Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3   >   >>

[RP] - Les retrouvailles familiales...

Edwin_de_proisy_


La jeunesse a des avantages que seul les vieux savent, et Ed ne se rend même pas compte que la joie lui avait fait oublier sa fatigue et les courbature de son fessier
Arriver juste devant l’auberge il sauta de l’étalon manquant de tomber sur ce pauvre fessier justement.. mais il se raccrocha de justesse a la brides sous les hennissement protestataire de Chocolat qui lui lança un regard noir
Mais rien a faire il ne le remarqua même pas c’est avec la même vitesse qu’il se remit sur pieds et entra en ouvrant grand la porte d’auberge laissant le vent s’engouffrer dans une bourrasque qui vit s’envoler quelque gazette qui trainer sur le comptoir

Sa voix s’éleva dans la pièce vide de client

Emilllliiiiiiiiiiiiiieeee !!!???? Emillliiieeeeeeeee !!!???
Seul l’aubergiste était là derrière son comptoir arquant un sourcils en regardant le jeune garçon qui ne prêter pas attention a sa présence
Le petit continuait ses recherche et il monta 4 a 4 les marche qui menaient a l’étage avec toujours le même nom a la bouche…

Emiliiiiie ???? Emi…..
Sa recherche fut interrompu net.. l’aubergiste furieux l’avait poursuivit et le tenait ferment par la chemise

Mais ou tu t’crois morveux!!! sac a puce ! les mendiants j’aime pas les voir chez moi !! Mes client recherche l'repos et l'tranquillité !! j' vais t' mettre une correction dont tu souviendras longtemps
Il faut croire que le vieux dirigeant n’avait pas toute sa vue car les vêtement que l’enfant portait était loin d’être ceux d’un mendiant la qualité elle-même aurait put prouver qu’il était du famille noble et bourgeoise de surcroit !
Mais l’homme ne remarqua rien et en même temps qu’il disait ses mots il retira sa ceinture et la brandit prêt a l’écraser sur le séant juvénile Décidément on lui a voulait a se séant…
L’enfant ne comptait pas se laisser faire et se débâtit ! chercnant a se retourner pour être face a l’homme car bien sur celui ci avait surprit le garçon pas surprise…

Lâchez moi ou vous le regretterez !! j’vous jure vous le regretterez !!

Il ne peu dire pourquoi il allé le regretter car l’homme se mit rire, un rire moqueur et diabolique…

et qu'est ce qu'elle va me faire la demi portion hahaha arrête j'vais faire dans mes braie!
hahaha


Ed serra les dente et ferma lles yeux en voyant la mains de l'homme prendre son élan...

_________________
La tête dans les étoiles
Le coeur sur la main
Il se promene toujours avec son terre neuve Biloute!!
Leello
Son fils filait comme le vent quelque peu secoué par le galop saccadé et peu confortable de Chocolat.
En le voyant si grand aujourd’hui elle prit une décision importante, Chocolat avait besoin de prendre sa retraite et dès le retour en Poitou elle se mettrait à la recherche d’un hongre pour son fils.
Un bon cheval robuste, le pied sur, fait pour les voyages et les jeux de joute.
Cette pensée la fit sourire car elle imaginait sa tête en entrant dans les écuries.
C’est cet instant que choisit son ami pour lui faire part de son désespoir quand à sa personnalité.


ElOso a écrit:
Bien bien bien .... Galopons, labourons le pavé, brulons les fers, et pêtons-nous la caboche par terre ! Vous ne m'ôterez néanmoins pas l'idée que vous êtes une furieuse irrécupérable !


Elle éclata de rire puis le regarda dans les yeux.


Mon cher je sais … mon époux serait bien d’accord avec vous d’ailleurs mais ne paniquez pas nous resterons en selle !

