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[RP] Hostel de Louvières, tanière Ysengrin de Limoges

--Aldaysengrin
Profitant de l'ouverture de la porte pour laisser passer sa Mamounette, Alda entre dans la demeure familiale, oui c'est un peu inattendu dans son état mais parfois revenir à des manières plus familières l'aident à se sentir en vie. Petits frissons d'extase cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas revu les lieux. Elle suit donc observant avec tendresse le portrait de son frère, et avec un amour inconditionnel celui de son Père. Silencieuse elle écoute son temps d'action n'est pas venu.
Edlweisss
Oulala mais c'est qu'il commençait à y avoir foule dans le coin , me dis je en moi même. On peut pas être tranquille c'est fou ça.
Une nouvelle arrivante de plus. Mon bain allait finir par déborder.. et toujours pas de salutations. Les moeurs étaient on ne peut plus étranges en Limousin.
Moi qui pensait qu'à l'image du Vicomte, les gens d'ici avaient la classe et de la distinction il semblerait que la vie de campagne joue sur la politesse.

Un petit air de ressemblance tout de même cette fois, j'observais un court instant. Quelle option choisir? j'hésitais en mon fort intérieur. L'allure de la dame et un certain âge pour ne pas dire un âge certain , limitait finalement les choix. Le regard et le ton hautain , la classait dans la catégorie noblesse qui se la joue et qui avait oublié qu'il fallait de tout pour faire un monde. J'en avais assez côtoyé par le passé pour ne pas avoir envie de creuser la question même si parfois les surprises étaient, comme pour les villes alanguies , de mise.
J'étais fatiguée et poussiéreuse. Je voulais mon bain. Le reste m'importait peu à vrai dire. Je soupirais.


Et vous qui êtes vous? On apprends donc pas la politesse dans ce fichu pays?!
Et puis mon coté taquin et insolent repris le dessus.

Je vais vous montrer mesdames.

Je fis semblant d'arriver , d'ouvrir la porte , et lançait

Oh! du monde .. bien le bonjour Dames. Plantant mon regard dans celui de la dernière arrivante, là faut faire un sourire et se détendre... reprenant le court de mon sketch, Je suis Edlweisss Mitara. Invitée de sa grognosité le Vicomte Atilla. A qui ai l'honneur ?

Son regard passant de l'une à l'autre, elle sourit amusée

Voyez c'est pas bien difficile et ça rends les choses bien plus faciles... Enfin si vous avez envie de vous crêper le chignon, je vous laisse entre donzelles , j'ai un bain à prendre et les indisposions de la gente féminine pour cause de mauvaise lune , ce n'est pas ma tasse de gnole à pépé ..


Un dernier sourire et je me dirigeais vers la sortie.


Chez moi on apprends la bienséance dès le plus jeune âge, je vous salue donc toutes deux et vous dit au plaisir.
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--Dhea
Dhéa n'en croit ni ses yeux ni ses oreilles ! Qui était cette péronnelle pour lui demander de rendre des comptes alors que la Vicomtesse était chez elle !

- Qui suis-je ?
- Je suis Dame Dhéa d'Ysengrin, Vicomtesse de Droux, propriétaire de cet endroit! Vous êtes donc chez moi et je débarque comme bon me semble en ma demeure ! Je n'ai donc pas à prendre des gants avec des personnes qui se trouve chez moi que je ne connais pas ! La politesse ? Et bien sachez que tout invitée de mon Fils que vous êtes, c'était à vous de vous présenter la première. Vous auriez dû me reconnaître, vous avez sûrement aperçut ma croûte dans la Galerie des Horreurs.

-Minute papillon, ne partez pas si vite ! Pour le baquet pour faire vos ablutions,une servante vous indiquera la salle d'eau. Quand à votre chambre je vais prendre les dispositions nécessaires pour que vous soyez installées dans l'aile réservée aux invitées de baise cour de mon Fils. Vous ne serez donc pas logée dans les meilleures chambre ni dans l'aile principale.

