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[rp] Fièvre et délire chez les Trévières

Lyrielle
[Oui, j’ai la permission du joueur de Julien]

Arrivé en après-midi, on avait porté Lyrielle au cabinet du Medicaste. La raison en était simple elle devait se faire soigner au plus tôt. La fin de journée serait longue, la nuit aussi, mais le secret découvert de la réalité de Lyly serait encore pire...

Lyrielle se revoyait maintenant à son arrivé en Gascogne, elle venait d'apprendre qui était son père et sa famille. Aussi jeune et naïve qu'elle était elle avait accepté les responsabilités qu'on lui avait donné, malgré le manque d'éducation. Soucieuse de bien faire, et de faire plaisir elle devint Maire de Mont-de-Marsant. Les lettres habituels pleuvaient, une retint son attention, elle était de Muret, un maire du nom de Julien voulait lui parler.

De fil en aiguille de temps en temps, les rencontres ne parlaient plus de mairie, mais de vie privée. Une flamme prit alors naissance entre deux être qui semblait perdue.

Voilà donc ou elle se trouvait dans ses pensées ...


Julien...Laisse ton fantôme venir me chercher que je te joigne je te pris.

Se nom revint souvent dans ses pensées et ses délires. Julien était le seul homme à qui elle s'était donné tout entière,tout naîve et non éducqué qu’elle était. Le seul à qui son coeur appartenait depuis fort longtemps. C'était son secret gardé, son poid à porter en silence.

On lui avait annoncé sa mort par messagé et jamais elle avait douté de cette vérité...Elle lui avait promis visite quand elle ne serait plus maire et qu'elle n'aurait plus de responsabilité... Qu’il soit mort n’y changerait rien elle allait tenir cette promesse coute que coute.

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--Medicastre_de_treviere
Le docteur se demandait qui était se ''Julien'' qu'elle nommait si souvent et pourquoi diantre la petite passait son temps à le nommé.

Il devrait au matin aller renseigné le Duc et la Duchesse afin de mettre tout cela au clair, si ceux-ci le pouvaient. Il avait eu quelques heures de silence après avoir donné les plantes contre la température mais voilà au milieu de la nuit la petite se remit à parler.

De manière répétitive se ''Julien'' revenait, il devait avoir marqué sa vie de manière assez grave.Il en avait vu des malades et savait que dans ses moments sombres les souvenirs les plus enfouient refaisaient surface.

Elle parlait du lac, du bois, de chaleur, de feu, de course…Certain mots lui firent tourner la tête.

La petite avait en effet enfouie quelque chose, le secret de sa réel situation. Une situation très mal vu chez les nobles…Surtout chez une jeune noble non mariée.
Lyrielle
Ses songes se promenait de souvenir en souvenir, puis une phrase simple une seule sortie de sa bouche.

Moi aussi je vous aime tant, Julien de Tolosa.

La suite était des souvenirs perdue, d'un temps du dit Julien qui avait été chez les nones en retraite fermé pour se soigner. Puis une lettre annonçant qu'il était mort ou mourant puis plus rien. Dès lors elle c'était promis qu'une seule chose, elle irait lui rendre visite sur sa tombe pour tenir ses paroles.

Elle avait promis visite, elle avait parler qu'une seule ou peut être deux fois de Julien.À Noupi il y avait longtemps et à Riwenn... Ainsi qu'en confession mais cela n'était point une confidence mais une demande de pardon. Cependant seul le confesseur connaissait la vrai nature des relations plus que de baisé chaud au sujet des deux.

Ensuite vint Damian, elle lui était plus fidèle et loyale qu'amoureuse et elle se devait de trouver un mari rapidement afin de tout oublier...

Puis à force de mentir sur sa réel situation elle en vint à croire au plus profond d'elle-même que cette nuit là rien ne c'était passé. Elle avait enfouis se secret pleurant un amour perdue et se lançant tête baissé dans tout ce qu'elle pouvait faire pour s'en sortir.

LA fièvre et la réalité d'aller à Muret lui avait bien fait remonté tout cela en tête...

