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[RP ouvert à tous!] Paris, cinq lignes pile.

Baile
[Une histoire est une suite de détails, une vie de nuits, et certaines avec toi...]



Du pouce, elle caresse les lèvres boudeuses.

Et moi je viens d'te retrouver...

Quand on a une main posée sur la peau frémissante de son fantasme le plus extrême, il faut juste en profiter...

J't'aurais bien proposé un Palais gratuit, mais il n'est plus mien depuis longtemps.

Elle marche et l'entraine avec elle.

Ya mon auberge pas loin.

La même où j'ai passé cette nuit avec Sad… Mais elle n'en dira rien, elle paiera juste une autre chambre, question de symbolique…

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Miramaz
Entraînée par la belle, elle suit sans mot dire, un palais, une auberge, un tas de paille à même le sol boueux, peu importe tant que c'est avec elle. Retenant pour une fois sa langue elle ne posera aucune question, l'heure n'est plus à la curiosité, place à l'envie. Une bras qui se glisse autour de la taille, une main reposant sur la hanche de sa compagne pour la nuit, la Rasée sourit, son murmure venant repousser une mèche brune:

Va pour ton auberge, tant que rien ne nous y dérange..
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Baile
[En attendant l'auberge...]

Ce qui caractérise un caillou lisse, c'est qu'il ne parle pas beaucoup mais ne ment jamais. Surtout quand il laisse parler son corps. La Baile s'arrête brusquement, se retourne et colle le sien à celui de la Rasée. Les mains croisées derrière le dos de la mercenaire, doigts effleurant ses fesses, elle murmure dans ses lèvres.

J'te désire depuis bien trop longtemps pour que je laisse rien nous déranger…

Juste quelques heures, parce qu'une dague m'attend quelque part…

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Apolline_
Eli ? Eli qui ? Louchage (ça se dit ?) vers la jeune femme, avant de faire un sursautage (oui j’invente !) digne de ce nom. Nom d’une pipe en bois, la Peste devrait prendre le temps de dévisager les gens, cela lui éviterait des impolitesses.

-« Elisabeth ! Pardonnez-moi, je ne vous avais point reconnu. Comment vous portez-vous ? »

Menotte qui attrape la manche de sa robe trop classe, et en avant toute !

-« Oui oui allons-y jeune Josselinière, je vous suis. »
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Miramaz
[L'attente est affolante..]

Brusquement son corps contre le sien, prémices d'une nuit plaisante, la lisse se laisse faire, laissant l'épineuse la polir de ses mains alors que son pouls s'affole et son souffle se raréfie. Les lèvres trop proches sont croquées pour éteindre ce murmure qui l'enivre, humide caresse avant de s'écarter dans un soupir. La discrétion l'oblige à la pousser de quelques pas, un bras possessif toujours enroulé autour de ses hanches, un doigt venant se poser sur la bouche de Baile elle chuchote : Ne perdons plus de temps..
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Baile
[Dans une auberge parisienne, ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre*]


Le temps n'est plus aux mots, mais à la marche rapide. La chambre investie sitôt arrivées. La clé se tourne, gage d'intimité, et la Baile se retourne vers la Rasée.

Il n'y a plus que toi et moi, maintenant…

Le désir lui brûle le corps, là depuis le premier jour mais jamais encore assouvi. L'attirant contre elle, elle la maintient d'une main, délaçant de l'autre le corset qui retient sa chemise.

Ce soir, je rattrape le temps perdu… Ce soir je te fais l'amour et tu ne m'oublieras plus…



* deuxième partie de phrase extraite de Mon rêve familier, Verlaine..
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Miramaz
[A la poursuite du plaisir...]

Le temps se presse, l'atypique couple s'agite et les voici dans une chambre que la Rasée suppose être celle de la Baile, pas le temps d'y jeter un regard, ses yeux sont rivés sur le corps qui se colle au sien. Un sourire devant l'énoncé du programme, direct comme la femme qui le propose. La laissant s'affairer sur son bustier, ses mains prennent place sur ses reins avant de se glisser sur les cuisses nues.

Ce soir..t'vas t'rendre plus obsédante qu'tu n'l'es d'jà.. et j'ai rien à y r'dire..
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Baile
[Je veux rester à sa poursuite]


Le corset est jeté au sol, et la Baile ralentit le mouvement de ses mains quand elle s'attaque à la chemise. Ses yeux ne lâchent pas d'une noisette ceux, brillants, de l'amante si particulière. Bientôt, les épaules sont dénudées, libérant également les seins, qu'elle caresse doucement.

