Galaad
V'la les amateurs de bonnes couennes,
Les guyennais qui se la tiennent,
Les gerbeures de galettes, les bouffeurs de cèpes.
Après avoir bravé bien des galères et des tempêtes,
Regarde bien la tête du vieux guerrier Louvelle.
Il y a le loup, le renard bien sûr il y a le Louvelle,
Autocritique parfaite mais ça reste correct,
Pas d'idée abjecte, c'est pour t'mettre à terre.
Voilà comment Gaga avance sans se prendre un fer.
J'entends le loup, le renard et le Louvelle.
J'entends le loup et le renard chanter.
J'entends le loup, le renard et le Louvelle.
J'entends le loup et le renard chanter
Gaga frappera les gars, Gaga frappera
C'est à ce moment-là qu'il faut sortir le drap
Gaga frappera les gars, Gaga frappera
C'est à ce moment-là qu'il faut sortir le drap.
Tranquille, j'y arrive et je me pose, non surtout pas de clause.
Sur ce tempo bestiale j'ai envie de poser des proses.
Tu connais le renard mec ! Tu connais le Louvelle ?
C'est moi qui fais cet oratoire je suis le loup c'est net.
C'est une facilité de m'évaporer pour moi c'est ainsi.
C'est moi qui ai le fric, c'est moi qui l'cris.
Ne vous inquiétez pas les gars pour vous, je resterai gentil.
Je n'oublie pas que le Gaga aussi est un guyennais béni !
J'entends le loup, le renard et le Louvelle.
J'entends le loup et le renard chanter.
J'entends le loup, le renard et le Louvelle.
J'entends le loup et le renard chanter
Gaga frappera les gars, Gaga frappera
C'est à ce moment-là qu'il faut sortir le drap
Gaga frappera les gars, Gaga frappera
C'est à ce moment-là qu'il faut sortir le drap.
J'entends le loup, le renard et le Louvelle, mec.
J'entends le loup et le renard s'branler.
Si tu ne comprends pas désolé, je ne vais pas toujours t'expliquer.
Le deuxième degré est déjà acquis dans nos pensées.
C'est net et même si je me la pète, voilà que je me répète,
je suis vraiment trop bête, il faut que je m'arrête.
A force de me prendre pour la vedette, je suis devenu la trompette.
Mais dites-moi alors, mais qui est la belette ?
Et je marche, je marche. Je marche sans me soucier du monde, sans qu'aucune lueur solaire ne puisse confondre mon identité, je marche encore et encore. Traverser mont et vallée, je m'évertue à garder l'écart avec mon ennemie, mon prédateurs, car aujourd'hui encore, aujourd'hui toujours, je suis la belette, celle qu'il faut attraper, dézinguer, capturer, massacrer, et tout les verbes en -er bon à me faire bouffer une choucroute moisie.
Et alors que l'on me cherche, je vagabonde à travers les bois. Et quand enfin on m'aperçoit, je disparais, pfffouit, plus rien, on me perd à nouveau et tel le phénix je réapparais la ou plus personne ne m'attendais. On dit de moi le plus grand mal chez les biens et le plus grand bien chez les détestable de ce monde. Après tout, je ne suis que Louvelle, qu'un être voué à faire comprendre que le monde appartient à mon sang, car moi héritier d'Andom, encore plus d'être l'engeance du créateur, je suis le plus légitime Roi de Navarre, l'adjoint de Dieu dans la destiné offerte aux Louvelle. Ainsi donc, je vais et jamais on ne me retrouve ... Déjà aurait-il fallu un jour me trouver, mais un tel prodige serait laissé à l'échec du plus pitoyable des capitaines qui déjà s'offraient beauté toute faites pensant que son amorphe talent ne serait découvert. Mais lorsque le vil homme que je suis débarque, quand je me prend de mes plus beaux atouts, lorsque je donne au monde mes plus beaux tour de magie, la Dame se tort de douleur, de désir, un seul, m'écraser ... Mais avant cela, il faudra regarder de loin, humilié, détruite, la victoire mérité qui s'offre à moi.
Car oui, la belette court toujours et ce n'est pas le furet des bois jolies qui l'arrêtera de si tôt. Et puis comme je le dis souvent, j'adore qu'un plan se déroule sans accroc !
Je suis toujours dehors, perdu au milieu de nul part ... Pour les autres tout du moins, car l'étoile dans le ciel, mon paternel toujours me guide et la voie de l'unique lumière qui saura me traverser me trace le chemin, le destin désiré.
