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[RP] église Sainte Lucie

germaine, incarné par Pattricia
Papilles, papillotes...

Dans ses quartiers, Germaine râle, pour changer.

Y a rien à grailler dans c' musée, bordel ! J'ai les papilles en déroute ! annonce-t-elle au miroir qui reste muet.
Pffff, j'ai encore dû m' gourrer d'histoire moi ! Sal'té d' miroir!

Elle sort une robe de sa besace, pour qu'elle se défroisse un chouïa histoire de pas faire miséreuse, sans jeu de mot, avant de se décider à aller surveiller les préparatifs de la femme Misère, justement.

À peine entrée, l'autre lui saute sur le poil, à demi hystérique :

Gertrude, t'as des fers à friser ?

Qu'est ce j'en f'rais, plat d' nouilles ? j'ai pas beaucoup d' cheveux vu que j' les ai rasés pour m'faire trépaner par l'aut' naze d' Houze !
Tu sers à rien quoi !
Tsss... mais j' peux t' faire des papillotes s' tu veux !
Hmmmm...
j'ai comme un doute là !


Musartine plisse les yeux.

Ben oui quoi, avec du papier recyclé trempé dans d'la bière, j' le tortille pis j'enroule chaque mèche autour, j'fais un nœud, pis quand c'est sec, j'enlève.
Ben c'est juste le côté cheveux rebelles, faut souligner un peu !
Ah comme ça tu s' ras toute frisée !
Non pas tout friser ! Je suis pas un caniche non plus !
Ben vu la longueur ça f'ra pas caniche, ça t' fera plutôt des anglaises.
Woui...mais pas trop non plus !

Musartine ne se sent pas aidée …

Germaine regarde la mine de sa coupine, qui ne semble pas convaincue.

Hey c'est pas pasque j'ai dit que j' me f' rais coiffeuse si j' loupais mon rata qu'y faut m' croire sur parole, hein ?

Musartine se marre

C'est bien ce qui m'inquiète !
Bon, ben si tu m'fais pas confiance, tu t' démerdes avec tes broussailles, namého !
J'vais pas m' mett' en quat' pour une greluche qu'est même pas r'connaissante de tout c'que j'fais pour elle !


Germaine boude et retourne à ses préparatifs personnels.

Si tu changes d' comportement, j'suis dans mes appartements, na !



Adaptation d'un semblant de RP sur Skype
plumenoire, incarné par Pattricia
[Très très tôt, la nuit avant le jour J]

La brune avait expliqué, réexpliqué, et reréexpliqué aux miliciens comment faire pour pas « s'faire piquer la ville ». Hé oui, elle était de garde cette nuit-là. Mais peut importait, il lui fallait partir très tôt pour espérer arriver à l'heure pour le mariage de la rousse et de l'ours. Mariage qu’elle attendait depuis un petit moment déjà !
Elle avait enfourché Okan, brulante d’impatience dans son uniforme sombre, et l’avait lancé au grand galop jusqu'à sa demeure.


[Au point du jour, le jour J]

Elle était arrivée sans encombre jusque chez elle un peu fatiguée, mais prête à vivre une journée joyeuse auprès de ses amis. La brunette s’occupa de panser sa monture, de l’installer confortablement, prenant ensuite une grande respiration, elle se dirigea vers l’entrée. C'était là que l'horreur allait commencer ...

Patt' et Arga avaient été on ne peut plus clairs. Si elle ne portait pas de robe, l'une la bouderait à vie, l'autre l'étriperait vive. Et tous deux avaient été tellement convainquant, que la brune, pourtant rarement impressionnée à ce point, allait obtempérer et porter la robe qu'elle avait choisie. La Seule et l'unique espérait elle, qu'elle aurait à porter, au moins jusqu’à ce qu’elle ne rejoigne Aristote et le Très Haut. Mais ses pensées n’étaient pas si sombres à cette heure-ci.

Plume commença par plonger dans un baquet d’eau pour se nettoyer et retirer la terre qui maculait ses mains, son visage ... Puis alla chercher sa robe qu’elle avait caché à la vue d’un blond trop curieux, qui l’aurait surement obligé à la porter avant l’heure !

Après de longues, très longues minutes à s'être débattue longuement avec les lacets, et le tissu de la robe, après avoir réussi à arranger les bandages, qui couvraient toujours son torse, de manière à ce qu'ils soient invisibles, la louve avait dû s'habituer à marcher avec cet encombrant vêtement, totalement inconnu pour elle.