Le voilà alors qui se met à talonner sa monture pour partir derrière Ed. Leello grogna quelque peu, il avait osé la planter là juste par fierté … ou allez savoir quel autre sentiment masculin qui l’empêchait de supporter l’idée qu’elle puisse arriver avant lui à l’auberge.
Elle prit alors le galop derrière lui, un léger sourire aux lèvres alors que le froid lui glaçait les joues figeant son visage. Ses mains tenaient la bride de Pirate pour lui éviter de s’emballer lui qui n’aimaient pas rester derrières ses congénères en général.


Tout en galopant elle entendait la voix de son fils appeler sa sœur et elle prit conscience que l’absence de celle-ci lui avait pesé bien plus qu’il ne l’avait montré.

Elle lâcha la bride de Pirate qui accéléra sa galopade et rejoint alors la cours devant l’auberge. Elle le stoppa net arrivant tout juste derrière son ami et lui sourit en mettant pieds à terre, quand son oreille de mère entendit des propos fort désagréable à son oreille.


aubergiste a écrit:
Mais ou tu t’crois morveux!!! sac a puce ! les mendiants j’aime pas les voir chez moi !! Mes client recherche l'repos et l'tranquillité !! j' vais t' mettre une correction dont tu souviendras longtemps


Gardant son calme un court instant pour ne pas que ElOso comprenne qu’il y avait un souci elle sourit innocemment et lui tendit la bride de Pirate. Puis elle entra assez vivement dans l’Auberge avant de prendre une grande inspiration pour ne pas couper la tête de celui qui osait soulever son fils du sol sans son autorisation et qui plus est s’apprêtait à lui coller une correction qu’il n’avait pas mérité.

Le pauvre homme se permettait en plus d’en ajouter.


aubergiste a écrit:
et qu'est ce qu'elle va me faire la demi portion hahaha arrête j'vais faire ans mes braie! hahaha


Elle se racla la gorge, claquant la porte violemment pour faire remarquer son arrivée et ainsi arrêté l’homme dans son élan, puis d’une voix forte et plus qu’audible …

AUBERGISTE ! vous allez poser mon fils délicatement sur le sol et remettre votre ceinture sur vos braies, cela pourrait vous être utile quand vous aurez fait dedans !
La demi portion ne fera rien elle est bien éduqué, mais ce n’est pas le cas de sa mère.

Il se trouve que dans ces moment là Leello était assez convaincant et en général ça passait où ça cassait. Elle espérait ne pas devoir étriper un aubergiste devant son fils mais n’hésiterait pas si celui-ci ne se décidait pas très rapidement. Le souci étant qu’elle ne supportait pas l’injustice et encore moins qu’on se permette de faire du mal à ses enfants.
_________________
Emiliedeproisy
Elle finissait d'ajuster sa toilette, des nattes parfaites tresséesavec une insondable douceur par son père, elle avait choisi de mettre les braies finalement après avoir longuement regarder les robes, en fait elle avait longuement hésité sous le regard amusé de son père, mettant son doigt sur ses lèvres, plissant le front dans une réflexion existantielle intense , la robe pour être élégante ou les braies pour le coté pratique, finalement elle se retrouva avec les braies dans les mains sans vraiment s'en rendre compte, elles étaient jolies ses brais, et le petit haut allait fort bien avec, la chemise de baptiste était aussi seyant que confortable, elle passa les chausses de laine, se tourna vers son père
Ca va comme ca Papa....je suis parfaitement bien dedans en tout cas, et je vais pouvoir sortir sans avoir froid! je prendrai la pélerine et je serai parée.

Elle se précipita vers son père, l'envie subite de lui faire un baiser, puis le laissa se préparer à son tour, quand tout à coup elle entendit son nom...elle tendit l'oreille ..oui ....on l'appelait d'en bas...elle perçut une cavalcade dans l'escalier, puis tout s'interrompit, avant que son père n'ait eu le temps de dire ouf elle était sur le palier, et descendait...elle était sure ; oui certaine qu'Edwin était là...Elle descendit rapidement les marche et stupéfaite découvrit le tavernier maintenant un garçon les pieds hors du sol...il le menacait..; son coeur se mit à battre à tout rompre
Pappppppppppppaaaaaaaaaaaaaaaa Ed est en bas!!!! Vient viiiite !!!


