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[rp] au clair de lune, Reyne aimes tu ton peuple ?

*amalinea*
Aux pieds des murailles

Néa était à Mortagne depuis quelques jours maintenant. Elle était arrivé par des chemins détournés, écoutant les dires en taverne, notant les forces en présence, transmettant par pigeon les conclusions de ces observations.
Elle savait que son nom avait parfois été inscrit sur certaines listes, mais elle savait aussi qu'on faisait rarement cas d'elle. Petite brunette, frêle, elle n'attirait que peu l'attention et ne laissait que rarement de trace dans les mémoires. On la prenait bien souvent pour une imbécile, une dinde sans caractère ni ambitions, une brigande à abattre par désœuvrement. Cette image lui convenait, elle en jouait souvent.

Depuis deux jours, l'armée des Lunes Pourpres campait aux portes de Mortagne. On les attendait en Alençon mais leur proie était ici. Un concours de circonstance qu'elle déplorait, Mortagne n'avait rien à offrir. Petite ville de campagne ou se déroulait les jours paisibles de ses habitants entre champs, élevage, mariages et naissances. Un quotidien qu'elle n'appréciait ni ne comprenait mais elle imaginait sans peine que cela puisse convenir et qu'on puisse se battre pour le défendre. Ne se battait elle pas pour défendre elle aussi son quotidien de rapine ? Tout n'était en définitive que question de choix.

Néa avait déjà combattue au coté des Lunes Pourpres. Elle appréciait ses compagnons de route, trouvant en eux un respect, une liberté que peu avaient réussit à lui offrir. Rare étaient ceux qui comprenait leur fonctionnement. Ils leur fallait toujours rechercher un chef, un commandant, des subalternes. Cela la faisait sourire qu'on ne puisse appréhender le monde que d'un point de vue hiérarchique. Les Lunes n'étaient pas comme cela. Regroupement de brigands qui ne s'alliaient que pour des visions communes, ou chacun pouvait à tout moment donner son avis, apporter son éclairage. Unis mais pas dépendants, alliés mais sans obligations. L'organisation la mieux à même de regrouper ces personnalités si différentes.

Des nombreuses villes que Néa avaient traversées en compagnie des Lunes, elle n'avait récolté que quolibets crasses, insultes tant de fois entendues qu'elles n'avaient plus aucuns effets. Partout il était question d'odeur, de fange, de promesses de décapitations ou autre fariboles. Bien sur, elle avait été blessée au combat parfois, cela faisait partie des risques du métier et il ne lui serait pas venue à l'esprit d'en vouloir à celui qui pour se défendre lui plantait son épée dans le ventre. Au contraire, elle respectait ceux qui se battaient pour ce qu'ils chérissaient.
Non, ce qui la chagrinait était cet esprit étroit qu'elle rencontrait partout.
Néa rêvait d'une ville ou les habitants les combattraient loyalement, sans se sentir obligé d'être insultants. Les règles de la guerre étaient pourtant simple : l'assaillant campait aux portes de la ville, donnait l'assaut à la nuit tombée. Les villageois, eux défendaient. Pourquoi y aurait ils eut besoin de s'insulter ? Ne pouvaient ils échanger paroles, chopines entre deux assauts ? N'y avait il pas moyen de respecter son adversaire ?

Telles étaient les pensées de Néa quand sortant d'une tente de l'armée des Lunes, elle se dirigeait vers les murailles de Mortagne. A son bras, l'étendard de l'armée, dans son dos, son épée un peu trop grande lui caressait la nuque.
Après discussion avec ces compagnons, il avait été décidé de tenter la diplomatie. Ils voulaient la reine. En aucuns cas faire du mal aux habitants. Pourquoi risquer multiples morts quand les choses pouvaient être faites en parfait gentlemen. Pour une fois, Néa sortait de sa réserve. Elle serait celle qui porte la parole.

Plantant sa bannière en terre, Néa laissa sa voix se porter par dessus les murailles
.

Habitants de Mortagne, Reyne Beatritz,

Nous, Lunes Pourpres sommes aux portes de votre bonne ville. Il n'est pas dans nos intentions de faire couler le sang inutilement. Nous savons vos caisses vides mais vous abritez en vos murs une personne qui elle représente beaucoup.
Habitants de Mortagne, livrez nous la reine Béatritz et nous repartirons comme nous sommes venus. Nous traverserons vos terres jusqu'à la frontière la plus proche, sans porter la mort.
Habitants de Mortagne, livrez nous la reine. Aucuns mal ne lui sera fait. Nous l'échangerons contre rançon à ceux qui lui sont proches.