_________________
Fils d'Andom Ier de Louvelle
Les guyennais qui se la tiennent,
Les gerbeures de galettes, les bouffeurs de cèpes.
Après avoir bravé bien des galères et des tempêtes,
Regarde bien la tête du vieux guerrier Louvelle.
Il y a le loup, le renard bien sûr il y a le Louvelle,
Autocritique parfaite mais ça reste correct,
Pas d'idée abjecte, c'est pour t'mettre à terre.
Voilà comment Gaga avance sans se prendre un fer.
J'entends le loup, le renard et le Louvelle.
J'entends le loup et le renard chanter.
J'entends le loup, le renard et le Louvelle.
J'entends le loup et le renard chanter
Gaga frappera les gars, Gaga frappera
C'est à ce moment-là qu'il faut sortir le drap
Gaga frappera les gars, Gaga frappera
C'est à ce moment-là qu'il faut sortir le drap.
Tranquille, j'y arrive et je me pose, non surtout pas de clause.
Sur ce tempo bestiale j'ai envie de poser des proses.
Tu connais le renard mec ! Tu connais le Louvelle ?
C'est moi qui fais cet oratoire je suis le loup c'est net.
C'est une facilité de m'évaporer pour moi c'est ainsi.
C'est moi qui ai le fric, c'est moi qui l'cris.
Ne vous inquiétez pas les gars pour vous, je resterai gentil.
Je n'oublie pas que le Gaga aussi est un guyennais béni !
J'entends le loup, le renard et le Louvelle.
J'entends le loup et le renard chanter.
J'entends le loup, le renard et le Louvelle.
J'entends le loup et le renard chanter
Gaga frappera les gars, Gaga frappera
C'est à ce moment-là qu'il faut sortir le drap
Gaga frappera les gars, Gaga frappera
C'est à ce moment-là qu'il faut sortir le drap.
J'entends le loup, le renard et le Louvelle, mec.
J'entends le loup et le renard s'branler.
Si tu ne comprends pas désolé, je ne vais pas toujours t'expliquer.
Le deuxième degré est déjà acquis dans nos pensées.
C'est net et même si je me la pète, voilà que je me répète,
je suis vraiment trop bête, il faut que je m'arrête.
A force de me prendre pour la vedette, je suis devenu la trompette.
Mais dites-moi alors, mais qui est la belette ?
Et je marche, je marche. Je marche sans me soucier du monde, sans qu'aucune lueur solaire ne puisse confondre mon identité, je marche encore et encore. Traverser mont et vallée, je m'évertue à garder l'écart avec mon ennemie, mon prédateurs, car aujourd'hui encore, aujourd'hui toujours, je suis la belette, celle qu'il faut attraper, dézinguer, capturer, massacrer, et tout les verbes en -er bon à me faire bouffer une choucroute moisie.
Et alors que l'on me cherche, je vagabonde à travers les bois. Et quand enfin on m'aperçoit, je disparais, pfffouit, plus rien, on me perd à nouveau et tel le phénix je réapparais la ou plus personne ne m'attendais. On dit de moi le plus grand mal chez les biens et le plus grand bien chez les détestable de ce monde. Après tout, je ne suis que Louvelle, qu'un être voué à faire comprendre que le monde appartient à mon sang, car moi héritier d'Andom, encore plus d'être l'engeance du créateur, je suis le plus légitime Roi de Navarre, l'adjoint de Dieu dans la destiné offerte aux Louvelle. Ainsi donc, je vais et jamais on ne me retrouve ... Déjà aurait-il fallu un jour me trouver, mais un tel prodige serait laissé à l'échec du plus pitoyable des capitaines qui déjà s'offraient beauté toute faites pensant que son amorphe talent ne serait découvert. Mais lorsque le vil homme que je suis débarque, quand je me prend de mes plus beaux atouts, lorsque je donne au monde mes plus beaux tour de magie, la Dame se tort de douleur, de désir, un seul, m'écraser ... Mais avant cela, il faudra regarder de loin, humilié, détruite, la victoire mérité qui s'offre à moi.
Car oui, la belette court toujours et ce n'est pas le furet des bois jolies qui l'arrêtera de si tôt. Et puis comme je le dis souvent, j'adore qu'un plan se déroule sans accroc !
Je suis toujours dehors, perdu au milieu de nul part ... Pour les autres tout du moins, car l'étoile dans le ciel, mon paternel toujours me guide et la voie de l'unique lumière qui saura me traverser me trace le chemin, le destin désiré.
_________________
Fils d'Andom Ier de Louvelle