Elle continua sa descente,


Lachez le!!!! mais Lachez le!!!!

Sa voix fut alors couverte par une autre qu'elle aurait reconnue entre mille,


Citation:
AUBERGISTE ! vous allez poser mon fils délicatement sur le sol et remettre votre ceinture sur vos braies, cela pourrait vous être utile quand vous aurez fait dedans ! La demi portion ne fera rien elle est bien éduqué, mais ce n’est pas le cas de sa mère.
Eloso
Et voilà. Une bride dans chaque main. Clairement, ça veut dire : Aux écuries, mon cher.

Tandis que la vicomtesse pressée,et on le serait à moins, filait retrouver enfants et époux, il emmena les chevaux à l'abri, pour leur donner les soins necessaires.

Il n'avait rien entendu de ce qui passait à l'intérieur, et prit son temps, laissant aux Proisy le temps de se retrouver.

L'écurie était moyennement tenue, et il fronça le nez. Rien n'était plus important que le confort des chevaux, sollicités en permanence. En d'autres temps il aurait tempêté, pendu le palefrenier à un licol, élegamment botté le cul de l'aubergiste. Mais là, il avait mal partout, et il se contenta donc, en grognant de désharnacher Tipiak, non, Pirate, et Scirocco.

Les deux ne se quittaient plus guère, développant une complicité équine assez improbable.
Plusieurs fois il avait surpris entre eux une sorte de clin d'oeil, voire un léger sourire, alors qu'au détour d'un pré ils se démanchaient l'encolure, en choeur, suivant des yeux la croupe rebondie d'une pouliche en pâture.

Une fois les chevaux séchés, bouchonnés et brossés, il s'assit sur une botte de paille. Quiconque ne le connaissait pas aurait pu penser qu'il reflechissait à son avenir. En fait non. Il ne pensait pas. Etonnante capacité qu'il avait, de fixer un clou, une poutre, et de laisser partir son esprit.
_________________
Edwin_de_proisy_


La mains commençais son ascension vers la croupe du gamin et l’élan qu’il avait prit serait sans nul doute la plus belle correction qu’il aurait prit de toute sa courte vie
Il ne comprenait vraiment pas pourquoi l’homme était aussi furibond il n’avait pourtant rien cassé il n’avait pas volé quoi que ce soit, son seul tord était surement d’avoir laissé sa joie s’extériorisé et d’en avoir oublier la politesse
Serte, il avait crier mais c’était pas réfléchit ni pour embêter… et l’homme ne semblait même pas savoir le pourquoi du comment
il se débattait comme il pouvait mais il était certain qu’il ne pouvait rien faire contre ce molosque
il espéra dans son fort intérieur qu’il ne s’était pas tromper que son père et Emilie était bien dans cette maison, il espéra de tout son cœur que son géniteur sorte et lui mette sa raclé a ce grands dadet, qu’il viendrai a son secours. A moins qu’il ne soit d’accord avec lui et cette fois encore il décevrait son père.. il imaginait déjà son regard de désaprobation, et maintenant il prier pour qu’il ne soit pas là pour qu’il ne vois pas cela. Entre le père et le fils c’était toujours un peu compliquer, et il ne voulait pas gâché leur retrouvaille
C’est a ce moment là qu’il vit une tête blonde dévaler les escaliers se planté devant la scène yeux avec un regards remplit de stupeur… c’était Emilie et il essaye de ne pas montrer qu’il avait peur pour pas qu’elle s’inqiète
mais il n’eu pas le temps de dire quoi que ce soit a l’arrière déjà la voix en rage de sa mère avait prit la parole et l’homme se retourna vers elle… le tenant toujours pas le col
l’enfant voyait au regard de sa maman qu’il avait intérêt de le lâcher et plus vite que cela mais l’homme resta un instant sans bougé.. ca avait eu au moins le dont de stopper le coup violent..
le regarde de celui-ci regarda la jeune femme de haut en bas puis en travers, elle était a son gout et les belle femme comme ca était rare dans le coin.. la plupart qu’il côtoyer avait la gale ou des puce.. et toute sorte de maladie
il pouvait déjà sentir son odeur d’eau de toilette
et il était claire que l’homme avait un coup dans le nez.. il ne voyait pas la cape des hospitalier.. il ne comprenait pas qu’elle était de bonne famille ou tout simplement s’en fichait !
Un sourire un peu pervers se dessina sur ses lèvres