-Vous pouvez disposer, maintenant et aller vous rafraîchir. Je ne vous retiens pas en ma présence.

Se retournant vers la jeune femme portant gros ventre, elle s'adressa à celle-ci :

- Vous savez donc qui je suis. Je présume que vous êtes la future nourrice du Petit Roi. Le majordome vous indiquera l'étage réservé aux servantes pour vous y installer. Quand la Mère du Petit Roi sera là, vous aurez une chambre attenante.

Dhéa sent un frisson dans son dos.
-Vous n'avez pas senti comme un léger parfum de violette ? Hum...je dois rêver...
Edlweisss
J'étais déjà quasi parti quand la vieille répondit. Je souriais amusée de ses grands airs.

Que Môôdammmeee la Vicomtesssss m'excuseeeeeeeuuuu , courbette tout à fait irrespectueuse à son attention et je me redressais en plantant mon regard dans le sien.
Je n'ai guère eu le temps de faire le tour de la maison et donc votre portrait ne m'aura pas sauté aux yeux. Et il est à parier qu'il ne reflète point la vérité tant votre visage révèle de bonté en cet instant . insolence quand tu me tiens

Quand à mon bain je le prendrais où je veux, mais vous avez raison l'air vicié de ce petit hostel de province comparé à l'air frais des chateaux ducaux de mes montagnes n'est guère fait pour moi.

Tournant le dos, j'apostrophais cet incompétent de majordome, tout à l'image de la maitresse de maison, toujours englué dans le hall d'entrée et récupérais mon baluchon de voyage.

Vous direz au Vicomte que ses invités sont fort mal reçu en ses murs. Il saura où me trouver.

J'avais bien assez perdu de temps avec ses greluches mal fagotée , la Marquise m'attendait non loin , le choix n'était guère difficile à faire finalement.
[/i]
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Arthaud
Arthaud , une fois rafraichi et ayant revetu une tenue plus convenable redescendit dans le vestibule au moment même ou une personne sortait . Se dirigeant vers les deux personnes restante , legere reverence envers la genitrice du vicomte qu'elle avait pu croiser il y a fortlongtemps au castel.

Bonjour arthaud de mont vermeille dame d'allassac , votre fils m a demande de venir ici pour examiner une jeune dame qui au vu de ce que je vois dois etre cette personne .

Sourire vers la primipare
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N3mo.f
N3 la regarda faire, tournoyer autour d’elle, pensant peut être que la jeune brunette allait craquer, ou qu’elle ferait transparaître la moindre once de peur. Mais il n’en fut pas ainsi. Elle resta droite, bien que son ventre lui pesait et la tiraillait plutôt vers l’avant.

- La Flèche ?! Oui en effet il y a quelques temps que j’en suis partie pour venir ici.

Elle l’abandonna alors, se dirigeant vers la fenêtre alors que N3 restait plantée là, mains crispées sur son bidon proéminent. Les deux femmes se fixèrent, visiblement aussi amusée l’une que l’autre à jouer à ce petit jeu de « qui aura le dernier mot », si l'on peut dire.

La braillarde, qui s’était mise à son aise, lui céda la place. La banquette ne donnait pas du tout envie surtout pour s’y poser et ne jamais réussir à s’en relever.


- Pour le bain …

Entrée fracassante d’une autre criarde avec un ton plus marqué, serait-elle plus âgée ? Toujours est-il que son entrée était loin de passer inaperçue.

- Arééééégooooooondeeeee ma Chériiiiiiieeeee, où êtes-vooooouuussss ??? C'est mooooiiiiii votre future Jolie Mamaaaaaan...

Hein ???! Qui est Arégonde ? Et pourquoi sa future jolie Maman ?

