Krystel_martin
[A l'entrée de la Cathédrale, puis dedans]
La jeune fille, soulagée, constata qu'elle avait bel et bien reconnu Ricco, qui l'avait reconnue à son tour. Tel un gentilhomme, il lui indiqua le chemin, et, le remerciant d'un hochement de tête, elle commença à s'éloigner, cette fois sûre d'aller dans la bonne direction. Elle reconnut alors, tout près d'elle, la voix d'un collègue. Le Secrétaire de Gascogne faisait une annonce collective. S'enhardissant, peut-être parce que l'occasion, et le lieu, étaient idéaux pour le faire, l'adolescente s'approcha de lui. Seulement voilà... quelqu'un venait d'entreprendre le jeune homme. Une poussée soudaine l'obligea alors à... entrer en contact avec le Secrétaire d'Etat. A le bousculer, quoi.
Humpf ! Pardon Officier, je... j'étais mal placée. Je... Hum... Pardonnez-moi...
Inutile de dire que la jeune fille s'empourpra autant qu'elle s'empêtra dans ce semblant d'explications (qui n'en étaient pas). Le pauvre Von Wittelsbach finirait-il par comprendre que sa poussée initiale était de le saluer, et non de lui marcher sur le pied et lui donner des coups ? Pas que Krystel avait très peur de lui. Elle supposait même que le jeune homme avait suffisamment d'éducation pour ne pas la frapper en retour. En revanche, elle ne voulait pas être grondée par Adrienne, si cette dernière apprenait que son Secrétaire avait des bleus par la faute de sa collègue...
Excusez-moi...
Elle inclina légèrement le buste en direction de l'inconnu qui saluait l'Officier (et dont le nom, entendu par hasard, lui était vaguement familier), salua poliment sire Angel Von Wittelsbach, et reprit ou du moins tenta, de reprendre sa marche vers les bancs des Officiers Royaux.
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La jeune fille, soulagée, constata qu'elle avait bel et bien reconnu Ricco, qui l'avait reconnue à son tour. Tel un gentilhomme, il lui indiqua le chemin, et, le remerciant d'un hochement de tête, elle commença à s'éloigner, cette fois sûre d'aller dans la bonne direction. Elle reconnut alors, tout près d'elle, la voix d'un collègue. Le Secrétaire de Gascogne faisait une annonce collective. S'enhardissant, peut-être parce que l'occasion, et le lieu, étaient idéaux pour le faire, l'adolescente s'approcha de lui. Seulement voilà... quelqu'un venait d'entreprendre le jeune homme. Une poussée soudaine l'obligea alors à... entrer en contact avec le Secrétaire d'Etat. A le bousculer, quoi.
Humpf ! Pardon Officier, je... j'étais mal placée. Je... Hum... Pardonnez-moi...
Inutile de dire que la jeune fille s'empourpra autant qu'elle s'empêtra dans ce semblant d'explications (qui n'en étaient pas). Le pauvre Von Wittelsbach finirait-il par comprendre que sa poussée initiale était de le saluer, et non de lui marcher sur le pied et lui donner des coups ? Pas que Krystel avait très peur de lui. Elle supposait même que le jeune homme avait suffisamment d'éducation pour ne pas la frapper en retour. En revanche, elle ne voulait pas être grondée par Adrienne, si cette dernière apprenait que son Secrétaire avait des bleus par la faute de sa collègue...
Excusez-moi...
Elle inclina légèrement le buste en direction de l'inconnu qui saluait l'Officier (et dont le nom, entendu par hasard, lui était vaguement familier), salua poliment sire Angel Von Wittelsbach, et reprit ou du moins tenta, de reprendre sa marche vers les bancs des Officiers Royaux.
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