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[RP – 16 janvier] Cathédrale – Sacre / Coronation

Victor.de.cernex
Citation:
[ - Hotel de l'Empereur Alveran 1er de Varagine - ]

L'Empereur prenait un bain et ainsi il pouvait prendre quelques instants de repos et de bonheur après un long voyage sur une selle de son destrier de combat. De toute manière, c'est compréhensible, il fallait de manière évidente, qu'il se soit lavé pour assister à la cérémonie du couronnement de Sa Majesté, la reine Beatrice 1er du Royaume de France. On ne peut pas arriver à la Cathédrâle de Reim et sentir plus ou moins mauvais, à cause des substances corporelles, telle que la sueur ! Non, pas que Alveran sentait mauvais, c'est pas ça, mais il faut tout de même être propre !

Il n'y a sans doute pas qu'un endroit pour se laver, alors, après une dizaine de minutes que les soldats impériaux défont les différentes sangles et détachent les différentes pièces de son armure italienne, il commence à se laver. On prend un morceau de tissus, qui n'irrite pas la peau, pour la plonger dans l'eau plus ou moins chaude. Un peu de savon et après quelques minutes de frottage, Victor se considère propre !

Alors, le blondinet s'extirpe de l'eau pour se diriger vers un tissus délicat et efficace pour eponger les goutelettes d'eau qui perlent sur son corps. Il espère que Alveran n'a pas trop de difficulté dans son bain. Certains valets harcelent peut-etre en ce moment, l'Empereur, pour l'éponger ! C'est même très amusant, surtout que Alveran doit souhaiter prendre un bain, seul, sans être enquiquiné par des serviteurs.

Sa minine vient doucement attraper une chemise de soie blanche, qu'il enfile doucement, avec des braies dans la même étoffe. Il a demandé à un Écuyer de demander à ce que l'empereur enfile lui aussi, tout comme Victor doit le faire pour lui-même, une chemise de mailles. C'est inutile comme vêtement défensif pour les haches, les masses, les épées, mais pour les dagues, c'est mieux que rien. Donc, le jeune homme glisse ses bras dans les manches miniscules de la chemise de maille.

On respire pendant quelques moments, il bouge des hanches, des épaules, de la gorge et ensuite, il enfile une nouvelle couche de tissus dont ses armoiries personnes y sont brodées. On enfile doucement une cape autour de ses épaules, pour protéger son corps, des vents hivernaux de la saison blanche.


Antoine ! Antoine ! Est-ce que l'Empereur est prêt ? Nous devons partir bientôt pour nous diriger à la Cathédrale !

Quelques minustes plus tard, puis un homme robuste, assez âgé, à la chevelure et à la barbe rousse entre dans la pièce.

'' Oui, votre grace. Sa majesté Impériale est prêt pour se diriger en direction de la Cathédrale. Est-ce que je prépare le cocher ? ''

Pas de moment de réflexion. Victor fait un signe positif de la tête, pendant que le vieux spadassin rompt le pas pour aller vaquer aux affaires impériales. C'est simple.

[ - En dehors de l'Hotel impérial - ]

L'Empereur est escorté par Antoine, deux soldats impériaux et Victor Hadrien, jusqu'à un magnifique carosse. Ils ne peuvent pas se rendre à la Cathédrale à pied, à cause des possibles dangers, ni sur des destriers parce que c'est pas assez digne pour un Empereur.

Le Carosse a été choisis par Victor. Un moyen de transport très bien construit, avec des sculptures parfaitement réalisées sur le bois, puis peint. Les armoiries impériales sont gravées sur les portes. Ce carosse est magnifique, on ne peut pas en dire moins. L'Empereur Alveran 1er y monte, pendant que Victor le rejoint.


Après plusieurs moments, le temps que le carosse fende courtoisement la foule des francais pour arriver devant la Cathédrâle. Victor fait ouvrir la porte par deux valets de carosse, pour ensuite, descendre le premier avec l'homme roux. Il vient doucement aider Alveran 1er de Varagine à descendre.

Votre Majesté Impériale, nous sommes arrivés, attendez, je vais demander dans quel endroit, nous sommes attendus pour la cérémonie.

Après ces paroles, il se dirige vers la Garde royale chargée de la sécurité.

