Angelyque
merci à la censure de mettre le sujet en post-it si possible
Fait le 15/12 {Bartabas}
Fait le 15/12 {Bartabas}
Bonjour à tous!!
Comme vous le savez tous, d'ici quelques jours commenceront les élections pour élire un nouveau Roy ou une nouvelle Reyne
Nous avons la chance et l'immense privilège de compter parmi les candidats la Grande et belle Beatritz de Castelmaure, duchesse du Nivernais et plein d'autres choses.
Celle que le Roy Levan lui même voulait comme épouse tant il fût charmé par sa beauté et sa grâce.
En plus d'être belle et gracieuse, enfin elle n'a pas toujours été comme ça, en fière bourguignonne notre Beatritz a du caractère, bref, elle est en plus intelligente, très intelligente
C'est bien simple, c'est son programme qui tient le plus la route!
Donc moi, Angelyque de la Mirandole Duchesse de Bourgogne, soutiens entierement et pleinement sa candidature, j'aimerai que notre premier souverain élu soit notre Béatritz
Je vous présente donc un résumé de son programme... et si ce résumé vous plaît, allez lire la version complète à la sénéchaussée, dans le bureau de vote, ça vaut le coup !
Bonne lecture, et surtout, n'oubliez pas de voter le moment voulu !!!!
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Citation:
Introduction - Des principes généraux
Le Roi incarne les trois pouvoirs : judiciaire, exécutif, législatif.
L'erreur serait de croire que le Roi, parce qu'il sera actif et intéressé par les affaires de son Royaume, sera l'unique détenteur de ces pouvoirs dans la pratique. Il s'appuiera sur les Institutions existantes, qu'il veillera simplement à rendre plus efficaces et cohérentes qu'elles ne le sont déjà. Ainsi, il s'attachera à renforcer la distinction entre Domaine Royal et Provinces vassales, système qui fait la singularité du Royaume de France et qui n'aurait pas dû cesser d'être sa force.
I- De la continuité et du changement des institutions
Les institutions royales ont prouvé leur valeur et leur rigueur. Leur compétence n'est pas remise en cause. Toutefois afin de les rendre plus efficientes une réflexion sera menée pour raccourcir les délais de traitement des dossiers. La mise en place d'Etats généraux est envisagée afin de modifier les modes d'expressions et de représentation du peuple.
II - Des changements nécessaires dans les priorités de gouvernement
Il faut prendre véritablement en compte la distinction entre le gouvernement du Domaine Royal et les rapports avec les provinces vassales du Royaume.
Il est important de bien définir les pouvoirs des régnants du Domaine Royal et les pouvoirs de la Curia Regis dans le Domaine Royal. Ces deux entités ne doivent ni se faire concurrence, ni avoir les mêmes attributions, ou ce serait effacer l'une au profit de l'autre.
Aucune réforme ne sera imposée, tout sera mené dans la concertation et le dialogue.
Concernant le Domaine Royal, il conviendra de comprendre la position qu'occupent les régnants et leur ménager un espace de dialogue propre, pour ce qu'ils sont les administrateurs du Domaine du Roi et ne peuvent être tenus écartés de son gouvernement.
Concernant les provinces vassales, notre objectif sera de rendre aux provinces vassales leur liberté de gouvernement et de désignation de ses représentants. Le régnant d'une province vassale de la Couronne ne doit pas être vu comme un simple gestionnaire. Il est le dirigeant de son peuple et doit disposer de pouvoir réels, à valeur perpétuelle. Notre règne aura pour point cardinal de reconnaitre l'autonomie politique et stipulera officiellement la compétence de chaque province, dans le cadre de l'équilibre politique essentiel entre les institutions royales et les provinces, afin de ne pas instaurer une relation dirigeant-exécutant, mais une relation de devoirs réciproques.
III - De l'intégration de l'Eglise Aristotélicienne dans le gouvernement du Royaume de France
Le Très Aristotélicien Roi de France est source de tous les Pouvoirs quil tire du Créateur par le truchement de son sacre et du peuple. Dans toute la mesure du possible, il impliquera les autorités religieuses dans son exercice du pouvoir.
Il conviendra de mettre en place des dispositions particulières en faveur du Clergé, notamment en matière nobiliaire. Dans cette optique, chaque évêché ou archevêché dont tout ou partie de la juridiction se trouve dans le Domaine du Roi, peut être doté d'un fief de moyenne ou haute noblesse, afin de pourvoir aux besoins des serviteurs de l'Eglise et à ses bonnes uvres.
IV - De la cour royale
Le Louvre est la résidence du Roi, il accueillera également la cour du Roi, lieu où devra s'incarner le pouvoir royal, et où s'illustrera la noblesse française.