Reine Béatritz, ne sacrifiez pas la vie de votre peuple inutilement. Par respect pour votre couronne, par devoir, vous devez protéger les habitants de cette ville, de ce duché.
Reine Béatritz, je vous le répète, nous nous portons garant de votre vie.Ne faites pas couler le sang inutilement.

Mon nom est Amalinea et j'attendrai ici tout émissaire envoyé par la reine ou les membres du conseil.


Voilà, tout était dit, Néa n 'avait plus qu'à attendre en espérant que pour une fois, juste une fois, elle rencontrerait l'honneur chez ces adversaires.

[Hrp] Pour une meilleure lisibilité, nous proposons que chaque camps adopte un code couleur en titre de topic.
nous proposons : Rouge pour nous les vilains pas beaux, Bleu pour les habitants de Mortagne et le conseil, au choix pour la reine et sa suite.
Merci de rester dans l'esprit du jeu et evitons tout mélangisme.
Un topic HRP de coordination va etre ouvert.Merci d'y poser vos questions et autres propositions. Pour eviter tout débordement, je serai la seule porte parole des lunes à y poster.bon jeu.[Hrp off]
--Claudo
sur les murailles de Mortagne
Il arriva , il était beau et il s'était peigné pour l'occasion , il devait rembourser une dette d'honneur et ça il y tenait , ça allait lui couter cher mais au diable l'avarie avec la tune des autres

Syriuss!!!!!!!!!!! Syriuss !!! c'est toi??????


le grand s'avança de l'ombre ou il zieutait en bas des murailles les manœuvres de la soldatesque d' en face

t"as ma tune? tu demande pardon de m'avoir escroqué? tu recommencera plus?


Claudo se passa les doigts entre son torse et sa chemise propre
et sortie une belle bourse avec les initiales LP brodé d'or

tu me connais , hier soir j'ai joué aux dés avec LouPhoque, tu te souviens de lui? La Guyenne , Agen ?????????

Quoiii !!!!! t'a piqué la bourse aux Lune pourpre ,Claudo de Mortagne


le grand se marrait , il venait de balancer franchement Claudo , qui tremblait comme une feuille

lui c'est pire que voleur , nous s'est envoyer ta tête à eux
Limaongle était sortie de sa planque , avec lui vu sa grosseur et grandeur c'était un trou de souris

Syriuss avait une meilleur idée , il attacha l'affreux et le balança par dessus le mur , avant il lui dit

Tu regarde tout , tu éternue et tu es mort , ils ont excellent archers , nous ont te remontera que quand tu aura des infos , fais toi petit mon beau
Syriuss
Syriuss se souvenait de ses combats sur les murailles de Montmirail contre les Bretons , a quelque chose près s'est que notre bonne Reyne est sous notre protection , ce qui veut dire que mourir pour elle s'est plus qu'un honneur ou un devoir , c'est naturel , on est né pour mourir n'est il pas? mourir pour une noble causse , c'est rien !! au moins on a l'honneur et la bravoure quand on se présente là haut et dire
ah quand même !!! ça va faire jaser , les jaloux qui dirons
ben lui quand on en a besoin , il est jamais là !!! ; mais moi je m'en fiche , je serais auprès de ma douce ou bien a l'attendre , surtout qu'elle prenne son temps , je suis pas pressé là haut avec mes anciens potes des " 45 "

bon en attendant , il faisait son boulot , il attendait et comme il s'embêtait , de temps en temps il tirait sur la corde ou la balançait de gauche a droite , il entendait la voix de fourbe de Claudo

Déconne pas Syriuss !!! decccooonnneee ppassss !!!!!!!!!!!!!

quand il levait la tronche , le grand voyait sa face blanche comme de la craie

ze nous en zine on a du latex !! tu tire sa s'agrandit , tu lâche ça reviens a sa position annonça le chinois Limaongle

c'est maintenant que tu le dis fonce en chercher viteeeeeeee!!!!!!je sens qu'on va se marrer

Lim annonça qu'il en avait pas , Syriuss avait sa tête des mauvaises nuits
sens moi ça Lim , mais sens !!! il se vide l'affreux et sous notre pif !!!