Lorsqu'elle jugea qu'elle n'était pas trop ridicule dans sa démarche, elle attrapa sa dague « fétiche » et une corde.
Lua lui avait expliqué où accrocher son arme pour pouvoir l'attraper rapidement en cas de besoin. Remontant le bas de sa robe, elle fixa la dague à sa cuisse droite, serrant bien les nœuds, vérifiant que l’installation était bien invisible.
Une fois satisfaite, elle se dirigea vers la coiffeuse de sa chambre, et peigna rapidement ses cheveux.
Elle les laisserait libre, cela irait très bien.

Plume contempla un moment son reflet dans le miroir. La chaine qui ne la quittait jamais était peu visible sur sa peau pâle, le pendentif dissimulé dans le décolleté de sa robe n’attirait pas les regards. Au moins personne ne chercherait à le lui prendre.
Pour compléter sa tenue, ses pieds étant invisibles sous la robe, elle enfila des bottes simples, noires. Cela lui permettait de ne pas « obéir complètement » à Patt’ qui avait bannie le noir de son mariage, enfin … selon ce qu’elle lui avait dit !

La brune, voyant le soleil grimper dans le ciel, sortit de chez elle, enfin prête, et se dirigea vers l’église de Sainte Lucie, faisant attention de ne pas abimer L'habit.
Un doux sourire éclairait son visage, la louve était heureuse et impatiente de retrouver ses amis …
Pattricia
[Passage de la veille au jour J...]



La rousse rit devant la volubilité de la mère et de la fille. Tout en mâchouillant son repas, buvant quelques verres de vin, elle écoute amusée le récit de l'une et de l'autre. "Bon sang que c'est bon d'être ensemble..." Mais quand Mari lui révèle le nom du passager du navire de Mimi, Patt manque carrément de s'étouffer avec son verre.

Coucou ? Mais... 'fin il vivait pas dans le Nord du Royaume lui avec la meilleure amie de Luaine ?

Elle finit par hausser les épaules, certains hommes semblaient ne jamais prendre de maturité, sans doute ce dernier faisait-il parti du lot, et faudrait-il attendre qu'il soit dans la force de l'âge pour qu'il fasse la bonne rencontre, et qu'il choisisse enfin un seul chemin, comme l'ours...
Mais la fatigue, la tension des préparatifs, le voyage des Rouquines et l'arrive enfin du grand jour pour la vindicative eurent raison de leur résistance.

Après les avoir recouvertes d'un châle chacune, la fiancée abandonne les filles et va rejoindre sa chambre où elle se laisse tomber toute habillée "j'vais être fraîche demain tiens !".



[Et justement... jour J !!!]


Quand elle se réveille, Patt a l'esprit embrumé, l'aube est entre chien et loup, son moment préféré. Elle ouvre ses persiennes pour aller piétiner l'herbe du jardin, pieds nus. "j'espère que les filles auront tout de même réussi à se reposer... D'ici deux heures, Mélie sera là pour m'aider, je vais commencer par faire chauffer de l'eau pour les deux baignoires, il ne sera pas dit que le clan des rousses ne sera pas propres et n'aura pas la peau douce !" De retour dans la chambre, toujours pieds nus, la rousse passe au salon, traverse le vestibule et retrouve les Rouquines en train de ronfloter tranquillou dans la cuisine.

Amusée, elle chausse ses bottes dans le vestibule, attrape des seaux et commence une série d'allers retours entre le puits et la cuisine, réveillant au passage les filles. Elle entreprend ensuite de relancer le feu dans l'âtre et verse l'eau dans la marmite pendue à la crémaillère.


Désolée de vous réveiller mais il va falloir un peu de temps avant que les deux baignoires de la maison soient assez remplies d'eau chaude pour nous faire des bains à bonne température, alors je commence maintenant. Mais nous pourrons prélever de quoi nous faire une bonne tisane pour le petit déj.

