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[RP ouvert à tous!] Paris, cinq lignes pile.

Sadnezz
Sad claqua deux fois des doigts devant le visage de son futur non-client.

Ho!


Pas de réaction. Elle souffla en levant les yeux au ciel, puis les déposa sur le vieux qui avait décidé de poser son cul sale tout près d'elle, sur son mur. L'aurait pu taper la manche ailleurs .. Mais nan. Cette journée n'était définitivement pas très prolixe. Sans s'occuper de l'homme qui regardait ailleurs, elle bougea sa carcasse pour se trouver un autre mur, loin de la belle au bois dormant et de son malodorant.
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--Leotheric


La main encore brûlante d'avoir frôlé cette beauté fatale, le rital se part à rêver. Malgré le refus, l'esprit divague … La main reste en suspend, tardant à se saisir du flacon. Agacée la belle brune l'interpelle puis s'éloigne, remballant la marchandise, le laissant à ses songes et son état catatonique.
Ce dernier perdant de vue sa muse, secoue la tête et réagit enfin, la poursuivant jusqu'à son lieu de retrait. Insistant, il retente sa chance.


100 écus si tu me laisses goûter tes lèvres ...
Sadnezz
Mais qu'ont-ils tous aujourd'hui? ça les titille gravement dans l'frocaille ...c'est pas le printemps pourtant... Sad grogne, il l'a prise pour une putain. Elle aurait pu dire:

'On va la faire autrement. 100 écus pour une torgnole? ça t'vas?'


Mais se contenta d'un:

J' me brade pas. 150 écus. C'est que justice, à t'attendre trois plombe j'ai perdu au moins trois clients.


Un sourire mauvais et malicieux fendit sa poire, business is business... Et pour 150 foutus écus elle peut bien lui foutre sa langue dans la gorge.

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--Leotheric


Sourire qui se glisse au coin des lèvres latines. Il se rapproche d'elle avec lenteur jusqu'à la frôler, la sentir exhaler son souffle chaud sur sa peau. Il a remarqué la frustration silencieuse.

Une aussi belle femme ne doit pas pas se faner, ni s'éteindre … Laisse les à leur affaire et profite de ce que la vie t'offre.

Alors il se penche et cueille ses lèvres avec délicatesse. Baiser tendre et voluptueux dont il n'est nullement maître, laissant à la belle brune, le loisir de se laisser aller, ou non.
Lui profite alors du sucre et du sel savamment mêlés sur les carmines savoureuses.
Heribert
Paris, manifestations diverses, océan de bruit, tout fourmille, va, vient et repart sans jamais s'arrêter. Flot continue, tempête financière, cyclone de danse, parmi toutes ses splendeurs, des dentelles de pierres stoïques, que rien ne vient troubler, observe la ronde incessante. L'étoile du jour paresse encore, mais elle commence à faire frémir cirrus, nimbus et ses copains dans l'azur s'embrasant. L'oeil d'Héribert s'ouvre, l'oreille se tend quittant les dernières brides des oasis de silence. Petit à petit les ondes reprennent, frémissement d'un oiseau, une charrette, puis une autre et encore une autre, et la foule revient, réglée comme un papier musique, partout la foule. Héribert part pépère l'arpenter, se promener au gré du dédale, s'y perdre, puis s'y retrouver...
Dragee
Pas rigolo de se promener à la recherche de son passé qui a l'air de vouloir sans cesse la fuir
Pas risible non plus de se faire bousculer par des passants trop gras pour avoir la bienséance de se ranger
Pas riche depuis qu'elle voyage, elle ne sait pas vraiment ou aller la gamine au gout d'amande
Pas rivale pour deux rond avec les gamins de la rue, elle préfère les regarder jouer.
Paris, une ville qu'il voit voir, sentir, gouter, mais simplement pour essayer

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Heribert
L'étoile, une ligne, deux, trois, puis quatre, paris cinq lignes, il s'incline. Gauche, droite, rive gauche pour aujourd'hui.
Le quartier latin, expression heureuse, suggestive car d'un seul mot, elle donne une image complète.
Un, deux, trois, quatre quartier droit, puis le voilà a gauche, un pont la seine et la scène change.
Dans se val resserré qui s'étend entre la Seine et la montagne Sainte Geneviève, le collège bon enfant.
Un banc, lui, et regarde les passants rêvant, un sourire, un moment, puis le vent et tournis farandole dolce vitae.
Sadnezz
Ce que la vie offre. La vie n'offre rien, et ses lèvres collées sur celles de l'inconnu le lui rappelle bien haut. La vie n'offre pas, elle vend. Tu veux ton pain la mia bella... Paye de ta personne. Pas que ce baiser vendu, et cher payé ne soit plus désagreable qu'un autre, mais la Belladone n'est pas venue tapiner dans ce coin de rue parisien. L'image de Miramaz et de Baile est tenace, et dans ce baiser c'est la rage d'une petite mise au point qui gronde. Elle lui apprendra à la rasée, ce qu'il en coute de contrarier une vieille amitié. Lèvres reprises, la main est tendue. Les bons comptes font les bons clients.
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Baile
Elle était revenue, vers ce mur où elle l'avait laissée. Mais il ne gardait plus que le parfum de son passage. Regard indéchiffrable qui se pose sur une Rasée. Où est-elle, ma Mercenaire? Regard qui cherche, regard qui traque, et finit par la trouver, "lèvres reprises" et "main qui se tend"... Le volcan gronde, quelque chose explose, mais le cri reste muet. Ses pas la mènent vers le duo, mais elle ne voit que son destin.
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Cerdanne
Terminée la balade au bord de Seine. Remonter les berges et se noyer dans la foule. Laisser ses bottes la guider.
Fermer le livre d’une vie et ouvrir la page blanche. Préface pure d’un tressaillement printanier.
Retrouver le sourire, plisser le nez sous la force des odeurs qui montent. Ses pas, incorrigibles la ramènent vers l’origine.
La rose noire se dresse non loin…les yeux s’éclaircissent.
Pourvu que la Bella est laissé de quoi rassasier ses rêves.
La brune bouscule la foule….hâte d’arriver…

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Miramaz
Elle suivait une fleur épineuse pour retrouver une autre plante, toxique celle-là, deux femmes formant un bouquet dangereux pour qui ne se méfiait pas. Ruelle désertée par la vieille italienne, et regard inquiétant reçu de la royaliste, avant d'entrevoir plus loin une scène banale qui n'avait pas l'air au goût de Baile. Un bras se tendit pour la retenir, mais elle avait déjà rejoint la scène de cette étrange pièce, en bonne spectatrice, la Rasée se cala contre le mur, attendant la suite, prête à tout.
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--Leotheric


La douceur des lèvres tranche avec l'impétuosité de la serpentine de chair qui louvoie rageusement contre sa jumelle. Elle passe toute sa frustration dans ce geste dérisoire et désespéré, qu'elle monnaie sans complexe. Lèvres, qui finalement, s'arrachent à la brûlure des lippes masculines. Abdication. Puis un sourire qui s'esquisse sur le visage du rital. L'escarcelle généreuse rejoint la main tendue sans que son contenu ne soit recompté.

La pauvre ne sait pas ce qu'elle rate, moi je suis ravi ...
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