[RP][Voyage de la Cour] L'entrée dans Lyon

Mariealice

Si encore il avait mis en hauteur un nougat géant, elle aurait pu le voir... Elle ne put s'empêcher de pouffer lorsque l'image d'Argael déguisé en nougat lui apparut.

Le cortège commençait à avancer dans la ville et elle allait leur emboiter le pas lorsqu'elle vit un bras s'agiter et au bout du bras, le Secrétaire d'Etat recherché.

Marie sourit et, alors que la foule suivait le cortège, elle se dirigea vers lui, le saluant de la tête.

Alors Vicomte, si mes sources sont bonnes, sourire taquin, comment vous portez-vous?
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Argael

« Le fier » s’inclina saluant comme le voulait le protocole le Grand Officier de la curia regis.

Vicomtesse je suis des plus ravit de vous voir enfin sur les terres du Lyonnais Dauphiné, dit t’il le sourire aux lèvres, vos sources sont bonnes en effet. Enfin donc je vais être en mesure de vous montrer ce magnifique duché, si vous pensez avoir quelques instants a vous.

Comment c’est donc passé le voyage ? Comment se porte Sa Majesté ? Pensez vous que nous serons informé des conclusions de l’enquête concernant l’attaque par un garde du Grand Maistre de France de deux pairs de France originaire du Lyonnais Dauphiné ? Je pense que l’annoncer ces jours ci pourrait être une bonne chose.

Alors racontez-moi un peu votre début de voyage.
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Kazert

[Les portes de Lyon La garde Royale : disparition de deux gardes Royaux et jus de pomme]

Pourquoi fallait il toujours que sa vie soit une épreuve. Il avait l'impression de ce battre chaque jour contre l'invisible. C'était a en devenir fou. Folie qu'il sentait l'envahir par moment. Doucement mais sûrement.
Le temps passé, et plus il ressemblait a celui qui était au plus profond de lui. A celui qu'il avait de cesse combattu.
N'ayant pas eu la réponse attendu il alla poser la question a une personne. Il ne pouvait en étre autrement. Il s'approcha de la litière de la princesse, vit que les rideaux étaient en place. Il ce pinça les lèvres, ne sahahnt comment cet enfant aller réagir a sa question. Il posa pied a terre, s'approcha et a travers les rideaux il s'adressa a la fille.

- Votre altesse, j'espère ne pas vous déranger. Je n'ai pas eu l'opportunité de vous saluer ce matin....oui continue kaz, bonne tactique....Je sais que votre nuit fut bonne suite au rapport de votre escorte, dont font partie les deux gardes ....hésite....dont vous avez fait connaisssance il y a peu et qui étaient en ma compagnie.
Kazert soupir et ce lache
- Vous les avez vu quand pour la derniére fois ?

Lady_antlia

[Aupres des soldats aux portes de Lyon

Elle entendait le grondement arriver vers eux . Le menton volontaire, elle regardait arriver tout d'abord l'avant garde royale et sourit .
Ils avaient bonne prestance.
Son coeur battait, et lorsque l'on annonça l'approche du Roy Levan le Troisieme et de son Altesse Armoria .
Elle regardait les soldats, impeccablement mis, faisant ainsi honneur . Le Capitaine savait également qu'elle allait enfin rencontrer certaines personnes et cela lui faisait chaud au coeur .

Elle se tient droite devant le passage de l'attelage qui s'arrêta devant le Gouverneur . Ils étaient arrivés ... cela était . Les Nobles se mettaient en mouvement pour le banquet dans nul doute . Elle allait rester encore un moment afin de les laisser partir et de libérer ses soldats .

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Mariealice

Depuis le temps que vous me parliez de votre Duché, je compte bien sûr sur le fait que vous allez me faire visiter.

De plus je n'ai plus un nougat à me mettre sous la dent, il me faut donc refaire mes réserves de douceurs.

Le voyage se passe bien merci, quelques alertes mais nous n'avons rien vu. Pas même un petit brigand à se mettre sous la dent.

Elle se demandait s'il allait rester sur son perchoir ou pas.

Sa Majesté se porte bien, Leurs Altesses aussi.

Pour l'attaque, dame Elorane et dame Aubane avaient réglé cela de mémoire, il faudrait peut-être demander à l'ex gouverneur le résultat de l'enquête.

Le début.. Et bien nous avons visité la Bourgogne, peu vu les caves mais j'y ai attrapé un rhume lors du défilé militaire.
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Argael

Quand aurez-vous le temps de vous promenez avec le Secrétaire d’Etat au Poitou ainsi que votre époux ainsi que ceux qui le veulent ? Je serais ravis de vous guider sur les chemins soyez en sur.

A cette époque les paysages sont magnifiques avec de multiples couleurs que cela en est magnifique. Et puis le soir sera l’occasion de se restaurer avec des plats de la région.

Accepteriez-vous Vicomtesse ?

Le vicomte de Monestier les Bains la regarda alors plein d’espoir si heureux de pouvoir faire connaitre le duché.
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Mariealice

Nous trouverons un moment Argael mais je ne puis vous dire quand exactement, le temps que tout le monde soit libre.

Mais le programme m'a l'air très intéressant et moi je suis pour.

Elle fit un large sourire en pensant aux spécialités gastronomiques et à une journée de détente, sans autre souci que de se promener et profiter.

Nous devrions rejoindre le cortège, je ne sais même pas où il est se rend et Lyon m'est totalement inconnue.

Dans les spécialités, il y aura du nougat j'espère.
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Marie_heloise

[Dans la litière, aux portes de la ville]

Marie Heloise ouvrit de grands yeux lorsque la tête de Kazert apparu au travers de la fenêtre.
Diantre, heureusement que les litières étaient entourées de gardes parce qu’il venait de lui foutre une de ces trouilles !

Elle fronça les yeux à sa question et regarda autour d’elle. Hum, les sucettes au calva avaient du faire un triple effet sur son petit gabarit parce qu’elle se rendit compte… qu’elle ne s’était pas rendue compte que leur absence ! Confuse, rouge cramoisi, elle bafouilla un truc inaudible.

Bin euh…

Il était mignon le Vicomte Kazert. Prise de court, ne sachant quoi répondre, elle lui papillota sa mine la plus ingénue et rétorqua, soudain consternée par l’ampleur des conséquences possibles de la mauvaise nouvelle :

Et c’est maintenant que vous constatez leur disparition ? Mon dieu, mais vous imaginez ? C’est très très grave ! Et Arianrod aussi ? repensant à la précieuse donation de sucreries qu’elle lui avait faite le soir avant, Marie-Héloise faillit perdre son sang froid à l’idée de ne pouvoir réapprovisionner ses réserves.

Mais il faut les retrouver tout de suite !! Je ne peux imaginer voyager sans elles à mes côtés. Elles sont si gentilles. Viiiites, dépêcher vos meilleurs coursiers et faites en sorte qu’elles nous rattrapent au plus vite. Elles étaient encore à mes côtés hier soir, elles ne peuvent être loin. Surement un problème de fer à cheval.

Marie-Heloise, paniquée, sortit une petite sucette de sa poche et la fourra en bouche. Tout de suite, l'effet fit son effet et elle se calma instantanément se délectant du gout légèrement alcoolisé de la friandise.
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Cherchons rolistes intéressés de prendre des rôles à la Cour auprès des princesses - envoyez moi mp

Geronimo2751

Le regard écarquillé tour à tour pas la vue de son ami et supérieur Kidineige et par la vision d'une chevelure de geai à la peaux d'ivoire qui ne lui rappelais que trop celle d'une si précieuse amie perdu il y a longtemps.

Le cortège de la cours était entrain de s'en aller vers des lieux plus mondains ... quand un coup de bise fit revenir géro à la réalité, un frison le parcourra. Il resta sans bouger attendant que l'ensemble de la cours ait quitté l'allée et que les ordres viennent du capitaine ou du seigneur des lances.
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Alienor.

Nichée dans la noble foule du gratin dauphinois, Aliénor observait avec attention la fastueuse entrée de la suite royale dans la rugissante capitale du Lyonnais-Dauphiné.

Diantre, que de monde ! Quelle organisation ! Elle avait beau fouiller dans sa mémoire, elle ne se souvenait que très vaguement d'avoir assister à tel accueil. C'était lors de la précédente visite princière : sa mère était alors gouverneur lorsque Leurs Altesses le Prince Morgennes et la Princesse Armoria avaient honoré le duché de leur présence. Mais elle, elle n'était alors encore qu'une enfant, tout cela lui semblait bien loin.

Aujourd'hui, c'était son Parrain adoré, qu'elle considérait un peu comme son père, qui accueillait à nouveau les membres de la famille royale. Signe du destin ? Sans doute ; sa mère avait pour habitude de dire qu'Aristote était un petit farceur... Elle avait sans doute raison, comme toujours d'ailleurs.

Mais son sourire s'effaça bien vite en entendant une voix qu'elle ne connaissait que trop bien et serra les poings. Le "Fier"... Le Traître, oui, le Judas, l'Assassin... Elle le considérait comme celui qui avait poussé son père vers la mort et n'en démordait pas malgré les réprimandes maternelles. Mais sa colère s'estompa pour faire face à l'incrédulité lorsqu'elle l'entendit beugler comme un marchand de poisson en direction du cortège royal. La petite licorne échangea un regard dubitatif et pour tout dire navré avec le vicomte de Crots et avec son ami François mais fut encore plus étonnée par la réaction de l'une des membres du cortège qui entama allègrement la discussion avec le Vicomte de Monestier-les-Bains.

Elle se mit alors à douter... Rien de tout ceci ne correspondait aux règles de l'étiquette et du protocole qu'on lui avait enseigné dans cet ennuyeux couvent dans lequel ses parents avaient eu la riche idée de la placer dans sa prime jeunesse...

On m'aurait menti ? pensa-t-elle.

Elle soupira et bien vite elle retrouva un sourire aussi rayonnant qu'empli de fierté lorsqu'elle entendit Walan prendre la parole. Quelle prestance ! Quel charisme ! Quelle beauté ! Quelle magnificence !... Quelle partialité dans son jugement... aussi.

Ainsi que le Gouverneur invita la noblesse à faire, elle se mit en route, à la suite du carosse royal.

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Boursiero

Il avait chevauché avant l'aube pour rejoindre le cortège royal, chose faite aux alentours du village de Beaujeu. Il prit ainsi par à l'escorte, mission qu'il devait tenir dès l'entrée du Roy et de la Cour dans le Lyonnais et le Dauphiné.

Pour la mission d'escorte bien sur, mais aussi par l'apparat, il est en 'grande tenue', ou du moins de sa conception. D'acier de la tête aux pieds, hormis le heaume, qu'il avait accroché à la scelle de sa monture, tout juste à côté d'un fléau d'armes.
Faisant donc route vers la Capitale Ducale, il chevaucha pour ce cours trajet aux côtés de la Lance de la Licorne. Par principe et comme le veut la coutume, il était armé d'une lance, en haut de laquelle il avait fait faire un étendard, de blanc orné d'or avec la croix du Saint-Esprit, symbole de l'Ordre Royal.

Puis la voix de l'ecuyer de la Licorne se fit entre "À trente pieds de la porte, nous allons nous ranger à droite et laisser passage au Roy, afin qu’il pénètre en tête des troupes dans la cité." Et aux trente pieds, les cavaliers se mirent à se positionner. Il suivit donc le mouvement, donnant à son tour un léger coup vif sur les rênes. Ils formèrent ainsi une ligne d'honneur au passage du Roy et de la Cour, avant d'entrer dans l'enceinte de la ville.
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Ateliers du Royans

Guendoloena

Lyon enfin ! Guendoloena voyait cette ville pour la première fois et l’émotion de voir tant de monde présent pour accueillir le Roy et sa suite était tangible. Les festivités s’étaient organisées un peu partout. Elle ne savait où poser les yeux en défilant avec son escorte de Corinthiens qui avaient l’air aussi ébloui qu’elle.
Elle cherchait les visages de l’avant-garde qui était arrivée la veille et qu’elle avait hâte de retrouver pour partager un bon repas avec eux et discuter devant un bon verre.
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Guendoloena fiancée comblée d’Harlan le Hardi
Corinthienne dans l’âme
Ambassadrice Orléanaise en Flandres
Conseillère Municipale et CaC de Montargis
Tisserande, éleveuse de moutons parfois

François.de.macquart

François de Macquart avait quitté l'hôtel familial pour rejoindre le cortège des nobles du Lyonnais et Dauphiné. Le Roy et sa cour étaient finalement arrivés comme prévu dans la capitale de la province delphinale. Le jeune érudit ne pouvait que saluer l'initiative du Grand Maître de France pour promouvoir la Couronne dans les provinces vassales de sa Majesté Levan le Troisième. Cela éviterait peut-être, que d'autres comtés ou duchés ne deviennent félons. La paix, voilà ce dont ils avaient tous besoin en ces temps de reconstruction.

Les larges rues de Lyon étaient bondées comme rarement. Tous les états du Royaume étaient représentés, la noblesse, le clergé et le tiers état. C'était là dans une toute autre circonstance que le jeune dragon allait voir la Cour. La dernière fois c'était à Vincennes, il s'en souvenait bien. Mais les personnes qu'il apercevait en ce jour n'y étaient pas présentes. Il se souvenait surtout de Feue la Reyne de France et du Prince de Fontainebleau. Le Roy, seul son père l'avait déjà vu, en Champagne lors de sa campagne contre l'Artois. Le jeune érudit se réjouissait donc d'enfin pouvoir contempler de ses yeux la Majesté du Royaume de France. Il eut tout de même une pensée pour le Duc d'Hostun et la Vicomtesse de Guillestre. Mais l'heure n'était pas aux rêveries, aussi se concentra-t-il sur l'évènement se déroulant sous ses yeux.

Le Gouverneur semblait prêt, et faisait preuve comme lors de ses précédentes apparitions d'une prestance rarement égalée en Lyonnais et Dauphiné. C'était une chance pour le duché qu'il en soit le représentant lors de la royale visite. Il en fut d'autant plus convaincu lorsqu'une fois de plus, le Premier Conseiller voulu attirer l'attention sur lui. Pour finir, l'épithète que lui avait choisi le Lyonnais et Dauphiné dans son ensemble lui convenait à ravir. Diantre qu'il faisait honte à la noblesse dauphinoise en cet instant, se manifestant tel le plus bas des roturiers, sans la moindre éducation notable.

Heureusement, le Premier Secrétaire d'Etat, sans doute dans un élan de bonté, ne put laisser l'un de ses officiers se ridiculiser et ne l'ignora guère. Si seulement seulement l'un des anciens gouverneurs du Lyonnais-Dauphiné n'avait pas été enlevé...certaines choses seraient sans doute différentes à l'heure actuelle...François remarqua alors le regard d'Aliénor et ne put ignorer sa crispation puis sa circonspection. Il regarda alentour et s'approcha finalement d'elle. Il comprenait bien sa réaction. Il savait pourquoi elle en voulait tant à cet homme. Aussi posa-t-il simplement sa dextre sur son épaule un instant avant de lui murmurer discrètement quelques mots.

" Vous devriez vous concentrer sur nostre charismatique gouverneur très chère amie, et tenter d'apercevoir nostre bon Roy. Il n'est nullement dict qu'une autre occasion se présente un autre jour. Ses apparitions ont esté rares jusqu'alors. "
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Philipe_de_massilia

Patiemment, Phil attendait le passage du Roy et de son cortège.

Il était allé saluer nombre de ses compagnons des autres garnisons, et avait aperçu des amis aussi, dans une foule immense. Le peuple du duché du Lyonnais-Dauphiné mais également des duchés et comtés proches, s'était réuni dans l'espérance d'apercevoir le Roy.

Sa femme à ses cotés, son fils et sa petite filleule devant lui, Phil était très fier d’être ici entouré des gens qu’il aimait.

La présence du Roy et d’une bonne partie de la famille royale était chose rarissime, il le savait bien.

Phil dans son uniforme impeccable, était plongé dans ses pensées.
Il attendit tranquillement la suite.
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Aide-fourrier
Vétéran Vae Victis

Argael

Nous devrions rejoindre le cortège, je ne sais même pas où il est se rend et Lyon m'est totalement inconnue.

Bien sur Vicomtesse à n’en pas douter certains nobles de notre duché sont déjà à parler de mon intervention, et sans nul doute que votre sortie du cortège va faire parler la noblesse. Pensez vous donc. Je vous retrouve à l’issue mes amitiés à votre époux.

Il se retourna vers les nobles du duché, en souriant combien d’entre eux chercher alors à se faire bien voir, a montrer leur noble et gras postérieur, sans nul doute la un des aspects les plus présents dans leur noblesse.

Discrètement il se plaça parmi la noblesse, selon l’étiquette se retrouvant au coté du Vicomte de Crots entre autre.Doucement il s’adressa à lui.

Vicomte avez-vous dans l’idée de présenter ici votre magnifique projet pour le Lyonnais Dauphiné ? Je suis des plus surprit de vous croisez ici à vrai dire, j’en suis fort aise néanmoins.

Tout en marchant derrière le Cortège royal, il chercha du regard quelques connaissances et remarqua la jeune noblesse florissante du duché. Une certaine tristesse lui vint étrangement, si jeune et devant déjà tenir un rôle de façade, sans jamais pouvoir exprimer des désirs des envies. Sans doute son éducation roturière et rustre lui faisait penser ainsi. Qu’avez-vous connu de la vie jeune Aliénor d’Avencourt, jeune François de Macquart, je veux dire des bonheurs simples…..

Il se promit a lui-même d’un jour leur proposer de venir en son domaine la bas loin dans le duché, au nord de Briançon, ou les plaisirs simples loin des conventions de la noblesse s’appliquer, enfin si bien sur l’invitation ne serai point cordialement refusée.

Tenant dès lors le rôle que l’étiquette voulait, il se perdit dans ses pensées. Il cherchait encore comment discuter avec Sa Majesté afin de s’entretenir quelques instants avec lui, il avait une requête à présenter au nom de la majorité de la population de Briançon.
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L'entrée dans Lyon

Walan

Lyon, le matin du 11 octobre.

Le soleil était levé depuis quelques heures sur la journée qui verrait arriver le Roy, ses filles, ses grands officiers et pairs ainsi que toute leur suite sur les terres dauphinoises. Déjà, lyonnais et dauphinois commençaient à affluer dans les rues à l'annonce de cette arrivée prochaine et les patrouilles et guets avaient été augmentés en conséquence.

Dans le Castel de Pierre Scize, siège du pouvoir ducal, Walan était apprêté par les serviteurs du château -quelque peu agacé de se voir contraint d'être assisté dans cette tâche- tout en se faisant lire les diverses nouvelles et comptes rendus des activités du Conseil Ducal. Après avoir paraphé l'inévitable masse de parchemins qui devaient l'être, le Gouverneur s'installa auprès de l'une des fenêtres de son cabinet de travail pour y travailler en compagnie d'un scribe sur le discours de bienvenue qu'il ferait au Souverain tout en observant les rues de la capitale ducale se remplir peu à peu.
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Chloris

Chloris s'était préparée pour l'arrivée du Roy et de sa Cour, elle avait lavé ses vêtements, brossé ses cheveux elle était enfin prête à les accueillir, son uniforme était impécable.
Il fallait faire honneur et porter fièrement les couleurs de Lyon. Elle partie déjà en avance afin de garder des places à ses compagnons, Cocoleri n'allait certainement pas tarder à arriver, ainsi que Berbert, et tous les autres....

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~draguione~

Matinet, la famille de Massilia s'était mise en branle sachant que la Cour Royale venait fouler les terres Dauphinoise...

Draguione prépara d'abord Antoine, petit héritier, qui allait représenter la famille de Lusignan dans cet évènement. Vêtit de ses plus beaux vêtements d'une étoffe de très bonne facture, le petit garçon avait vraiment fière allure. Ses cheveux bien brossés, ses mains de baroudeur bien propre, il était fin prêt pour l'arrivée de la Haute. Elle se baissa à sa hauteur en souriant afin de lui donner quelques consignes...

Antoine, aujourd'hui est un jour très important pour le Lyonnais Dauphiné et son peuple... Il va falloir rester très sage...donc pas question de chariote!! Tu sais maman te parle très souvent du Roy et d'Armoria, la Princesse qui avait donné un onguent à maman quand papa était mourrant à Fougères...Elle est très gentille tu verra.

Elle le regardait fièrement, son hérité. La Belle de Lusignan Massilia se tourna vers son époux Philipe. Il s'était revêtu de son nouvel uniforme de Chef de Lances. Philipe était très élégant, toujours au goût de sa Belle. Draguione était vraiment très fière de lui et de tout se qu'il accomplissait. Elle s'avança vers lui un grand sourire aux lèvres en lui mettant le col de l'uniforme bien en place. Pas un plis, pas une poussière..Il brillait de mille feux tellement il était fier de pouvoir faire honneur au Roy ainsi qu'a sa Cour, à Armoria devenu amie à Fougères. Draguione lui déposa un doux baiser dans le creux de ses lèvres bien faites et alla se préparer à son tour ...

Si son frère la voyait ce jour là...il aurait été fier de savoir sa soeur à se point grandit par son bonheur. Draguione se plaça devant le miroir placé à coté de la cheminée alors éteinte. Paré de son uniforme d'Homme d'armes il lui fallait garder une part d'élégance pour la Cour. La belle remonta ses longs cheveux en un chignon encore plus joli que d'accoutumé avant de s'orner de son Diadème. Un Diadème qui parcourait joliment son front, comme s'il y était dessiné.

Leur Destriés étaient parés également d'étoffes à l'emblème du Dauphiné. Un pied dans l'étrier, Draguione se hissa majestueusement sur Andragore. Philipe prit Antoine du bout de ses bras afin de monter Antoine avec sa maman déjà haut perché. Philipe monta à son tour sur Whitelong. Un coup de bottes sur les flancs de leurs montures, Draguione, Philipe et Antoine était en chemin pour l'accueil de la Cour. Arrivé devant la bâtisse de la jeune Culan, le couple vit la petite Demoiselle sous la porte cochère qui regardait les allers et venues. Antoine rigolait en chemin, il adorait monter à cheval avec sa maman qui maîtrisait bien la chose.

Arrivé aux portes de Lyon, les deux soldats stoppèrent net leur destrier. Les Massila allèrent sangler leurs montures non loin après être descendu de celles ci. Il y avait déjà du monde de tout rang qui attendait de pouvoir faire Honneur. D'un pas assuré les deux soldats Dauphinois se mirent en place accompagnée de leur fils, non sans saluer militairement les autres soldats présents...
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Vétéran Vae Victis, à fait couler son sang le 15 juin 1456 pour le Roy

Dernière édition par ~draguione~ le 09 Oct 2008 12:27; édité 3 fois

Cocoleri

Depuis quelques jours, Cocoleri était avertie de l'arrivée du Roy et de sa Cour dans la capitale du Lyonnais Dauphiné. Il allait falloir être à la hauteur et faire bon accueil au Roy et à la Cour. Aussi, Coco s'était parée de son plus bel uniforme, avait lissé ses cheveux, s'était frotté les joues pour avoir bonne mine. Puis elle s'était dirigée vers les portes de la ville afin de rejoindre sa place dans la haie d'honneur.
En arrivant, elle aperçut son amie Chloris, déjà fidèle au poste.

Bonjour Chloris, je vois que tu es en grande tenue toi aussi! Je suis très fière de pouvoir participer à cette grande fête et de faire honneur à notre garnison. Crois-tu que le Roy nous remarquera ?

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Anne_blanche

Vienne, hostel de Culan

Je veux voir le Roy !

Debout dans la grande salle, face à une Matheline plus rogomme que jamais, Anne serrait les lèvres et les poings, bien décidée à remporter la partie.

Non, Damoiselle, vous n'irez point. Madame vot' mère ne m'a point dit qu' vous dussiez y aller. Déjà qu'ce bâsin de Bacchus vous a menée à Lyon hier, ça ne va pas recommencer.

Anne se retint de ne pas trépigner de colère.

Matheline, Mère ne peut savoir que Sa Majesté vient ici, puisqu'elle est se repose en un couvent. Ma famille a toujours servi le Roy. Je veux le voir.

Il suffit, Damoiselle. Vous n'irez point. C'est toujours plein d' tire-laine et d' coupe-jarret, quand il y a presse comme ça. Je n'veux point d'souci avec vot' mère. Vous resterez çà.

La camérière, coupant court, tourna le dos et s'en fut vers les cuisines.

Au bord des larmes, Anne s'assit dans l'embrasure de la fenêtre, sur les coussins, entourant ses genoux de ses bras. Dans la rue, l'animation grandissait. Des hommes d'armes, des attelages, des familles à pied, tous se dirigeaient vers Lyon.
Tout au bout de la rue, Anne vit soudain la famille Massilia. Ils chevauchaient de concert. En un éclair, elle prit sa décision. Elle courut à la cuisine, entrouvrit la porte. Matheline était en train de se quereller avec la cuisinière, au sujet du souper. La petite, sur la pointe des pieds, se faufila derrière la longue table, et sortit dans le jardin. Bacchus, sur le banc de pierre devant les stalles, fourbissait un harnais.

Bacchus ! Faites atteler le coche ! Nous partons pour Lyon, voir Sa Majesté.

Le brave homme en laissa tomber le harnais, se pencha pour le ramasser en grommelant, et la gamine en profita pour lui murmurer à l'oreille, l'oeil pétillant de malice.

Matheline ne veut pas, mais nous irons tout de même, n'est-ce pas, Bacchus ?

Le cocher faillit en tomber à la renverse. Décidément, cette petite prenait de l'assurance !

Mouais... Et sur qui qu'ça va encore pleuvoir, les reproches ? Su' l' Bacchus, pardine !

Bacchus !

Les yeux papillon... L'arme suprême de Damoiselle Anne Cornedrue de Culan.

Mouais... C'est vrai qu'feu vot' père l'était officier royal, tout de même. Et qu'feue vot' tante l'a mis au monde le petit-fils du roi... Allez zou ! On y va !

Un gros baiser planté sur la joue qui piquait lui fit mouiller les paupières, et il s'activa à atteler, s'amusant du bon tour qu'il allait une fois de plus jouer à la Matheline.
Anne se posta sous la porte cochère, adressa un grand signe de main aux Massilia, quand ils passèrent devant la maison.

J'arrive, Antoine !

Elle fila dans sa chambre, changea de robe à une allure record. Elle eut bien un peu de mal à lacer ses manches seule, mais se dit que Dame Draguione l'aiderait, à l'arrivée, à remettre de l'ordre dans sa tenue. Un bref coup d'oeil dans le miroir de cuivre qu'elle avait chipé à Matheline, et elle dévala l'escalier, monta dans le coche.
Avant que Matheline n'ait eu le temps de s'apercevoir de quoi que ce soit, Bacchus menait sa jeune maîtresse sur la route de Lyon.

Frutass

Frutass arriva au devant des portes de la cité de Lyon. Ses pieds commençaient à lui faire un mal de chien. Elle aurait préféré venir à dos de cheval, mais ce privilège ne s'accordait pas à son grade. Les portes étaient grandes ouvertes, quelques soldats en faction. La venue du Roy à Lyon était une rumeur qui se répandait dans la rue comme un vent du Nord, le sujet de discussion de tous les coins de rue. Ne connaissant que peu la cité Lyonnaise, la jeune Dioise dû demander son chemin à un passant afin de trouver la rue qui menait à la porte où se rassemblaient les soldats de l'Ost. Le passant ria en lui indiquant qu'elle foulait déjà cette rue. Frutass le remercia d'un hochement de tête et entreprit de la remonter jusqu'à trouver enfin les soldats qui composaient la haie d'honneur. Elle ajusta son uniforme d'archer, se rafraîchit le visage à une fontaine. Elle épousseta son manteau de route afin d'enlever les traces de poussière puis le renfila par dessus son uniforme, impeccable. Elle vérifia l'état de son arc, et de son épée. La dague et les fourreaux y passèrent aussi. Une fois prête, elle se mit à chercher du regard les frères d'armes de sa garnison, saluant au passage les autres soldats.

Antoine_de_massilia

De pieds en cape le petit de Massilia Lusignan se laissait parer de vêtements propre et bien lissé. Des cheveux tirés par la brosse de sa maman, il était prêt pour aller a la rencontre du Roy et de sa Cour. Draguione à sa hauteur, elle lui souriait tout en lui faisant entendre sa douce voix ...

