Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>

[RP ouvert à tous!] Paris, cinq lignes pile.

Sadnezz
Et de quelques mots une visite bien plaisante balaya son marchandage à la volée. Voilà que Sad tourne le dos sur deux visage bien connus, aimés ou désirés, c'est à interpréter selon l'humeur. Dur quand ça vous fait les yeux doux de se parer de son naturel négociateur, et au vu du peu d'amis qui se bousculaient au portillon Corleonien, être chaleureuse de temps à autre n'était pas du luxe.

À Cerdanne...
Tout ce que tu veux ma belle. A l'ombre tâchait de blanc ses nuits (et non ses draps tss)... Pour toi, on verra ça autrement. Sourire faussement innocent.
_________________
Cerdanne
Petit sourire et deux brunes nonchalamment appuyées contre un mur échangent mots et autres douceurs.
Regard qui survole la ruelle, distrait…
Mains qui se frôlent, le temps d’un échange opiacé.

Rester un peu et observer les passants…


Merci Bella..Je vais flâner un peu.
Voir si Paris peut me surprendre....


La voilà qui se perd dans la foule, rêves bien au chaud contre son sein..
Rejoindre les berges ...Froler les passants, toiser les Nobliettes effarouchées, jouer des coudes et s'arracher à la foule....
Trouver un coin paisible et s'affaler dans un coin...
--Paul_of_perth
En arrivant aux portes de Paris, Paul retrouva la bonne odeur de pourriture et de chou bouilli qui caractérisait tant les capitales européennes. Il évita de laisser ces fragrance voluptueuses trop l'enivrer et se dirigea directement vers les portes de la ville où, moyennant quelques pièces versées dans la main crasseuse d'un soudard, il reçut l'autorisation d'avancer avec son cheval. Là, il trouva rapidement l'auberge qu'il cherchait, un sordide bouiboui doté d'un propriétaire pas trop regardant sur la clientèle, mais qui veillait au grain sur la sécurité. Pas question de bagarre ou de vol dans son établissement, on y concluait des accords louches sereinement. C'est donc avec une chope de bière entre les mains qu' y il attendit son maître.
Baile
Elle assiste à l’échange, tous les sens en éveil dans la salle d’attente du sourire et des mots que lui a offerts la brune. Pas la jeune de la Rose. L’autre, la vieille, Elle quoi. La patience n’est pas son fort, mais pour saisir un feu follet, il faut l’apprendre malgré soi, quitte à quand même se brûler les mains.

Autrement ? D’accord… Ca m’va, et j’t’attendrai pas loin. Siffle quand tu auras fini…

Oui bon, le « Siffle » était peut-être de trop, ça n’en restait pas moins un tremplin...

_________________

Miramaz
[Paris, loin des belles devantures]

Perdue dans les rues de la capitale, la Rasée déambulait hâtivement, se sentant angoissée devant les regards peu amènes qu'elle récoltait. Certes elle ne passait pas inaperçue entre sa vesture bariolée et son crâne lisse mais tout de même. De ruelles en passages elle tomba sur des silhouettes connues, une Rose et une Vieille semblaient en affaires, stoppant net elle les fixa. Voyant la Rose s'écarter, elle s'approcha légèrement tentant de comprendre de quoi il retournait, ne les sachant pas liées.
_________________
Sadnezz
Sad fit un sourire qui n'en était pas un. Les sourires sur sa trogne avaient un quelque chose de crispé, d'étiré, de pas franc. Regard trainant sur la silhouette de Cerdanne qui s'éloigne dans la masse humaine, retour à Baile. Plus que quelques heures encore, et elle s'échapperait de sa rengaine. Elle aperçut le crane lisse d'une Prunette, la capitale lui amenait par vague des visages connus... Dire qu'elle avait fait ce qu'on lui avait imposé en étant Faucharde... Couper la masse sombre, passer au fil la féminité... Elle l'observa s'approcher de Baile sans mot dire, curieuse.
_________________
Baile
Il y a plein de murs à Paris. C’est donc un autre, pas loin, qui accueillit son dos quand elle s’éloigna de la vendeuse de rêves meurtrie. A peine le temps de commencer à réfléchir sur la profondeur du mot Tristesse qu’un crâne rasé emplit son champ de vision. Cherchant rapidement un borgne aux alentours qu’elle ne trouva pas, à son plus grand soulagement, elle lança :

Hey, la solitaire, t’es perdue ?

_________________

Miramaz
Le regard de Sad est croisé un instant, avant que la question de Baile ne la fasse sursauter, les yeux la dévisageant, la Mirette vient s'appuyer contre le mur. Sourire qui s'esquisse alors que sa main quitte la poignée de son arme pour venir s'apposer à une distance infime de la tête de la demi-blanche.

Perdue? Du tout..j'ai trouvé c'que j'cherchais.. et la curiosité étant au nombre de ses défauts, elle enchaîna en haussant les sourcils, chuchotant aussi méfiante qu'intriguée: Tu lui voulais quoi à la vieille Sad?
_________________
Baile
Sourire en coin à la dernière question. Comment te dire, Mira ? Son corps ? Ses lèvres ? Ses yeux ? Son âme ? Ses blessures ? Dans l’ordre ? Le désordre ? Elle rapproche imperceptiblement son corps de celui de la mercenaire si unique à ses yeux. Penchant la tête, lèvres presque collées aux siennes, elle murmure:


Et tu cherchais quoi? Et t'as trouvé quoi ? Tu m’réponds, j’te réponds. On est gamine ou on ne l’est pas...

