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[RP]Cérémonie de l'ODM - Quand deux dames sont à l'honneur

Thibantik
Trop stupéfaite lorsque le gueux a lancé le seaux, Thib n'a pas bougé.

Puis Kory a repris la situation en main et passé un savon mémorable au gueux, et donc Thib c'est détourné pour parler a l'une de ses connaissance, lorsque tout a coup elle entend hurler




Elle se retourne et reste pantoise ! Le gueux est en train d'essayer d'étrangler Kory pendant que la gueuse l'a fait tomber et c'est assise dessus.

Les gardes, évidement jamais ou il faut quand il faut, brillent par leur absence.

Tout en hurlant

A MOI !!! LA GARDE !!!!!

elle attrape une cruche sur une table et assène un grand coup sur la tête de la femme qui roule sur le coté. Plus qu'a trouver autre chose pour déloger le gueux, mais enfin elle voit un garde s'approcher ........

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--Pierrotlefou


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Ben, oui les banquets, les mariages, c'est son dada a Pierrot, alors a chaque attroupement, il ne peut se refuser un petit diner, coup a boire offert, a la grâce des bon gens, il refuse rien, a la bourse des nantis il leur refusent rien, prenant même sur lui l'effort de se laver quand cela devient nécessaire, un brin de lavande derrière chaque oreille, c'est pour l'hygiène, de la menthe a mâchouiller entre deux chicots, c'est pour l'odeur, pour la vue aussi, car l'art est de caler les feuilles de menthe dans les trous, une pierre deux coups ca donne meilleure haleine et ca fait croire a des dents...vertes....

Puis la cérémonie, lui va bien, elle bat son plein, on y trouve de tout, de la bourgeoise parfumé au croupion lunaire, au gueux du coin camarade d'infortune, cependant vu la scène mémorable qui se passe en ce moment même sous ses mirettes, le Pierrot il a du mal a y croire, ca se crêpe le chignon comme chez Huguette, quelle misère c'était sensé être du chiqué, du dentelé de première et voila le résultat.

Mais la petite dame qui organise et nourrit son monde, lui semblait bien sympathique, belle a croquer, bon bien sur elle n'égalait pas sa Baile, mais quand même, navrant de voir un moribond étalé la langue dehors lors du repas, alors le Pierrot n'écoutant que la grogne venant de son estomac et accessoirement son courage se jette sur le gueux qui devait sentir aussi fort que lui, il l'attrape par le cou et commence a serrer fort en criant d'une voix de sauveur.


Tenez bon ma biquette, il va lâcher prise, votre croupe ne mérite pas de tomber elle peut encore servir.
Guy_kdr
Incroyable. C'est parti en quenouille d'un coup, quelque chose de bien.

Le seau de purin, sympathique comme tout ^^, avait laissé tout le monde un peu interloqué. Se calquant probablement inconsciemment sur la réaction de la principale intéressée qui pencha pour le dialogue plutôt que la geole sans passer par la case départ, ils restèrent tous calmes et écoutèrent l'échange entre l'Intendante et le gueux.
Bien sûr on allait pas plaindre les nobles de leur niveau de vie, mais tous n'étaient pas riches loin de là, tout comme tous n'étaient pas nés nobles, loin de là. C'était d'ailleurs le cas d'Althiof et Kory, anoblis pour leurs mérites. Ils savaient ce que c'était que d'être gueux, comme beaucoup d'entre eux, et la façon de traiter leurs employés et les populations vivant sur leurs terres s'en ressentait souvent énormément.

D'un geste de la main, le Mestre de Camp recommanda aux gardes de rester à leur place et écouta l'échange avec intérêt. Le pauvre hère, qui semblait au bout du rouleau, n'irait de toute façon pas bien loin.

