[RP] Remise de l'Etoile d'Aristote - février 1459

HRP :
= mardi 8 février, arrivées, salutations et autres rp sympathique
= mercredi 9 février, prière et remise des étoiles

RP ouvert à tous.

La chœur de basilique Saint Titus avait été spécialement été aménagé pour accueillir la cérémonie de remise de l'Etoile d'Aristote. Derrière l'autel principal, on avait mis en place, contre le mur du chevet, un "podium" de bois, de deux marches plus élevé que le sol de l'église, et où était placé de nombreux strapontins destinés à accueillir les récipiendaires décorés. Le maître de cérémonie n'était pas encore là, mais plusieurs acolytes et prêtres de cérémonies allaient accueillir et diriger les fidèles participants...
_________________

Le coche était blond. Pas extérieurement, cela va de soi, extérieurement, il portait les armoiries de la princesse : mais blond était l'intérieur, puisqu'occupé par un blond clerc et une blonde altesse.

Cette dernière avait reçu une invitation de la part du cardinal Aaron, invitation qui l'avait intriguée : elle avait déjà reçu une étoile d'Aristote. Sa réponse avait d'ailleurs évoqué sa perplexité. Puis, elle en était venue à penser que si elle avait été invitée, c'était très certainement parce que connaissant quelqu'un qui allait être honoré. Cette certitude avait été renforcée quand Baronsengir lui avait dit devoir se rendre à Rome : voilà pourquoi ils avaient fait route ensemble.

A présent qu'ils se trouvaient dans la ville éternelle, elle comptait sur lui, d'ailleurs, pour indiquer à son cocher le meilleur chemin pour se rendre à l'endroit convenu.
_________________

Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique

Gwen n'était vêtue que d'une simple robe en toile de jute, ceinte à la taille par une cordelette, et évoluait pieds nus. Elle avait été conviée dans ce majestueux lieu de culte pour y être récompensée de ses actions pour l'Église Aristotélicienne. Cette convocation l'avait surprise, bien évidemment, jamais elle ne se serait crue méritante à ce point, tant ses actes et paroles lui paraissaient sensées et naturelles. Elle s'y rendit donc, à la fois ravie et impressionnée, à la remise de l'Étoile d'Aristote.
Elle arriva à l'entrée de la somptueuse Basilique. Elle entra dans la pénombre des murs de pierre, fit quelques pas en direction de l'allée centrale. Elle plongea alors ses doigts graciles dans le bénitier et se signa, le regard tourné vers la nef. Elle exécuta une génuflexion puis avança en direction de l'autel, les yeux baissés vers le sol, en jetant par moment un regard autour d'elle espérant ainsi y trouver quelque figure connue...
_________________

Gwenhwyvar uí Fergus, Duchesse de Brie, Baronne de Boissy-le-Châtel, Dame de Creil

A mi este viaje que me lo pague, que no gano yo para viajes, de un lao a otro. Este viaja mas que un trovador en la gira de verano.

Decía Zebaz, mientras entraba en la Basílica de San Tito, junto a toda la gente allí reunida. Cuanta gente había, más de la habitual. Pero por suerte no era ningún funeral, por desgracia cada vez que visitaba aquella Basílica era para despedir a un ser querido.
Miro para ver donde se podía situar, pues no quería perderse detalle de la ceremonia, una ceremonia especial, pues allí estaba su casi hijo Monseñor Carolum.
Allí sentado lo mas próximo al altar el Campeador, miraba como los invitados llegaban, como ocupaban los bancos de la Basílica, y la cantidad de curas que habían, todos vestidos con sus mejores uniformes. Y por el momento ningún conocido.

**********************************************

Pour moi, ce voyage que je vous payer, vous ne gagnez pas, je Voyage d'un côté à l'autre. Il parcourt plus d'un ménestrel de la tournée d'été.

Zebaz dit, comme elle entra dans la basilique de Saint-Tite, ainsi que toutes les personnes rassemblées. Combien de personnes ont plus que d'habitude. Mais heureusement il n'y avait pas de funérailles, malheureusement, chaque fois que j'ai visité cette basilique a été de tirer un être cher.
Je regarde pour voir où vous pourriez mettre, ne voulant pas rater un seul détail de la cérémonie, une cérémonie spéciale, car il y avait près de son Carolum.
Je me suis assis le plus près de l'autel, le Campeador, ressemblait à l'arrivée des invités, et occupé les rives de la basilique, et le nombre de prêtres qui avaient, tous vêtus de leurs plus beaux uniformes. Et encore ne connaît pas.


Traductor:Google
_________________

Partie de Bourgogne, l'équipée blonde traversa la Savoie que la princesse venait justement d'aider à la pacification. Le prestre se fit raconter avec grand plaisir les faits d'armes des croisés et le nombre de trépassés réformés. Et au fil des étapes, les provinces italiques furent en vue. Il n'avait pas vu le temps passer. Il fallait dire que le coche vanillé avait rembourrages des plus confortables. Et enfin...

Ah, Rome... Permettez ma chère, je dois deviser avec votre automédon.

Le révéré n'avait pas explicitement nommé l'endroit, mais enfin, c'était bien là que toute cérémonie prenait place. L'attelage s'arresta donc devant la basilique Saint Titus. L'évesque ouvrit la porte et mit pied à terre, admirant l'édifice où il avait trop peu l'heur de fréquenter. Il tendit sa dextre à disposition de sa blonde accompagnatrice.

Nous voilà rendus.
_________________

Tout juste sorti du champ de bataille le temps de la cérémonie, Melian regardait défiler le paysage depuis la voiture. Elle était fatiguée, mais son aimé avait reçu invitation et il était la moindre des choses qu'elle l'accompagne. C'est d'ailleurs à ce titre et à ce titre seulement qu'elle serait là aujourd'hui.

C'est pourquoi elle ne portait pas son uniforme ce jour, ni même sa coiffure habituelle de résilles. Elle avait opté pour une robe à tassel bleue rehaussée de fourrure blanche et une coiffe haute juste ce qu'il fallait à son goût.

Finalement, le véhicule s'immobilisa et la porte s'ouvrit. La Ventoux en descendit, toujours émerveillée par la beauté de la Basilique dans laquelle on la voyait somme toute fort peu.

Son aimé vint et lui offrit son bras qu'elle prit avec un sourire. Ils traversèrent donc le parvis avant d'entrer dans la Basilique et y prendre place après avoir salué au passage les personnes de leurs connaissances qu'ils croisaient selon le rang qui était leur.
_________________

Armé de son insvitation plascée sous sa chemise, ils descendirent enfin devers la basilique Saint-Titus... L'antre de lusmière, une nosvelle fois, s'ouvrait pour commencer ceresmonie telle une rose, esparpillant ses larmes de vie, dès l'aurore d'un mastin d'aoust.

Passant devers la princesse Armoria, il la salua presque comme il l'auraict fait avec un frère en sortie de bastaille. C'estait une vraie combattante de la foy, de France, et il la respectait d'austant plus.

Il fict signe à son ancien archevesque, Naviguis, puis bras bien serrés, il se posa à costé de son aismée, celle qui faisait battre son cœur, chaque jour que Dieu faict...
_________________

Il y avait déjà du monde pour la medaille

L'évêque de Toul ne savais pas qui allait se faire medailler mais en tout cas il reconnu SE Tully, et il remarqua un homme qui l'interessait beaucoup, Baron Sengir

La chœur de basilique Saint Titus avait été spécialement été aménagé pour accueillir la cérémonie de remise de l'Etoile d'Aristote et ça se voyait beaucoup.

La seule foi où il était venu ici c'était pour l'entrerrement de SE Ecat. Une femme merveilleuse malgré ce que l'on pouvait dire.

Il s'installa silencieusement avant d'en faire plus mais avans il salua tout le monde et se signa
_________________

On ne peut pas detester Dieu tout en disant ne pas y croire

Le néo-bourguignon et néanmoins prêtre de l'universelle Église Aristotélicienne se rendit en la Basilique Saint-Titus. Il avait reçu une invitation qui l'avait profondément touché et c'est d'un pas vif, autant que sa fatigue générale le lui permettait qu'il parvint à l'édifice majestueux.

Le voyage depuis la Bourgogne n'avait pas pris un temps si long et s'était déroulé sans soucis. Il avait laissé Nevers et son diocèse pour quelques jours, le temps de se rendre à Rome régler quelques affaires.

Il avait revêtu pour cette cérémonie de beaux atours, sa charge d'évêque était immanquable, quand bien même il aurait préféré qu'on ne la vit pas. Le jeune danois avait en effet un souci clair avec sa nouvelle charge qui lui conférait un rang bien plus élevé qu'il ne le souhaitait.

Il parvint à l'entrée de l'édifice et rejoignit les rangs de clercs et de fidèles qui entraient. Il alla s'installer à la place qu'un jeune garde pontifical lui indiqua.
_________________

Nouveau pseudo IG : Hakon_

Tadeus passait son temps entre Roazhon et Rome, il avait averti qu'il avait une grande cérémonie à la basilique Saint Titus de Rome et il décida d'y aller pour communier avec ses frères et soeurs.