Ou là … Plein de questions commençaient à se bousculer dans la tête de la jeunette, mêlées d’un zeste d’appréhension à l’égard de cette voix si perçante, déjà si agaçante.

- Arég....Mais... Qui êtes-vous ? Et que faites vous chez moi? Savez-vous où se trouve la future primipare ?

Quoi ? Comment ça ? Cela se voit donc si peu ? J’en doute fortement se dit-elle intérieurement, à la limite de le crier bien au-delà de ses lèvres.

Devant cette femme si … si … enfin voilà quoi, N3 resta tétanisée, incapable de sortir le moindre mot ou de faire le moindre geste. Si polie fut-elle, elle ne broncha même pas pour faire ne serait-ce qu’une petite révérence.

Cette femme. Elle savait de qui il s’agissait. Comment ne pas le savoir après tout, après ces 9 longs mois à en avoir si souvent entendu parler. Cette femme. La Mère du Leu.

Ses yeux bleus comme la nuit bifurquèrent vers une autre convive, la dernière à avoir pénétré les lieux, trottant derrière la Reine Mère comme l’appelait si bien le Vicomte. Elle ne put s’attarder sur elle, toute son attention retombait sur la génitrice du futur père de son propre enfant.

Edlweisss commença à lui répondre sur un ton tellement insolent mais qui ne manquait pas de toucher à vif la vieille peau qui ne se prenait pas pour une gueuse. Ooooh non loin de là.

N3 resta choquée, interloquée, médusée, estomaquée mais si admirative !

Voila que l’autre brunette quitta la pièce visiblement fière d’elle, tandis que la Vicomtesse de Droux continuait à rouspéter à travers ses moustaches.

Soudain elle se retourna vers elle. Quelque peu sur la défensive, ne sait-on jamais, N3 se força à se reprendre, à répondre quelque chose avant que celle-ci ne la prenne pour une personne « lunatique » (=malade mentale).

Légère révérence, pas trop non plus sinon elle se ferait largement emporter par son énorme ventre.


- Oui Ma Dame, je sais qui vous êtes et ce, depuis votre arrivée en ces lieux. Je présume que le « Petit Roi » comme vous l’appelez si bien, n’est autre que la progéniture de la propre vôtre. Si c’est le cas, alors sachez bien, Ma Dame, que celle, grosse, qui se tient devant vous, n’est autre que la mère de ce « Petit Roi ».

La froideur laissait tout de même transparaître l’inquiétude, la peur d’être entourée de la sorte. Mais elle ne se laissait pas démonter pour deux piécettes la petite ! Réponse peut être un peu trop directe et hautaine mais qui avait le mérite d’être claire et énoncée avec chaque mots bien détachés les uns des autres.

- Pour ce qui est de la chambre, votre fils a trouvé bon de me mettre dans celle la plus tranquille qu’il soit. Dois-je en changer ?!
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Petite rose, piquée par ses propres épines...
--Aldaysengrin
Parce que son état lui permettait de sonder aussi bien les coeurs que les esprits, qu'elle entendait les pensées tout aussi bien que les mots Alda se crispa, les poings serrés jointures blanches, elle se jeta vers la gueuse provoquant à n'en pas douter un souffle d'air froid. Si ce n'était le respect qu'elle avait pour la vie que l'autre portait en elle, elle n'aurait pas hésité à prouver sa présence à l'envoyant voler contre le mur tant les pensées ignobles que cette fille de joie avait pour sa Mamounette étaient écoeurantes. Elle se contenta de faire en sorte que l'autre ressente une vive douleur dans la jambe... Une crampe voilà qui devrait la calmer un instant.
Dhea
Une vraie furie ! Enfin le terme exact serait plutôt Jézabel et pas si belle que ça. Dhéa n'eut même pas le temps de lui répondre une dernière fois qu'elle partit aussi vite qu'elle était venue. Dhéa put la regarder quitter les lieux en voyant le intérêt de son anatomie qui avait pu intéresser son Fils une nuit voire deux : un cul...de poule assurément...et vu son comportement poule de luxe. Décidément son Fils avait de très mauvaises fréquentations en matière de femmes.

