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[RP][Voyage de la Cour] L'entrée dans Lyon

Samarel
surveillant la tenue de ses troupes, le baron de bourdeaux avait regardé d'un oeil distrait le cortège passer. il concentrait son attention sur la foule présente en très grand nombre. l'armée n'était pas là seulement pour faire de l'apparat. elle devait aussi assurer la sécurité de leur suzerain.

au passage du cortège, il ne put néanmoins s'empécher de regarder le roy de france. il avait bien changé depuis qu'il y a des dizaines d'années, alors qu'il était au service de son père à lutter contre les anglois, il le croisait à l'occasion.

puis il vit arriver la princesse armoria, incarnation de la grace et de la noblesse à elle seule. il la salua d'un léger signe de tète, tout comme l'intendante royale, la baronne kidineige, qui était venue récemment au castel de grenoble.

enfin le cortège était passé.


repos soldats ! allez vous poster sur la grand place de lyon à l'enntrée du castel. nous devons nous assurer que les lieux sont sécurisés.mettez vous sous le commandement de fhar pour l'occasion, le temps que je vous rejoigne. je dois maintenant rejoindre la cour.

samarel eperonna eich teine et suivit le cortège jusqu'à la hauteur du gouverneur.
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Maccornell


Jacochère arriva avec un léger retard dans les rangs de la garnison d'Embrun. Le chef de lance lui fit signe de se mettre dans les rangs et de tenir l'oeil. Il était temps, les portes venaient d'être grande ouverte.

Le cortège royal avait commencé à défiler sous les yeux de la foule et des soldats. À la grande surprise MacCornell, les soldats de toutes les garnisons se tenaient de façon irréprochable. Comme quoi tout arrive pensa-t-il. Il faut dire qu'entre la mission de maintient de l'ordre, celle d'apparat et le fastueux spectacle qu'offrait le convoi, il n'y avait pas place pour un petit divertissement tant qu'à présent....

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Armurier
Conseiller communal d'Embrun - BCE
Frere_morgennes
Morgennes avait assisté à l'arrivée du cortège de loin. Il ne s'était pas joint aux officiels pour l'occasion, il savait que le banquet suivrai bientôt... Aucune clameur ne se fit entendre de sa voix guturale, il restait discret et stoïque à la vue du carosse... Ses yeux se posèrent sur le jeune garçon aux côtés de la Princesse... Il avait grandi depuis son séjour chez l'évêque...

Une fois le cortège passé, il regagna le castel de Lyon...
Ishtare
Poussée par la curiosité, bien qu'ayant une méfiance innée pour le mouvements de foule, Ishtare se rendit sue les lieux pour assister à l'arrivée du roy dont tout le monde parlait en ville. Elle trouva une place pas très loin des premiers rangs et regarda passer le cortège. Détournant légèrement la tête, elle aperçut un Prince de France qui, lui aussi, assistait, seul, au défilé. Ne serait-ce point lui, se demanda-t-elle, qui lui aurait envoyé cette mystérieuse missive?

Elle attrapa un jeune garçon par le bras, sortit un morceau de parchemin de sa besace, et le pria, tout en lui montrant discrètement le Prince, de lui porter le message.

Citation:
Cher Prince,
je vais quitter Lyon probablement vers le 14 ou le 15 de ce mois. Votre missive m'intrigue un peu davantage chaque jour, étant irrésistiblement attirée par le mystère et l'aventure. Je désirerais vous rencontrer avant mon départ, afin que nous puissions nous connaître.
Bien à vous,
Ishtare.


Elle regarda le garçon s'éloigner, puis, sans attendre la réponse par soucis de discrétion, passa son chemin.
Zwyrowsky
Vicomte avez-vous dans l’idée de présenter ici votre magnifique projet pour le Lyonnais Dauphiné ? Je suis des plus surprit de vous croisez ici à vrai dire, j’en suis fort aise néanmoins.

