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[RP] église Sainte Lucie

Lanaelle_
Elle resta un instant silencieuse puis reprit la parole…



Je vous invite à communier tous ensemble pour nous rapprocher de l’idéal aristotélicien de l’amitié entre fidèles, de cet amour entre les hommes.

Elle rompit le pain et en donna un morceau à chaque personne qui se présentait vers elle.



La communion terminée, elle s’adressa à ses paroissiens…

Mes enfants, je vous dis à dimanche prochain

Allez dans la paix et l’amour aristotélicienne.




_________________
Lanaelle_
[dimanche 28 août 1464]


Dimanche matin, comme chaque semaine, la rousse se dirigea vers le marché, acheta les fleurs pour la décoration de l’autel puis se dirigea vers l’église.

Elle monta les escaliers qui menait au parvis, ouvrir la porte de l’édifice en grand pour faire entrer l’air frais puis commença par décoré l’autel. Elle plaça un gros bouquet de fleurs blanches devant l’autel et deux autres sur le côté, puis déposa quelques fleurs et
Branchages sur l’autel







Elle alla se préparer dans la sacristie et demanda au bedeau de sonner les cloches.







Elle remonta l’allée centrale et attendit ses paroissiens à la porte de l’église.


_________________
Lanaelle_
Les paroissiens installés, elle alla se placer derrière l’autel et les regarda en souriant.

Bonjour mes enfants, bienvenue dans la maison du Très Haut,
pour bien débuter notre messe, commençons par demander pardon pour
nos péchés. Récitons le Confiteor….











Elle récita la prière du pardon avec toute l’assemblée puis repris…



Maintenant réaffirmons notre foi en Dieu et reprenons en chœur le crédo…








Le Credo récité, elle regarda les rares paroissiens qui se trouvaient dans l’église…


Elle se dirigea vers le livre des vertus et l’ouvrit à la page du texte choisit pour ce mercredi…






Lecture du Livre sacré des vertus - Livre II : Partie 2 : Vita de Christos


Citation:
Gloire à toi Seigneur

Christos aimait s’occuper de ces placides animaux. Quand on lui demandait pourquoi, arguant du pénible labeur que cela nécessitait, Christos répondait:
" Dieu a donné aux humains le travail pour qu’à chaque jour ils méritent le titre d’enfants de Dieu. Il a permit que nous soyons supérieurs aux animaux et seuls bénéficiaires du don du langage, car nous sommes les seuls capables d’aimer sans attendre en retour. J’aime ces moutons et ces brebis, non pas en espérant qu’elles me le rendent, mais parce qu’elles sont comme nous issues du Très Haut. "

Christos aidait souvent son père à transporter les stères de bois du marché jusqu’à chez lui, et là, il regardait Giosep travailler le bois et lui donner forme.

Un jour, Christos dit :
" Ce bois que tu rabote et que tu coupes pour en faire des charpentes, il est à l’image du monde. Car le monde sera tel que nous le bâtirons, aussi, il est important d’y travailler avec amour et attention. Les hommes sont des charpentes, et je ferais de ces charpentes le faîte de mon Eglise. "



Louange à toi Seigneur

Voyez chers fidèles, ou plutôt entendez ! Christos ici dans sa grande sagesse nous montre à quel point le travail est important. Il
permet aux hommes de bâtir ce qui les entoure. Il nous permet aussi de chérir
le monde qui nous entoure en nous l'appropriant en faisant partie intégrante de
lui et lui de nous. Dieu nous a donner cette chance, ne la perdons pas.

Notons aussi que la fin du discours montre l'importance de l'Eglise, qui ici est la
clé de voute de l'édifice de Dieu sur la terre.



Ne négligeons plus dès a présent le travail et travaillons sans
relâche à la gloire de notre archevêché et de la Sainte Eglise, car dans cette voie
existe le salut de l'homme. Travailler dans et pour l'amour des autres c'est à dire
dans la vertus sera le meilleur acte que l'homme pourra accomplir.

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Lanaelle_
Elle resta un instant silencieuse puis reprit la parole…



Je vous invite à communier tous ensemble pour nous rapprocher de l’idéal aristotélicien de l’amitié entre fidèles, de cet amour entre les hommes.

Elle rompit le pain et en donna un morceau à chaque personne qui se présentait vers elle.







La communion terminée, elle s’adressa à ses paroissiens…

Mes enfants, je vous dis à dimanche prochain

Allez dans la paix et l’amour aristotélicienne




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Lanaelle_
Dimanche matin, comme chaque semaine, la rousse se dirigea vers le marché, acheta les fleurs pour la décoration de l’autel puis se dirigea vers l’église.