Les laissant sortir de leur demi sommeil tranquillement, Patt s'affaire à préparer trois bols, sortir du pain et de la confiote. C'est que préparatifs de filles certes, mais aux Mûres, on n'oublie jamais de remplir son ventre, vieille habitude gardée de l'époque de leur début, où les temps étaient durs, les militaires fort mal payés et nourris et les bonnes denrées pas données.
_________________
Argawaen
Argawaen a écrit:
[JOUR J, branle-bas de combat]

Le soleil s'était à peine levé qu'il était déjà debout depuis peu, aujourd'hui était le grand jour, il ne voulait rien rater, il voulait savourer la moindre minute avant d'être marié. La vie de célibataire allait se terminer, et il allait devoir prendre ses responsabilités d'époux, et en ce jour, il comptait bien réussir... Son premier mariage s'était mal terminé, il ne voulait pas commettre la même erreur.
Le Dehuit de Malemort espérait voir ses enfants, bien qu'il en doutait il le croyait malgré tout, s'ils étaient là, sa journée serait alors encore plus merveilleuse... Mais connaissant ses fils, cela risquait d'être compliqué, Alcimane était retranchée dans un couvent depuis des mois, il se demandait si elle était enfin sortie... Puis Cassandre, elle était à Sarlat, mais il ne l'avait toujours pas vu, il espérait qu'elle serait présente, qu'il puisse voir quelle jeune femme elle était devenue, cela remontait à loin, très loin lors de leur dernière rencontre...

Secouant la tête, il ne devait pas se démoraliser, aujourd'hui il devait penser avant tout à la cérémonie, à son bonheur, à sa future épouse...
Le vieil homme se fit préparer un bain, il fit également dépoussiérer sa tenue de mariage, il en profita également pour faire venir le barbier.
Ce dernier mit plusieurs minutes avant d'arriver, la place-forte étant grande il devait se retrouver dans tous ces couloirs, mais nul doute qu'un de ses gardes avait fait en sorte de le conduire jusqu'à ses appartements.
Il entendit frapper, il donna l'ordre d'entrer et ce fut effectivement le barbier.


Bonjorn messer, vous êtes à l'heure, parfait.
- J'ai fais au mieux Seigneur.
Je n'en doute pas, vous savez ce que je veux ?
- Oui, j'ai bien reçu votre portrait et la coupe que vous vouliez.
Alors au travail !

L'homme s'installa sur un tabouret et laissait l'homme s'afférer à la tâche, pendant ce temps il fermait les yeux et essayait d'imaginer la cérémonie, il y avait plusieurs versions, mais il ne se faisait pas d'illusions, un mariage ne se passe jamais comme on le voudrait, il se passe toujours quelque chose d'imprévu, et c'est ça qui faisait la beauté de la chose.
Le vieux vétéran cessait de penser, il laissait le barbier s'occuper de sa barbe une fois qu'il eut terminé avec sa coupe de cheveux et lorsqu'il lui présenta le miroir l'homme souriait doucement.


Parfait messer, vous pouvez disposer, allez voir le trésorier, il se fera une joie de vous récompenser comme il se doit !

Il présenta la porte au barbier et se leva, il se rendit dans l'alcôve parallèle à sa chambre et plongea dans le bain qui venait tout juste d'être prêt. Il se mit à ronronner doucement en sentant la chaleur de l'eau caresser sa peau et fit le vide au maximum avant de faire quoique ce soit...
Il resta un bon moment dans son bain, et il fut rappelé à la réalité lorsque l'on vint frapper à sa porte. L'homme vit son homme de main rentrer.


- Arga, le convoi est prêt, dois-je dire aux hommes de se préparer ?
Evidemment ! Qu'attends-tu ?!
- Tes ordres...
Tu as déjà eu tes ordres, fait également prévenir Muse et Germaine de se préparer, je les veux à mes côtés jusqu'à l'église. Ou du moins juste Muse, cette Germaine me donne froid dans le dos ! Dis leur de nous rejoindre dans la Cour.

Son homme de main s'exécuta et il sortit enfin de la baignoire.
Argawaen appela deux servantes afin qu'elles préparent sa tenue, dans peu de temps il prendrait la route pour l'église...

_________________
arcadhias, incarné par Pattricia
[Jour J, parvis de l'Eglise]

Premières lueurs du jour, la nuit fut très courte pour lui permettre d'arriver aussi tôt.
Tellement tôt d'ailleurs, que les convives n'étaient pas encore arrivés.
Mauvais lieu ? Mauvaise date ? Ne sachant et dans le doute, il râla.

Le soleil commençait déjà à chauffer, ce qui lui donnait envie de s'allonger sur le coin d'herbe en attendant l'arrivée de la foule.
Mais ne souhaitant devoir frotter ses habits durement nettoyés la veille, il se résigna à savoir sur un banc tel un petit vieux.

Il avait hésitait à venir en tenue de cérémonie de la Garde, mais après un long instant de réflexion il se dit qu'elle celle-ci faisait partie de passé de l'ex-Capitaine, et que celle-ci avait décidée de se tourner vers un avenir plus prometteur.