Tadeus rentra dans le Saint Edifice salua les personnes qu'il connaissait puis prie place sur un banc.
_________________

Le messager de Son Eminence Aaron avait eu bien des difficultés à trouver Honoré afin de lui remettre le parchemin roulé l'invitant à assister à la remise des médailles d'Aristote, il avait dû grignoter les lieues et s'informer auprès de nombreuses personne pour savoir où le religieux était passé. Ce fut une montmiraillaise qui le renseigna car avant de reprendre la route vers la Normandie, Honoré s'était arrêté dans le bourg avec sa fille, son beau-fils et son petit-fils Gabriel durant quelques jours. Après avoir lu le message, le prêtre aurait bien décliné l'invitation mais ça faisait un sérieux bout de temps qu'il n'avait plus pris part à un évènement organisé à Rome et celui auquel il avait été convié lui semblait incontournable.

Attentif à ses douleurs dorsales, plus intenses que jamais, le prêtre avait décidé de louer une carriole avec cocher afin de faire confortablement le chemin jusqu'à la cité romaine, ça lui avait pourtant coûté bonbon mais son visage de jeunot ne pouvait en aucun cas faire oublier à Honoré qu'il avait l'âge de ses os, il n'était plus le fringant cinquantenaire d'autrefois, d'autant plus qu'il avait trois années de plus à son actif ou à son passif, tout dépendait de la façon dont on voyait les choses.

Le bon père Honoré avait rapidement gribouillé un mot pour avertir sa fille qu'il devait repartir, il lui aurait bien demandé de l'accompagner mais elle était jeune mère et le petiot avait déjà quelques noeuds à son palmarès puisqu'il avait fait partie du convoi entre la Normandie et la touraine, en passant non pas par la Lorraine mais par le Maine.

Bref, cette fois Honoré se contenterait du cocher qu'il lui avait soutiré les quelques écus constituant son maigre trousseau.

Dés qu'il eût foulé le sol sacré de la cité romaine, Honoré demanda à son conducteur de se renseigner où se déroulait la cérémonie, c'est ainsi qu'ils apprirent que la basilique Saint-Titus serait la scène de la remise des médailles tant espérées, enfin, pour certains et ce n'était pas le cas d'Honoré...

Alors, le prêtre fut déposé à l'endroit requis, la magnifique basilique Saint-Titus à Rome, le prêtre mit le pied à terre aidé par son cocher, il replia ses doigts sur sa crosse qu'on lui présentât et la tînt avec fermeté avant de n'avancer, il n'était pas question qu'il tombât en pleine assemblée...

En entrant dans l'édifice, Honoré reconnut quelques convives, il se demanda qui parmi tous ces gens seraient décoré, la réponse à son interrogation ne saurait tarder...
_________________

LE DOGME

L'archevêque d'Auch arriva tranquillement a la cérémonie, il salua d'un signe de la tête les deux cardinaux de le Nonciature apostolique. Puis il aperçu le couple De Ventoux.

Bonjour mes amis ravis de vous croisé a Rome, ça nous change du Béarn !

Puis, un peut plus loin il aperçu son ami de longue datte la Lily-jeanne, il lui fit un signe de loin pour attiré son attention.

Son regard balayais alors la foule, que de beau monde, des grands prélats et bon nombre de connaissances. Il en avait côtoyer certain a l'Aef, d'autre en sa province ecclésiastique, d'autre en l'abbaye de Noirlac.
_________________
Hummm ..... J'adore les hérétiques....... .... Doré a la broche bien sure !...

Le regard de la brune à la violette toujours dans celui de la brune aux biscuits. S'échangent alors, dans ce genre d'instants, quelques pensées, les deux étant douées pour la télépathie.
Cela donnait à peu près ça :

Dans la tête de Lily
"Je crois que j'ai oublié d'éteindre le feu dans l'âtre de ma chambre"

Dans la tête de Ney
"J'ai mangé un biscuit au miel la semaine dernière, c'était pas mauvais."

Lily
"Hier j'ai fermé les yeux et j'me suis concentrée si fort que j'ai eut l'impression de sentir la terre se retourner"

Ney
"Sinon tu crois les biscuits à la pomme mélangés au miel ça peut être bon ?"

Lily
"Je suis certaine que le ciel a une couleur plus profonde qu'hier"

Ney
Un tit creux? car si j'ai des biscuits mais bon au moins saluer la blonde car si on mange sans lui proposer il serai capable de nous demander pénitence pendant toute la durée du prochain siècle.

Lily
"Tiens c'est marrant, je perçois de mieux en mieux tes pensées. On va le saluer aucun probleme, sa blondeur m'avait manqué"

Hésitation de la comtesse, légèrement perturbée. Il lui semblait qu'elle avait perdu le fil des pensées de sa couse. Pourquoi elle restait sans plus penser ? Ses neurones auraient ils grillés d'un coup ?
Puis lumière qui s'allume dans son esprit tordu. Elle attendait une réponse à haute voix, mais oui mais c'est biensûr !

Heum... Oui, pas de souci, allons le saluer, sa blondeur m'a manqué. Mais fais gaffe qu'il mange pas toute ta boîte...

A ce moment là, un signe d'une silhouette qui ne lui était pas inconnue...
La brune prononça à mi voix

"Monseigneur d'la soutane..."

Biensur il avait pas entendu, mais l'avait ptetre bien lu sur ses lèvres. Que de souvenirs.
Elle était vraiment heureuse de le revoir, cela faisait si longtemps.
En plus il se trouvait à mi parcours entre elles et l'bel et blond. Un arrêt s'imposait !
Prenant sa couse par le bras, elle alla jusqu'à lui

Monseigneur, quelle joie de vous revoir !
_________________

Typhanie de Divonne ? C'est moi en mieux !

The Roman Prefect came in the basilica in silence, awaiting the start of the ceremony.
_________________

Les deux blonds marchaient d'un pas altier vers la basilique, au parvis déjà noir de monde, et de beau monde. L'évesque sourit.

Allons, si j'avais dû la confesser, vous auriez entendu tous ses petits secrets et la liste de tous ses péchés. Je n'aurais voulu soumettre vos oreilles vertueuses à tel déballage...

Bas, le ton badin.

Et je ne sais si la durée de notre voyage aurait suffi à en faire le tour...

Se frayant passage entre les groupes divers et variés, ils grimpèrent les marches et pénétrèrent dans la basilique. Un instant avant, son nez perçut effluves agréables et familières, bien que des clercs et sommités présentes, il n'en voyait pas l'origine.
_________________

Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah Rome... Grand et magnifique lieux chargé d'histoires et de souvenirs. Emprunte de spiritualité et de divin, comment ne pas s'émerveiller devant ce bâtiment? Comment ne pas s'émerveiller de cette vie qui grouille? Comment ne pas s'émerveiller de ce silence magistral prompt à la médit...

" Non di dju c'est fichtrement loin c'bordel! "

Aheum... Rome donc venaient enfin d'apparaître dans l'horizon du Vicomte. Le voyage avait été long et Antoineleroy aurait donné un bras pour pouvoir plonger sa tête dans l'un des fûts d'Armagnac qu'il transportait à l'arrière de sa calèche. Oh, pas un grand plongeon, non, rien qu'un petit...
Seulement ses bras il risquait d'en avoir encore besoin par la suite, aussi peut-être valait-il mieux les garder pour l'instant.

Après divers détours incongrus le cocher annnonça à son maître qu'il s'était perdu, ce qui n'allait pas aider à calmer le Grand Archiviste de France cherchant des yeux une personne sur la route. Et il posa enfin son regard sur un péquen... aheum... un paysan acceptant de lui indiquer, contre obole, le chemin de la basilique. Le Chancelier avait écouté ses conseils comme autant de précieuses paroles empreintes de cette sagesse propre à la vieillesse...

Arrivé à bon port, la carriole s'en alla vers on ne sait où, laissant Antoineleroy déconfit et profondément hébété, la bouche béante sur une expression mêlée de colère et d'incrédulité.

" Je... Je crois que j'vais l'tuer! "

D'ailleurs... Il l'aurait fait s'il le pouvait... Non qu'un instinct aristotélicien l'en préserve mais la calèche était désormais trop loin pour y lancer un quelconque projectile: pierre, bout de bois, tonneau de vin, etc.

Ce saoulard allait encore passer des heures en taverne et le Vicomte devrait le chercher par la peau des fesses! M'enfin, il était au bon endroit... C'était toujours ça de pris.
Antoine se dirigea alors vers la foule qui augmentait à vue d'oeil, puis chercha des yeux des connaissances afin de se sentir moins seul. C'est là qu'il vit de loin la Princesse Armoria, qu'il avait cotoyé en Bourgogne voila quelques années déja, ainsi que l'Archevêque d'Auch Monseigneur Bushiro, puis son regard se posa sur l'ecclésiaste italien

" Monseigneur Navigius! Que je suis rassuré de vous savoir icelieu... Puis-je me joindre à vous? "
_________________

On est jamais trop averti du choc que l'on peut recevoir en découvrant une ville telle que Rome. Astrid l'avait bien compris devant la majesté de l'endroit.

