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Info:
Un arbre de vie, un arbre de masnes planté au beau milieu de place du village sur lequel la poésie fleurit

[RP] Sous un arbre perché vous déclamerez...

Sebelia
Sujet ouvert à tous bien entendu avant de déposer vos poésies un minimum de RP... une 'tite phrase c'est pas la mort du petit cheval hein !










Envie de rendre un dernier hommage à un estre cher
Envie d'exorciser vos états d'asme
Envie d'exprimer vos sentiments vers votre énamouré (e)
Envie de partager la verve de l'amitié
Ou encore...
Envie de glorifier notre duchesse
La poésie procède du cri or ce cri naist de nos joies, de nos peines et tutti quanti
Toi le gueux, toi le mâconnais, toi le voyageur, toi le vagabond
Écoute doncques
Et transfigure cet arbre de vie cet arbre de masnes...

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Et maintenant que vais je faire de tout ce temps que sera ma vie, de tous ces gens qui m'indiffèrent...
Sirsam
Sirsam s'assit sous cette arbre et les yeux rivés vers le ciel laissa, la parole a son coeur qui exprima ces quelques phrases:
A toi qui fait battre mon coeur, A toi avec qui j'avance sans peur...
A toi qui m'apporte téllement de bohneur, A toi mon âme soeur...
A toi qui a changer ma vie, A toi je te remercie...
A toi qui éblouit mes yeux a chaque fois que tu rit , A toi je t'aime a la folie...
A toi qui me manque tous le temps, A toi mon amour et dédier définitivement...
Ces quelques phrases ne peuvent prouvé a quelle point je t'aime ...mais elles représentes un petit maillon de la grande chaîne qui représente mon amour...
Lou je t'aime et sa pour toujours......
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Garrus
Tout en tournant lentement autour de cet arbre, Garrus déclara :



Les poésies parlent trop souvent d'amour
Parfois de ceux que l'ont a perdu
A qui nous penserons pour toujours
Cette souffrance dépasse grandement celle de l'âme du pendu

Même si les mots ne me viennent pas
Je tiens à exprimer ma colère
Pour ceux enterrés ici bas
Nous ne les reverrons jamais, ils sont déjà engloutis par la terre
Sebelia
Le nez et le casque de ses cheveux bruns au vent, le regard attiré vers l'arbre des Masnes, elle toisait noisettes plissées, le courant d'air qui s'engouffrait dans les torsades du drapé pourpre flottant autour de ses épaules. Un long frisson traversa le haut de sa fresle silhouette qui s'avançait d'un pas éthéré vers le plus vieil hoste de ce village. Avec agilité et souplesse Sebelia se hissa sur une de ses branches avant d'entreprendre l'escalade de l'arbre jusqu'à sa cime. Dressée de toute sa petite taille, svelte et de belle prestance, la bella balaya de ses opalines la ville endormie tout en plongeant une main gracile dans son corsage pour en retirer un vélin qu'elle accrocha solidement avant de redescendre.




Le mal des mots


Ma gorge si serrée ne peut libérer aucun écho
Alors de ma plume je couche à main levée
Pendant que les larmes coulent à flot
Ces quelques mots, mélange d'encre et d'eau salée.

Ces quelques lettres qui forment des mots, mots terribles,
N'ont de sens que par leur émotion, des garde mots
Telles de petites flèches empoisonnées, imperceptibles
Elles distillent un mal, le mal des mots

Disparaistrons les mots biasés, mots d'amour, jeu de mots
Subsisteront seuls mon tendre aimé ces mots de couleur bleu,
Ceux qui rendent inutiles toute parole tout mot
Car ces mots là tu l’auras compris se disent avec les yeux*


*hommage à un défunt amant

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Et maintenant que vais je faire de tout ce temps que sera ma vie, de tous ces gens qui m'indiffèrent...
Loutina
Lou n'avais pas vu ce nouvel endroit sur la halle jusqu'a ce qu'elle voit Seb en sortir les yeux rougit et les épaules pesantes.
Elle y entra par curiosité avant tout et vit un panneau avec des poemes affichés.
Son regard se porta sur un en particuler,son homme avait laisser un écrit pour elle.
Émue presqu'aux larmes Lou prit connaissance des mots remplis d'amour que son Sam lui avais laisser.