Assis donc, il ferma les yeux et pris une longue inspiration pour profiter du calme et de la presque fraîcheur actuelle, en attendant que la cérémonie ne débute.
--_cantor
[Domaine de La Force, jour J...]


Dans la chambre rouge, Cantor fronce les sourcils en regardant le jeune prêtre qui s'adresse à lui.

- Cette dague est un cadeau auquel je tiens et j'ai bien l'intention de la glisser dans ma botte mon père !
- Vous n'avez pas le droit de rentrer épée au côté dans une église mon fils, cessez de discuter !
- Ca tombe bien c'est pas une épée et j'aurais rien au côté.
- Je vous ai demandé de cesser de discuter jeune homme !
- Et moi je vous demande de me laisser tranquille. Je suis assez grand pour savoir ce que je fais et vous êtes pas mon père !


Le prêtre devient cramoisi, lisse sa robe avec des geste agacés et tourne camisole pour prendre la sortie, se gardant bien néanmoins de claquer la porte. Les jades pareils à ceux de sa mère se fixent un instant, sans aménité, sur le bois ouvragé de la porte qui vient de se fermer. "Rabat-joie !"
Mais il est des choses qui n'en restent pas là... et c'est Mélie qui entre toutes voiles dehors. La Narbonnaise se dirige à grands pas en direction du garçon qui se ratatine à chaque pas de la nounou.


- Tu sais pourquoi je suis là je suppose !
- ...


La brune tend la main sans dire un mot de plus et, après tout de même une brève hésitation, Cantor finit par sortir la dague de sa botte et en tendre la poignée à la jeune femme.

- Pfff ! quel cafteur !
- Tu veux vraiment continuer sur ce ton Messire La Canéda ?
- Mais c'est lui là ! Il est toujours sur mon dos le tonsuré !
- Cantor !!!


Mélie lui prend l'oreille et le tire jusqu'à un siège où elle le pousse.

- Je peux savoir ce qui t'arrive encore ? Te rends-tu compte de ton comportement ?
- J'voulais être comme Arga...
- Ah... Je vois...
- J'te demande pardon Mélie...
- Ca n'est pas à moi que tu devras présenter tes excuses mon garçon.
- Oui je sais...
- Et tu m'enlèves tes bottes, des chausses suffiront !
...


La nounou s'apprête à sortir quand elle rajoute

- Les membres de la Garde Royale et des Ordres Royaux ont le droit d'entrer armés dans une église, tu attendras d'en faire partie, pour le moment tu es encore un petit garçon de dix ans.
- J'suis pas p'tit...


La brune sourit et sort sans répondre...
valeryane, incarné par Pattricia
[Le choc des titans]

Profitant de ce moment ou personne encore n'était Val se laissait emporter par de vieux souvenirs, toujours de ses petits bouts. Quand une voix la fit sursauter mais pas le temps de réfléchir qu'elle est déjà soulevé dans des bras et le Mère manque la faire faillir d'évanouissement.

Mère ?... Valeryane ?...

Quel plaisir de te voir mère... Mais que fais-tu ici ?... C'est le mariage de père ! Tu ne devrais pas être ici !


Alistair ça alors ce petit bonhomme brun de 1 an et demi qu'elle avait élevé comme son enfant, quand il lâcha la brune elle manqua presque de perdre pied sur la terre bien ferme, car pendant la séparation elle avait eu beaucoup de mal à se séparer de ce brun qui était comme son fils.

Alistair? Mon petit Alistair mon petit ours brun?

Elle avait vieillit aussi faut dire que la vie n'avait pas aidé, aucun ménagement son coeur en avait pris des coups dur. Val pinça doucement les joues de mini-ours

Comment ça je ne devrais pas être là ? C'est eux qui m'ont invité tu sais même si je suis plus avec ton père nous avons deux enfants en commun tu te souviens Earnan et Alcimane, Pattricia est une amie tu sais mais raconte moi plutôt que fais tu maintenant ?

L'oeil sévère dans la futur confidence de ce qu'elle imaginait car Earnan son frère était un terrible, un homme à femme, un buveur un rustre bourrin sauf avec elle il était d'une douceur à se demander comment un homme pouvait changer aussi vite de bourrin à tendre comme une guimauve devant la mère.
musartine, incarné par Pattricia
[Cosnac, Jour J]

Germaine rejoint Muse dans ses appartements. Elle s'est fait une beauté et espère que sa coupine en aura fait autant. Oh, ça lui pique bien un peu les yeux, et elle doit se retenir pour ne pas pleurer, mais il paraît qu'il faut souffrir pour être belle.