Si Jean Zwyrowsky perçut l'ironie de la question de son ancien premier conseiller, il n'en montra rien. Il répondit, souriant et choisissant sciemment un tutoiement qui pouvait être aussi bien celui de l'ancienne amitié (manifestement délaissée par le nouveau vicomte du Monetier) que celui d'une certaine condescendance:

Ma foi, cher vicomte, la venue du roi en ses provinces n'est-elle pas un spectacle rare et exceptionnel? Si cette pensée peut te rassurer, considère que je ne suis ici qu'en badaud, rien de plus. Mais puisque tu te préoccupes de mes idées, je puis dire qu'elles font leur chemin, je te remercie...

Et, un sourire en coin, il ajouta, non sans une once d'ironie à son tour dans la voix:

Mais, toi qui parais si bien en Cour, peut-être pourras tu m'aider? Je n'arrive pas à apercevoir Sa Majesté, que toute la foule appelle de ses cris... Je distingue les traits de dame Armoria, de princes et princesses, mais pas Sa Royale Majesté. Tu es plus grand que moi, dis-moi, la vois-tu?
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Altea
Altea était venu comme bon nombre assisté à l’arriver du Roy et de sa cours. Mais c’est l’étonnement le plus total qu’elle eut en voyant ce qui ce produisait sous ses yeux.

Le peuples Lyonnais-Dauphinois qui quelques jours auparavant signait pétition contre le Roy et le royaume de France était présent en nombre et chacun semblait être d’humeur joviale quand à sa présence en les terres de Lyon.

L’honneur Lyonnais-Dauphinois n’était donc plus, pour que les convictions des uns et des autres qu’elle avait combattu bec et ongle avec l’aide d’une petite poigné de nobles revire à la simple à l’arriver de leur souverain.

Les nobles avaient bien belle conception de l’honneur à s’octroyer le droit de mettre à mal la personne qu’ils accueillaient pourtant avec tous les honneurs. Un gouverneur non capable de se déplacé pour prêter allégeance préférant bien mieux discourir contre le Roy en lui envoyant missive prétextant ses condoléances pour la mort de la reine et du Dauphin, qu’il avait afficher clairement et publiquement alors qu’il autorisait sans vergogne à ce que ses nobles et que ses paysans parle de scission d’avec le royaume de France.

Voila qui lui était bien trop, les nobles Dauphinois n’était donc que des gens sans aucune conviction, sans aucun honneur pour revirer de bord si facilement !

La peur leur faisait elle perdre leur conviction ?

Sans doute, les nobles préféraient ils parler du Roy de mauvaise manière uniquement quand celui-ci n’était pas présent.

Le sieur Walan n’était véritablement pas l’image qu’elle se faisait d’un gouverneur. Et le sieur Zwyrowsky non loin qui avait initié le colloque anti royaliste ne valait guère mieux. Il en allait de même pour tous ceux qui c’était exprimé alors contre le Roy.

Pourtant, nul ne la laisserais approché du Roy, ni de sa délégation. Il lui faudrait le faire en compagnie de sa grand-mère ou bien de son grand père. Fallait-il encore qu’elles les trouvent afin de pouvoir approcher celui-ci et lui parler de tout ceci. Du moins, à lui ou à sa cours. A moins que les nobles Lyonnais-Dauphinois ne fasse preuve d’un peut de courage en allant au bout de leur conviction…

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Antoine_de_massilia
Le petit était là, devant sa famille, battant des mains, pour sur qu'il allait encore se faire remarquer! Il sautillait tout en regardant le carrosse Royale s'avancer. Un dévissement de jambes vers ses parents, il souriait de toutes ses dents ...

*si j'avais eu ma chariotte... pfff j'aurais pu me fondre dans le cortège!!*


Antoine se mit a rire de sa pensée se souvenant de son entrée plus que fracassante à la cérémonie de remise d'honneur des soldats qui étaient au front de Fougères, ou de sa course dans les rues de Vienne, sa tatie Péné à l'arrière criant comme une ahurie. Mais non, Draguione lui avait interdit chariotte, épée en bois et lance pierre ce jour là! Pourtant l'envie de ne lui manquait pas de faire ne serait ce qu'une infime ânerie...Les paroles de sa maman lui trottaient en tête telle une musique entêtante... *tu dois rester sage! tu dois rester sage! tu dois rester sage!*