Elle pris elle aussi un parchemin ,de l'ancre et une plume puis sur une table s'installa pour laisser a son amoureux de doux mots .

Moi qui voulais garder ma liberté
Le jour ou je t'ai rencontrer
Mon coeur s'est emballé
Déja je savais t'aimer


Un soir nous avons discuter
Puis nous avons jouer
Les chatouillis nous ont rapprocher
et jamias j'oublirai ce premier baiser


Depuis notre amour est si fabuleux
nous passons des jours heureux
Bénis sois ce jour merveilleux
Ou j'ai vu l'amour dans tes yeux


Je t'aime Sam plus que tout et ce pour toujours
Sebelia
Si Garrus ne s'était proposé pour devenir son champion c'est vers luy qu'elle se serait alors tournée. Luy l'ami de toujours, Maelgar l'enfant de Mâcon. Pourquoi es tu parti si tost sur les routes ? L'envie de grandir certes, de perdre cette naïveté qui caractérisaient doncques tous les oisillons ? J'ai tant supputé... Icelieu tu te cherchais je te trouvais...tu me cherchais je le trouvais... Le triangle infernal figure symbolisme du chiffre trois. Ce triangle qui me poursuit et me correspond si bien, tout comme il est si souvent associé aux éléments. Sang meslé nous sommes l'eau, la terre, le feu et l'air...

Et puisque j'ai ton autorisation laisse moy étendre mon bras et immortaliser ces quelques lignes souvenir d'un passé. Je venais d'avoir 18 printemps...




Chère amie, pourras tu me pardonner
En ce jour spécial, de t'avoir négligée
Je m'en veux tellement, c'est lamentable
Je me trouve absolument impardonnable.

Mais cessons les gémissement, c'est jour de fête !
Cela fait 1 année que tu balades ta jolie tête
Et je ne te connais que depuis quelques mois
Je l'avoue, d'entrée, ta beauté m'a laissé coi

Han a su te séduire, et c'est l'homme qu'il te faut
Qu'aurais pu faire un vagabond sans rien sur le dos
Un peu naïf, peut être volage mais plein de courage
Il observe ses ainés du haut de son jeune age

Sebelia, mon ainée tu es et mon ainée tu resteras
J'espère un jour pouvoir suivre ta voie
A l'université venir, pour enfin m'instruire
Apprendre plein de choses, comme compter et lire

Amie, sache que les distances ne sauraient nous séparer
En mon esprit une place spéciale t'es réservée
Va de l'avant, avec Han toujours avec entrain
Car du bonheur, ceci est le vrai chemin*


*Maelgar, Mâcon le vingt quatrième jour de novembre 1457

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Et maintenant que vais je faire de tout ce temps que sera ma vie, de tous ces gens qui m'indiffèrent...
Julia
Julia ne sortait pas souvent de chez elle.Entre son champ de maïs et sa maisonnette, elle menait une vie sage, une vie de demi morte, aurait dit une sienne amie en lui jetant son regard noir en pleine face. Parfois, elle rêvait qu'enfin, elle allait partir , prendre au matin la route qui au sortir de Macon filait droit au Nord..Arriver dans un village endormi , un matin et chercher dans toutes les rues juste peuplées de chants d'oiseau sa maison.
La chercher longtemps, impatiente, mais calme, le long de la rivière, au bord de la forêt..Au détour d'une ruelle, la trouver enfin, pas loin d'une taverne, et en sourire quand même.S'asseoir sur un banc juste devant, sous un grand tilleul, et attendre....


Si elle le revoyait, ce serait peut être
Dans un petit matin, frissonnant de rosée...
Loin des tavernes dont elle longeait les fenêtres
N'osant imaginer, souffrant, le ventre noué.