Elle monta les escaliers qui menait au parvis, ouvrir la porte de l’édifice en grand pour faire entrer l’air frais puis commença par décoré l’autel. Elle plaça un gros bouquet de fleurs blanches devant l’autel et deux autres sur le côté, puis déposa quelques fleurs et
Branchages sur l’autel.


Ce matin, comme les autres dimanches, elle allait dire la messe ….. dans une
Eglise vide…. Mais elle serait là et prierait pour tous ceux qu’elle aime….







Elle alla se préparer dans la sacristie et demanda au bedeau de sonner les cloches.







Elle remonta l’allée centrale et attendit ses paroissiens à la porte de l’église.


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Lanaelle_
Les paroissiens installés, elle alla se placer derrière l’autel et les regarda en souriant.

Bonjour mes enfants, bienvenue dans la maison du Très Haut, pour bien débuter notre messe, commençons par demander pardon pour nos péchés. Récitons le Confiteor….










Elle récita la prière du pardon avec toute l’assemblée puis repris…



Maintenant réaffirmons notre foi en Dieu et reprenons en chœur le crédo…








Le Credo récité, elle regarda les rares paroissiens qui se trouvaient dans l’église…


Elle se dirigea vers le livre des vertus et l’ouvrit à la page du texte choisit pour ce mercredi…







Aristote : Dialogues XII – L’ermite[/b]

Citation:

Aristote cheminait en Attique alors qu’il avait rendu visite à un lointain parent vivant à Thèbes. Il était seul, ayant laissé la responsabilité de son école à ses meilleurs élèves. Mais une bifurcation, il se trompa de chemins et au lieu de redescendre vers la plaine et la ville, il s’engagea dans les collines. Au bout de deux heures de marches, il se rendit compte de son erreur et avisa une habitation isolée. Il décida d’y aller demander conseil sur la route à suivre.

Au fur et à mesure qu’il s’approchait, il se rendit compte que ce qui de loin passait pour une maison n’était une mauvaise cabane adossée aux rochers masquant grossièrement l’entrée d’une grotte.

Il frappa à la porte et héla, on vint lui ouvrir. L’homme, âgé, était à peine vêtu, et seulement de haillons. Il était maigre et hirsute.

Aristote : « boujour, vieil homme. Je me suis perdu et cherche le chemin de Mégare. »
Ermite : « c’est si tu y vas que tu seras perdu.»
Aristote : « je n’ai point souvenir que la ville ou les routes alentours soient à ce point peuplées de brigands. »
Ermite : « qui donc te parle de brigands. Elles sont peuplées d’humains. C’est déjà bien assez dangereux. »


Aristote comprit qu’il avait affaire à un ermite.

Aristote : « dis-moi, es-tu heureux ? »
Ermite : « Si je suis heureux ? Et comment ? J’ai tout ce qu’il me faut : l’eau de la rivière, des oliviers, un petit jardin. Et comme je ne suis pas maladroit de mes mains, je fabrique ce dont j’ai besoin. Je n’ai besoin de rien, ni de personne. Je suis parfaitement heureux. »
Aristote : « un homme ne peut pas se contenter d’une telle vie. Ou alors il n’est pas pleinement. »
Ermites : «Balivernes ! Je suis le meilleur des hommes. »
Aristote : « Comment le saurais-tu, toi qui ne connais pas les autres ? Etre un humain, c’est vivre selon la vertu. Et la vertu est une pratique qu’on ne peut exprimer qu’avec les autres. Tu vis bien certes, mais tu ne pratiques aucune vertu puisqu’il n’y a personne avec qui tu puisses la pratiquer. Tu vis comme un ours, indépendant. Mais a-t-on vu un ours faire preuve de vertu ? Tu n’es pas un homme heureux puisque tu n’es même pas un humain. Un humain a des amis, où sont les tiens ? »
Ermite : « Mes amis sont la nature, mes oliviers, mes légumes. »
Aristote : « une véritable amitié se fait entre égaux. Tu es donc l’égal d’un olivier : planté et immobile. Tu survis en marge de la Cité au lieu d’y participer comme le fait tout véritable humain. Je vais donc te laisser prendre racine, adieu ! »

Et Aristote reprit sa route, descendant vers Mégare.






Elle resta un instant silencieuse puis reprit la parole…




Mes enfants, nous ne sommes rien sans les autres, la famille, les amis sont très
Importants, ils nous aident à avancer. Pensez-y et SURTOUT ne restez pas
Seul dans votre coin mais aller vers les autres, partagez, donnez, communiquez….