Mes courtoisies, messieux. Je suis Victor Hadrien De Sparte, Duc des Bauges, conseiller impérial de Sa Majesté Impériale, Alveran 1er de Varagine, qui est là avec moi. Pouvez-vous avoir l'amabilité de nous informer ou nous devons nous rendre dans la Cathédrale ?

* Simple précision : Antoine est un PNJ. C'est pour ça que dans mon RP, j'utile des '' [ blabla ] '' pour lui.
Rapha13
rapha arriva avec le carrosse aux couleurs du Berry en tant que chambellan il avait eu le droit de le prendre pour venir jusqu'à Reims pour l'occasion du sacre de la nouvelle reyne de France rapha avait mis sa plus belle soutane



il arriva dans l'immense cathédrale aux vitraux magnifique et attendit l'arrivé de la reyne
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protégé de Sa Grandeur Izidore de Castelléo, Chevalier-Sénateur de Rome
Cerridween
[ Le matin, à l'aube ]

La nuit avait été calme et martiale.
On n'avait entendu que le souffle pluriel des licornes endormis près d'elle et quelques ronflements. Elle était restée longtemps les yeux ouverts dans la pénombre de la forêt des grands arbres de pierre sous une lourde couverture qui la préservait du froid.

Sereine ? Oui... non... Elle sait depuis longtemps que le destin est joueur. Mais elle sait depuis longtemps qu'on est pas totalement impuissant contre ses tours. Ils sont nombreux. Très nombreux. Ils contrôlent le sol, chaque parcelle du regard et par la lame qui est à leur côté. Ils contrôlent les airs, où quelques vigies se sont postées pour cette fois repérer et alerter. Il faudra que le destin envoie quelqu'un qui voudrait vraiment mourir... mais elle sait qu'ils existent. Elle a été l'un d'eux autrefois.

Le sommeil l'a cueilli comme on fauche les blés. Lourd et profond. Court mais réparateur. Les couleurs des vitraux ont commencé à s'animer avec l'aube, s'étendant dans le transept et la nef comme un rêve qui se dilue. Elle s'est levée, a ajusté le baudrier qui permet de maintenir son épée à sa droite et le couteau de lancer dans son dos. Elle est passée dans les rangs avec de quoi sustenter chacun. La journée va être longue et à ventre vide, tout est impossible. Elle a passé de l'eau sur son visage, prit une grande gorgée de tisane et a commencé sa ronde.

Elle a eu un mot pour chacun, parfois même un sourire, a distillé les ordres à voix basse. Ceux au déambulatoire devront aller faire des rondes à l'extérieur et pourront se déplacer aisément sans se faire voir. Ceux du triphorium aideront à déceler tout mouvement suspect dans la foule ou dans les assemblées des Grands... ordre de la prévenir par geste, elle gardera un oeil vers les cieux. Ceux de la nef seront en contact direct avec la foule pour ceux qui sont les plus près de la grande entrée... ordre de garder la main sur la garde de leur arme, pour éviter de se faire désarmer.

Maintenant tout est en place... elle rejoint la sienne en silence, ombre vêtue de noir de la tête au pied, avec comme seul emblème, une licorne cabrée sur le dos et une chevelure en flamme, disciplinée dans un chignon.

[ Le Sacre, au coin du transept et de la nef, près du choeur : entre le temporel, les hermines et le spirituel ]

Après une dernière ronde, elle se tient à l'ombre d'un pilier. Celui qui fait coin entre les deux principaux axes de la cathédrale. Une place qui lui permet d'aller et venir sur tout le sud à l'exception du déambulatoire contrôlé par Alethea. Elle l'aperçoit d'ailleurs, en miroir, à la même place, au nord, près de l'entrée secondaire. Elle lui fait un signe de tête et un mince sourire qu'elle ne verra peut être pas. Appuyée contre la pierre, la plus discrète possible, elle observe.

A sa droite... Pairs de France et Grands officiers royaux. Marie qui a prit place déjà, dont elle croise le regard et à qui elle adresse un petit salut de la tête.

A sa gauche... l'assemblée episcopale de France, les officiers royaux et des couronnes étrangères...

Elle en rirait presque... elle, la bâtarde, simple chevalier, non loin du ce que le Royaume compte de plus titré, de mieux... ou de pire parfois... si à son entrée à Ryes, on lui avait dit qu'elle se retrouverait là, elle aurait rit de même.