Là, en pleine lumière , elle remplirait ses yeux
Son allure de roi, sa haute silhouette
Sous les boucles brunes,son regard silencieux
Sa bouche, lèvres carmin,bien trop souvent muette.

Elle l'a aimé si fort, il l'a aimée naguère
les mots, de ce temps là coulaient comme chansons.
Elle buvait à ses lévres, elle en avait la fièvre.
Intrépide elle rêvait aux prémices des frissons.

Puis une autre est venue, pieds bien plantés en terre
Elle l'a pris, en passant, comme on joue,en riant..
Sans rien donner, prenant,et la mie, solitaire,
Ebréchée, incrédule, clamait sa peine au vent.

Le vent l'a emportée, mais parfois elle rêve....
A des mains sur ses hanches et des yeux dans ses yeux.
Au parfum de ces heures, ces minutes si brèves
A la saveur du monde,quand il s'ouvrait à eux.
Sebelia
L'échine courbée, encapuchonnée d'une fourrure aussi brune que ses épis de jais, elle avançait péniblement flottant dans sa sombre vesture. Tel le roseau qui plie mais ne rompt point, les bourrasques de vent la déstabilisaient s'engouffrant insidieusement dans les pans de sa cape découvrant un corps amaigri et un visage émacié aux yeux rougis. Elle releva la teste front ceinturé par une mèche de cheveux couleur lapis niger, regard vide de toute expression. Un mouvement sous le tissu. Une main à la peau diaphane se tendait vers les hauteurs d'une branche. Sebelia faisait face à l'arbre de vie. Elle laissa couler une larme qu'elle n'avait pu endiguer et laissa retomber son bras le long de son corps.




Je t'ai aimé* plus que de raison
Des mots, des gestes je t'ai donnés avec passion
Des mois durant sans me poser aucune question
Eblouie par cet anneau de subjugation
Que mes doigts caressaient avec grande émotion
Làs de cet amour il n'y aura eu pérennisation
En vain j'ai attendu cette déclaration
De tes lèvres scellées avec volition
De mes resves brisés par la résignation
Dispersant en volutes de fumée mes espoirs d'union


Sebelia, Mâcon le trentième jour de décembre 1458


*Il s'agit bien entendu d'Hephaistos

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Et maintenant que vais je faire de tout ce temps que sera ma vie, de tous ces gens qui m'indiffèrent...
Morphe
C'était un ouché de soleil...là ou tout peut arriver, Morphe, en se promenant, vit ct arbre qui avait le pouvoir de rappocher les humais...Elle le regarda et déclama:
Un jour de soleil,
Je me reveil,
Et là je te voit,
Et maintenant je crois.

Dès que je suis venu,
Plus rien je n'est vu,
A pars toi,
Car sans toi, je ne suis pas moi.

Toi qui est près de moi,
Je suis ton toi, et toi mon moi,
Nous nous complétons,
Et nous noous aimons.

Sans toi je ne suis rien,
Alors viens,
Et je ne serais plus jamais seule,
Car nou serons ensemble...


Elle regarda l'arbre, puis se retourna t retourna chez elle a petit pas...
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Julia
Julia guettait les premiers frissons du printemps, dans l'apparition timide encore de quelques fleurs . Perce neige et crocus... Paquerettes.. L'arbre aux poèmes était encore en habit d'hiver, noir et stoïque sous le vent pas très chaud..mais elle était sure qu'en collant son oreille au tronc rugueux, elle entendrait le murmure feutré de la sève qui remontait déjà...
Là... la sève...ou le bruit du sang dans ses veines et du battement de son coeur??


J'voulais te faire une chanson d'amour,
mais j'crois que j'suis en panne de "toujours"..
Tes yeux si noirs et ta peau de velours,
Si loin de moi, loin de moi , sans recours..
Bien sur je rêve, je songe à un retour!
Car cet amour là valait le détour.
A te chercher de soir en petit jour,
Je perds courage, et j'appelle au secours.
Et d'autres viennent , pour me faire la cour.
Ce n'est pas toi, et moi je coupe court.
J'voulais te faire une chanson d'amour......