Je vous invite à communier tous ensemble pour nous rapprocher de l’idéal aristotélicien de l’amitié entre fidèles, de cet amour entre les hommes.

Elle rompit le pain et en donna un morceau à chaque personne qui se présentait vers elle.







La communion terminée, elle s’adressa à ses paroissiens…

Mes enfants, je vous dis à dimanche prochain

Allez dans la paix et l’amour aristotélicienne




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Lanaelle_
[dimanche 18 septembre 1464]


Dimanche matin, très tôt, le marché venait à peine d’ouvrir et la rousse se dirigea vers
Le marchand de fleurs où elle avait l’habitude d’acheter des fleurs pour décorer l’église.

Elle se dirigea ensuite vers l’église, monta les escaliers qui menait au parvis, ouvrir la porte de l’édifice en grand pour faire entrer l’air frais puis commença par décoré l’autel.



Ce matin, comme les autres dimanches matins depuis son arrivée à Sarlat, elle allait dire la messe ….. dans une Eglise vide…. Mais elle serait là et prierait pour tous ceux qu’elle aime….







Elle alla se préparer dans la sacristie et demanda au bedeau de sonner les cloches.







Elle remonta l’allée centrale et bien que n’espérant voir du monde, elle attendit ses paroissiens à la porte de l’église.




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Engie
Engie c’était levé très tôt pour terminer son travail dans sont champ afin d’assister a la messe.Quant il entendit les cloches tinter

il se dépêcha de se laver et enfiler ses beaux habits.c'est tout essoufflé qu'il arriva devant le portail de l’église, Engie entre dans l'église, trempe ses doigt dans le bénitier et fait son signe de croix en mettant un genoux au sol. Il se relève et salue la diaconesse puis vas s'assoir .
Lanaelle_
Les paroissiens installés, elle alla se placer derrière l’autel et les regarda en souriant.

Bonjour mes enfants, bienvenue dans la maison du Très Haut, pour bien débuter notre messe, commençons par demander pardon pour nos péchés. Récitons le Confiteor….










Elle récita la prière du pardon avec toute l’assemblée puis repris…



Maintenant réaffirmons notre foi en Dieu et reprenons en chœur le crédo…











Le Credo récité, elle regarda les rares paroissiens qui se trouvaient dans l’église…
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Doc.
Il était rare que Doc. Trouve le temps où même prenne le temps de se rendre à la messe..

Mais ce jour ci.. plus organisé que d'autre , il s'y rendit .. et entra discrètement dans l'église alors que la messe en était déjà bien entamé... mais pu tout de même réciter le crédit qu'il avait appris durant sa préparation au bapteme.

Resté en fond d'église. . Il fit tout de même un signe à lanaelle pour lui assurer de sa présence.

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Engagé pour le PA et sa ville : Sarlat
Engie
Engie ressita le credo avec les paroissiens

Lanaelle_
Le Credo récité, elle regarda les rares paroissiens qui
se trouvaient dans l’église…sourit au maire qu’elle avait
aperçu au fond de l’église et se dirigea vers le livre des
vertus et l’ouvrit à la page du texte choisit pour ce mercredi…









Citation:
Livre des Vertus, la fin des temps, le rêve :

Moi, Posuys d’Alexandrie, pieux croyant d’Egypte, vais vous décrire la révélation qui me fut faite en songe.
[…]
J’y vis alors un beau pays. La douce chaleur du soleil caressait les arbres des vergers, nourrissait les épis de blé, qui se dressaient, fiers, vers le ciel, et donnait tout son amour aux légumes, qui prospéraient. Plus loin, je pouvais voir les vaches paître placidement, accompagnées de moutons gardés par leur pâtre. L’agréable brise prêtait sa force au travail du meunier en faisant tourner les ailes du moulin.

La mer fournissait aux pêcheurs moult poissons, afin de les nourrir et exhalait ses senteurs rustiques mais si agréables à ceux qui savaient les apprécier. Au coeur de cette paisible vie, une ville, ceinte de murailles, fourmillait d’activité. Les artisans oeuvraient afin de fournir à la population tout ce dont elle avait besoin et les commerçants faisaient l’éloge de leurs marchandises aux clients venant faire leur marché.

Les enfants jouaient, riant et courant le long des rues animées. Des tavernes sortaient des rires et des bruits de liquides que l’on versait dans les chopes. Un petit groupe était attroupé autour du maire, qui écoutait leurs interrogations et y répondait. Les cloches se mirent à sonner et nombre d’habitants sortirent de leurs maisons pour se rendre à la messe.





Elle resta un instant silencieuse puis reprit la parole…


- A quoi nous fait penser ce si beau paysage?
Ne vous semble-t-il pas tout a fait idyllique, empli de joie, d'amour, de sérénité?

