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[RP – 16 janvier] Cathédrale – Sacre / Coronation

Caerellyn
[Entrée dans la cathédrale ]

Elle était en retard, elle seule arrivait à dompter le cheveux roux de sa fille.

Quand elle descendit de sa chambre, avec étonnement, on lui rapporta que sa mère, la princesse était déjà partie.

Elle tapota une dernière fois sa robe et sa coiffure, vérifia l'ordonnance des vêtement de l'écureuil, sa fille et,bien que le chemin fut court, manda quérir le carrosse à ses armes.

Sourire charmeur aux gardes : point d'arme caché son ses jupons.




Elle s'avança vers la nef admirant le plus discrètement possible les merveilles qu'abritaient le lieu saint.

Elle se laissa guider vers le lieu réservé à la noblesse de France, précédée de Morgane, qui pour une fois avait l'air impressionnée et ne disait mot.

De loin, elle aperçut sa mère, il n'était point question de la saluer.

Elle prit place, main posées sur ses genoux et se mit à prier, non pour la future reine, mais pour ses enfants et elle et de l'avenir incertain qui les attendait.

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Amory
[dans la cathédrale]

Amory était installé dans la Cathédrale de Reims. Tenue d'apparat oblige, il serait pret de Monseigneur Tully afin de veiller à sa sécurité et de celle de SE Ingebruge. Il était droit comme un I dans son uniforme d'Aspirant Vidame de Reims.

Il saluat Uriel et les membres de la garde Episcopale de loin d'un signe de tête, puis ses collègues du Guet Royal. Il se déplaça quand son épouse et Chpiot arrivèrent. Son épouse ne s'attendrais pas à le voir ici, il avait préféré ne pas lui parler de sa permission. Le moment de surprise passé il embrassa Ysa rapidement et lui murmura:


"Je te vois après le sacre mon amour, je dois me remettre en place."


Il repartit ves le coeur et se positionna dans son coin puis recommença a scruter la foule. En tant que premier sénéchal il était aussi très phisinomiste ce qui lui permettrait de voir certains dangers.

Il ne restait plus qu'a attendre. La foulle ne cessait de grossir et la cathèdrale se remplissait à vue d'oeil.

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Haut Dignitaire de la GE / Sénéchal
Grand Officier de Saint Kyrène
Aspirant vidame de Reims
Duc de jouarre/Baron de Coulommiers
Seigneur de Brainville
Chevalier du guet royal
Page des chasses Royales
Anne_blanche
[A l'Image de la Crevisse, peu avant le sacre]

Anne occupa le temps que Messire Llyr mit à prendre ses quartiers en faisant les cent pas dans la salle commune de l'auberge. La Crevisse se trouvait trop loin de la cathédrale pour attirer la faune habituelle de happe-bourse et tire-laine qui fréquentent les grands concours de foule. Aussi la salle était-elle vide. Cinq pas dans un sens, cinq dans l'autre. Le manteau pesait lourd sur ses épaules. Il allait bien falloir le garder, pourtant.

Le chien de Messire Llyr semblait s'être attaché à elle. Il la suivait dans ses déambulations, malgré son apparente indifférence. Elle n'osait ni le chasser, ni le caresser. Elle supportait donc sa présence, comme elle supportait son manteau.
La pauvre Béatrice, tout-à-l'heure, supporterait bien plus lourd fardeau, que ce soit en fait de manteau ou de regards. Au moins celui du chien était-il amical. Dans la cathédrale, au moment du sacre, ce ne serait pas forcément l'Amitié qui prévaudrait, n'en déplaise au Très-haut.

Tout en occupant ses jambes par des allées et venues, et son esprit par des considérations aristotéli-canines, Anne tentait de se cacher que tout cela n'avait pour but que de ne point évoquer l'essentiel : elle avait accepté de paraître au sacre au bras d'un messire qu'elle ne connaissait qu'épistolairement. Et pas n'importe quel messire : Llyr di Maggio, ancien Roy d'Armes... Les langues iraient bon train. Tant pis !

Un bruit derrière elle annonça l'arrivée dudit Llyr, et elle se retourna, pour lui adresser grand sourire et petite révérence.

Irons-nous, Votre Grasce ?
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Aymeric_de_saunhac
Quelques jours plus tôt au pays des Ours]

Tout individu normalement constitué, du moins lui suffit-il d’avoir une oreille et de se trouver dans les alentours de Mauléon, pour comprendre que notre petite troupe revenait de chasse à l’ours.