Le vert est la couleur de la censure ! Merci de veiller à utiliser une autre couleur pour les prochaine fois. Grumpf !
{Grognon}
Sirsam
sirsam de bon matin passa faire un petit tour du coter de cette arbre pour laisser libre cour a ses pensée il ferma les yeux et dis :
quelque mots doux pour celle qui hante mes pensées...
De toi ma belle je ne plus me passer ...
la douceur de tes geste et de tes paroles ne cesse de me faire rêvasser...
je pourrais passer ma vie a crier que tu est celle dont j'ai toujours rêver ...
Ma douce merci pour tous ce que tu m'as apporter ...
je ne pourrais jamais cesser de t'aimer ...
Loutina mon amour t'es dédier...
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Aelynn.
Aelynn passait par là. L'endroit était agréable, comme on le lui avait dit. Elle avait apporté de quoi écrire, de l'encre, une plume, et un parchemin qu'elle avait préalablement décoré tel qu'elle aimait le faire. Ne voyant personne aux alentours, elle décida de s'asseoir le dos calé contre l'arbre et entrepris d'écrire dessus quelques vers.

Après quelques minutes, elle relut à voix basse son parchemin fraichement écrit.




Elle esquissa un sourire, contente d'elle, et resta un moment à profiter du beau temps sous cet arbre.
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Maxou230
Maxou arriva a son tour !



Ici Maxou, De la taverne Municipal De Mâcon
Et non ici il n'y as pas que des cons

De la bière crie Le patron
Tous en cœur nous chantons

Autour du feu
il y as forcement des gueux

Derrière le bar,
Tout le monde ce marre,

Avec Sam,Kael, Aelynn,Garrus et moi même
Nous vous dédicasson ce magnifique poème.
Kaelroa
Kael venait comme à son habitude chercher du fil et des boutons en ville pour fabriquer ses vêtements, lorsqu'il aperçu une foule de gens allongés sur le ventre ou adossés contre le magnifique arbre au milieu de la place, il s'approcha timidement et vit qu'ils écrivaient tout des poèmes ... il était encore une fois en avance... alors il sortit une feuille de sa besace et se mit au travail...



J 'ai vu cet arbre et je me suis arrêté
Enamouré je t'écris ces quelques pensées
Tout tremblant je te fais cette déclaration
Amoureusement, mon cœur dicte sa passion
Infiniment je t'offre mon corps et mon cœur
Magnifique tu es, la vie n'est que bonheur
Et seulement à tes côtés je me sens vivre
Mon ange toutes tes paroles m'enivrent
Oh Seigneur merci de me l'avoir fait connaitre
Notre amour toi et moi, en resterons maitre
Cleptomane, la lune te donnerais-je
On vivra dans notre petit jardin d'Eden
Eloigné de tout , amour t'apporterais-je
Unis, même jusqu'à cette mort certaine
Resterons ensemble pour la vie, je t'aime

Kael

Il était assez fier de lui, il se leva et continua sa petite journée ...

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Je suis l'alpha et l'oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif je donnerai de la source de l'eau de la vie, gratuitement. La bible, Apocalypse 21.6
Karty
karty ne connaissait pas encore se lieux ou des mélange de mot s'envolé dans tous la salle ne fabriquent qu'une mélodie perçus a nos oreille .
Il prenait son souffle est essayais :


oh toi érudit et érudite mal famé ,
remplie t'as soif et t'as faim dans cette salle des enfers,
L'enfer de champions se battent contre des plus petits que soit pour ne pas perdre ,
Qui ne cherche pas la gloire, m'est des gestes belliqueux qui aller se retourne vite vers le maître

Il ne suffit que d'ouvrir les yeux pour voir la misère de champions non glorieux ,
Moi j' ouvrent les yeux je ne voit que le très haut et une personne plus belle que méchante

Il ne reste plus qu'as lui tendre la main qui lui montrerais la lumière des ténèbres l'entourent
Et l’amener au jardin naissent en se moment ...

karty ne savait pas si c'étais bien ou pas tous que j’espère que se clins d'oeil seras bien interprété

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