Plus loin dans la Nef, le premier licorneux de son secteur, Ethan qui regarde la foule entrer. Nouveau sourire en coin... ils sont prêts.

Que le fête commence...


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Ricco
[A l'entrée de la cathédrale. ( tiens je crois l'avoir déjà dit ça ??)]

Ricco pensait qu'il aurait froid à rester dehors pour la surveillance du parvis, mais il n'en était rien, tant le monde qui passait devant lui l'obligeait à bouger sans cesse !

Et toujours ce défilement de carrosse et de personnalités, toutes bien habillées et pouponnées pour l'événement.

Un homme de bel stature s'approcha

-Mes courtoisies, messieux. Je suis Victor Hadrien De Sparte, Duc des Bauges, conseiller impérial de Sa Majesté Impériale, Alveran 1er de Varagine, qui est là avec moi. Pouvez-vous avoir l'amabilité de nous informer ou nous devons nous rendre dans la Cathédrale ?


Ricco inclina la tête dans un geste de salut.

- Votre Grace ! J'espère que votre séjour se passe pour le mieux ?

- Les places réservées à Sa Majesté Impériale se trouvent dans au fond de l'allée centrale sur votre droite. En face des Grands Feudataires.

-Désirez-vous quelque chose d'autre ??
nouvelle petite inclinaison de la tête.

enfin les premiers dignitaires étrangers arrivaient à la cathédrale.
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Llyr


[A la Crevisse]

Irons-nous, Votre Grasce ?

C'est vétu, de façon correcte, d’un brocart d'argent et de Jais, de haut de chausses et d’un pantalon de velours noir que le Cygne avec ses ornements de Pair de France et quelques "breloques" gagnées aux mérites dans quelques région et province de France descendit enfin l'escalier. A ce niveau ça tenait plus du déguisement qu'autre chose, malheureusement la situation voulait qu'il soit habillé "au mieux" de ces divers ornements.

Avec plaisir madame. Permettez que je vous offre mon bras pour chemin faisant deviser gaiment ?

Joignant l'utile à l'agréable il proposa son bras.

Bran, je crains que tu sois mal venu dans la cathédrale. Tous n'ont pas la tolérance du Roy Levan à ton égard, tu devras rester ici, va dans la chambre et restes y jusqu'à mon retour.

Intelligent ce chien ? On aurait pu le croire au vu de sa mine tristesse lors de la déclaration. Il se contenta par la suite d'aboyer et de se rendre dans la chambrée de son maistre.

Pardonnez moi, il a tendance à toujours vouloir me suivre et pour le coup il faut que je lui indique comme à tout bon soldat ce qu'il doit faire en attendant fit il avec le sourire

Alors allons-y

[A l'entrée de la cathédrale, au préposé aux placements]


Chemin faisant en ayant parler de tout, de rien, de la ville, du sacre à venir. Ils étaient parvenus à la cathédrale. De nombreuses têtes connues étaient déjà présentes. Quelques saluts de la tête en signe de reconnaissance furent distribués alélgrement.

Nous y voila fit il à sa compagne d'un jour. Ne reste plus qu'à nous placer. J'espère que l'attente ne sera pas longue et que ma compagnie ne vous causera point tord.

Puis au placeur
Veuillez annoncer et placer Dame Anne de Culan je vous prie, Académicienne Royale et Messire le Duc-Pair du Lavardin LLyr di Maggio et d'Astralgan. Vous serez bien aimable.

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Tully
Il se releva difficilement de son Prie-Dieu cette fois, les genoux engourdis par la posture qu'il avait tenu pendant quatre heures, il regarda autour de lui et se rappela qu'il avait souhaité prier dans la sacristie, juste pour être certain de ne pas être en retard, et pour éviter de devoir perdre du temps avec les mondanités d'usage, qui l'agaçait de plus en plus, il fallait bien l'avouer, que c'était tout ce qu'il détestait le plus, même si la compagnie de certains nobles l'enchantait, lorsqu'ils étaient pieux évidemment, qu'ils avaient de la conversation et du respect pour lui... Ce qui se était de plus en plus rare... Il chassa de son esprit ces pensées, puis reporta son attention sur la cérémonie à venir, il ne devait pas manquer son coup, car il devait être devant l'autel pour accueillir le couple royal au sein de sa cathédrale. Il frappa dans ses mains, pour appeler ses serviteurs, qui attendaient devant la porte, comme d'habitude ils apparurent en un rien de temps. Un rapide rafraîchissement du visage, un lavage de main et de pieds. Habillage de cérémonie. Il était prêt. Il attendait le signal de S.E Ingeburge pour s'avancer dans la cathédrale...
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Naewen
[ dans le triforium sud ]