Antoine, aujourd'hui est un jour très important pour le Lyonnais Dauphiné et son peuple... Il va falloir rester très sage...donc pas question de chariote!! Tu sais maman te parle très souvent du Roy et d'Armoria, la Princesse qui avait donné un onguent à maman quand papa était mourant à Fougères...Elle est très gentille tu verra.

Il acquiessa d'un signe de tête, mais certes une journée sans bêtises s'annonçait difficile...

Promis je vais me tenir. J'espère que Anne viendra ....

Antoine regardait émerveillé sa maman se préparer tandis qu'il trifouillait déjà des doigts dans ses manches... Un pas dans l'allée, les chevaux étaient là, capées. Il regardait Draguione monter à cheval, avant de se faire emporter par les bras paternelles juste devant la femme. Les rues défilaient quand il aperçut sa complice de taverne devant chez elle... Un petit signe de la main, un large sourire....

J'arrive, Antoine !

Son sourire s'accentua encore un peu en entendant son amie. Antoine se pencha alors un peu gardant dans sa vision Anne jusqu'à ne plus la voir. Il était simplement heureux.

Les portes de Lyon se firent enfin voir...Le petit était émerveillé par toutes les décorations qui avaient été mit en place pour l'arrivée du Roy. Ses yeux ne savaient plus ou regarder tellement il y avait à voir. Le garçonnet se laissa glissé à terre et resta près de ses parents aux côtés des autres soldats. En voyant ses parents saluer, il fit de même, lui qui voulait devenir grand soldat du Lyonnais Dauphiné, devait bien commencer par cela...
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Boursiero

[Lyon - Tôt ce matin]

L’aube n’avait pas encore point qu’il était déjà prêt, fier dans son armure d’acier. Grégoire jeta un œil par la fenêtre, tout était si calme, ni passants, ni voyageurs, ni même marchands, Lyon était encore endormie.
Un petit sourire malin se laissait entrevoir sur ses lèvres, et se retournant vers son fidèle Enguéran.

Tiens, viens donc m’aider à mettre mes gantelets… Puis il rajouta alors que le serviteur avançait vers lui, mon cheval est-il prêt mon ami ?

Oui mon Seigneur, répondit alors le sieur aidant son maître à enfiler les gants de fer.

Fort bien Enguéran… Fort bien… Il ne me reste plus qu’à rejoindre le cortège vers Beaujeu… Lui répondit Grégoire donnant un dernier coup pour mettre le gantelet correctement, puis il prit la direction du rez-de-chaussée.

Le Roy et sa Cour à Lyon, cela était une étape et un évènement considérable, tant pour la ville que pour le Duché. Le plus étrange pour lui était de faire partie du cortège à l’arrivée des portes de la ville, et ainsi de passer devant ses filles et fils de l’Ost. A y réfléchit, il souriait, amusé de la situation, de ce sourire toujours malin, au coin des lèvres.

Enguéran avait attaché la monture de son maître à une poutre dédiée à cet effet tout juste à côté de l’Hostel. Jetant un coup d’œil sur les côtés, les rues étaient vides, bien qu’on puisse voir certains des préparatifs fait la veille. La rue Saint-Jean était nappée d’oriflammes aux couleurs d’azur, d’autres d’or et de gueules. C’est tout le Duché qui allait être en fête.
Il monta sur sa monture, inclinant la tête en signe de salutation à son fidèle Enguéran, lui jetant une bourse.

Tiens l'ami ! C'est jour de festes !

...Qu'Aristote vous garde mon Seigneur ! Répliqua alors le servant.

Il donna un coup vif sur les rênes et partie ainsi au petit galop dans la rue principal le menant à la porte sud, Saint-Georges. Une fois passées, il prit une vive allure, au grand galop en direction du Nord, dans l’obscurité des Monts d'Or alors que derrière lui, un très léger voile bleuté se laissait entre-apercevoir…
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Ateliers du Royans

Kernos

A quelques pas des portes sud de Lyon- Garnison de Die

Juché sur le dos de Corwin, Kernos observait l'enceinte de Lyon qui se dressaient devant lui et le flot croissant des badauds qui se pressait aux portes de la capitale. Il soupira, cela n'allait pas être facile de passer à ce rythme là... ils allaient devoir jouer de leur statuts pour se frayer un chemin à travers la foule afin de ne pas être en retard. Revêtu de son harnois blanc qu'il avait fait lustrer la veille, "Gramr" attachée à la taille, son écu fixé à la selle et la visière relevée, il fit faire une petite halte à son destrier en attendant que le reste de la colonne des soldats diois le rattrape.

C'était une belle journée qui s'annonçait, riche en festivité et liesse, un grand moment pour l'ensemble du duché: la visite royale, il y avait de quoi attirer du monde et attiser la curiosité de n'importe qui, lui le premier, et c'était avec une certaine excitation qu'il avait mené ses hommes depuis Die jusqu'à la capitale. Au certes, ils étaient de service, mais pas toute la journée et il avait hâte que celle-ci se termine pour se joindre aux réjouissances organisées en l'honneur de leur souverain et de sa Cour Royal. Il se tourna vers les soldats de sa garnison, faisant ainsi onduler sa cape aux couleurs de Genay et de Glandage.

Compagnons, nous touchons au but! Dans quelques minutes, nous franchirons les portes de la capitale. Une fois à l'intérieur, nous nous dirigerons à l'autre bout de la ville où notre présence et requise pour accueillir et protéger le passage de Sa Majesté et de sa Cour dans les rues menant au palais ducal.

Nous resterons en formation jusque là avant de procéder au placement le long de la voie qu'empruntera le cortège royal. Je veux de l'ordre, de la discipline et de la rigueur, soldats, n'oubliez pas que de nous dépend l'honneur et la fierté du Lyonnais-Dauphiné! Faisons bonne impression jusqu'à la fin de l'entrée royale et après, nous aurons sans doute quartier libre après pour profiter de la fête.

En avant marche soldats!

Le convoie se remit en branle afin d'attendre l'entrée de la cité lyonnaise. Devant ce défilé de soldats, et après quelques invectives et jurons, la foule s'écarta pour laisser la colonne pénétrer dans Lyon. Quel spectacle impressionnant les y attendait, chaque rue, chaque maison et échoppe avaient été décorées pour l'occasion. Il n'y avait pas un endroit en ville où l'on ne pouvait apercevoir banderoles, lampions, fanions et fleurs. Lyon avait revêtu ses habits de fêtes et elle resplendissait comme jamais. Et c'est ainsi que les soldats de Die traversée la ville, sous les bannières aux couleurs de Lyon, du duché et du Royaume qui battaient aux vents.

Arrivés au point de rendez-vous, où déjà plusieurs soldats des autres garnisons étaient présents, Kernos fit faire halte à ses hommes. Scrutant la foule à la recherche d'une personne connue, il repéra un des uniformes de sa garnison. Il fit signe aux autres de l'attendre et il fit avancer son frison en direction de l'archer perdu.

Alors Archer Frutass, on s'est perdu en chemin? Rejoins les autres en attendant que les autres garnisons arrivent pour que nous puissions organiser le passage.

Puis il reprit la direction où ses hommes c'étaient réunis, en attendant que les autres arrivent à bon port.
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En deuil d'une amie, en deuil d'un chef, en deuil de Linala
A nos compagnons morts pour la Couronne

Thierrylafrance

Thierrylafrance c'était levé tôt ce matin là, étant étudiant voie de l'armée, il était allé à l'université tôt avant l'arrivée de la cour.
Quelques heures plus tard, avant le déjeuner, il repris le chemin de sa maison.
En route il passa devant chez Mayika et lui dit de se préparer pour aller assister à l'arrivée du Roy.
Il l'embrassa et alla se préparer en mettant son plus bel uniforme. Une fois fait il revint chez Mayika puis avec elle, main dans la main, ils partir en direction du Château de Lyon. Ils arrivèrent prêt d'un attroupement.
Ils se disaient que ce devait être par ici que l'accueil se passerai.
Il vit des soldats déjà arrivé. Ils allèrent les saluer...

Bonjour Kernos, belle journée pour une visite royale non ?

Il vit la famille Massilia et les salua aussi

Bonjour à vous, comment va la petite famille ? vous vous êtes parés de vos plus beaux habits ^^
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--Bacchus

Plus on approche de Lyon, plus la foule est dense. Bientôt, Bacchus doit se rendre à l'évidence. Jamais il n'arrivera à temps pour que le petite voie le roy, à cette allure. Le coche se traîne, les chevaux piaffent, encensent, s'énervent.
Au bord de la route, une auberge. Bacchus s'arrête dans la cour.

Holà, tavernier ! C'est-y 'core loin, d'ici Lyon ?

Pas plus d'une demi-lieue, compagnon ! Mais vous auriez aussi vite fait à pied.

Bacchus se gratte la tête d'une main, et se frise la moustache de l'autre. A pied, la demi-lieue ne lui fait pas peur. Mais la demoiselle ? Bah ! Elle est solide !
Arrangement est pris avec l'aubergiste. Il remisera le coche, gardera les chevaux, contre monnaie sonnante et trébuchante, et logera même Bacchus et la jeune demoiselle, le soir venu.

Damoiselle Anne, allons-y.

La petite marche vaillamment, la main dans celle du gros cocher. Ses gambettes moulinent à côté du grand compas de son compagnon. On approche du fleuve. Bacchus sent qu'elle s'effraie, une fois de plus. Elle a si peur de l'eau, la pauvrette !

Allez hop, Damoiselle ! A cheval !

Et le voilà qui enlève la gamine à bout de bras, et la hisse sur ses larges épaules. Pour la distraire, afin qu'elle ne pense pas à feu son père en passant le pont, il commente la foule, admire les chevaux à voix haute, babille pire que lavandière en oeuvre. Du bout de son fouet qu'il a emporté - sait-on jamais, ça peut faire usage !- il lui désigne un cavalier.

Tenez, Damoiselle Anne : ce beau messire, sur son cheval, c'ui-là j'le connais. L'était ambassadeur en Berry du temps que j'travaillais au Castel avec Dame Mentaïg, feue vot' pauv' tante. Carmos, qu'i' s'appelle, ou Kermos, un nom coume ça. L'était ben ami de vot' tante. Coume quoi qu'on peut aller tertout, ya toujours une bouille de connoissance.

La petite regarde partout, ses yeux azur ouverts tout grand sur ce monde coloré, bruyant. Juchée sur les épaules du brave homme, elle domine tout le monde, même les cavaliers. Elle admire la cape de l'homme qu'on lui a désigné, compte les hommes d'armes qui le suivent.

Mais, Bacchus. On le dirait soldat, désormais, ce Messire Carmos. Je croyais que les ambassadeurs n'aimaient point les armes.

Bah ! Damoiselle, c'est ben compliqué, tout ça. Probable que ça s'fait de même, puisque c'ui ci l'a des hommes sous ses ordres...
Tenez ! Agadez donc par là ! C'est-y point vot' Antoine, avec ses père et mère qui causent avec c'te messire ?

Fontvell

Mais enfin...Il est vrai que j'avais mes torts !

J'ai hâte de voir notre Bon Roy !!!! En attendant, partagerais-tu le contenu de cette gourde avec moi ?

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~draguione~

Le monde s'amassait et s'organisait aux portes de Lyon, les soldats regroupé, les nobles d'un coté et le peuple derrière se beau monde...Draguione et Philipe déjà en rang, le petit Antoine devant eux...

Interpellé par le Grand Maistre des Lances, les Massilia se tournèrent vers lui en lui fesant un salue militaire.

Bonjour Thierry! Pour ma part je me porte bien merci, et oui en effet nous nous sommes paré en conséquense, mais je vois que nous ne sommes pas les seuls!

Elle se mit a rire volontier tout en discutant quelques instant avec son époux et Thierry...Antoine commençait déjà a s'agiter et tirer sur les vêtements de le Belle de Lusignan Massilia...
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Vétéran Vae Victis, à fait couler son sang le 15 juin 1456 pour le Roy

Fontvell

Fontvell s'adressa à Draguione en désignant le garçon :

Excusez moi, peut-être vais-je vous sembler importun, mais ce petit est-il en famille avec Messire Arnaut de Lusignan ?

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Kernos

Kernos observait la foule en attendant que la troupe des soldats arrivent. C'est alors qu'il remarqua un visage connu qui s'avançait dans sa direction, au bras d'une demoiselle. Aussitôt, le Seigneur des Lances mit pied à terre, et une main sur son plastron, l'autre tenant les rênes de Corwin, il salua Thierry.

Mes respects, Grand Maistre des Lances!

Puis quittant son allure martiale pour une tenue plus amicale, il ajouta.

Et bien le bonjour Demoiselle, nous n'avons jamais eu le plaisir de nous rencontrer, il me semble. Permettez-moi de me présenter. Je me nomme Kernos Rouvray, Seigneur des Lances de la garnison de Die et Seigneur des terres de Glandage et de Genay, ravis de faire connaissance.

Puis revenant à Thierry.

C'est en effet une journée qui invite aux réjouissances, bien qu'elle débutera pour nous comme une journée de service, j'ose espérer que la soirée nous permettra de profiter d'avantage de la fête... plusieurs de mes soldats n'ont jamais eu l'occasion de profiter des distractions lyonnaises, j'espère qui le pourront une fois le cortège passé.

Absorbé par sa conversation, Kernos ne remarqua point l'homme qui, depuis la foule, le désignait de son fouet.
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En deuil d'une amie, en deuil d'un chef, en deuil de Linala
A nos compagnons morts pour la Couronne

~draguione~

Au détour d'un regard Draguione, fut approché par Fontvell, un compagnon d'armes également.. Le soldat avait remarqué le petit ou en avait sans doute déjà entendu parler...Certes il était légèrement connu par ses âneries mais aussi par son nom...

Excusez moi, peut-être vais-je vous sembler importun, mais ce petit est-il en famille avec Messire Arnaut de Lusignan ?

Certes Sieur, Antoine est de famille avec Arnaut, mon très cher cousin. Si vous m'en parlez c'est que vous devez le connaitre je suppose?

Le belle souriait à cet homme. Antoine avait-il un trait de ressemblance avec Arnaut? Ou alors en avait -il juste entendu parler? Draguione était fière qu'il vienne lui parler de sa famille...
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Vétéran Vae Victis, à fait couler son sang le 15 juin 1456 pour le Roy

Antoine_de_massilia

Des regards, des regards en tous sens..Antoine ne savait plus où donner de la tête tant il y avait a voir. Des hommes, des femmes, des enfants de tout age...Des Soldats, des pages qui courraient de partout. Antoine était bien tenté par quelques bêtises, mais il avait promis...Ses parents discutait avec Thierry, le Grand Maistre des Lances du Lyonnais Dauphiné. Lui aussi connaissait Antoine depuis sa venue au monde.

Le petit garçon continuait de balayer la place de son regard, la foule s'amassait...Il trépignait..attendait...il attendait son amie oui...Une petite tête qui surplombait la foule..Anne arrivait, sans doute juché sur les épaules de son fidèle serviteur Bacchus dont il avait fait connaissance quelques jours auparavant...

Un autre homme s'était approché pour questionner Draguione sur la famille d'Antoine..Il leva le regard sur le Sieur et le salua en faisant un large sourire. Antoine les laissait parler, lui voulait voir son amie. Il ne la voyait plus, où était elle donc passé...Aurait elle eu peur et s'est enfui? Le petit garçon un peu déçu de ne plus la voir haussa tristement les épaules....
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Legends13

Legends13 arriva à la cour et vit thierrylafrance et font. Alors je courut pour aller dire bonjour à Thierry et à Font.

Bonjour Thierry ça va? Cela fait ausi un bout de temps que je ne t'ai pas vu.

Bonjour Font! As-tu réussi à te nourrir sans moi ?

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Zoyas

Zoyas, pour encore quelques jours encore, était Seigneure des lances de la garnison d'Embrun, et répondait donc à l'appel parmis les soldats.

Elle était fière de porter cet uniforme dont les soldats de chaque ville avaient fait honneur en Bretgagne et ailleurs.

Elle salua de loin Thierrylafrance, ne voulant le déranger dans ses discutions, ainsi que Kernos, Messire Boursiero qu'elle avait pu voir à l'école entre autre...Et tous les autres soldats qu'elle connaissait.

Elle sourit et vit Legends et Font, s'approcha d'eux, donc de Dragui et Philippe, son époux et Thierry.

Bonjour à vous !

Mes respects, Grand Maistre des Lances.

Draguione, Philippe, Font, Legends, ravie de vous voir tous ici. Regarde le petit qui avait déjà fait des siennes à la cérémonie offcielle, sourit pensivement, puis reprend :

Comment allez vous ?

Legends, la défense se passe t elle bien ?
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http://lacontreedesloups.forumactif.net/index.htm

http://banieresdezoyas.over-blog.fr/

Fontvell

Citation:

Bonjour Font! As-tu réussi à te nourrir sans moi ?

S'il fallait que je compte sur toi pour me nourrir, je serai déjà mort !!!

Citation:

Certes Sieur, Antoine est de famille avec Arnaut, mon très cher cousin. Si vous m'en parlez c'est que vous devez le connaitre je suppose?

J'ai eu le plaisir de faire sa connaissance à Embrun où nous avons pu sympathiser....

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S'il fallait que je compte sur toi pour me nourrir, je serai déjà mort !!!

J'ai eu le plaisir de faire sa connaissance à Embrun où nous avons pu sympathiser....

Bebert1er

bebert arriva precipitemment sur son cheval se frayant un passage dans la foule puis il chercha ses soldats du regards il appercu enfin chloris et cocoleri

ah soldats deja la!! bien je suis fier de vous comme dhabitude dailleurs

chloris , comme tu es la plus ancienne je te nomme porte drapeau de la garnison de lyon

il lui tendit l' étendart et lui dit sois en fier chloris cest un honneur que je te fais je lai été avant toi tu ressentira beaucoup de choses je le sais

cocoleri tete haute quand le cortege arrivera
bebert lui murmura a l'oreille
un jour coco ,tout le travail que tu fourni a la garnison t'apporteras les honneurs et des bien belles recompenses

aller les filles je dois aller chercher les trainards a la caserne je serai pas long
il fit claquer les etriers sur son cheval et parti au grand galop
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[img]http://img131.imageshack.us/img131/5929/frdauphineflag1iw1qi5.gif [/img]

Edgared

ed avancait en file indienne devant les hommes d'armes, regardant de temps en temps derrière lui, les coutiliers, qui avait l'air de plutot bien se debrouiller.
Il avait passer deux heures, la vieille a lustrer son uniforme, remettre impecablement les faux plis, et nettoyer son bouclier, qu'il tenait fierement, et fermement sur le coté droit.
Kernos sur son frison avançait a allure modéré et toute la troupe essayait de suivre sa cadence. La foule etait immense; c'etait la première fois pour lui qu'il venait a lyon , de plus avec tous ce monde. Son coeur palpitait d'esperer voir de ses propres yeux le roy.
Arrivés dans la cour il se redressa regarda droit devant lui, tout en suivant ses compagnons, frotta une dernière fois son uniforme. Lorsque kernos s'arreta pour retrouver frutass, il la regarda avec un petit sourire et lui fit un petit clin d'oeil, mais resta droit et impecable pour attendre les ordres et se mettre en colonne
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recruteur

Frutass

Alors Archer Frutass, on s'est perdu en chemin? Rejoins les autres en attendant que les autres garnisons arrivent pour que nous puissions organiser le passage.

Frutass se tourna vers le propriétaire de cette voix familière. Elle adressa un grand sourire à Kernos. Mes respects, Seigneur des lances. J'étais partie en reconnaissance... Bon, d'accord, j'me suis paumée avec toute cette foule. Je vais réintégrer les rangs de ce pas. Elle caressa le museau de Corwin avant de s'enfoncer parmi les Diois, au côté de son conjoint. Petit baiser discret. Salut mon coeur.

Penelopedefrance

Juchée sur le dos de Xéna, Pénélope, allait et venait dans les environs de Lyon, surveillant les alentours et scrutant l'arrivée du Roy et de sa cour.
Il y avait un monde fou amassé de part et d'autre pour accueillir le Roy, et c'est non sans mal que le Seigneur des Lances se fraya un chemin pour mener ses soldats au point de ralliement.
Elle ordonna aux Viennois de se mettre en rang pour former une haie d'honneur.

Appercevant Draguione au loin elle s'approcha d'elle

Homme d'armes Draguione, je compte sur toi pour dire au mini soldat de se montrer exemplaire

Elle en profita pour ébouriffer les cheveux d'Antoine et de saluer ses congénaires Ostiens

Grand Maistre des Lances mes respects......tu vas bien Thierry ?

Puis se tournant vers Zoyas et Fontvell

Je vois que chacun tente de rameuter ses troupes, pour ma part je vais peut-être sonner le cor pour qu'ils arrivent plus vite

Elle rejoignit sa place et ne manqua pas de saluer Kernos et Boursiero en passant près d'eux

Seigneur de Genay, Seigneur de Saint Nazaire, bonjour !

Puis les regardant de plus près

Mais vous brillez comme un écu neuf !
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Garde Bottée du Commandant Nestor
Vétéran Vae Victis

Fox78

Fox s'était paré pour l'arrivée du Roy de son uniforme le plus impeccable.
Il fallait faire honneur au Roy. Fox se mit alors a la suite de ses compagnon de garnison pour continuer le haie d'honneur

Seigneur_perceval

Perceval se rendit comme convenu au rassemblement en l'honneur du roy, il arriva à Lyon son épée brillante dans son fourreau vernis pour l'occasion. Il suivait Pénélope la Seigneur Des Lances de la garnison de Vienne et se positionna là ou elle lui indiqua.

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Descendant du chevalier de la table ronde, Compagnon de la magnifique Celebrian.
Echevin en charge des tisserands de la ville de Vienne.

Blanche

En se rendant à la garnison de Valence, Blanche avait vu le mot affiché par le Capitaine. Elle se rendit donc en vitesse chez elle pour mettre son unifomre propre, réservé pour les grandes occasions. Ses cheveux blonds d'habitude un peu bouclés étaient lisses.
Elle se rendit sur Lyon pour aller retrouver les autres soldats. Elle se perdit quelques fois dans le dédales de rues qu'elle n'avait pas l'habitude de fréquenter. Plusieurs fois elle dut demander sa route aux lyonnais et au bout d'un certain temps elle arriva enfin là où les soldats devaient se réunir pour faire une haie d'honneur pour le Roy. Blanche était plutôt intidimidée en se disant qu'elle allait voir le Roy.
Elle vit que des soldats étaient déjà présents mais elle eut beau chercher elle n'en vit aucun de la garnison de Valence. Elle resta à l'écart attendant de voir arriver des personnes connues d'elle où plutôt qu'elle cotoyait quotidiennement à la garnison car il est vrai qu'elle connaissait certains soldats présents mais n'osait aller leur parler.

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Garde-pêche de Valence

Chloris

Chlo regardait affluer les gens, plein de monde partout elle avait croisé une dame et son petit garçon qui l'avait salué en passant, elle avait l'air charmante et son petit un vrai ange !!
Soudain Coco l'avait rejointe, elle aussi avait fait que sa tenue soit impécable, elles étaient fières toutes les deux de représenter la garnison de Lyon, mais Chlo allait l'être encore plus...Bebert arriva et lui fit un magnifique cadeau....

Citation:

chloris , comme tu es la plus ancienne je te nomme porte drapeau de la garnison de lyon

Elle prit le drapeau aux couleurs de Lyon, releva la tête et se tenait bien droite comme une grande Dame, elle voulait que le Roy remarque ce beau drapeau !!

Zalik

Monté sur son fidèle étalon, Calypso, Kut s'avançait au trot dans les rues pavées de Lyon. Voilà deux jours qu'elle était revenu dans la ville de sa naissance et où elle avait vécu jusqu'à ses 18 ans. Une pointe de nostalgie avait fait battre son cœur quand elle était repassé devant son ancienne demeure maintenant par un couple de roturier âgés. Le Roy allait bientôt arriver à Lyon et elle s'était parés de ses plus beaux atours bien que parmi cette foule personne ne la remarque. Des cheveux chatains parsemés de reflets rouge tombaient nonchalamment dans son dos sur sa robe blanche comme l'ivoire.

Un collier en or, héritage principal de sa famille, trônait fièrement à son cou. Il était sans doute la chose la plus chère qu'elle ait. Alors le porter ici lui faisait plus que plaisir. Kut fit claquer sa langue contre son palet et Calypso s'arrêta. Elle descendit avec agilité, ses chausses frappant le sol d'un bruit mat. Kut tint Calypso par la bride et l'emmena dans une auberge avec écurie. Autant réserver, il n'y aurait plus beaucoup de place dans cet auberge et dans toute les autres dans très peu de temps vu l'évènement qui se préparait.

Kut était rayonnante dans sa robe d'un blanc immaculé. Elle trottina jusqu'à la foule de ses petits pas qui la rendaient si frêle aux yeux de tous et se faufila facilement au premier rang avec sa minceur effrayante. Des mèches brunes sautillaient légèrement sur son visage fin et ses pomettes adorables. Arrivé à son objectif - c'est à dire le premier rang - elle fit un sourire d'ange aux personnes qu'elle avait doublés.

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Ziglord

Ziglord arriva, suite au message du Capitaine. Il avait essayer de savoir si des soldats de Briançon mais pas moyen d'en croiser. Alors venu un peu tard, il était là quand même, on ne voit le roy d'une seule fois dans sa vie.
Une fois las-bas, beaucoup de soldat mais peu de Briançon, enfin il ne desespérait pas à en voir un, mais pour le moment il resta là, attendant quelque chose, mais quoi ??
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Maccornell

MacCornell arriva sous le commandement du Capitaine à Lyon. Là, il reçu l'ordre de rejoindre les membres de sa garnison du côté où le Roy et sa suite allait venir. Les soldats de l'Ost allaient devoir encadrer le peuple et assurer le transit du convoi jusqu'au château.

Par chance, le chef de lance ne dût pas chercher longtemps avant de retrouver les soldats d'Embrun. Lorsqu'il arriva à proximité d'eux, il lança:

Bonjour tout le monde, content de vous revoir ! Thierry, Kernos, Zoyas, Fontvel, Legends, Péné...

Il les salua tous selon les règles d'usage. Ses supérieurs reçurent un salut règlementaire puis une franche poignée de main. Il les connaissait bien et les appréciait à leur juste valeur. Avec ses frères d'armes il échangea un geste connu d'eux.

Bon quels sont les ordres ?
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Armurier
Conseiller communal d'Embrun - BCE

Anne_blanche

Les têtes moutonnaient sous le regard d'Anne, toujours juchée sur les épaules de Bacchus. A mesure que l'on s'enfonçait dans la foule, le bruit augmentait. C'était vif, joyeux, coloré.
Un instant, la fillette aperçut les Massilia, qui discutaient avec d'autres grandes personnes. L'homme que Bacchus lui avait désigné du bout de son fouet parla d'ailleurs un instant avec Dame Draguionne. Antoine restait invisible, probablement caché par la stature des adultes, mais Anne se doutait qu'il ne devait pas être bien loin de ses parents. Ceux-ci connaissaient trop bien leur fils pour le laisser hors de vue !
Anne se pencha à l'oreille de Bacchus pour lui dire :

Posez-moi près d'Antoine, je vous prie. Vous allez vous fatiguer, Bacchus, à me porter comme ça. Mais si vous voulez bien, il faudra me remettre sur vos épaules quand Sa Majesté passera. Je veux le voir, moi !

Jouant des coudes, qu'il avait fort larges, Bacchus parvint enfin au but. Dame Pénélope, celle qu'Antoine appelait affectueusement "tatie Péné", donnait ses ordres à Dame Draguione. Anne attendit avant de s'approcher pour saluer. Plus la peine de compter sur la mère d'Antoine pour l'aider à remettre de l'ordre dans sa tenue. Elle avait manifestement bien autre chose à faire. La gamine en prit son parti. De toutes façons, qui la remarquerait, dans cette foule bigarrée ?
Elle eut un petit pincement au coeur en se disant que, si sa mère était enfin sortie de son couvent, c'est là-bas, près des membres du Conseil, qu'elle se fût trouvée, et pas derrière les soldats qui se rangeaient pour faire la haie. Elle regrettait aussi l'absence de son frère et de sa soeur. Mais il ne s'agissait pas de bouder son plaisir ! Puisque Madame sa mère pleurait toujours en son couvent, l'on ferait sans elle.
Un mouvement derrière les jambes des adultes lui attira l'oeil. Antoine était là, et elle se précipita à sa rencontre, suivie de près par Bacchus, qui ne voulait pas perdre sa protégée de vue.

