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[RP – 16 janvier] Cathédrale – Sacre / Coronation

Uriel
Tandis qu'il arpentait les allées latérales, le frère Uriel remarquait que les gens s'installaient petit à petit. Il avait dépêché deux gardes épiscopaux au pied de l'estrade sur laquelle se tiendraient la Reyne et de Roy de France. A cette évocation il sourit, s'imaginant ce que Chlodwig pourrait faire comme commentaire sur le vieux Von Frayner ; mais l'heure n'était pas à la rigolade, il continua son chemin, vérifiant les confessionnaux, les recoins et autres cachettes potentielles.
Arrivé près de l'entrée, il fit ensuite demi-tour, reprenant le même chemin ; il passa près de sa filleule, Elisabeth et la gratifia d'un signe de tête, ne pouvant pour l'instant l'étreindre. Cela lui rappela d'ailleurs qu'il devrait avoir une sérieuse conversation avec elle car le fait d'avoir été planté en pleine cérémonie lui était resté un peu en travers de la gorge. Bon d'accord, elle avait ses raisons, mais bon ...
Il marcha jusqu'au choeur, il salua les clercs qui y avaient déjà pris place et du coin de l'oeil surveilla la porte de la sacristie qui était elle aussi sous bonne garde.

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Terwagne_mericourt
[Jour du Sacre, toujours dans la nef :]


Avec un peu de chance... Moui bein non, la chance n'était pas au rendez-vous, puisqu'alors que le sieur Hermance et elle-même n'étaient plus qu'à quelques pas de la fameuse "limite" protocolaire, elle n'avait toujours pas croisé celui que l'homme espérait rencontrer en ces lieux.

Pire encore, elle venait d'apercevoir quelqu'un de bien moins agréable à ses yeux, et qui plus est semblait - au vu de sa position et de son regard de reptile - avoir en charge de veiller à ce que personne de non autorisé ne s'avance plus loin que ce qu'il ne pouvait. Avec une petite grimace d'excuse, elle se pencha vers l'oreille du sieur Hermance, et lui chuchota quelques mots d'excuses et d'explications, avant de lui lâcher lentement le bras. Elle était vraiment désolée de lui faire faux bond de la sorte, mais ne savait que trop bien que le mouton noir ne laisserait pas passer une occasion de lui faire montre de son pouvoir du jour.

Avec un dernier regard pour celui qui lui avait tenu compagnie jusque là, elle se dirigea donc vers les bancs réservés aux Officiers royaux, et prit le temps de s'arrêter quelques secondes devant le "Sans-Repos" pour le saluer comme il se devait.


Double-Vicomte, bien le bonjour à vous.

Lourde charge que vous avez là, mais dont je ne doute absolument pas que vous la mènerez d'une main de fer et avec beaucoup de doigté. La sécurité a bien de la chance de pouvoir compter sur des hommes comme vous.


Tout en prononçant ces mots, elle s'était permise de promener un instant son regard sur lui, se souvenant brusquement d'une scène dans une chambre où il semblait bien moins raide. Enfin bon, personne ne peut être au mieux de sa forme chaque jour que dieu fait, après tout, et quand le cerveau demande grande irrigation de sang, forcément le corps en subit les conséquences.

Le laissant à sa fonction, elle rejoignit enfin un des bancs sur lesquels elle était autorisée à s'installer, et prit place.

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Clemence.carpadant
[ Entrée dans la nef. ]


Les convives de l’hôtel Saint Michel finissaient par arriver les uns après les autres.
Tout en faisant la file, ils se saluèrent, échangèrent quelques mots.
De même que venait s’y rajouter d’autres connaissances les rejoignant, tel Dame Silanie.


Votre Altesse, Votre Grâce, le bonjour.

Bonjour dame Silanie. Ravie de vous voir, lui répondit Clémence.
Est-ce que cela été pour parvenir jusqu’à la cathédrale ?

Où que l’on tourne la tête, le parvis était rempli de monde. Si bien que la Duchesse Joffrey finit par lui murmurer en souriant : Par Aristote , arriverons nous à entrer ?

Clémence hocha du chef, mi-figue mi-raisin : Bonne question !
Peut être serons nous obligés de forcer le passage.
Plaisanta-t-elle.

Mais en fin de compte, ils parvinrent jusqu’au poste de garde.
C’est alors que la Duchesse Joffrey eut ces mots qui piquèrent la curiosité de Clémence.