V - Portée coutumière du règne et conclusion
Nous tenterons donc, avec le sens des responsabilités, d'ouverture qui nous habite, et que nous avons toujours démontré au travers de nos charges passées, de poser les fondations de cette nouvelle monarchie élective d'essence féodale, aristocratique et « libérale », de créer en sus de l'émulation et du dynamisme par le haut, les arbitrages d'où découleront la forme coutumière d'exercice de la fonction royale. Tout cela en prenant appui sur les conseils avisés des vassaux de la couronne, des institutions compétentes, et de l'expérience des plus remarquables et reconnus serviteurs du Royaume
Le Roi incarne les trois pouvoirs : judiciaire, exécutif, législatif.
L'erreur serait de croire que le Roi, parce qu'il sera actif et intéressé par les affaires de son Royaume, sera l'unique détenteur de ces pouvoirs dans la pratique. Il s'appuiera sur les Institutions existantes, qu'il veillera simplement à rendre plus efficaces et cohérentes qu'elles ne le sont déjà. Ainsi, il s'attachera à renforcer la distinction entre Domaine Royal et Provinces vassales, système qui fait la singularité du Royaume de France et qui n'aurait pas dû cesser d'être sa force.
I- De la continuité et du changement des institutions
Les institutions royales ont prouvé leur valeur et leur rigueur. Leur compétence n'est pas remise en cause. Toutefois afin de les rendre plus efficientes une réflexion sera menée pour raccourcir les délais de traitement des dossiers. La mise en place d'Etats généraux est envisagée afin de modifier les modes d'expressions et de représentation du peuple.
II - Des changements nécessaires dans les priorités de gouvernement
Il faut prendre véritablement en compte la distinction entre le gouvernement du Domaine Royal et les rapports avec les provinces vassales du Royaume.
Il est important de bien définir les pouvoirs des régnants du Domaine Royal et les pouvoirs de la Curia Regis dans le Domaine Royal. Ces deux entités ne doivent ni se faire concurrence, ni avoir les mêmes attributions, ou ce serait effacer l'une au profit de l'autre.
Aucune réforme ne sera imposée, tout sera mené dans la concertation et le dialogue.
Concernant le Domaine Royal, il conviendra de comprendre la position qu'occupent les régnants et leur ménager un espace de dialogue propre, pour ce qu'ils sont les administrateurs du Domaine du Roi et ne peuvent être tenus écartés de son gouvernement.
Concernant les provinces vassales, notre objectif sera de rendre aux provinces vassales leur liberté de gouvernement et de désignation de ses représentants. Le régnant d'une province vassale de la Couronne ne doit pas être vu comme un simple gestionnaire. Il est le dirigeant de son peuple et doit disposer de pouvoir réels, à valeur perpétuelle. Notre règne aura pour point cardinal de reconnaitre l'autonomie politique et stipulera officiellement la compétence de chaque province, dans le cadre de l'équilibre politique essentiel entre les institutions royales et les provinces, afin de ne pas instaurer une relation dirigeant-exécutant, mais une relation de devoirs réciproques.
III - De l'intégration de l'Eglise Aristotélicienne dans le gouvernement du Royaume de France
Le Très Aristotélicien Roi de France est source de tous les Pouvoirs quil tire du Créateur par le truchement de son sacre et du peuple. Dans toute la mesure du possible, il impliquera les autorités religieuses dans son exercice du pouvoir.
Il conviendra de mettre en place des dispositions particulières en faveur du Clergé, notamment en matière nobiliaire. Dans cette optique, chaque évêché ou archevêché dont tout ou partie de la juridiction se trouve dans le Domaine du Roi, peut être doté d'un fief de moyenne ou haute noblesse, afin de pourvoir aux besoins des serviteurs de l'Eglise et à ses bonnes uvres.
IV - De la cour royale
Le Louvre est la résidence du Roi, il accueillera également la cour du Roi, lieu où devra s'incarner le pouvoir royal, et où s'illustrera la noblesse française.
V - Portée coutumière du règne et conclusion
Nous tenterons donc, avec le sens des responsabilités, d'ouverture qui nous habite, et que nous avons toujours démontré au travers de nos charges passées, de poser les fondations de cette nouvelle monarchie élective d'essence féodale, aristocratique et « libérale », de créer en sus de l'émulation et du dynamisme par le haut, les arbitrages d'où découleront la forme coutumière d'exercice de la fonction royale. Tout cela en prenant appui sur les conseils avisés des vassaux de la couronne, des institutions compétentes, et de l'expérience des plus remarquables et reconnus serviteurs du Royaume