Le petit garçon se ressaisit ne quittant pas des yeux le carrosse, il ne devait en aucun cas rater une once de visage de la Cour Royale. Il se souvint alors à cet instant, le petit panier de pétales de roses que sa maman lui avait préparé pour les faire voler au passage du carrosse. Ni d'une ni de deux, Antoine se baissa pour prendre le petit panier en main et de faire voler quelques pétales fièrement. Il se doutait bien qu'il ne serait pas remarqué, mais il en avait bien cure, le plus important pour lui, était la fierté que pourrait ressentir ses parents bienveillants en le voyant faire...

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Argael
Ma foi, cher vicomte, la venue du roi en ses provinces n'est-elle pas un spectacle rare et exceptionnel? Si cette pensée peut te rassurer, considère que je ne suis ici qu'en badaud, rien de plus.

Il sourit intérieurement, se décidant à répondre au tutoiement.

Comment cela « le Goupil » n’aurait point quelques idées nouvelles ? Cela serait étonnant de ta part. En tout cas tu sembles en pleine forme, j’ai pu lire quelques unes de tes œuvres, voila que tu n’as en rien perdu le verbe.

Mais, toi qui parais si bien en Cour, peut-être pourras tu m'aider? Je n'arrive pas à apercevoir Sa Majesté, que toute la foule appelle de ses cris... Je distingue les traits de dame Armoria, de princes et princesses, mais pas Sa Royale Majesté. Tu es plus grand que moi, dis-moi, la vois-tu?

Moi bien en Cour, comment dis tu cela, je ne serais pas depuis ma naissance, résidant de Briançon, le bout du monde. Sans nul doute me serais je rapproché du pouvoir en venant au moins vivre en la capitale du Lyonnais Dauphiné.

Je crains de ne pas être bien plus grand que toi, j’ai entre aperçu également le Grand Maistre de France ainsi que d’autre grands officier de la Curia, il m’a semblait apercevoir au loin le Prince Morgennes et plus prés de nous sous ses rideaux la Princesse Marie Héloïse mais point de Sa Majesté pour le moment néanmoins le Gouverneur semble lui avoir parlé, nous pourrons le plus sincèrement du monde nous agenouiller devant lui.

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Spacewolf
Au Milieu des soldats de Vienne :

Chef de Lances Spacewolf, tu porteras l'oriflamme de Vienne lors du passage de notre Roy.

Space attrapa l'oriflamme de la garnison, une grande fierté l'envahis lorsqu'il afficha l'oriflamme.
Il était très fier que son SDL avait pensée à lui.


*Quel honneur* se dit 'il

Merci Péné pour cet honneur, je ferais tout pour en etre digne.



Il se raidit droit comme un I en attendant le passage du Roy

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Instructeur de l'école militaire
Armoria
Les voitures avançaient au pas, laissant le temps au souverain de saluer son peuple. Les gardes demeuraient vigilants : une voiture ouverte, si elle permettait de mieux voir et être vu, était aussi un appel aux débordements.
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[Ma bannière est morte, vive ma bannière... A venir.]
[Je vous ai envoyé une lettre RP ? Vous pouvez l'utiliser. Membre du fan-club "boisé forever"]
Zalina
Ola nobles Dames, j’espère que vos poches sont vides, voila que j’ai quelques surprises culinaires pour vous, à l’occasion autour d’un verre en taverne je vous en fournirais.

En quelques mots forts bien choisis, Zalina fut réveillée et sur le qui vive, sourire aux lèvres. Génépi !!!!
Pour un peu, elle aurait sauté de cheval pour courir en direction de cette nouvelle pour sauter au cou de son collègue. Mais elle dut se résigner à attendre la fin du discours et que tout le cortège soit en sécurité au sein des remparts de la Capitale avant de partir à la recherche de cet annonceur de douceurs.
Sans avoir réussi à l’apercevoir, la Peste nota précieusement l’invitation d’Argael. Autour d’un verre en taverne pour la fourniture des surprises culinaires. Elle le trouverait, même si elle doit y passer tout son séjour en Lyonnais Dauphiné. La chasse à l’Argael est ouverte !