Suivant sa marraine sans mot dire, les esgourdes attentives tout était beau, trop beau peut être au goût de la jeune diaconesse qui du haut de ses 14 ans, pas de son mètre quarante cinq.......arpentait la ville.

Bref de merveilles en merveilles ils étaient là devant la duchesse du fromage de Brie, c'est sous cette appellation humoristique que seul les champenois ou natifs champenois peuvent comprendre que la jeune fille connaissait la "guerrière". Son allure en total décalage avec les belle tenues obligeait les yeux d'Astrid à se faire insistant sur les pieds nus de la dame......

Fort heureusement elle voyait plus loin un bel et beau blond qui ne pouvait assurément la reconnaître. Elle par contre était assurée que c'était bien Barnonsengir, comment aurait elle pu oublier celui qui lui avait offert un si précieux cadeau qu'un exemplaire du livre des vertus. S'il avait pris du grade depuis toutes ces années, il n'avait pas changé toujours très élégant.............Elle serait heureuse d'aller le saluer, mais se rappelait il seulement de la petite fille qui voulait devenir diaconesse?

L'avantage d'être de petite taille étant de ne pas se faire remarquer, elle prit le parti de clore les yeux et d'entrer en prière.......... Là au moins aucune tignasse blonde, ni pieds nus ne viendrait la distraire.
_________________

El Corleone había sido invitado a la ceremonia de entrega de la Estrella de Aristóteles por MonSeñor Carolum. Moldot llegó a Roma tras un viaje largo desde tierras valencianas y llegado allí se bajó del carruaje en la Basílica de San Tito. Otra vez se encontraba ante aquel gran edificio que había visitado en tristes momentos y que ahora sería para un buen recuerdo de Moldot, pues le daban la Estrella de Aristóteles a un amigo muy apreciado por el de Sicilia, Carolum.

El Secretario Hispano tomó asiento junto al Barón de Illueca, Zebaz Campeador y al Sub-Secretario Hispano, el Padre José Enrique a la espera de que diera comienzo la gran ceremonia.


Le Corleone avait été invité à la cérémonie de livraison de l'Étoile d'Aristote par MonSeigneur Carolum. Moldot est arrivé à Rome après un voyage long depuis des terres valencianas et arrivé s'est là descendu du carruaje à la Basilique de San Tito. Une autre fois se trouvait devant ce grand bâtiment qu'avait visité en des tristes moments et qu'il maintenant serait pour un bon souvenir de Moldot, donc ils lui donnaient l'Étoile d'Aristote à un ami très apprécié par le de Sicile, Carolum.

Le Secrétaire Hispanique a pris siège je joins au Baron d'Illueca, Zebaz Campeador et au Sous-Secrétaire Hispanique, le Père José Enrique à l'attente de que il donnât début la grande cérémonie.
_________________

Mili avais fait de la route pour venir jusqu’ici gontran lui avait dit que le chancelier acar les avait invité et moi avec, il devait ya voir une remise de médaille, toujours beau avoir la remise de médaille elle entre dans la pièce se signe et discrètement se mis sur un banc au font de la salle pour écouté la cérémonie et attendre samaelle et gontran
_________________

Enfin, ses papiers étaient terminés, enfin presque, les cérémonies en bonne voie, elle avait pu trouver un remplaçant pour les affaires quotidiennes...
Cherchant Neyco des yeux, Désidérade remarqua plusieurs visages connus. D'autres moins, mais sûrement éminents, au vu de leurs tenues. Elle se fit donc toute petite, presque invisible, et se glissa près des deux cousines...

Salua d'abord Neyco, puis Lily-Jane, qu'elle avait croisé il y a fort longtemps.
Tout le monde était là, ce monde qui était maintenant un peu le sien. Ah, c'était pas en politique qu'on en voyait, des rassemblement comme ça ! Rome était unie, au moins, en apparence. Elle était fière.
_________________

Amie Lescurienne
Archevêque suffragant de Toulouse
Vicaire général et doyenne du séminaire de Narbonne

Pour une fois il n'avait pas la même tenue. Oh certes pas celle d'un clerc qu'il ne revêtait que pour ses propres offices. Non il avait simplement troqué sa chemise, son veston et ses chausses très simples pour des tissus pour un très grand raffinement. Mais il poussait le vice et l'astuce pour des choses sans fioritures ni ambages. De loin pour le néophyte tout cela semblait fort simple voir un rustre. Pour le connaisseur ou celui attentif il reconnaissait des soies très lointaines, des fils dorés et des tissus inconnus parfois. Il n'avait que deux tenues complètes ainsi faites, une noire et une bleue. En ce jour il avait revêtu la bleue. Elles lui suffisait amplement. Et seul, en léger retrait, sa canne dans une main, son chapeau passé en arrière en arrière à l'aide d'une cordelette, son livre des Vertus sortit de sa sacoche posée désormais au sol il s'était installé dans la Basilique. Il était tellement discret que beaucoup même parmi ses amis ne le virent pas. Il ne cherchait jamais à alerter les regards alors cela était bien normal. Il se contenta de suivre le début de la cérémonie et d'écouter attentivement.

Amen.
_________________

El Nuncio Papal vio salir al Cardenal por la puerta de la Sacristía de la Basilíca San Tito y en conjunto con los demás presentes se puso de pié en señal de respeto. El Cardenal Aaron empezaba en ese momento la liturgia de la ceremonia, en silencio el Nuncio prestaba atención a todas sus palabras, el momento de elevar una oración al Señor había llegado y él al unísono de los demás clérigos y presentes respondió:

Amen

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

The Papal Nuncio, Cardinal was out the door of the sacristy of the Saint Titus Basilica and together with others present stood up as a sign of respect. Aaron Cardinal then began the liturgy of the ceremony, the Nuncio silently paid attention to every word, the moment of a prayer to the Lord and he had come together at the other clerics and present said:

Amen

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-

Le nonce apostolique a été le cardinal à la porte de la sacristie de la Basilique San Tito et avec les autres personnes présentes se leva comme un signe de respect. Aaron cardinal commença alors la liturgie de la cérémonie, le Nonce silence attention à chaque mot, le moment d'une prière au Seigneur et il était venu à l'ensemble des clercs et d'autres présents ont déclaré:

Amen
_________________
La Iglesia Aristotélica Hispánica... Únete!

Il se leva en entendant le début de l'homélie de son ami Aaron, et réajusta ses vêtements, avant de s'installer sur les sièges réservés aux cardinaux tout proches de l'autel.

*****

He got up and heard the beginning of the homily of his friend Aaron, and readjusted his clothes, before settling on the seats reserved for cardinals while near the altar.
_________________

Le Chevalier de la Foi donne la mort en toute sécurité et la reçoit avec plus d'assurance encore.
S'il meurt c'est pour son bien, s'il tue c'est pour son Dieu.

Le Commandeur des Armées Saintes à Genève, se rendit en la Basilique Saint Titus de Rome. il était entouré des Teutoniques disponibles, d'autres continuaient à monter la garde à Genève.
Hobb portait sa cape blanche frappé de la croix de sable, chargée d’une croix potencée au champ d’argent, avec quatre fleurs de lys d’or et d'un aigle noir.
Sous son bras, son heaume à tête de molosse anglois.
Il salua les personnes présentes et se rendit, par l'allée centrale, au côté de ses Soeurs et Frères Teutoniques. Encore blessé (trois fois, gravement dont une fois devant Annecy et une autre en prenant Genève). Il s'assit à côté de la Verwalterin (Intendante) Mili_cia, Haut Dignitaire de l'Ordre Teutonique.

La cérémonie débuta, le Cardinal Aaron invita l'Assemblée des fidèles à prier et tous conclurent sur un
"Amen"
fervent.
_________________

Tandis que la basilique continuait à se remplir, Honoré se laissait aller à ses pensées, il se remémora son parcours depuis sa charge de Diacre de La Trémouille en Poitou jusqu'à aujourd'hui, c'était de circonstance de faire un bilan alors pourquoi ne pas en profiter. Bien des gens allaient défiler devant Son éminence Aaron pour recevoir de ses mains la méritante médaille d'Aristote, le prêtre se souvenait des quelques propositions qui avaient été formulées à l'AEF lorsqu'il était évêque du Mans, lui-même avait suggéré le nom d'une personne de son entourage mais elle n'était pas présente, sans doute n'y avait-on pas accordé d'intérêt.

Soudain, Aaron débuta la cérémonie, sa stature en impressionnait plus d'un et le brouhaha ambiant fit place à un silence solennel.

Honoré fixa le prélat et dés la prière terminée, il baissa humblement la tête et chuchota:

- Amen!
_________________

LE DOGME

La mini ayant regardé sa couse, alors qu'elle allait avancer pour commencer a parler au blond, finalement la cérémonie commençait plus vite qu'elle ne l'aurai cru.
Nom d'un biscuit même pas le temps de partager une coupe de vin arrosée de biscuit enfin l'inverse.

