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[RP] église Sainte Lucie

Valet de Marie, incarné par Pattricia
Le valet de la petite marie s affairait partout pour repondre a ses souhaits ! Mais il n était pas malheureux de servir une charmante damoiselle !Aller chercher ceci cela , acheter la perruque , le maquillage aller la chercher la robe fin prete , Ranger les braies de mademoiselle , aller faure graver l epee et il en oubliait des tonnes ! Donc le gentil et patient valet avec un bon saliare permettant de se faire plaisir eh bien s est fait plaisir avec cette tenue !

http://www.bing.com/images/search?q=tenue+valet+&qs=n&form=QBIR&pq=tenue+valet+&sc=0-0&sp=-1&sk=#view=detail&id=2F6C0F5B9082716E35DA1E6D0D8A2C2208468450&selectedIndex=37

Et puis apres tout il pouvait se faire plaisir alors il le fesait ! Il patientati avec sa cithare jouant un air gai devant l eglise en attendant que marie ai fini de discutayer avec papa
Maxiuszedeus, incarné par Pattricia
[La veille sur les routes]

Le coeur léger, l'âme en fête, La Blonde accompagne son fiancé au mariage de son Amie, sans même râler de devoir encore faire route à cheval. Ce mois et demi de ban lui avait un peu émoussé le plaisir de monter son Bel Alezan blanc. Crin-blanc ne semblait pas s'en offenser et conduisait docilement sa cavalière à sa destination.
La Blonde fut tout de même soulagée de gagner sa chambre à l'auberge périgourdine afin de se reposer et prendre un bain aux aurores. Sa robe, savamment emballée par Nortimer, était aussi fraîche et prête à être portée que lors de sa sortie des mains de la lingère.

[Le Jour J, Sarlat]

Après un bain parfumé aux fleurs de violette, elle avait enfilé sa robe et s'était coiffée sans trop de complexité. Quelques boucles, quelques épingles...et la voilà prête juste quand on vient la prévenir que son fiancé la fait mander.

Dernier regard dans la psyché pour s'assurer de sa mise et elle descend au rez de chaussé. Dés les premières marches son regard accroche la silhouette tant aimée et l'admire. Il est si beau en grande tenue...il a beau l'avoir séduite en simple mise, elle le trouvait magnifique dans ces habits qui en plus faisaient ressortir sa Noblesse naturelle.
La Baronne rougit au compliment de son fiancé ensorcelé.

"Et vous Vous êtes Divin Mon Adoré!"

Elle le suit à l'extérieur, il l'aide à monter sur le dos de Crin-blanc.
Erwelyn, incarné par Pattricia
Elle était viendue. Pile poil à l'heure, mais elle était là. Il faut dire que la route Maine-Périgord n'était pas des plus courtes, mais heureusement le temps avait passé relativement vite vu la personne qui l'avait accompagnée. Évidemment, les deux roses avaient pris le temps de s'arrêter dans une auberge la veille au soir afin que de se rafraîchir et d'enfiler LA tenue obligégatoire de mariage, rose bien sûr. Enfin en tout cas pour Maine, c'était la couleur qu'elle arborerait ce jour là.
Jour d'ailleurs auquel elle ne s'attendait pas du tout et c'est avec surprise que la duchesse avait reçu l'invitation de l'ours quelque temps auparavant. Se marier, quelle idée ! Dire qu'elle avait presque réussi à faire dissoudre son mariage, que ce n'était plus qu'une question de jours, voilà que l'ours, lui, retombait dans les filets des épousailles. Enfin, s'il était heureux, c'était le principal. Et puis, chaque mariage ne finissait pas en eau de boudin, c'est ce qu'il fallait se dire.

Alors que le coche faisait route vers l'église de Sarlat, Lynette se remémorait les moments vécus dans cette ville. Pour elle, ce comté était avant tout celui des poneys roses. Poneys roses qui étaient aujourd'hui disséminés un peu partout et avec une Sainte Boulasse qui avait rendu l'âme. Le temps des poneys était révolu et ça, ça lui collait le moral dans les chausses. Ou plutôt dans les poulaines. Soupirant, elle porta son regard vers Rosa.