Muse la regarde, l'air effaré.


Celle-ci a revêtu sa houppelande aux riches tissus, et, fait ô combien exceptionnel, c'est même parée de l'éventail indispensable en telle cérémonie. Cheveux relevés en savant chignon laissant ses mèches rebelles s'exprimer, elle réagit à l'étrange comportement de sa comparse.

t'as quoi ?

je me suis mis des aiguilles dans l'oeil
enfin, sur la paupière

hein ?
euhhhhhhh


Dubitative, Muse se gratte la tête.

et ça t'as pris comme une envie de pisser ?

ben, c'est pour rendre hommage à un royaliste hein.
la borgnitude, ça devient classe maintenant

ah ...
vrai que t'aimes bien paraître classieuse


Muse se tait, avant d'aller trop loin ... déjà que le coup du "non" pour les agréments ne doit pas passer ...


pourquoi que tu te tais?
Muse se retourne

qui ça ?

t'es malade?
moi ? non pas encore

Bref silence ...


d'où qu'elle est ta robe d'abord?
hmmmm

La femme réfléchit, tentant de se souvenir.

je crois que je l'ai eue en Italie ... chui plus très sure ...
elle est joulie hein ?

ah ben pas aujourd'hui hein
Muse faisant mine de ne pas relever, enchaîne ....
et t'as vu ma coiffure ?

ben moi j'aurais préféré des anglaises, surtout qu'y paraît que ton vieux argahouaine il aime pas les angliches
ah ...
il aime pas les anglaises ?
remarques les anciens du LD, c'est souvent ça ...

je vais y chanter une chanson angliche

Muse revient sur sa lancée ...
et t'as vu mes bottes ?
c'est mes toutes premières bottes !

Germaine, chantonnant ...
elle avait des bottes, elle avait des bottes... mais n'avait pas d' culotte
Muse, n'écoutant pas vraiment
ben ces bottes, c'est mes premières bottes
c'est Arga qui me les avaient offertes

on les voit pas sous la robe
quand on monte et qu'on descend les escaliers, on les voit
...
t'es jamais sorti chez les gens de la Haut' toi ?

ben y mettent pas d' bottes avec des robes
...
tu comprend rien toi !


Germaine ricane.

Bref silence. Puis, l'esprit vengeur :
Luc, il viendra dans le carosse avec moi, et toi t'iras à côté du cocher !
c'est décidé !

quel carosse?
ben celui d'Arga Haussement d'épaules. il va quand même pas nous amener là bas dans une chariotte !
ah y monte pas sur un ch'val?
pas pour un mariage quand même ... Puis, prise d'un doute tain j'espère qu'il va pas faire cette bourde là !!!!
ben moi j'espère
Germaine se marre en pensant à la façon de monter de Muse
Cette dernière la regarde suspicieuse.

pourquoi tu ris ?

ben.... ça va êt' beau, une cavalière émérite comme toi, en robe, sur un canasson que tu connaîtras même pas...

...
je monterais pas sur un canasson que je connais pas !
ou alors que si Luc le monte aussi, comme ça je m'agrippe à lui !


Et voici l'heure pour nos protagonistes d'aller dans la Cour où Argawaen les a fait mander.


écrit en 4 mains
--Alistair_


Le jeune homme souriait doucement, cela lui faisait chaud au coeur de voir sa mère réagir de la sorte.
Alistaïr posa sa main sur la joue de Valeryane et déposa un baiser sur son front.


C'est moi mère... C'est bien moi...

Le jeune homme souriait d'avantage en l'entendant parler d'Earnan et d'Alcimane, il se demandait bien si Earnan était toujours un homme d'église, d'ailleurs cela avait été sujet à conflits maintes fois. Alistaïr avait toujours le don pour rabaisser son frère.
En ce qui concerne Alcimane, à dire vrai il l'avait peu côtoyé, mais elle avait du sang de volcan dans les veines !


Que deviennent-ils ? Earnan et Alcimane... Earnan est toujours dans la voie religieuse ? Ne me dis pas que si... Parce que là s'il vient aujourd'hui, vient-il ? Il aura de quoi devenir fou !

Marquant une pause il poursuivit.