Tu veux que je lâche ton fils ma belle .. pas de soucis !!
Sur ses mots il balança l’enfant qui se fit propulser comme un patin contre un table, sa tête cogna violemen t contre le murs le laissant pantelant mais encore conscient


Viens me voir jolie minois ..

Il s’approcha et prit une mèche de cheveux de la belle pour la respirer profondément

c'est que tu sens bon ma parole!!
Son visage s’approcha alors du visage féminin et dans son souffle , halène fétide, qui prit possessions de l’air ambiant
C’est pas prudent de se promenait seules avec son mioche tu sais ..

Ses yeux la fixé injecté de sang pour être imbibé il l’était vraiment !
Il ne remarqua pas la demoiselle derrière c’est dans un geste brusque mais tanguant qu’il plaqua Leello contre le murs..

Le garçon impuissant car sonnait ne put que murmurer…

Lâchez maman…
Et le garçon qui pleurer que rarementt ne vit bientôt rien d’autre que des larmes qui brouillé sa vue..

_________________
La tête dans les étoiles
Le coeur sur la main
Il se promene toujours avec son terre neuve Biloute!!
Leello
L’effet de surprise avait fait son effet et les pieds de son fils avaient retrouvé le plancher des vaches. Certes pas aussi délicatement qu’elle l’aurait souhaité mais en même temps ça lui avait évité le coup qui lui était destiné et qui l’aurait surement secoué un peu plus. Il apprenait ainsi la vie ainsi et même si Leello préférait lui éviter les situations pénibles, elle ne pouvait pas le protéger de tout.

D’un seul coup d’œil elle vit qu’il n’avait rien ce qui la rassura, en revanche elle gardait à l’œil l’arsouille qui la zieutait …
Elle adorait ça, Leello, sentir un regard puant sur elle … ça lui déclenchait un frisson désagréable qui ne laissait aucune issue en dehors de celle de trouver le moyen de calmer les ardeurs du propriétaire.

A voir sa tête ça n’allait pas être facile de le faire changer d’avis. La diplomatie, même si elle l’étudiait très sérieusement depuis trois ans ne lui serait pas d’une grande aide, sauf peut être celle de Alde …Car il était évident qu’il devait y avoir un certain temps que l’homme n’avait pas approché de gazelle et encore c’était sans tenir compte de son odeur …
Un sentiment de dégout s’empara d’elle alors qu’il s’approchait, Leello fit signe à Ed de monter rejoindre sa sœur, car à elle savait maintenant que si le sang ne coulerait pas de sa main, il coulerait de toute façon au moment où son écuyer passerait le seuil de cette auberge pour la rejoindre comme prévu.


aubergiste a écrit:
Viens me voir jolie minois ..


Leello leva les yeux au ciel et soupira, il fallait en plus qu’il en rajoute …Le bougre n’allait pas changer d’avis et la plaqua contre le mur. A cet instant deux options, soit elle restait gentille et un de ses genoux irait à la rencontre des bijoux de famille de son assaillant soit, une dague offerte par son presque vieil ami lors de la saint Noël allait être baptisée en venant chatouiller le gras d'un aubergiste maladroit.
Leello était de mauvais poil, elle était fatiguée et on avait failli s’en prendre à son fils, il était donc évident que la gentillesse ne serait pas son choix. Elle rassembla les forces qui lui restaient puis dégagea une de ses mains qui vient attraper en une seconde la fameuse dague cachée sous son jupon et bien fixée sur l’extérieur de sa cuisse avant de la coller sur le ventre de l’aubergiste.
Elle remercia rapidement par la pensée frère Thomas qui avait veillé à parfaire son aisance au combat.


aubergiste a écrit:
C’est pas prudent de se promenait seules avec son mioche tu sais ..