Kevin4310

Kevin arriva à la place comme on lui avait dit

Me voila

Kevin était joyeux comme dans son enfance, il allait apercevoir le roi
il se mit en place comme on lui avait dit

Antoine_de_massilia

Antoine plus triste que jamais d'avoir perdu de vu son amie, vit Pénélope arriver à leur hauteur la bouche pleine de mot comme a ses habitudes...Un petit sourire s'échappa de ses fines lèvres jusqu'au moment où..dérapage verbale de la tatie!

Homme d'armes Draguione, je compte sur toi pour dire au mini soldat de se montrer exemplaire

Le petit ne put se retenir, de lui tirer la langue!

Tatie Péné, à mon avis c'est toi qui devra te montrer exemplaire!! Pas de fiole ce coup ci, parce que je t'ai vu à la Cérémonie de l'Ost!

Un second coup de langue, une grimace plus que parfaite, l'illustre Antoine frappa du poing sur sa cuisse...Le petit se retourna boudeur et eu un large sourire en apercevant Anne qui l'avait trouvé dans cette foule qui s'amassait en une grande fourmilière. D'un coup de talon il se retourna vers Draguione en lui tirant la manche de son uniforme...

Maman!! Maman!! Regarde Anne est arrivée!!

Il sautilla sur place tout en tendant la main à la fillette qui se dirigeait toute décidée vers lui, suivi du Bacchus qui ne la lâchait pas d'une semelle! Il se faufila à sa rencontre muni d'un large sourire. Il avait le sourire de son père, celui qui avait fait craquer Draguione le jour où ils s'étaient revu à Valence. Une idée lui vint alors à l'esprit! Arrivé devant Anne de Culan, il se pencha majestueusement en lui prenant là main...le visage s'approcha doucement de celle ci son autre main planté dans le dos, Antoine fit un petit baise main à son amie...Le petit soldat avait vu faire cela un jour et il ne regretta en aucun de côtoyer les lieux de rencontres qui ne sont qu'autres que les tavernes!
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Yannek

Compagnons, nous touchons au but! Dans quelques minutes, nous franchirons les portes de la capitale. Une fois à l'intérieur, nous nous dirigerons à l'autre bout de la ville où notre présence et requise pour accueillir et protéger le passage de Sa Majesté et de sa Cour dans les rues menant au palais ducal.

Yannek qui pour l'occasion, avait revétu son plus bel uniforme, avait suivi la ptit troupe des soldats de Dié, la ville etait en vu et de nombreux soldats semblaient déjà présent dans l'attente de la venu du Roi...
Yannek se dit qu'il n'avait jamais eu l'occasion de pouvoir appercevoir son Roi, pour lequel il s'était tant battu...
Il en éprouvait une certaine appréhension et une excitation en même temps...
Sur l'ordre de son chef Kernos, yannek emboita le pas de ses frêres d'armes et franchit les portes de la ville....
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Lady_antlia

[ Campement de l'armée - Portes de Lyon ]

Le Capitaine se préparait .... robe ou uniforme ... uniforme ou robe. Après un long moment d'hésitation, elle regarda son uniforme et sourit .

Je suis Capitaine de l'Ost, c'est en tant que tel que j'irai , aux cotés des soldats et du Conseil les accueillir .

Elle avait fait faire une veste au plus pres du corps , couleur blanche, or et bordeaux ... Ses bottes reluisaient , son cheval avait été recouvert d'une couverture bordeaux, assortie a ses vêtements .
Elle se laissa coiffer, ses longs cheveux blonds noués grâce à des liens de velours assortis à sa tenue .
Ses gantelets de cuir mis, sa fidèle battant sa cuisse , elle prit sa monture . Pégase se trouvait aux côtés de Syrius le cheval de sa fille . Il avait bien grandit lui aussi .. Tout comme Appoline d'ailleurs. Le temps passait vite .

Elle s'avança vers son cheval se fit aider pour y monter par un pad, puis prit les rennes .

En route! Allure tranquille, pas de galop pour une fois !

Pourtant qu'elle aimait cela sentir le vent sur ses joues, jouer avec ses cheveux ... Tranquillement, le Capitaine et certains membres de son armée prirent le chemin de l'entrée de Lyon ou elle jugerait la mise en place des soldats .
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Paeins

Abandonnant sa monture dans les écuries de la garnison de Lyon, après avoir chevauché de Vienne sur son dos, collé à l'escouade que formait à sa tête sa Seigneur des Lances Pénélopedefrance et ses camarades, Paeins avait alors brossé, nourrit et dorlotté Précieuse avant de la confier aux palefreniers de l'Ost. Puis avait rejoind les membres de sa garnison, afin de former la haie d''honneur à l'occasion de la venue du Roy en leur Dûché.
Il salua tour à tour les membres éminents de l'Ost qu'il croisa sur son chemin, connu ou pas de sa personne, imitant son supérieur hiérarchique qui semblait elle les connaître par coeur, mais restant tout de même très discret...Passant à coté d'Antoine il reconnu le bambin de suite et lui fit un clin d'oeil. A ses cotés , la belle et jolie Anne_blanche se trouvait toute heureuse d'être avec son ami. Puis il prit place dans la rangée qu'on lui indiqua, rectifiant sa tenue malmenée quelque peu durant le trajet.
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Fourrier

Akula

Akula arriva à Lyon avec délégation de la garnison Montilienne. Après un bref passage au campement pour mettre leur uniforme de cérémonie, les Montiliens se dirigèrent vers l'entrée de la ville pour acceuillir le Roy.

En chemin ils croisèrent nombre de connaissance et les saluèrent comme il se devait.
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Flyerstyle

flyerstyle arriva sur la place et vit Ziglord dans un coin, seul, qui attendait. Il remit bien son épée dans le fourreau avant de se présenter au coutilier

Bonjour Ziglord, bois donc ce génépi, c'est un nouveau de l'année dis moi en deux mots.

Flyerstyle donna la fiole de génépi qu'il avait toujours à sa ceinture. Sa tenue était nette, propre, comme jamais elle ne l'avait été. Soit disant que sa majesté le roi et sa cour arrivait en Lyonnais Dauphiné. Quelle aubaine. Les armes avaient été lustrées pendant de longues heures.
Fly s'adressa à Ziglord de nouveau

C'est une immense fierté pour moi que de rencontrer le roi. Je suis très fier d'appartenir à cette armée et de servir sa majesté. Ce jour est particulier, c'est la première que je le vois en cher et en os, je suppose qu'il en est de même pour toi...

Flyerstyle un peu tendu et excité de voir le roi en personne réajusta son épée dans son fourreau.

Elviralarouge

Elvira arrivait depuis la Veille de Montelimar, avait dormi dans les casernements de Lyon. Elle avait reçu ordre de se présenter au château. Levait bien avant le lever du soleil, après avoir revêtu son uniforme impeccable. C'est traversant un Lyon calme, qui se réveillait a peine, juchée sur sa jument Ombreline, qu'Elvira se présenta au château.
Une fois les portes du Castel de Pierre Scize franchie , le soleil pointant son nez, donnant son cheval a un page, qu'Elvira se présenta pour y recevoir ses consignes pour la journée.

Akron_l_alsacien

Campement de l'armée

Après avoir vérifié pour la énième fois son uniforme, Akron sangla sa jument et se jucha sur la selle dans un cliquetis d'arme. Tenant fermement les rennes il commença à chevaucher et amena sa monture à côté de celle du Capitaine

"Dites Capitaines, vous l'avez déjà aperçut vous le Roy ?"

En des moments pareils, certains ressentaient peut être une certaine angoisse. Pour Akron il n'en était rien. On lui demandait d'être là, il venait tout simplement.
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Isilween

Isilween avait quelques affaires à terminer dans son bureau de recrutement et s'empressa de rejoindre les autres soldats au point de rendez-vous qu'ils s'étaient donné.
Avant de partir, elle avait prit soin d'enfiler son uniforme des grandes occasions.
Elle sétait mis en route très rapidement et finit par rejoindre les soldats de sa garnison après les avoir tout de même cherchés un certain temps.

Elle salua au passage quelques amis et frères d'armes qu'elle connaissait bien avant de se retrouver face au Grand Maître des Lances qu'elle salua en se mettant au garde à vous:

Mes respects Grand Maitre des Lances!

Puis salua également Zoyas

Mes respects Seigneure des Lances! Homme d'armes Isilween, à vos ordres!

Elle donna le même salut règlementaire aux Chefs de lance et enfin aux autres membres de sa garnison qui se trouvaient là. Et poursuivit un peu moins solennellement:

Bonjour à tous! Comment allez-vous?
J'ai fait au plus vite, il est vrai que j'ai été quelque peu retenue mais c'était pour la bonne cause!

Elle était rayonnante comme à son habitude depuis maintenant quelques mois.

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Recruteur

Helsinki

Helsinki arriva enfin, il avait été un peu long il est vrai mais il avait eu du mal à trouver son chemin et il n'avait vu aucun passant, qui aurait pu le renseigner, il vit les différentes garnisons et vit bientôt les couleurs de sa garnison.
Chloris portait l'étendard bien haut , on ne pouvait rêver meilleure porte étendard.
C'était un bon choix pensa-t-il
L'air de rien il se mit dans le rang.
Il était fier et content de voir Sa Majesté
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Code:

Feanaro56

[ Campement de l'armée - Portes de Lyon ]

Les soldats se préparaient tous dans leur coin, Feanaro, de son coté, avait revetu son nouvel uniforme réalisé par un tisserand local, il avait fait brillé son armure et son épée, tout étincelait. Héraclès avait eu le droit, lui aussi, à un traitement spécial des sabots jusqu'à la crinière.
Il était temps de rentrer dans Lyon.
Le capitaine avait fait signe de monter à cheval, il monta tranquillement sur le sien et attendit les ordres :

En route! Allure tranquille, pas de galop pour une fois !

Feanaro donna un coup de talon et suivit la colonne vers les portes de la ville.
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Samarel

samarel avait troqué ses habits de deuil pour son uniforme. le baron était descendu dans son hotel particulier sur les quais de saone la veille afin d'avoir un pied à terre permettant de vivre les évènements dans le meilleur confort qui soit. au petit matin, il alla vers le campement de l'ost en compagnie de sa promise, la douce estrella, et de taliesen qui l'avait accompagné.

peu après etre entré dans le campement il tomba nez à nez avec le capitaine.

bonjour fillote. comment se passent les préparatifs ? il y a du monde qui commence à affluer. ça va etre l'évènement de ces derniers mois.

puis regardant autour de lui, il se rendit compte qu'il y avait plein de soldats qui commençaient à se préparer. il allait passer la prochaine demie heure à saluer et discuter avec chacun, ce qu'il appréciait par dessus tout.
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Vortiris

Le bon voulait être présent pour cet évenement ..
Auparavant, il avait déjà pu croiser le Roy ..
Lorsqu'il était chevalié dans l'Ordre des chevaliers Protecteurs ..
Avant toute chôse ..
Le bon s'était préparé ..

Un coup de peigne ..
Bouche nétoyer avec le plus grand soin ..
Il ne fallait plus qu'attendre l'arrivé de la Curie ..
Et dormir un peu ..
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Helsinki

[Helsinki ne voyait pas que les citoyens de Lyon mais le dauphiné s'était déplacé en masse pour voir le cortège royal.
Cette foule immense venue pour un seul homme Le Roy et son cortège l'impressionnait , l'intimidait
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Code:

Brigide

Dans les rues de Lyon

Elle venait d'arriver dans les grandes rues de Lyon. Elles commençaient à être bondé. Des gens de partout se bousculaient pour voir passer le Roy. Elle était là pour cela elle aussi. Elle aurait aimé venir avec sa cousine et son amie Xanaria, elles la rejoindront peut être plus tard.

Elle était un peu perdu dans toute cette foule, elle regardait bien si elle ne voyait pas, des têtes connues, mais pour l'instant rien, il fallait qu'elle s'approche encore un peu plus prêt.

Tout le monde avait mis ses plus beaux atour. Elle aussi, avait mis une belle houppelande bleu qu'elle avait acheté pour l'occasion. Elle continuait d'avancer dans la foule, elle suivait le mouvement de la masse. La joie et les rires fusaient de part et d'autre. Elle se sentait un peu seul dans toute cette foule, mais tout ce qu'elle voulait, c'était de voir son Roy ... Elle n'aurait certainement pas une autre occasion de l'avoir aussi près d'elle que ce jour-là, alors autant en profité maintenant qu'il était ici parmi nous.
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L' île du Léviathan : Repaire de pirates
Ville de Valence

Alixdepia

alix avait fait la route, toute la journée, et il arriva sur la place qui était déjà bondée de monde,

il se fraya un passage vers une place un peu en surplomb, pour mieux voir .

de là , il distingua sam, et lady, en pleine discution, il vit aussi ses amis hels, akula.....

pour rien au monde, il aurait loupé cet événement, on verra plus tard,
montélimar devait être représenté,

bon il était rien, il n'avait pas un grand poste, mais il était fier d'être là,
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Lady_antlia

[ Entrée de Lyon en vue ]
Le Capitaine sourit au Seigneur des Lances de Briançon et au Conseiller Militaire Feanora56 qui l'avaient rejointe afin de l'escorter .
La route était tout d'abord claire , mais en s'approchant des portes de la ville la foule devenait de plus en plus dense. Ils faisaient donc attention aux passants , tenant leurs chevaux afin de ne pas faire d'écarts ..
Elle reconnut venant à eux son père adoptif Samarel, Baron de Bourdeaux et l'accueillit avec un grand sourire.

Citation:

bonjour fillote. comment se passent les préparatifs ? il y a du monde qui commence à affluer. ça va etre l'évènement de ces derniers mois.

Bonjour Samarel Elle ne savait pas comment l'appeler ... papa ? père? Samarel comme elle l'avait toujours appelé ? , je suis contente de te rencontrer . En effet , cela risque de n'être que très intéressant . Je n'ai encore jamais rien connu de tel, et j'ai hate de rencontrer certaines personnes et d'en recroiser certaines autres .

Je pense que tu connais ceux qui m'accompagnent : Feanora56 et Akron l'Alsacien .

Tout en parlant,elle salua la douce de son père puis , regarda Taliesen pour finir par lui sourire .
Ils continuaient à se frayer un chemin vers les portes et arrivèrent dans ce qui prenait de l'allure : deux allées de soldats , tenues clinquantes, tous aussi beaux les uns que les autres . Les premiers soldats rencontrés se mirent au garde à vous . Elle sentait au creux de son ventre cette excitation et cette nervosité qui lui donnaient cet air encore plus enfantin qu'elle cachait depuis le début de son périple Ducal .... 8 mois à servir son Duché en tant que Conseillere .... beaucoup plus en tant que Soldat ....
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Coppensbe

[Quelque part dans les rues de Lyon]

Le maire de la ville, ayant trouvé un peu de temps libre dans sa journée bien chargée, chevauchait tranquillement sa monture tout en regardant la ville se parer de ses plus beaux atouts pour recevoir le Roy et sa cours

Hum tout à l'air de se passer convenablement et c'est une bonne chose. J'espère que cette visite restera à jamais dans la mémoire de notre suzerain et dans celle du peuple dauphinois
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Taliesen

Taliesen faisait parti de la suite de Sam et avait profité de l'hotel de ce dernier pour se reposer. Au matin il l'avait suivit après s'etre assuré que son uniforme et ses médailles était bien propre et astiqué. Il marchait juste derrière son SDL et sa douce. Il avan¸ait au travers du campement de l'OST jusqu'a ce que Sam arrête. Tali regarda vers l'avant et vit leur Capitaine.

Samarel a écrit:

bonjour fillote. comment se passent les préparatifs ? il y a du monde qui commence à affluer. ça va etre l'évènement de ces derniers mois.

Tali resta droit et sérieux derrière Sam en laissant les deux hauts gradé discuter.

Lady_antlia a écrit:

Bonjour Samarel ... , je suis contente de te rencontrer . En effet , cela risque de n'être que très intéressant . Je n'ai encore jamais rien connu de tel, et j'ai hate de rencontrer certaines personnes et d'en recroiser certaines autres .

Je pense que tu connais ceux qui m'accompagnent : Feanora56 et Akron l'Alsacien .

Lady lui fit un sourire qu'il répondit avec un signe de tête. Quand elle recommença a avancer entrainant Sam avec elle, Tali continua a suivre son SDL tout en gardant le silence.
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Botta

Vêtu de son plus bel uniforme pour l'occasion qu'il avait pris le soin de bien préparer le plus soigneusement possible, Botta avait prit le temps de bien lustrer ses bottes et tout son équipement avant de monter en selle sur sa jument. Essayant rapidement de se rappeler alors s'il n'avait rien oublié de particulier avant de se lancer en marche, il donna un coup de talon quelque peu appuyé sur la bête pour pouvoir commencer la route qui les séparait de la capitale au côté de ses compagnons.
Au niveau des deux autres chef de lances, ils continuèrent à avancer ainsi au trot jusqu'aux portes de la ville, tous impatient sans aucun doute d'arriver le plus rapidement sur les lieux. La foule qui s'était rassemblée au beau milieu de la place pour accueillir leur roy était de loin très impressionnante, tellement dense qu'ils en avaient même été ralenti durant le trajet en question.

Toujours impeccablement rangé dans les rangs, le soldat commençait à ressentir une certaine appréhension légitime quant à la venue de ce personnage charismatique, pensant qu'il était prêt à sacrifier sa vie pour lui alors qu'il n'avait encore eu point l'honneur de le rencontrer auparavant, ne serait-ce qu'une seule fois. Alors même qu'il avait pu combattre pour défendre ses couleurs et ce que celles-ci pouvaient bien représenter pour eux. Mais peut importe, ce jour était enfin arrivé et il était tant pour lui d'en profiter un maximum. Sans dire un mot, il attendit les consignes qui allaient sans doute venir d'un instant à l'autre, n'arrêtant pas de se poser tout un tas de questions plus intéressante les unes que les autres.
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Godjok

C'était un grand jour pour le Duché, une visite du roi ne se produisait pas souvent, et être là était un véritable honneur. Godjok était un peu nerveux, il avait ainsi passé beaucoup de temps à l'entretien de son uniforme et de ses armes.
Quand il arriva, parmi les soldats présents, il retrouva son Seigneur des Lances, ainsi que Ziglord et Flyerstyle.

Mes respects, Seigneur des Lances

Puis se dirigeant vers ses deux compagnons.

Salut vous deux, je vois que vous avez déjà pris de l'avance.
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Aide-armurier de Briançon

Akron_l_alsacien

Akron vit arriver des cavaliers à leur rencontre et reconnu Sam et sa compagne. Scrutant les traits de Lady il ne mit pas longtemps à comprendre qui était le troisième cavalier, dont il avait déjà entendu parler. Un regard appuyé de son Capitaine lui confirma ses soupçons. Et bien, voilà qu'il était bien entouré entre le père adoptif de Lady et l'homme qu'elle avait aimé. Mais il n'aimait pas laisser les choses en suspent aussi après avoir saluer Samarel et Estrella, mena t-il sa monture à côté de troisième larron.

"Tu es Taliesen n'est ce pas ? J'ai beaucoup entendu parler de toi."

Il soupira, lui aussi avait du entendre parler de lui

"Je me nomme Akron, c'est moi qui...."

Il ne savait même plus quoi dire, la tension était palpable. Il jeta un oeuil ,sur le reste des cavaliers qui se trouvaient un peu plus en avant
"...c'est moi qui veille sur Antlia"

Il aurait pu dire bien d'autre choses, par exemple que jusqu'à récemment il avait totalement ignoré son existence, qu'il était désolé de la tournure que les évènements avaient pris mais à quoi bon, ce qui était fait était fait
Ils approchaient maintenant des portes et Akron aperçut certains de ses hommes qui étaient déjà rassemblés
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Madmaxikki

Mad qui avait passé une bonne parti de son temps a lustrer son équipement , qui brillait bien plus que d habitude , ce qui etait normal vu l evenement ,
se tenait droit suivant sa garnison, placé juste derriere l archer edgared, il regardait progresser les soldats de sa garnison progresser le long de la route qui menait a lyon.Pas un bruit, pas un faut pas, tous les soldats etait fier de se rendre a lyon pour voir le roy.
Arrivé au porte de la ville la foule qui s amasser devant l entrée semblait ne jamais se terminer de nombreuse garnison etait deja la, Mad avait du mal a voir, tellement de gens s aglutiner au porte de la ville.
Ed tu vois quelque chose ?
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Geronimo2751

Plume trottait derrière les chevaux du seigneur des lances et des chefs de lance. La petite troupe avait voyagé rapidement sur les larges routes qui menaient à Lyon. Au fur et à mesure qu'ils approchaient de la capitale ils pouvaient sentir la ferveur et l'excitation de la populace. Tant et si bien que sur les dernières lieues la route était encombré de badauds et autres colporteurs venu profiter des festes pour vendre leur camelote. Néanmoins le cortège des soldats progressé vite, les chevaux et les amures rutilantes aidant.

Aux portes de la ville, le seigneur des lances donna son ultime consigne avant de fendre la foule pour rejoindre les autres garnison.

Géro vérifia que son équipement était bien accroché, le premier voleur aurait tôt fait de lui subtiliser sa masse d'arme si cette dernière avait était mal attaché. Tout paraissait en ordre, sa bourse sous son gambison pour éviter que les malins ne puissent seulement poser les yeux dessus. La rumeur de la foule et les sabots qui battaient le pavé faisaient montés des rues un brouhaha incessant. Juché sur son cheval géro pouvait apprécier le chatoiement des couleurs et des tentures que les riches maisons et hostel arboraient avec arrogance. Une symphonie de couleurs et de sons, il ne manquait plus que .... snif .... snif .... l'odeur du four à pain.

Ils venaient de rejoindre les autres garnisons. Géro se mit debout dans ses étriers pour voir les gens présents. Il fit faire une volte face à plume et en quelques foulées s'approcha du Grand Maistre des Lances qui paraissait déjà bien entouré.

Mes respects Grand Maistre des Lances,

Il s'inclina le poing sur le cœur puis retira sa salade.

Comment allez vous ?
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Erestie

Erestie arriva sur les lieux et se diriga vers son Seigneur des Lances, des autres soldats de sa garnison étaient déja présent. Il salua son SDL et attendit un quelconque ordre...
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Kernos

Pendant qu'il devisait avec Thierry, la foule de plus en plus nombreuse de soldats et de curieux se pressait sur les lieux. Saluant les autres soldats de sa connaissance au passage, Kernos regardait de temps à autre ses soldats pour voir comment ils s'en sortaient. Plusieurs d'entre eux avaient combattu en Bretagne pour la Couronne et, aujourd'hui, ils verraient le Roy passer au milieu d'eux... que ressentaient-ils donc? Fierté? Joie? Angoisse? Bonne question... voir le Roy... lui-même en était ému et à la fois anxieux... pourvu qu'il n'y ait aucun incident.

Zoyas, puis Pénélope le sortirent de ses réflexions. Saluant la première avant un grand sourire, la seconde parvint à lui arracher un éclat de rire avant qu'il ne se recompose une allure plus solennelle.

Mes respects, Dame de la Terrasse... puis en regardant ostensiblement sa propre armure entretenue de frais... Et oui, l'occasion est trop belle pour ne pas essayer de briller un peu en société... surtout quand il ne suffit que d'un chiffon propre et de l'huile de coude pour y arriver.

Il sourit et salua MacCornell au passage, juste avant qu'un garçonnet n'attire son attention en s'adressant au Seigneur des Lances Viennois, suivi d'une jeune damoiselle qui se précipita à sa rencontre, un homme la suivant avec peine derrière. Kernos haussa les sourcils, perplexe... c'est homme ne lui était pas inconnu, mais où diable l'avait-il déjà rencontré? Ses réflexions furent interrompues par un brouhaha qui s'éleva des rangs: le Capitaine était là, accompagnée de Sam, Fea, Akron et d'un soldat qu'il ne connaissait pas... Les choses sérieuses ne devraient pas tarder, songea t-il.
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En deuil d'une amie, en deuil d'un chef, en deuil de Linala
A nos compagnons morts pour la Couronne

Taliesen

Tali chevaucha doucement derrière Sam et Estrella jusqu'a ce qu'Akron ralentisse le pas pour se mettre a ses cotés.

Akron_l_alsacien a écrit:

"Tu es Taliesen n'est ce pas ? J'ai beaucoup entendu parler de toi."
"Je me nomme Akron, c'est moi qui...."
"...c'est moi qui veille sur Antlia"

Tali écoutait Akron tout en regardant vers l'avant. Il garda le silence un instant pour bien analyser les paroles d'Akron mais surtout ses sentiments. Il avait apréhendé ce moment ne sachant pas comment il réagirait. Il se dit finalement que connaissant Lady elle avait obligatoirement choisit quelqu'un de bien. Il regarda Akron et dit d'un ton qui se voulait le plus neutre possible:

-J'ai aussi entendu parler de toi...

Tali ajoutat un sourire qu'il essayait de rendre sincère.

-J'espère bien que tu en prendra bien soins. Vous voyagez beaucoup et Lady a eux de malheureuses expérience avec les brigands. Et prend surtout soins d'Appoline. Ce petit ange a besoin de protection sur les routes. Je l'offrirait bien mais je me suis vu refuser ce privilège.

Tali scruta l'Alsacien et réalisa qu'il était en bonne forme physique comme tout soldat de l'OST se le devait. Il fini par se convaincre qu'elles étaient en sécurité. Il ajouta un sourir beaucoup plus expressif puis lacha la bride de son cheval et tendit une main a Akron.

-Sincerement enchanté.
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~draguione~

En pleine discution avec ses supérieurs, Draguione fut soudain tiraillé à la manche par le mini sous coutilier d'Antoine..

Maman!! Maman!! Regarde Anne est arrivée!!

Un sourire vers son fils, une main posé sur son épaule rapidement, elle le regarda se faufiler vers la petite Anne de Culan.. Draguione suivit Antoine du regard et regardait la frasque qu'il venait de se passer.. Le petit était dans toute sa splendeur à faire son baise main à sa nouvelle complice de jeu... Fier de son petit, elle se tourna vers son époux afin de lui désigner sa filleule! Draguione et Philipe regardèrent un moment vers les enfants avant de s'en approcher ensemble...

Arrivés au niveau des petits Draguione remarqua une chose qui l'aggaçait quelque peu..Un petit plissement de nez, elle se baissa à sa hauteur..

Bonjour Demoiselle Anne, je suis ravie de vous voir en ce jour.

La Belle de Massilia regarda sur les manches de la petite en souriant...

Dites moi Anne? Matheline ne se sentait pas bien se matin? Attendez je vais vous mettre tout cela en place!

Draguione avança ses mains vers une manche de l'élégante robe que portait la fillette et lui laça le lien de façon à faire un joli noeud, puis en fit de même avec l'autre manche..Un joli sourire vers Anne, elle passa ses mains derrière la nuque afin de lui déposer la longueur de sa chevelure dans le dos. Remise en place de la robe au niveau de la taille, Draguione se releva et fit un grand sourire à Anne et tout cela sous les yeux de Philipe...

Voilà Anne ainsi vous êtes parfaite!

En relevant la tête elle se trouva face à face avec un grand homme qui ne quittait pas la petite du regard..

Bonjour Sieur, seriez vous peut-être messire Bacchus le chaperon de la petite Anne? Je me présente, Draguione de Lusignan Massilia et voici Philipe de Massilia, nous sommes les parents d'Antoine ci présent!

Une main posée sur l'épaule de leur fils, Draguione s'orna de son sourire, même si d'éventuels echos allaient sans doute fuser à ses oreilles...
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Vétéran Vae Victis, à fait couler son sang le 15 juin 1456 pour le Roy

Nynaeve87

[Campement de l'armée - Portes de Lyon]
En uniforme d’apparat, le connétable attendait quelqu’un. Elle s’était promis d’entrer dans la ville avec lui, seule escorte dont elle voulait entendre parler aujourd’hui.
Elle avait pris tout son temps afin de se préparer et d’harnacher Isis, tache qu’elle ne laissait jamais au palefrenier. Lasse d’attendre, elle se mit à cheval.
Plusieurs soldats semblaient prêts à entrer dans la ville et son absence l’angoissait…
Il était évident que sa présence à Lyon était requise, elle ne pourrait attendre plus longtemps…
Une dernière fois elle jeta un regard à l’horizon, vers le sud …
Détournant la tête, elle mit sa jument au pas, se dirigeant le cœur lourd vers les portes grandes ouvertes.