Voilà ce que tout un chacun pouvait entendre dans les forêts mauléanaises :


- (Aymeric) : A la chache au gros nounours, maman j’y r’tournerai… blablablalbla… blablabla…

On lui a fait la peau au nounours ! Ou plutôt, on lui a pris la peau… Donà Toquée rêvait de traquer le nounours dans la montagne, c’est chose faite. Il n’a pas fait le fier lorsqu’il nous a vus ! Enfin… surtout moi, dans mon costume de dragon. Forcément, il a eu peur, il ne faisait pas le poids face au chevalier plume, dict l’ourson chevaucheur de sanglier térorisateur de dragon… moi ! La preuve, il a dézipé son manteau et nous l’a tendu les pattes en avant en espérant qu’on ne le zigouille pas. Partout on racontera notre histoire ! Partout sera chantée notre gloire ! Et le nounours aura l’air ridicule dans tout le Royaume…
C’est donc tout émoustillé que nous retournons vers la demeure de Donà Russocarine pour y festoyer dignement autour d’un festin composé de pâté et rillettes d’ours faute d’une tourte à l’ours vivant. Bien qu’un peu benêt, le nounours a refusé de nous suivre pour servir de garniture vivante à la tourte. Au grand désespoir de Donà Russo d’ailleurs… En nous accueillant dans une gerbe de gesticulations habituelles, Frenegonde tente d’expliquer à Donà Russo qu’elle a reçu un courrier important, et que moi aussi j’en ai quelques-uns. Après quelques années d’expérience, le déchiffrage des mimes devient très simple, aussi comprend-on rapidement de quoi elle parle. Enfin… surtout lorsqu’elle nous tend les lettres à vrai dire.
Une invitation, une invitation au sacrement de Sa Majesté… Une invitation arrivant en ce jour pour une cérémonie ayant lieu ni plus ni moins dans trois jours. Qui plus est, une réponse est exigée ?! Ils ne veulent pas non plus qu’on apporte notre pique-nique par hasard ? Détachant les yeux de la lettre, je n’hésite pas à annoncer à la cantonade :


- (Aymeric) : Veux pas y aller !

A ces mots, Donà Russo tente quelques réprimandes. « Cousine », « Famille », blabla blabla… Rien y fait, je ne démordrai pas, si je ne veux pas, je ne veux pas ! Parole d’ourson ! quoi que…

- (Aymeric) : J’y vais si j’ai le droit de mettre mon costume de dragon ! (et toc, dans les dents)


S’en suit forcement une autre série de remarques : « Reyne », « garde », « église », blabla et blabla… S’en mêle Donà Toquée qui par un odieux procédé de chantage tente de me faire changer d’avis. Sous prétexte qu’elle y serait seule en tête à tête avec sa toque si je refuse d’y aller, je dois faire un effort. Elle n’hésite pas à me promettre une danse, voir même, en dernier recours, un bisou. Non le bisou en fait c’est moi qui ai proposé… ben oui, rien ne vient si on ne tente. Puis la preuve ça a marché ! A la réflexion, j’aurais dû être beaucoup plus dur à la négociation, ça vaut au moins une dizaine de bisous et dix fois le nombre en tartine de pâté d’ours.

[Quelques jours plus tard au pays des Hôtels et des fanfreluches]

Le nez en l’air, j’observe les oriflammes des diverses grandes familles du Royaumes flotter en hauteur de grandes bâtisses sur lesquelles on peut lire la plupart du temps « Hôtel de… », et ce, en divers dialectes barbares. Jamais je n’ai vu ville avec tant d'hôtel particulier ! A coup sûr, le reste de l’année, la ville doit être déserte. En fait, ce doit être une sorte de grande foire pour Noble, genre « Parc d’attraction ». Une étrange image me vient en tête en observant ce théâtre de la noblesse. J’imagine une ville où les hôtels poussent comme des champignons et où les castors règnent d’une queue de fer. (Petit rire en imaginant la scène avec Donà Russo au milieu de tout cela).

- (Aymeric) : Yande, tu penses que l’on peut faire pousser des hôtels en arrosant des pierres ? Si c’est le cas, il doit pleuvoir énormément dans ce pays !

