germaine, incarné par Pattricia
Papilles, papillotes...
Dans ses quartiers, Germaine râle, pour changer.
Y a rien à grailler dans c' musée, bordel ! J'ai les papilles en déroute ! annonce-t-elle au miroir qui reste muet.
Pffff, j'ai encore dû m' gourrer d'histoire moi ! Sal'té d' miroir!
Elle sort une robe de sa besace, pour qu'elle se défroisse un chouïa histoire de pas faire miséreuse, sans jeu de mot, avant de se décider à aller surveiller les préparatifs de la femme Misère, justement.
À peine entrée, l'autre lui saute sur le poil, à demi hystérique :
Gertrude, t'as des fers à friser ?
Qu'est ce j'en f'rais, plat d' nouilles ? j'ai pas beaucoup d' cheveux vu que j' les ai rasés pour m'faire trépaner par l'aut' naze d' Houze !
Tu sers à rien quoi !
Tsss... mais j' peux t' faire des papillotes s' tu veux !
Hmmmm...
j'ai comme un doute là !
Musartine plisse les yeux.
Ben oui quoi, avec du papier recyclé trempé dans d'la bière, j' le tortille pis j'enroule chaque mèche autour, j'fais un nud, pis quand c'est sec, j'enlève.
Ben c'est juste le côté cheveux rebelles, faut souligner un peu !
Ah comme ça tu s' ras toute frisée !
Non pas tout friser ! Je suis pas un caniche non plus !
Ben vu la longueur ça f'ra pas caniche, ça t' fera plutôt des anglaises.
Woui...mais pas trop non plus !
Musartine ne se sent pas aidée
Germaine regarde la mine de sa coupine, qui ne semble pas convaincue.
Hey c'est pas pasque j'ai dit que j' me f' rais coiffeuse si j' loupais mon rata qu'y faut m' croire sur parole, hein ?
Musartine se marre
C'est bien ce qui m'inquiète !
Bon, ben si tu m'fais pas confiance, tu t' démerdes avec tes broussailles, namého !
J'vais pas m' mett' en quat' pour une greluche qu'est même pas r'connaissante de tout c'que j'fais pour elle !
Germaine boude et retourne à ses préparatifs personnels.
Si tu changes d' comportement, j'suis dans mes appartements, na !
Dans ses quartiers, Germaine râle, pour changer.
Y a rien à grailler dans c' musée, bordel ! J'ai les papilles en déroute ! annonce-t-elle au miroir qui reste muet.
Pffff, j'ai encore dû m' gourrer d'histoire moi ! Sal'té d' miroir!
Elle sort une robe de sa besace, pour qu'elle se défroisse un chouïa histoire de pas faire miséreuse, sans jeu de mot, avant de se décider à aller surveiller les préparatifs de la femme Misère, justement.
À peine entrée, l'autre lui saute sur le poil, à demi hystérique :
Gertrude, t'as des fers à friser ?
Qu'est ce j'en f'rais, plat d' nouilles ? j'ai pas beaucoup d' cheveux vu que j' les ai rasés pour m'faire trépaner par l'aut' naze d' Houze !
Tu sers à rien quoi !
Tsss... mais j' peux t' faire des papillotes s' tu veux !
Hmmmm...
j'ai comme un doute là !
Musartine plisse les yeux.
Ben oui quoi, avec du papier recyclé trempé dans d'la bière, j' le tortille pis j'enroule chaque mèche autour, j'fais un nud, pis quand c'est sec, j'enlève.
Ben c'est juste le côté cheveux rebelles, faut souligner un peu !
Ah comme ça tu s' ras toute frisée !
Non pas tout friser ! Je suis pas un caniche non plus !
Ben vu la longueur ça f'ra pas caniche, ça t' fera plutôt des anglaises.
Woui...mais pas trop non plus !
Musartine ne se sent pas aidée
Germaine regarde la mine de sa coupine, qui ne semble pas convaincue.
Hey c'est pas pasque j'ai dit que j' me f' rais coiffeuse si j' loupais mon rata qu'y faut m' croire sur parole, hein ?
Musartine se marre
C'est bien ce qui m'inquiète !
Bon, ben si tu m'fais pas confiance, tu t' démerdes avec tes broussailles, namého !
J'vais pas m' mett' en quat' pour une greluche qu'est même pas r'connaissante de tout c'que j'fais pour elle !
Germaine boude et retourne à ses préparatifs personnels.
Si tu changes d' comportement, j'suis dans mes appartements, na !
Adaptation d'un semblant de RP sur Skype