C'était sans compter sur la fureur de Kory et l'énergie du désespoir de son interlocuteur. Ils se jetèrent l'un sur l'autre, masqués par une rangée de badauds et de nobles. Le colosse réagit sur l'instant mais durant les trois secondes qui lui furent nécessaires à se frayer un chemin, une bonne femme avait sauté sur la Baronne et un autre gueux empoignait déjà le serf de Mirefleurs. Il l'avait déjà vu celui-là d'ailleurs...Pierrot ou un truc du genre.

Curieuse chaîne que celle là, tu m'étrangle, je l'étrangle, on s'étrangle.

Sans une once de ménagement le Baron envoya un coup de butoir dans le ventre de l'agresseur rendu fou de désespoir, ce qui additionné à l'action de l'autre gueux, lui fit lâcher prise sur Kory.

Son mouvement suivant le plaqua au sol tandis que Pierrot lâchait prise à son tour, un genoux sur la carotide.

Les gardes les avaient rejoints, avait maîtrisé la mégère et aider l'Intendante à se relever, s'assurant qu'elle allait bien.

Guy laissa un garde prendre la relève et ligoter le gueux, avant de se tourner vers Pierrot.


C'était moins une on dirait ! Merci pour ton aide.
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--Pierrotlefou


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Alors que sous ses doigts boudinés il sentait craqueler les vertèbres du pas beau agrippé, un mouvement vers l'avant le projeta, l'intendante atterrit au sol, un genoux l'empêcha de se vautrer sur le ventre, il zieuta alors la croupe de celle que l'on nommait kory, ne répondant de plus rien , si celle ci s'aventurait a remuer de trop.

Malheureusement pour lui, et comme dans bien des cas, c'est ce type arrivé tel un flambant et présentant bien sur lui qui allait hériter des glorioles, assez grande taille, Pierrot leva le regard sur lui, un sourire du parfait innocent affiché a sa face, il avait déjà vu ce type, lui semblait bien qu'il faisait partie de la troupe de la COBA, les comédiens ambulants, fin pas des rigolos. Il se hasarda a lui taper sur le ventre, façon bon copain en échangeant un sourire complice, puis se retourna aussitôt vers la belle a la croupe de feu qui semblait se remettre de ses émotions.

Cette fille avait vraiment de quoi faire tourner la tête de n'importe quel taureau en rut, il sentait des émotions contenus ressurgir en lui, comme le jour ou dans la grange de son village, il avait surpris la biquette en train de dormir tendrement dans la paille, sur qu'il lui avait fait son effort a l'animal endormi, la plaquant au sol par le cou, tout en s'activant sur sa fourrure non tondu.Un filet de bave s'échappa de la commissure des ses lèvres, il approcha de l'intendante, en se dandinant tel le paon, un regard lubrique et la bouche en cul de poule imitant le bruit du baiser.


Le baiser du sauveur ma douce?
Korydwen
Voilà où en était la pauvre Korydwen, le gueux avait décidé de la gaver en parlant et parlant, diable où avait-elle rangé cet objet de torture, ce casque avec ce petit piquet qui servait à trouer les langues des bavards ? Zut... Elle en aurait eu grand besoin avec ce gueux de malheur, forcément cela tombait sur elle et encore plus forcément quand son époux ne serait pas là, heureux il serait d'apprendre les évènements de l'ordre du mérite... Mais voilà, pensant avoir réussi à maitriser la situation, l'intendante...

Forcément, jamais deux âneries sans trois, voilà que le gueux se jetait à son tour sur elle et qu'il ? Qu'il... L'étranglait, elle sentait ses mains pleines de terre et puante serrer son pauvre cou qui n'avait rien demandé, la sueur perlait à son front alors que son visage prenait une teinte bien pâle... Sans doute trop pâle, les belles couleurs, le rouge que son époux se plaisait tant à faire surgir n'importe où disparaissait petit à petit pour laisser la place à un teint plus que livide... Sa respiration se coupait doucement, un faible souffle s'échappa une ultime fois de sa bouche, un mal de tête commençait à se faire sentir, un ultime appel de son cerveau qui manquait d'oxygène, sa vision se troublait petit à petit pour finalement... Terminer dans le noir complet, le corps se ramollissant doucement, une poupée de chiffon... Le gueux allait-il gagner la partie ?...