Comme vous le voyez je ne suis pas seule, et si vous faite un geste de plus vos trippes viendront ternir le parquet de votre auberge !

Espérant grandement qu’elle n’aurait pas à donner ce spectacle, elle jeta un œil dans l’escalier pour voir si les enfants étaient bien retournés dans la chambre et commençait à languir que quelqu’un passe le seuil de l’auberge.

_________________
Eloso
Rever, le cul sur la paille, c'est bien. Mais ça ne nourrit pas son homme.

Il se leva dans un craquement. Ben oui, la jeunesse est un état passager. Il était temps de rejoindre la salle, et de voir ce qu'on pouvait avaler de solide. Une porte semblait y mener, depuis l'écurie, et il tenta le coup. Bingo, l'oeil du maître...

Sombre et vaste, la salle. Mais pas silencieuse. Oh, pas de cris, non. Juste une voix glacée, détachée. Il ne comprenait pas les mots, de là où il se trouvait, mais il reconnut sans peine Leello. Elle parlait rarement sur ce ton, et ça sentait l'embrouille.

Bon, l'embrouille, lui, c'était pas sa tasse de tisane. Il préférait, quand c'était possible, les étouffer dans l'oeuf. Mais sa sénéchale était diplomate, parfois, et peut être négociait-elle le prix du vin ?

Il s'approcha, et contourna le pilier central, silencieux, pour voir ce qui se passait.
Il ne vit en fait qu'un dos, plus large en bas qu'en haut, avant de deviner que la voix venait de derrière ce dos. Ou devant, mais bon, de là, ça faisait derrière. Et manifestement, nulle bouteille en cause. Hum.

Il s'approcha encore, avant de comprendre. Il s'agissait en fait tout bêtement de la pulsion avinée d'un bougre d'abruti en manque de chair fraiche. Mouais. Mais ce qu'il y a, c'est que dans certaines situations ces pulsions sont mortelles. C'est quand même dommage, non ?

Il n'avait pas mauvais fond, l'Hospitalier, faut pas croire. Seulement, il était chatouilleux sur deux points : Son honneur, et celui de ses proches. Or là, s'agissant de sa presque vieille amie, l'homme avait franchi la ligne rouge. Celle du sang.

Il n'était pas en colère, non, il était froid, glacial même. Une main gantée se saisit lentement d'un lourd broc de terre, laissé sur une table.

Hep... Bonhomme...

A peine le temps de croiser un regard aussi surpris que bovin, que le broc explosait sur le crâne de l'aubergiste, avec un bruit plutôt creux.
L'oeil tourna vite au vitreux, et la lourde masse s'écroula sur le plancher, levant quelques volutes de poussière.

Il fit la moue, observant Lee.

Ca va vous ? Je viens de penser à quelque chose... Ca va être dur de manger, maintenant.
_________________
Leello
Elle avait failli attendre ... Mais non il n'était pas bien loin et Leello sourit quand elle senti la présence de son ami.
Elle croisa rapidement le regard de l'aubergiste et fit un petit sourire juste avant qu'il ne découvre la qualité de ses brocs.

Il en fallait peu pour que l'Ours ne grogne et là il n'avait pu contenir sa colère. Pour le coup, Leello appréciait, l'aubergiste s'affala sur le sol et elle poussa un soupir de soulagement.


Pas mécontente de vous voir vous ! J'ai bien cru ne jamais vous voir arriver et devoir utiliser votre cadeau.


Leello lui sourit et s'approcha posant un baiser sur sa joue et lui murmura.


Merci mon ami !