- Oui Ma Dame, je sais qui vous êtes et ce, depuis votre arrivée en ces lieux. Je présume que le « Petit Roi » comme vous l’appelez si bien, n’est autre que la progéniture de la propre vôtre. Si c’est le cas, alors sachez bien, Ma Dame, que celle, grosse, qui se tient devant vous, n’est autre que la mère de ce « Petit Roi ».

Dhéa regard la jeune et n'en crut pas ses paroles. Ce n'était pas la future nourrice mais l'autre. Après lui avoir confessé LA faute il lui avait parlé qu'il avait engrossé une jeune femme. Et elle était là.
Pourvu que LA faute soit juste LA faute et pas plus...

Le regard de Dhéa se voile un court instant de tristesse et de compassion. Décidément son Fils ne lui épargnerait aucunes situations embarrassantes. Et assurément point de Fils prodigue à l'horizon...Courageux le gars mais pas téméraire...


Tout bas : Vous ne serez pas la mère du "Petit Roi"...Demoiselle de ? Pardonnez moi mais mon Fils ne m'a pas informée de votre venue, ni de votre état avancé... Vu la circonférence de la taille il était bien trop tard pour faire passer cet accident.
Je suis désolée pour cette arrivée quelque peu soudaine mais je m'attendais à trouver quelqu'un d'autre.

Avisant la médicastre : Dame Artaud, ravie de vous voir chez moi. Je vais vous laissez examiner cette jeune personne.

S'adressant à nouveau à la jeune femme : Si cela ne vous dérange pas j'aurai à m'entretenir avec vous de ... certaines...choses... Je viendrai vous visiter dans votre chambre après que Dame Artaud se sera occupée de vous.
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Vicomtesse compte Double
Arthaud
puisqu 'on l'y autorisait et qu'elle etait un peu venu pour cela ,Arthaud remercia la douairiere d'un signe de tête et se tournant vers sa patiente

"bien dame y aurait il un endroit ou je puisse vous examiner en toute quietude et intimité ? votre suivante semble être trés inquiète pour vous "
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--Emily.
Emily se hatait de préparer la chambre de la brunette avant son retour. Surtout pour aller jouer la curieuse. Bien des bruits lui parvenaient de l'entrée mais elle ne sut dire de quoi il s'agissait.

Elle se faisait tant de mouron pour sa maîtresse et amie. Enfin la chambre terminée, elle rejoignit N3 ainsi que les personnes l'entourant. Elle croisa Edlweisss qui partit soudainement, puis deux nouvelles têtes apparurent.

En réalisant une révérence digne du rang des personnes devant elle, elle se présenta.


- Bonjour, je me nomme Emily et suis la suivante de Dame N3mO.

Elle s'empressa de jetter un coup d'oeil vers la brunette qui se trouvait bien pâle, malgrè le fait qu'elle essayait de se tenir le plus droitement possible.

Intervint la grande Dame, annonçant à la médicastre d'examiner l'ancienne bourgmestre. Elle fut bien soulagée, mais cela n'en restait pas là ... Voilà qu'elle lui réclamait un entretient. Cela prévoyait-il quelque chose de bon ?!
Arcaja
Une jeune femme arriva enfin à Guéret.

Essoufflée, elle avait fait tant de chemin pour en arriver là. La femme brune au visage pâle et lunaire avait quitté Argentan et marché, marché, marché sans relâche..!

Du Duché d'Alençon au Comté du Poitou, passant par le Maine et l'Anjou. Mais à Poitiers, La jeune voyageuse ne voulait pas prendre le risque de continuer face à l'étendu dont elle ne se sentait pas en sécurité.
Car c'était en chemin pour Poitou qu'elle avait croisé un malfaiteur dont elle avait réussi à lui infliger une correction, prenant consciente des dangers qui pourraient se produire.