Epona avait repris sa place dans le triforium sud, après avoir fait une pause de quelques heures , le temps d'une relève , suite à sa nuit de garde dans la cathédrale. Elle était donc remonté accompagné d'une femme d'arme , toute deux en tenu propre , parées d'une cotte d'arme aux armoiries de l'Ordre d'une blancheur irréprochable, pour un jour si important. Il ne serait pas dit que les dames blanche seraient passées inaperçu , elle avaient juré de protéger , leurs souverains et c'est avec fierté qu'elle le ferai en se jour.
La rousse avait croisé un membre de l'ordre de la licorne, gardant l'escalier et une fois en haut c'etait positionné aux deux ouvertures avec sa sœur .
En face se trouvait deux membres de la licorne qui feraient vigie de l'autre coté, au nord .
Epona regardait donc entrer progressivement , les invités du royaume entier et des autres pays également . Elle scrutait donc les entrées et sorties , cherchant la moindre chose suspect et aurait une vue d'ensemble sur la cérémonie .

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Anne_blanche
A l'Image de la Crevisse

La robe blanche d'Anne faisait piètre figure auprès du brocard de Messire Llyr, mais sous le manteau de l'Académie, ça ne se verrait pas. Dommage. Le vert lui faisait un teint de navet, et elle aurait été bien plus à son avantage si elle avait pu rejeter le velours vert sur ses épaules. C'était bien une idée d'homme, ce velours vert ! Le vert, ça ne sied qu'aux roux, suppôts du Sans-nom. Mais connaissant Messire de Voltaire, il y avait fort à parier qu'il avait aimé jouer avec cette idée.

Avec plaisir madame. Permettez que je vous offre mon bras pour chemin faisant deviser gaiment ?


C'est donc à pied que l'on irait, ce qui, au fond, arrangeait bien Anne. Elle avait besoin de se réchauffer, et de se dégourdir les jambes. Tant pis pour le decorum. De toutes façons, être au bras d'un Pair de France, ça vaut tous les coches du monde, et largement. Quand ce Pair est en plus quelqu'un qui vous a tendu la main dans une passe périlleuse, on en vient même à oublier les oripeaux pour ne garder que l'honneur et le plaisir.

Messire Llyr ayant renvoyé son chien, Anne fut frappée par le nom qu'il lui avait donné. Il n'est jamais simple de trouver un sujet de conversation adéquat, quand on chemine en compagnie d'un presque inconnu - surtout quand on doit en même temps faire attention où l'on pose ses bottes blanches. Le chien leur en fournissait un.


Votre chien vient-il de Bretagne, Messire ? Feue ma mère, qui était de là-bas, m'enseigna sa langue. Bran signifie Corbeau, je crois, chez les Bretons.

Elle devait multiplier les pas, pour se maintenir à la hauteur de son cavalier. Trop occupée par ses multiples tâches, tant au Conseil Ducal du Lyonnais-Dauphiné qu'à l'Académie, Anne avait oublié de grandir.
L'on parvint cependant à la cathédrale.


Cathédrale


Veuillez annoncer et placer Dame Anne de Culan je vous prie, Académicienne Royale et Messire le Duc-Pair du Lavardin LLyr di Maggio et d'Astralgan. Vous serez bien aimable.

On les conduisit dans la nef, qui bruissait déjà de cent conversations. Eblouie, Anne gardait la tête levée, admirait les vitraux, les statues, la hauteur du triforium, tout un mobilier de bois luisant. Les toilettes de ces dames l'intéressaient bien moins que l'architecture. Elle se laissait conduire par son cavalier, main toujours posée sur son bras.
Le nez en l'air, elle se heurta soudain à une étoffe grise, placée en travers de son chemin, à l'endroit que la foule des petites gens n'aurait pas le droit de dépasser. Elle adressa au possesseur de l'étoffe un sourire d'excuse, sourire qui s'élargit quand elle le reconnut.