Puis elle jeta un oeil dans l'escalier.

quote a écrit:
Ca va vous ? Je viens de penser à quelque chose... Ca va être dur de manger, maintenant.


Vous êtes là, alors ça va ! et je vous invite dans une autre auberge, ça ne sera que meilleurs et plus accueillant ! Je vais chercher les enfants et nous sortons d'ici avant que notre ami ne sorte de son état somnolent.

Leello lui sourit et serra dans sa main la sienne, un geste de reconnaissance symbolisant leur lien toujours plus fort avec le temps.
Elle monta les escaliers quatre à quatre et commença à ouvrir les portes des chambres pour trouver ses enfants qui avaient dû se cacher tant ils avaient eu peur.

_________________
Eloso
Il sourit légèrement.

Je ne tenais pas à ce que vous salissiez votre lame, ça gicle partout après.

Et un bisou, un. Héhé. Ca allait coûter cher en aubergistes à la société.

Oui, c'est vrai, on n'a qu'à aller dîner ailleurs, et à ce suj....

Trop tard. Elle était déjà dans l'escalier. Bon.

Il se pencha sur l'homme effondré. Arf. Un doigt posé sur la jugulaire lui confirma sa première impression.

Bon, il est quelque peu décédé, notre ami, là.

C'était ennuyeux. A cause de l'odeur, surtout. Vivant, il puait, alors mort, ça devait être cataclysmique. En plus il n'y avait personne ici. Pas que ce soit étonnant, vu la tenue de la maison, mais il allait devoir évacuer le cadavre tout seul.

Qu'a cela ne tienne, il décida de le faire rouler jusque derrière le comptoir, que les enfants ne le voient pas. Il s'agissait d'abord d'allonger les bras le long du corps, puis de pousser, de la botte, pour faire basculer le tas de graisse. Et de recommencer, encore et encore. Et il était lourd, le bestiau.
Enfin, le corps immobilisé derrière le lourd comptoir, il lui adressa un rapide signe de croix.

Ainsi périt celui qui avait cru pouvoir toucher les collines interdites ! Requescat in pace.

Ainsi reconcilié avec le ciel, il se servit une chope, laissa une pièce sur le comptoir, et s'accouda, attendant la descente familiale.
_________________
Edwin_de_proisy_


Un ordre.. celui de monter ! de ce cacher d’évité..
Ed hésita un moment ce n’était pas très courageux de partir en laissant sa aman aux mains d’un homme aussi malsain que lui
Que lui voulait t’lle pourquoi s’approchait t’il d’aussi prêt.. tout cela le jeune homme était pour lui un mystère.. ce mystère il le saurait un jours mais pour le moment il lui fallait prendre une décision.. et celle-ci prise en voyant un regard assez sec pour lui devoir obéissance, mais surtout parce qu’en levant la tête c’était une Emilie blanche comme un linge pétrifier sur ses jambe qu’il vit …
Son instant de protecteur prit immédiatement le dessus et il couru en sa direction lui attrappant la main au passage !

Vient ma Lilie !

Ils montèrent tout les deux a vive allure Edwin tirait sur le bras fin de sa sœur cherchant une cachette….un lieu pour la mettre a l’abris pour la serrer contre lui pour la protéger de tout son corps et si cet homme faisait du mal a sa mère il se le jurer il le tuerait de ses propre mains..
Il trouvèrent une chambre vide avec un placard a balais ! il poussa Emilie qui s’ecroula au sol parmis les sceau et les pelle… la poussière s’en éléva se qui le fit tousser !
Il entendant la voix d’Emilie parler mais le sont était comme aténuer.. il n’écoutait pas se qu’elle lui disait, il était dans une bulle .. une bulle qui lui dicté se qu’il devait faire il referma la porte s’accroupit avec elle et la tient fermement dans ses bras la serrant le plus fort qu’il pouvait fort
Il tremblait de tout ses membre a moins que ce soit elle .. ou les deux a la fois