Il me faut passer auprès des gardes, je dois leur remettre …. Heu …

Néanmoins, par politesse, elle n’en montra rien. Mais elle la suivit du regard, et ce n’est qu’à ce moment qu’elle comprit de quoi il retournait.
Pour l’histoire, sa vertu fut sauvegardée. Clémence en fut témoin.


Se fut au tour de la Princesse de passer devant les gardes. N’ayant pas d’arme sur sa personne, elle dit simplement : Rien à déclarer !

Puis passa les portes pour entrer dans la nef.
Magnifique, songea Clémence. L’édifice inspirant un pieu sentiment, renforçant, si cela était encore possible, sa foi.

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Breydel_charles


Les invités de la famille Carpadant et les membres de celle-ci, menés par Son Altesse arrivèrent difficilement à la Cathédrale tant le monde empêchait les mouvements. Charles se sentait quelque peu écrasé par cette populace qui dégageait des odeurs des plus désagréables. Vraiment, les autorités auraient pu prendre la peine de nettoyer les rues et ruelles de Reims. Et en même temps d'écarter une population dérangeante.

Quoiqu'il en soit, le baron toujours dans ses pensées remarqua qu'ils étaient arrivés sur le parvis de la cathédrale. Il y avait là une réelle douane contrôlant tous les entrants. Bonne nouvelle pour la sécurité de Son Altesse, la seule qui avait de l'importance. Rassuré, légèrement, le Géant des Flandres entra dans le bâtiment religieux sans avoir évité le passage des gardes, levant instinctivement les yeux sur les colonnes de pierre, remontant jusqu'à la voûte.

Je pense que nous pouvons dire qu'il s'agit là d'une magnifique construction de l'homme remerciant la bonté d'Aristote. C'est un vrai gage d'amour.

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Althiof
[Sur le parvis de la cathédrale - le 16 janvier]


Son épouse était partie à la recontre de lerus amis Auvergnats, mais surtout de leur fille Eléa. D'ailleurs, les enfants étaient-ils autorisés à entrer ? Il ne le savait pas en vérité mais dans tous les cas si sa fille avait fait le voyage c'était surement un peu pour admirer une reyne et peut-être s'imaginer bien des rêves, mais surtout beaucoup pour Louis le fils de Clo qui venait aussi en compagnie de la jeunesse et hum... de la sagesse - oui c'est bien comme terme - auvergnate.

Il était impressionné par le flot d'invités qui se pressaient et surtout satisfait de n'avoir que peu d'incidents jusqu'à présent en dehors de quelques récalcitrants à laisser leurs armes au dehors de l'édifice religieux. Les gardes et les ordres royaux étaient fort bien organisés et s'il avait redouté que le manque d'informations ne causent quelques désorganisations il n'en était rien. Il y aurait des choses à dire certainement pour optimiser à l'avenir un futur couronnement, mais les bases étaient déjà solides.

Le contraire aurait été étonnant puisque des personnes de grandes qualités étaient sollicités pour l'évenement mondain de ce début d'année.

Aucun trouble-fête à signaler même si on lui avait rapporté que Mahaud, bandit et pilleur de chateau notoire, avait été apperçu à Reims. Mais une simple rumeur pour l'instant. Il convenait toutefois de garder les deux yeux bien ouverts pour éviter tout écueil et que d'aucun ne se soucie que de s'émerveiller par ce merveilleux spectacle.

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Nith
[Jour du Sacre, entrée dans la cathédrale ]

Les portes s'ouvrent, enfin diraient certains, trop tôt pour d'autres... Pour le Perplexe, il lui tardait de pouvoir enfin s'asseoir et se poser, la foule qui commençait à se rassembler autour de la porte principale de la cathédrale lui donnait envie de partir en courant le plus vite possible... Le monde, et encore moins les rendez-vous mondains, l'attiraient. Il préférait bien plus le calme de sa Normandie natale, la quiétude de l'imprenable forteresse de Ryes, ou bien l'ambiance studieuse de son étude à Carentan. Mais les devoirs avant tout, avant ses préférences, avant ses propres besoins et ses propres envies. Il avait un rôle à tenir, tout comme l'Ordre dans son ensemble. Un événement de ce genre était exceptionnel, et, bien qu'il ne le voudrait point, l'apparence et le paraître, était tout aussi important pour son ordre que les faits d'armes...