Je ne savais pas qu'ils t'avaient invités, c'est malsain de la part de père je trouve... Mais comme tu le dis, vous avez eu des enfants ensemble, j'espère juste que cela ne te peine pas trop d'être ici, et de voir père se marier avec une autre femme que toi.

Avalant sa salive il poursuivit.

Je me demande comment il va réagir en me voyant... Et concernant ce que je fais actuellement... J'aide un forgeron, et ensuite je pense combattre les hérétiques, tu sais, durant ces derniers moi j'ai été en Gerrmanie, c'était vraiment atroce... Mais j'ai su qui j'étais vraiment... Je suis et resterais un guerrier.

Puis regardant autour de lui.

Et toi mère ? Raconte moi un peu... As-tu retrouvé quelqu'un ? Es-tu heureuse ?... Malgré mon long silence, je pensais à toi, tu m'as élevé, tu m'as fait grandir, tu m'as fait devenir homme, père m'a fait devenir soldat, merci pour tout...

Le jeune fils prit le bras de sa mère.

Je resterais près de toi aujourd'hui, demain je ne sais où je serais, attendons père, que nous profitons de lui un minimum avant la cérémonie... Après il sera certainement occupé avec tous les invités. J'aimerais un moment privilégié entre nous.
Bellisendre
[Aux petits Papiers, le matin du mariage]

Belli avait assez peu dormi, mais ce n’était pas de la faute de Djull pour une fois, qui passait une énième nuit à garder la ville. Elle se leva dès qu’elle aperçut un rayon de soleil chatouiller le mur de la pièce sombre.

Aujourd’hui… Elle se tapota les joues pour se mettre les idées bien en place. Aujourd’hui, mariage !

Non, bien sûr, elle ne l’avait pas oublié, Patt n’était jamais loin pour le lui rappeler. Mais ce mariage allait être différent du sien, avec beaucoup de monde. Elle descendit les escaliers en trombe, fit chauffer du pain, coupa de l’eau, étala le fromage et prit un bout dans la grosse motte de jambon, la tête encore un peu dans la brume. Quand elle se rendit compte de ce qu’elle faisait, elle secoua la tête pour remettre tout dans l’ordre…

Un petit déjeuner rapidement avalé, une petite tartine préparée pour son homme et un débarbouillage en règle. Puis elle remonta les escaliers aussi vite qu’elle était descendue pour aller revêtir sa belle robe beige, celle qu’elle avait déjà mise au bal du muguet et qu’elle avait agrémentée de quelques rubans colorés. Bien sûr, elle n’aurait pas autant de cachet que celles des autres, mais elle était bien dans cette robe-là, et ça c’était le plus important.
Elle pensa aussi à préparer des vêtements pour Djull, en espérant qu’il soit à l’heure pour ce mariage là…
Il ne restait plus qu’à se coiffer…

Affairée comme elle l’était, elle mit un temps avant d’entendre le bruit de coups contre la porte. Mais qui pouvait bien venir à cette heure si matinale ?
Lorsqu’elle ouvrit la porte, aveuglée par le soleil, elle aperçut d’abord une silhouette ronde. Plissant les yeux, elle reconnut son amie, l’air contrarié, qui portait sa robe encombrante dans ses bras.
Belli comprit très vite le but de sa visite et la fit entrer avec un grand sourire.

Il était temps de sauver Lu !


- Bonjour ma Belle, entre vite. J’imagine que tu n’arrives pas à fermer ta robe… Euh, je veux dire que les lacets doivent être dans le dos alors c’est compliqué à fermer quand on est coincée comme toi… Enfin, je veux dire que c’est une drôle d’invention tout de même les lacets dans le dos !

Et là, forcément, elle afficha un sourire angélique pour diminuer la bêtise qu’elle venait de dire.
castelreng, incarné par Pattricia
En toulousain, entre capitale et Pennes d’Albigeois…

Enfin le temps de ne penser qu’à eux était arrivé. La levée de ban était enfin terminée et ils se retrouvaient libres. D’autant plus qu’ils en avaient également terminé avec le Gaucher et son honneur « froissé ». Une page de tournée, une autre à écrire.

Sa douce et tendre Blonde à ses cotés, il chevauchait en direction de Sarlat afin de se rendre aux épousailles du Capitaine de la Garde Royale, Pattricia.

A quelques jours de leur propre mariage, ils allaient se mettre dans l’ambiance, à n’en point douter !
Savoir que cette fois rien ne viendrait faire obstacle à ce jour tant attendu le mettait de merveilleuse humeur, et, voyager là, pour autre chose que le devoir, ajoutait à son bonheur.

