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[RP] église Sainte Lucie

Oxyane
La jeune femme était rentrée dans l'église très discrète, après avoir ouvert le message de Patt.Elle jeta un regard a sa marraine.Un simple regard pour lui montrer qu'elle était là,pour elle,pour ses enfants, pour la soutenir.
Elle se mit a genoux, et pria pour le défunt.Puis après avoir jeté un dernier regard a son amie, elle s'en alla,comme elle était arrivée.
Lecouillu
Lec qui a pas l’habitude de tout cela rentre sens faire de bruit et se place doucement à coter de oxy qui salue d'un geste de la tête avec un ptit sourire quand même car comme tout le monde le sait la vie va continuée.

Lec cherche du regard sa fillotte pour lui montrer qu'il est belle et bien a c coter dans des moments si douloureux pour elle et toute sa ptit famille.

Lec repense à tout les bon moment passer en taverne avec un ami comme Michel et ne peux que déplorer que la maladie a encore une fois frapper une personne au grand cœur.

Lec qui est vraiment pas a sa place dans un telle endroit se relève et sort sans rien dire .

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Keyfeya
Key avait reçu le faire-part, et elle comprit soudainement l'air peiné de Pat ces derniers jours, elle s'en voulut un peu de sa gaieté, de sa force à la faire parler, elle ressentit beaucoup de peine, que Pat ne lui ai rien dit avant, cependant elle ne pouvait lui en vouloir, elle même ne disait jamais mot, elle vivait ses douleurs en silence, solitaire, elle plia le vélin et le rangea dans sa besace, et elle entra dans la petite Eglise de Sarlat, le visage fermé, elle avait depuis ce mot perdu son beau sourire.

Elle fit quelques pas en avant, et vit Pat et les enfants, et le corps du défunt qu'elle ne connaissait pas, elle s'imagina la douleur qui pouvait étreindre leurs coeurs et pensant qu'il ne s'agissait que de son imagination, ce qui signifiait que ce qu'elle ressentait n'était qu'un pâle reflet comparé à eux.

Elle s'installa sur un banc et pria un moment, elle savait qu'elle ne pourrait rester longtemps, qu'elle devrait reprendre la route.

Elle baissa les yeux et continua ses prières.


Le visage fermé, elle regardait les enfants de Pat, des garçons et de la fillette, elle fut profondément affligée pour eux, qui perdait leur père, leur repère, puis elle posa son regard sur son amie, fière et droite, seul le hurlement d'un loup faisait écho à la douleur.
Jolius
Jolius rentra dans l'Eglise Sainte Lucie, il était venu se recueillir une dernière fois devant la dépouille de Michel qui l'avait bien aidé à es débuts de Maire

Il salua les gens présents et fit un signe de tête à Pat, puis se mit dans un coin de l'Eglise et se mit à Prier Aristote en fermant les yeux

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Hector_
Il n'avait pas trop l'habitude de pénétrer dans une Eglise, et ne connaissait pas vraiment Michel. Mais le jeune homme fit irruption dans l'Eglise, presque qu'à l'heure c'est dire...

Si Pat l'appréciait, c'est qu'il était probablement quelqu'un de bien, de droit. Comme d'habitude il trouva une parois pour s'y adosser.
Sandreen
De cet homme, elle ne connaissait rien, qu'un nom griffonné sur le faire-part reçu ce jour. Elle n'avait croisé ses enfants que rarement, peut-etre lui ressemblaient ils ? Elle ignorait jusqu'à ses traits. Mais de cet homme, elle connaissait la compagne, sa Pattouille, comme elle aimait la nommer gentiment.
Bien sur, Sandreen n'etait pas sans savoir la maladie qui rodait autour de Patt, pourtant elle n'en avait vraiment parlé qu'une fois et pour ne pas tourner le couteau dans une plaie douloureuse, elle evitait soigneusement le sujet.
Aujourd'hui, leur chemin ensemble s'arretait net, aujourd'hui, elle irait auprès d'elle, se recueillir, lui dire que le chemin continuait pour elle et ses enfants, autrement.

Sous des hurlements de loups dans le lointain, elle entra dans l'église, salua silencieusement de la tete toutes les ames venues soutenir leur amie dans ce penible moment. Son regard se posa sur Patt, qui fièrement ne montrait rien de sa peine, elle l'admira un instant, se demandant comment elle, réagirait.