Contrainte de faire demi-tour, la femme brune traversait la Touraine, gentiment accueillie dans l'armée d'une femme noble qui lui faisait gagner un jour une fois arrivée au Duché d'Orléans.
Prenant courage devant les quatre derniers jours de route, la jeune voyageuse traversait le Berry, avec beaucoup de chance elle n'avait croisé aucun malfaiteur.


A la Mairie de Guéret, la femme au clair visage se renseigna et sut alors où demeurait sa douce amie, N3mo.

Tenant fermement les lettres de N3mo dans ses mains, la jeune femme se tint devant la demeure d'Ysengrin et de ses ancêtres. Souriante, elle l'en vit enfin, derrière la fenêtre voilée par des rideaux, le corps incroyablement mûri, porteur d'une vie nouvelle.
Malgré la brise d'hivers, la voyageuse venue d'Argentan attendit patiemment devant la demeure...
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N3mo.f
N3 ne comprenait pas trop le sens de cette phrase dite sur un son à peine audible. Comment ne pouvait-elle pas être la mère de ce fameux « Petit Roi » ? Cela signifierait-il qu’il y en aurait une autre grosse du Leu ?! Qui, comment, pourquoi ?! Cette Arégonde ? Toujours autant de questions qui restaientt sans réponses.

Elle souriait, bien que gênée et sourcils froncés, à la Mère du Vicomte.


- Votre Fils ne vous a point prévenue ? Oh, il m’avait pourtant dit vous avoir envoyé une missive. Pour ce qui est de mon état il est en effet très avancé et mis à part la délivrance, il n’y a rien qui pourrait faire passer cela.

Elle s’arrêta un instant et réfléchit. En fait, il y aurait tout un tas d’autres façons de faire passer cela mais … pas des plus sympathiques. Celles dont avait assuré fort possibles Attila. Mieux vallait chasser ces pensées et faire comme si de rien était.

- Navrée que vous ne tombiez pas sur la personne aussi ardemment désirée…

La Vicomtesse demanda à Dame Arthaud d’examiner la primipare, puis s’adressant de nouveau à celle-ci, lui réclama un entretien.

- Non … Cela ne me dérange aucunement … J’attendrais votre visite, Emily viendra vous en informer.

La brunette vit Emily non loin qui l’observait de son coin. Elle lui fit un petit signe de tête se voulant rassurant. Elle s’adressa ensuite à la médicastre.

- Si vous le souhaitez, nous pouvons aller dans ma chambre, Emy y a tout préparé.

Sur ces mots, elle s’avança, fit une légère révérence aux deux dames présentes puis sortit du salon.

En passant devant la porte de la grande batisse, elle vit au dehors son amie Arca ! Enfin elle était arrivée, enfin elle aurait une autre amie à ses côtés ! Comme cela pouvait la rassurer ...

Elle s'empressa d'aller lui ouvir, la traina à l'intérieur, repassa discrètement près du salon pour rejoindre sa chambre en compagnie d'Arca et suivi non loin de Dame Arthaud.

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Petite rose, piquée par ses propres épines...
Arcaja
Ma foi, comme vous avez bel et bien grossi !

Ce fut alors Arcaja qui s'exclama auprès de la Dame N3. Sans se soucier de rien, elle mit soudain ses mains sur le ventre arrondi de son amie, heureuse même de ressentir l'héritier gigoter sous la peau maternelle, au contact des paumes étrangères.

Très rapidement, la voyageuse se retira, reprenant son sérieux en se retournant à la réalité.