Il s'avança donc vers l'entrée, laissant derrière lui escorte. Il fallut jouer des coudes parmi les froufrous, étoffes et autres plumes, saluer de la tête quelques visages connues, hochant pour s'excuser de la pression de la foule, pour finalement parvenir dans la nef. On essaie de repérer un des huissiers libres pour se présenter et pour trouver sa place: bah oui, il fallait bien trouver son siège ou son banc pour pouvoir se poser... Ah, enfin quelqu'un, il fallait maintenant réussir à se faire entendre:


Nith de Cassan, Duc de Cany, Vicomte de Vernon, Bolbec et Carentan, Seigneur de Massy, Chevalier et Grand Maistre de l'Ordre Royal des Chevaliers de la Licorne.

Et voilà on lui indique sa place dans la nef, pas très loin du chœur, et en même temps pas au premier plan, ce qui lui convenait parfaitement. Coup d'œil à droite et à gauche, et un sourire apparaît sur les lèvres du Perplexe: les membres de la Licorne avaient investi la place pour y assurer la sécurité, en collaboration avec les autres Ordres Royaux et les Gardes Royales et Episcopales. Ils étaient nombreux, et cela remplissait son cœur de fierté. Il leur sourit, leur montrant par ce geste son approbation, d'autant qu'il savait qu'ils étaient entre de bonnes mains... Il ne lui restait plus qu'à jouer son propre rôle, et prit place pour assister à l'événement de cette nouvelle année.
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Enguerranddevaisneau
A la suite des convives de l'hôtel Saint Michel, il avançait dans la foule, ses narines quelques peux agressées par les effluves diverses qui suintaient de diverses manières..
Les parfums féminins d'abord, agréables, entêtants, fleuries, mais trop présent..La sueur ensuite, aigre, moite et écœurante...Et à lui, bien entendu, bien élever de ne faire aucune remarque, malgré les différentes poussées ressentie dans son dos...

Amusement ensuite qui enjolive ses traits quand la duchesse Joffrey laisse au poste de garde sa dague...S'ensuit la princesse, qui elle passe sans aucun soucis.
Puis son tour...


Hum, prenez soins de mon épée, elle m'est chère...

Et au garde donc, de ne pas aimer la remarque, et de fouiller par vengeance le baronnet qui grogne dans un sursaut de mécontentement..

N'en profitez pas, l'uniforme ne provoque aucun émois en ma personne...

Et de sourire, toujours aussi provocateur, quand il est délesté de sa dague, oubliée...Entrant donc, comme tout gentilhomme qui se doit d'être, il daigne donner son bras à sa marraine, souriant au demeurant quand il lui murmure sur un ton badin:

Prenez garde, l'on pourrait vous prendre pour ces femmes mangeuse d'hommes trop jeune pour elles...

Sourire tandis qu'il arpente maintenant l'allée de la cathédrale...
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Neyco
Bon sang elle allait être en retard et la évidement on irai dire encore que son sens de l'orientation était pitoyable alors qu'elle avait fait de son mieux du début a la fin. Mais bon, entre une femme enceinte a ce coltiner, et son fils qui n'arrêtai pas d'en faire qu'a sa tête dans le genre je me réveille juste pour faire des vocalises, décidément rien n'allait plus.
Enfin bref, une fois tout le monde calmer, sa besace dans le dos, le gamin dans les bras, la couse a coter en train de la suivre, la Cathédrale se profilait doucement, même si point besoin de dire que foule était deja présente.

Remettant un de ses plis de robes en place, elle vérifia du bout des doigts qu'elle n'avait point encore oublier sa couronne et op on file vers la foule.



Faisant la queue comme tout le monde point besoin de ce faire remarquer d'avantage, elle mit au dernier moment son écusson d'Écuyère Royale. Bon op on est prêt a nous?

Ah sauver Alex, une tête connue, Steph dans un coin en mode surveillance, on lui fait un clin d'œil ta vue je suis pas en retard pour une fois.

S'adressant a son grand ami.


Bien le bonjorn de Tolosa Vicomte.

Un sourire bien grand, du genre bah elle est ou ta tite femme que je la salue comme il ce doit.


Comment te porte tu mon ami?

Chuchotant a Alex.