Pressant le pas sa couse avec elle, les deux brunes a l'accent du sud se mirent cotes a cotes, attendant la première prière.

Récitant doucement afin de ne point perturber avec sa voix a l'accent trop prononcer, elle se contenta d'un simple.

Amen
_________________

La cérémonie avait commencé, en effet, et les mains jointes, Armoria se faisait attentive, les mots d'Aaron résonnant au plus profond de son âme.

Donner et enrichir son être, aimer et s'élever. Ce n'était pas la première fois que les paroles de cet homme de dieu trouvaient écho dans l'esprit de la blonde altesse, et le pénétraient. Et ce fut dans le murmure qu'elle réservait à ses prières qu'elle répondit :

Amen
_________________

Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique

Bardieu avait fait le déplacement depuis Genève. Rome n'était plus loin, une fois que l'on avait atteint la ville perdue dans les montagnes. C'est ainsi que le recteur cistercien arriva sur la grande place.

Une cérémonie comme il en avait rarement vu. Des médailles par centaines à distribuer, un agenda plein comme une autruche, des fidèles par milliers et en tête, SE Aaron, en chef d'orchestre. Voilà qui avait de quoi rendre heureux le frère Bardieu, qui resta debout, malgré son grand âge, à attendre la suite.


_________________

En quoi la spiritualité d'Orient serait elle inférieure à celle d'Occident ?

Après cette prière et ce temps de médiation, le cardinal de Nagan reprit ses esprits et enta ma son discours.

Auparavant, l'Église était plus "petite", plus familiale. il pouvait alors dire un petit mot à chacun des décorés. Aujourd'hui, grâce au travail de chacun, l'Église était devenue une formidable institution "tentaculaire". Il devait adapter son discours...

Voilà longtemps que je n’ai plus pris cette place, cette place derrière l’autel du partage. Et c’est un plaisir que de la prendre aujourd’hui pour partager justement, un moment unique, un moment chargé de symboles et de significations.

L’ascension au sein de la hiérarchie ecclésiale va souvent de pair avec l’investissement au sein de l’Église. Cependant, ces « promotions » comme nous pourrions les appeler, ne suffisent pas, bien souvent, à exprimer toute la reconnaissance que le Sacré-Collège des cardinaux et l’Église dans son entièreté porte à l’égard de ces personnes méritantes. Sans les bases, sans les échelons intermédiaires, l’Église n’est rien, l’Église est vacillante, vide de sa substance et des éléments qui bien souvent la fond vivre, autant au niveau local qu’au niveau universel.

L’Etoile d’Aristote est là, justement pour pallier à la débilité du système de la promotion au sein de l’Église qui ne saurait suffire à récompenser et élever les hommes d’honneur et de foi. De surcroit, ces désignations ecclésiales exclus pour une bonne part les laïcs qui n’ont pas choisi le chemin de l’ordination, mais qui n’en reste pas moins des rouages importants, comme nous le disions, de l’immense machine humaine que représente aujourd’hui l’Église. Machine ecclésiale bien souvent décriée, trop souvent critiqué pour sa « bureaucratie » et ses procédures. Pourtant, toute institution humaine à besoin d’une charpente, surtout lorsqu’elle a pour charge des centaines de milliers, au sens propre, de fidèles. Et cette charpente qui constitue l’Église est sans doute la plus complexe, mais également la plus nécessaire, des Royaumes du monde connu. Vous êtes là aujourd’hui parce que vous avez participé à l’amélioration de son fonctionnement.

Je crois sincèrement que nous pouvons être fiers de l’Institution que nous avons mise sur pied et qui perdure depuis des siècles, et depuis un lustre particulièrement bien. Et cela, c’est grâce à vous et à ceux qui vous ont précédé. J’ai eu la chance de voir défiler tous ces fidèles, qui, plus entreprenant les uns que les autres, se sont investis, ont choisis le chemin de l’ordination ou du sacrifice, ont bâtis l’Église grâce à leur force, grâce à leur plume, grâce à leurs prières. Aujourd’hui, se sont vos plumes, votre force et vos prières qui bâtissent l’Église et qui l’à font évoluer.

Comme je le disais jadis, « aujourd’hui, l’Église est plus grande intérieurement, aujourd’hui, Elle redistribue un peu de cette grandeur à ceux qui l’ont élevée ».


Il marqua un instant une pose, puis il reprit...

J'invite Antoine Leroy D'Albature, Arbalett, Asdo, Bardieu, BaronSengir, Beeky d'Appérault et Bushiro à me rejoindre...


_________________

Raboude s'était mis dans un coin de la Basilique. Il se contentait à regarder la splendeur de la foi, et faisait ses prières dans sa langue maternelle, le néerlandais. Il observait les gens présents, et faisait une petite signe de tête gentille à ses amis.

Raboude was seated in a corner of the Basilica. It was enough for him to watch the splendor of the faith, and made his prayers in his own language, dutch. He observed the people who were present, and made a small sign with his head to his friends.
_________________

Adso était arrivé en retard. Enfin, pas trop, mais disons qu'il n'avait pas réellement réussi à arriver en avance. D'abord, il n'était pas connu pour son sens de l'orientation. Ou dit autrement, ce pour quoi il pouvait être connu, c'était justement son manque de sens de l'orientation. Oui, mais cette fois, ce n'était pas sa faute. Son invitation avait bien dit "place d'Aristote". Il avait bien re-vérifié en route sur la lettre qu'il avait rangé dans sa poche. Bon, d'accord, il y avait aussi marqué "si le temps le permet"... Mais le temps n'avait pas l'air si mauvais que çà...

Toujours est-il qu'une fois sur la place, il ne semblait pas y avoir plus d'activité que d'habitude. Certes, elle était grande, mais à force de la parcourir en tous sens sans rien trouver, il avait fini par tomber sur un clerc qui lui avait dit que la cérémonie avait lieu à Saint-Titus.

Mouais...

Y'avait plus qu'à se presser pour aller jusqu'à la basilique...

Il entra juste à temps pour entendre Son Eminence Aaron commencer la prière.

Un rapide coup d'oeil lui permit de répondre aux questions qui l'avaient tenaillé depuis qu'il avait reçu cette lettre :
1) Qu'avait-il fait pour mériter cette médaille ? Le fait que la moitié de la Nonciature était là prouvait qu'effectivement il n'avait pas dû faire grand chose de plus que d'habitude...
2) Fallait-il faire des efforts de vesture ? Adso avait demandé des précisions à ce sujets au cardinal Aaron, mais celui-ci devait avoir été bien trop occupé pour répondre à sa lettre. Ou alors, il avait considéré que la question était stupide. Toujours est-il qu'Adso, de toute façon, n'avait pas eu le temps de se changer entre son bureau et Saint Titus, et c'est donc vêtu de sa robe de bure habituelle qu'il était venu. Ce qui était probablement une grosse erreur : certaines personnes étaient habillés de façon fort... recherchée.

Un acolyte à l'entrée de la basilique lui demanda "Récipiendaire ou invité ?". Adso vérifia une dernière fois sur la lettre : "la Sainte Curie a décidé de vous octroyer l’Étoile d’Aristote". Ouaip. Excusez du peu. La Sainte Curie "en personnes" (sic). Adso montra la lettre à l'acolyte qui fit une moue (de dédain ? il aurait vraiment dû changer de vêtements...), et lui indiqua les strapontins derrière l'autel principal. Forcément, pour faire plus discret, ils n'avaient pas dû trouver mieux... Adso atteint les strapontins juste à temps pour la fin de la prière, et il répondit avec tout le monde :

Amen.

Puis, après un discours dont il avait le secret, SE Aaron appela des noms, dont le sien... Ce sens de l'organisation n'était pas pour déplaire à Adso : l'ordre alphabétique. "Ordo ac cogitatio", telle était sa devise.

Adso s'avança donc pour répondre à l'invitation du cardinal Aaron. Il aperçut Hobb dans l'assistance, et lui fit un petit coucou discret. Enfin, aussi discret qu'il put, évidemment : il fallait bien que Hobb le remarque, non ?

******

[Sorry, no time to make my own translation, so many thanks to Saint Google, with some human intervention to avoid big mistakes ]

Adso had arrived late. Well, not too much, but say he did not actually managed to get ahead. First, it was not known for his sense of direction. Or in other words, what it could be known, was precisely his lack of sense of direction. Yes, but this time it was not his fault. His invitation had said "Aristotle square." He had re-checked on the way to the letter he had stowed in his pocket. Well, okay, there were also marked "if the weather permits" ... But the weather did not look that bad ...

Still, once in place, it does not seem to be more active than usual. Admittedly, it was large, but after going in all directions without finding anything, he ended up falling on a cleric who told him that the ceremony took place at St. Titus.

Hmm ...

He had to hurry to get to the basilica ...

He came just in time to hear His Eminence Aaron begin the prayer.