Bon sang, ce bourg me colle le bourdon ! Même pas une statue à l’effigie des poneys roses, vous vous rendez compte Rosa ? Heureusement, maintenant que mon magnifique fils est Roy, j'espère qu'il va remédier ça. Je pensais à une statue de poney par ville, vous croyez que ça va faire assez ? Ville du Royaume j'entends hein, pas que du Périgord !

Cahin-caha, la duchesse attendait réponse de Rosa, alors même que le coche ralentissait en vue de l'église où un paquet de monde s’agglutinait déjà sur le parvis.

Mais bon, je suis tout de même contente d'être là, un mariage ça se fête ! Et puis je lui souhaite d'être heureux, au grognon, il le mérite le bougre.

Elle eut alors un sourire malicieux ainsi qu'un clin d’œil en direction de sa vis-à-vis.

Et puis, s'il savait la surprise que je lui réserve, il n'en reviendrait pas !
plumenoire, incarné par Pattricia
[Dans les rues de Sarlat ... ]

La louve avait faim, elle n'avait pas mangé depuis la veille, ou le matin même, tôt ... Elle n'en savait rien, mais elle voulait manger.
Se dirigeant vers un étale de fruits frais, elle en acheta un, reprenant ensuite sa route vers l'église.
Croquant à pleine dents dans le fruit mûre, la louve arriva bientôt à Sainte Lucie.

La place était déjà emplie de monde, et le cortège d'Argawaen arrivait. Jouant des mains et des coudes, Plume pour ne pas se retrouver écrasée, la louve se faufila entre les invités et les habitants pour essayer d’apercevoir le marié.
Lorsqu’elle fut enfin devant, elle se mit à scruter le carrosse, espérant voir l’ours.

Vint enfin le moment où il sortit de la voiture. La louve ouvrit grand la bouche, il était splendide, vraiment splendide. Pour elle qui avait l’habitude de le voir en armure ... Elle vérifia que Denzel n’était pas dans les parages, des fois qu’il aurait décidé de venir, puis chercha la marié … Rien, elle pouvait donc contempler à loisir le Seigneur des Ours.
Le regardant s’avancer et parler aux invités la louve hésita. Intimidée ? Elle ? Peut-être un peu …

Il semblait être heureux, très heureux. Tous se pressaient plus ou moins pour voir le marié. Elle sourit amusée, le pauvre ours qui ne supportait pas qu’on le presse de questions … Comment allait il survivre à ce traitement ?
La brune s’approcha doucement du vieil ours.


Erf Arga … ! Bon courage, essaye de n’assommer personne … !

La louve lui fit un clin d’œil, complice mais moqueur.

Et … hum, le reluque de la tête aux pieds, t’aurais pu mieux faire pour ton mariage !
Enfin, il est trop tard pour te changer ! Nous dirons donc que cela ira …


Soit en langage Plumesque : t’es magnifique vieil ours !
La louve partie d’un rire amusé, le provoquant gentiment du regard.
Ricco, incarné par Pattricia
Et voila que le s mariés arrivent !

- Et bien voilà, Dame Hersent ! Notre attente est enfin terminée ! Voilà les mariés !

Se levant pour mieux voir les beaux entrer et ensuite prendrait place là où devra aller, les félicitations ce sera pour après !
sybille, incarné par Pattricia
Sybille oreille dressée écoutait toutes les conversations, observait les effusions. Que de têtes à ce mariage. Elle lança un sourire en direction de Dame Plume, regardait les couples se former et se dit qu'il était peut être temps de s'installer au frais derrière un pilier de l'église.
Argawaen


Face à sa fille le vieil homme ne put qu'être admiratif, et voilà maintenant qu'elle avait la Foy, qu'elle avait compris son histoire, lui avait-on racontée ? Certainement. Argawaen la relâcha doucement et lui fit un léger sourire, essuyant sa joue au passage.