Euh je donne mes titres et rang a voix haute aussi pour faire genre ou ca ira?

Pouffant un peu reprenant ton normal.


Ah oui je te présente Lily-Jane Comtessa de Lavaur, ma cousine. Et lui mon petit monstre c'est Riccardo, mon fils le premier de la cinquième génération de Casaviecchi. Un futur Écuyer Royal tout comme moi lui aussi, enfin je l'espère un jour en tout cas.


Un grand sourire, en plus d'assister a un grand évènement, revoir ses amis depuis longtemps peu vu car toujours en vadrouille lui faisait chaud au cœur.
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Lily-jane


La comtesse avait suivit sa cousine. La foule grandissait devant la cathédrale, elle en vint à penser que si son état n'avait été tel qu'il était en ce jour, elle serait certainement en compagnie des huissiers.
Mais le sort en avait décidé autrement.

Comme pour venir confirmer sa pensée, Ney s'arrêta près d'Alexandre.
La jeune femme lui adressa un sourire et une inclinaison du visage pour le saluer.
Elle espérait avoir l'occasion de discuter avec lui par la suite, pour lui faire part encore de son regret d'avoir du démissionner. Mais sa santé fragile ne lui permettait pas de continuer, du moins pour l'instant.

Un regard sur Ney. Elle était splendide dans sa nouvelle robe.
Elle même lissa machinalement le devant de la sienne, ajustant les plis. La couturière avait fait un magnifique travail.





Elle laissa sa cousine parler, ne voulant pas l'interrompre. Elle se contentait d'observer les personnes présentes, souriant aux regards qu'elle pouvait croiser.

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Charles_de_valorl
Dans la foule sur le parvis. Rencontre entre Charles de Valorl et Angel v. Wittelsbach


Le comte de Graveline se fraya un passage jusqu'au jeune conseiller d'Etat. Une fois arrivé à sa hauteur, il le salua en levant la main et lui sourit.



- Finalement nous avons réussi à nous retrouver. Comment allez-vous ?

Allons prestement car nous risquons d'être magistralement en retard !
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Angel_wittelsbach
Angel fut rassuré de rencontrer le comte de Graveline.

Enfin vous este là ! Avec ce monde on ne sait plus ou donner de la tete!

Léger sourire ravis puis retorque a Charles.

Oui dépéchons d'entrer, nous risquons de nous faire remarquer dans le cas contraire.
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Charles_de_valorl
Dans la nef

D'un pas rapide, les deux hommes entrèrent dans la cathédrale. L'édifice était noir de monde. Les gardes royaux étaient les seuls en arme et répartissaient le public dans les différentes zones en fonction de la qualité de chacun.

Charles de Valorl et Angel de Wittelsbach étaient tous les deux officiers royaux, ils devaient probablement être installés à la même place.

Charles avisa un garde.


- Ola l'homme, je suis le comte de Gravelines, baron de Serves, seigneur de Le Chalonge et j'en passe, procureur adjoint près la cour d'appel et voici le conseiller d'Etat Angel v. Wittelbach, seigneur de Gostoro. Où donc avons nous été placé ?
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Sorane


Que de monde, mais que de monde... enfin rien d'inattendu...que du prévisible mais tout de même... Le Royaume de France était-il donc si peuplé ?

Sorane laissait ses gardes et Hector jouer de leurs coudes, de leurs pieds, de leurs genoux afin de leur ouvrir le passage à elle, Esyllt et Charles de Margny. Leurs gardes respectifs en faisaient autant, face à d'autres gardes assez souvent...

Enfin à l'intérieur, sans avoir été trop bousculés fort heureusement !

Sorane commençait presque à regretter le voyage, enfin, elle en profiterait pour visiter un peu Reims et faire quelques emplettes. Et puis elle avait une merveilleuse robe à arborer, un chef d'oeuvre de Maître Attia !
Mais dans une telle foule, c'était presque du gâchis, elle allait y laisser... des fils !
Pourtant elle avait insisté pour convaincre Esyllt de l'accompagner.