Et pourtant ne vous méprenez pas ! Ceci n'est pas le paradis, c'est simplement
le monde dans lequel nous avons l'honneur de vivre.
En effet ici Dieu, le Très Haut ne montre pas le paradis à Posuys, il lui montre
la terre qu'il a crée pour nous, tel qu'elle est aujourd'hui. Certains sceptiques
pourraient me dire,


"Pourtant, je ne reconnais pas ma vie là dedans ! Moi, je ne vis péniblement,
du fruit de mes labeurs aux champs ou au verger et les gens qui m'entourent
ne semblent pas si heureux que cela."

En effet, je dois lui répondre : "Oui, tu as raison, mais cela peut-il changer
mon enfant ?" et là je lui dirai : « Oui ! »

Car le monde qui nous est décrit ici est le monde dans lequel nous devrions
vivre si chacun était guidé par la Vertu. Oui nous sommes responsable de ce
que nous avons fait de ce monde qui nous a été offert par le Très Haut, c'est
pourquoi il nous appartient de le changer à nouveau, et de le faire redevenir
ce qu'il devrait être.

Lors d’une prochaine messe, je vous citerai le passage qui suit celui-ci, afin
que vous vous rendiez compte de l'enjeu que cela représente. Je vous citerai
le passage où Dieu nous décrit ce qu’il adviendra de ce monde si nous ne
sommes pas vertueux.

Réfléchissez y, nous avons en nous le pouvoir de transformer ce monde en
ce qu'il devrait être, tel que Dieu nous l'a offert. Ce pouvoir, s'appelle :
L'AMOUR. L'amour de nos proches, des humains, et l'amour de Dieu.
Le voilà notre plus grand pouvoir.

Mes chers frères et sœurs, j’espère que vous méditerez sur ces paroles tout
au long de la semaine.








Je vous invite à communier tous ensemble pour nous
rapprocher de l’idéal aristotélicien de l’amitié entre fidèles, de cet amour
entre les hommes.


Elle rompit le pain et en donna un morceau à chaque personne qui se
présentait vers elle ainsi qu'un petit gobelet de vin.






La communion terminée, elle s’adressa à ses paroissiens…

Mes enfants, je vous dis à dimanche prochain,
n’oubliez pas que je suis à votre disposition si vous avez besoin de
renseignements, de conseils ou d’aides.
Vous pouvez me trouver à la maison paroissiale ou m’écrire.

Allez dans la paix et l’amour aristotélicien




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Wynnea
Combien de temps s'était écoulé sans que Wynn ne rentre dans cette église ?
Combien de temps était passé depuis qu'elle n'avait ne serait-ce que pointé son nez pour une messe ?
Pourquoi tant de temps passé loin de ces bâtiments autrefois si rassurant ?
Pourquoi tant d'angoisse avant de venir ce matin, alors qu'elle ressentais de la culpabilité de ne pas y être allé tous ces autres dimanches ?
Wynnea était visiblement travaillée par sa non fréquentation de l'église et de ce qui s'en rapprochait en ce moment.
Et aujourd'hui, elle avait revêtue ses habits du dimanche, et avait glissé les jumeaux dans les leurs, tout fraîchement confectionnés.

Elle entra en retard. C'était moins grave que de ne pas venir du tout.
Elle arriva pour le crédo, qu'elle récita par coeur dans un murmure, alors qu'elle s'installais au troisième rang avec les deux enfants.
Doc. était là, un autre homme aussi. Et Lanaelle, qui avait l'air bien fatiguée ce matin.
Wynn écouta attentivement la lecture, méditant sur la reflexion proposée par la Diaconesse.
Les enfants avaient l'air d'apprécier l'histoire, eux aussi.
Quand tout cela fût finit, Amalia, toute impatiente sur son banc, demanda à sa maman :


- Ma ? Est-ce que 'peux poser une question à la dame ?
- Oui biensur, vas-y mon ange, sois polie d'accord ?

Ni une ni deux, la petite sautais de son siège pour aller voir la rousse qui rangait ce qu'elle avait disposé sur l'hotel.
Les grands yeux vers de la petite haute comme trois pommes se posèrent sur la grande robe de la diaconesse.
Elle hésita quelques secondes puis elle demanda :


- Dame ? Pou'quoi ici pe'sonne l'utilise le pouvoir de la "moure" ?
Moi si che savais m'en servir, je le ferais toujours ! Comme ça tout le monde vivrais ensemble !


Wynnea arriva derrière la petite, tenant son frère par la main.
Elle sourit à Lanaelle, la saluant d'un signe de tête pour ne pas gêner la blondinette dans sa réflexion.