Ta belle-mère se nomme Pattricia, c'est une femme avec du caractère, une mère, une guerrière. Je suis certain que tu l'apprécieras. Ma fille, lorsque nous serons dans l'église, je te veux au premier rang, du moins, si tu le désirs... Pour l'heure, accompagne moi voir les invités, veux-tu ?

Avant même que sa fille réponde, voilà qu'une louve faisait son apparition, et pour ne pas changer, elle était toujours aussi provocante...
L'homme se redressa et fixait Plume en fronçant les sourcils. Cependant son visage s'adoucit subitement, il souriait et lui fit une bise.


Je sais que ton futur époux n'aura pas la même classe et la même stature que l'ours que je suis, ne fait donc pas ta jalouse mon amie, contente toi d'admirer, et de te taire.

Le Dehuit de Malemort riait doucement et fut interpellé par plusieurs femmes, il reconnu la Baronne, sa seconde témoin Feuillle.
Argawaen regardait de nouveau Plume.


Je te présente ma fille au fait, Cassandre, il y a également mon fils aîné, Alistaïr qui est près de Valeryane un peu plus loin. Mon fils cadet et Alcimane devraient être là normalement, du moins je l'espère... Tu vas être entourée d'ours, prends garde à toi la louve.

Afin que Feuillle et la poney rose le voit, il leva le bras, mais pour attirer la Baronne il fallait quelque chose de plus.. Convainquant...
Pour cela il décida d'employer une phrase typique...


La prune est ce qu'il y a de meilleur ! La poire ! Ce n'est que du mauvais vin !

Le vieil homme s'attendait déjà à une forte réaction de son amie, mais après tout, il s'en fichait, tout deux avaient passés des soirées ensemble à boire pendant la mobilisation au Mans, et ce lien d'amitié s'était renforcé au fil des jours. La Baronne avait pratiquement son âge, entre deux vieux, ils avaient partagés leurs vies, leurs histoires, ils avaient même jouté ensemble ! Enfin pas l'un contre l'autre, il aurait gagné de toute façon...

Son regard se portait sur l'aumônière de l'OSS, il se souvint qu'elle avait été horrifiée de ses aveux, de ce qu'il avait fait, mais elle avait fait preuve de compréhension, de professionnalisme et d'écoute. Il lui avait demandé d'être l'une de ses témoins, et ce n'était pas pour rien... Absoudre ses pêchés ce n'est pas rien, bien qu'il ne croyait toujours pas au grand barbu, il se sentait quand même soulagé d'avoir pu vider son sac face à une personne de l'église.

_________________
--Souffredoul
L'homme de confiance de la rousse avait pris la tête du convoi, dans le coche il y a les mioches, le curé coincé, et la jeune Linette qui veille à ce que la fratrie se tienne correctement. C'est qu'il la met mal à son aise le religieux, elle qui est protestante. Évidemment, dès qu'elle avait été embauchée, on lui avait conseillé de ne pas en faire état et d'assister à la messe le dimanche sans pour autant participer aux bondieuseries. Chez les La Canéda, la liberté religieuse était essentielle, mais on avait appris à composer avec les fouille-m.... qui cherchaient noises pour un oui ou un non à ceux qui refusaient de rentrer dans le moule.

Alors puisqu'il était jugé correct d'avoir son homme de religion, de donner messe au sein de son domaine, la rousse s'était plié à la coutume, préservant par cela, les apparences, les huguenots étant nombreux dans sa maisonnées. Tout ce qu'elle voulait, c'était que chacun puisse suivre sa libre pensée, sans pour autant s'attirer les foudres romaines. Pour ce qui est de Souffredoul, lui il s'en tape, ses dieux étant le sexe, l'alcool et les champs de bataille, et il était assez mal embouché pour tenir à distance le cureton des lieux.