T’inquiète pas ma Lilie je suis la.. il te fera pas de mal..
Disant ses mots il s’empara d’un manche a balais qui trainer dans le placard et le serra fort dans son petit point !
Se rappelant des entrainements avec Eloso l’enfant les repêter inlassablement dans sa tête pour être sur que le moment venue il sache quoi faire !
Il le jurait si l’homme ouvrait cette porte il lui ferait manger du balais jusqu'à se qu’il n’est plus de dents !!
Oui il avait peur mais pas pour lui pour sa petite sœur qu’il n’avait même pas put retrouver comme il l’espérait.. et cela amplifier sa rage !
et durant cette longue attente il réêta dans un murmure

pardon.. pardon pardon...

la culpabilité le rongé pourquoi avait t'il crier...

Pendant ce temps en bas l’homme regarder la belle de son sourirt noircit par ses dent attaqué de toute part..
Il commençait a relever la robe, quand il sentit une lame usr sa bedaine et il stoppa son geste essayant d’attendre un peu pour la surprendre et lui retirer cette armes un peu trop gênante…

TTTT !! range ca poulette ou je vais devoir te……

La phrase resta en suspent, des étoile des tas de petits hiboux rose se mirent a virevolter autour de sa tête et il s’écroula au sol…
Un silence s’en suivit pour être interrompu pas un ronflement sonore…

_________________
La tête dans les étoiles
Le coeur sur la main
Il se promene toujours avec son terre neuve Biloute!!
Emiliedeproisy
Les yeux fixes, elle regardait la scène, l'aubergiste si avenant la veille, et voilà qu'aujourd'hui il était menacant, elle était encore trop jeune et surtout trop inexpérimentée pour comprendre ce revirement dû à l'excès de boisson, une main la tira vers le haut et sans qu'elle n'ait pu rien faire, elle se retrouva dans un cagibis, le nez dans la poussière,


Teuuuehhhhfffff teuffffffhhhh...arghhhh...; Mais Ed ..papa va venir j'en suis sure...il va voir l'uatre tiens!!! Et si on prenait un des seaux, hein...on se faufile sur le palier et hop sur la tête du vilain pabo qui veut faire du mal à Maman....j'veux voir maman...Ed''''..;

Elle sentit une main se plaquer sur sa bouche,


Chut lilie....Maman a dit de se cacher et je crois qu'il vaut mieux obéir cette fois...

Dis Ed...il va pas lui faire du mal hein...hein....Ed'.....



Elle sentait la main ferme sur sa bouche et l'autre bras de son frère qui l'entourait, protecteur.
Edwin_de_proisy_


Ce n’est qu’une fois contre sa petite sœur qu’il recommença a écouter se qu’elle disait et il lui plaqua la bouche car elle parlait vraiment trop fort ..
Levant les yeux vers elle, en comprenant que leur père était dans la pièce..

Papa est Là ? pourquoi tu me la pas dis avant ?? !

Elle mui avait surement dit pendant qu’il montaient les marche mais tout a ses refelction n’avait rien entendu..

J’crois qu’on va restait la Lilie.. si papa est la tout va bien allé j’en suis sur.. pis il y a Eloso il va aider maman j’en sur sur ! j’en suis sur ! j’en suis sur !


Il avait répétait cette phrase plus pour se rassurer lui-même qu’autre chose, il ne devait surtout pas pleurer mais montrer a Emilie quelle pouvait pas compter sur lui et quand elle lui posa la question pour savoir si il allait faire du mal ses point se resserrèrent sur le manche a balais et ses yeux s’assombrir pour devenir presque effrayant

Si il lui fait du mal on le tuera a coup de sceaux !
Puis il leva le nez de sa sœur et la regarda avec un sourire tendre

Mais tu sais moi j’ais plus peur pour le m’siou… maman est très forte tu sais ..

