Enguerranddevaisneau
« Je vous aime
Enguerrand
»
Mots dis une fois, une seule et unique fois et qui calmèrent d'un seul coup le Vaisneau. A lui dans un sursaut d'orgueils, provoqué par la réalité enfin dévoilée d'une princesse épris d'un baronnet mal léché, de saisir avec ferveur le visage opalin ainsi offert pour y apposer ses lèvres, humides, voraces, en un douloureux mais non moins salvateur baiser.
Le silence avait enfin pris place dans la pièce, tandis qu'il offrait, qu'il s'offrait même, à la princesse de Breizh.
Les mots étaient ici inutiles, seuls les gestes comptaient et prouvaient à son invitées que les sentiments étaient partagés.
Lui, l'indomptable, maîtrisé par le regard d'ébène d'une jeune femme espiègle.
Lui la teigne, enfin soigné de ses maux quant à la terrible désillusion Fildaïssienne par son Altesse, sa princesse, pour qui il se ferait un devoir, un honneur, d'être son chevalier charmant.
Il avait combattu Elfyn en Joute pour elle, il s'était même laissé punir par ce dernier, dans le but unique de l'impressionner. Et enfin, enfin, tous ses efforts pour séduire cet être aussi semblable à lui étaient récompensés...
Plonger ses Azurines dans ses iridacées quand le baiser prend fin, pour la contempler, essuyant du même coup une larme encore présente, il répond, simplement:
Restez, autant que vous le voudrez...Vous êtes ici chez vous...
Et c'était vrais, désormais, c'était vrais. Ils ne se promettaient rien, mais pourtant tellement. Ils vivaient, simplement, et tant pis pour les autres, tant pis pour les mots, pour les maux.. Ils vivraient, et cela en soit était un avenir plus que prometteur.
Les émotions passées, à lui, donc, de la détailler, de haut en bas, imprimant dans sa rétine chaque détails qui lui rappelleraient cette scène, chaque lumières, chaque grain de peau, chaque couleurs qui hanteraient ses souvenirs encore et encore.
Mais à lui également de remarquer plusieurs point. La taille, légèrement plus épaisse, infime détails, la poitrine également plus ronde, tendant douloureusement le tissus noble de son corsage.. Sourire, espiègle maintenant, il dit, dans le seul but de la taquiner, le rire dans la voix:
Dites moi princesse, n'auriez vous pas grossie?
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Mots dis une fois, une seule et unique fois et qui calmèrent d'un seul coup le Vaisneau. A lui dans un sursaut d'orgueils, provoqué par la réalité enfin dévoilée d'une princesse épris d'un baronnet mal léché, de saisir avec ferveur le visage opalin ainsi offert pour y apposer ses lèvres, humides, voraces, en un douloureux mais non moins salvateur baiser.
Le silence avait enfin pris place dans la pièce, tandis qu'il offrait, qu'il s'offrait même, à la princesse de Breizh.
Les mots étaient ici inutiles, seuls les gestes comptaient et prouvaient à son invitées que les sentiments étaient partagés.
Lui, l'indomptable, maîtrisé par le regard d'ébène d'une jeune femme espiègle.
Lui la teigne, enfin soigné de ses maux quant à la terrible désillusion Fildaïssienne par son Altesse, sa princesse, pour qui il se ferait un devoir, un honneur, d'être son chevalier charmant.
Il avait combattu Elfyn en Joute pour elle, il s'était même laissé punir par ce dernier, dans le but unique de l'impressionner. Et enfin, enfin, tous ses efforts pour séduire cet être aussi semblable à lui étaient récompensés...
Plonger ses Azurines dans ses iridacées quand le baiser prend fin, pour la contempler, essuyant du même coup une larme encore présente, il répond, simplement:
Restez, autant que vous le voudrez...Vous êtes ici chez vous...
Et c'était vrais, désormais, c'était vrais. Ils ne se promettaient rien, mais pourtant tellement. Ils vivaient, simplement, et tant pis pour les autres, tant pis pour les mots, pour les maux.. Ils vivraient, et cela en soit était un avenir plus que prometteur.
Les émotions passées, à lui, donc, de la détailler, de haut en bas, imprimant dans sa rétine chaque détails qui lui rappelleraient cette scène, chaque lumières, chaque grain de peau, chaque couleurs qui hanteraient ses souvenirs encore et encore.
Mais à lui également de remarquer plusieurs point. La taille, légèrement plus épaisse, infime détails, la poitrine également plus ronde, tendant douloureusement le tissus noble de son corsage.. Sourire, espiègle maintenant, il dit, dans le seul but de la taquiner, le rire dans la voix:
Dites moi princesse, n'auriez vous pas grossie?
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