Mon regard se pose sur les Donàs et Messers se tenant par les bras et affichant de ravissants sourires tous aussi faux les uns que les autres. Tous sont affublés de leurs plus belles tenues qu’ils ont dû préparer expressément pour l’occasion, et dire que je n’ai même pas eu le droit de m’habiller en dragon, si la vie n’est pas injuste... Les chanceux, ils ont dû recevoir quant à eux l’invitation quelques mois plus tôt ! Je savais qu’il fallait que je congédie mon coursier de Randon, il ne voyage jamais assez vite. A coup sûr il s’arrête dans toutes les tavernes qu’il rencontre.

Nous arrivons enfin devant l’église, il était moins une, dans toute cette histoire, nous aurions pu arriver juste à l’heure pour le festin ! Quel dommage, moi qui faisais tout pour freiner l’allure !

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Jay64
[Dans la nef, juste avant que la Dame Méricourt ne s’échappe]

Ils avançaient encore un peu, la "limite" n'était plus loin. Un garde sembler marque cette "limite" par sa présence. Hermance n'avait pas fait attention a ce garde, car à ce même instant Terwagne s'excusa. Il comprit tout de suite la gène qu'elle pouvait ressentir.
Sans dire mot, il acquiesça en guise de réponse et la laissa partir devant lui, rejoindre les personnes du même rang qu'elle.

Soudain, lorsque la dame Méricourt parla au garde, le sénéchal reconnu le vicomte d'Ancelle. Il pensa que le Lyonnais et le Dauphiné était bien représenter en cette cérémonie.

Il regarda sur sa droit, il restait une place de libre. Hermance avança un peu plus et prit place. Il n'était pas loin de Walan, et lorsqu'il croisa son regard, il fit un hochement de tête pour saluer le vicomte.

Il était bien placé pour voir le coeur de la cathédrale, mais aussi la plupart des personnalité présent au sacre. Ainsi il pourra voir le baron de Serves. Ou se faire voir s'il n’était pas encore entrée dans la cathédrale.

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Occide
La foule était immense. Jamais dans sa courte vie Occide n'avait eu a voir cela. Le sacre de la reyne de France. Quelle fierté pour la ville de Reims d'être le théâtre d'un tel évènement. Et quel honneur pour les loups d'y mêler leur uniforme.

Occide suivait le capitaine, vigilant, scrutant une foule qui a tout moment pouvait rompre l'ordre qui régnait jusque là. Verrait-il la reyne? La sécurité avant tout.


Que trépasse si je faiblit, nul ne perturbera ce jour saint

Il sourit. Heureux d'être là. Et regarda brièvement ses compagnons... Qui souriaient tout autant.
Apolline_
[16 Janvier- Devant la cathédrale]

-Euguéééénie ? Elle est bien mise ? Tu es sûre ? Et ma coiffure, ça va ?
-Vous êtes divine !
-Hum… Si tu le dis.

Le temps était restait inchangé, pas de nuage, ciel bleu et soleil au rendez-vous, bref, une journée qui s’annonçait délicieuse. Elle s’était levée tôt, s’était préparée tôt, et avait quitté sa chambre d’auberge tôt. Hors de question de rester enfermer aux vues des excitations du dehors. Ce jour était attendu et pour sa part, Apolline était pressée d’assister aux évènements à suivre. Bien évidemment, elle portait une houppelande bleue, aux coutures rose, parce que le bleu et le rose, c’est le top.

Le monde grouillait déjà, se frayer un chemin ne serait pas chose simple, pourtant, elle tenait absolument à admirer détail par détail la Cathédrale avant que le Sacre ne commence. Elle avait entendu dire que la Cathédrale de Reims était vraiment splendide. Bien sûr, aucun visage connu, elle se sentit bien petite entourée de ce beau monde, mais elle tâcha de ne pas paraître timide, leva le menton, et s’engouffra la tête la première à grand coup de « excusez-moi, pardon ». Enfin, elle se tint devant la porte, incapable de retenir un sourire. Elle passa ses doigts fins le long du bois, et entra. Elle retint à grand peine un « wahouuu ! » Assurément, Apolline était émerveillée.

