lily-jane
Deux têtes brunes, l'une à l'odeur de violette, l'autre à l'odeur de biscuits, firent la route ensemble jusqu'à la Basilique.
Lily restait à gauche de sa cousine, observant comme elle, avec admiration, la beauté des lieux.
Le voyage fut, comme à chaque fois, quelque peu chaotique. Entre les fringales de la biscuitée, les cris de joie de la comtesse quand elles passaient devant divers échoppes, les arrêts pipi, les troubles de l'orientation qui avait valu quelques visites dans des endroits plus étonnants que dangereux, les blagues à la garde qui escortait le cortège, comme par exemple leur faire croire qu'une d'elle venait de disparaitre alors qu'elle était simplement planquée derrière une malle... Ils mirent donc environ une journée de plus que prévu, si pas plus.
Mais elles étaient prévoyante et avait calculé l'itinéraire en fonction de tous les incidents possibles et imaginables.
C'est donc en temps, et en heure, que les Casaviecchi arrivèrent à destination.
La brune avait reçut la missive quelques temps plutôt, et elle était restée sans voix face à tant d'honneur.
Ce qu'elle faisait ou avait pu faire, l'avait toujours été sans attente de retour. Juste par conviction et Amour.
Comme tous ceux qui se battaient pour la Gloire du Très Haut, autant par le Verbe que par le Fer.
Du monde arrivait déjà, et parmi toutes ces têtes, Lily fut ravie d'en découvrir des familières.
Armoria, qu'elle avait eut l'occasion de rencontrer quelques fois, et dont elle avait apprécié la compagnie, et surtout la femme de cur qu'elle était.
Le bel et blond Baron Sengir, ami Toulousain avec qui elle aimait deviser même si les occasions étaient rares depuis quelques temps.
Guillaume qu'elle avait croisé à Rome à quelques reprises, et qui lui avait immédiatement plut à son savoir être et savoir faire, qui différait de quelques personnes.
Son regard fut troublé également quand elle reconnut Navigius. Cela faisait si longtemps qu'elle ne l'avait pas vu, ni eut de nouvelles. Elle même avait été alité quelques temps et cela lui avait fait perdre quelques pensées et affaires en cours.
Elle espérait pouvoir le saluer.
Encore quelques pas avec Ney, et elles arrivèrent sur le parvis. Un arrêt hésitant,elle n'osait pas déranger les conversations en cours pour saluer, et adressa des sourires franc, puis la brune à l'odeur de violette croisa le regard de la brune biscuitée.
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Typhanie de Divonne ? C'est moi en mieux !
Lily restait à gauche de sa cousine, observant comme elle, avec admiration, la beauté des lieux.
Le voyage fut, comme à chaque fois, quelque peu chaotique. Entre les fringales de la biscuitée, les cris de joie de la comtesse quand elles passaient devant divers échoppes, les arrêts pipi, les troubles de l'orientation qui avait valu quelques visites dans des endroits plus étonnants que dangereux, les blagues à la garde qui escortait le cortège, comme par exemple leur faire croire qu'une d'elle venait de disparaitre alors qu'elle était simplement planquée derrière une malle... Ils mirent donc environ une journée de plus que prévu, si pas plus.
Mais elles étaient prévoyante et avait calculé l'itinéraire en fonction de tous les incidents possibles et imaginables.
C'est donc en temps, et en heure, que les Casaviecchi arrivèrent à destination.
La brune avait reçut la missive quelques temps plutôt, et elle était restée sans voix face à tant d'honneur.
Ce qu'elle faisait ou avait pu faire, l'avait toujours été sans attente de retour. Juste par conviction et Amour.
Comme tous ceux qui se battaient pour la Gloire du Très Haut, autant par le Verbe que par le Fer.
Du monde arrivait déjà, et parmi toutes ces têtes, Lily fut ravie d'en découvrir des familières.
Armoria, qu'elle avait eut l'occasion de rencontrer quelques fois, et dont elle avait apprécié la compagnie, et surtout la femme de cur qu'elle était.
Le bel et blond Baron Sengir, ami Toulousain avec qui elle aimait deviser même si les occasions étaient rares depuis quelques temps.
Guillaume qu'elle avait croisé à Rome à quelques reprises, et qui lui avait immédiatement plut à son savoir être et savoir faire, qui différait de quelques personnes.
Son regard fut troublé également quand elle reconnut Navigius. Cela faisait si longtemps qu'elle ne l'avait pas vu, ni eut de nouvelles. Elle même avait été alité quelques temps et cela lui avait fait perdre quelques pensées et affaires en cours.
Elle espérait pouvoir le saluer.
Encore quelques pas avec Ney, et elles arrivèrent sur le parvis. Un arrêt hésitant,elle n'osait pas déranger les conversations en cours pour saluer, et adressa des sourires franc, puis la brune à l'odeur de violette croisa le regard de la brune biscuitée.
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Typhanie de Divonne ? C'est moi en mieux !