Cela faisait quelques heures qu'ils avançaient sur la route qui relie Berg à Sarlat, La Force se trouvant à presque mi-chemin entre les deux et, bien que l'on soit encore à une heure matinale, le soleil est déjà de plomb. Le vieux a mis ses beaux habits aux couleurs des La Canéda et c'est pas peu fier qu'il a remarqué le regard discrètement admiratif de Mélie avant qu'elle ne parte à l'aube naissante. "Cette fois j'ai p'têtre une chance de la faire danser sans qu'elle me retourne un de ses regards méprisants qui vous ratatinerait votre engin aussi surement qu'une sorcière vous nouerait l'aiguillette !"

Mais déjà ils passent la porte de Sarlat, sous les yeux écarquillés des badauds, faut dire que les étendards LaCanédiens et des Seigneurs de La Force sont en tête du convoi, que ce dernier est divisé en deux, affichant blason familial ou nobiliaire, suivant qu'il était du rang de droite ou de gauche. Une chance que les deux soient de couleur bleu, même si l'un était plus foncé que l'autre. Quand Lucie commence à saluer à la fenêtre telle une Reyne, la main de Linette s'empresse de la forcer à se caler sur le fond de la banquette.

Une fois arrivée sur la place de l'église, l'ancien fait se positionner le coche face à celui du marié et donne ordre aux laquais afin que le marchepied soit mis en place et que les passagers puissent atteindre la terre ferme. Il saute ensuite au bas de sa monture et se présente à Argawaen.


Monseigneur, les enfants sont là, les garçons s'occuperont des bagues nuptiales et la petite Lucie va attendre sa mère. Puis-je vous demander autorisation de faire entrer les invités et les témoins ?
Kildara
[Aux abords du lac]

Caoillain...
Oui oui je sais Erin, je n'ai pas oublié. Merci. Je n'oublie pas tout quand même... Pfff
Namé moi j'dis ça, j'dis rien hein.
Ben dis rien alors.
Ceart gu leòr!*
[...]

Mais c'est qu'elle pouvait être mauvaise l'écossaise en plus. Kil passa pour cette fois. Après tout, elle lui devait la vie. Pis fallait bien la supporter elle-aussi.

Allez en route, on nous attend.

[Sur le parvis de l'église Sainte-Lucie]

Kildara avait été émue de recevoir le faire part du mariage de Pattricia. Même si, il faut le dire, elle ne s'y attendait pas! Non de l'invitation mais du mariage en lui-même. Elle était impatiente de revoir la petite famille et l'heureux élu qu'elle n'avait pas encore eu l'occasion de rencontrer.

Elle arriva donc parée d'une robe belle mais simple, sans artifices particuliers.

Étant donné la foule réunie, elle se faufila sur le côté en attendant d'entrer dans l'église. Nul doute qu'elle aurait tout le loisir de papoter avec l'un ou l'autre plus tard. Mais pour l'instant, elle ne voulait pas déranger quiconque, chacun étant absorbé dans sa propre conversation.




* D'accord!
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plumenoire, incarné par Pattricia
L'ours la bisouillait ? Il lui faisait une bise, une vraie, sans bave ni rien !
La brune en fut toute retournée !


Euh .. bah .. de .. je euh ...

La brune fit une vilaine grimace.
Erf … si je me mets à plus pouvoir parler j'vais être convaincante moi hein ! Se dit Plume.
Elle fini par bisouiller Arga puis répondit à son tour


J'me marierais pas. Comme ça plus de ... robes

La brune eu une moue puis sourit amusée, elle inclina le visage pour saluer l’enfant

Bonjour ... Enchantée de faire votre connaissance. Je suis … la vilaine louve !

Elle lui sourit gentiment, avant de lui faire un clin d'œil. Puis remonta sur Arga

Ho ... t'inquiète pas vilain ours ... J'en ferais qu'une bouchée. La louve à des crocs, elle sait s'en servir ...