Messire Walan !

Les leçons dispensées par feue sa mère prirent le relais.

Votre Grâce, permettez-moi de vous présenter Messire Walan, vicomte d'Ancelle et de Charpey.


Une légère hésitation ... était-ce bien le lieu et l'heure ? Baste ! Il est toujours temps de reconnaître un bienfait.

Messire Walan veilla sur mes jeunes années avec toute la bienveillance d'un père.
Messire Walan, Sa Seigneurie Llyr di Maggio, dont je vous ai souvent parlé.


Son œil exercé d'ancienne chancelière habituée aux questions de préséance notait en même temps la distribution des invités au sacre.

Votre Grasce, je crains que nous ne devions nous séparer ici. Votre manteau de Pair vous donne rang au plus près de Sa Majesté, tandis que je ne suis qu'Officier.

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Llyr


[De la conversation canine]

Feue votre mère avait raison sur la dénomination, Bran m'a été confié alors chiot par ma propre mère pendant un voyage où je suis aller prendre de ses nouvelles au vain/fin fond du Royaume de Norvège. Effectivement Bran est un brin celtique, il se veut surtout un clin d'oeil appuyé à mon propre nom. Je crains que Dame ma mère est un humour plus que particulier pour le coup.


[Dans la cathédrale]

Le bruit était assourdissant, la cathédrale prête à débordée de monde. Dieu qu'il détestait ce genre de rassemblement et que si les convenances lui avait permis il aurait trouvé préférable de se trouver devant des fourneaux que devant tout ce parterre.

L'Académicienne, qui avait été jusque là une dame de fort bone compagnie lui présenta ce qui semblait être son tuteur et mentor de ses jeunes années. Messire Walan, vicomte d'Ancelle et de Charpey. Un inconnu pour l'ex Roy d'Armes qui pourant se targuait d'avoir grande connaissance de la noblesse du Royaume.

Je suis enchanté de vous connaitre Messire Walan, je n'ai point l'heur de vous connaitre et pour le coup c'est à mettre à votre valeur car vous devez être homme et noble calme et sérieux pour que jamais votre nom ne me soit venus aux oreilles dans le passé.

Puis la dame le congédia, oh pas à céans semble-t-il mais parce que la cérémonie allait débuter.
Il s'empressa donc de saluer comme il convenanit une dame ainsi que le vicomte avant d'aller se trouver uen place là où le procole exigé sa présence.

Ma dame ce fut un plaisir sans tâche d'avoir cheminé avec vous. Loué soit le Hasard et Dieu pour l'heure de notre rencontre. Je vous laisse donc entre de bonnes mains et sans crainte pour vous.
Vicomte, j'espère que nous aurons le plaisir de faire plus ample connaissance un jour autour d'un bon repas.

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Kalimalice
[Cette fois il fallait y aller ]

Apres s'être restaurée, changée .Oui, oui changée !!!Oui il fallait bien que pour une fois elle quitte cette tenue d'homme qu'elle arborait en permanence, troquer braies cuissarde contre une robe et des petits souliers. Petite robe noire, soulignée de blanc .Grrrrrrrrr elle n'arrive pas à s'y faire .Il lui semblait qu'elle était nue dans cette robe qui lui serrait la taille et mettait sa poitrine en avant .Pas étonnant qu'elle restait vieille fille .Les hommes voulaient pas de guerrière et encore moins de femme qui commande .Ayant posée sa rapière dans l’armoire, elle ne pouvait partir les mains vides ne sait on jamais .Alors elle glissa une dague dans le corset, la voila plus rassurée.

Dernier regard, elle crut voir une autre avec son chignon, pfft ses cheveux préféraient le vent des courses à cheval mais la il fallait bien marquer le coup pas toujours que l'on est invité comme officier royal au sacre d'une Reyne .

Pénétrant sans l'enceinte de la cathédrale ou elle fut effarée par la foule saluant la garde royal .Elle avança dans la nef au place prévu pour les officiers royaux.
Cherchant du regard les membres du guet, elle vint prendre place avec eux .Oui elle aurait pu prendre un cran de plus si elle avait choisi de suivre la noblesse mais choisir son poste lui semblait bien plus adapté.
Sa tête ne cessait de hocher en salue tant elle voyait de gens connus.