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Lady_antlia

[Aux portes de la ville ]

Avec un peu de peine, ils étaient arrivés à bonne distance des portes . Le Capitaine stoppa sa monture puis se laissa glisser le long de celle ci .

Son épée s'abattit sur sa cuisse en retombant. Elle remit en place sa veste et confia son cheval à un pal avant de se retourner vers ceux qui l'accompagnaient.
Elle s'arrêta net en voyant Akron et Taliesen en grande discussion . Cela avait l'air de bien se passer, elle en fut soulagée . Elle leur parlerait après ... quand tout cela se serait calmé .

Elle regardait autour d'elle, il lui fallait trouver les Seigneurs des Lances afin de leur donner les ordres . Sans doute l'avaient ils vue, et se frayeraient un chemin vers elle .

La jeune femme aperçu le Grand Maistre des Lances non loin...une inclinaison de tête, un petit clin d'oeil à la volée, elle lui souriait.

Tout près, ses amis , des connaissances .... Elle allait prendre un moment afin de les saluer avant de se mettre en place pour l'arrivée du Roy.
En se tournant vers ses compagnons :

Un tour de nos amis ? cela vous dit il ? Nous avons quelques heures
encore .

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Thierrylafrance

(désolé du retard dans le réponses ^^)

Fontvell a écrit:

Fontvell aperçut Thierry et s'approcha de lui....

Bonjour Thierry !! Cela fait un certain temps que nous nous sommes croisés !!!
Mmmmh... La dernière fois ne fut pas dans de bonnes conditions !!!....

Mais enfin...Il est vrai que j'avais mes torts !

J'ai hâte de voir notre Bon Roy !!!! En attendant, partagerais-tu le contenu de cette gourde avec moi ?

Thierry se retourna vers le chef des lances d'Embrun, Fontvell

Bonjour Font, en effet depuis mon retour de Bretagne j'ai été pas mal occupé je dois l'avouer.

Il sourit à l'anecdote de leur dernière rencontre au CM

J'ai hâte de le voir également mon cher et je suppose que le contenu de ta gourde est fort alcoolisé et si je me souviens bien la dernière fois que j'ai bu un de tes breuvages, je me suis retrouvé avec une toux de tout les diables tellement je ne suis pas habitué aux alcools forts. Donc si ça te dérange pas, je gouterai à ta fiole après le départ du roi ^^

~draguione~ a écrit:

Bonjour Thierry! Pour ma part je me porte bien merci, et oui en effet nous nous sommes paré en conséquence, mais je vois que nous ne sommes pas les seuls!

Thierry acquiesça

En effet d'ailleurs avec tout ce monde, la surveillance est accrue pour protéger la foule et la cour du roy. Il laissa Fontvell et Draguione parler puis se tourna vers Kernos

Kernos a écrit:

Mes respects, Grand Maistre des Lances!

Puis quittant son allure martiale pour une tenue plus amicale, il ajouta.

Et bien le bonjour Demoiselle, nous n'avons jamais eu le plaisir de nous rencontrer, il me semble. Permettez-moi de me présenter. Je me nomme Kernos Rouvray, Seigneur des Lances de la garnison de Die et Seigneur des terres de Glandage et de Genay, ravis de faire connaissance.

Puis revenant à Thierry.

C'est en effet une journée qui invite aux réjouissances, bien qu'elle débutera pour nous comme une journée de service, j'ose espérer que la soirée nous permettra de profiter d'avantage de la fête... plusieurs de mes soldats n'ont jamais eu l'occasion de profiter des distractions lyonnaises, j'espère qui le pourront une fois le cortège passé.

Si tout se passe comme prévu Kernos, je pense qu'ils auront le loisir de se distraire en effet.

Thierry répondit au salut le fourrier de la garnison d'Embrun, Légends

Oui en effet ça fait un bail, comme je l'ai dit à Fontvell, j'étais très occupé sur des dossiers durant ces quelques semaines.

Puis répondit au Seigneur des lances d'Embrun, Zoyas qui venait de le saluer

Bonjour Zoyas, je vois que la garnison d'Embrun est bien représentée.

La seigneur des lances de Vienne, Penelopedefrance le salua

Bonjour Penelope, je vais bien merci et toi même ?

Puis deux autre compagnon de la garnison d'Embrun arrivèrent

Bonjour Maccornel et bonjour Isilween. La garnison d'Embrun est présente en force !!!!

Géronimo, l'intendant de l'Ost dauphinois le salua

Bonjour Géronimo, ravis que tu ai pu venir aussi. Tu as du trimer encore plus pour finir tes dossiers à temps

la capitaine était arrivée aussi et le salua, il se dirigea vers elle

Mes respects Capitaine Antlia, tout va bien pour toi ? Pas trop stressée ?
Une bonne partie de nos soldats couvrent le périmètre, l'arrivée du roy et de sa cour est bien ficelée. Tout de vrai bien se passer.

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Thierry acquiesça

En effet d'ailleurs avec tout ce monde, la surveillance est accrue pour protéger la foule et la cour du roy. Il laissa Fontvell et Draguione parler puis se tourna vers Kernos

Walan

Tenue d'apparat taillée et confectionnée spécialement pour l'occasion dans les étoffes les plus fines, fine rapière ouvragée -mais non moins mortelle- des célèbres forges italiennes en lieu et place de son habituelle épée, sellerie ouvragée et monture apprêtée pour l'occasion. C'est avec une apparence particulièrement somptueuse que le Gouverneur se présenta devant le castel de Pierre Scize pour y être rejoint par les soldats désignés pour l'escorter jusqu'aux portes de la ville.

Traversant les rues au petit trot, Walan pu constater avec plaisir que la foule s'était déplacée en masse pour assister à l'évènement. Il reconnaissait ça et là certains visages connus, qu'ils saluaient alors d'un bref signe de tête. Nombre de soldats étaient dans les rues, puisqu'ils se devaient de veiller à la sécurité de celles ci et éviter d'éventuels débordements de foule, et se mettaient petit à petit en place.

Arrivant aux portes de la capitale, le seigneur de Meyrieu y rejoignit ses conseillers et vassaux du Duché, laissant son escorte retourner prendre place avec le reste des troupes. Une estafette apparu alors, rapidement suivie par l'avant-garde de l'escorte royale. Le Gouverneur s'adressa alors à son Capitaine.

Ils vont arriver sous peu, que les officiers vérifient que leurs hommes forment convenablement les cordons sur l'ensemble du trajet, il serait de mauvais ton que la foule bloque l'avancée du cortège.

Se tournant vers les nobles présents, il continua d'une voix forte, celle qui avait longtemps mené hommes et combattants.

Noble assemblée !
D'ici peu, Sa Majesté Levan le Troisième nous fera l'honneur de ce présenter en ce lieu accompagné de sa Cour.

Pour la grandeur, la dignité et l'honneur de notre Duché, que chacun d'entre vous soit digne de son rang et fasse rejaillir les couleurs du Lyonnais Dauphiné !
En ligne désormais, pour le Roy !

Avec un sourire, le Gouverneur observa la noblesse, l'Eglise et le Conseil du Duché tandis qu'ils se mettaient en place de par et et d'autre de la route, restant quant à lui seul sur sa monture au milieu de celle ci.
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Nestor

[Aux portes de la ville]

Le grand jour était arrivé.

En ce jour, grands et petits, nobles et roturiers, tous se pressaient en ville afin de tenter d'apercevoir le Roy de France.

Nestor avait chevauché dans la matinée afin de rejoindre la capitale.

Vêtu de son uniforme d'apparat, arborant ses décorations, il laissa sa monture à la garnison de Lyon et se dirigea vers la porte principale nord de la ville afin de retrouver ses camarades de l'Ost qui s'organisaient afin de célébrer dignement la venue de leur souverain.

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Anne_blanche

Un baise-main ! Antoine lui faisait un baise-main ! Décidément, son compagnon de jeux était plein de surprises. Anne retira précipitamment sa main, jeta autour d'elle des regards anxieux. Si on les avait surpris ? Mais non. Les adultes étaient tous trop occupés à se congratuler à qui mieux - "bonjour, Untel", "comment vas-tu, Unetelle", "bonjour, Machin", "vous ici, Chose ?!" - pour se préoccuper le moins du monde des deux gamins qui jouaient aux grands.
Dame Draguione, qui s'approchait au bras de son époux, avait bien un petit sourire aux lèvres, mais Anne se convainquit que c'était juste pour dire bonjour.

Dites moi Anne? Matheline ne se sentait pas bien ce matin? Attendez je vais vous mettre tout cela en place!

La fillette se sentit rougir jusqu'aux oreilles. Les aiguillettes censées rattacher ses manches à son corsage pendaient lamentablement, son bonnet était tout de travers, sa jupe tirebouchonnée par sa chevauchée sur les épaules de Bacchus, ses cheveux à demi enfouis dans le col de sa robe. La dame eut vite fait de tout remettre en ordre, et ce fut avec plaisir que Anne s'abandonna à ses mains maternelles.

Voilà Anne ainsi vous êtes parfaite!

Anne rougit de nouveau, mais de plaisir, cette fois. Ouf ! les grands passaient à autre chose. Dame Draguione se mettait à bavarder avec Bacchus.

Soudain, par-dessus la foule, tonna une voix que la fillette reconnut pour l'avoir écoutée fort souvent en taverne.

Noble assemblée !
D'ici peu, Sa Majesté Levan le Troisième nous fera l'honneur de se présenter en ce lieu accompagné de sa Cour.

Le Gouverneur s'assurait que chacun prenait la place convenant à son rang.
La fillette soupira, lorgnant avec envie du côté des nobles. C'est là qu'aurait dû être sa place ! Une vague de colère contre sa mère, qui passait décidément trop de temps à pleurer dans son couvent, lui blêmit les lèvres. S'assurant que Bacchus restait à portée, elle réussit à glisser la tête entre deux soldats. Il avait fière allure, le gouverneur, seul sur son cheval au milieu de la chaussée. Anne suivit son regard. Tout au bout, là-bas, ça bougeait. L'avant-garde royale ne tarderait plus.

Brigide

Elle avait pu s'avancer encore un plus. Il y avait des soldats de partout. Elle était montée sur un petit surplomb pour voir un peu mieux. Elle ne voulait, sous aucun prétexte, manquer de voir son souverain. Elle s'estimerait heureuse si elle pouvait au moins l'apercevoir ...

Elle voit un homme arrivé sur un animal énorme apprêter pour l'occasion. L'animal était aussi beau que celui qui le chevauchait. Elle ne savait absolument pas qui cela pouvait être, mais il avait beaucoup de charisme.

Il se met à parler d'une voix forte pour que tous puisse l'entendre. Elle est très impressionnée, mais aussi fasciner à la fois. Ce message ne s'adressait pas à elle, mais elle l'écoute avec attention.

Noble assemblée !
D'ici peu, Sa Majesté Levan le Troisième nous fera l'honneur de ce présenter en ce lieu accompagné de sa Cour.

Pour la grandeur, la dignité et l'honneur de notre Duché, que chacun d'entre vous soit digne de son rang et fasse rejaillir les couleurs du Lyonnais Dauphiné !
En ligne désormais, pour le Roy !

Elle voit avec un grand plaisir les nobles gens se mettre en rang le long de la rue.

C'est à ce moment la qu'elle voit messire Nestor, son maire. Elle lui fait un signe de la main et un sourire.

Bonjour messire Nestor. Je ne pensais pas rencontrer des personnes que je connaisse ici, il y a tellement de monde.

Elle tourne de nouveau le regard vers l'homme qui était resté au milieu de la rue pour voir la suite des évènements ...
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L' île du Léviathan : Repaire de pirates
Ville de Valence

Jeremdehuit

N'étant pas en avance et ayant été retenu Jeremdehuit se dirigea à Lyon,il salua les gradés de l'Ost puis rejoignit les rangs.

Soldats de Valence mettez-vous en rang ! Sa majesté va faicre son entrée en compagnie de sa cour,de la discipline dans les rangs !

Une fois cela dict il attendit que les soldats Valentinois se mettent en rang.

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Seigneur d'Antonaves

Fourrier
Vétéran "Dies Irae"

Akron_l_alsacien

Akron, qui avait appréhender ce moment, lacha lui aussi la bride de Schnaps pour serrer la main que Taliesen lui tendait. Il la serra en lui rendant son sourire avant de reprendre un air grave

"Antlia m'avait dis que tu étais un homme de valeur, je m'en rend compte. Ca paraitra futile maintenant mais, je suis désolé que les choses se soient passées comme ça."

Il baissa la tête avant de la relever

"Je veille sur elles comme tu l'aurais fait. Même s'il me reste une épreuve à affronter"

Il désigna en souriant Samarel

"Je me demande ce que va dire beau-papa !"

Ils étaient maintenant arrivés à destination et beaucoup de monde se trouvait là. Les Seigneurs des Lances commençaient à affluer vers le Capitaine. D'un signe de tête il prit congé de Taliesen et mena sa monture vers Erestie.

"Archer, rassemble avec toi les Briançonais, attendez moi ensemble au pied de cet arbre là bas que je vous retrouve facilement. Je vous donne des ordres des qu'ils arrivent. Passe aussi les tenues en revue, je veux vous voir beaux comme jamais !"

Il fit faire demi tour à sa jument et se rendit à nouveau auprès de Lady. Après avoir salué les autres SDL déjà présents il annonça

"Capitaine, mes hommes sont en train de se rassembler par là bas. A vos ordres !"
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Ziglord

Ziglord salua Fly qui venait d'arriver, enfin il avait peur d'être le seul de Briançon :

Mes respects archer,
heureux de vous voir ici, durant l'instant d'une seconde j'ai eu peur de n'être tout seul, mais maintenant que vous êtes là vous pouvez me dire ce que nous devons faire ??

Ziglord avait un léger sourire sur son visage, il savait très bien que ni lui ni fly ne savait comment se mettre. Peut être qu'un haut gradé viendrait, mais ils avaient l'air beaucoup occupés.
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Maccornell

Les retrouvailles entre les soldats était comme à chaque fois un moment intense. Ils se saluaient et s'informaient des dernières nouvelles tout en se remémorant de vieilles histoires. Cette fois-ci, il y avait malgré tout une effervescence particulière. Ce n'est certes pas tous les jours que le Roy et sa suite descendent dans le Lyonnais-Dauphiné. Les soldats venaient des quatre coins du Duché.

Le Capitaine arriva sur le lieu de rassemblement en compagnie de son escorte personnelle. Il s'agissait maintenant d'organiser les troupes pour maintenir la foule. Elle s'approcha du Grand Maistre des Lances pour parler d'une seule voix et éviter la division des troupes en deux pôles. Les Seigneurs des lances des garnisons se rassemblaient autour de ce point d'attraction, lorsque le Gouverneur, fort de son expérience, vint exhorter la foule à accueillir le Roy comme il se doit. MacCornell quant à lui se tenait prêt pour transmettre les ordres aux soldats de sa lance qu'il avait retrouvé dans la Capitale.
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Armurier
Conseiller communal d'Embrun - BCE

Walik

Non loin de là, j'étais tapi, dans l'ombre peut-être, bonne nouvelles sur mauvaises. Moi, Walik, Croque-mort Ducal, me devait d'assister à cette cérémonie forte intéressante. Le Roy allait venir en pleine période d’Epidémie ? Ma Foi, Lyon n’était pas encore atteint, mais il n’en faudrait que peux de temps, à part si les médecins ce décidés enfin à faire quelque chose.

Au milieu de la foule, j’attendais, certains que d’autre m’avaient reconnu. Faucheuse parmi toutes, je veillai à ce que les corps soient bien traités.

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Zalik

Les nobles s'étaient mis de part et d'autres de la rue et donc Kut se retrouva au deuxième rang à la place du premier. Avec sa si frêle silhouette, Kut passait pour une poupée et elle arrivait souvent à avoir des grâces des gens mais de nobles ça s'était pas une mince affaire. Du haut de ses 17 ans, elle regarda un des nobles messieurs et lui fit des yeux de biches. Malheureusement celui ci ne tomba pas dans le panneau et lui fit un sourire mais ne la laissa pas passer pour autant.

Kut réessaya auprès d'un autre sieur toujours avec ses yeux de biche et cette fois ci la ruse marcha. Le sieur la fit passé devant lui et posa ses mains sur ses frêles épaules. L'homme dépassait Kut d'une tête ou deux et avait un regard serein. Kut se mit à sourire et dit d'une voix de petite fille :

- Merci beaucoup Messire.

Kut était émerveillée, on aurait dit une enfant. C'était la première fois dans sa vie qu'elle allait voir le Roy et avait réussi à se mettre au premier rang. Espérons que personne ne la fasse retourner derrière. Au pire elle pourrait faire la belle jeune fille innocente, ce qu'elle était, enfin à peu près. Voyant ce qu'elle faisait pour arriver à ses fins elle n'était pas si innocente que cela. Soudain elle remarqua une petite fille passer la tête entre deux soldats derrières eux. Kut se mit à sourire et lui fit un clin d'oeil. Kut aurait put facilement passer pour une noble lors de cérémonies de ce genre si elle n'avait pas ce côté espiègle

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Dedelagratte

DeDeLagratte, le Seigneur de la Garde Noire etait présent. Il avait accompagné le Gouverneur jusque Lyon et s'appretait a prendre place comme tous les autres officiers. Il croisa notamment differents officiers dont le Grand maistre des lances à qui il fit un salut amical ainsi que le Capitaine devant le quel il s'arreta pour lui parler.

Capitaine, il fit un salut militaire reglementaire Je viens d'arriver avec le Gouverneur, je suis à vos ordres dit-il joignant le sourire à la parole
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Ambassadeur du Lyonnais-Dauphiné auprès de la Bretagne

Lavitz

Lavitz arriva aussi vite qu'il le pouvait, croisant Zig, il se dirigea vers lui, entendant la fin de sa conversation avec fly

Hey commence pas tes explications sans moi.... Attends.

Il compris lorsqu'il vit leur expressions, qu'il n'y aurait pas d'explications.
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Taliesen

Taliesen écouta Akron tout en gardant son sourire. Juste avant de le quitter il dit:

-Nous terminerons cette discution avec une choppe après cette cérémonie.

Tali le salua et suivit Sam et Estrella. Il se mis juste a leurs coté, vérifia a nouveau rapidement son uniforme et attendit la suite des évênements.
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Alixdepia

alix était toujours en hauteur et ........

houla , comme ça lui faisait bizarre , en faite il connaissait pas grand monde et se sentait un peu seul,

des gens le saluaient, il répondait, comme à son habiude......
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Ericx

Ericx se déplaça à Lyon pour assister à l'entrée du Roy en la capitale des Gaules.
Arrivé dans la foule, il se fraya un chemin jusqu'au Seigneur des lances de Valence.
La main sur le pomeau de l'épée, il scrutait la foule, l'air inquiet après les événements récents.

Salut à toi Jerem, me voici. Que devons nous faire ?

Jeremdehuit

Toujours en train d'attendre ses hommes il vit Ericx approcher.

Salut à toi Jerem, me voici. Que devons nous faire ?

Bonjour Ericx,le Roy et sa cour vont arrivés,met toi dans les rangs.
Nous allons attendre que les autres soldats arrivent.

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Seigneur d'Antonaves

Fourrier
Vétéran "Dies Irae"

Samarel

dédé arriva en face du capitaine. il salua chaleureusement le seigneur de la garde. ces grands évènements étaient l'occasion de discuter et de voir des personnes qu'on ne croisait sinon qu'au travail. sam s'écarta donc ensuite afin d'aller saluer walan et lui présenter ses respects. puis il proposa d'aller faire un tour afin de croiser tout le monde. il lui avait semblé avoir vu pas mal de monde qu'il n'avait pas eu encore le temps de saluer : nina, thierry, hels, vortiris, alix qui était venu avec le reste de la garnison de montélimar, copps, le maire de lyon, kernos et gero, qui devait l'aider dans cette fameuse chasse aux rapaces.

bon si on n'a pas le temps de voir tout le monde tant pis. dans dix minutes, je veux voir tout le monde en rangs. je ferais une rapide inspection des uniformes. j'espère que vous avez fait briquer vos bottes sinon vous irez nettoyer la bauge de richard

avant de s'éloigner, il repassa négligemment devant akron et lui sourit :

akron... tu ne vas pas t'y mettre toi aussi. meme si tu m'appelles beau papa, tu n'auras pas un centime de dot !
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Greza

Greza arriva et se projeta dans le rang il appercut jerem et ericx.
Salut vous deux alors le Roy arrive dans quelques minutes?
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Kernos

Pendant que les officiers et le reste des soldats du Lyonnais-Dauphiné finissaient de se réunir, dans la joie habituelle de ce genre d'évènement où ils se retrouvaient tous, le regard de Kernos se porta vers un convoi qui traversait l'allée où le cortège royal passerait sous peu. Au milieu des gardes et des bannières, et malgré les riches atours qu'il avait revêtu pour l'occasion, le Seigneur des Lances reconnu Walan.

Il le suivit des yeux quelques instants encore, jusqu'à ce qu'il rejoigne l'assemblée des conseillers, nobles et clercs lyonnais-dauphinois qui devaient accueillir le Roy et sa Cour dès leur arrivée aux portes de la capitale. Kernos regarda le Gouverneur s'adresser au Capitaine, cela augurait qu'ils devraient bientôt entrer en scène... il était temps de s'activer un peu.

Prenant congé la compagnie du GML, ainsi que celles des autres soldats réunis autour d'eux, il chercha du regard un endroit où il pourrait attacher sa monture afin de rejoindre sa garnison et se préparer à se mettre en position avec le reste des troupes.

Une fois le problème de Corwin, Kernos alla retrouver ses hommes et entreprit de les réunir autour de lui.

Soldats de Die... en rang devant moi!

Les consignes ne devraient pas tarder à tomber, préparez vous donc à les exécuter dès que le Capitaine les donnera et surtout, n'oubliez pas les directives principales: vigilance et fierté!
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En deuil d'une amie, en deuil d'un chef, en deuil de Linala
A nos compagnons morts pour la Couronne

Frutass

Soldats de Die... en rang devant moi!

Frutass se mit face à Kernos au garde à vous. Elle sentait légèrement anxieuse quant à la venue du Roy et toutes ces animations - et tensions - à venir. Mais elle n'en laissa rien paraître. Elle comptait bien arborait les couleurs de sa patrie avec fierté.
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[center]

Armurier, Instructrice, Soignant[/center]

Penelopedefrance

Alors que les soldats arrivaient de toutes parts, le Seigneur des Lances de Vienne comptait et recomptait ses troupes.
La liesse était palpable dans les rangs, quelques retardataires manquaient encore à l'appel mais la route depuis Vienne était très fréquentée aujourd'hui et il fallait montrer patte blanche pour pénétrer à l'intérieur de la ville.

Soldats Viennois... sur deux rangs face à moi!

Redressez-vous, soyez fiers d'être soldats de l'Ost et montrez-le !
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Garde Bottée du Commandant Nestor
Vétéran Vae Victis

Geronimo2751

Géro était entrain de remettre leurs couleurs repintent et mis à taille à certains nobles, les livrés d'origines étant de très très mauvaise facture pour certain bien que fournit par le héraut. Il échangea quelques mots avec Samarel, Nestor et Feanaro. Mais bien vite le seigneur des lances rappela ses troupes.

Géro fit tourner plume sur elle même enserré dans la foule qui allait bientôt devoir faire place. Il regagna les rangs diois pour exécuter l'ordre du seigneur de Genay.
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Spacewolf

Space avait accompagné le Gouverneur entre Vienne et Lyon, il avait du passer précipitamment au lavoir afin de nettoyer son uniforme que la poussière avait salit.

Une fois tout propre, il se dirigea vers l'entrée que le Roy devait emprunter.

Il aperçut Péné et vint se placer devant elle.

Mes respects SDL, désole pour mon retard.

Puis il lui chuchota à l'oreille.

J'ai du nettoyer mon uniforme avant de venir, pour le Roy c'était nécessaire.

avec l'accord de Péné, il alla se placer dans les rangs avec les autres Viennois.
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Instructeur de l'école militaire

Samarel

revenant vers ses troupes, samarel se mit en position de commandement

Formez les rangs ! en colonne par 2 ! Vouuuuuuus !

les soldats tendirent le bras jusqu'à l'épaule du soldat devant eux. sur l'ordre de leur seigneur des lances ils se mirent tous au garde à vous comme un seul homme.

demi tour... gauche !

la délégation de la garnison de montélimar au grand complet faisait maintenant une haie d'honneur de deux rang face à la route qu'allait emprunter le cortège royal. sam remonta sur eich teine et vérifia machinalement que béan coulissait bien dans son fourreau.
parfait. repos. nous n'avons plus qu'à attendre.
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Gamin74

Gamin arriva en courant au rassemblement, il vit beaucoup de monde, sautait un peu pour trouver sa garnison quand il vit des macarons dépasser.

*Péné, je suis sûr que c' est elle*

Il se fraya un chemin en suivant les macarons des yeux puis arriva enfin devant son SDL.

*Héhé, j' en étais certain^^*

Archer Gamin, Seigneur Des Lances, navré pour le retard!

Il se mit dans les rangs, lissa son uniforme puis se positionna au garde-à-vous.
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Ris maintenant, tu pleureras après!

Brigide

De son promontoire elle voit arriver les soldats de valence. Tous très beau dans leurs uniformes. Elle était fière de les voir ainsi. Elle savait qu'ils ne la verraient pas, trop concentrer dans leur devoir. Elle était impatiente de voir passer le cortège. Maintenant il n'y avait plus très long à attendre. Elle se sentait, comme une enfant qui attendait un cadeau venu du ciel. Le coeur battant elle attendait, de voir son Roy ...
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L' île du Léviathan : Repaire de pirates
Ville de Valence

Lady_antlia

Le Capitaine leva son visage vers son GML et lui sourit .... soit c'est elle qui rétrécissait soit il grandissait encore .... il devait y avoir quelquechose .
Lui souriant, elle le rassura :
Je n'ai aucune crainte , je suis fiere des soldats qui composent cet Ost . Vraiment fiere .

Elle porta un regard autour d'elle, ils se regroupaient par garnison.

Le Gouverneur fit son arrivée et demanda à ce que tous se mettent en rang .
Elle allait donner ses ordres quand le Seigneur de la Garde vint à sa rencontre .
Seigneur , je pense que nous pouvons mettre les soldats en deux rangs puis nous ranger . Viendrez vous avec nous ? Grand Maiste des Lances, m'accompagnes tu ?

Puis levant son menton volontaire, stature et port droits ,

Soldats, vous avez entendu notre gouverneur . Formez une haie d'honneur! Maintenant !

Elle remonta lentement le long des deux rangs, inspectant les uniformes, les laissant se placer selon les désirs de leur Seigneur des Lances. Tous se mettaient en rangs, elle souriait même de voir tant d'unicité . Elle n'avait que ce mot, fierté , pour le Roy.

Elle rejoignit les Conseillers Militaires afin de prendre place auprès d'eux .

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Blanche

Enfin, Blanche vit des soldats de Valence arriver. Elle se fraya un chemin entre tout les soldats occupés à se mettre en rang et salua les trois soldats de Valence présents. Blanche se dit que déjà en garnison ils n'y étaient pas beaucoup alors si moins de la moitié des soldats de Valence venaient cela ferait vide du côté valentinois...

Bonjour à vous trois...

A ce moment là elle fut interrompu par le Capitaine qui leur disait de se mettre en rang et de former une haie d'honneur. Elle suivit le mouvement et se mit en rang.

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Garde-pêche de Valence

Culmace

Culmace venait d'arriver à Lyon. Il rejoignit les quelque Montiliens, remit bien son uniforme et se mit en rang comme Samarel le demandait.
Quand le capitaine enjoignit de se mettre en rang, tout Montélimar était déjà prêt.