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Sepa
[Du haut du Triphorium]

La nuit fût assez monotone en attendant l’arrivée des invités. Enfin dans ce moment, son chien lui manquait, bien qu’il croise de temps à autre Eragon pour dire que tout était calme dans leur secteur.
Vacant à regarder derrière les piliers et écoutant le moindre bruit autre que les claquements des bottes ou parfois d’épée qui claqué contre le mur quand on le frôlait de trop près.
Scrutant aussi si ces collègues en bas géré bien la situation déjà calme, on peut dire que les rues à Reims étaient bien calme.
Dans la partie Sud du Triphorium, deux dames blanches se chargeaient de la même mission que les Licorneux, toute la nuit n’était que répétition des premières rondes des lieux avec quelques bâillements et repos pour reposer un peu les chambres tout en restant le plus éveillé possible.
Autant dire que le son des cloques de la cathédrale, pour signaler les différentes heures de la nuit, le réveillait bien même parfois le faisait sursauter.
Pour passer plus facilement la nuit, Sepa essayait de s’imaginer la cérémonie du lendemain, un sacre, comment tout cela serait organisé ? Beaucoup de monde serait présent, beaucoup de haute noblesse aussi, enfin plein de monde à surveiller et surtout repérer les éléments perturbateurs.

[Le grand jour depuis le Triforium]

Ayant été désaltéré et nourrit pour pas être à plat durant la surveillance. Un bon coup d’eau lui fit le plus grand bien pour reprendre son poste. Regardant à nouveau sa tenue, il tapa dessus pour refaire les plis qui s’étaient un peu formé.

S’étirant un bon coup et regardant vers les vitraux, la lumière du jour commençait à se faire voir. Petit sourire et frottage des yeux pour se réveiller encore un peu mieux. Allez fallait se booster, la cérémonie arriverait sans doute bien vite… ou pas. S’étirant et se tordant de droite à gauche pour faire craquer tout son corps et se détendre, il se replaça correctement en attendant que l’heure tant attendue arrive.

C’était un honneur d’être à ce poste, il ne pouvait se permettre de vaciller, il aurait bien assez de temps pour se reposer plus tard. Après tout, à la herse, il avait bien réussi à ce poste. Ce n’était qu’une petite épreuve de plus. En tout cas, il commençait à avoir foule dehors et Reims vivait à nouveau après cette nuit calme

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Alexandre*
Alexandre qui veillait à ce que tout le monde soit bien placé allait et venait dans l'allée centrale. La nef était déjà bien remplie.
Il se dit que si la Cathédrale devait s'effondrer c'est l'ensemble de la Noblesse du Royaume et une partie de celle des Royaumes et Empires voisins qui disparaitraient dans la catastrophe.

Et c'est exactement à cet instant qu'il vit son amie Neyco s'adressa à lui. Pure coïncidence ? Alexandre ne put le dire mais il en sourit sans que celle ci ne put rien en déduire d'autre que son plaisir de la voir, ce qui n'était pas faux non plus.


Chère Baronne le bonjour, nul besoin de crier vos titres ou fonctions, nul doute que votre noblesse dépasse de beaucoup vos titres.

Alexandre découvrit à la suite de Neyco, la Comtesse Lily Jane. Pour sur qu'il la connaissait sans vraiment l'avoir cotoyer, mais croisé nombre de fois.

Comtesse le Bonjour, vous me voyez ravi de vous revoir

Puis s'adressant aux deux

Les rangs de la Noblesse et des Officiers Royaux sont sur votre droite en avancant dans l'allée centrale , là bas un peu plus loin

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Neyco
La mini souriante, faisant un non de la tête genre arrête de dire des bêtises moi noble et ca ce vois très drôle. A par la couronne franchement. Bon point la peine de tergiverser.

Oh bah tu sais de dehors on les entend hurler, moi qui pensais que le brouhaha faisait que l'on ne s'entendait point mais en fait non. Comme quoi certain aiment a hurler de bon matin pour ce faire la voix.

Faisant un clin d'œil discret a son grand ami.


Tres bien je te remercie mon ami, allez viens ma couse on va te trouver un petit banc moelleux, ah j'ai ton coussin donc pas de panique.

Prenant le bras de sa presque sœur mais cousine et chef de famille, elle l'entraina parmi la foule présente afin de ce trouver place sur les bancs pour sa couse, elle et le petit Riccardo.
S'adressant a sa Lily.

Bah dit donc on en serai presque devant, ah pas fâcher de t'avoir lever a l'aube tiens.
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Lady_antlia
[ Petit matin du jour J ]

Ils avaient patrouillé la nuit durant, récupérant alors Arambour sur le chemin de ronde . Sans s"y m'éprendre , on pouvait dire qu'ils avaient fait du bon travail et que l'on pouvait matériellement entrevoir ce dit chemin de ronde ... à force de tourner et virer.
Non, tout de même pas! Les rondes avaient été faites dans le soucis de sécuriser les alentours proches de la cathédrale, cherchant, débusquant armes et hommes qui auraient voulu faire parler d'eux le jour J.
Quelques rencontres furent faites, quelques objets confisqués mais les Licorneux n'avaient pas eu à forcer ou lever l'épée contre quiconque. C'était aussi bien comme cela, ils n'étaient point là pour faire verser du sang la veille d'un jour comme celui ci.

