Marzina
[Dans la tête de la blonde]
La rousse abat une cravache de bois sur les doigts de la princesse qui pousse un petit cri aigüe et les ramène vivement vers elle en lui lançant un regard noir.
« Et la politesse jeune fille ? Doué, léducation se perd »
Petit sourire au barbu dà coté qui répond :
« Ne dites pas ça comme si cétait de ma faute ! Ils font ce quils veulent avec leurs gamins, sils ont envie quils soient pourris gâtés cest leur problème ! »
Ignorant totalement la blonde, le barbu continue avec un sourire mielleux vers la rousse, attrapant au passage sa main délicate :
« En parlant denfant, vous déciderez-vous enfin à men donner un ? »
La cravache sabat sur la joue du barbu cette fois.
« Il suffit ! Vous avez déjà Aristote !
-Mais cest un gros paresseux, il veut plus rien faire, regardez-donc comme les hommes se battent entre eux, il doit répandre la paix, mon cul oui ! »
La cravache sabat à nouveau, sur lautre joue.
« Vous deveniez grossier »
Le barbu se frotte les deux joues et bougonne. La blonde lève un index pour se faire remarquer :
« Pourrait-on répondre à mes questions, un jour?»
La rousse lui adresse un parfait sourire surfait, tandis que le barbu boude. Du ton dune préceptrice, elle lui explique :
« Nous sommes le produit de ton imagination, il semblerait que ta conscience se soit fait la malle mon chou Moi je suis la Mère Nature telle que tu la vois, et lui il semblerait que ca soit Dieu.
-Ah, rien que ça
-Oui, tu as une imagination très fertile mon canard
-Alors je vais mourir ?
-Techniquement, non »
Le barbu bougonne :
« Techniquement si ! Tout le monde meurt un jour, enfin, sauf moi et cette mégère rousse »
La cravache sabat sur le postérieur de Dieu tandis que la rousse reprend :
« Enfin, ton heure nest pas venue en tout cas, et je tai préparé une mâaarveilleuse surprise »
Dieu se remet à bougonner et ironise :
« Si vous appellez ça merveilleux un truc qui pleure, bouffe et ch »
La cravache sabat sur son crâne.
« Taisez-vous ! On était daccord pour ne rien lui dire
-Rien me dire de quoi ? »
La blonde relève la tête de son verre de chouchen, les yeux inquisiteurs. La rousse lui prend son verre dune main, et de lautre abat sa cravache sur la main dalbâtre de la princesse.
« Touche pas lhydromel princesse, cest réservé aux divinités !
-Mais cest pas de lhydromel dabord, cest du chouchen ! »
La rousse jette un regard furtif vers Dieu, et chuchote vivement à Marzina :
« Tais-toi donc mon poussin, il ne sen est pas encore rendu compte ! »
Sourire amusé de la blonde.
« Je pourrais en avoir encore un peu quand même ? »
Soudain, des voix semblent venir du ciel doré du jardin enchanté. Une surtout, connue
« Je ne vois que cette solution de toutes manière...Elle saura être reconnaissante...hein? »
Marzina jette un regard interrogateur à la rousse et au barbu. La rousse répond avec un sourire bienveillant :
« Va, on tappelle je crois »
Le barbu lui bougonne :
« Ouais cest ça, retournes-y ! Moi je dis que tu devrais rester, tes ennuis ne font que commencer avec cette grosse »
CLAP !
__________________________________________________
La douleur, vive, larrache à ses pensées et la fait brusquement ouvrir les yeux sur un blondinet en train dagresser son valet préféré.
« Enfin Bertrand!! J'avais dit en douceur! En douceur!!!!!! »
Regard de tueuse sur le susnommé, à ce train-là, il périrait probablement avant que la princesse ne reparte dans son royaume
« Oooohhh Princesse, vous êtes réveillée! »
Grommellement de la blonde qui se frotte machinalement la joue qui brûle horriblement.