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.mahaut.
Pas de cris, pas de remarques... Mais quand même ! C'était vraiment un gros bordel sur le parvis de la cathédrale. Et Aristote savait que les nobles, sous des dehors policés, n'étaient pas les derniers pour se massacrer allègrement les pieds.
Elle tentait donc de suivre Elayne en tenant sa houppelande et en se retenant de lâcher un retentissant "MAIS CORNECUL DE FIANCHTRE DE SALOPERIE DE MACHINS, VOUS POURRIEZ PAS FAIRE LA QUEUE, COMME TOUT LE MONDE ?".
L'ouvrage "Le Vivre noblement pour les Nuls" pesait dans une de ses poches comme un avertissement.

Profitant d'un bouchon près des portes, elle se haussa discrètement sur la pointe des pieds. Quelques visages connus... Voire même... Mais oui, au fond ! Oualanne ! Et plus près... Voyons... de dos... un homme à l'allure familière... Un noble ? Curieusement, elle le voyait la ramener complètement bourrée chez elle à Bergerac, dans sa jeunesse. Et une fois, il avait essayé de lui baver dessus avec Fazzino... Mais qui donc...


- Ricco !


Elle mit sa main sur sa bouche en signe de contrition pour Elayne.

- Elayne, voyez ! Le garde de l'entrée a accompagné papapair en mission avec sa compagne. C'est également un excellent ami de Bergerac. Vous voulez que je lui demande s'il n'a pas un passage secret pour nous amener à nos places ?

Et sans attendre la réponse, forcément positive, elle leva une main et agita le poignet couvert de bracelets.

*Cling cling cling*

- Riccooooooo ! Aie. C'était mon pied. Ohé ! Mais tudieu, messire, faites attention quand vous avancez, vous voyez bien que c'est bouché. Je crois qu'il m'a vue, Elayne, n'ayez crainte. Dites donc, c'est bien décoré. AIE ! Une houppelande toute neuve... Oh, excusez, mes bracelets sont en or massif, je conviens que ça peut faire mal. Ça vous apprendra à pousser. Où diable sont nos sièges ?

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George_aristote
[Jour du sacre]

Apres s'être levé et préparé, George fit préparer son voyage jusqu'a a la Cathedrale, tout fut soigneusement préparé la veille et le Duc du Berry n'aimé pas les imprévu.
Vêtu de ses plus beaux habits eux même aux couleurs de ses terres il pris la direction de son carosse qui le mena au sacre de la reine

Il pénétra dans la cathédrale et s'avanca dans l'endroit réservé aux grands feudataire, il salué les quelques Ducs et comtes déjà présent et attendit la suite des évenements

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Joffrey
[Entrée dans la cathédrale]

Enfin, ils pénétrèrent à l’intérieur. Jo fut éblouie par la beauté du lieu, par contre le brouhaha des murmures, des personnes prenant place, ne laissait qu'à peine entrevoir la sérénité du lieu.

Laissant Clémence rejoindre sa place, la Duchesse Joffrey bifurqua un peu avant , se retrouvant ainsi avec toute la Noblesse de France.

Avisant plusieurs places libres, elle s'y dirigea suivie de sa famille.

Non loin , elle aperçut Killia et le Vicomte Baillant.

Elle leur fit un petit sourire, et attendit patiemment le début de la cérémonie.
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Esyllt_catarina
    [ Trois en un ! Mieux que Mir Machine ! Lavage, repassage .. Enfin, 'Sur la route suite, le parvis et son siège' ]


Emportée par la foule qui nous traîne, nous entraîne ... Voilà ce que l'on pouvait entendre si on accédait à l'esprit d'une rouquine bâtarde. Esyllt avait l'esprit chantant, l'air guilleret pour ce sacre.Y venir ne souffrait aucun intérêt, la Reyne, elle l'avait déjà vu, ne souhaitait pas lui demander de grâce et n'avait pas la lèpre, pas non plus de raison de la toucher. Non la Vicomtesse venait pour faire plaisir à son amie. Cela avait été l'occasion d'un voyage fort agréable, sur la Loire et en voiture, à jouer aux cartes et infliger de sévères défaites à Sorane, permettant ainsi de financer son prochain banquet, ou commenter le paysage, la morne campagne sous ses manteaux d'hiver était une source sans fin de tergiversations. La couleur de la robe de la Reyne aussi, mais le sujet fut abordé trop tard pour être approfondi. Une fois arrêtées à Condé, elles pressèrent Charles de leur permettre de se rafraichir, de se changer, de paraitre présentables après tout ce trajet. L'homme sourcilla mais laissa faire, regrettant sans doute alors de leur avoir proposé de passer par Condé.
Deux heures plus tard, rien de plus, rien de moins, le convoi était prêt à repartir. La voiture Avallonaise resta sur place et c'est le carrosse princier qui fit le reste du trajet. Et moins de deux heures, encore, plus tard, le trio était fin prêts à débarquer sur le parvis de la Cathédrale ...