La louve se mit à rire doucement.

Bien, je vous laisse, je vais m'installer ! Profite bien Arga..

Souriant à l'ours et à sa fille, la brune fila voir Sybille et lui sourit largement.

Bonjour !
[/i]
Mari...., incarné par Pattricia


La petite marie fit une reverence mais bon elle n était pas vraiment robe et postiche et tout donc en faisant sa reverence elle fit tomber le postiche qu elle ramasse aussitôt et remit ni vu ni connu sur sa petite tete . Cette faute de sa part devoila des cheveux lui arrivant jusqu aux genoux qu elle eu d ailleurs du mal a remettre sous le postiche .


-Enchantée madame la louve !


La petite marie regrettait ses braies et sa chemise pas tres feminine e::e se consola en se disant qu elle l aurai un jour son epee !

-Oui père je m installerai au premier rang mais a fait j ai une question comment se nomme mon frere jumeau
sybille, incarné par Pattricia
Sybille adressa un large sourire à Plume en laquelle elle voyait une bouée de secours face à tous ces inconnus.

Dame Plume !
Vous me sauvez !


Elle se pencha et lui murmura.

Connaissez vous tout ce monde ? Vous me semblez à l'aise.
musartine, incarné par Pattricia
Moment de calme -un peu, faut profiter - où Muse rend son regard à Arga, où elle lui sourit, de ce sourire rassurant, bienveillant.

T'en fais pas Arga, ça va bien se passer.

Et déjà, elle n'est plus là, déjà, elle est sortie du carosse, se mêlant à la foule des invités qui se trouvent sur ce parvis.

Elle regarde alors alentours, observer qui est là, qui elle peut bien connaître, observer ces hommes et femmes en tenue d'apparat pour l'occasion, observer comment les siens peuvent réagir, et encore, pour le moment, garder un oeil sur Argawaen qui tient son rôle. Léger sourire amusé, à le voir si bien s'en sortir. Il semble en effet parmis les siens.

Nouveau regard sur cette foule, puis ...


Mais qui voilà ? ohoh !!

Et la voilà se mêler au jeu des invités de mariage, se plaçant derrière le baccard, parce que derrière sans prévenir, c'est quand même plus amusant que par devant lui, l'effet de surprise ... comprenez.

Tutule ! qui donc aurait dit qu'on se reverrait dans un tel contexte !
Djull, incarné par Pattricia
[LE JOUR J EN FIN DE MATINEE]

La nuit de garde venait de se terminer. Tout s'était passer pour le mieux et Djull se rentrait dans son chez lui espérant retrouver sa douce. Vu l'heure, elle devrait déjà être levé mais peu importe, c'est toujours un bonheur de la voir.

Arrivé aux Petits Papiers, il se rendit vite compte que la maison était vide. Il inspecta chaque pièce, aucune trace de Bellisendre. Il avait beau réfléchir après une nuit sur les remparts, il n'avait pas la moindre idée de là où elle pouvait être. Peut être à son échoppe acquise il y a peu. Mais c'était le moment de dormir. Il ouvrit la porte de la chambre et tomba sur le lit. Mais c'était différent des autres jours. Le lit ne semblait pas défait et quelque chose était posé dessus. Il s'aperçut qu'il s'était allongé sur des vêtements, les siens qui plus est. En un quart de seconde, il fut frappé par un éclair de réflexion.

BORDEL LE MARIAGE, vais encore être en retard

Il se leva d'un bond. Il n'était plus question de dormir mais de se changer à grande vitesse. La maison aurait pu s'écrouler, il s'en foutait, il devait faire vite de peur de se faire avoiner par sa douce voir même par la future mariée.

