Germaine, incarné par Pattricia
Comme un cheveu sur la soupe...
Germaine suit. De loin. Maugrée car elle est là contre son gré. Aucun agrément en vue à cette prochaine entrevue.
De loin, parce qu'elle monte un âne vicieux, qui tombe en bandaison comme une vierge tomberait en pâmoison devant tout homme suffisamment membré.
Un calvaire.
En plus, elle ne le connaît même pas, le gugusse qui doit se marier.
Mais j' le connais pô ton bonhomme, kèce que j'y foutrais à sa noce? hein? a-t-elle demandé à Tartine.
On s'en fout, c'est ça qui est drôle!
Nobliaud aristotélicien, qui a eu la mauvaise idée de m'inviter à son mariage
Voulait que je sois témoin en plus !
Mais hérétique, ça marche pas pour être témoin, et je sais même pas qui est la mariée.
Pfff! va falloir supporter les cur'tonneries sans moufter ! Commet que j' vais faire, moi? J'vais quand même pas m' fourrer un panais cuit dans la bouche pour pas que j' cause nan?
La teigne a rigolé, et Germaine s'est pliée à sa demande, se promettant de lui foutre la honte devant ce mystérieux ami.
Évidemment, comme cet abruti d'âne a jeté son dévolu sur un jeune campagnard, juste avant d'arriver, il a fallu que Germaine le taquine de sa badine jusqu'à ce qu'il accepte de repartir.
Et c'est particulièrement énervée qu'elle fait son entrée en scène, longtemps après Muse, devant la baraque de.... elle ne sait plus qui. S'annonce au garde qui la regarde d'un air totalement abruti.
Kèce t'as, toi? J'suis Germaine Landru. J' suis avec Tartine, la folledingue qu'est rentrée juste avant. J' suis une invitée d' marque, j' te f' rai dire. Alors, tu m' laisses rentrer, pis tu vas bichonner mon âne.
Regarde le loufiat.
Et y tourne surtout pas l' dos!
Et, ni une ni deux, la voilà qui pénètre un noble intérieur. Juste à temps pour entendre le gars dire à Tartine qu'elle est toujours aussi répugnante.
Du coup, elle sort son sourire narquois et attend la suite, curieuse et ragaillardie. L'est p'têt' pas aussi tartignole que j' l'imaginais, l' vieux!
Germaine suit. De loin. Maugrée car elle est là contre son gré. Aucun agrément en vue à cette prochaine entrevue.
De loin, parce qu'elle monte un âne vicieux, qui tombe en bandaison comme une vierge tomberait en pâmoison devant tout homme suffisamment membré.
Un calvaire.
En plus, elle ne le connaît même pas, le gugusse qui doit se marier.
Mais j' le connais pô ton bonhomme, kèce que j'y foutrais à sa noce? hein? a-t-elle demandé à Tartine.
On s'en fout, c'est ça qui est drôle!
Nobliaud aristotélicien, qui a eu la mauvaise idée de m'inviter à son mariage
Voulait que je sois témoin en plus !
Mais hérétique, ça marche pas pour être témoin, et je sais même pas qui est la mariée.
Pfff! va falloir supporter les cur'tonneries sans moufter ! Commet que j' vais faire, moi? J'vais quand même pas m' fourrer un panais cuit dans la bouche pour pas que j' cause nan?
La teigne a rigolé, et Germaine s'est pliée à sa demande, se promettant de lui foutre la honte devant ce mystérieux ami.
Évidemment, comme cet abruti d'âne a jeté son dévolu sur un jeune campagnard, juste avant d'arriver, il a fallu que Germaine le taquine de sa badine jusqu'à ce qu'il accepte de repartir.
Et c'est particulièrement énervée qu'elle fait son entrée en scène, longtemps après Muse, devant la baraque de.... elle ne sait plus qui. S'annonce au garde qui la regarde d'un air totalement abruti.
Kèce t'as, toi? J'suis Germaine Landru. J' suis avec Tartine, la folledingue qu'est rentrée juste avant. J' suis une invitée d' marque, j' te f' rai dire. Alors, tu m' laisses rentrer, pis tu vas bichonner mon âne.
Regarde le loufiat.
Et y tourne surtout pas l' dos!
Et, ni une ni deux, la voilà qui pénètre un noble intérieur. Juste à temps pour entendre le gars dire à Tartine qu'elle est toujours aussi répugnante.
Du coup, elle sort son sourire narquois et attend la suite, curieuse et ragaillardie. L'est p'têt' pas aussi tartignole que j' l'imaginais, l' vieux!