La céremonie venait de débuter, un banc juste à sa droite, elle s'assit et pria
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Marilou133
marilou regarda les gens entré sans rien dire ,elle attendit que tous sois assis avant de commencer.

au loin des loups hurler ,les chants la fit fremir ,laissant ces émotions se terrer au fond d'elle ,elle se redressa et s'adressa aux amis de patt qui etait présent pour dire aurevoir a michel.

cher enfants cher frères et soeurs

je suis ici en ce jour pour accompagner le compagnon de pattricia ,dans sa derniére demeure ,celle du paradis solaire.

je n'ai guere l'habitude de le faire sans préparation ,certain me connaisse ,d'autre non ,cela na pas d'importance .

nous sommes tous reunir en cette église pour dire aurevoir a Michel,que son âme soit emenais au paradis solaire ala droite de d'aristote et à la gauche de christo...

personnellement je ne le connaissait pas ,je connait pattricia depuis mon arrivé ici il y a quelque mois .

je demande a ceux qui le veulent qu'il prononce quelque parole pour nous decrire Michel .

que celui ou celle qui veux prendre la parole vienne a mes coté ,

pattricia ,les enfants venez a mes coté ,et je demande aux autres d'unir leurs main ,en ce geste nous serons tous unit dans la douleur mais aussi dans la joie d'accompagner lâme de Michel auprès de nos paires .

fermant les yeux a demi marilou laissa le temps au gens présent de parler.
--Floris




- Maman s'il te plait...
- Tu... tu veux ?
- Oui...


D'un geste incertain, la vindicative acquiesce en regardant son fils d'un air légèrement dépassé et Floris, du haut de ses 7 ans et demi, se positionne devant l'autel, et après un regard à son frère et sa sœur, il regarde toutes les personnes présentes, ne voyant aucune de ses tatas. Après une prise de respiration lente pour se donner du courage...

Je suis Floris et je suis venu prendre la parole pour vous parler de papa.
D'abord... il était grand et fort, comme tous les papas je suppose, et surtout il aimait ma maman. Quand maman nous l'a présenté, on a pas été très faciles, faut dire qu'on était un peu jaloux.
On avait toujours eu maman pour nous tous seuls et soudain il a fallu la partager, on a pas trop aimé au début...

Pis il est entré dans l'armée, il a déménagé sa forge chez nous, il m'a appris à monter à cheval, à Cantor à aimer la forge et à Lucie, il lui a fait un joli bracelet en métal brillant.
Il a veillé la nuit quand on était malade, il a joué avec nous, 'fin il nous a aimé quoi.

Alors un matin, on est allé le rejoindre pour le petit déjeuner, et on lui a demandé si il voudrait bien être notre papa, et il a dit oui.
Voilà qui il était...


Le gamin trop ému pour continuer retourne trouver refuge dans les bras de sa mère... toute en larmes silencieuses. Elle s’accroupit devant lui et lui murmure un "merci" dans un souffle.

Pattricia
Quand Marilou leurs avait demandé de la rejoindre près de l'autel, Patt avait fait levé son petit monde et avait obtempéré. Mais quand Floris s'était porté volontaire pour prendre la parole au nom des triplés, elle avait failli perdre pied. Son cœur s'était serré en les regardant tous les trois, orphelins de père pour la deuxième fois, et quand Floris avait pris la parole, elle s'était souvenu comme si c'était hier...

Elle se souvenait très bien du moment où ils s'étaient retrouvés seuls, où Michel était là, à la regarder, ému au plus haut point que les enfants l'aient enfin adopté et tout était devenu si clair, si évident... Puis elle était tombée enceinte, lui malade, elle avait perdu le bébé, sauvée in extremis par Hiancy et Franck, puis la Savoie et la libération d'Annecy, les Nains, etc... Depuis cela avait été l'enfer qui ne s'était jamais arrêté et qui était devenu sa vie...

Elle ne se rend même pas compte qu'elle est en larmes quand elle serre Floris dans ses bras.


- Merci...

Mais elle ne se sentait pas de laisser le silence s'installer, elle regarde Lec, Jo, les deux seuls présents qui avaient connu Michel personnellement et attend un peu, juste pour voir si ils désirent intervenir, mais elle voit Lec se retirer, elle comprend et ne laisse rien voir... Sachant Jo peu enclin à prendre la parole en public, la môme au loup se décide à intervenir pour arrêter le silence qui risque de s'installer. Elle s'avance... encore indécise de ce qu'elle va bien pouvoir dire...
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Marilou133
marilou écouta émue Floris ,quand le gamin se refugia dasn les bras de sa mère elle regarda l'assemblé et vit Lec sortir discrétement sans bruit,elle vit la douleur dans le regard de pattricia et decida d'arrêtais la le supplice ,elle eclaircie sa voix et repris la parole

nous allons proceder ala bénédiction suivra la priére,marilou s'activa en prenant le calice d'eau benite et benit le corps ,avant de tendre a pattle pillon .

la benediction faite marilou demanda a chacun de prier .
--_cantor



Du moment où ils étaient rentrés à Sarlat, tout avait été de travers. Quand sa mère ne les avait pas rejoints pour les aider à vider le coche, les enfants étaient entrés en trombe par la porte de la cour, chahutant comme à leur habitude, heureux de retrouver le nid de la tribu, Mélie leurs avait intimé le silence un doigt sur la bouche, étrangement silencieuse. Cantor avait immédiatement senti un danger, instinctif comme sa mère, le jeune garçon avait foncé jusqu'à la porte du salon que tout le monde semblait ne pouvoir franchir sans crainte. Quand il était arrivé dans l’embrasure de la porte, il avait vu sa mère prostrée dans un des grands fauteuils devant la cheminée, un parchemin à la main, ses prunelles vertes embuées de larmes, perdues dans un autre monde...