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Aide-Fourier
Aide-Recruteur

Stat Crux dum volvitur orbis

Vivaldiana

Vivaldiana arriva en courant, essoufflée par sa course... Elle coiffa sa tignasse ébouriffée et arrangea son uniforme du mieux qu'elle pût... Elle reconnaissait quelques soldats dont elle avait fait la connaissance pendant la guerre... Elle leur fit un discret signe de la main et aperçut Pénélope... Quelques soldats Viennois se tenaient déjà au garde à vous devant elle...
Viva s'en approcha...

Archer Vivaldiana, désolée pour le retard...

Elle rejoignit les rangs et se mit au garde à vous, se redressant fièrement...
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Madmaxikki

Mad sous les ordres du SDL kernos s executa immediatement
il se redressa se mis dans le rang bomba le torse et attendit les ordres de kernos
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Edgared

edgared se mit aussitot en position face a kernos, il se ressaissit en attendant les instrcutions. Il sentait une légère apprehenssion[/i]
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recruteur

Maccornell

Aux ordres du Capitaine, MacCornell se dirigea vers ses hommes. Il attendit que son Seigneur des lances lui indique précisément dans quel ordre ils devaient se placer. Le foule affluait de plus en plus nombreuse. Machinalement, MacCornell jeta un coup d'oeil vers le poste des guetteurs, il lui sembla qu'il y avait de l'animation. L'escorte royale était sans doute à portée de vue mais n'avait pas encore été identifiée.
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Armurier
Conseiller communal d'Embrun - BCE

~draguione~

Après un moment de bavardage avec Bacchus une voix se mit a gronder au travers de la foule...

Noble assemblée !
D'ici peu, Sa Majesté Levan le Troisième nous fera l'honneur de se présenter en ce lieu accompagné de sa Cour.

Un devissement de tête vers l'arrière, Draguione vit le gouverneur annoncer l'iminente arrivée de Sa Majesté et de sa Cour. Un regard porté sur son Seigneur des Lances qui claquait des bottes pour se faire entendre et remettait ses macarons en place, pas question que l'un retombe! Draguione regardait alors un instant les enfants et se mit a leur niveau.

Mini sous coutilier Antoine! nous sommes attendu pour la formation des rangs! Allez hop!!

Demoiselle Anne. Si vous voulez vous placer devant nous aux côtés du grand soldat que voici....tout en désignant son fils en souriant...Elle s'approche d'une oreille de la petite et continua...

Ainsi votre jolie robe gardera son retombé. Ne sait on jamais si le Roy vous remarque!

Une grand sourire ornait son visage... L'homme d'armes Draguione se releva pour aller, avec son époux se mettre en rang devant son supérieur Pénélope...
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Vétéran Vae Victis, à fait couler son sang le 15 juin 1456 pour le Roy

Colchique

Colchique, jeune coutilier de la garnison de Dié avait fait le chemin à pied jusqu'à la grande capitale. Il était fourbu mais devait encore nettoyer son uniforme. Placé sous les ordres du Seigneur des Lances Kernos, il se mit dans le rang, espérant voir de ses yeux le Roy. C'était la première fois (et sans doute la dernière) qu'il aurait l'occasion d'apercevoir un si illustre personnage...
Au milieu du tumulte, il ne quittait pas des yeux ses chefs dont la présence le rassurait.
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Zalik

Tous les soldats formaient maintenant une haie d'honneur et Kut continuait à s'émerveiller de tout ça. Elle avait hâte de voir le Roy. De nombreuses rumeurs le détaillait mais elle ne savait pas à quoi il ressemblait en chair et en os. Un sourire radieux était peint sur son visage ce qui amusait le noble qui l'avait laisser se placer juste devant lui. Ses cheveux châtains voletaient légèrement à cause de la brise légère habituelle aux matins de Lyon.

Kut s'autorisa un regard en arrière et aperçut Brigide perché sur son promontoire. Elle lui sourit et lui fit un signe de la main. Ce n'était pas le moment d'attirer l'attention sur elle-même. Sa robe couleur ivoire flottait légèrement avec le vent. Elle paraissait si frêle, si fragile. Kut se mit à attendre le roi impatiemment tripotant ses doigts fins.

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Paprika2

Pap était enfin arrivée à Lyon. Il régnait dans les rues une effervescence et une agitation peu habituelle. Il fallait reconnaître que l’événement était de taille. Le roy…
Bel honneur qu'il faisait au duché !
Elle repéra rapidement les soldats de l’Ost et dirigea vers puis elle aperçu Jerem, Ericx ; Blanche.
Elle eut a peine le temps de les saluer et de se mettre en rang qu’lle entendit la voix du capitaine retentir…
Elle se redressa, posa son regard sur un point fixe et attendit…

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Pour servir le duché et le royaume
Vétéran Vae Victis

Coppensbe

Le maire de Lyon, mêlé à la population telle son habitude, avait délaissé son bureau pour venir attendre avec impatience l'arrivée du Roy et de sa suite.
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Seigneur-mort

seigneur arriva sur son cheval à Lyon.
Il commenca à reperer les habitation et chercher les habitants de Valence.
Tout ceci fait il fit une raie d'honneur tous contre Paprika2 sa voisine.

Pour le LDL et le Roy.

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Kevin4310

Kevin était la depuis un bon moment déja il était venu en avance pour voir sa majesté

E_newton

Après la Champagne et la Bourgogne, l’escorte Royale pénétrait en Lyonnais Dauphiné.
L’arrivée dans le Duché s’effectuait par la « grande porte » en entrant directement en sa Capitale, en l’occurrence, Lyon.
Comme à l’accoutumée, la Lance de la Licorne avait prit possession de la tête du convoi.
Une lance d’éclaireurs les avait néanmoins précédés, se devant de vérifier la sécurité des routes avant leur passage.
Le Conseil Ducal devait donc avoir été averti de l’arrivée imminente du Roy et de sa cour.

Arborant toujours l’étendard de l’Ordre, Ethan chevauchait aux côtés de sa sœur Zalina et de Dame Mysouris de l’Ordre des Dames Blanches.
Leur frère licorneux, Bigboss, son épouse Dame Magdeleine, ainsi que Dame Teïa, deux autres Dames Blanches avaient dû les quitter la veille au départ de Macon.
La lance, réduite à sa plus simple expression devait néanmoins remplir ses effectifs dès leur arrivée à Lyon.

Enfin les murailles de la prestigieuse cité apparurent aux yeux de tous.
Au fur et à mesure qu’ils avançaient, les yeux des cavaliers pouvaient distinguer l’agitation qui se muait devant les lourdes portes protégeant la ville.
Ils étaient donc plus qu’attendus et le Roy allait être accueilli comme il se devait.

Ethan pouvait déjà distinguer la haie d’honneur formée par les troupes des soldats du Duché.
Une question se posa immédiatement à lui, devaient-ils s’y aventurer ou bien laisser le Roy y passer en premier ?
Devaient-ils s’assurer de la sécurité des lieux, ou bien faire confiance aux forces locales en place ?
Comme Zaza le lui avait déjà fait comprendre, leur mission était d’assurer l’escorte du Roy pendant ses déplacements.

Puisque les régents locaux semblaient l’espérer ainsi, Ethan allait leur laisser l’opportunité de se montrer dignes de la confiance que leur portait le Roy en leur rendant visite.
Se tournant vers ses deux compagnes de voyage, il leur expliqua son intention :
À trente pieds de la porte, nous allons nous ranger à droite et laisser passage au Roy, afin qu’il pénètre en tête des troupes dans la cité.

Comme il le leur avait demandé, chacun des cavaliers s’attacha à se positionner. Ils avaient fière allure ainsi.
Avec tout le travail qu’ils avaient déjà effectué, c’était là une belle façon de les récompenser, le Roy ne pouvait pas ne pas les voir.
C’est ainsi que la petite lance formée par les deux plus prestigieux Ordres Royaux rendit hommage au passage du Roy et de sa cour.

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Fhar

Fhar, répondant a l'appel du capitaine se mit a rassemblée les lyonnais . Tous était venu acclamer le Roy. La capitale du dauphin autrefois son domaine et bientott celui de son fils se devait d'estre presente
pour faire honneur au Roy.

LYONNNAAAAAAAIS EN HAIE D' HONNEUR COMME L'ORDONNE LE CAPITAINE !!

disant cela il se mit a la file des soldats deja présent et ordonna a ses hommes de faire de meme.

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Kazert

[Les portes de Lyon La garde Royale : disparition deux deux gardes Royaux et jus de pomme]

Après moult missions aux travers du royaume, après mainte guerre, après être resté enfermé au Louvres, voici que la Garde Royale était sur les routes de France, escortant son Roy sur ses terres et sur les terres de ses vassaux.
C'était un honneur mais aussi une épreuve pour tous, les gardes et leur capitaine, le savent. Après avoir voyagé depuis plus de dix jours, voici que le Roy et l'escorte entre sur les terres du BA.
Le capitaine de la garde Kazert , a sa tête des mauvais jours , en effet il attend de voir les événements dans les jours a venir car il n'est pas du tout d'accord sur l'organisation ; Premier Couak du voyage!

Les routes du Dauphiné voient passer des équipages et hommes en armes portent fièrement les couleurs du Roy et de sa Garde Royale. Hommes et femmes a son service en permanence , n'hésitant pas a sacrifier leur vie pour leur Roy, et sa famille, étant toujours présent .
Les compagnies avancent en ordre, c'est ainsi que la ville de Lyon ce voit soudain envahie par les étendards ,bannières, au fleurs de Lys.

Les voici arrivé pour la première étape en Dauphiné . Pour le moment le voyage ce passe bien, juste le couac de départ que Kazert souhaite réglé le plus rapidement possible, et nous passerons sous silence le second couac......Quoi que le cuisinier de la garde leur avait concocté un super repas pour faire passer cet évenement en Champagne.

La garde qui entourent la famille royale est impénétrable, nul ne peut s'approcher d'un membre de la famille royale sans passer par elle. Qui plus est, les armées du Dauphiné étaient présente. Kazert connaiçait bien le Dauphiné, il ésperait pouvoir rencontre la famille Massigny, pouvoir aussi ce rendre a Chantemerle. Mais tout cela passe aprés le Roy, et aprés son épouse.

Alors que les différentes voitures entrent en ville la garde resserre sa présence autour de la famille Royale. Le Capitaine ce rapproche de la princesse Marie Héloise, et soudain réalise qu'il manque deux gardes. Qui avaient pour mission d'assurer, la sécurité de la princesse.
Toute en cherchant du regard ses deux gardes, dont un qui lui est trés chér, il repense a ces deux derniers jours.
Le jus de pomme qui lui était resté en travers de la gorge a la dernière étape.
Les moments passés avec son épouse. Épouse qu'il avait retrouvé récemment, Ils avaient réussi a ce retrouver seul en amoureux, étre avec elle seul, a discuter, manger, rire . C'était important pour lui, surtout avec ses derniers mois ou tout deux avaient du étre répondre a leurs différents devoirs.
La première nuit, il avait pour la première fois vu Lilynight sous un jour différents. Il en avait été profondément touché, jamais il n'avait resentie cela.
Ce bonheur, cette joie ne serait être taché par cette soudaine disparition. Il devait avant tout protéger la famille royale, dur devoir lorsque l'étre que l'on aime vient de disparaitre. Kazert n'as qu'une seule envie c'est d'aller a la recherche de Lilynight.
Il salua la princesse qui le regardait et ce rapprocha de Aristide, qui lui aussi est assigné a la protection de la princesse , il devrait certainement savoir ou elles etaient.

Aristide, et Kazert ce trouvent dans le champs de vision de la princesse, a la droite de sa voiture.

- Dit moi ou est ton épouse..........elles étaient avec la princesse a Maçon avant notre départ et devraient être toujours avec la princesse......Mas elles ne sont pas là.
Il regarde Aristide, d'un regard dur ne laissant apparaitre aucune inquiétude, regard parcourant la foule , suivant l'escorte, toujours en mouvements afin d'anticiper l'événement redouté. Et pourtant, les battemenstd e son coeur son rapide, ses mains moites, ses pensées vont vers la femme qu'il aime. Il ce rassure en songeons qu'elle est a l'arriére, pour une raison quelconque.
-Alors ?

Ecaterina

[ Cathédrale d'Embrun]

L'Archevêque travaillait sur des rapport provenant de Briançon, lorsqu'un petit enfant, ouvrit la porte, courut vers elle et lui sauta dans les bras, devant l'air affolé de son secrétaire.

Il lui fit un gros bisou sur la joue et s'écria tout joyeux:

-Ecat, Ecat, le Roy va arriver à Lyon, viens avec nous, viens avec nous, ste plais.

L'Archevêque se mit à rire puis demanda à ce qu'on prépare son coche afin qu'elle puisse partir rapidement pour Lyon.

[ En chemin]

Durant tout le trajet, Ecaterina ne cessait de voir des gens venir par tous les chemins pour aller accueillir le Roy à Lyon. Les enfants couraient fous de joie et les parents riaient en ce beau jour d'octobre.

[ Lyon]

Le coche s'arrêta devant la ville, Ecaterina son secrétaire et le jeune garçon descendirent du coche et si dirigèrent vers l'endroit de l'accueil.

Igor, le secrétaire de l'Archevêque prit la parole:

- Monseigneur, je vois que le clergé à sa place dans les tribunes. Suivez moi.

-Je préfère rester ici, vas t'installer la-bas si tu le souhaites, mais ma place est en bas avec le peuple.

Tout en disant cela elle sourit puis alla à la rencontre des gens massés, tiré par le petit garçon, bien trop joyeux et actif pour la pauvre Archevêque.

Ecaterina vit des gens qu'elle connaissait, les salua puis regarda la foule.

Brigide

Elle observait toutes les personnes qui avaient fait comme elle. Nobles, soldats et petites gens comme elle, avaient fait le déplacement pour voir le Roy. C'était un très grand évènement pour le Lyonnais-Dauphiné. Elle jette des regards circulaires sur tout le monde pour voir si à part les soldats, elle reconnait quelqu'un. Elle aperçoit Kut au milieu des nobles et répond à son signe de main par un signe aussi. Que faisait-elle là-bas ? Elle ne lui avait pas dit qu'elle était noble ... Elle aperçoit aussi plus loin, sa marraine et son parrain. Ils ne l'avaient pas vu, mais elle les verrait certainement plus tard.

Elle reporte toute son attention sur l'homme au milieu de la rue, celui qui avait donné ses ordres l'instant d'avant ...

Le Roy ne tarderait plus maintenant et elle espérait pouvoir le voir correctement. Elle était de plus en plus nerveuse et sa ceinture en pâtissait. Il y avait un bruit de tous les diables, les gens parlaient et riaient pour faire passer l'attente. Mais elle n'entendait rien, perdu dans ses pensées et le regard fixer sur ce soldat ...
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L' île du Léviathan : Repaire de pirates
Ville de Valence

Yannek

Soldats de Die... en rang devant moi!

oups,
la voix de Kernos portait haut et fort...
yannek s'activa, arrangea quelque peu son uniforme, vérifiant les plis, l'epousta et se rangea parmis le reste de la garnison.
Atitude fiere, yannek attendit avec patience la suite des évènements.
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Altais

La nouvelle de la venue du Roy avait fait le tour du Lyonnais-Dauphiné. Altaïs revêtant son plus bel uniforme se rendit en la capitale pour rejoindre ses frères d'armes. Il se présenta à son SDL et se mit au garde à vous :

- Mes Respects, j'dois faire quoi exactement ?

Puis il attendit, observant les préparatifs bien huilés des différentes garnissons se mettant en rang.

Au même instant le Capitaine ordonnais une haie d'honneur. le jeune homme se conforma à l'ordre, comme tous les autres soldats de l'Ost et se tint fièrement à sa place sous la bannière de Valence.
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Signature en cours de mise à jour

Pour un coin de pêche parfait c'est ici ^^

Kernos

A la vue de l'agitation et du bruits qui s'élevaient des portes de Lyon, Kernos sut que le cortège du Roy devait être à présent visible, l'erreur n'était plus possible. Il vérifia que ses hommes étaient bien en ligne, face à lui, inspecta brièvement les uniformes, le port et l'équipement des soldats diois. Tout semblait parfait et en ordre quand le défilé royale passerait devant eux. Dans un élan de fierté envers la troupe qu'il commandait, il ne put s'empêcher de sourire avant de faire signe à deux pages qu'il avait engagé pour l'occasion afin d'achever les derniers préparatifs pour cette grande cérémonie. Les deux garçons s'avancèrent, les bras chargés par les deux étendards de la garnison qu'il avait fait apporter.

Homme d'Armes Geronimo, aujourd'hui tu auras la charge de porter haut les couleurs de Die lors du passage de notre Souverain et de son cortège.

Homme d'Armes Yannek, tu seras en charge de tenir l'étendard de Genay quand Sa Majesté et son escorte passerons devant nous, prends en bien soin.

Il fit signe aux pages de remettre les étendards respectifs aux deux soldats. Les deux garçons s'exécutèrent puis disparurent aussitôt rejoindre la foule pendant que Kernos donnait ses ultimes consignes.

Soldats, n'oubliez pas que nous sommes là pour l'honneur du Lyonnais-Dauphiné et celui de notre garnison, mais avant tout pour assurer la sécurité du cortège royal! Alors restez alertes, ne laissez pas la foule passer au milieu de nos rangs et veiller à ce qu'aucun incident ne vienne perturber le passage de notre Roy.

Coutiliers... hast à terre! Tenez vous bien droits et faites en de même avec votre arme, je veux voir une belle haie bien droite!
Archers... tenez vous droit, votre arme sur le côté côté sénestre, pavois devant vous, à vos pieds!
Homme d'Armes... étendard dans la main droite et main gauche sur le fourreau!
Chefs de Lance... visières levées, écu tenu contre votre tronc face à la voie, bras droit le long du corps!

Sainct Georges et Dalphiné!

Puis il prit position au milieu de la ligne formée par les soldats diois bien rangés.
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En deuil d'une amie, en deuil d'un chef, en deuil de Linala
A nos compagnons morts pour la Couronne

Jacochere

A la demande de son capitaine Lady_Antlia il se rendis aux portes du château afin de faire honneur a son Roy ,il se demanda si il était au bon endroit ne voyant personne d'Embrun ~ah si je vois Maccornell~il se mit comme ces compagnons d'armes afin de faire une haie d'honneur
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Aide Fourrier de la Garnison d'Embrun

Zoyas

Zoyas, dès les ordres du Capitaine donnés, se retourna vers ses compagnons qui étaient déjà à ses côtés.

Tout le monde se range pour la haie d'honneur !

Prestement !

Elle était sereine et savait qu'elle allait rapidement passer la main, même si pour quelques heures encore, elle était officiellement le sdl d'Embrun, et devait donc agir comme telle.

Un regard vers Mac, qui prenait également les choses en main, un sourire.

Mac, viens donc à ma droite. Puisque Syd est chez les nonnes

Mac serait l'homme de la situation, et elle allait donc lui laisser la bride large pour cette aventure, qui était la venue du Roy et de sa famille.

Elle pourrait elle même, ainsi, se concentrer davantages sur les risques alentours.

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http://lacontreedesloups.forumactif.net/index.htm

http://banieresdezoyas.over-blog.fr/

Flyerstyle

flyerstyle écoutait les ordres, Deux rangées distinctes. Il mis son pavois devant lui par terre, son épée était déjà coté sénestre comme il la mettait pour chaque cérémonie.

Fly fit un signe à Ziglord et Lavitz afin qu'il se mettent eux aussi en position. Il regarda akron qui arrivait et lui fit comprendre d'un regard et d'un hochemen de tête discret mais sûr que les troupes brianconnaises avaient bien recu les ordres ici et que tout se passait bien.

Soyez sur vos gardes quand aux intrusions de paysans au passage du roi, nous somes en charge de la sécurité. Soyez fier de voir le Roy de si près, c'est un véritable honneur pour notre duché d'accueillir le roi en si belle journée.

Sur ce fly reprit sa gourde pour en prendre un goulée et se mit bien droit, le torse bombé.

Jeremdehuit

Il se tourna vers ses hommes

Mettez-vous tous en rang du grade de Coutilier au grade de Chef de lance

Jeremdehuit termina d'organiser les rangs Valentinois avant de se placer devant ses hommes.

Tenez vous droit,redressez le menton,regardez loin.
Sortez vos épées,la lame en direction du sol.Le bras gauche le long du corps.
Lorsque le Roy fera son entrée vous positionnerez vostre épée contre vostre poitrine la lame en direction du ciel recouvrant le milieu du visage.

Une fois cela dict il sortit son épée du fourreau,la lame en direction du sol,il positionna ensuite son bras gauche le long du corps.

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Seigneur d'Antonaves

Fourrier
Vétéran "Dies Irae"

Ziglord

Ziglord avait suivi les consignes, se mettant dans les rangs. Beaucoup de soldats étaient maintenant présent et le roy ne devait plus tarder. Droit comme un "i". Tous se mettant en ordre et la tension montait. Il n'avait plus grand chose à faire et il attendait patiencement mais voyant que de plus en plus d'étendard se levaient dans els airs, il regarda fly l'air inquièt :

Heu ... quelqu'un a pensé à prendre notre étendard ?? Se serait domâge que Briançon soit mal représenté.
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Walan

Après l'avant garde, ce fut au tour des soldats des Ordres Royaux d'arriver en vue de la Capitale. Walan les observa avec un regard expérimenté se placer à leur tour le long de la route de manière experte.
Non loin derrière l'on voyait déjà les carrosses et litières des membres de la Cour, entourées des gardes royaux, progresser doucement sur la grand route reliant la capitale Dauphinoise au Duché de Bourgogne.

Il n'entendait guère le brouahaha de la foule derrière lui, ni même les ordres des Seigneurs des lances encore occupés à placer leur hommes, concentré qu'il était sur les bannières et carrosses approchant des portes.
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Chloris

Chloris avait bien entendu son chef Fhar....

Citation:

Elle se mit donc en rang à côté de ses camarades pour faire la haie d'honneur pour l'arrivée du Roy....

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Elle se mit donc en rang à côté de ses camarades pour faire la haie d'honneur pour l'arrivée du Roy....

Erestie

Archer, rassemble avec toi les Briançonais, attendez moi ensemble au pied de cet arbre là bas que je vous retrouve facilement. Je vous donne des ordres des qu'ils arrivent. Passe aussi les tenues en revue, je veux vous voir beaux comme jamais !

A vos ordres Seigneur des Lances Akron!

S'apprêtant à les faire regrouper, il fut interpelé par Ziglord...

Mes respects archer, heureux de vous voir ici, durant l'instant d'une seconde j'ai eu peur de n'être tout seul, mais maintenant que vous êtes là vous pouvez me dire ce que nous devons faire ?

Bonjour Ziglord, et bien nous allons commencer par nous rassembler sous cet arbre! En avant!

Ils se dirigèrent donc en dessous de l'arbre, le Perse inspecta les tenues des soldats présents... irréprochables. Mais le nombre de soldat était encore une fois peu élevés, ils espéraient que les autres ne tardent pas..
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Nynaeve87

Nynaève était donc entrée seule dans la ville…elle regarda les soldats…leur capitaine…elle aurait bien fait demi-tour…mais son devoir était d’être là…
Le visage impassible elle scrutait la foule, les différentes garnisons prenaient place pour la parade.
Le Roy serait bien accueilli.
Plus loin, elle aperçu Walan qui scrutait l’horizon…alors, suivant son regard elle vit la poussière soulevée par les chevaux…
D’abord indécise, elle prit sa décision et vint garnir les rangs de sa garnison d’origine…celle d’Embrun se plaçant juste derrière le seigneur des lances.
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Mariealice

Lyonnais Dauphiné, seconde province sur le parcours du voyage, autre province qu'elle allait découvrir.

Elle en connaissait ce que tout un chacun savait, les tisserands et les étoffes précieuses, la ville gauloise... Grâce à Argael, elle avait également découvert le Genépi et les nougats dont elle raffolait depuis.

Ce séjour lui permettrait d'approfondir ses connaissances et sans nul doute, vider sa bourse et remplir les malles, voire entrainer Flaiche faire les échoppes de tisserand. Bah sinon Neb se ferait certainement un plaisir de l'accueillir dans sa tournée des commerçants.

Les remparts de la cité se profilaient enfin après une longue nuit de voyage et Marie, toujours pas décidée à voyager en coche ou en litière, pressa les flancs d'Alestria pour se porter un peu plus à l'avant, près de son frère, examinant les murs devant eux.

Une foule, désormais bien visible, se massait au pied de la porte, au sommet des tours claquaient les étendards royaux et dauphinois. Au pied des murailles également, de nombreux oriflammes aux couleurs vives parsemaient ceux qui les attendaient.

D'un revers de la main, elle ôté un peu de poussière qui maculait sa tenue de voyage, se disant qu'elle allait finir par se faire gronder à ne jamais paraitre comme la bienséance le voudrait. Regard complice à son frère qui partageait son goût immodéré des tenus confortables plus que les clinquantes et enfin le convoi arrivait à destination.
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Geronimo2751

Géro venait de regagner les rangs diois quand le seingeur des lances s'adressa à lui.

Homme d'Armes Geronimo, aujourd'hui tu auras la charge de porter haut les couleurs de Die lors du passage de notre Souverain et de son cortège.

Merci de vostre confiance seigneur de Genay, de mon vivant je ne laisserais choir nos couleurs.

Géro se baissa vers le page qui lui remit l'étendard. Il le releva et le cala dans son étrier droit.

De la main gauche il flatta l'encolure de plume, le vacarme et la foule la rendait nerveuse. Il se repositionna dans les rangs diois et se tint encore un peu plus serré avec les autres chevaux pour contenir la foule qui était de plus en plus dense.
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Penelopedefrance

Une certaine agitation et de nombreux murmures dans les rangs laissaient deviner l'arrivée du cortège royal.
Le Seigneur des Lances de Vienne s'approcha de ses soldats et vérifia que tous étaiens correctement positionnés.
Les deus étendards en main, Pénélope se campa devant Dragui et Space.

Chef de Lances Spacewolf, tu porteras l'oriflamme de Vienne lors du passage de notre Roy..

Homme d'armes Draguione, je te confie l'étendard de la Terrasse que tu porteras bien haut quand le cortège royal passera devant nous......
Prends en grand soin !

A vous tous, n'oubliez pas la raison pour laquelle nous sommes tous réunis ici, porter fièrement les couleurs de l'Ost et assurer la protection de notre Souverain.

Soyez fiers de ce que vous êtes et redressez-vous !
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Garde Bottée du Commandant Nestor
Vétéran Vae Victis

Marie_heloise

[Au petit matin]

Confortablement installée dans sa litière, Marie-Heloise soupira profondément, regardant le paysage défiler. Sa sœur jumelle avait du faire demi-tour, souffrante de ses perpétuels problèmes de santé ; et sans sa sœur, la vie n’était naturellement plus pareille ; alors elle s’ennuyait, un peu nostalgique, un peu bougon, un peu esseulée aussi parmi tous ces adultes qui ne comprenaient rien aux histoires de petites filles.

Lorsqu’ils arrivèrent à Lyon, elle fut impressionnée par la beauté de la ville. Les habitants étaient au garde à vous aux portes de la cité et dans les rues, ils regardaient passer le cortège royal et Marie-Héloise en fut un peu intimidée. Elle laissa retomber le rideau de la litière et s’enfonça dans son siège, attendant avec impatience et anxiété le moment d’en descendre et de rencontrer ses habitants, de visiter la ville et ses festivités.
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Cherchons rolistes intéressés de prendre des rôles à la Cour auprès des princesses - envoyez moi mp

Myao

Myao avait pris tout son temps pour se préparer.
Elle avait revêtu ses plus beaux atours, s'était légèrement parfumée et coiffée avec grand soin, attachant ses cheveux avec deux jolis peignes.

Il y avait foule, de cela elle ne s'étonna point. Les Dauphinois n'auraient sans doute pas d'autre occasion de voir leur Roy et sa Cour.Tout l'Ost était là, bannières claquant au vent. Chacun se tordait le cou en direction de cortège.
Myao était restée en retrait de la foule, toujours en selle afin de mieux voir. Elle apperçut le Gouverneur et nombre de notables.
Patiemment elle attendait.
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Yannek

Homme d'Armes Yannek, tu seras en charge de tenir l'étendard de Genay quand Sa Majesté et son escorte passerons devant nous, prends en bien soin.