Le temps que chacun se remette un peu chacun leur tour, jeter de l'eau sur le visage et avoir une présentation digne et respectable, le Tyran Capitaine convoqua les siens. Pas un mot ne pipait, il ne valait mieux pas. Et puis chacun ici savait quelle tache leur incombait. Les explications furent claires comme à chaque fois, et chacun attendit de voir à quel poste chacun devait se placer .
L'Etoile appréciait ce personnage, cette femme qui lui avait fait passer son entretien pour son entrée à la Licorne. Elle l'appréciait pour cette force incommensurable dont elle faisait preuve lorsqu'il s'agissait de la Licorne, ne se dévouant qu'à l'Ordre. Mais à vrai dire, avec un peu de recul, bon nombre étaient ainsi, alors pourquoi elle ? Peut être son fort tempérament? Elle devrait un jour s'interroger plus à propos sur ce sujet: ce n'était ni l'endroit, ni le moment.


[ Heure H - Le déploiement]

Le signal était donné, tous les Licorneux savaient que faire. L'Etoile repéra sa place sur le plan puis se dirigea vers la porte de la Cathédrale . Imposant monument à l'extérieur, il serait vite plein à l'intérieur de tout ce que le Royaume pouvait compter de Nobles.
Et les Licorneux avaient ce privilège, comme d'autres Ordres Royaux de participer entièrement à cet évènement et de ne point en être que spectateurs. Sa mission était de surveiller, protéger la future Reyne: un honneur.

Sa place, elle l'avait mémorisée, et c'est sans un commentaire qu'elle suivit certains vers la façade occidentale de la Cathédrale . En entrant dans la batisse, elle dégagea son épée de sa cape, la saisit de sa main et mit genou à terre. Inclinant la tête, elle se signa, puis sans attendre son reste elle prit le bas côté Sud.
Son regard déjà se faisait à l'atmosphère plus sombre de la cathédrale, observant déjà les présents. Beaucoup de belles toilettes qui rivalisaient les unes avec les autres. Elles devaient avoir somme toute assez froid vu la température qui régnait dans la Cathédrale.
Puis elle passa au niveau du bras sud du transept, essayant de se faire discrète en passant devant les Nobles qui s'installaient . Quelques inclinaisons de têtes vers certains, elle ne s'arrêta pas avant d'avoir passé le choeur et s'être placée au tout début du déambulatoire.

Elle avait une vue dégagée sur le transept Sud , et avait même en ligne de mire son Tyran préféré.
UN petit sourire s'afficha sur son visage pour faire place de suite à un visage de circonstance, sérieux. Par contre son regard fit attention à chacun. Elle reconnut certains Nobles qu'elle avait cotoyé de par ses voyages multiples . Même pour eux , elle eut la même attention : geste, facies, armes possibles, mouvements.
Parfois une cape blanche ou azur venait dans son champ de vision, reconnaissant alors un frère ou une soeur, mais toujours attentive.
Son épée prête à servir pour celle qui serait leur Reyne .

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Manoncoeur
Manon regardait les peronnes arriver et entrer dans la cathédrale, cet édiffice se rempliçait. Son ventre repu de fidèles.
Elle senti une presence et sursauta, pourtant avait reconnu la voix du prevot de champagne.
Elle sourit et lui pressa la main, signe d affection et de plaisir de sa presence.


Ha Kevin te voilà,....

Elle fit une legere moue mais savait les obligation de son ami

Oui je vais aller m installer et je sais que tres bientot en alençon nous nous croiserons.... vas... on a besoin de toi.

Elle fit un geste theatrale pour le faire partir et rit, en emboitant le ps des gens penetrant dans les lieux...
Elle fit un denier signe a kevin, avant d aller s engouffrer dans la cathédrale.
--Polstephie


[Polstephie, Cristòl, Margardira Dulcia et Aimelina au sacre]

La mesnie Sìarr-Alanha était composée des époux Paula-Estèva et Cristòl, et de leurs trois filles, Margarida Dulcia, Magalona Eufrasia et Aimelina. Le véritable problème de ce sacre était que l'on ne pouvait tous entrer. L'accès au sacre était réservé aux nobles fieffés, en sus de leurs accompagnateurs.