« Moui, et je me demande si Dieu navait pas raison »
« Il sera punis pour son geste, croyez moi! »
Nouveau grommellement.
« Je lespère bien, jy veillerais »
Nouveau regard noir vers le valet, la blonde se comportait la plupart du temps comme une véritable enfant gâtée, mais elle pouvait être réellement effrayante lorsquelle sénervait pour de bon
« Vous allez bien... »
Petite moue denfant justement, qui revient sur son visage, alors quelle pleurniche :
« Oui je crois, enfin, il y a été un peu fort »
Elle remarque son air sincèrement inquiet, et en est touchée, un peu gênée, elle murmure :
« Enfin, jaurais probablement fini par me réveiller seule, fallait pas sinquiéter comme ça »
Oui, cétait sans compter le cri aigu quelle avait poussé et dont elle navait plus le souvenir.
« J'ai bien cru mourir en vous voyant ainsi...Ne me faites plus jamais ca... Ma princesse »
Cette fois-ci, elle ne dit rien, et un sourire ravi vient safficher sur son visage. Elle partage son baiser avec délectation, il faut dire quavec sa mauvaise humeur, ils navaient pas eu beaucoup loccasion de partager des moments de tendresse durant la journée. Sa mauvaise humeur était désormais momentanément envolée, et en croisant ces deux yeux bleus qui lobservent comme pour savoir si elle était réellement là, elle se souvient petit à petit de ce qui venait de se passer, et elle déclare dune petite voix :
« Je ne veux pas rester seule cette nuit »
Elle fait alors une petite moue adorable, et avec des yeux de biche, lui demande :
« Peut-être serait-il possible dinstaller une couche à Ninnog dans ma chambre pour quelle dorme non loin de moi cette nuit ? »
Et puis limage de lAnkou lui revient à lesprit, elle se redresse brusquement, et avec de grands yeux ronds et un certain empressement plutôt effrayé, elle linterroge :
« Lavez-vous vu ? Au dehors ! LAnkou ?! »
_________________
Les blondes bretonnes nettoient dans les curs à la dynamite...
La rousse abat une cravache de bois sur les doigts de la princesse qui pousse un petit cri aigüe et les ramène vivement vers elle en lui lançant un regard noir.
« Et la politesse jeune fille ? Doué, léducation se perd »
Petit sourire au barbu dà coté qui répond :
« Ne dites pas ça comme si cétait de ma faute ! Ils font ce quils veulent avec leurs gamins, sils ont envie quils soient pourris gâtés cest leur problème ! »
Ignorant totalement la blonde, le barbu continue avec un sourire mielleux vers la rousse, attrapant au passage sa main délicate :
« En parlant denfant, vous déciderez-vous enfin à men donner un ? »
La cravache sabat sur la joue du barbu cette fois.
« Il suffit ! Vous avez déjà Aristote !
-Mais cest un gros paresseux, il veut plus rien faire, regardez-donc comme les hommes se battent entre eux, il doit répandre la paix, mon cul oui ! »
La cravache sabat à nouveau, sur lautre joue.
« Vous deveniez grossier »
Le barbu se frotte les deux joues et bougonne. La blonde lève un index pour se faire remarquer :
« Pourrait-on répondre à mes questions, un jour?»
La rousse lui adresse un parfait sourire surfait, tandis que le barbu boude. Du ton dune préceptrice, elle lui explique :
« Nous sommes le produit de ton imagination, il semblerait que ta conscience se soit fait la malle mon chou Moi je suis la Mère Nature telle que tu la vois, et lui il semblerait que ca soit Dieu.
-Ah, rien que ça
-Oui, tu as une imagination très fertile mon canard
-Alors je vais mourir ?
-Techniquement, non »
Le barbu bougonne :
« Techniquement si ! Tout le monde meurt un jour, enfin, sauf moi et cette mégère rousse »
La cravache sabat sur le postérieur de Dieu tandis que la rousse reprend :
« Enfin, ton heure nest pas venue en tout cas, et je tai préparé une mâaarveilleuse surprise »
Dieu se remet à bougonner et ironise :
« Si vous appellez ça merveilleux un truc qui pleure, bouffe et ch »
La cravache sabat sur son crâne.