A quick glance enabled him to answer questions that had plagued since he had received this letter:
1) What had he done to deserve this medal? The fact that half of the Nunciature was there proved that indeed he had not done much more than usual ...
2) Should we make efforts of vesture? Adso asked for clarification on this subject to Cardinal Aaron, but it must have been too busy to answer his letter. Or, he considered that the question was stupid. Still, Adso, anyway, had not had time to change between his office and St. Titus, so it is dressed in his usual frock he had come. This was probably a big mistake: Some people were dressed so... well...

An acolyte at the entrance of the basilica asked, "Winner [Oh God ! "Receiver" ?] or guest?". Adso checked one last time on the letter: "Holy Curia has decided to award the Star of Aristotle." Yep. No less. Holy Curie itself. Adso showed the letter to the acolyte who pouted (disdain? He really should have changed clothes ...), and showed him the jump seats behind the main altar. Inevitably, to be more discreet, they did not have something better ... Adso reached folding seats just in time for the end of prayer, and he replied with everyone:

Amen.

Then, after a speech he had the secret, SE Aaron called names, including his own ... This sense of organization was not to displease Adso: alphabetical order. "Ordo ac cogitatio," was his motto.

Adso therefore advanced to respond to the invitation of Cardinal Aaron. Hobb he saw in the audience and gave him a discreet hello. As discreet as he could, of course: Hobb was supposed to notice his sign...
_________________
Archevêque de Cambrai, Protonotaire Apostolique

Le discours du cardinal à peine entamé, la première fournée de promus fut appelée à s'avancer. A, A, B, B... Avec son prénom, il était sûr qu'il en ferait partie. Et ce fut bien le cas. Il savait qu'il serait appelé, mais si vite, et le fait de le vivre sur l'instant... Son cœur eut accélération soudaine, et un peu gauche, le blond se leva. Son pas de fit plus assuré au fur et à mesure qu'il se tenait proche du révéré. Pas peu fier, il se tint auprès de son confrère et futur étoilé, remettant discrètement en place sa blonde mèche en attendant l'arrivée des autres appelés.
_________________

Le rythme était trop rapide…Crénom...Quasi pas le temps de rhabiller sa clocharde de Marquise…En Provence, dès le début de la cérémonie, on aurait fait une sieste…Un brin de causette…Une boulasse au coin d’un champ de lavande…Ici, non…Putentraille…
Le temps de dire un …

Amen…

Profond et digne, et déjà les heureux élus s’avançaient , ivres de recevoir une médaille. Cianfarano se replongea dans la méditation, accentuant ses vibrations pieuses vers la figure oh combien sensuelle de l’Archange Gabriel.
_________________

Le jeune Leg DiCesarini, arriva juste pour le début de la cérémonie afin de voir des Savoyards recevoir cette Etoile tant convoitée par beaucoup . Le Duc Pierre Von Kolspinne et son Epouse la Duchesse Melisende allaient bientôt recevoir cet honneur.

Il regarda avec admiration et émotion, la Basilique Ste Titus, la ou son Grand père, Leg l'Ancien avait lui même reçut cet honneur , lui qui avait été Chevalier Sénateur des Sanctes Armées, et Chevalier d'Isenduil de l'Ordre de l'Etoile d'Aristote.

Une sorte de retour aux sources ...pour le petit fils qu'il était.

Il sortit de sa contemplation afin de suivre la cérémonie
_________________

Alors que les sept appelés montèrent sur l'estrade et s'approchèrent du prélat, le cardinal héla sept acolytes portant chacun un cousin de soie rouge sur lequel était posé une étoile d'argent de l'ordre d'Aristote.

Chers et honorables membres de la Sainte Église, j'ai l'immense honneur et le privilège unique de vous remettre aujourd'hui un bijoux dont la valeur marchande n'égale en rien la valeur intrinsèque qu'il renferme. Cette étoile est le symbole de votre investissement et le symbole de l'infini gratitude que l'Église exprime aujourd'hui à travers moi en vous la remettant... Soyez en fier et faite y honneur, car il ne s'agit pas seulement d'une récompense, mais d'un symbole !


_________________

Les premiers récipiendaires de l'étoile d'Aristote avaient été appelés. Pierre regardait le déroulement de la cérémonie. De loin il vit Tully et lui fit un signe discret de la main. Quand une voix vint l'interpeller dans son oreille. Il se retourna alors et répondit au roi de Lotharingie en chuchotant.

Bonjour votre majesté. Et vous même ? Avez vous fait bon voyage.

En tournant la tête il aperçu le jeune Di Cesarini qu'il saluât de la tête en lui souriant

Monsignora Spinata betreed de Basilica en kijkt om zich heen. Het was een drukte van jewelste en overal liepen geestelijken rond. Het geluid kwam over als een laag gezoem en de mengeling van talen maakte het des te indrukkwekender. Opeens valt haar oog op twee bekende gezichten uit Holland en ze loopt rustig die richting uit. Ze knikt kort naar de heer Raboude en Vrouwe Pippa en vraagt dan Bezwaar als ik hier plaatsneem?

Monsignora Spinata enters the Basilica en observes the ongoings. The room was filled with ever-moving clerici and the likes. The sound resembled a low buzz, intensified by the fact several languages layered on top of eachother. Suddenly two faces strike here from amongst the crowd. Those she knew, came from Holland. She slowly makes her way to the couple and acknowledges their stations with a curtensy nod. She then requests: Any objections if i take a seat here?

L'ancien évêque, l'actuel recteur et qui sait, peut être le futur membre du paradis solaire, contempla la nouvelle médaille, sur sa poitrine. Un sentiment de fierté sur sa poitrine lui fit lever la tête. La médaille luisait sous le soleil, mais Bardieu ne dit pas un mot. Il était là, fier, et regardait le ciel comme son futur destin.

L'ordre cistercien, menacé d'instinction par la décision du primat de France avec trois autres évêques, avait maintenant son recteur décoré de la plus haute distinction aristotélicienne. C'était pour l'ordre une manifestation de très haut niveau qu'il fallait saluer comme une avancée vers les vertus.

Milles mercis, votre éminence.
_________________

En quoi la spiritualité d'Orient serait elle inférieure à celle d'Occident ?

L'archevêque ce saisit de la médaille en ajoutant quelques mots

Mon quotidien est de servir au mieux notre église et de diffusé la foi. Si je suis honoré aujourd'hui pour mon travaille acharné pour notre église n'oublions pas que je n'aurait jamais pus faire cela seul ou face a des interlocuteurs moins investi. Fort de ce travail d'équipe, cette récompense est a mes yeux aussi un peu la leur.

Merci Mon éminence.
_________________
Hummm ..... J'adore les hérétiques....... .... Doré a la broche bien sure !...

Tout semblait s'enchainer de fort preste manière, adoncques Beeky attendit que les nominés défilent dans l'ordre énoncé mais poinct ce ne fut le cas. Sentant qu'elle devait ne poinct rester plantée là plus que de raison, la dame s'avança vers le prélat.

Genoux à terre, lèvres qui effleurent l'anneau cardinalice, la dame reçut la médaille qui s'en vint rejoindre icelle qui pendait à son collier de dame de l'ordre de Mathusalem. En ce jour, la vicomtesse se sentait honorée de porter l'insigne faisant montre de la recognoissance de ses pairs quant à son engagement en l'Eglise d'Aristote.

Mais jà, les prochains "élus" devaient rejoindre la place qui estait sienne, aussi après quelques mots échangés en grande messe basse avec Aaron, l'archidiacre de Malines rejoignit son banc, non sans sourire à son amie Gwen qui s'en venait chercher son étoile.
_________________

Calmement, avec tranquillité et décontraction, Forth s'approcha. Il montrait une certaine détente mais au fond de lui même la situation était tout autre. On eut dit dans sa tête et son cœur une ébullition totale de sensation. Toutefois il sût garder une tenue.

Il avait posé son chapeau à l'endroit de sa place et tenait désormais sa canne comme elle devait l'être. Il s'avance donc près de l'autel et quand il fut positionné fit un grand sourire à Son Éminence Aaron.
_________________

White avait reçu l'invitation à temps, pour une fois, mais le trop court laps de temps qu'il avait devant lui l'avait fait arriver, une fois de plus, en retard.

La foule qui prenait place dans la basilique était impressionnante. Le Sénéchal de Savoie fut surpris de retrouver de nombreux visages connu. Vu la densité de la foule, il ne pouvait se rendre vers chacun d'eux pour les saluer comme il l'aurait voulu.

Le Hochmeister des chevaliers Teutonique se trouvant juste à côté, il le salua brièvement.

Surpris de vous voir messire Hobb, vous avez beaucoup à faire pourtant

il poursuivit, saluant du regard Melian de Ventoux et messire Acar de l'OCF. Il vit le nouveau Cardinal Tully qui regardait en sa direction, surement que son arrivé tardif avait attiré son attention, il lui fit un sourire aristotélicien...

Tournant à tête à gauche, toujours en marchant, il fit un discret signe de tête à la princesse Armoria puis acrocha une personne qui se trouvait en face de lui, le Roi de Lotharingie

Bonjour Victor, comment vas-tu? Belle cérémonie n'est-ce pas?