Damian ne s'avaira pas l'homme doux qu'elle connaissait, en fait il avait pris un tournant drastiquement vilain et elle ne voulait pas de cela dans sa fam... Son entourage, elle annula donc le mariage et tout ce qui devait s'en suivre et vu la tournure de la suite des évènements elle fût heureuse de son choix. Enfin le croyait-elle, il restait toujours une partie de Damian en elle peut-être s'était-elle encore trompé...?

Mais qui connaissait les réels secrets de Lyrielle, son côté sombre qui la déchirait de l'intérieur. Pour plusieurs cela était anodin, mais pour une jeune fille qui craignait les foudres de Dieux et les tentations du sans nom, cela était d'une frayeur plus que épouvantable.

Elle fit alors ce qu'elle connaissait le plus, elle se lança corps et âme dans la justice et la protection de la Gascogne, préférant mettre tout son énergie et son amour dans quelques choses qui lui semblait plus valable que l'amour qui ne menait à rien. Et pour cela elle en connaissait un chapitre plus que grand. Elle décida de donner quand même une seconde chance à se sentiment avec Lolo. Il l'avait charmé au premier regard et de ses premières paroles. Après quelques temps de fréquentation, ils formèrent leurs partie. Bien vite Lolo disait que Lyrielle était sa douce mais ne lui donnait aucune attention. Elle avait tout de même promis de l’épouser, ne sachant trop pourquoi elle avait envie de passer sa vie avec lui.

La Gascogne s'écroulait elle ne pouvait le soutenir, sa seule alliée partait, son amour ne lui donnait toute l’attention qu’elle avait besoin. Elle avait quitté le château familiale préférant vivre dans le haut d’une grange qu’avec des fous. Et voilà que en tant que juge on lui disait ses jugements juste mais ne plaisait pas au magouille des dirigeants, dès lors on ne lui parlait de rien de ce qui se passait réellement au conseil.

Le proverbe : ''Soit belle et tait toi'' devenait de plus en plus présent, autant dans sa famille proche qui ne lui adressait plus la parole sous prétexte que c'était une trahison d'aller contre eux en élection, que dans la vie ou Lolo ne lui parlait pas vraiment mais parlait d'elle en genre de trophée enfin le pensait-elle dans ses moments difficile...

L'ennuis c'est que Lyrielle avait besoin de parler, elle avait besoin de rire, de jouer de vivre comme une jeune fille quoi. Jusqu'au jour ou n'en pouvant plus elle écrit une lettre à sa tante dans la douleur du moment et la peur ou seule une femme pouvait comprendre.

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--Medicastre_de_treviere
Citation:
Moi aussi je vous aime tant, Julien de Tolosa.


Voilà le nom était sorti, le médecin fit un saut il ne savait trop s'il devait rire ou pleuré ou croire en cela... Valait mieux en parler au Duc qui l’avait engagé pour prendre soins de la petite et à sa grâce Noupi qui l’avait maintenant sous tutelle.

Une idée lui vint subitement et si il lui donnait tant de tisane qu’elle ne se souvienne plus de rien…? Non, cela n’était pas son devoir, il allait donc attendre que cette fièvre baisse pour parler à la jeune fille en question. Elle devait connaitre la vérité Julien n’était pas mort. Si cela était ce qui rongeait son cœur et la rendait malade, peut-être que cela serait le soins dont elle avait besoin.

Mais avant tout il devait en avertir les proches de la jeune fille…
Lyrielle
Voilà bien une journée qui c'étais passé. Lyrielle était sorti, une sortie qui fut plus que courte et qui l'épuisa. Elle retourna donc dans son lit chez les Trévière. Florentin son fidèle servant...messager de 6 ans était devant la porte avec deux paniers.

Elle l'observa un moment et se demanda bien ce qui arrivait.

Pourquoi ce regard Flo., je ne suis pas morte t'inquiète pas je suis bel et bien ici. Mais toi que fait tu ici? OU est ta mère cette fois?
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Noupi54
Elle avait laissé lyly chez le medicastre seule le temps de donner ses cours a l'université. Le cours fini elle fila directement la voir. Par ce froid hivernal elle pressa le pas, inquiete d'avoir laissé sa niece seule.

Elle frappa doucement à la porte de la chambre et entra dans la piece. Elle s'approcha du lit en souriant, voyant sa niece en meilleure forme.

Bonjour princesse, tu vas mieux, elle carressa son front et sa joue et deposa un baiser sur son front.