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Lanaelle_
Après le départ des paroissiens, la rousse rangeait l'autel lorsque tout à coup
elle entendit une toute petite voix qui lui posait une question ... elle deposa se qu'elle
avait dans les mains pour s'agenouiller devant l'enfant après avoir saluer Winnea.



- Dame ? Pou'quoi ici pe'sonne l'utilise le pouvoir de la "moure" ?
Moi si che savais m'en servir, je le ferais toujours ! Comme ça tout le monde vivrais ensemble !



bonjour, jeune demoiselle, en voilà une belle question, je m'appelle Lanaelle et toi
comment t'appelles-tu ?


elle réfléchit un instant en pensant aux mots qu'elle allait dire à l'enfant.

tu sais ma puce, souvent les grandes personnes oublient que depuis toujours
ils ont eut de l'amour. Le tout premier amour que l'on reçoit est celui de
Dieu, puis vient celui de nos parents. En grandissant, la vie devient parfois
plus difficille, ils doivent travailler très dur pour gagner de quoi acheter
de la nourriture, et ils oublient l'amour... mais il est toujours là au fond de
leur coeur, il faut juste qu'ils se rappellent qu'ils ont beaucoup d'amour à donner.

mais tu sais t'en servir ma puce, tu aimes ta maman, ton petit frère, tu aimes
les autres personnes, alors tu vois tu donnes beaucoup d'amour autour de toi
il ne faut jamais l'oublier.

j'ai répondu à ta question ? tu as tout compris ?




Elle déposa une bise sur la joue de la fillette qui était aussi jolie que sa maman
et fit un petit signe de la main au petit garçon resté prés de Wynnéa.
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Wynnea
- M'appelle Amalia !

La petite fille haute comme trois pomme et blonde comme son père écoutait attentivement les éxplications de la diaconesse.
La dame s'y prenait très bien, avec des mots pour les enfants, elle en avait c'étais évident. Cela ce voyait.
Amalia avait les yeux levé vers son interlocutrice, passionnée par son récit.
Les idées filaient dans sa tête comme des étoiles filantes, et on les voyait passé dans ses yeux pétillants.


- Bawi moi je l'aime ma maman, et mon papa aussi même, et pis Cleph aussi vi. Moi ch'aime les chens qui m'aiment !
Et J'espère que ça les rend heureux ! Même si papa et maman vivent plu ensembles, je crois qu'ils sont heureux qu'on les aiment !
Pas vrai Cleph ?


Le petit bonhomme, aussi blond aux yeux verts que sa soeur, juste un peu plus timide, se cachait derrière la jambe de sa mère.
Il regarda Amalia, attendant une approbation de sa part, puis sortit un peu de sa cachette et s'avança vers sa soeur.
Il était plus petit d'a peine quelques centimètres, et plus jeune de quelques minutes seulement.


- Mon papa il est pas dans cette ville. Nous avec maman on vit dans un château. Et on fait des dessins pour envoyer à Papa.
Et même qu'on est allé au lac et qu'on a dessiné des poissons. Et ils étaient rouches. Et maman elle a écrasé des fleurs pour faire du rouche.
Peut être que maman elle pourrait faire du orange comme tes cheveux si elle trouvait des fleurs comme ça.
Alors on pourrais te dessiner, dame Lanaelle.


Il fit un sourire, très content de son idée et de sa remarque qui les avaient éloignés du sujet.
Il cherchait les regards approbateurs de la dame, de sa soeur et de sa mère, espérant avoir été bien.
Il prit timidement la main de sa soeur, qui le laissa faire, le connaissant assez pour sa grande timidité en publique.
Amalia conclu :


- Oui ch'ai tout compris dame Lanaelle. Et che vais dire aux chens qu'il faut s'aimer pour être plus heureux.
Et pour voir la vie meilleure et moins dure. Et nous o va continuer à s'aimer aussi.


La blondinette se tourna vers sa mère aux cheveux noirs de jais, et lui fit un grand sourire.
Ce genre de sourire qui veux dire "je t'aime" et "sois fière de moi" à la fois. Ces sourires qui font frissonner de bonheur.


~ Merci Lanaelle, c'était une jolie leçon de vie !
Passez un bon dimanche et j'éspère à la semaine prochaine.. A l'heure cette fois peut être !


Elle lui fit un joli sourire et la salua de la main, récupérant les mains des jumeaux ensuite.
Ils sortaient de l'église et prirent le chemin du château. Tout le long du chemin, Amalia parla d'amour à son frère et à sa mère.
Elle se souviendrait de cela longtemps surement !

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