Mais voilà qu'une personne se glissa entre elle et le gueux, la poussant violemment au passage, Korydwen libérée de l'emprise du gueux put instinctivement prendre une grande bouffée d'air, ses esprits n'étaient pas encore retrouvés, elle toussa longuement, se cambrant avant de se faire plaquer au sol par une gueuse complètement folle. Sa tête heurta violemment le sol, elle ferma les yeux, de nouveau ailleurs, alors que la folle lui crachait dessus... Cela donnait envie de donner de son temps au bon fonctionnement d'une seigneurie... Puisqu'ils étaient si mal traités, ils se passeraient d'elle... Elle rendrait sa seigneurie ne voulant plus vivre de pareille situation dans le futur.

Mais voilà qu'une amie, Thibantik arriva visiblement avec un objet en terre et frappa la pauvre gueuse, elle se sentait moins écraser sous le poids de la femme et le bruit du choc ne pouvait être qu'un indice quant à la nature de l'objet. Alors qu'elle se finissait par se relever fébrilement, elle entendit une voix, voix inconnue ? Non, elle l'avait entendu... Quand ? Où ? Cournon d'Auvergne, le mariage de Théa... Sa croupe ? Tremblante elle porta sa main à son front, assise par terre, elle observait la scène, sa vision était encore légèrement flou. Guy aussi semblait avoir aidé, en fait, elle ne savait plus très bien ce qui lui avait permis de se libérer du gueux. Enfin, il lui sembla bien que le colosse de Thiers, elle s'appuya sur son bras avant d'attraper de sa main libre le premier dossier de siège qui s'offrait à elle. La première fois qu'une cérémonie prenait une telle tournure. Elle posa sa seconde main sur le dossier et respira tranquillement et doucement, le temps de reprendre contenance. D'ailleurs le second gueux, le gentil, celui qui l'avait sauvé avec l'aide de Thib et de Guy.


Il n'y a qu'un baiser que je saurai recevoir, celui de mon époux. Cependant puisque vous m'avez sauvé la vie avec deux de mes amis Guy et Thib... Peut-être qu'une simple bise vous conviendrait ?

Même si il puait et bavait... Après tout... Une bise n'engageait à rien et puis comment remercier des personnes qui viennent de vous sauver la vie ?

Un tonneau de vin vous plairait-il ?
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Proprio d'une Seigneurie 5*****dixit A.
--Pierrotlefou


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Fallait t'il encore qu'il tombe sur une effarouchée sous prétexte d'une quelconque union devant Aristote et ses seins, s'en foutent les bêtes dans la pâturage de celui a qui on les prédestinent, parfois un petit coup vite fait , c'est du ni vu, ni connu, c'est pas qu'il la demandait en mariage non plus, rien qu'un baiser de bouche, c'est sur que le grand costaud a coté aurait fait moins de manières, d'ailleurs.....Bien qu'en le regardant sur le biais, après tout pourquoi pas, bien bâti l'homme, encore dans la force de l'âge, surement des reins en parfaits états et des mains a.......

Un tonneau de vin vous plairait-il ?


Je prend, je prend la bise le vin et l'homme.

Pas besoin d'y réfléchir a deux fois, l'homme fera l'affaire, il se rapprocha d'un pas a ses cotés épaules contre épaules, glissant son bras sous le sien, en roulant des yeux, fourrant son nez sur son bras , son front appuyant contre le tissu, d'un mouvement oscillant il remonta sur sa pointe des pieds, venant murmurer au creux de l'oreille du grand costaud.


Toi, moi la lune, la paille tu vois la scène?

Sa main, descendit le long de son corps, pour venir saisir la cuisse de l'homme, il exerça une légère pression en exagérant sa respiration rauque, dans les préliminaires d'étables bien souvent la femelle, appelle a l'accouplement par des petits cris distinct, se soumettant ainsi a la copulation par instinct naturel.
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