Tu as vu le medicastre? Dis moi comment tu te sens?
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Lyrielle
Lyrielle était heureuse de voir sa tante entré dans la chambre. Sa tante était la seule ''mère'' qu'elle avait eu et la seule femme de son entourage. Bon il avait Kassie mais au nombre d'homme qu'elle...Enfin...Valait mieux passer sur cette idée...

Il me bourre de tisane contre la fièvre alors oui, je me sens mieux.

Elle observait le médicastre qui parlait d'un air grave avec Florentin.
Puis prit la main de sa tante dans la sienne et lui sourit.


Elle vit ensuite le docteur, envoyer Florentin avec un panier, qui était pas celui de pomme.
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--Le_gamin_messager
Citation:
Florentin, petit prince servant de la Princesse ^^.


[spoiler][img]http://img135.imageshack.us/img135/8579/gaminpenseur.jpg [/img][/spoiler]

M'dame on m'a dit que vous aviez une pneunonie. J’espère que ca va se soigner vite.

Il sourit avec tout ses espoires d’enfants.

Ma mère elle est à l auberge, elle a dit qui valait mieux vous suivre, mais vous la connaissez, elle flane entre deux choppes. Elle le merite bien après ses dernières nuits blanche pour vous.

Tout fière et heureux, il approcha le panier.

R ‘garder vous est amène une surprise, vous ai amenné votre fils. On en a pris soins, vous inquiétez pas si ça va pas on va encore en prendre soins un p’tit moment, mais bon le lait de chêvre ses pas le meilll....
Lyrielle
Lyly observa la petite chose avec de gros yeux.



FLORENTIN, J’exige de voir ta mère cette fois... Ce n’est pas parce que j’ai fait de la fièvre que je sais pas reconnaitre quand on essait de me rouler dans la farine.

Vous m’avez fait le coup à la grange, après ma perte de connaissance. Vous l’avez mis à mes côtés avec se bonniment qui disait que c’était le mien.

C’est une honte de vouloir faire passer ton frere pour mon fils. Je n’ai pas de fils la preuve en est que j’ai pas accouché ni porter de bébé.

Elle eu une toux qui la fit se calmer.

Je monterai son salaire et le tien, si ce n est que cela l’ennuis mais ne revenez plus avec cette odieux mensonge. Imaginé la situation si on pensait seulement une seconde qu’il serait vraiment mon fils…


Là elle avait envie de pleurer, d’abord le fantôme de Julien et maintenant un fils… Et de qui aurait pus bien être de cet enfant… Une fois une seule fois elle avait fait un pas de travers de la route Aristotélicienne.

Elle ne connaissait rien, à cette époque elle croyait que sa maison était un village et la ville le monde entier qui allait la tuer. Elle venait de sortir de chez ses maitres qui l’avait kidnappé…

Non, puis un bébé ça prend moins que 9 presque 10 mois à faire, c’est tellement petit…Franchement… Puis le baptème aurait tout effacer puisque au baptême le pardon est donné. Elle fit un gros soupire…


Félicite ta mère il est très mignon par contre…

À la vue du bébé sans se rendre compte, son chemisier de nuit était mouillé d’un bout à l’autre.

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--Medicastre_de_treviere
Le regard du Docteur changea, il alla alors prendre le bébé et murmura quelques mots à l'oreille de Florentin qui avait les larmes aux yeux. Ils éloigna et la Duchesse et le petit du lit de Lyrielle qui semblait un peu fatiguée.

Je sais mon petit c'est pas facile, il faut du temps pour certaine chose, je vais prendre le bébé ici, tu as été un brave garçon, mais Demoiselle Lyrielle à besoin de beaucoup de repos.

Observe du coin de l'oeil, la duchesse et se place de manière à ce qu'elle comprenne.

Elle ne peut pas encore comprendre, je sais que tu dis la vérité Florentin. Sa pneumonie ne vient pas de la fatigue seul. Cependant, je crains que sa tête ne veule pas l'admettre. Elle à du vivre beaucoup de stresse, je connais pas la Gascogne, mais se genre de réaction...Ça vient de multiple choc émotionnel...

Prend le petit par la mains et le mène à la porte.