Uriel regarda Adso passer à sa hauteur.
Il se rappela ce jour du printemps en l'an 1457 lorsqu'il avait été blessé en passant d'Epinal et Luxeuil et qu'il avait rencontré le maire/curé de Luxeuil. Ils avaient ensuite toujours gardé le contact, directement ou indirectement.

Lorsqu'il fut suffisamment près, il lui glissa ...

Alors Monseigneur ... "Quo non ascendet ?"
_________________

Spagyricus sillonnaient les royaumes depuis quelques temps maintenant et il appréciait de venir baguenauder à Rome où l'atmosphère studieuse lui rappelait à quel point il avait de la chance de pouvoir prêcher. Et la cérémonie de remise de médailles était un événement où il fallait être vu. Les prélats défilaient les uns après les autres sur le tapis rouge, tous plus heureux les uns les autres de pouvoir s'auto-congratuler.

A l'entente du discours du Père Aaron, il ne put réfréner un sourire. Entendre un tel plaidoyer en faveur de la bureaucratie alors même que Spagyricus traversait des paroisses aux églises vides, voilà une étrange conception de l'Enseignement. Mais à l'énoncé de certains noms, il ne put retenir un froid ricanement. Voir des burelains, ces suppôts de la nomenclature paralysante être récompensés... C'était une insulte au bon sens.

Secouant tristement la tête, Spagyricus quitta les lieux qui lui rappelaient par trop la description du siège d'Aornos. A ceci près que le manitou du serpent cosmique ne parlait pas de cette médaille en chocolat.
_________________
Père Spagyricus dict La Buse Vertueuse

Adso sursauta, avant de reconnaître Uriel. Après avoir réfléchi au sens de la remarque, Adso se rendit compte que c'était la même réflexion qu'il avait fait à son ami lorsque celui-ci avait annoncé il y avait quelques temps avoir reçu diverses distinctions et nouvelles fonctions. Il lui chuchota :

Mais non, mais non... Ce n'est que l'Etoile d'Aristote... Regardez, on la donne à tout le monde...

Tout en disant çà, il repensa à une discussion animée qui avait eu lieu à l'AEF entre les évêques et SE Aaron, et se demanda si, au contraire de sa médaille du mérite Franc-Comtois, l'Etoile d'Aristote devait être représentée sur ses armoiries... Qu'est-ce que c'était compliqué, ces règles héraldiques !
_________________
Archevêque de Cambrai, Protonotaire Apostolique

[HRP : correction suite à une erreur de liste. J'avais appelé les mêmes que la fois dernière...]
_________________

La brune fleurant bon la violette suivait avec émotion la cérémonie, aux côtés de sa cousine fleurant le biscuit. Elle n'avait jamais vraiment assisté à ce genre d'offices, qui récompensait ainsi les fidèles. Pour elle, les médailles ou autres distinctions étaient au temporel, et les récompenses spirituels, émanaient du Très Haut, des signes divers qu'Il donnait, de Victoire de fidèles contre l'hérésie ou autre.
Mais elle comprit vite que cette étoile avait surtout une valeur symbolique et cela la touchait plus qu'elle ne le croyait d'être parmi ceux qui la recevait en ce jour.

Plusieurs personnes furent appelé, et une lueur semblable brillait dans leurs yeux.
Puis vint son tour, et c'est Ney qui dû serrer la main que la brune tenait, un peu plus fort pour la faire réagir.
Chuchotement de la biscuitée, pour que la violette se bouge.


La brune se leva vite en lâchant enfin la mimine de la mini, et suivit les derniers appelés.
Regard brillant, ce qu'elle allait recevoir, c'était aussi pour l'Ordre Teutonique...

Une fois arrivée devant le cardinal, genoux à terre et effleurement de la bague du bout des lèvres, sourire mutin coutumier, puis laissa les autres faire de même
_________________

Typhanie de Divonne ? C'est moi en mieux !

"Bougre d'âne, de bougre d'âne "

Il grommelait à voix basse, il était très très en retard... Enfin, il lui semblait que c'était à voix basse. De nombreux fidèles, prêtre ou Milites étaient mis à l'honneur et parmi eux sa filleule en l'Ordre Teutonique. Et lui... En retard.

La grande carcasse était à courir et ceux ayant la chance de le voir arriver se poussaient prestement.

"Poussez-vous ça dememenage " ... Il gravit les marches du parvis en deux bonds. Il prit le temps de saluer ses frères de la garde pontificale et poussa un chouia trop fort la lourde en bois.

Boummm

Il se maudit alors qu'il se signait.
C'est à cet instant qu'il entendit... " J'invite Lepirate, Lily Jane, Melisende Maledent de Feytiat, Pierre Von Kolspinne, Raboude et Richelieu à me rejoindre... "


Merci Seigneur... Il était arrivé à temps....
_________________

Tokai était ravie de voir tous ces hauts personnages recevoir la prestigieuse decoration, peut etre un jour l aurait elle aussi...
Puis elle retourna dans ses méditations...
_________________

Et le Père Turinge entra en la Basilique.
Averti qu'une cérémonie importante s'y déroulait. Elle allait récompenser à la fois son évêque et son Archidiacre d'ami et mentor.
Il était content pour eux et fier pour le diocèse.
_________________

Diplomate Bourguignon, Prêtre et Maire de Cosne
Vicaire Diocésain de Nevers

Ainsi, descorés suivaient à l'unisson... L'anstre de lumière vibrait au son des feliscitations et c'estait grande joie de les voir, ainsi.
_________________

[désolé pour le retard, petite retraite...]

Alors que chacun regagnait sa place, le cardinal jeta un coup d'un pour appeler le dernier groupe des récipiendaires de l'Étoile d'Argent...

J'invite San Antonio, Thomas, Uriel, Victor et Vonafred à me rejoindre...

Cousins et acolytes vinrent à la rencontre du petit groupe et du cardinal...

Chers frères, chers amis, vous recevez cette étoile en signe de reconnaissance de l'Église pour le travail accomplit ces dernière année pour la grandeur de la foi et de l'Institution divine. Soyez remercier pour votre investissement et louer pour votre grandeur d'âme et de vertu.


_________________

Le Frère était assez heureux pour les personnes qui en ce jour recevaient l'étoile d'Aristote, il en connaissait la plupart, pour leurs travaux.
D'aucuns la méritaient sans doute plus que d'autres, mais de cela il n'avait pas à juger, ni même à s'en poser la question du pourquoi-comment.

A la mention de son nom, il rosit légèrement. Il n'était pas homme d'honneurs et de distinctions et eu final ne s'y faisait pas, pourtant ce n'était pas faute d'en recevoir.
Il se leva donc, remontant l'allée centrale et traversa la nef pour aller mettre un genou au sol, face au Cardinal Chancelier.

Intérieurement, il souriait car il imaginait son amie Ecaterina, qui en ce jour, serait sûrement fier de lui. Sans elle il ne serait nulle-part.

Merci Eminence, c'est avec beaucoup d'humilité que je reçois ce jour cette récompense.

Il se leva et regagna sa place, saluant au passage Jake, et refaisant un signe de tête à Hobb, qui avait, avec brio, supervisé toute la campagne de Genève.
Il tenterait d'éviter Adso, car ce dernier ne manquerait pas de lui dire son commentaire, cela dit, ils en riraient bien, tous les deux ...


Edit : m'étais trompé dans les balises ...
_________________

Le Roy d'armes de France, présent dans l'assemblée sur invitation du Vicomté D'ivry, s'approcha de celui-ci humblement lorsqu'il fut appelé pour recevoir l'étoile d'argent.

C'était avec une certaine émotion que le Duc de Dun-le-Roy reçu l'étoile, qui venait certainement récompensé son merveilleux traité théologique disponible chez tous les bons libraires sur les liens entre le pouvoir temporel et spirituel et ses travaux pour la promotion de la foi dans les chaumières, en général.

Il remercia avec beaucoup d'humilité le Grand Prévôt de l'ordre de la Sainte chrême et regagna une place dans l'assemblée.

Le berrichon se demanda si San Antonio était revenu de son pèlerinage à Jérusalem et ferait un crochet par Rome pour recevoir la distinction ce jour...Ou peut être était il en train de baigner dans son sang, loin d'ici.
_________________
(d'ailleurs le cœur est plus gros !)

Uriel s'inclina, respectueusement, face à Bushiro.

Merci, Monseigneur, pour vos encouragements ; je gage n'en avoir point encore terminé.
C'est une fort grande distinction, en effet.

Il sourit, puis leva un sourcil vers Titca ; elle semblait en effet assez perturbée ...
_________________

En entrant dans la basilique très en retard après un voyage très long, elle entre discrétement et vint s'asseoir auprès de sa Marquise, sa chère Hersende. Elle éternua, dérangée par une odeur forte et assez désagréable de violette.