"Mini-moi", comme la môme au loup appelait ce fils si semblable à elle, avait tiré un tabouret jusqu'à elle et lui avait pris délicatement des mains le parchemin, jetant un regard de côté vers son frère qui lui arrivait à lire avec facilité, contrairement à lui. Lucie les avait rejoints et Floris leurs avait lu le contenu à voix basse, s'arrêtant souvent sous le coup de l'émotion, ou encore d'une écriture d'adulte, pas si facile à lire. Ensuite... ils avaient fait corps avec leur mère, comme toujours quand la tribu subissait un coup du sort et le reste c'était déroulé avec et sans eux, comme dans une sorte de brume irréelle.

Floris, toujours plus au fait des offices qu'il aimait vraiment, leurs avaient expliqué que des gens devraient prendre la parole et que maman en serait surement incapable, si ce n'est au prix d'un effort surhumain. Ils s'étaient donc mis d'accord, Floris parlerait pour eux tous...

Pendant que son frère fit son discours, Cantor serra la main de sa mère aussi fort qu'il le pu et pinça ses lèvres, s'interdisant de montrer quelque détresse que ce soit. Il devait être fort, papa lui avait toujours dit qu'il était le bras armé de la maison après sa mère et lui et qu'il devrait toujours protéger la famille. Fort de cette marque de confiance de son père défunt, le petit garçon faisait tout ce qu'il pouvait pour être le brave d'entre les braves.
Il avait conscience, malgré son jeune âge, qu'il était celui qui avait mené la vie la plus dure à Michel. Ses rapports fusionnels avec sa mère l'avaient rendu jaloux et exclusif. Mais la vindicative n'avait pas cédé, pis son frère et sa sœur lui avaient fait la leçon et il avait fait amende honorable.
Comme je regrette de ne pas l'avoir fait plus tôt papa... pardonne-moi...

Mais leurs frère les avait fait réviser et c'est de sa jeune voix maladroite qu'il récite sa prière...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine
En la Sainte Église Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible
En la communion des Saints
En la rémission des péchés.

Accueille-le s'il te plait Ari, c'était le meilleur des papas !



Confucius
Ayant reçu une missive de Patt, Confucius avait décidé d'aller rendre hommage à cet homme qu'il ne connaissait pas. Il se rendit à l'église accompagné de Key à qui il laissa le soin de le guider. Il s'assirent tous deux sur un banc, main dans la main, et Confucius écouta silencieusement l'office partageant la peine de la famille de son amie.
Marilou133
Marilou laissa tout le monde prier et repris la parole

Aristote et christot,je vous prie de recevoir l'âme de l'enfant Michel.
je vous prie de veiller sur lui et defaire qu'il veille a son tour sur sa famille du par&adis solaire.
accieullez le comme il se doit ,présenter le a notre père le tout puissant.

elle repris sa respiartion et releva son regard sur l'assemble .

je vous demande a tous de veiller sur pattricia et les enfants ,la douleur de la perte d'un être cher est longue a cicatrisé.

nous allons accompagner Michel en sa derniere demeure,allez en paix

marilou se signa et sorti de Sainte Lucie avec une petite pointe de tristesse ,elle allait prendre la route vers d'autre horizon laissant la lumiere des cierges illuminé celieu si chere a son coeur .

elle parti en direction du lac suivie des porteur et de la famille .
Lubna
Lubna avait reçu missive de Patt! Son Homme, Le père adoptif de ses enfants avait rejoint Aristote!

Elle entra dans l'église sans faire de bruit allant vers Opale et ses enfants!

Elle ne connaissait pas l'Homme de Patt...et écouta un de ses enfants en parler avec émotion.

Un regard vers les enfants d'Opale ... Perde un Père si jeune! Cela était si affreux. Elle posa sa main sur son ventre et pria Aristote pour que Naves reste toujours à ses cotés... Au cotés de leur enfant qui allait bientôt naitre!

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Pattricia
Elle avait prié, comme tout à chacun, elle avait écouté Marilou avec émotion. La jeune brune lui avait fait un cadeau, celui de son dernier prêche, de sa dernière bénédiction, de son dernier office. Quand les paroles de fin furent prononcées, la môme au loup s'était approché de son amie et l'avait serrée contre elle. Elles s'étaient dit "au revoir" ainsi, sans un mot, ravalant leurs larmes.

Le corps de Michel, sur les dernières instructions de Marilou, fut mené au lac et déposé dans sa barque, décorée par les enfants et où Mélie et Patt avaient déposé au préalable ses affaires personnelles. La vindicative fait signe à Mélie d'y aller et d'y emmener les enfants. Elle reste là... seule près de l'autel à regarder toutes les personnes présentes, gravant dans sa mémoire chaque visage, chaque regard avec émotion.

Après avoir remercié chacun de sa présence d'un signe, d'une étreinte ou d'une pression de la main, la jeune femme prend le portrait de Michel encore posé là, sort et prend la direction du lac pour rejoindre les siens.
Et la meute se remet à hurler...

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