« J'aurai du éloigner Olga et Rosa, pensa Arcaja. Ce serait mieux pour la femme enceinte, enfin qu'elle n'attrape pas inutilement des maladies animales, en vain bref. »

Voyant que la demeure était grande, si noble et en même temps assez étrange, la jeune femme laissa Olga, l'araignée, grimper vers le plafond assez haut qu'elle ne gênerait aucun tandis que Rosa, l'oiseau bizarre (car c'était le milouin mais personne ne se souvienne de son nom !), fut demandée de prendre l'air en sortant par la fenêtre même de la chambre.
C'était alors qu'elle remarqua la présence d'une dame en retrait.


Ma foi, Madame, reprit Arcaja en se tournant vers N3.Voyez que je suis heureuse de me retrouver en votre compagnie !
Ce serait un honneur pour moi que vous me ferez visiter cet humble demeure et me faire présenter à tous ces fantômes !


L'étrangère jeta un coup d'oeil à la dame du coin. Mais Arcaja se soupira soudain.

M'enfin, veuillez m'excusez Dame N3 ! Mon voyage a été long et fatiguant, m'autorisiez-vous à prendre un bain chaud bien mérité et un lit confortable (mais je vous en supplie, épargnez-moi ces horreurs !!!)

La femme au clair visage montra du doigt, avec dégoût, le drap de fourrure qui recouvrait le lit de N3.


Le vert et le rouge sont réservés à la censure en forum Limousin Marche merci de bien vouloir utiliser une autre couleur. Deirdre.
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Arthaud
Arthaud avait suivi la dame dans sa chambre .elle lui demande de bien vouloir s'asseoir et avant de commencer tout examen lui demande de bien vouloir lui dire si elle mangeait avec appétit si elle avait des sensations inhabituelles et de lui décrire comment elle se sentait globalement
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Dhea
QUOI ENCORE ?! Décidément on entrait à Louvières comme dans un moulin ! Et vas-y que je rentre, que je fasse comme chez moi. Oh LE Souci reçoit hop comme ça. Bref. Dhéa avait d'autres chats à fouetter.

Elle fit des yeux effarés et dégoutés quand elle avisa une ENORME bestiole à huit pattes en train de grimper le long de son mur. Elle se retient de hurler, faudrait pas que LE Souci démoule son fromage là, maintenant, tout de suite. Heureusement Dame Artaud était partie l'examiner.

Dhéa chercha Firmin et une fois qu'elle l'eut trouvé elle lui demanda de s'occuper de la bestiole, peu importe le moyen : chats, fouine, tapette, pelle, sabots, bref il fallait que cette bestiole soit applatie comme une crêpe.

Elle alla ensuite dans son bureau, elle avait une missive urgente à envoyer à son Fils qui battait campagne à Droux.


Citation:
Mon Fils,

Chair de ma chair et Sang de mon Sang
BONSANG mais qu'est ce qui vous prend d'installer votre Génisse à Louvières ? Vous ne pouviez pas la recluser dans un couvent ou chez Vous à St Pardoux ou à la Roche ? Non il faut que vous me la colliez dans les pattes.

Je sais que vous voulez suivre les traces de votre Père mais lui avait la décence de ne pas me coller ses bastards de seconde zone sous le nez.

Comme toujours Votre Môman Vous aime et elle va tout arranger, enfin essayer.
Je veillerai, autant que faire se peut, sur cette demoiselle, MAIS...
J'exige Votre présence à Louvières. De plus elle vous réclame...

Où en êtes Vous avec Votre Cousine ? Vous n'avez pas refait LA faute avec elle ? LA faute porte-t-elle ses fruits ?

Votre Mère qui vous embrasse.

PS : Euh j'ai fait la connaissance de votre poule des montagnes. Exécrable personne. Faites lui dire qu'elle n'est plus la bienvenue à Louvières.

PS.2 : Euh...j'OSE espérer que vous allez régler les frais engager par votre Pondeuse...En plus celle-ci reçoit, oui elle reçoit chez Nous, comme si elle était chez elle !!



Elle apposa son sceau pour bien cacheter sa missive et la fit partir au plus vite.
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Vicomtesse compte Double
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