Elle ne voulait en aucun cas manquer la récompense prestigieuse décernée à leur ami infatigable, Richelieu. Il y avait beaucoup de personnes de haut rang dans la foule. Un attroupement auprès d'un homme jeune attira son attention. L'empereur si il n'avait été si jeune, Led pensait plutôt au Roy de Lotharingie, d'après l'âge et les cheveux blonds.

Hakon son ami expatrié est là et elle sourit. Son porte-parole lors de son tout premier mandat et qui si souvent venait lui rappeler les nombreuses choses oubliées. Un vrai soutien et Led fut bien triste de son départ. Il semblait rayonnant et bien portant.

Elle vit son ex-homologue de Périgord s'approcher aussi parmi les élus du jour. Elle avait apprécié sa gentillesse et son honnêteté. Encore une personne qu'elle estimait. Richelieu, Hakon, Vonafred c'était une bien belle journée que celle-là.

Souriant à Hersende, elle lui tapote la main et en regardant Richelieu, elle lui dit à voix basse :

- Un vrai triumvirat que nous avons souvent formés ensemble non ?
_________________

plus jeune, plus fougueuse, plus dynamique, plus emportée aussi; son moteur est la passion, et "elle en a sous le capot" [Thranduil]

C'était une bien belle cérémonie, à laquelle le cardinal d'Azayes prenait plaisir à assister. C'était une très belle promotion de médaillés que celle qui défilait jusqu'à présent. Thomas était ravi de voir que parmi les récompensés, les champenois étaient bien représentés. Beeky Maledent de Feytiat, puis Gwenhwyvar. Ces deux fidèles le méritaient assurément pour le soutien qu'elles apportaient quotidiennement à l'Eglise.
San Antonio d'Appérault était également mis à l'honneur. Lui aussi le méritait, pour l'acharnement qu'il avait mis à défendre la foi. On ne le voyait plus guère en champagne ces derniers temps. On le disait en croisade, en terre sainte, pour défendre la foi, justement. Sa fille devait avoir fait le déplacement et pourrait peut-être récupérer la médaille pour son père.
_________________

Cardinal-archevêque de Reims, Ami Lescurien.

Carolum a souri en écoutant le nom de sa compagnon dans la congrégation; sans doute le jeune Typhanie méritait beaucoup cette médaille. L'archevêque espagnol s'est fait des clins d'oeil un oeil avec discrétion à la français…

Le Primat du Portugal arrive un peu arriéré à la cérémonie.
Venu dans représentation de l'AEP, il cherche une place où il puisse assister.

---------

O Primaz de Portugal chega um pouco atrasado à cerimónia.
Vindo em representação da AEP, pocura um lugar onde possa assistir.
_________________

La dame qui dirigeait le secrétariat apostolique de France d'une main de fer semblait toute fragile à l'annonce de son nom, et dans la perspective de monter sur l'estrade rejoindre le prélat rouge-pomponné.

Le cardinal héla un nouvel acolyte, plus âgé, un cousin rouge dans les mains, avec non plus une étoile d'argent, mais une étoile d'or pour récompenser le travail important que donne Dame Titca à l'Église de France et à la congrégation des Affaires du Siècle.

Alors qu'elle s'inclinait devant lui, le cardinal la prit par les épaules et accompagna son redressement, en signe à la fois de respect et de déférence, car aujourd'hui, ce n'était pas lui qui recevait les éloges, mais elle qui recevait les gloires de son travail.



Votre Excellence, relevez-vous, je vous en prie... Car j'ai l'immense honneur et la grande joie de vous remettre aujourd'hui une étoile, signe de votre travail et de votre investissement pour la gloire de l'Église. L'on vous voit autant à l'assemblée des évêques de France qu'à la congrégation, rehaussant de votre présence précieuse ces assemblées qui sans vous ne fonctionneraient pas aussi bien.

Vous êtes une fleur rare dont l'Église à bien besoin pour braver les difficultés qui se dressent devant elle. Je n'ai qu'un seul regret, sans toutefois que celui-ci n'assombrisse l'admiration que je vous porte, c'est que vous ne portiez pas de pompons, car quel prélat vous ferriez !

Dit-il en affichant un large sourire ! C'était carrément un appel du pied... Peu de laïcs étaient montés dans l'entourage du cardinal qui ne s'entourait que de prêtre, et cela avait été un peu à contre-cœur qu'il avait nommé, à ces débuts, Typhanie au poste de secrétaire apostolique, charge qu'il ne concevait que dans les mains d'un prêtre. Toutefois, il ne regrettait pas son choix au vu du travail accompli et s'en félicitait même...

Ma dame, permettez-moi...

Dit-il en agrafant l'étoile d'or sur le revers de l'habit du secrétaire...

Typhanie de Divonne, Moi, Aaron de Nagan, au nom de la Sainte Curie, je te fais, Étoile d'Or d’Aristote. Que chaque fidèle, présent et avenir, se rappel que l’Église remercie et honore ceux qui l’ont servie dignement et avec dévotion.
_________________

La violette avait reprit place à ... sa place. D'ailleurs heureusement, l'allait pas rester à coté d'Aaron indéfiniment quand même. Bien qu'elle aurait eut pas mal de choses à lui dire, mais ptetre pas l'endroit. Puis quand la brune commençait à parler, fallait l'assommer pour la faire taire... Et ça aurait pas fait propre dans un tel endroit....

Donc elle s'était rassise, un ptit sourire à son parrain, Makcimus qui était entré avec autant de discrétion qu'elle à son habitude, sourire aux gens qu'elle connaissait, se retient d'aller bavasser avec son monseigneur d'la soutane préféré, le ferait plus tard aussi.

Puis on regarde les autres appelés....

Et vint le tour de.... Sa Divine !!!

La violette en mode fan, enfin sans pompom et cri hystérique... Les WOO Girls n'agissaient que lorsqu'elles étaient ensemble. Et vu que Typh était maintenant dans les bras d'Aaron, elle risquait de lui crever les tympans, si Lily balançait un WOO, et devait y répondre.
Donc en résumé, pas de WOO, ou juste un silencieux...

Bon, calinou aaronien terminé, la divine de la violette quittait la scène, heu l'autel...

Regard de la comtesse vers sa coupine, la félicitant silencieusement. Mode transmission de pensées entre les deux folles
_________________

Typhanie de Divonne ? C'est moi en mieux !

C'est avec un énorme plaisir et une grande humilité que Gerbo avait reçu son Etoile d'Argent. Il avait oeuvré pour Rome, avec la Garde et au Collège Héraldique, mais il trouvait cet honneur bien grand pour lui; au moins, cette récompense aurait au moins l'effet de le faire arréter de se plaindre(pour quelques temps seulement, faut pas pousser quand même) sur la faible reconnaissance de l'Hérauderie Romaine.

Ormis lui même, plusieurs personnes de sa connaissance, toutes très méritantes, furent récompensés, et il en fut ravis; tan d'autres étaient oubliés, mais l'effort de Rome métait du baume au coeur, et puis un jour, leur tour viendra surement.
_________________

Elle avait fait une longue route,une tres longue route pour se rendre la ou la missive de son Chapelain la conviait.Elle fut etonnée de savoir son pere honoré d'une telle decoration.Il etait certes pieux,et sa propre personnalité lui rappelait les visites qu'elle lui faisait,le trouvant en priere profonde,ou a l'office.Il avait toujours ete croyant,et fervent aristotelicien.De lui,elle avait herité les valeurs,et les portait au mieux qu'il lui etait possible.

Quoiqu'il en fut,elle arriva au prelato assopite,ou le Cardinal Eveque de Bethleem avait prévu son arrivée.
Le lendemain,la ceremonie debuta.Portant la couleur du deuil,d'un blanc pur,sous une cape de sable sur laquelle la Croix de Saint Jean etait brodée,la tete recouverte d'un voile qui laissait deviner le jais de sa chevelure,et sans aucuns ornements,on la vit remonter discretement l'allée a l'annonce du nom de son père.
Peut etre que certains esperaient encore le voir venir,elle,y avait renoncé depuis peu.
Trop d'années a chercher avait usé son espoir,meme si l'infime lumiere brillait en son coeur chaque jour,ce jour.Qu'elle aurait aimé se faire morigener par sa haute stature,sur le fait de lui oter l'honneur de querir sa medaille.

Mais las,il n'en fut rien.Aussi ses pas l'avaient menés jusque l'Etoile,puis ramené jusque sa place.Elle avait apercu le Chapelain,et l'avait salué.Le seul a qui un signe de tete se fit.En remerciement,de l'avoir prevenu de l'evenement.Sans quoi,personne n'aurait recuperé cette etoile,o combien merité pour son dernier combat.
_________________

Le cardinal sourit...

Vous n'avez pas à me remercier, c'est l'Église qui par ma bouche vous remercie... Je suis bien heureux que vous ayez trouver le bonheur en trouvant votre âme sœur au sein de la gente masculine, un bonheur tout aussi prégnant, sans doute, que celui de donner sa vie à Dieu.

Nous userons ainsi encore de vous et de vos compétence, pour rendre l'Église encore plus grande et plus belles...