P*****, P*****, P*****, P*****

Jamais il s'était retrouvé nu comme un ver aussi rapidement, même pour faire des galipettes avec Belli. Là c'était un cas de force majeur. Il se débarbouilla le visage et le reste du corps. Il courait de pièce en pièce toujours nu tentant de se préparer rapidement, mais le manque de sommeil le faisait perdre le fil des choses. Il descendit même à la cuisine sans savoir ce qu'il recherchait. Il remonta aussi vite à la chambre et enfila ces vêtements. Difficile d'enfiler un pantalon par la tête, il aimait les défis mais celui là semblait irréalisable et surtout c'était pas le moment. Il remis de l'ordre dans l'enfilage de ces habits. Il était à présent correctement habillé, du moins chaque chose était à sa place. Il ne lui fallait plus que boutonner sa chemise et ajuster un peu mieux le reste. Pas grave, il ferait ça plus tard.

Alerte générale, il descendit les escaliers quatre à quatre, faillit tomber deux fois se rattrapant à la rampe par miracle. Il sortit fermant la porte, un tour de clé et il se remit à courir de plus belle. La tête levé en direction de l'église, il arpentait les ruelles de la ville tel un cheval pris de folie. Il pris soin d'éviter les flaques pour ne pas arriver dans un sale état, ce serait vraiment la cerise sur le cageot.

L'église, enfin, il devait faire partie de derniers mais il n'était pas tant en retard que ça, il courut encore jusque devant le parvis, la crainte que le mariage soit terminé et que tout le monde soit sorti. Il se ferait tuer si c'était le cas. Arrivant à proximité des invités, il se laissa glisser sur les talons afin de s'arrêter. Se redressant il put prendre le temps de boutonner le haut de sa chemise, frottant légèrement sa veste enlevant un pli. Plusieurs personnes le dévisageait se demandant qu'il pouvait être.

euh... Bonjour tout le monde

Le sourire aux lèvres, il se sentait plus ou moins fier d'être arriver dans les temps. Il ne manquait plus que retrouver Bellisendre...
Bellisendre
[Aux Petits Papiers, avant l’arrivée de Djull]

Luae fit finalement un passage éclair, mais Belli doutait qu’elle soit si pressée d’aller à l’église… Car elle n’avait pas assisté à l’office mémorable du mariage de la brune et de Djull, prétextant une allergie quelconque dans les églises. Son amie avait filé sans même qu’elle ait pu lui proposé de l’accompagner. Elle avait eu le temps de noter un changement dans sa voix lorsqu’elle fit allusion à Pout. Belli pensait souvent à lui, et à Lu aussi, cachant toute la compassion qu’elle éprouvait pour la future maman et préférant éviter le sujet.

Il restait un peu de temps, alors Belli finit de se préparer, attendant Djull, qui n’arrivait pas. Elle commençait à pester intérieurement, mais c’est le genre de défaut que persiste alors il faut s’y habituer.
Ne pouvant plus patienter plus longtemps, elle décida de partir à l’église seule, assez contrariée, car elle aurait préféré arriver accompagnée, ça fait plus d’effet.
Elle retrouverait bien des amis là-bas de toute façon.


[à l’église]

Lorsqu’elle arriva, beaucoup d’invités étaient déjà là, parés de beaux vêtements chamarrés qui invitaient à la fête. Elle observa l’assemblée, mais ne reconnut personne, il fallait dire que Patt et Arga étaient connus, mais elle n’avait pas imaginé qu’il ya aurait tant de monde tout de même. D’ailleurs, elle aperçut l’ours qui était vraiment magnifique, mais elle se garderait de lui dire, de toute manière, impossible de l’approcher. Elle vit aussi Plume en conversation avec une femme. Puis, pas si loin, elle aperçut Eni qui se frayait un chemin avec ses enfants. Elle décida d’aller à leur rencontre, jetant un dernier coup d’œil aux alentours pour tenter d’apercevoir son retardataire d’époux.

- Bonjour Eni, je suis contente de te voir et de voir des enfants, cela fait longtemps. Que penses-tu d’aller nous installer ?

Elle caressa tendrement les joues des mioches en souriant.
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