Claudoooo!!!! tu veux un seau??????????

mamannnnnnnnnnnnn!!! j'vais mourir !!!!! j'me vide déjà, adieu monde cruel !!!

_________________
Stephandra
Un bureau improvisé

Début soirée agitée, quelques soins administrés Stéphandra avait pris son mal en patience comme elle disait... Position assise qui lui était bien plus favorable que la station debout pour le moment, la Capitaine s'affairait à divers documents et courriers, lorsqu'un de ses hommes entra en trombe dans le "dict" bureau

Capitàn! Me faut vous parler!

En d'autres temps, elle aurait pesté fortement sur cette entrée prompte, mais l'homme n'était pas genre à la déranger pour rien. Stéph le regarda en roumèguant légèrement et lui fit signe de s'exprimer.

Ce dernier l'informa de ce qui se disait aux portes de la ville, plissant le nez légèrement, levant les sourcils tout autant de mimiques qui la caractérisaient, et dont ses hommes commençaient à en interpréter les sens sans qu'elle n'ait à trop user de mots inutiles.

Il la regarda un peu soucieux de son état mais n'osant trop demander quoi que se soit, il ouvrit malgré tout la bouche certainement pour la questionner mais elle ne lui laissa pas le temps d'en dire plus


Allez quémander audience auprès de Sa Majesté pour moi, je vous suis lentement de loin...Mais je vous suis

Son époux l'avait accompagnée jusqu'à l'endroit non loin de là, déjà parce qu'elle n'était pas en état d'aller courir les chemins seule, mais également afin de s'assurer qu'elle ne fasse pas de mauvaise rencontre, puis faut avouer pour le plus grand plaisir de l'épouse.

Sa Majesté, la Reyne reçut Stéphandra rapidement, après avoir pris des nouvelles de son état de santé, la jeune femme entra dans le vif du sujet. Sa Majesté s'exprima clairement, très clairement ce qui ravit Le Capitaine, toutes deux parvenaient à discuter de sujets aussi graves soient ils avec rapidité sans empressement, en quelques mots elles arrivaient à se comprendre.

Aussi , c'est d'un pas plus assuré qu'elle retrouva son mari, lui signifiant qu'elle devait prestement rejoindre son bureau car elle avait un message à communiquer, celui-ci la raccompagna donc à cet lieux situé en fait à quelques pas de l'endroit où loger la Reyne.

Devant repartir à ses activités qu'il avait nombreuses, il la laissa seule face à son velin.

Stéphandra prit plume et réfléchit un instant à qui elle pourrait faire passer rapidement le message afin que Marie Alice soit informée.
Sourire aux lèvres, l'homme, à qui elle pensa , ferait parfaitement l'affaire, étant non loin de là. Et même s'ils se connaissaient peu, Stéphandra avait toute confiance en lui et pour cause...


Citation:



De Nous, Stéphandra Dandolo du Moutier, Capitaine de la Garde Royale,
A Vous, Julien Giffard, Maréchal de France pour le Domaine Royal

Le Bonser Maréchal,

Je m'adresse à vous en cette soirée particulière, pour une demande tout aussi particulière...Je dois faire passer un message à Nostre Grand Maistre de France .
De l'endroit où je me trouve, il m'est difficile de le faire par moi même, je sais que vous saurez où et comment la contacter rapidement. Aussi l'homme que je vous envoie va vous donner un courrier scellé à destination de Marie Alice.

Par avance je vous remercie de m'aider dans cette tâche.

Que le Très Haut veille sur vous,

Respectueusement,


Stéphandra Dandolo du Moutier

Faict à Mortagne le dix-neuvième jour du deuxième mois de l'année mil quatre cent cinquante neuf.



Stéphandra se mit ensuite à sa seconde lettre


Citation:



De Nous, Stéphandra Dandolo du Moutier, Capitaine de la Garde Royale,
A Vous, Marie Alice Alterac, Grand Maistre de France,

Le bonsoir Grand Maistre de France,

Par la présente, je vous informe que nous sommes à Mortagne avec Sa Majesté de France Beatritz de Castelmaure, nous avons été attaqué il y a peu alors que nous nous rendions en Alençon.

Nostre Majesté a été blessé, son état de santé nécessite quelques soins mais sa vie est hors de danger. L'armée de brigands est actuellement aux portes de la ville, malgré tout Sa Majesté tient le siège et ne compte en aucune façon se rendre.