Yannek surprit de cet honneur...les couleurs de son chef....
ne répondit sur le coup....
S'avançant, il se saisit de l'étendard que lui présentait le page, le prit bien en main et le présenta de manière à le voir flotter au vent montrant ainsi toute sa splendeur....

Compter sur moi seigneur,
je ferai en sorte qu'il soit grand et somptueux au passage de notre Roi.

Puis regagnant les rangs de ses frêres d'armes, il le porta haut, bien calé de manière à ne point trembler.

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Max69lyon

Max arriva par la route du Sud à Lyon. Il avait passé le dernier mois à courrir les routes, les bois et les chemins, sur les traces de malandrins. Il avait cru les perdre, avait renoncé, et les avait recroisés alors qu'il se rendait à Die, là où l'attendait celle qui faisait battre son coeur. Rageur, il avait de nouveau suivi leurs traces, et avait fini par en rattraper trois, qu'il avait tué quand ceux ci l'avaient attaqué. Il était persuadé que le groupe qu'il suivait était plus nombreux, mais il avait stoppé la poursuite. Le Roy et sa cour venaient en Dauphiné, et il ne voullait pas manquer cette visite. Voyageant à bride abattue jusqu'à Mions, il y avait revêtu une tenue propre de capitaine episcopal. Ainsi de noir vêtu, il avait gagné Lyon. Grâce aux pluies récentes, la poussière était collée à la route, et il avait pu forcer l'allure sans risquer de se salir de trop.
Il arriva enfin en vue des murailles, et l'agitation perceptible, le nombre impressionant de drapeaux et d'oriflammes lui confirmèrent que la ville était en ebullition.
Il mit sa monture au pas, l'attacha dans la cour d'une ferme de sa connaissance, et pénétra dans la ville. Il aurait été illusoire d'espérer y entrer à cheval. Il passa devant les rangs viennois, superbement alignés, et salua ceux qu'il connaissait d'un signe de tête appuyé. La Seigneur des Lances eut droit à un sourire et un geste de la main. Il la félicita pour la belle tenue de ses troupes, lui promit une choppe pour leur prochaine rencontre, et passa la porte. Il remonta les quais, fendant la foule avec difficulté.
Il parvint enfin à la porte nord de Lyon, et gagna rapidement les rangs de la noblesse, parmi les seigneurs. Enfin en place, il se mit à chercher du regard des connaissances. Il en trouva en nombre dans les rangs de la noblesse et du clergé. La vue de son vieil ami, luxueusement vêtu et posté fièrement sur une monture superbement dessinée lui retourna le coeur. Il avait passé peu de temps en ville ces derniers mois, et il n'avait que peu suivi la vie publique.
Tournant son regard vers la foule des badauds, il y reconnut Monseigneur Ecaterina. Depuis qu'il l'avait escortée jusqu'à Embrun, il n'avait plus eu l'occasion d'entendre parler d'elle. Il ne put s'empêcher de vérifier si sa lame coulissait bien dans son fourreau, et comment, le cas échéant, il pourrait se précipiter jusqu'à elle. Certes, il n'était pas responsable d'elle, n'étant pas sous ses ordres directes, et n'étant pas dans sa province. Néanmoins il restait garde épiscopal. Il eut la rage au ventre en se rendant compte qu'il ne pourrait rien faire si un problème se présentait. Certes, le Roy devrait capter tous les regards, et tous les ennuis, comme un paratonerre, mais un groupuscule ne pourrait-il pas en profiter?
Il jeta un regard vers le nord et constata que le cortège n'était pas encore en vue, même si on devinait l'avant garde. Il se résolut à resortir du rang, traversa la route et gagna la foule. Jouant des coudes, il parvint jusque derrière l'archevêque. Ne sachant si elle apprécierait d'être surveillée de la sorte, il ne se fit pas remarquer, et reporta son attention sur la route.
Le royal cortège ne tarderait pas...
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Maccornell

Zoyas a écrit:

Tout le monde se range pour la haie d'honneur !

Prestement !

L'ordre venait d'être donné par la Seigneur des lances d'Embrun. Tous les soldats de la garnison s'exécutaient, les plus hauts gradés vérifiant que les hommes dont ils étaient responsables s'exécutent de manière impeccable. À sa surprise, Zoyas interpella MacCornell qui ne se fit pas prier bien qu'il lui fallut un certain temps pour comprendre pourquoi lui et pas les autres chefs de lance.

Zoyas a écrit:

Mac, viens donc à ma droite. Puisque Syd est chez les nonnes.

Ah c'est vrai, Syd, l'aide de camp, est en retraite, Deepthroat aussi, Thierry, Nynaève, et Fontvell font maintenant partie des officiels. Le chef de lance avança d'un pas et se mit là où la Dame de Baternay lui avait demandé. De cette place, il serait bien mis pour voir passer le cortège. Il regarda les autres garnisons se mettre en place. Par Aristote, la bannière de la garnison ! Heureusement pour lui, il avait anticipé sa distraction le matin en se préparant. Il sortit de sous sa cape une bannière qu'il avait brodé pour l'occasion de fils d'or.

Homme d'armes Isilween, tu porteras la bannière de la garnison dit l'armurier en se retournant vers les rangs. Il lui tendit le précieux étendard.

Alors qu'il allait se retourner vers l'allée ouverte dans la foule pour le Roy et sa suite, MacCornell vit Nynaève se glisser derrière Zoyas. Il l'interpella de la sorte:

Hey Nyna, vient donc te mettre en ligne avec Zoyas et moi ! Ne fais donc pas ta discrète une fois de plus et lui tira la manche pour l'amener en première ligne.

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Armurier
Conseiller communal d'Embrun - BCE

Feanaro56

Feanaro regardait les soldats se mettre en place, il y avait du mouvement dans tous les sens, les étendards s'élevaient ici et là, toutes les couleurs des différentes garnisons étaient présentes, les ordres des seigneurs des lances fusaient dans les rangs.
Il se retourna lorsqu'il entendit le capitaine lancer ses ordres :

Soldats, vous avez entendu notre gouverneur . Formez une haie d'honneur! Maintenant !

Il se rendit au coté des conseillers militaires et sortit son épée pour préparer la haie d'honneur.
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Armoria

Le Lyonnais-Dauphiné : la dernière fois qu'elle était venue ici, c'était en jeune mariée qui pensait que son hymen était plus qu'un simple contrat... La femme qui revenait ne se faisait plus aucune illusion en la matière, et y avait acquis dans son détachement une sérénité toute nouvelle.

Tout comme la parade de l'armée bourguignonne s'était déroulée sous un temps clément, leur arrivée dans la capitale du Lyonnais-Dauphiné bénéficiait d'un joli rayon de soleil. Du reste, ils avaient choisi, aux approches de la ville, de changer de voiture pour choisir un coche découvert - eh oui, une décapotable - afin de mieux profiter de la vue, et surtout, que le peuple puisse mieux voir son Roy.

Comme convenu, ils virent en arrivant auprès des portes de la ville qu'ils y étaient attendus : selon la tradition séculaire, les portes leur seraient ouvertes après accueil par les officiels.

La jeune princesse était dans une litière où elle semblait se cloîtrer. Restaient dont, dans la voiture de tête, le Roy, sa bru, et le fils de celle-ci, le petit Philippe-Lévan. Verrait-il enfin son père ? Rien n'était moins sûr...

Ils étaient tout proches, à présent, et le Roy saluait la foule. Armoria, quant à elle, se montrait plus discrète, bien que souriante : c'était le Souverain qui était à l'honneur, elle ne se considérait que comme un faire-valoir, dans cette tournée royale, et tenait à rester à sa place.

Le postillon annonça d'une voix forte :

Sa Majesté le Roy !

Son Altesse Armoria !
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[Ma bannière est morte, vive ma bannière... A venir.]
[Je vous ai envoyé une lettre RP ? Vous pouvez l'utiliser. Membre du fan-club "boisé forever"]

Geronimo2751

L'annonce venait d'estre faicte le roy et sa cours arrivait. Géro ajusta son capel, plus par nervosité que par nécessité. Tout les badauds piaffaient derrière la haie formé par les soldats qui les contenaient.

Il s'autorisa un bref coup d'œil sur le côté pour voir oû en était le cortège. Une silhouette retint son attention, il l'avait déjà vu sur les champs de bataille bretons. Le Grand Maistre de France ...

Son regard se reporta aussi tôt sur la rangée de soldat qui lui faisait face. Il ne quitta plus cette vision, jusqu'à ce qu'un frisson lui parcours l'échine quand le bruit des sabots se fit plus pressant. Il aperçu le regard de Princesse_Lotus de l'autre côté de la chaussé, emplit de fiereté.
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Jacochere

voyant la bannière d'Embrun de loin ,Jaco s'approcha, enfin il avait trouver les siens il se senti plus a l'aise il y vit sont SDL Zoyas ,Nyna ,et bien sur Maccornell qu'il avait aperçu a son arrivé il se mit avec eux pour cette grande fête et attendit qu'on lui dise ce qu'il fallait faire , c'était sa première grande sortie , ces yeux regardaient toutes ces bannières flottantes au vent ,les gens dans leurs beaux habits , haut en couleur c'etait magnifique ,
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Aide Fourrier de la Garnison d'Embrun

Zwyrowsky

Le bonjour, sire Gouverneur, Messeigneurs, mesdames....

Dans ce murmure de salutation, le vicomte de Crots avait rejoint en se faufilant dans la foule la petite troupe des nobles assemblées derrière le Conseil ducal. Il jugeait plus nécessaire que jamais l'implication de la noblesse dans la vie ducale, et il n'allait pas manquer une arrivé qui n'avait pas d'équivalent dans les annales du règne. Il se demandait si l'on verrait réellement le roi: la Grand Maitre aurait-elle su, ou pu le convaincre d'assumer enfin ce qu'il était? Baste. L'on verrait bien et quoi qu'il arrive, il avait des pensées plus joyeuses en tête, et un bonheur plus immédiat que la fortune du petit roi: aussitôt l'entrée solennelle effectuée, il regagnerait son hostel, pour veiller aux derniers préparatifs de ses noces.
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Brigide

Ça y était, le Roy arrivait avec sa cour. Les bannières étaient levées sur le passage du cortège. C'était magnifique. Elle n'aurait certainement pas l'occasion de revoir cela de si tôt. Elle en avait plein les yeux. Ne sachant plus ou regarder. Elle était bien, sur son promontoire, elle avait une tête de plus que tout le monde et avait une bonne vision d'ensemble. Au loin elle voit arriver une voiture ouverte aux armoiries du Roy. Elle attend, de voir la voiture passer devant elle. Elle se met sur la pointe des pieds. Elle ne voulait rien rater ...
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L' île du Léviathan : Repaire de pirates
Ville de Valence

Zalina

Champagne, Bourgogne, Lyonnais Dauphiné. Le voyage se poursuivait sans souci particulier. A peine quelques retardataires de ci de là. Mais aucune attaque ni risque quelconque. Une petite promenade de santé… de sept mois. La Peste Licorneuse en était presque à espérer une tentative de quelques brigands histoire de ne pas rouiller ou s’endormir en route. Mais rien.
Les routes se ressemblaient toutes, les villes aussi après tant d’années sur les routes. Elle continuait à avancer, en espérant que le prochain tournant, la prochaine dune, la prochaine ville lui réservaient une surprise.

Au coté d’Ethan, fier porte étendard de la Licorne en l’absence du Porte étendard officiel de l’Ordre, Zalina ne put retenir un bâillement en arrivant en vue des remparts.
Elle préférait chevaucher que voyager en voiture. Mais ses articulations auraient appréciées un peu de repos. Ne pouvant faire quelques pas à coté de sa monture, la jeune femme déchaussa ses étriers et s’étira.
Un petit dépoussiérage du dos de la main avant d’arriver aux portes de la ville et déjà Ethan donnait les instructions.

À trente pieds de la porte, nous allons nous ranger à droite et laisser passage au Roy, afin qu’il pénètre en tête des troupes dans la cité.

Pas déçue de prendre la queue du convoi et d’échapper aux premiers rangs pour le discourt de bienvenu.
Un craquement des cervicales histoire de ne pas tomber endormie et elle se mit en position.

MarieAlice fut la première à les dépasser. La Peste la salua d’un hochement de tête puis reporta son attention sur les environs. Ce fut ensuite les coches qui passèrent devant eux mais Zalina ne prêta pas attention au Roy. Son regard se contenta d’observer le nombre de gardes qui l’entourait et leur équipement. Bien suffisant pour qu’elle puisse se rassurer et dormir tranquille cette nuit. Ou plutôt qu’elle parte à la recherche de ce cher Argael pour récupérer son précieux Génépi, et accessoirement quelques nougats.
Il fallait aussi qu’elle trouve Cyrian de France. Le Premier Ecuyer de France avait dut le faire venir de Vincennes. Il lui avait dit qu’elle pourrait le récupérer à Lyon. L’étalon de la Princesse ne devait donc pas être loin, en espérant qu’il n’y ait eu aucun problème en route…

Perdue dans ses réflexions et bercée par les mouvements de sa monture, elle ne se rendit qu’à peine compte qu’ils étaient déjà devant les portes de la Capitale. La foule s’était déplacée en masse pour accueillir Sa Majesté, Ses Altesses et la Cour. Les gardes avaient été déployés en conséquence.
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Kidineige

Lyon, capitale du Lyonnais-Dauphiné. Voila une étape qui promettait d'être agréable.

Le cortège venait d'entrer dans l'enceinte de la ville, et l'arrivée du Roy et de la cour semblait être attendue par la population.

Sa Majestée saluait la foule, venue nombreuse, pour le voir. Il était suivit de la princesse Armoria.

Kidineige, elle se trouvait plus en arrière, accompagnée de Kileron. Elle se demanda si elle pouvait dès lors retrouver des visages familiers dans la foule, elle avait par correspondance l'assurance de voir des amis de longue date en cette ville.
Le Lyonnais-Dauphiné, un duché qui l'avait acceuillie chaleureusement il y a peu, et qu'elle prenait plaisir à revoir ce jour.
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Littleguss

Littleguss était à l'intérieur de l'enceinte de la ville attendant impatiemment l'arrivée de l'escorte Royal. Les Bruits de Trompettes commençaient à retentir de tout lieu, ce qui signifiait que Le Roy n'était plus très loin. A ce moment, une vague frissonnante de joie traversa le corps de l'homme d'armes et son impatience se faisait de plus en plus ressentir autour de lui : il ne tenait plus en place.
Après quelques minutes, on commença à entendre les premiers grincements de l'ouverture de la porte. Derrière la porte, on pouvait voir le cortège.
Guss attendit son entrée avant d'aller rejoindre ses Frères de l'Ordre de la Licorne...
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Cocoleri

Cocoléri se tenait très droite derrière le Seigneur des Lances et l'étendard de la garnison que portait Chloris. Les soldats étaient venus nombreux pour protéger leur Roy.
Enfin, le cortège était en vue. La foule commençait à se faire entendre et à acclamer le Roy et sa suite.
Coco était très fière de participer à cette fête, car c'en était une!!. Elle avait très envie d'acclamer le Roy également, mais il lui fallait tenir son rang.
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~draguione~

Draguione qui s'était mise en rang, se vit remettre l'étendard de la Terrasse à mettre en évidence. Fière et très honorée, Elle prit l'oriflamme et le hissa haut du bout de ses bas...

Un sourire vers son amie, un devissement de tête vers son époux, souriante et fière..

Le Roy et la princesse furent annoncé, ils allaient devoir se montrer fier et grand devant la Cour. Un petit regard vers Antoine, qui trépignait devant elle, la Belle de Massilia était très heureuse pour son fils également. De sa petite taille il avait le privilève d'être devant afin de profiter pleinement du spectale...
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Vétéran Vae Victis, à fait couler son sang le 15 juin 1456 pour le Roy

Dernière édition par ~draguione~ le 14 Oct 2008 20:56; édité 2 fois

Isilween

Homme d'armes Isilween, tu porteras la bannière de la garnison

En entendant son nom, la jeune femme sursauta presque. Elle s'était rangée et observait tout ce qui se passait. Elle attendait avec impatience de pouvoir voir Sa Majesté ainsi que tout ce beau monde qui l'avait sûrement accompagné. La voix de mac l'avait sortit brusquement de ses rêveries et elle s'approcha du Chef de lance en se tenant bien droite.
Elle l'écouta et prit l'étendard qu'il lui tendait.

A vos ordres! Chef de lance Mac Cornell!

Elle avait l'impression d'être dans un rêve, elle se trouvait là et allait assister à un moment inoubliable.

A l'annonce de l'arrivée du Roy et de la Princesse, son coeur battit plus fort dans sa poitrine. Elle se mit en position, et brandit fièrement les couleurs d'Embrun.

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Recruteur

Dedelagratte

DeDe était allé se poster près des conseillers militaires, il attendait patiement l'arrivée du Roy.

Soudain un brouhaha si fit entendre, c'etait visiblement l'arrivée du debut du cortège, DeDe frotta son uniforme pour enlever les quelques grains de poussière qui venaient se coller dessus, il fallait a tout pris être bien mis. Enfin l'arrivée du Roy se fit entendre ainsi que celle de son alltesse Armoria, celle là même qu'il avait vu claudiquer mais ne jamais abdiquer malgrès cela à Fougères. Des souvenirs de sa campagne ressurgirent point forcemment les plus beaux mais il y avait quand meme de bons moments parmis tout ceux là. Enfin le bruit le fit sortir de sa torpeur et il se remit en bonne position et sortit son épée tout comme Feanaro, conseiller militaire afin de faire une haie d'honneur
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Ambassadeur du Lyonnais-Dauphiné auprès de la Bretagne

Kevin4310

Kevin apercu le roy et vit sa garde

Il chuchota y a du monde, ils sont bien habillé

Godjok

Emportés par la foule qui commencait à se presser sur les lieux, les soldats de Briançon n'avaient pas vu arriver Godjok, qui était déjà là depuis un petit moment. Il les suivit de loin pour rejoindre le lieux où se trouver les autres.

Bonjour à tous, vous m'avez pas vu, je vous ai fait signe, c'est vrai qu'avec ce monde, c'est un peu difficile de se voir.
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Aide-armurier de Briançon

Oiselier

l'oiselier avait mis son plus bel uniforme
pour présenter les armes a un homme
mais pas un quidam mais le meilleur
celui qui de droit divin est notre seigneur

Argael

Le Secrétaire d’Etat du Lyonnais Dauphiné était parmi la foule attendant l’arrivé de si hautes personnalités du royaume. Au passage du Premier Secrétaire d’Etat Marie Alice et du Secrétaire d’Etat au Poitou Zalina, il sourit avant de crier par-dessus le brouhaha ambiant.

Ola nobles Dames, j’espère que vos poches sont vides, voila que j’ai quelques surprises culinaires pour vous, à l’occasion autour d’un verre en taverne je vous en fournirais.

Avaient t’elles entendu ? Il le supposa mais déjà les Dauphinois enthousiastes le pousser sans retenu. Cela le fit sourire. Il avait eu la chance de s’agenouiller devant le Roy une fois pour sa part et se demanda si Sa Majesté serait capable de le reconnaitre.

Il s’éloigna quelque peu de la foule cherchant un éventuel point haut afin de pouvoir suivre tranquillement le cortège royal.
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Zwyrowsky

Jean Zwyrowsky eut le regard attiré un instant par des cris d'une voix qu'il connaissait bien. Un peu plus loin, dans la foule, il reconnut le vicomte du Monestier.

Le vicomte de Crots rabattit sa toque sur le haut de son front. Il n'était pas aussi rigoriste que d'autres en matière de protocole, mais tout de même... Un ancien Gouverneur, un Secrétaire d'Etat, pouvait-il décemment apostropher le cortège royal comme un estudiant? Enfin...

Le carosse de la famille royale approchait; le vicomte plissa les yeux, tentant de voir Sa Majesté que la foule, badauds et soldats, appelait de ses voeux; mais il était encore trop loin, et s'il devinait la silhouette altière de dame Armoria, la royale personne lui était encore cachée, sans doute.
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Walan

Le carrosse du Roy s'était arrêté devant lui et Walan attendit qu'aient été annoncés d'une voix forte l'identité des personnes siégeant dans celui ci. Il leva lentement la main afin de réclamer un silence qu'il avait déjà dans les rangs de la noblesse, avant de déclamer à son tour d'une voix forte destinée à être entendue de tous.

Majesté, Altesses !
Moi, Walan de Meyrieu, Gouverneur du Lyonnais Dauphiné, me fait la voix du Duché tout entier pour vous souhaiter la bienvenue en ces terres.
Il n'est pas de plus grand honneur pour nous que de vous accueillir ici même, en notre capitale qu'est Lyon et c'est un événement qui restera gravé en nos cœurs et nos esprits.

Un nouveau geste de la main, cette fois à l'intention des gardes postés dans les barbacanes, signifia à ceux ci d'ouvrir les portes. Il ne fallut guère de temps avant que le lourd portail ne soit entièrement ouvert et que la clameur de la foule rassemblée ne s'en fasse que plus forte. Le Gouverneur reprit cependant.

C'est avec joie que le peuple dauphinois s'est rassemblé pour vous saluer et vous souhaiter la bienvenue.
Si votre Majesté le veut bien, la noblesse lyonnaise et dauphinoise chevauchera de concert avec votre suite pour se rendre jusqu'au Castel de Pierre Scize.

Après avoir attendu l'accord du souverain, le seigneur de Meyrieu fit volter sa monture d'une pression des talons et libéra le passage du carrosse royal, laissant celui ci s'engager dans les rues de la ville avant d'en prendre la suite, nobles et conseillers suivant tour à tour.
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Mariealice

Argael a écrit:

Ola nobles Dames, j’espère que vos poches sont vides, voila que j’ai quelques surprises culinaires pour vous, à l’occasion autour d’un verre en taverne je vous en fournirais.

Cette voix, les spécialités culinaires... Marie tourna la tête, étant repartie à l'arrière du cortège tandis que le Gouverneur accueillait le Roy.

Ou diable se cachait Argael parce que ce ne pouvait être que lui, son montagnard comme elle l'appelait au Secrétariat d'Etat. Par contre pour le trouver dans la foule....
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Argael

Le juge du Duché avait trouvé un endroit quelque peu surélevé d’où la vue était meilleur c’est alors qu’il remarqua la Vicomtesse d'Arnac pompadour qui semblait chercher une personne dans la foule.

Il ne dit rien afin de ne pas déranger le protocole, le Gouverneur était devant le Roy, afin de lui souhaiter la bienvenue en les terres du Dauphin au nom de tous les habitants.

La foule immense était la preuve de l’attachement de la province à la royauté bien que quelques uns eux put en douter.

Il leva timidement le bras tout fois, dans l’espoir d’attirer l’attention du Premier Secrétaire d’Etat. Il aurait enfin l’opportunité de lui montrer le duché de son cœur. Combien de fois en avait t’il parlé avec elle, il allait enfin pouvoir lui montrer que nulle exagération eut pu être faite.
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Mariealice

Argael

Kazert

Lady_antlia

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Mariealice

Argael

Mariealice

Marie_heloise

Cherchons rolistes intéressés de prendre des rôles à la Cour auprès des princesses - envoyez moi mp

Geronimo2751

Alienor.

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Boursiero

Ateliers du Royans

Guendoloena

François.de.macquart

Philipe_de_massilia

Aide-fourrier
Vétéran Vae Victis

Argael

Samarel

surveillant la tenue de ses troupes, le baron de bourdeaux avait regardé d'un oeil distrait le cortège passer. il concentrait son attention sur la foule présente en très grand nombre. l'armée n'était pas là seulement pour faire de l'apparat. elle devait aussi assurer la sécurité de leur suzerain.

au passage du cortège, il ne put néanmoins s'empécher de regarder le roy de france. il avait bien changé depuis qu'il y a des dizaines d'années, alors qu'il était au service de son père à lutter contre les anglois, il le croisait à l'occasion.

puis il vit arriver la princesse armoria, incarnation de la grace et de la noblesse à elle seule. il la salua d'un léger signe de tète, tout comme l'intendante royale, la baronne kidineige, qui était venue récemment au castel de grenoble.

enfin le cortège était passé.

repos soldats ! allez vous poster sur la grand place de lyon à l'enntrée du castel. nous devons nous assurer que les lieux sont sécurisés.mettez vous sous le commandement de fhar pour l'occasion, le temps que je vous rejoigne. je dois maintenant rejoindre la cour.

samarel eperonna eich teine et suivit le cortège jusqu'à la hauteur du gouverneur.
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Maccornell

Jacochère arriva avec un léger retard dans les rangs de la garnison d'Embrun. Le chef de lance lui fit signe de se mettre dans les rangs et de tenir l'oeil. Il était temps, les portes venaient d'être grande ouverte.

Le cortège royal avait commencé à défiler sous les yeux de la foule et des soldats. À la grande surprise MacCornell, les soldats de toutes les garnisons se tenaient de façon irréprochable. Comme quoi tout arrive pensa-t-il. Il faut dire qu'entre la mission de maintient de l'ordre, celle d'apparat et le fastueux spectacle qu'offrait le convoi, il n'y avait pas place pour un petit divertissement tant qu'à présent....

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Armurier
Conseiller communal d'Embrun - BCE

Frere_morgennes

Morgennes avait assisté à l'arrivée du cortège de loin. Il ne s'était pas joint aux officiels pour l'occasion, il savait que le banquet suivrai bientôt... Aucune clameur ne se fit entendre de sa voix guturale, il restait discret et stoïque à la vue du carosse... Ses yeux se posèrent sur le jeune garçon aux côtés de la Princesse... Il avait grandi depuis son séjour chez l'évêque...

Une fois le cortège passé, il regagna le castel de Lyon...

Ishtare

Poussée par la curiosité, bien qu'ayant une méfiance innée pour le mouvements de foule, Ishtare se rendit sue les lieux pour assister à l'arrivée du roy dont tout le monde parlait en ville. Elle trouva une place pas très loin des premiers rangs et regarda passer le cortège. Détournant légèrement la tête, elle aperçut un Prince de France qui, lui aussi, assistait, seul, au défilé. Ne serait-ce point lui, se demanda-t-elle, qui lui aurait envoyé cette mystérieuse missive?

Elle attrapa un jeune garçon par le bras, sortit un morceau de parchemin de sa besace, et le pria, tout en lui montrant discrètement le Prince, de lui porter le message.

Citation:

Cher Prince,
je vais quitter Lyon probablement vers le 14 ou le 15 de ce mois. Votre missive m'intrigue un peu davantage chaque jour, étant irrésistiblement attirée par le mystère et l'aventure. Je désirerais vous rencontrer avant mon départ, afin que nous puissions nous connaître.
Bien à vous,
Ishtare.

Elle regarda le garçon s'éloigner, puis, sans attendre la réponse par soucis de discrétion, passa son chemin.

Zwyrowsky

Vicomte avez-vous dans l’idée de présenter ici votre magnifique projet pour le Lyonnais Dauphiné ? Je suis des plus surprit de vous croisez ici à vrai dire, j’en suis fort aise néanmoins.

Si Jean Zwyrowsky perçut l'ironie de la question de son ancien premier conseiller, il n'en montra rien. Il répondit, souriant et choisissant sciemment un tutoiement qui pouvait être aussi bien celui de l'ancienne amitié (manifestement délaissée par le nouveau vicomte du Monetier) que celui d'une certaine condescendance:

Ma foi, cher vicomte, la venue du roi en ses provinces n'est-elle pas un spectacle rare et exceptionnel? Si cette pensée peut te rassurer, considère que je ne suis ici qu'en badaud, rien de plus. Mais puisque tu te préoccupes de mes idées, je puis dire qu'elles font leur chemin, je te remercie...

Et, un sourire en coin, il ajouta, non sans une once d'ironie à son tour dans la voix:

Mais, toi qui parais si bien en Cour, peut-être pourras tu m'aider? Je n'arrive pas à apercevoir Sa Majesté, que toute la foule appelle de ses cris... Je distingue les traits de dame Armoria, de princes et princesses, mais pas Sa Royale Majesté. Tu es plus grand que moi, dis-moi, la vois-tu?
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Altea

Altea était venu comme bon nombre assisté à l’arriver du Roy et de sa cours. Mais c’est l’étonnement le plus total qu’elle eut en voyant ce qui ce produisait sous ses yeux.