« Taisez-vous ! On était daccord pour ne rien lui dire
-Rien me dire de quoi ? »
La blonde relève la tête de son verre de chouchen, les yeux inquisiteurs. La rousse lui prend son verre dune main, et de lautre abat sa cravache sur la main dalbâtre de la princesse.
« Touche pas lhydromel princesse, cest réservé aux divinités !
-Mais cest pas de lhydromel dabord, cest du chouchen ! »
La rousse jette un regard furtif vers Dieu, et chuchote vivement à Marzina :
« Tais-toi donc mon poussin, il ne sen est pas encore rendu compte ! »
Sourire amusé de la blonde.
« Je pourrais en avoir encore un peu quand même ? »
Soudain, des voix semblent venir du ciel doré du jardin enchanté. Une surtout, connue
« Je ne vois que cette solution de toutes manière...Elle saura être reconnaissante...hein? »
Marzina jette un regard interrogateur à la rousse et au barbu. La rousse répond avec un sourire bienveillant :
« Va, on tappelle je crois »
Le barbu lui bougonne :
« Ouais cest ça, retournes-y ! Moi je dis que tu devrais rester, tes ennuis ne font que commencer avec cette grosse »
CLAP !
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La douleur, vive, larrache à ses pensées et la fait brusquement ouvrir les yeux sur un blondinet en train dagresser son valet préféré.
« Enfin Bertrand!! J'avais dit en douceur! En douceur!!!!!! »
Regard de tueuse sur le susnommé, à ce train-là, il périrait probablement avant que la princesse ne reparte dans son royaume
« Oooohhh Princesse, vous êtes réveillée! »
Grommellement de la blonde qui se frotte machinalement la joue qui brûle horriblement.
« Moui, et je me demande si Dieu navait pas raison »
« Il sera punis pour son geste, croyez moi! »
Nouveau grommellement.
« Je lespère bien, jy veillerais »
Nouveau regard noir vers le valet, la blonde se comportait la plupart du temps comme une véritable enfant gâtée, mais elle pouvait être réellement effrayante lorsquelle sénervait pour de bon
« Vous allez bien... »
Petite moue denfant justement, qui revient sur son visage, alors quelle pleurniche :
« Oui je crois, enfin, il y a été un peu fort »
Elle remarque son air sincèrement inquiet, et en est touchée, un peu gênée, elle murmure :
« Enfin, jaurais probablement fini par me réveiller seule, fallait pas sinquiéter comme ça »
Oui, cétait sans compter le cri aigu quelle avait poussé et dont elle navait plus le souvenir.
« J'ai bien cru mourir en vous voyant ainsi...Ne me faites plus jamais ca... Ma princesse »
Cette fois-ci, elle ne dit rien, et un sourire ravi vient safficher sur son visage. Elle partage son baiser avec délectation, il faut dire quavec sa mauvaise humeur, ils navaient pas eu beaucoup loccasion de partager des moments de tendresse durant la journée. Sa mauvaise humeur était désormais momentanément envolée, et en croisant ces deux yeux bleus qui lobservent comme pour savoir si elle était réellement là, elle se souvient petit à petit de ce qui venait de se passer, et elle déclare dune petite voix :
« Je ne veux pas rester seule cette nuit »
Elle fait alors une petite moue adorable, et avec des yeux de biche, lui demande :
« Peut-être serait-il possible dinstaller une couche à Ninnog dans ma chambre pour quelle dorme non loin de moi cette nuit ? »
Et puis limage de lAnkou lui revient à lesprit, elle se redresse brusquement, et avec de grands yeux ronds et un certain empressement plutôt effrayé, elle linterroge :
« Lavez-vous vu ? Au dehors ! LAnkou ?! »
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Les blondes bretonnes nettoient dans les curs à la dynamite...