Sachez que nous soutenons la décision de Nostre Majesté, malgré la situation délicate nous continuerons à défendre La Reyne et ses Terres.
Espérant que ce message vous parvienne au plus vite.

Que le Très Haut veille sur vous.

Respectueusement,


Stéphandra Dandolo du Moutier

Faict à Mortagne le dix-neuvième jour du deuxième mois de l'année mil quatre cent cinquante neuf.


Stéphandra scella les deux plis après les avoir relu rapidement, puis fit quérir un messager. Elle lui expliqua bien où se rendre et s'adresser et lui donna les deux plis, après quelques directives particulières sur l'itinéraire à prendre, elle le libéra.

Son regard suivit l'homme un bon moment, ensuite elle se retourna après une longue réflexion afin de reprendre le cours de ses activités.

Profond soupir, la jeune femme trouvait que vingt quatre heure dans une journée c'était ma foi bien trop peu. S'installant en grimaçant au bureau, elle laissa malgré tout son esprit vaquer à quelques souvenirs...La Provence...L'Helvétie...Son Altesse Armoria..Sa Majesté Levan qu'elle avait servit auparavant.

La devise de la Garde Royale étant "Mon corps pour le Roy" elle sourit se disant qu'elle ne mentait pas, se remit au travail...L'avenir appartient à ceux qui se levaient tôt mais sa journée n'était pas terminée.

...............................

Pendant ce temps, le messager était parvenu à sortir de la ville et après de longues heures de chevauchée parvint à trouver Le Maréchal de France et lui délivrer les deux messages.

_________________

"Être je peux, paraître ne veux.."
Nounoursfred
Nours était sur les remparts a monter la garde, il avancé dans le froid de cette fin d'hiver. au loin il voyais flamboyer les feu de camps de la lune pourpre, la nuit n'était pas encore tombée mais elle n'allait pas tarder et il se disait qu'il aurai bien été près du foyer de sa cheminée.
Mais voila pour la deuxième fois en moins de 6 mois une armée de brigands campait devant les portes d'une des villes de son duché adoré. La dernière fois c'était les hydres à Alençon aujourd'hui c'est la lune pourpre à Mortagne, le nom changeai, ceux qu'il avait pu rencontrer par contre se ressemblaient étrangement.
Tous sauf peut être une jeune femme, raffinée, qu'il avait rencontré avant le siège dans une taverne de la ville et qu'il avait revu au milieux de la troupe ennemie pendant la préparation du siège. Son nom lui échappai ... Amelia ... amanda ... aaaa ... amalinea c'est ça ! Charmante, discrète, élégante et raffinée . S'il avait aimé la gente féminine il se serai certainement épris d'elle.

Un peu plus loin sur les remparts, il voyait syriuss chahuter avec un homme qu'il ne connaissait pas.


Syriuss Du calme tu vas finir par le tuer si tu continu, et fait moi le plaisir de le remonter. Là il fait très cible d'entrainement, faudrai pas apprendre a nos ennemis à tirer a l'arc, c'est pas vraiment le moment



Soudain une silhouette s'approcha des remparts. C'etait une femme, il regarda plus attentivement et la reconnue. c'etait elle Amalinea et elle portai un étendard. Elle s'arrêta, planta son drapeau et commença à crier.
Sans attendre nours pris une feuille de son carnet de route et commença a écrire se que la dame déclamai


Citation:
Habitants de Mortagne, Reyne Beatritz,



Nous, Lunes Pourpres sommes aux portes de votre bonne ville. Il n'est
pas dans nos intentions de faire couler le sang inutilement. Nous savons
vos caisses vides mais vous abritez en vos murs une personne qui elle
représente beaucoup.

Habitants de Mortagne, livrez nous la reine Béatritz et nous repartirons
comme nous sommes venus. Nous traverserons vos terres jusqu'à la
frontière la plus proche, sans porter la mort.

Habitants de Mortagne, livrez nous la reine. Aucuns mal ne lui sera
fait. Nous l'échangerons contre rançon à ceux qui lui sont proches.



Reine Béatritz, ne sacrifiez pas la vie de votre peuple inutilement. Par
respect pour votre couronne, par devoir, vous devez protéger les
habitants de cette ville, de ce duché.