Cristòl avait réussi à placer son fils, le seul, le bâtard, comme accompagnateur d'une douce, aimable et blonde collègue de la hérauderie.

Mais à eux deux, ils avaient encore trois filles sans fiefs ; trois filles, et une qui ne viendrait pas, pas de sitôt.
Ce serait Magalona Eufrasia. On aurait pu croire que l'âge présiderait à la décision et qu'Aimelina resterait à l'auberge. Mais Magalona était la plus fragile, et il faisait froid, en Reims, y compris dans la cathédrale. Elle ne viendrait en coche que plus tard, quand le soleil serait plus haut et qu'on ferait entrer le peuple et tous ceux qui n'avaient pu entrer auparavant, pour la messe.

Paula, dont les aimables formes de l'âge et d'une charnue sensualité étaient ajustées dans une grande robe de velours noir et de voiles blancs, comme c'était son habitude depuis le décès de son prime époux. Un rubis à la ceinture était l'unique touche de couleur de sa tenue.
Cristòl, au bras duquel elle était, Chevalier de France, était de blanc et de gris vêtu, avec des bottes noires, et une ceinture de cuir tannin, clouté de bronze. Son veston sur la chemise blanche était d'un gris perle velouté ; il se pouvait aisément ôter, et le Chevalier ne l'excluait pas, quand viendrait le moment de conduire le cortège des chanoines de Saint-Rémi et du Saint-Chrème, par humilité.

L'un et l'autre portaient, eu égard à la saison, d'épaisses capes qu'il serait temps d'ôter plus tard, si la Cathédrale, de toute cette agitation humaine, était réchauffée.




Paula-Estèva, ainsi que ses deux filles Aimelina et Margarida, rousse flamboyante en robe verte, entrèrent dans la Cathédrale.

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Kevin60330
[Sur le parvis avant de rejoindre le cordon]

Kevin voyait de loin les gens arrivés sur le parvis et scrutais au loin voyant tout d'abord Ysa et Chpiot il leur fît un petit signe de la main discret puis un autre visage connu , familier lui venait.

Il alla voir la personne et par derrière elle lui murmura à l'oreille.


Bonjour Manouche

Il ne pouvais se retenir de rire en la voyant sursauté légèrement puis une fois qu'elle se retourna lui adressa une bise sur le coin des lèvres et lui fixait les yeux d'un regard complice, d'une amitié née et devenue forte en très peu de temps.

Le prévôt de Champagne fixait sa chef ne la quittant pas du regard puis fini par s'excuser

Bon Manon suis désolé mais je suis cantonné à rester prêt du cordon donc on ne sera pas ensemble pendant la cérémonie mais on pourra se retrouvé après et puis je passe prochainement en Alençon, on aura plus de temps pour se voir et parler autour d'une petite choppe

Kevin partir alors rejoindre de nouveau son poste et regardais de loin Manon la quittant peu du regard mais restait concentré sur sa mission quand même.
Aimelina
Pour une jeune fille presque majeure, atteinte d'amélie au bras gauche, et quoique fille de vicomte et de comtesse, la dernière dans l'héritage, c'était un privilège rare et précieux que de pouvoir assister au sacre d'une reine bien aimable.

Aimelina avait déjà été à Bolchen, chez Béatrice de Castelmaure (chez son époux, plutôt) : c'était pour prétendre à la main du jeune Aymeric de Saunhac, le cousin de Béatrice. En vérité, et c'était bien compréhensible, c'était sa grande sœur, Margarida, qui avait emporté ce privilège d'être la fiancée du blanc Vicomte.

Mais qu'importait à l'enfant ? Son handicap était aisément caché sous une cape chaude et enveloppante, dans une robe que son père avait commandée aux galeries Lafayotte à la couturière royale Attia di Julii. Ce sacre était l'occasion d'une sortie en famille dans le nord.
Son bel et blond de frère était avec eux, était là, quelque part, dans la foule, et cela suffisait à son bonheur de jeune fille insouciante du bien comme du mal.

Elle suivit sa mère et sa sœur dans la Cathédrale, après avoir serré la main de son père dont elle était, sans vouloir le dire, bien fière, car il porterait la Sainte Ampoule.



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