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Intro de la préface (si si ça existe, la preuve) :
Parait que dans la chanson, le rossignol dit en latin et en trois mots (il est fort ce rossignol) que les hommes ne valent rien et les garçons encore moins bien (on remarquera la structure approximative des comptines enfantines). Par contre, les demoiselles beaucoup de bien. Tout cela en trois mots, et dans un français incertain... mais bon, peut-on réellement reprocher à un rossignol ses fautes de syntaxe... A méditer.
Préface :
Un coquelicot n'a pas d'épines mais qui a dit que Clémence devait en posséder ? Le nom ne fait pas le moine, selon le dicton (non ?). Car elle renait, l'héritière : de la poussière de sa mère elle tire une nouvelle essence.
Timide et fragile ardeur du coquelicot... Prestance bourgeonnante.
Douce inconstance. Pétales valsants. Pensées changeantes.
Humeurs capricieuses.
Il plie, il hésite, puis sort de son sommeil. Enfin.
Coquelicot Nouveau... Ne l'arrache pas, ne le brusque pas : il se flétrira et en perdra sa couleur.
Rouge pourpre : force et douleur à la fois.
Revêt- le, tu t'en sentiras plus grande.