Il avait reçu l’invitation à ce mariage la veille en soirée et, aidé de sa Promise, avait aussitôt organisé le petit voyage pour s’y rendre dès le lendemain. Pas de boîte sur roues pour le trajet, mais de bons chevaux et un mulet chargé de leurs bagages, une petite escorte et, à l’aube, ils avaient pris la route.


Du Toulousain au Périgord, par la traverse c’est agréable…


Le chemin qui les conduisit à Sarlat fut des plus agréables et se fit sans encombre. Ils avaient pris leur temps, savourant cette liberté toute neuve et quand ils franchirent les portes de la ville, le soir tombait, les noces auraient lieu le lendemain.

Trouver à se loger ne leur posa aucun problème et c’est dans les chambres d’une bonne auberge qu’ils purent prendre une nuit de repos et s‘apprêter quand le jour arriva.

Revêtu tout de bleu, couleur qu’affectionne sa Promise, il avait fait préparer leur monture et attendait qu’elle descende pour aller rejoindre l’église. La cérémonie ne tarderait plus à commencer.

Quand enfin elle apparut en haut des marches, il ne put que la regarder descendre les escaliers avec une admiration non feinte, se disant une fois de plus que bien qu’il l’aima vêtue simplement, il adorait la voir dans ses plus beaux atours.

Quand il ne lui resta plus que deux marches à descendre, il lui tendit la main.


Tu es sublime mon Adorée

Lui susurra t-il avant d’ajouter à voix haute


Les chevaux nous attendent, nous sommes dans les temps…
gourry, incarné par Pattricia
[La ballade jusqu´au dit lieu]

Oh tient!Halte touteuhhhh!Varicelle,on fait un arrêt!Et nan,c´est pour c´que tu crois!Râle pas hein,on s´est arrêter que sept fois depuis Castillon,tu vas pas me le reprocher jusqu´a chez Patt nan?J´ai du boire quelque chose de mauvais pour ma santé...Ou alors,pitêtre que quelqu´un a ,it de la tisane dans la bouteille de liqueur que j´ai bu hier soir pour dormir.

Mais qui aurait pu faire une chose pareille?C´est la pire chose qu´on pourrait me faire!Nan c´est vrai que j´exagère un tit peu.C´est de me faire manquer une sieste juste pour faire exprès.

C´est qu´il est bavard le chauve en ballade.Il mit les pieds à terre,s´approcha d´un arbre,se baissa et attrapa avec toute la compassion,la tolérance et la dextérité qu´on lui connaissait un.....champignon.En fait non,pas un mais plusieurs.Et on peut dire qu´il était ravi.


Varicelle,on pourra faire une bonne tarte!On les déposera à Sarlat et on les récupérera après le mariage.En plus,ca tombe bien,j´ai ramener un grand panier pour y mettre aussi quelques restes qu´y aura du banquet!
Bon,traînassons pas nan plus,sinan on va encore arriver en retard!


Après une bien belle cueillette,il reprit sa place sur le dos du poney et continua la route.

Ah et si on chantait?Allez,je te donne le LA!Laaaaa!"Ffffluuuch"
Euh...C´est pas toutafé ca hein....Bon,moi je chanterai et toi tu marche.On va rester sur ce partage des tâches,c´est plus beaucoup mieux comme ca.


Et c´est donc un Gourry chantonnant l´air du "tralala" qui arrive à destination.Et à une heure bien matinale.Pour lui.Il descendit de son moyen de locomotion,le garait dans l´allée et s´approcha de la porte ou vivait son amie pour la vie et pour toujours jusqu´à ce que la tisane les sépare.
Et toqua trois fois.


TOC!TOC!TOC!
luc_la_misere, incarné par Pattricia
Toujours va nu pied l'ex juge misère aux bras de sa Muse dans ses habits sobres et reprisés car il est grande vanité au regard de déos de se pavaner dans le luxe alors que le combat de la foy exige tous les jours toutes les ressources dont dispose le croyant, regardait d'un œil agaillardi le bourbier ou elle l'avait amené au milieu de ces gens bien mit.

Dit donc mon sourire on à droit aux petits fours?
C'est pas tous les jours qu'ils doivent recevoir un papicide quand même!

Si on m'avait dit j'aurais ramené du palpapal de Genf!

regarde Germaine éborgnée.............

Saperlipopette j'y comprendrait jamais rien à la mode.....