J't'ai dans la peau, Mira, depuis l'Alençon…

L'entrainant vers le lit, elle l'y fait s'allonger et se colle contre elle, lèvres dans son cou.

J'ai juste envie de t'aimer…

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Miramaz
[Alors trouve-le...provoque-le...]

Sa poitrine se retrouve à nu, à la merci des doigts avides alors que les iris prédateurs ne lâchent pas les siens. Elle soutient son regard jusqu'à se retrouver allongée contre elle, les mains ne lâchent pas ses hanches, en flattant les courbes. Les lèvres esquissent un nouveau sourire avant de venir mordiller une épaule laissée à découvert, comme une envie de lui faire comprendre qu'elle est sienne. Un murmure et la Rasée attire sa partenaire sur elle, l'invitant à continuer d'un simple:

Aime-moi..
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Baile
[Réelle comme un mirage]


Une invite comme une offrande, et l'âme et le corps qui se donnent. La dextre se pose sur une cuisse, remontant le long des braies, tandis que les lèvres s'incrustent dans le cou, enivrant la Baile du parfum de son Caillou-trésor. Fermes, les doigts frôlent l'intimité encore protégée et trace leur chemin sur la peau frissonnante, pour se saisir avec douceur d'un sein lancé comme un appel. La bouche émigre sans regret pour conquérir cette terre et lui imposer sa langue...
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Miramaz
[Aussi envoutante qu'une Rose]

Une main chemine des hanches aux reins, y traçant d'affolantes arabesques, alors que plus haut la dégustation se poursuit sur le cartilage d'une oreille. Souffle qui s'accélère pour se faire haletant sous les frôlements de doigts entreprenants. Un gémissement presque inaudible lui échappe lorsqu'un mont est conquis et dans un frisson elle part en exploration elle aussi. Retour sur une cuisse charnue, l'index s'infiltrant dans les moindres recoins, s'appropriant lentement ce corps.
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Baile
[Parce que tu es éternelle]


Les peaux sont mises à nu d'une main rageuse. Caillou lisse contre pétales de rose. Aimer un mirage c'est accepter de s'y perdre, et le corps de la Baile s'égare dans celui de la Rasée, par main interposée. C'est ton âme que je touche, au plus profond de ton intimité, et je veux voir dans tes yeux, la jouissance qui explose en moi. Absous-moi de la haine qui n'éborgne pas mais aveugle. Prends-moi comme je te prends. Regarde comme je te fais de la place…

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Miramaz
[Parce que tu es toi..et rien d'autre]

Une Vipère est accueillie au sein d'une Blanche et pourtant les seules morsures échangées sont celle du désir. Parce qu'au delà de ça, elles sont elles tout simplement, femmes s'aimant le temps d'une nuit, le temps d'une vie. Les corps se repaissent l'un de l'autre, les gestes ne provoquent que l'éveil lent du plaisir, alors qu'elles se possèdent et se dévorent. Vois comme je te suis dans la tentation de cet instant, ressent le plaisir que tu m'offres et que je te rends volontiers, la jouissance en but avoué.
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Baile
[Et maintenant?...]


La Rose s'est épanouie au contact de tes doigts. Rangées, les épines, l'espace de notre nuit. Je t'ai offert ce que cachent mes pétales, et j'ai volé ce que recèle ton caillou. En gage de ton retour. Les corps se détachent, les regards se croisent. Ton parfum est mien pour encore quelques heures. A Paris, en Bourgogne ou ailleurs, je te retrouverai…

J'ai une dague à récupérer, tu veux venir avec moi?...

Sad m'attend. Du moins je l'espère…

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Miramaz
[Encore un instant près de toi...]

Les heures fuient sous le flamboiement des sens et déjà leur temps est révolu, duo qui meure par le rappel d'une autre. Un instant d'hésitation, comme si la revoir l'italienne pouvait effacer le charme de la nuit, comme si Sad pouvait tout faire disparaître par sa seule présence. Epaules haussées et corps qui se lève à sa suite, il n'y a rien à craindre, juste une vieille amie à saluer avant de laisser sa place.

J'te suis.. juste pour vérifier qu'elle n'a pas plus d'rides qu'la dernière fois..
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