_________________

--Petsec


Le vieux crouton trainait ses loques parmi la foule, sans se soucier des passants qui s’écartaient de son chemin en plissant le nez de dégoût. Ils étaient bien peu à oser l’approcher, mais il se souvenait très bien de cette gamine en rouge qui avait fait fi de sa crasse pour l’entrainer avec elle dans ses frasques. C’était il y a bien des mois. Peut-être même des années. Parait qu’elle habitait les Miracles avant. Il s’était dit qu’avait un peu de chance, il parviendrait à la retrouver à Paris, mais en découvrant cette ville immense, ces espoirs s’étaient envolés. Ne lui restait plus qu’à errer comme une âme en peine…
Alwenna
[Paris, ville sucrée]

Elle est en manque la fillette. De sucre. De Fraise. De Framboise. Du sucre rose. Elle est en manque de macarons ! Alors vous croyez quoi ? Qu'elle va aller au p'tit magasin du coin de la rue qui vend en promotion ses p'tites patisseries ? Oh que non ! ELLE, elle va chez Ella Durée, et ça c'est pas d'la rigolade, j'peux vous le garantir. Accompagnée de son serviteur à deux balles, coincé dans un costume ridicule qu'il a absolument voulu acheter pour aller à Paris. Mais en arrivant dans la ville, il se rendait vite compte que ce n'était pas idéal.

Les deux étaient perdus dans la ville, alors Alwenna demanda à haute voix, d'une voix peu assurée.


Euh, Est-ce que, dans quoi j'me suis embarquée, quelqu'un saurait où, 'fin c'bon les macarons roses quand même, se trouve le magasin d'Elle Durée ? Jean-Clément espèce de boulet !

_________________

Les Doigts d'Or, j'Adore !
Yolanda_isabel
- Plus tard, je serai un macaron .. Ou un canard ! dit elle à Constance qui l’accompagne.

En attendant, elle court, elle court, elle furette la Guimauve Jolie, un macaron à la main. Et elle a une mission, en ramener à Blanche pour lui redonner du rose aux joues. Le Rose c’est important ! Une seule adresse, chez la Durée qui a sorti un nouveau coffret déjà testé et approuvé par Yolanda. Framboise exclusivement, tout de rose ce coffret. Quête éternelle, ô combien passionnelle ! Le Rose, les macarons, sa mère en mangeait déjà quand elle était grosse des œuvres du Pé-pair, sa préceptrice en raffolait déjà quand elle la berçait à Château Gonthier, et elle ? Elle se damnerait pour eux.

_________________
Rodrielle
[Paris, désabusée]

Paris. Un passé, un souvenir. Paris détestée mais jamais oubliée. La ville de ses débuts, la ville de sa déchéance. Elle était venue et y avait perdu son âme. Mais, comme une drogue, elle y retourne alors qu’elle ne devrait pas. Ombre parmi les ombres, elle parcourt à nouveau ces rues tant connues, son esprit embrumé de souvenirs. Alors elle le voit dans l’auberge convenue. Son Péché mortel.… Elle perdrait son âme encore un peu aujourd’hui...
_________________

Orphelinat St Clothilde
Princesseyoyo
Petite escale durant son long périple par monts et par vaux. Petite escale pour s'en mettre plein la vue, plein les yeux, les oreilles et le nez. Paris est pleine de vie, de couleurs et d''excès. Paris est magnifique, mais sent aussi le moisi! Le poisson dans les rues, les saletés des chevaux, sans parler de celle des hommes! Une soudaine envie de sentir le soleil sur son visage. Mais juste des nuages. Le gris, l'humidité. Seulement ça pour oublier. - Alors elle se perdit dans la contemplation du décors. Dans les couleurs du marché, dans les cris des cochers. Elle préféra se délecter dans l'abondante diversité qui embaumait de sa clarté les ruelles encombrées. Paris avait ainsi un nouvel attrait. La ville était belle et la jeune fille appréciait se retrouver ici, plutôt que sur les routes, ici où son destin lentement se perdait.
_________________
Alwenna
Décidemment, personne ne lui répondait, on la regardait plutôt de manière étrange, car une naine habillée de froufrous roses, ça court pas les rues ... Bah si ! En voilà une autre justement, avec, Ô mon Dieu, un macaron dans la main. Alwenna écarquille les yeux, fait signe à Jean-Clément de rester là, et se lance à la poursuite de l'autre fillette. Arrivée à sa hauteur elle se recoiffe un instant, lisse sa robe, et se racle la gorge.

Hum .. Demat ! Ou bonjour ! Moi c'est Rose. Tu t'appelles comment ?

Les joues sont rosies, pour aller parfaitement avec le ruban qu'elle a dans les cheveux.

Et tu l'as trouvé où le macaron ? Tu sais où que ça peut être Ella Durée ?

_________________

Les Doigts d'Or, j'Adore !
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5, 6   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)