Il essayer de se le convaincre en même temps qu’il le lui disait

Lui qui aurait aimait plutôt lui dire comme il la trouvait jolie avec sa couronne en orme de tresse.. ses jolie braie qui lui laisse un air de garçon manqué adorable..
Qu’elle avait bien grandit mais qu’il l’avais desuite reconnue.. qu’elle lui avait manqué et qu’enfin il allait pouvoir revivre comme avant .. avec un seul même cœur unis pour l’éternité… Tous se qu'il sortit de sa bouche pateuse fut un souffle


Je t'aime...


Il mordilla sa lèvre en la ramenant sur son cœur et la serra contre lui aussi fort qu’il le put et les deux enfant restèrent là sans bouger n’osant plus dire un mots.. et leur corps restèrent come paraliser quand il entendirent des pas monter dans l’escalier..

_________________
La tête dans les étoiles
Le coeur sur la main
Il se promene toujours avec son terre neuve Biloute!!
Leello
Leello entrait dans toutes les chambres rapidement espérant trouver ses enfants très vite.
Toutes les pièces semblait vide et l'inquiétude s'emparait d'elle lentement mais surement.
Puis elle comprit que Ed avait du se cacher avec sa soeur pour la protéger.


Les enfants je suis là tout va bien montrez vous on part d'ici.


Elle languissait de les récupérer pour se sauver d'ici, puis se plaça dans le couloir pour attendre qu'ils se montrent. Sans quoi elle retournerait ce taudis sans hésitation, mais rien ne l'empêcherait de les serrer contre elle.


Elle se pencha dans l'escalier.


ElOso vous n'avez pas croisé les enfants ?

_________________
Eloso
C'était bien silencieux, en bas, depuis que l'autre était mort. Il n'entendait guère que les bulles de la bière dans sa chope, avant qu'un grondement ne monte de ses entrailles, lui rappelant qu'il avait toujours aussi faim.

A l'instant même où il se decollait du comptoir, bien décidé à aller explorer les cuisines, presque persuadé qu'au moins un saucisson y trainerait, il entendit tomber de l'étage une voix au fond de laquelle pointait une trace d'inquiétude.

Leello a écrit:


ElOso vous n'avez pas croisé les enfants ?


Changement d'objectif. L'heure n'était plus au saucisson, mais aux lardons. Saisissant la rampe, il leva la tête, embrassant la cage d'escalier avant de se fixer sur le visage de la sénéchale, quelques mètres plus haut.

Non, Aucunement. Ils ne sont pas en bas, ça c'est absolument certain. Vous avez ouvert les placards ? Les enfants sont persuadés que ce sont de bonnes cachettes, alors que c'est le meilleur piège qui soit.

Surpris, il ajouta, après un temps de réflexion :

Mais, et Jehan ? Il n'est pas là non plus ?
_________________
Leello
Les placards oui, il avait raison, une fois encore ... Leello avait été un peu perturbée par tout cela et n'avait pas pensé au placard.

C'est vrai ElOso vous avez raison !


Puis il fit référence à son époux. Leello marqua un temps d'arrêt, se disant qu'en effet il était surprenant de ne pas l'avoir vu apparaitre dans l'auberge.
Elle espérait qu'il n'avait pas croisé l'aubergiste.
Emilie devait savoir où Jehan se cachait.


Vous avez raison, étrange qu'il ne soit pas là ! Emilie doit savoir où il est mais là haut il n'y a personne ! enfin en dehors des placards ...

Elle fronça un peu le nez et rentra dans la première chambre face à l'escalier avant d'ouvrir l'armoire. Celle ci était vide, puis elle tourna la tête et vit un placard à balais. Elle s'y précipita et en ouvrit la porte trouvant les enfants blottis l'un contre l'autre. Edwin avait protégé sa soeur et elle était fière de son petit bonhomme. Elle s'agenouilla et leur tendit les bras.

Vous voilà enfin ! tout va bien, on sort de là tout de suite, ElOso nous attend en bas.

Elle était heureuse de retrouver ses enfants et surtout de revoir Emilie, même si les retrouvailles auraient du être bien différentes dans sa tête.

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)