Le peuples Lyonnais-Dauphinois qui quelques jours auparavant signait pétition contre le Roy et le royaume de France était présent en nombre et chacun semblait être d’humeur joviale quand à sa présence en les terres de Lyon.

L’honneur Lyonnais-Dauphinois n’était donc plus, pour que les convictions des uns et des autres qu’elle avait combattu bec et ongle avec l’aide d’une petite poigné de nobles revire à la simple à l’arriver de leur souverain.

Les nobles avaient bien belle conception de l’honneur à s’octroyer le droit de mettre à mal la personne qu’ils accueillaient pourtant avec tous les honneurs. Un gouverneur non capable de se déplacé pour prêter allégeance préférant bien mieux discourir contre le Roy en lui envoyant missive prétextant ses condoléances pour la mort de la reine et du Dauphin, qu’il avait afficher clairement et publiquement alors qu’il autorisait sans vergogne à ce que ses nobles et que ses paysans parle de scission d’avec le royaume de France.

Voila qui lui était bien trop, les nobles Dauphinois n’était donc que des gens sans aucune conviction, sans aucun honneur pour revirer de bord si facilement !

La peur leur faisait elle perdre leur conviction ?

Sans doute, les nobles préféraient ils parler du Roy de mauvaise manière uniquement quand celui-ci n’était pas présent.

Le sieur Walan n’était véritablement pas l’image qu’elle se faisait d’un gouverneur. Et le sieur Zwyrowsky non loin qui avait initié le colloque anti royaliste ne valait guère mieux. Il en allait de même pour tous ceux qui c’était exprimé alors contre le Roy.

Pourtant, nul ne la laisserais approché du Roy, ni de sa délégation. Il lui faudrait le faire en compagnie de sa grand-mère ou bien de son grand père. Fallait-il encore qu’elles les trouvent afin de pouvoir approcher celui-ci et lui parler de tout ceci. Du moins, à lui ou à sa cours. A moins que les nobles Lyonnais-Dauphinois ne fasse preuve d’un peut de courage en allant au bout de leur conviction…
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Antoine_de_massilia

Le petit était là, devant sa famille, battant des mains, pour sur qu'il allait encore se faire remarquer! Il sautillait tout en regardant le carrosse Royale s'avancer. Un dévissement de jambes vers ses parents, il souriait de toutes ses dents ...

*si j'avais eu ma chariotte... pfff j'aurais pu me fondre dans le cortège!!*

Antoine se mit a rire de sa pensée se souvenant de son entrée plus que fracassante à la cérémonie de remise d'honneur des soldats qui étaient au front de Fougères, ou de sa course dans les rues de Vienne, sa tatie Péné à l'arrière criant comme une ahurie. Mais non, Draguione lui avait interdit chariotte, épée en bois et lance pierre ce jour là! Pourtant l'envie de ne lui manquait pas de faire ne serait ce qu'une infime ânerie...Les paroles de sa maman lui trottaient en tête telle une musique entêtante... *tu dois rester sage! tu dois rester sage! tu dois rester sage!*

Le petit garçon se ressaisit ne quittant pas des yeux le carrosse, il ne devait en aucun cas rater une once de visage de la Cour Royale. Il se souvint alors à cet instant, le petit panier de pétales de roses que sa maman lui avait préparé pour les faire voler au passage du carrosse. Ni d'une ni de deux, Antoine se baissa pour prendre le petit panier en main et de faire voler quelques pétales fièrement. Il se doutait bien qu'il ne serait pas remarqué, mais il en avait bien cure, le plus important pour lui, était la fierté que pourrait ressentir ses parents bienveillants en le voyant faire...
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Argael

Ma foi, cher vicomte, la venue du roi en ses provinces n'est-elle pas un spectacle rare et exceptionnel? Si cette pensée peut te rassurer, considère que je ne suis ici qu'en badaud, rien de plus.

Il sourit intérieurement, se décidant à répondre au tutoiement.

Comment cela « le Goupil » n’aurait point quelques idées nouvelles ? Cela serait étonnant de ta part. En tout cas tu sembles en pleine forme, j’ai pu lire quelques unes de tes œuvres, voila que tu n’as en rien perdu le verbe.

Mais, toi qui parais si bien en Cour, peut-être pourras tu m'aider? Je n'arrive pas à apercevoir Sa Majesté, que toute la foule appelle de ses cris... Je distingue les traits de dame Armoria, de princes et princesses, mais pas Sa Royale Majesté. Tu es plus grand que moi, dis-moi, la vois-tu?

Moi bien en Cour, comment dis tu cela, je ne serais pas depuis ma naissance, résidant de Briançon, le bout du monde. Sans nul doute me serais je rapproché du pouvoir en venant au moins vivre en la capitale du Lyonnais Dauphiné.

Je crains de ne pas être bien plus grand que toi, j’ai entre aperçu également le Grand Maistre de France ainsi que d’autre grands officier de la Curia, il m’a semblait apercevoir au loin le Prince Morgennes et plus prés de nous sous ses rideaux la Princesse Marie Héloïse mais point de Sa Majesté pour le moment néanmoins le Gouverneur semble lui avoir parlé, nous pourrons le plus sincèrement du monde nous agenouiller devant lui.
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Spacewolf

Au Milieu des soldats de Vienne :

Chef de Lances Spacewolf, tu porteras l'oriflamme de Vienne lors du passage de notre Roy.

Space attrapa l'oriflamme de la garnison, une grande fierté l'envahis lorsqu'il afficha l'oriflamme.
Il était très fier que son SDL avait pensée à lui.

*Quel honneur* se dit 'il

Merci Péné pour cet honneur, je ferais tout pour en etre digne.

Il se raidit droit comme un I en attendant le passage du Roy
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Instructeur de l'école militaire

Armoria

Les voitures avançaient au pas, laissant le temps au souverain de saluer son peuple. Les gardes demeuraient vigilants : une voiture ouverte, si elle permettait de mieux voir et être vu, était aussi un appel aux débordements.
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Zalina

Ola nobles Dames, j’espère que vos poches sont vides, voila que j’ai quelques surprises culinaires pour vous, à l’occasion autour d’un verre en taverne je vous en fournirais.

En quelques mots forts bien choisis, Zalina fut réveillée et sur le qui vive, sourire aux lèvres. Génépi !!!!
Pour un peu, elle aurait sauté de cheval pour courir en direction de cette nouvelle pour sauter au cou de son collègue. Mais elle dut se résigner à attendre la fin du discours et que tout le cortège soit en sécurité au sein des remparts de la Capitale avant de partir à la recherche de cet annonceur de douceurs.
Sans avoir réussi à l’apercevoir, la Peste nota précieusement l’invitation d’Argael. Autour d’un verre en taverne pour la fourniture des surprises culinaires. Elle le trouverait, même si elle doit y passer tout son séjour en Lyonnais Dauphiné. La chasse à l’Argael est ouverte !

MarieAlice changea soudain de direction. Zalina la suivit des yeux, un peu inquiète de la voir s’éloigner du cortège.
La Vicomtesse fut la première à mettre la main sur le précieux fournisseur. Pas grave, la Premier Secrétaire ne s’intéressait qu’aux nougats. Le stock de Génépi ne serait donc pas trop entamé.
Laissant les deux discuter entre eux, elle continua son escorte à l’intérieure de la ville.
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Jeremdehuit

Le Seigneur des lances se tourna de nouveau vers ses hommes.

Archère Paprika je vous confie le blason d'Antonaves,levez le haut !

Il se tourna ensuite vers l'archer Altaïs.

Soldat Altaïs vous porterez l'oriflamme de Valence,que nos couloirs soient visibles au loin !

S'adressant ensuite aux soldats Valentinois.

N'oubliez pas les consignes soldats !

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Seigneur d'Antonaves

Fourrier
Vétéran "Dies Irae"

Taliesen

Taliesen regarda le cortège passer. Il sentait tout l'honneur que représentait cette visite royale. Il garde son poste jusqu'à ce que Sam parle au troupe. Il n'était pas certain s'il devait maintenant suivre le reste de son groupe ou s'il devait rester avec Sam étant dans sa suite.

-Pssst. Sam... Je vous suit ?
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Mariealice

Marie avait salué Argael puis était repartie à la suite du cortège, talonnant quelque peu sa jument pour rejoindre sa famille.

Tout en cheminant, elle repensait à la déclaration pas si lointaine de certains habitants du Duché, encourageant le Gouverneur lors de son élection à faire sécession avec le royaume de France. Un sourire s'étira sur ses lèvres, se demandant si ceux-là même qui avait souhaité un tel acte, se trouvait présentement dans les badauds sur les bords du chemin. Viendraient-ils présenter ce projet devant Sa Majesté? La curiosité la taraudait tout en observant les visages des uns et des autres, cherchant à y lire une réponse à ces interrogations.
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Kazert

[Les portes de Lyon La garde Royale : disparition de deux gardes Royaux et jus de pomme]

Kazert voit dans le regard de la fille, une lueur de peur, pourtant il pensait avoir fait le nécessaire afin de ne pas l'effrayer. Mais il est vrai qu'il ne faut pas oublier que c'est une enfant avant d'être une princesse.
Apres un froncement de front, elle regarde kazert et sur un ton des plus courtoies mais montrant aussi son étonnement a cette question et a sa présence ici même elle lui répond.
La réponse fait sourire intérieurement Kazert. Il s'inquiète seulement maintenant car il a tout de même toute une compagnie de garde a gérer. Il est aussi plus que inquiet suite a cette disparition étrange, il ce souvient du parfum des cheveux de Lilynight cette nuit de Jeudi, un parfum qui le fait fondre, qui l'emporte vers deux monts.
Maintenant il imagine pleins de choses, même des choses horribles.
Un fer a cheval ? Pourtant ce matin lorsqu'il avait laissé son épouse prés de sa jument, elle semblait étre en pleine forme. Il reporte son attention sur la princesse, qui suce une sucette, que Kazert regarde avec un mauvais oeil.
Sucette au jus de pomme?

- J'abandonne jamais mes hommes, et encore moi mon épouse, mais je voulais m'assurer avant d'envoyer des hommes a leurs recherche que vous ne leurs aviez pas confié une quelconque mission.
Il marque une pause, et pense genre aller Normandie chercher quelque réserve de jus de pommes.!
- En attendant je vais rester pré de vous pour m'assurer que tout ce passe bien, le temps que ses deux gardes réapparaissent.

Il abaisse les rideaux et s'adresse a deux gardes attaché a la protection de la princesse.

- Vous repartez a l'arriére du cortège, afin de savoir ou sont passés les gardes Arianrod et Lilynight. Si il ne sont pas présent vous remontez sur maçon.

Les deux gardes partent alors que Kazert reste pré de la litière de la princesse.

Paprika2

Pap essayait de rester concentrée sur la cérémonie, sans faillir et surtout… en essayant de ne pas penser a la fiole qu’elle avait cacher dans sa botte.
Lorsqu’elle entendit la voix de Jerem, elle tourna légèrement la tête, le vit lui tendre son étendard, elle le gratifia d’un immense sourire, fière de l’honneur qu’il lui faisait.

Puis se ressaisissant, elle prit le blason de son SdL et le hissa le plus haut qu'elle pu

Le Roy et sa cour était annoncé…

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Pour servir le duché et le royaume
Vétéran Vae Victis

Littleguss

Guss était parmi la foule de citoyen venue acclamer l'arrivée du Roy. Au milieu du Cortège, Guss pu reconnaitre quelques Licorneux qui assuraient la protection de la Famille Royale.Il se dit qu'il avait encore du temps avant de les rejoindre. Guss ne devait pas pas détourner leur attention afin qu'ils puissent rester concentrer pour accomplir leur rôle de garde.
Guss continua donc à suivre le cortège. Les étendards se levaient au fur et à mesure que le cortège avançait et Guss regarda chaque drapeau...
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Zalik

Kut était toujours à côté du noble qui l'avait laissé passé. Elle était légèrement intimidé ce qui était rare pour elle. Le Roy et la Princesse Armoria remontaient la rue. Elle était émerveillée. Une petite fille se trouvait aussi dans la procession. Kut la regarda et se demanda qui elle pouvait être. C'est alors qu'elle se souvenu qu'il y avait deux princesses de sang.

Kut quand à elle regardait en souriant la procession. Elle était trop émue pour clamer des vivas à tout bouts de champs mais elle contemplait le spectacle. Sa petite robe blanche continuait de voleter autour d'elle comme un ange.

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Brigide

Le cortège arrivait enfin à sa hauteur. Le Roy saluait la foule, une très belle dame était à ses côtés. Toute cette procession était magnifique. Elle n'avait jamais rien vu de tel et ne le reverrait certainement jamais. Elle grave cette scène dans sa mémoire. Elle voyait enfin son souverain et cette personne à côté devait être une princesse. Tant de splendeur lui coupait le souffle, ou étais-ce la chaleur malgré ce temps d'automne.

Elle aimerait tant que ces amies soient là avec elle pour voir ce beau spectacle ...
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L' île du Léviathan : Repaire de pirates
Ville de Valence

Armoria

En avançant, ça et là, elle reconnaissait dans la foule des visages croisés à Fougères l'alors Mainoise, ou bien au cours de son premier voyage dans la province. Elle les saluait alors, et se penchait vers le Roy pour lui nommer les personnes qu'il serait amené à rencontrer pendant leur séjour.
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Samarel

samarel vérifia que tout le monde tenait sa place alors que l'unité rejoignait la grand place.

akula, tu es le porte étendard de la garnison. n'oublie pas de te mettre bien en vue.

taliesen, bien sur que tu me suis, tu es mon escuyer pour l'occasion. ça t'octroie quelques petits avantages. entre autre d'éviter de faire le planton. allons mon ami. direction les portes de la ville. suivons le cortège.
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Dameisabeau

Comme tout un chacun, en ce jour extraordinaire , elle avait grossi de sa présence , la foule qui était massée pour assister au passage du cortège royal.
Elle s’était faufilé à côté de Brigide, juste au moment où passaient devant eux, la Princesse Armoria et le Roy.
Elle étaient si près que l'on pouvait presque sentir quelques effluves vanillées.

Elle fut tenté un instant de faire un signe mais elle n’osa pas et se contenta d’esquisser une révérence en soufflant à Brigide :

Voilà ma princesse aux côtés de qui je suis allée combattre en Bretagne. Ce fut un honneur de la protéger.
Elle aussi a eu droit à mes tisanes rajouta t’elle dans un petit rire.
Hmm, je me demande si Forrest court derrière…
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Anne_blanche

Demoiselle Anne. Si vous voulez vous placer devant nous aux côtés du grand soldat que voici....
Ainsi votre jolie robe gardera son retombé. Ne sait on jamais si le Roy vous remarque!

Anne remercia Dame Draguione d'un sourire, et se faufila au premier rang. Les soldats étaient parfaitement rangés. De là où elle était, elle pouvait tout voir, peut-être pas aussi bien que si elle eût été juchée sur les épaules de Bacchus, mais avec bien plus de dignité. A côté d'elle, Antoine tenait un panier plein de pétales de roses.

Sa Majesté le Roy !
Son Altesse Armoria !

Le carosse approchait. Une odeur de cheval et de foule en sueur planait, l'air avait un goût acide, comme quand on croque le pétiole d'une feuille morte. Anne n'osait plus faire un geste. Elle craignait trop de se laisser emporter par l'excitation qui la gagnait de minute en minute.

Enfin, elle allait voir le Roy ! Sa Majesté Levan le troisième, au service de qui son père avait été, jusqu'à la fin de sa vie.

Et Son Altesse Armoria ! Verrait-elle aussi son fils, Philippe Levan ? Sa mère lui avait raconté la naissance de l'enfant, qui avait failli mourir sitôt que né, et n'avait survécu que grâce à la présence fortuite sur les lieux de sa cousine Mentaïg, sage-femme experte.

La fillette attendait, ses petits poings serrés dans le dos, pour contenir son agitation.
Le carosse approchait. Qu'elle était belle, cette dame !
Et le roy !
Anne enregistrait tout, gravait dans sa mémoire les chevaux caparaçonnés, les costumes, les expressions des visages. Tout ! Elle serait capable, des années plus tard, de tout raconter dans le moindre détail.
De nobles gens chevauchaient près du carosse, devant, derrière.
Dans la tête de la petite fille, ce jour-là, s'ancra un projet. Elle aussi, un jour, chevaucherait à deux toises du carosse royal. Elle aussi, comme son père, servirait la Couronne, de tout son être, par tout moyen à sa disposition.
Le carosse royal passa, au milieu des vivats de la foule lyonnaise. La gamine n'entendait plus ce qui se passait autour d'elle. Terrassée par l'émotion, elle se laissa glisser au sol, au pied des soldats qui formaient la haie, et s'assit sur le pavé, sans égards pour sa jolie robe bleue.

Taliesen

Taliesen sourit a Sam. et ajoutat avec un clin d'oeil

-A vos ordre.

Il suivit donc son SDL juste derrière chevauchant au coté d'Estrella. Il regardait les soldats de Montélimar et il était bien fière d'appartenir a cette caserne.
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Brigide

Elle n'avait pas vu arriver Isabeau tellement elle était émerveiller de ce qu'elle voyait. Elle a un sursaut quand elle entend sa voix.

Voilà ma princesse aux côtés de qui je suis allée combattre en Bretagne. Ce fut un honneur de la protéger. Elle aussi a eu droit à mes tisanes.
Hmm, je me demande si Forrest court derrière...

Elle la regarde un peu étonné. Ainsi elle ne s'était pas trompé, c'était une princesse qui se trouvait à côté du Roy. Mais qui était Forrest ?

Ah! Bonjour Isa, tu m'as fait peur je t'ai pas entendu arriver. Ainsi donc voilà la princesse Armoria don tu m'avais parlé avant de partir.

Elle lui fait un sourire et repose son regard sur le cortège qui commençait à s'éloigner un peu.

Qui est Forrest Isa ? Une de tes connaissances aussi ?

Elle qui depuis son arriver à Valence ne sortait pas beaucoup était toujours étonné de l'étendu des connaissances qu'avait Isa ainsi que son parrain et sa marraine ...
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L' île du Léviathan : Repaire de pirates
Ville de Valence

Dameisabeau

Toujours suivant des yeux le cortège, elle répondit à la hâte à Brigide.

Forrest ! ah c’est comment dire, l’ombre de son ombre, l’ombre de sa main, , mais je te raconterai plus tard…
Il me faut à présent me faufiler aussi discrètement que possible derrière le cortège et rejoindre les autres conseillers.
En retard , comme d’habitude, j ‘ai failli à mon devoir d’accueil.

Holala, prie pour moi que je n’essuie pas les foudres du gouverneur....
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Brigide

Elle adorait Isabeau, c'était vraiment une personne qu'elle appréciait beaucoup. La voir paniquer comme cela était étonnant, mais aussi amusant ...

Oh d'accord tu me raconteras plus tard alors.

Je prierais pour toi, même si je ne sais pas qui est le gouverneur. Je suis sûr qu'avec ton charme naturel il ne t'en voudra pas longtemps. Aller file vite.

Elle regarde son amie se faufiler parmi la foule jusqu'à ne plus la voir et reporte son regard sur le cortège qui s'éloignait lui aussi ...
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L' île du Léviathan : Repaire de pirates
Ville de Valence

Arianrod

[La Garde Royale la veille à Macon... sucette à la pomme... avant la disparition des deux Gardes Royaux...]

Arianrod avait rejoint le Capitaine Kazert en taverne pour boire quelques chopines avant le grand départ pour rejoindre Lyon. Des verres valsaient… enfin un verre avait valsé contre la cheminée... peut être un mulot qui passait par là ou simplement une coutume qu’elle ne connaissait pas, enfin... ne rien dire à l’épouse Dame Lilynight, sinon elle obligerait son époux, le capitaine, à prendre le balai lui avait-il doucement dit de peur que sa douce entende si elle rentrait en taverne pour le rejoindre.

Une soirée fort agréable prenait place en taverne, Dame Lilynight était arrivée il ne manquait plus que son époux, ou pouvait il bien être ? Elle ne l’avait pas vu de la journée… Cela inquiétait la jeune femme les allés et venus du capitaine qui disait avoir des envies pressantes ou urgentes quand il s’échappait de la taverne toutes les 3 minutes…
Aristide aurait il sans le vouloir... à savoir ?! ... empoisonné le capitaine avec de mauvais champignons qu’il avait cuisiné pour toute la garde ?! Où c’était simplement un manque de chaleur la veille, il est vrai que le temps n’était plus à la grosse chaleur et il fallait donc toujours sortir couvert le soir...
Il fallait qu’elle parle avec son époux, cela ne pouvait plus durer, si des champignons n’étaient pas bon fallait les jeter. Au moment ou elle décida de partir à la recherche de celui-ci, elle croisa son Altesse la Princesse Marie Heloise, tant pis pour son époux et le capitaine qui continuera à avoir des « affaires urgentes », elle devait rester là et faire son devoir envers la Princesse.

He bien la soirée fut des plus agréable en compagnie de son Altesse et de ses compares, elle avait offert quelques sucettes à la Princesse qui avait l’air d’aimer ca... normal... qui n’aimerait pas des sucettes au calva... les jeunes Normands en raffolaient.

La soirée se termina en raccompagnant la Princesse à sa tente, elle lui avait glissée quelques autres sucettes très discrètement dans une des poches de la Princesse, un sourire échangé entre la princesse et Arianrod, ceci restera un secret entre elles.
Elle avait laissé le Capitaine, et la Princesse afin de rejoindre les gardes et son destrier Edoras et ainsi prendre la route, il commençait à se faire tard.
Accompagnée de Lily, elles avaient décidé d’aller cueillir quelques mures et quelques champignons avant de partir... mais voila la foret était grande et bien noire à cette heure là de la nuit... c’était malin ca !!! Les voila perdues en pleine foret à Macon

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Dame d'Huest, comblée par ses 4 Anges
Garde Royal - Impétrante de l'Ordre du Saint Esprit

En deuil de la Reyne

E_newton

Le Seigneur Boursiero était venu se ranger à leurs côtés pour laisser place au cortège qui alla se présenter au Gouverneur.
Allocution brève mais efficace de ce dernier, et les grandes portes de la cité s’ouvrirent enfin, permettant ainsi au Roy et à sa cour d’y pénétrer.
La lance attendit que toute l’escorte fût passée pour en fermer la marche.
Au fur et à mesure qu’ils s’avançaient, les clameurs s’amplifièrent, délivrant leur lot de cris de joie au passage du Roy.
La Noblesse locale s’invitait à la longue procession des cavaliers, voitures et litières. Que de monde, que de monde !
Heureusement, les soldats très bien ordonnés, respectaient scrupuleusement les ordres qui leur avaient été donnés, et veillaient à contenir la foule.

Les bannières, drapeaux, blasons, oriflammes, étendards des diverses compagnies d’armée, de la noblesse, des Ordres Royaux et autres, fleurissaient de leurs couleurs chatoyantes tout le long du parcours. Chacun des porteurs tentait de le mettre en valeur, mais le nombre faisait que l’on ne pouvait les distinguer.

Tiens, un fort en … voix … hélait les nobles Dames et les invitait à découvrir son soit disant « art » de recevoir …
Cela semblât rendre Zalina impatiente que tout se termine rapidement. Chose étonnante chez elle, elle s’agitât sur son cheval, comme si l’envie d’en sauter pour aller je ne sais où la tenaillait …
A vrai dire, Ethan ne l’était pas moins. Bien que désormais habitué aux fastes des arrivées Royales, cela l’ennuyait toujours autant.
Mais au moins, il avait appris à faire confiance aux forces locales pour les suppléer dès leur arrivée dans chaque cité.
Cela lui enlevait un léger poids au niveau de la responsabilité, bien que cela ne l’empêchait pas de toujours garder un œil attentif à tout ce qui se passait.

Il espérait que le château de Pierre ne fut pas trop éloigné afin qu’il puisse aller vaquer à d’autres occupations telles que … telles que quoi en fait ?
Que pouvait-il donc bien y avoir à faire dans la capitale ? Les tavernes, c’était le domaine de Zaza …
Il n’avait vu aucun fleuve, donc pas de pêche … point de forêt non plus … il devait donc y avoir un verger, et en ce cas, direction la cueillette !

Mais avant cela, il allait falloir préparer le bivouac et à nouveau trouver des volontaires … ou les réquisitionner, pour assurer le montage de la tente de la p’tite sœur …
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Aristidedumoutier

Que de monde, il fallait être partout à la fois, tout voir, tout surveiller...il y avait de plus en plus de monde sur le bord de la route et la tension commençait à se sentir dans la garde...plus trop question de partir à la cueillette là...

Le cortège arriva à Lyon, enfin et il fallut veiller à ce que tout se passe pour le mieux, ainsi qu'à L'installation de tout le monde.

Aristide n'avait pas aperçu son épouse depuis un bon moment et il se dit qu'ils finiraient bien par se retrouver dans la soirée, en taverne ou ailleurs.
Il posa malgré tout quelques questions aux amis, au capitaine, mais personne ne pouvait lui répondre, pas de trace d'Arian.
L'inquietude le gagnait peu à peu, il n'y avait pas eu de probleme sur le trajet , tout fut calme, alors que pouvait elle bien avoir fait...sans le prévenir en plus, elle qui trouvait toujours un moyen de lui glisser un petit mot, elle qui ne faisait jamais rien d'important sans le prévenir...tout cela ne lui ressemblait pas !

Puis, un élément incompréhensible, par le rideau de la voiture, il aperçut la princesse une sucette à la bouche, et cette sucette il ne la connaissait que trop bien....une sucette au calva fabrication maison, comment était elle arrivée dans cette royale bouche, le mystere s'épaississait...trouver Arian...
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Garde Royal.

Zoyas

Que de monde dans ce défilé !

Les soldats regardaient passer les voitures qui avançaient lentement.

Zoyas avait laissé Mac gérer la garnison. Il se tenait droit, près d'elle, et plus que jamais, elle savait qu'elle avait fait le bon choix, et espérait fort qu'il serait validé.

Elle regardait à travers les tentures enrouvertes les visages des gens de la cour. Des Dames apprêtées, des princesses, des princes...

Zoyas ne savait où donner de la tête, tant le spectacle offert était chatoyant de milles couelurs toutes plus riches les unes que les autres.

Elle avait apperçut de loin Morgennes, et n'avait point eu le temps de le remercier de sa missive.
Elle penserait à le faire sitôt une minute de libre, elle ne souffrirait point de le faire attendre plus.

Un peu plus loin, Les nobles richement vêtus eux aussi sembaleint bien plus à l'aise qu'elle, et cel lui arracha un petit sourire en en voyant certains, qu'elle eut crut non présents pourtant...

Elle en détourna le regard pour se concentrer à nouveau à ce défilé qui était une fête...

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http://lacontreedesloups.forumactif.net/index.htm

http://banieresdezoyas.over-blog.fr/

Fontvell

Font s'approcha de Zoyas et sortit de sa besace une gourde qu'il lui tendit...

Tiens...pour patienter et puis...fêter !!!

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Walan

Le défilé dans les rues de la capitale ducale se poursuivait et malgré quelques événements ayant provoqué des haussements de sourcils étonnés ou réprobateurs de la part du Gouverneur, l'essentiel de la parade se déroulait sans encombre.

Les gens se haussaient où ils pouvaient pour mieux voir le roi, les princesses et les nobles, traversant la foule réunie en nombre, et le bruit des acclamations, commentaires et cris était assourdissant. Continuant son cheminement, insensible à ce bruit -n'était-il pas un destrier après tout, dressé pour ne pas être effrayé par les bruits du champ de bataille ?- Aistulf emmenait son cavalier au pas vers le Castel de Pierre Scize.

C'est après plusieurs minutes que le cortège pu voir les bâtiments flaquant la rue s'écarter brutalement, pour arriver en vue d'une place noire de monde dont un côté s'ornait de la majestueuse silhouette du Castel, siège du pouvoir ducal et point central de l'autorité du Duché ...
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Altais

Il y avait grande foule, Altaïs toujours droit comme un i regardait alentour que la foule restait tranquille. Il admirait les tenues des nobles et celle des soldats. Il se ressaisit bien vite, il n'était point là pour se repaitre du spectacle mais d'y participer et de bonne façon. Il respira et attendit les consignes à venir.

A cet instant Le Seigneur des Lances de Valence s'avança au devant de ses hommes et parla.

Soldat Altaïs vous porterez l'oriflamme de Valence,que nos couloirs soient visibles au loin !

