait contente de voir du pays ce qui satisfaisant Trévière...

Enfin la ville se devoillait et la grandeur des lieux laissait samuel pensif... il voyait les choses en grand pour le sud a present mas pas le temps pour les utopie... il leur fallaient poser pied a terre et se rendre rapidement chez son altesse avant d'enfin prendre par a cet evenement.


Biensure que tu reste avec moi voyons... allez nous ne sommes pas en avance.

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Rosebudy
[Cathédral de Reims - 16 janvier]

La nuit avait été des plus courte, et dès le jeune rompu, l'Hôtel Carpadant avait pris des allures de champ de bataille.

Sorties indemnes des mains des habilleuses, coiffeuses, maquilleuses, les Dames de la famille Beaufort avaient pris la route pour la Cathédral et s'étaient dès lors concentrées sur l'avancée le long de la nef pour gagner leur place dans une foule aussi dense qu'un troupeau de mouton pendant la transhumance. D'ailleurs tout comme la transhumance, surnageait au dessus un moutonnement blanc de cheveux, ce qui fit rire un instant la Baronne. Ses yeux verts pétillants de bonheur.

Rose était vraiment heureuse de voir autour du chef de famille presque tous ses neveux et nièces réunis. Elle n'en n'oublia pas pour autant d'adresser des saluts enjoués à tous ceux dont elle croisait le regard.

Connus ou inconnus en cette journée si spéciale, inutile de garder pour soi amabilité et convivialité, autant étaler richesse des sentiments à défaut de richesse de robes. Et Rose n'était pas avare, loin de la . Rien ne pouvait la contrarier ni la départir d'un sourire éclatant.

Vêtue simplement d'une Robe très sobre, tout juste agrémentée de ferrées précieux retenant sa cape de sinople sur les épaules, la blancheur de ses mains protégée par des gants d'agneaux parfumés par les maitres de la ville de Grasse, sur lesquels étaient enfilés les bagues de la Baronne, elle avançait sans quitter des yeux sa famille devant elle.
L'étiquette valait qu'elle leur laissa le devant, aussi, sagement, elle suivait.

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