Elle laissa le soin à Hector de l'annoncer auprès des personnes adéquates et de se faire indiquer l'endroit où elle devait prendre place.
Elle regarda Esyllt et Charles, doutant qu'ils puissent rester ensemble...
Elle aurait tant aimé partager quelques commentaires avec eux, car souvent ces cérémonies semblaient interminables...
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Thibauld
Hotel Saint Michel : Famille de Carpadant

Thibauld dévala l'escalier, tout le monde dans la maison était en émois et courrait partout. Les demoiselles de compagnie s'activaient à vêtir et à coiffer toute ces dame aussi élégantes les unes que les autres. Au rez-de-chaussé c'était la même pagaille et à entendre les bruits extérieur la rue ne devait guère être plus calme. Pour sa part le ducaillon de Penthièvre s'était vêtu d'une pourpoint de sa couleur favorite, le vert qu'il avait complété par un collier d'or et d’émeraudes et quelques bagues de facture franc comtoises léguées par son père. Prêt il attendit que sa mère ai terminé de s’habiller au pieds de l'escalier en faisant attention à ne pas trop s'approcher d'Enguerrand qui devait traîner dans le coin. Quand elle descendit l'escalier, elle était vraiment très belle. On pouvait y aller. Thibauld laissa passer sa mamoune devant puis monta à sa suite dans le carrosse. Il tapa trois coup de la paume de la main sur l’extérieur de la portière pour donner le signal du départ

Cathédrale de Reims

Suite aux moult péripéties qui avaient jalonné le trajet entre l’hôtel et la Cathédrale, le long cortège de l'hôtel Saint Michel constitué de la famille de Carpadant, de Beaufort, de Penthièvre, de Dénéré, de Vaisneau et j'en passe... arriva sur le parvis quelque peu "encombré". En parlant de Vaisneau, ou pouvait bien se trouver ce petit pot de miel d'Enguerrand. Pas loin surement. Il avait du partir juste après eux. Ah il était là entrain de donner son épée à la garde. Il fallait donner ses armes. A contrecœur le jeune Chandos confia sa lame à un garde.

Tenez prenez ça aussi. Vous verrez elle tranche beaucoup que celle du jeune blond qui vient de passer. Elle est plus jolie aussi. Les épées sont un peu comme les hommes et copient souvent leurs propriétaires

Le sourire aux lèvres, heureux d'avoir humilier le blond canard devant un soldat du roi - victoire risible - Il entra dans la nef en suivant sa mère. La foule était de plus en plus compacte et c'était vraiment étonnant comme situation. Tout le monde autour était noble, duc, princes, même des souverains étrangers étaient venus. Il était donc difficile de jouer des coudes, de pousser la foule en criant "dégagez les gueux, place à la duchesse". La chance qu'on tombe sur un autre duc voir sur un titre supérieure était trop grande. Avec sa mère et la familia, ils s'assirent au milieu de la nef. Il ne restait plus qu'une seule place entre Thibauld et l'allée centrale. Commença alors sa course aux regards discrets passés par dessus l'épaule ou sur la pointe des pieds à la recherche de Leceline.

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Lexy
[Au monastère]

Lexy reposait sur sa couche luttant contre un mauvais coup de froid, quand elle entendit les moines parler du sacre de la Reyne où il y aurait tous les gratins du royaume. Qui dit les nobles dit forcément sa famille : sa maman, son papa, son frère et peut-être sa sœur...

La jeune fille du coup se leva et s'habilla avec sa robe bleue, celle avec laquelle elle était arrivée en urgence chez les moines. Oui les moines c'était mieux que de nonnes car chez les moines il y avait de la bonne bière...




Elle enfila ensuite sa cape sur ses épaules et fit prévenir qu'on vienne la chercher au grand dam des religieux qui la trouvaient bien faible encore pour sortir dehors surtout pas ce froid. Mais quand la fille de la duchesse Kilia Chandos de Penthièvre avait une idée dans la tête, rien ni personne ne pouvait la dissuader.

[A la Cathédrale de Reims]

La jeune femme se reposa tout le trajet et quand le carrosse s'arrêta sur le parvis, le cocher vint la réveiller et l'aider à descendre.

Lexy regarda la foule qui se pressait aux portes du magnifique édifice religieux. Comment allait elle trouver sa famille dans tant de monde...

Suivant la longue file qui se pressait pour entrer, elle parvint enfin à l'intérieur. D'un regard elle chercha sa famille qu'elle trouva au milieu de la cathédrale. D'un pas sur, elle se dirigea vers eux et s'installa sur la seule place qui restait près de son frère.


Oh ! c'est gentil Thibauld d'avoir gardé ma place.
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