Donc si 'ai bien compris on se saisit de l’évêque et on l'oblige a abjurer son hérésie papiste pendant que les gars sécurisent la mairie c'est bien ça le plan?
Ça me rappelle Mende cette histoire!


Sourit de toutes ses dents d'un air aimable se demandant quand même ce qu'il est venu faire dans cette galère mais les voies de Déos sont impénétrables contrairement à celles de l'enfant de chœur!
--Floris
[Domaine de La Force, jour J, et de trois...]


Le blond vénitien est dans la cour, aux côtés de Souffredoul et regarde le jeune curé ayant en charge le domaine sortir en trombe du château, l'air revêche, se diriger vers la chapelle Renaissance, et y disparaître.

- J'paris que c'est Lucie qui a encore fait des siennes
- Hum... non... je parierais plutôt sur votre frère
- Ah ? Qu'est-ce qui te fait dire ça ?
- Votre soeur est bien trop maline pour se mettre à dos un homme d'église.
- Pas faux... Et comme Cantor ne peut pas le sentir...
- Oui... c'est dans les gènes, votre mère a tenu tête à un Evêque, Grand Inquisiteur en plus, et votre frère lui ressemble trop pour qu'il en soit autrement.
- Mais aussi pourquoi l'avoir choisi lui ?
- Parce qu'il est dure, intolérant et ne saurait être corrompu. Pour une partie de votre éducation, il est ce qu'il y a de mieux, même si pour le moment vous pensez le contraire.


Le troisième larron de la fratrie hausse les épaules. Il aime bien ce drôle de précepteur en fait, il lui rappelle le père Franck, mais pour son frère, il ne trouvait pas que Maman avait eu une si bonne idée. Cantor était aussi rebelle que sa mère, et il avait du mal à comprendre les motivations maternelles. Ceci dit, il était étonnamment de bonne humeur en ce jour pourtant redouté, faut dire que les dernières punitions subies et la menace de vivre loin de la tribu si il ne rentrait pas très vite dans les rangs l'avaient plutôt calmé.

Son frère et sa soeur étaient, pour des raisons propres à chacun, enthousiastes à l'idée de ce mariage, lui... moins... D'abord cette idée de voyage de noces, il savait que le futur mari de leur mère avait moyennement apprécié de savoir que la tribu serait du voyage, persuadé qu'il allait enfin pouvoir garder leur mère pour lui tout seul. Ensuite, le fait qu'il soit dans son collimateur, "tout ça pour deux petites fugues de rien du tout pfff !", ne lui facilitait pas la vie. Et enfin, il le trouvait par moment plutôt rustre, il avait un peu peur qu'avec un caractère comme celui de sa mère, ça ne finisse en drame.

Remarquant que l'homme de confiance de la tribu l'observe, Floris reprend un visage serein, ses sourcils s'étant froncés sous ses sombres pensées.


- Il est temps que tout le monde se secoue un peu, sinon vous ne serez pas sur les marches du parvis de Sainte-Lucie avant l'arrivée de la mariée.
- Moui...
- Ecoute gamin... T'es un petit Monsieur maintenant, tu dois te conduire en tant que tel. Je sais que ce mariage c'est pas ta tasse de tisane, mais c'est un bon bougre tu sais, il est juste plus homme d'armes que de salon, et c'est exactement ce qu'il fallait à ta mère.


Le gamin a l'impression de se retrouver tout minot quand Souffre se met à le tutoyer comme avant et il hoche la tête.

- J'ferai au mieux
- J'aime entendre ça. N'oublie pas que si tu continues à ruer, c'est ta mère que tu blesseras, ton beau-père lui, ça le touchera à peine, il a déjà assez de souci avec sa propre progéniture.
- Oui oui j'ai compris.
- Bien... il est temps de rassembler tout le monde
- J'aurais quand même préféré y aller à cheval.
- Et arriver poussiéreux à Sarlat ? Tu veux vraiment que Mélie me tue !!!


Et c'est en continuant de discuter que le duo se rend au centre de la grande cour d'apparat où les attendent la garde de La Force et le reste de la tribu.
Sybille, incarné par Pattricia
[Jour J dans l'église]

Sybille adressa un petit salut à Luc de la Ribauderie. La foule des grands jours arrivait... Elle connaissait fort peu de monde ayant guère voyagé.

Avec impatience, elle attendait le couple de futurs mariés. L'homme qui épousait Pattricia devait être un rude gaillard ! Elle sourit en repensant au conseil de guerre du PA...
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