J'enverrai des nouvelles quand tu pourra revenir la voir. Ne t'inquiète pas elle est très bien soigné ici.

Lui frotte la tête en guise d'encouragement et retourne vers la Duchesse en fermant la porte.

Parait que vous êtes la seule à réussir à lui faire entendre raison. Je vais vous donnez en détail ce que j'ai pus entendre ses derniers jours pendant la fièvre. Vous en tirerez vos conclusion. Ensuite je vais quitter, le pire étant passer je reviendrai la voir une fois par jour chez les Trévières.

Parle longuement avec la Duchesse avant de la quitter et la laisser seul avec Lyrielle.
Noupi54
Elisabeth ecouta avec attention, ce que le medecin lui racontait. Elle prit le bébé, le regarda sourit, il ressemblait a lyrielle.

Elle s approcha doucement du lit en se disant que la suite des évènements allait pas etre simple.

Elle regarda sa princesse et soupira

Lyly il faut que l'on parle. Ce bébé est le tiens, tu l'as mis au monde et ce qui c'est passé en Gascogne ta fait oublier que tu es mère. Le medecin vient de me raconter tes délires durant ta fièvre.

Elle deposa le bébé dans les bras de sa niece, en espérant que l'enfant lui rappellerait les souvenirs oubliés.

Lyly, écoute moi, celui que tu pensais mort, julien est ici et cet enfant est le fruit de votre amour. Il faut le prévenir, et tu dois assumer cet enfant, je vais t'y aider.

Elle regarda la mere enfant et ce dit qu'elle etait encore bien jeune pour assumer seule cet enfant. Il va me falloir aussi prévenir ton père de ce qui se passe.

tu dois faire connaissance avec ton fils, il a besoin de sa mère.


Elle regarda l'enfant qui commencé a gémir et lyly.

je pense qu'il doit commencer a avoir a faim.
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Lyrielle
Lyrielle était furieuse... Elle regardait sa tante puis le médicastre puis dehors...

Les seules mots lui venant en tête étant des mots à répétition:

C'est pas à moi, c'est pas à moi, c'est pas à moi...

Vous allez m'obliger à garder cette chose à mes côtés?Jusqu'à ce que j'avoue un crime que je n'ai pas fait. Bien, si je redeviens juge un jour je connais maintenant une nouvelle torture pour les vils personnes...

Elle le regarda sa tante avec un peu de dégoût...

Mais je peux pas le nourrir moi, j'y connais rien et mes attributs seront pour les miens. Non mais je vais pas devenir nourrice en plus...

Puisque vous tenez tant à ce que je parle à Julien... J'irai à son bureau... Mais pour le moment laisser moi la paix et sortez ce gamin avant que je perdre la raison.

Ne voyant aucune réaction, les gens ne comprenant pas vraiment sa demander et désemparer...(Sauf , sa tati qui la connaissait sous presque tout les angles des plus honteux à parler à une statue jusqu'à la juge droite et respectueuse des lois...) Lyrielle se leva...avec peine alla mettre une robe...

Vous le laissez ici? Bien... Moi je sort...
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Lyrielle
[Après une nuit en taverne, une journée à y dormir et une rencontre dans un bureau.]

Lyrielle revint ébranlée, elle avait quitter quelques temps, elle devait remettre tout ceci en ordre. Elle avait fini par aller parler à Julien, se demandant ce qui était arrivé. Son explication avait été clair, puis avec patience et douceur il parla d'eux de leur manière d'être, de leur souvenirs.

Cela avait réveillé les pensées de Lyrielle, tout ce brusque changement des derniers jours, l'enfant dans sa chambre, sa tati qui lui disait elle aussi que cet enfant était à elle.

Et voilà au milieu de cela, les yeux d'un ange apparaissant. Elle avait plongé son regard dans celui de Julien et la réalité lui était revenue. Le petit avait ses yeux.


Doucement elle se posa au dessus du berceau, le panier ayant été remplacé.

Et bien, il parait que nous formons vraiment une équipe. Alors, va falloir m'aider... Je connais rien moi à toi...

Sa tête se penchait pour observer le petit dans tout les ses sens.

Et si j'essayais par un nom...

Clovis
Augustin
Lothaire
Eude
Eloi...



Rho mais comment y font les autres...
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