Edwin_de_proisy_

Se blottir. Etre l’un contre l’autre même tout tremblant c’était le principal, voilà se qu’il se disait le garçon
Et il derrière la porte ils n’entendaient rien, seuls les pas qui raisonnaient sur le parquet les prévenait des éventuels mouvements
Aussi quand Leello les appela ils n’entendirent pas
Et les pas qui entrèrent dans la chambre provoqua chez l’enfant une réaction immédiate, tout son corps se contracta son bras munie de son balais se leva prêt a taper ! Le plus fort qu’il pouvait.
Heureusement son regard vif reconnu instantanément la silhouette de sa mère et il lâcha le manche, le jetant avec hargne dans le fond de l’armoire, pour se laisser aller complètement…
Tous ses muscles se relâchèrent tandis qu’Emilie courrait dans les bras maternel.
Le jeune garçon choqué. Remplit de culpabilité… tremblant de toute ses membres, préféra se concentrer pour ne pas laisser ses larmes rouler sur ses joues
Son visage prostré vers le sol il resta immobile, a genoux dans ce placard à balais.
Ne pas montrer a quel point au est touché, ne pas être faible aux yeux de sa mère et sa sœur…
Montrer a Elofson que c’était vraiment rien tout ca, qu’il s’en fichait comme si cela avait était banal…
Son cerveau bouillonner, a la recherche d’un tiroir qui lui permettrait de lever la tête et faire un sourire a tout le monde, un sourire enjouer et désinvolte
Visage recourbé il fixait le sol
Ses cheveux retombaient devant ses yeux et ce n’était pas plus mal cela lui permettait de cacher toute sa peine, toute sa faiblesse, toute sa honte, toute sa peur ! Il avait échouait dans son rôle d’homme de la famille. Laissant sa mère au griffe d’une malotrue, il avait eu la frousse et était partit se caché oubliant les règle d’or qu’il c’était promis depuis sa plus tendre enfance…
Protection envers les seins !
Il était loin d’être ce chevalier sans égale dont parlaient les livres
Loin d’être a l’effigie de ses idoles. Son père ou encore Eloso
Et tandis qu’il entendait sa sœur et sa mère se dirent leur premiers mots depuis bien longtemps il n’arriva qu’a se dire une chose. « Piètre lieu pour des retrouvaille »
c'est a ce moment que le mollosse de chien arriva dans la pièce, poussant tout le monde sans ménagement comme a son habitude, le terre neuve s'assit devant le jeune garçon et se mit a le lapper de sa grande langue comme si il ressentait tout le désarois du gamin
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La tête dans les étoiles
Le coeur sur la main
Il se promene toujours avec son terre neuve Biloute!!