MarieAlice changea soudain de direction. Zalina la suivit des yeux, un peu inquiète de la voir s’éloigner du cortège.
La Vicomtesse fut la première à mettre la main sur le précieux fournisseur. Pas grave, la Premier Secrétaire ne s’intéressait qu’aux nougats. Le stock de Génépi ne serait donc pas trop entamé.
Laissant les deux discuter entre eux, elle continua son escorte à l’intérieure de la ville.

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Jeremdehuit


Le Seigneur des lances se tourna de nouveau vers ses hommes.

Archère Paprika je vous confie le blason d'Antonaves,levez le haut !



Il se tourna ensuite vers l'archer Altaïs.

Soldat Altaïs vous porterez l'oriflamme de Valence,que nos couloirs soient visibles au loin !



S'adressant ensuite aux soldats Valentinois.

N'oubliez pas les consignes soldats !

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Seigneur d'Antonaves

Fourrier
Vétéran "Dies Irae"
Taliesen
Taliesen regarda le cortège passer. Il sentait tout l'honneur que représentait cette visite royale. Il garde son poste jusqu'à ce que Sam parle au troupe. Il n'était pas certain s'il devait maintenant suivre le reste de son groupe ou s'il devait rester avec Sam étant dans sa suite.

-Pssst. Sam... Je vous suit ?
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Mariealice
Marie avait salué Argael puis était repartie à la suite du cortège, talonnant quelque peu sa jument pour rejoindre sa famille.

Tout en cheminant, elle repensait à la déclaration pas si lointaine de certains habitants du Duché, encourageant le Gouverneur lors de son élection à faire sécession avec le royaume de France. Un sourire s'étira sur ses lèvres, se demandant si ceux-là même qui avait souhaité un tel acte, se trouvait présentement dans les badauds sur les bords du chemin. Viendraient-ils présenter ce projet devant Sa Majesté? La curiosité la taraudait tout en observant les visages des uns et des autres, cherchant à y lire une réponse à ces interrogations.

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Kazert
[Les portes de Lyon La garde Royale : disparition de deux gardes Royaux et jus de pomme]

Kazert voit dans le regard de la fille, une lueur de peur, pourtant il pensait avoir fait le nécessaire afin de ne pas l'effrayer. Mais il est vrai qu'il ne faut pas oublier que c'est une enfant avant d'être une princesse.
Apres un froncement de front, elle regarde kazert et sur un ton des plus courtoies mais montrant aussi son étonnement a cette question et a sa présence ici même elle lui répond.
La réponse fait sourire intérieurement Kazert. Il s'inquiète seulement maintenant car il a tout de même toute une compagnie de garde a gérer. Il est aussi plus que inquiet suite a cette disparition étrange, il ce souvient du parfum des cheveux de Lilynight cette nuit de Jeudi, un parfum qui le fait fondre, qui l'emporte vers deux monts.
Maintenant il imagine pleins de choses, même des choses horribles.
Un fer a cheval ? Pourtant ce matin lorsqu'il avait laissé son épouse prés de sa jument, elle semblait étre en pleine forme. Il reporte son attention sur la princesse, qui suce une sucette, que Kazert regarde avec un mauvais oeil.
Sucette au jus de pomme?


- J'abandonne jamais mes hommes, et encore moi mon épouse, mais je voulais m'assurer avant d'envoyer des hommes a leurs recherche que vous ne leurs aviez pas confié une quelconque mission.
Il marque une pause, et pense genre aller Normandie chercher quelque réserve de jus de pommes.!
- En attendant je vais rester pré de vous pour m'assurer que tout ce passe bien, le temps que ses deux gardes réapparaissent.

Il abaisse les rideaux et s'adresse a deux gardes attaché a la protection de la princesse.

- Vous repartez a l'arriére du cortège, afin de savoir ou sont passés les gardes Arianrod et Lilynight. Si il ne sont pas présent vous remontez sur maçon.

Les deux gardes partent alors que Kazert reste pré de la litière de la princesse.
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