Sur le parvis, tout trois faisaient bonne figure même si ainsi entouré, on pouvait croire Esyllt entourée de ses deux parents, mais il n'en était rien. Ses parents se trouvaient sur son cœur, la broche de son père et le bracelet de sa mère nouait autour comme un saphir en son écrin. Voilà, elle affichait sa parenté et pouvait avancer alors que son collier de Secrétaire d'État claquait sur sa poitrine au fur et à mesure qu'elle montait les marches. Techniquement, ils seraient séparés, Charles représenterait son cousin, le Prince de Condé, elle serait cloisonné aux rangs des Officiers Royaux et Sorane rejoindrait les autres nobles. Mais la vicomtesse ne le souhaitait pas, elle préférait rester près de son amie pour cette cérémonie. De toute façon, à droite ou à gauche de l'allée, les rangs étaient à la même hauteur, trop loin pour qu'elle voit quelque chose une fois que les plus grands seraient devant elle. Aussi, après s'être fait indiquer, les deux femmes laissèrent Charles et rejoignirent leur places et Esyllt pressa Sorane.


Par ici, la place dans l'allée nous donnera une vue sur la cérémonie. Un nous bien égoïste car c'est à elle qu'elle pensait, mais soit, la cadette de la Louveterie assumait tout. Elle n'avait pas fait de frais pour cette cérémonie, une robe de sa sœur adaptée à sa taille, sa couronne, quelques bijoux, un collier d'officier, voilà qu'elle faisait déjà trop sapin de noël à son gout. Mais si cette idée lui semblait véritable à Vitry sur Loire, elle le regrettait ici. Rien que la coiffe de son amie lui donnait envie même s'il fallait savoir la porter. Pour Esyllt pas de risque de toucher un lustre ou le plafond, non, mais habituée des mouvements de tête impulsif, elle tomberait ou chahuterait son entourage. Mais sortie de ses pensées, alors que la foule affluait encore et qu'elle ne regrettait en rien sa place, elle lança.

A votre avis, cette cérémonie sera-t-elle brève ? J'ai hâte de connaitre le résultat pour la Lacrima Aristotae et puis, il y a trop de monde ! Le ciel ne rejaillit pas dans les vitraux, c'est morne ! Vivement que Vitry retrouve son lustre pour que je propose nos verres et nos techniques, il faut changer cela.

Et elle se plaignait, sans trop se cacher, sans trop craindre les représailles, c'était son tempérament, sa façon d'être et ce n'est surement pas Sorane qui la contredirait. Bien sur, leur entourage, elle ne le connaissait pas et ce serait la surprise du jour. Mais pour l'heure, elle agitait les mains tout en montrant les vitraux, ses projets de Christos à la brebis, d'angelots bordés par les rayons du soleil, d'un bleu de Loire, d'un sanguine éclatant et ..
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      Esyllt Catarina de la Louveterie-Juliani Monfort
Jason_maccord
[La Cathedrale]

MacCord avait laissé les Normands au Tambour afin de prendre la temperature de la ville en arpentant un peu les rues qu'il connaissait si bien. Deux ans qu'il etait parti. Pourtant l'ancien sergent-maréchal reconnaissait bien les lieux et arriva près de la cathedrale sans encombre malgré le monde qui se bousculait.
MacCord se renseigna près des gardes pour voir où les officiers royaux devaient se placer puis rejoignit la place indiquée.


Bon, y a plus qu'à attendre et reperer les autres...

Coup d'oeil de droite et gauche, à la recherche d'autres membres des Chasses ou de tetes connues. Mais que de monde...
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