Avant de la laisser partir, le cardinal eut l'initiative de lui faire l'accolade, à droite, puis à gauche, en signe de respect et d'amitié...

J'invite maintenant monseigneur Carolum à venir me rejoindre...
_________________

Décidément, certaines choses se refusent de changer.
Il était surprenant de voir à quel point les cérémonies pouvaient donner l'impression de s'éterniser.

Chevreux venait de faire un long voyage jusqu'à Rome, et devoir rester là, assis, avec l'impression de longueur, finirait par le lasser.
Déjà que ce retour dans des lieux où plein de monde se rencontrait avait brisé ses habitudes de prière en totale solitude, il devait aussi réapprendre que certaines gens se avaient besoin de plus de temps pour agir.

Le Très Haut a fait de nous des êtres différents.
Que cela soit donc ainsi.

Chevreux déplaça ses jambes pour les dégourdir sans pour autant déranger ses voisins.


"La patience... la patience"... Il se rappelait les mots que le Grand Maître de son ordre lui avait tant rappelé lorsqu'il était encore un simple novice. "C'est avec de la patience qu'on fini par atteindre ses buts..." Il avait appris ce qu'était la patience, mais il avait toujours certaines impatiences à l'occasion. Il se dit qu'il irait faire ne prière pour se faire pardonner d'avoir eu ce manque soudain d'impatience.
_________________

Nolite haud magni facere imbecilliorem vobis.
Ne sous-estimez pas plus faible que vous !

Le moment était très émotif pour le prélat espagnol; le cardinal Aaron a mis sur sa tunique mauve l'Étoile d'or d'Aristote. Se sentait personnellement fier de pouvoir porter cette médaille, puisque jusqu'à celui-ci moment, seulement deux autres Espagnols, Ubaldo et Anzo, avaient reçu celui-ci mérite dans l'histoire de l'Église…

- Éminence, je n'ai pas de mots suffisants pour remercier celui-ci je développe et celle-ci récompense, bien que pour moi, la plus grande récompense et la motivation soit de continuer à travailler jour après jour par une Église plus grande, où aient capacité chacune des créatures de Dieu. -

Il a en outre ajouté :

- Bien que réellement, il soit très égoïste en ce qui me concerne de ne pas reconnaître qu'une grande partie de l'honneur qui m'ont accordée aujourd'hui, il correspond aussi à toutes les personnes qui travaillent avec moi dans la Nonciature, dans l'Archevêché, à toutes ces nonces et à prêtres et aussi aux fidèles qui m'ont aidée et qui continuent à travailler pour la plus grande gloire de Dieu. -

Carolum a baissé à nouveau la tête en signal de respect, il a embrassé l'anneau du cardinal Aaron et est retourné lentement à son emplacement, mais avec un grand sourire dans sa bouche.


****


El momento era muy emotivo para el prelado español; el cardenal Aaron puso sobre su túnica morada la Estrella de oro de Aristóteles. Se sentía personalmente orgulloso de poder portar esa medalla, ya que hasta éste momento, sólo otros dos españoles, Ubaldo y Anzo, habían recibido éste mérito en la historia de la Iglesia...

- Eminencia, no tengo suficientes palabras para agradecer éste gesto y ésta recompensa, aunque para mí, la mayor recompensa y motivación es seguir trabajando día a día por una Iglesia más grande, donde tengan cabida cada una de las criaturas de Dios. -

Además añadió:

- Aunque realmente, sería muy egoísta por mi parte no reconocer que gran parte del honor que hoy me han concedido, corresponde también a todas las personas que trabajan conmigo en la Nunciatura, en la Archidiócesis, a todos esos nuncios y sacerdotes y también a los fieles que me han ayudado y que siguen trabajando para la mayor gloria de Dios. -

Carolum volvió a agachar la cabeza en señal de respeto, besó el anillo del cardenal Aaron y lentamente regresó a su sitio, pero con una gran sonrisa en su boca.

La estrella de oro, ¡mon dieu!

Verdaderamente el religioso había trabajado de manera incansable por la Iglesia Aristotélica. Era su mérito el que la secretaría hispánica fuera de las más activas y completas, y no sólo en ese ámbito. Había llegado muy lejos y aún le quedaba mucho por recorrer.


_________________
En memoria de Fray Tanys Stewart.

Arxidiacà de Lleida - Ambaixador del Principat - Rector del Seminari Hispànic - Sagristà d'Urgell

Bien que Chevreux ne connaissait pas certains membres de l'Église qui était à honorés lors de cette cérémonie, il n'en restait pas moins qu'il écoutait attentivement ce qui se passait.

Si ces personnes recevaient un tel hommage, c'est qu'elles le méritaient.
Leurs gestes passés devraient inévitablement survivre au longueur du temps.

Le Très Haut s'en souviendra lors du Jugement Dernier, pour chacun d'entre aux, et il ne pourra que leur en être reconnaissant.
____________________________________
Nolite haud magni facere imbecilliorem vobis.
Ne sous-estimez pas plus faible que vous !

Le cardinal Aaron, après avoir remis la dernière étoile d'Aristote fit une pause -- peut-être pour émettre une brève prière au très haut --, s'approcha du pupitre pour appeler les prochains récipiendaires.

Chevreux sursauta légèrement à son nom. Il avait été invité à assister à cette cérémonie mais en avait ignoré la raison. Il avait mis la raison de cette invitation sur sa charge de Chevalier Légat, étant par le fait même membre de l'Ordre d'Aristote.

Mais se faire appeler à l'avant de cette cérémonie le surprenait à la fois que de l'émouvoir. Un tel honneur était chose rare qu'il fallait apprécier le moment venu.

Il se leva donc, replaçant sa tenue discrètement et s'avança. Il cherchait du regard les autres récipiendaires, tout en avançant vers le Cardinal Aaron.

Une fois près de l'autel, Chevreux s'inclina face au cardinal, en guise de salutation et de remerciement.

____________________________________

Nolite haud magni facere imbecilliorem vobis.
Ne sous-estimez pas plus faible que vous !

Alors qu'il escoutillait Son Esminence Aaron, il fuct appelé tout comme son frère Chevreux et une austre personne à resjoindre le porteur de voix.

Il se lesva donc puis alla devers le cardinal est posa genou senestre en terre...
_________________

Chevreux avait accueilli avec un sourir la venue à ses côtés de son frère d'Armes Acar. Depuis longtemps, cet homme et lui avaient combattu plusieurs fois pour le bien de l'Église.

Quant au jeune homme, il ne le reconnaissait pas, mais savait que s'il avait été appelé à l'avant, c'est qu'il en avait le mérite. Il lui souriat également pour l'accueillir à ses côtés.

Puis, voyant son frère Acar s'agenouiller, Chevreux en fit de même.

C'est alors que le Cardinal s'avança vers eux et leur décerna une des plus importante récompense que l'Église pouvait décerner.
Humblement, Chevreux inclina la tête et remercia le cardinal.

Votre Eminence, je vous remercie pour l'immense honneur que vous -- et les membre du collège des Cardinaux -- me faites.

Mettant la main au pommeau de l'épée d'Isenduil qui se trouvait à son baudrier, seule épée qu'il se permettait de porter sur lui dans un lieu saint comme la présente basilique, il continua.

J'ai prêté serment de mettre mes épées au service de notre Très Sainte Église et c'est ce que j'ai fait depuis tant d'années.
C'est également ce que je compte faire tant et aussi longtemps que le Très Haut m'accordera le privilège de Le servir en ce monde.

Chevreux inclina la tête encore plus, attendant que ses co-récipiendaires prennent à leur tour la parole.

____________________________________

Nolite haud magni facere imbecilliorem vobis.
Ne sous-estimez pas plus faible que vous !

Yeux vers le bas, il vict néanmoins son frère et ami Chevreux s'asvancer à ses costés puis la voix du cardinal resonna en le haut lieu :

C'est pourquoi, aujourd'hui j'ai l'insigne honneur de me faire la voix de tous et de vous décerner au nom de notre Saint Père le pape, et de l'ensemble du collège des cardinaux, l'étoile d'or de l'Ordre d'Aristote...

Reslevant les yeux après avoir escoutillé son frère chevalier d'Isenduil : Mon Esminence, grand honneur pour ma modeste personne... Que mon bras soit toujours aussi vigoureux pour le bien de nostre Esglise et que mon Verbe serve à propos nostre juste cause, à jamais !!
_________________

À la demande du Cardinal, Chevreux se releva et inclina la tête en recevant l'Étoile d'Or de la main du Cardinal.

Il était ému par les propos du cardinal, réalisant que l'honneur qu'il recevait était en effet très élevé.

Une seule parole lui vint en tête, la devise de l'Ordre Teutonique.

Deus Manum Ducit. (Dieu guide mon bras)

Puis, Chevreux écouta le Père Aaron s'adresser à l'héritier d'un grand homme. Chevreux savait maintenant qui était ce jeune homme et pourquoi, aussi jeune, il avait ce privilège de recevoir un tel honneur.
_________________

Nolite haud magni facere imbecilliorem vobis.
Ne sous-estimez pas plus faible que vous !