Altaïs se senti emplit de fierté quand il appris qu'il aurait l'insigne honneur de porter l'oriflamme de Valence. Il regarda rapidement l'Archer Blanche.
Puis comme l'Archer Paprika il se saisit de l'oriflamme. Il se devait de le porter haut à la vu de tous. Il le cala contre son flanc.

Il se concentra, l'agitation grandissait le Roy arrivait.

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Signature en cours de mise à jour

Pour un coin de pêche parfait c'est ici ^^

Armoria

Le Roy se pencha à l'oreille d'Armoria, et y murmura quelques mots. Elle hocha la tête, et fit signe au cavalier qui était le plus proche de leur voiture.

Tâchez de rejoindre le Gouverneur et de lui dire que le Roy voudrait dire quelques mots à la foule, avant que de se rendre au lieu de réception...

Puis elle se replaça dos contre la banquette, se remettant à saluer, toujours prenant garde à le faire plus discrètement que son royal voisin. Elle reconnaissait ça et là des compagnons de combat, de Fougères, et leur adressait des sourires plus appuyés.
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[Ma bannière est morte, vive ma bannière... A venir.]
[Je vous ai envoyé une lettre RP ? Vous pouvez l'utiliser. Membre du fan-club "boisé forever"]

Boursiero

A leur tour maintenant, l'escorte passait dans les rues de la ville. Le cortège devant eux était passé, entrant dans la ville après les échanges officiels entre le Roy et le Gouverneur. Il suivit ainsi la lance de la Licorne, donnant une nouvelle fois un coup sur les rênes afin de suivre le mouvement des cavaliers.

Du haut de la monture, on pouvait voir le cortège sous une pluie de fleurs jetées des fenêtres. La rue empreintée par le cortège était ornée des des étendards royaux et ducaux. C'est même au moment de leur passage devant la Primatiale Saint-Jean que l'on put entendre les cloches sonner, toute la ville était en fête.

Retenant parfois sa monture pressée par la foule, au pas et d'un sourire au lèvre, tenant sa bannière du Saint Esprit, l'escorte continuait son chemin dans la ville, qui allait les mener au Castel de Pierre-Scize. Il jeta un œil sur la foule, et sur les soldats mis en place, lui-même Echevin de la Capitale, peut-être apercevrait-il une bouille qu'il connaissait, même si cela était fort difficile, et il se prêta à l'exercice, fronçant les sourcils et grommelant ne voyant rien.

La rue Saint-Jean était déjà bien entamée, et se dévoilaient alors devant eux le Castel ducal... et une foule innombrable sur la place se trouvant devant. Tout le duché était venu en la Capitale... pour une fois qu'on se préoccupait un peu d'elle, se dit-il alors qu'il tirant sur les rênes plutôt vivement pour arrêter la bête. La foule quand à elle, continuait à acclamer le Roy dans un brouaha que même Grégoire, qui avait pourtant l'habitude du bruit de l'acier qui s'entrechoque et autre bruyement de guerre en avait le raisonnement en tête.
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Ateliers du Royans

Philipe_de_massilia

Phil regardait patiemment le cortège défiler.
L’escorte était impressionnante, faite de cavaliers et de fantassins visiblement aguerris et aux aguets.
Il aperçu au passage la princesse Armoria qu’il avait pu rencontrer lors de la campagne de Bretagne, à Fougères. De ce temps-là, elle était peut-être le seul bon souvenir qu’il lui restait, en plus d’avoir été choisi comme parrain de baptême de sa grande amie Isa.
Etant dans l’impossibilité de faire un signe de la main au cortège royal comme n’importe quel badaud, Phil se figea, menton au vent, en signe de respect.
Mais l’air de rien, il surveillait aussi les alentours. Les effets de masse étant synonymes de risques aggravés, ses yeux ne cessaient de scruter chaque personne, chaque geste.
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Aide-fourrier
Vétéran Vae Victis

Alixe

Brandir l’étendard de son Ordre. Ordre de la Dame Blanche à l’écu vert.

D’une main habile, elle tenait les rênes de sa monture qui se fondait dans l'escorte. De l’autre, elle tenait l’étendard qui flottait. L’heure était à la fête.

Alixe se tenait droite sur sa monture. Elle portait son uniforme dont les teintes bien que verte s'approchaient davantage de la couleur sombre de la nuit. Néanmoins, les couleurs de fêtes restaient présents sur ses habits, le tout s'assemblait avec l'étendard. La jeune femme voulait faire honneur à son Ordre.. Son visage fermé devait trahir sa concentration, car ce n’était pour elle pas le moment de s’amuser. Il fallait être attentif, et le rester.

L’escorte déboucha sur un place. Alixe fit un rapide état des lieux, avant de talonner les flancs de son cheval pour aller se placer en bonne position, de façon à entourer la Cour. Elle eut un bref moment de diversion, admirant ce joli monde. Avant de se reconcentrer. Aucuns incidents ne devaient arriver.

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Marie_heloise

[Au petit matin, toujours - Une litière, ralentie par la foule..]

Le rideau s’était relevé et Kazert l’avait rassurée. Il allait retrouver les deux dames afin qu’elles les rejoignent au plus vite et il terminait le voyage à ses côtés. Elle lui sourit, reconnaissante, suçotant toujours sa sucette…à la pomme.
Alors, elle remonta le rideau qu'elle coinca entre le fauteuil et la paroi et passa sa petite tête par delà la fenêtre, posant les bras croisés sur le rebord de celle-ci,observant l'extérieur, et le garde royal, de manière à ne pas le perdre de vue ni le laisser trop s'éloigner.

Marie-Héloise en profita également pour observer la foule qui clamait l’arrivée de son père, le Roy. Elle regretta un instant de ne pas être assise à ses côtés, mais la place était jalousement gardée et elle chassa vite de ses pensées cette idée chimérique.
Dehors, les gens s’étaient amassés sur le bord de la route. Il y avait tant de monde qu’il lui était difficile de garder en mémoire chaque personne, chaque visage dont elle croisait le regard, mais elle tenta malgré tout de se concentrer afin de se souvenir dans les moindres détails de cette impressionnante traversée de la ville.

Le soleil était, à présent, haut dans le ciel et ses rayons illuminaient la façade des bâtiments, réchauffant l’atmosphère automnale particulièrement douce en cette saison. Puis, rappelée à la réalité par un besoin physique irrépréssible et naturel, elle le héla:

Vicoooomte ? appela-t-elle On arrive bientôôôt ?
Parce qu'y faudrait qu'on s'arrête là tout de suite.... J'ai un urgent besoin d'aller au petit coin !
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Cherchons rolistes intéressés de prendre des rôles à la Cour auprès des princesses - envoyez moi mp

Lilynight

[Non loin de Lyon, quelques parts dans une forêt euh comment dire longue, dense, énorme, interminable et tout et tout !!!]

Pestant sur les mûres bien rouges et fruités dont il faut le dire la garde vicomtesse Lily avait magnifiquement avalée tant elles étaient bonnes. La Lily gromelle de telle que cela fait fuir les oiseaux.

- Mais quelle idée, de vouloir prendre des mures pour la princesse Marie-Héloïse Tssssssssss!
- Dame Arianrod, s'il vous plaît faites moi taire lorsque je décide de faire de telles choses. Voilà où cela nous amène Grand D......... Ne blasphémons pas Tout de même !!!

Elle regarde le ciel,

- Nous avons sûrement un jour de retard !!! Nous allons manquer l'entrée du convoi royal. Tssssssssss cela bien ma veine moi qui tenait tant à être présente pour Lyon.

Tout en rouspétant (non pas dans sa moustache parce-que tout simplement la dame en a pas. Naméo, Il ne manquerait plus que ça...) Toutes les deux continuèrent des heures à trouver chemin lorsqu'un vieux vagabond tomba sur la leur et les aida à trouver la bonne direction. L'heure étant donc à l'empressement, il fallait de toute urgence rejoindre le reste. Bien évidemment c'est contraintes et forcées que les deux dames mangèrent leurs trouvailles. C'est qu'elles ont faim ces petites dames et tant pis pour les autres !!!
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Kazert

[Les portes de Lyon La garde Royale : disparition de deux gardes Royaux et jus de pomme]

Le capitaine sur son cheval de guerre , était en train de réfléchir aux événements.
La disparition d'Hélène a qui il avait confié la princesse Marie Héloise, était incompréhensible pour lui.
Perdre la princesse aurait été dans la logique des choses, mais des gardes ? Une nouvelle méthode pour s'en prendre a la famille royale peut être ? Une crainte commença a naître en lui, depuis le temps les hommes envoyé a l'arrière aurait du revenir........sauf si ils n'ont rien trouvé.

Kazert serra les dents ainsi que les poings.
Son devoir. La famille royale ou son épouse ?
Par moment il sombrait dans les abysses de la colère, de la peur du doute.
Son maitre lui avait dit que les sentiments menaient sur le mauvais chemin. Aujourd'hui il commençait de plus en plus a le croire.

La famille royale, Hélène , Kyana. Tout ce mélangeait
Il avait demandé a ce que sa fille soit a Chantemerle. Mais jamais il n'avait prévu que son épouse disparaisse. Il allait devoir mener de front tout cela, par moment il ce demandait si il était de taille . Si il ne devrait pas passer la main, car par moment il ne souhaitait qu'une chose s'occuper de la femme qu'il aime

Le cortège était arrêté tous attendaient le Roy. La foule clamait le cortège, elle était là pour voir leur Roy.

Le garde a coté de Kazert s'adressa a lui.
- Il me semble que l'on vous appel
- Qui ?
- La princesse
- Vous en ete sur ?
- Bien je ne suis pas Vicomte, et elle regarde par ici.
- Elle a dit quoi ?
- Euh.......Comment dire Capitaine ?
- Simplement peut étre ...dit il avec un sourire qui ce figea en entendant ce que la princesse avait dit.
Il réfléchit, regarda le garde avec un sourire.......puis lui dit quelque chose qui eu l'effet de figer le sourir du garde. Kazert s'approcha de la Litière
- Votre altesse, je pense que cela ne devrait plus tarder, mais nous devons nous en remettre a votre Père notre Roy.
- Pour ce qui est de votre besoin, j'ai fait demander votre pot .

Il aurait, devrait dire autre chose, mais pour le moment il a autre chose en tête.

Djemilee

Dans un coche moins prestigieux que celui du roy mais tout à fait convenable pour un duc et son épouse, une petite fille aux yeux sombre et aux cheveux brun tirant sur le blond se retournait et s'agitait.

Gabrielle je t'en prie reste calme! Voyons cesse de gigoter comme ça!

Les protestation de Djemilée ressemblait plus à un rire étouffée. Après tout ces jours à suivre le cortège et son mari silencieux, la duchesse puisait dans la joie et la vivacité de sa fille la patience d'être enfermée dans ce coche.

Alors que la petite fille avait décidée de prendre place sur les genoux de son père pour saluer la foule en riant, Djemilée se pencha vers son mari et lui prit la main

Amir... A la prochaine halte il nous faudra parler avec Armoria...

Le visage sérieux et les yeux verts de la duchesse allèrent du père à la fille avant de laisser apparaitre un sourire

Je crois que ce voyage va me plaire... Et à Gabrielle aussi!

--Garderoyale

[Les portes de Lyon La garde Royale : disparition de deux gardes Royaux et jus de pomme]

Le garde était partie avec la larme a l'oeil. Il m'arrêtait pas de ce dire : _ me faire cela a moi, après dix années a servir le Roy, finir par faire le travaille d'un valet. Moi!
Soudain il s'arrête son regard ce fige et l'idée vient de naître.

Quelque instant plus tard le garde revient accompagné d'un valet portant l'objet tant précieux a la princesse.

Le garde regarda son capitaine avec un léger sourir et en relevant les sourcils.

Le valet ce présenta devant la princesse et lui remit le pot de chambre.

Arianrod

[La Garde Royale... Entre les mures et les sucettes à la pomme mon cœur balance... Près de Lyon au galop]

Fallait bien l’avouer... se perdre dans la forêt de Lyon, elle n’aurait jamais pensé que cela arriverait... mais elle en riait encore rien qu’à l’idée d’aller avouer les raisons au Capitaine du pourquoi elles n’étaient pas arrivées en même temps qu’eux aux portes de Lyon... enfin elle rirait moins une fois face à lui...
Apres de longues heures à chercher les chemins, elles croisèrent un vieux vagabond... euh... que pouvait-il faire dans la forêt à cette heure là lui aussi ??!! Enfin pas très grave l’essentiel étaient qu’il les aide à retrouver le bon chemin pour sortir d’ici.

Aux galops elles essayaient de rattraper le temps perdu dans cette forêt... En retard elles le seraient c’était certain, mais autant ne pas l’être de trop, sinon ca risquait de barder pour elles. Il fallait trouver une bonne raison pour le retard, elles ne pouvaient pas avouer que ce n’était que pour des mures...
Les manger !! Toutes !! Voila ce qu’elles faisaient tout en essayant d’accélérer toujours. Elle regardait de temps à autre Dame Lilynight qui comment dire ca... se régaler... déguster ? Non meme pas elle les mettait en bouches par plusieurs, ce qui faisait rire Arianrod.

- Dame Lily... vous êtes un peu... vous avez le contour de lèvres légèrement rouge lui dit elle en riant. Si nous arrivons ainsi maquillé... nous allons pour sur nous faire enguirlander par votre époux... et par le mien aussi... car ils doivent s’inquiéter...

Par moment elle chuchotait à l’oreille d’Edoras, elle l’encourageait pour qu’il aille plus vite, mais elle ne voulait pas qu’il se blesse pour autant...

- Qu’allons-nous leur dire pour notre retard ? la vérité ?

Elle se mit alors à refaire la scène de plusieurs voix différentes
- Capitaine, mon époux, nous sommes là, pas trop inquiet j’espère ?
- Mais vous étiez ou toutes les deux ?!! cela fait des heures que l’on vous cherche !!!
- Ben euh Capitaine... je crois que les champignons de mon époux m’ont fait mal ainsi qu’à votre épouse... je vous avais averti qu’il ne fallait pas lui faire confiance...
- Mais maisssss vous me prenez pour... Mais vous vous êtes vu toutes les deux ?!!! vous avez la moitié du visage rouge !! les dents rouges !!! Ou étiez-vous ?!! Je vous ordonne de me le dire tout de suite !!!!
- Ben euh comment ca ? C’est sa faute à elle...
- Non non c’est faux c’est la sienne !!!
- Comment ma faute ?!! Qui a voulu allez cueillir des mures ?? Hein ?!! Pas moi mais vous... Et tout cela pour faire plaisir à son Altesse... Moi au moins je lui ai juste donné une sucette... au cal... à la pomme...
- QUOI !!!! pour des mures ?!!
- Oui en plus ben disont que... nous nous sommes perdues aussi en foret... c’est un vieux vagabond qui nous a aidé...
- Mais qu’est ce que j’ai fait au Tout Puissant pour avoir des Gardes comme ca ?!!! des Mures !! des sucettes "au jus de pomme" LE PROTOCOLE !!!! vous savez ce que cela veut dire ?!!!

Arianrod éclata de rire une fois finis, elle avait eu du mal à finir sa mise en scène sans éclater de rire avant... Elle regardait en même temps la route et au loin on pouvait commencer à voir la ville...
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Dame d'Huest, comblée par ses 4 Anges
Garde Royal - Impétrante de l'Ordre du Saint Esprit

En deuil de la Reyne

Aristidedumoutier

[Les portes de Lyon La garde Royale : disparition de deux gardes Royaux et jus de pomme...et champignons]

Aristide tournait en rond, il allait d'avant en arrière à la recherche de son épouse et ne pouvait faire autre chose que de revenir sans cesse au carrosse de sa majesté la princesse dont il avait la garde...cette vision de l'une de ses sucette dans la royale bouche le hantait, il n'osait pas demander qui la lui avait donné, se doutant bien tout de même qu'il ne pouvait s'agir que d'Arian...qui d'autre en connaissait l'existence...Arian nom d'un chien mais où es tu mon cœur ?
Il avait passé en revue toutes les possibilités, même celle d'une échappée discrète pour trouver les pommes nécessaires à la fabrication de ses sucettes...comment dire, à la pomme...personne ne connaissant le calva ici, autant parler de pommes, et puis c'est bon pour la santé ça les pommes, et puis en sucette, et d'autant plus distillées, les pommes, ça ne perturbe pas le transit, c'est comme les bons champignons des bois, c'est du tout bon...encore qu'il avait ouïe dire qu'il fallait se méfier des œufs de l'omelette, pas frais, ça pouvait déclencher des crises de "vas-y-vite"...bref, c'est tout à son inquiétude qu'il entendit son altesse crier pour demander un arrêt...interloqué par la cause de l'arrêt, il pouffa légèrement à la mine décomposée du capitaine...ainsi qu'à la mine déconfite de son collègue que l'on avait envoyer querir un...récipient capable d'accueillir les royaux besoins de son altesse...
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Garde Royal.

Enguerrand.

Ce jour était tout particulier, le Roy de France en personne, accompagné de toute sa Cour faisaient le tour du royaume et étaient attendus à Lyon. Cet évènement unique et mémorable soulevait les foules et depuis des jours, on ne parlait que de cela dans les salons mondains, les tavernes et les couloirs du Lyonnois et du Dauphinois. Impossible de ne pas s'y présenter. Pourtant Enguerrand n'était pas aussi enthousiaste que les autres et encore moins qu'Aliénor qui serait certainement au premier rang pour se montrer et prendre un bain de foule, chose qu'elle adorait plus que tout. Son frère lui n'avait pas ce trait de caractère, il aimait peu la compagnie et les bousculades, les mondanités lui faisaient horreur, autant que certains gens que l'on peut y croiser. Malheureusement -ou heureusement selon le point de vue- il était l'héritier d'une lignée dauphinoise et son rang de Vicomte l'obligeait à assister à telle cérémonie, que penserait les gens sinon ? et 'Dauphiné' en tête !

Il était toutefois parti tôt de Maubec ce matin là mais la marée humaine avait envahi la capitale des Gaules, déjà. Tous, paysans, artisans, érudits, nobles se pressaient pour apercevoir le Roy. Impossible de se frayer un chemin parmi ce monde. Une autre occasion se présentera certainement, l'important était que quelqu'un l'est vu pour pouvoir attester de sa présence. Il n'y avait qu'un piètre intérêt à voir défiler un carrosse à Lyon, fusse-t-il un cortège royal.

Mais alors qu'il s'apprêtait à rebrousser chemin, une litière frappée des armes de France ralentie, se détachant légèrement du reste de la troupe. Peu de monde semblait s'y prêter attention tellement occuper à se battre bec et ongles pour croire entrevoir Sa Majesté probablement. Le rideau se leva et un visage passa par la fenêtre. Le jeune poursuivant d'armes en resta bouche bée. Elle était certes plus jeune que lui mais elle était d'une beauté éblouissante, son allure trahissait quelque peu sa haute noblesse mais pour autant impossible de dire qui elle était. Elle s'adressait à un homme mais impossible d'ouïr ce qu'elle disait ni le son de sa voix mais le garçon la devina sublime.
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A Aristote mon âme, mon cœur aux dames, ma vie au roy, l'honneur à moi.

Levan

Tout en saluant la foule, il préparait des phrases, tentait de les emboîter en un discours improvisé. C'était bien, l'improvisation. Et ça rajeunissait, comme les voyages, d'ailleurs. Il finit par se pencher à l'oreille de sa bru, qui fit aussitôt en sorte de faire prévenir le Gouverneur.

Une fois parvenus au pied du lieu de pouvoir de la province, il se leva dans la voiture - c'était risqué mais on pourrait le voir beaucoup mieux, et de plus loin - et leva la main droite près de sa tête.

Peuple du Lyonnais-Dauphiné ! Vous à qui j'ai donné mes deux fils, vous dont la région porte de tous temps le titre de l'héritier du Roy de France !

Il laissa passer quelques secondes, souriant, ses yeux noirs effleurant plusieurs visages au hasard. Il savait par expérience que ceux se trouvant dans la direction de son regard penseraient "le Roy m'a vu !".

Votre accueil nous fait chaud au coeur. Venir à votre rencontre, fidèle province, après avoir traversé votre voisine bourguignonne, féale, elle aussi, et trouver une foule en liesse, justifie la moindre des lieues parcourues depuis Paris. Lyon, capitale des Gaules, a revêtu ses plus beaux atours, et peu de villes, en vérité, pourraient tenir la comparaison.

Vive le Lyonnais-Dauphiné !

Sur un dernier salut, il reprit place dans la voiture : elle avait commencé à tanguer un peu quand il s'était levé, et le mouvement s'était un peu accentué à mesure que son discours s'enflammait.

Prudence est mère de sûreté...

Zalik

Kut était toujours parmi les nobles. Elle était de plus en plus stressée qu'on al découvre. Peut être que le noble qui l'avait laissé passé serait clément et la défendrai ? La petite robe blanche de Kut lui donnait un air adorable, fragile. Ses cheveux bruns tombant en cascade sur son dos voletaient légèrement par la légère bise qui soufflait. Le roi se leva alors et se mit à discourir.

Peuple du Lyonnais-Dauphiné ! Vous à qui j'ai donné mes deux fils, vous dont la région porte de tous temps le titre de l'héritier du Roy de France !

Le Roy balaya alors la foule des yeux et s'arrêta sur plusieurs personnes dont Kut. Celle ci fut tétanisé. La peur se lisait dans ses yeux. Et si le Roy devinait qu'elle n'était pas noble et que c'était une personne tout à fait noble qui l'avait prise sous son aile et laissé passé. Que lui arriverait il ?

Votre accueil nous fait chaud au coeur. Venir à votre rencontre, fidèle province, après avoir traversé votre voisine bourguignonne, féale, elle aussi, et trouver une foule en liesse, justifie la moindre des lieues parcourues depuis Paris. Lyon, capitale des Gaules, a revêtu ses plus beaux atours, et peu de villes, en vérité, pourraient tenir la comparaison.

Vive le Lyonnais-Dauphiné !

Le Roy se rassit à côté de la Princesse Armoria. Kut tremblait toujours, trébucha et manqua de s'écrouler par terre mais un soldat de l'ost dauphinois la rattrapa. Elle lui souria de son sourire d'ange et continua à regarder le Roy, anxieuse.

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Zwyrowsky

Ah, tiens, le roi. L'oeil du goupil eut un petit sursaut d'attention. Une intervention certainement spontanée... Et pourtant brève, convenue. Le Dauphiné, fils ainé et loyal de la France, le couplet était connu, toujours agréable à entendre, mais disait plus le passé qu'il ne parlait de l'avenir. Ça manquait de tripes.

Mais il faudrait désormais beaucoup de mauvaise foi au vicomte désormais pour nier l'avoir entendu. Il sourit. Tant pis. Ou après tout, tant mieux. D'une grandeur l'autre, peu lui importait. Et comme disaient les bonnes femmes de Briançon avec leur accent trainant et rocailleux des montagnes: "Pourvou qué ça doure!". Et que ce voyage ne soit pas qu'un aimable feu de brindille. Le royaume, le Dauphiné, avaient besoin d'un feu de bonnes bûches de chêne.
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Nestor

Il avait vu bien des provinces de France et nombre d'habitants.
Seigneurs, clercs et manants.
Prince, princesse, duc, duchesse, vicomte, ...

Mais le Roy...

Jamais il n'aurait cru le voir, l'entendre.

Il était là, à Lyon, dans leur capitale, entouré de sa cour, et il s'adressait à eux tous, peuple dauphinois, fier et fidèle à la couronne.

Nestor se remémora ses combats au nom du Roy, les levées du ban, à deux reprises et son visage s'éclaira.

Tout cela avait du sens et prenait maintenant toute son ampleur.
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~draguione~

Draguione relevait fièrement le menton à la vue de Roy, celui pour qui, le 15 avril de l'an de Grasce 1456, elle se porta volontaire sans réfléchir lors du levé de Ban alors qu'elle était en phase d'enfanter. Celui pour qui elle faille voir déchirer sa famille quand son époux était tombé sous les armes le 22 mai de l'an de Grasce 1456 restant plusieurs jours entre la vie et la mort...Celui pour qui, le 15 juin de l'an de Grasce 1456, elle avait donné de son sang et de sa chair quand elle est tombé sous les armes bretonnes.

L'étendard de la Terrasse, confié par sa supérieur relevé au plus haut, buvant chacun de ses mots, elle le regardait fièrement, comme si elle regardait un père, mais non, il s'agissait du Roy, accompagné de sa Cour...
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Vétéran Vae Victis, à fait couler son sang le 15 juin 1456 pour le Roy

Dernière édition par ~draguione~ le 14 Oct 2008 20:57; édité 1 fois

Umiko

C’était à peine revenue de retraite qu’Umiko avait appris la venue du Roy en Lyonnais-Dauphiné. Trop tard pour espérer pouvoir assister à cet événement avec son époux, toujours en Languedoc. Trop tôt pour le faire avec ses enfants.

Mais un tel événement ne pouvait pas se manquer. Aussi était-elle venue assister à l’arrivée du Roy et de la Cour à Lyon.

Il y avait foule. Sans les précédentes festivités qui lui avaient permis de se réhabituer au contact des gens, Umiko se serait sans doute sentie mal à l’aise. Peut-être devrait-elle penser à revenir un peu au monde extérieur et laisser un peu à leurs nourrices Eliandre et Aymeric.

Le discours du Roy interrompit le cours des pensées d’Umiko.
Une pensée pour la Reyne.
Une pensée pour le Dauphin Marc-Philippe.
Une pensée pour le Lyonnais-Dauphiné.
Et le défilé qui continuait son chemin.
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Jeremdehuit

Lorsque le Roy arriva il positionna son épée à hauteur de poitrine la lame en direction du ciel.En espérant que ses hommes faisaient de mesme.

Peuple du Lyonnais-Dauphiné ! Vous à qui j'ai donné mes deux fils, vous dont la région porte de tous temps le titre de l'héritier du Roy de France !

C'était un grand honneur pour le Lyonnais-Dauphiné d'avoir eu les deux fils du Roy Levan.

Votre accueil nous fait chaud au coeur. Venir à votre rencontre, fidèle province, après avoir traversé votre voisine bourguignonne, féale, elle aussi, et trouver une foule en liesse, justifie la moindre des lieues parcourues depuis Paris. Lyon, capitale des Gaules, a revêtu ses plus beaux atours, et peu de villes, en vérité, pourraient tenir la comparaison.

Vive le Lyonnais-Dauphiné !

Jamais il aurait cru un jour qu'il allait voir le Roy,lui qui c'était battu avec ses compagnons d'arme lors de la levée du BAN pour Sa Majésté.Ce fut pour lui un immense honneur.

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Seigneur d'Antonaves

Fourrier
Vétéran "Dies Irae"

Walan

Toujours monté sur Aistulf que retenait un palefrenier se demandant quand le Gouverneur allait descendre, Walan, aussi immobile que l'une des statues figurant sur la façade du palais, avait attendu pour se faire que le Roy ait prononcé ses mots au peuple.

Cela fait, il eut un signe de tête au palefrenier pour lui signifier de s'écarter puis, dégaina sa lame et fit cabrer son cheval d'un coup d'éperon avant de clamer d'un voix forte :

Longue vie au Roy !

La réaction de la foule ne se fit pas attendre et celle-ci était loin d'être calmée lorsque le seigneur de Meyrieu fit à nouveau signe au palefrenier de s'approcher, descendit de sa monture et se plaça aux portes du castel de Pierre-Scize pour saluer la Cour s'y engageant et se dirigeant vers les quartiers où elle pourrait s'y reposer et y faire quelques ablutions avant que ne commence le premier d'une longue série de banquets.
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Zoyas

Le Roy venait de parler.
Le brouhaha qui avait précédé son discours improvisé s'était vite calmé, et c'est dans un silence total qu'il l'avait terminé.

On le vit se rassoir prudemment.

Toute la ville s'était semble t il arrêtée de vivre, de respirer.

C'est alors que Zoyas sursauta imperceptiblement, lorsqu'elle entendit, de devant la porte du château, le cri du Gouverneur.

Alors, en couer aec tous les autres Seigneurs des lances, elle cria également, le regard rivé sur le Roy et sa cour :

Longue vie au Roy !
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http://banieresdezoyas.over-blog.fr/

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[RP][Voyage de la Cour] L'entrée dans Lyon