Reine Béatritz, je vous le répète, nous nous portons garant de votre vie.Ne faites pas couler le sang inutilement.



Mon nom est Amalinea et j'attendrai ici tout émissaire envoyé par la reine ou les membres du conseil.


une fois que la dame se tu, il se tourna fit un signe a son aide de camps et lui donna le papier

Vas voir la duchesse et fait vite il faut qu'elle lise ça c'est important

_________________
Aliyane
Au camp des lunes à la taverne improvisée, quelques heures auparavant

La brunette venait à peine d'accoucher de son premier né que les choses se précipitaient. Une grande réunion avait été organisée et tous ou presque étaient arrivés.
Elle était installée dans une barque remplie de couverture douillette l'enfant au sein et prit la parole.


Mes amis, Batbot à réussi un exploit que nombre de brigand du royaumes lui envieront , son épée à sérieusement blessé la reyne Beatritz qui à été obligée de prendre la fuite avec ce qui restait de sa garde.

Ils ont trouvé refuge derrière ses remparts et nous assiégeons la ville!

Néa est venu voir certains d'entre nous pour proposer d'être notre porte parole et leur exposer un moyen d'éviter que plus de sang ne coule.
Elle ira proposer à la Reyne de se rendre symboliquement, nous ne lui ferrons aucun mal, nous proposerons alors de la libérer contre nourriture et une caisse d'écus afin et ensuite nous lèverions le camp.

Je suis certaine qu'en Reyne intelligente et soucieuse de la bonne santé du plus petit de ses sujet elle ne pourra qu'accepter d'éviter plus de sang versé qui entacherais sa réputation.
Mais je crains que ses conseillers ne lui conseille la bataille, préférant trucider du brigand quitte à sacrifier quelques gueux!

Qu'importe il ne sera pas dit que nous n'avons pas tenté de trouver une solution apte à épargné les victimes collatérales.


l'enfant qui tétait lâcha le sein de la lune et ses grands yeux se posèrent dans ceux de sa mère elle lui sourit et se mit à fredonner


"Au clair de la lune mon amie la reyne
viendra tu te rendre pour sauver ton peuple
ta muraille est haute mais ne nous arret'ra pas
pense à tes sujet qui t'aimeuh et fais le bon choix... "


L'enfant sourit à la voix de sa mère et se mit à babiller, Ali s'isola dans sa tente pour se reposer avec l'enfant alors que Néa se préparait à partir et que les lunes s'appretaient à festoyer et à vider moult tonneaux de binouse.
Syriuss
Syriuss se réveilla et alla chercher Limaongle sous sa peau de renard
allez lève toi c'est l'heure de la relève , l'est ou Claudo? a vi en bas !!!

il vit Lim uriner par dessus le rempart , ça lui donna envie , il fit de même
ils entendirent Claudo se plaindre

mais c'est de la pisse , mééoohhh!!! va uriner plus loin abruti !!! Syriuss remonte moi je l'étripe !!!!!!!!!!!!

10 écus la cible , 10 écusssssssssssssssss !!! inscription 20 écussss , 20 écussss l'inscriptionnnnnnnnnnnnnn !!!!!!!!!!!!!!!


la lance se planta dans le mur juste sous Claudo , juste entre ses cuisses
Ils remontèrent la corde juste a temps , l'affreux avait plus de couleur

maladeeee!!! vous etes maladeeeeeeeeeeee !!!!

les deux autres s'en occupaient même pas , ils pliaient les peaux , celle d'ours pour le grand , et le renard pour le chinois

bon ce rapport? faut que je le fasse aussi? t'as pas l'impression que tu était dehors pendant qu'on montait la garde? ça s'appel de la désertion mon ti gars

et ils enroulèrent les peaux qu'ils mirent sous leurs bras

j'ai entendu parler Italien , deux types , ils sont entré ce matin de bonne heure , et pleins de renards , c'était remplit de renard
il ziotta la jolie peau de Limaongle il s'en approcha et sentit

berkkkkkkkkk!!! elle était en chaleur quand tu l'a tué , m'entonne plus pour les renards , ça renifle de loin ces bestiaux , mais vous avez dormi pendant que je me les caillais!!!!!! ou bien expliquez moi ce que vous faite avec ces peaux

Syriuss se retourna vers l'affreux
ppffii!!! c'est pas nos lits , tu sais ce que c'est que des reconvertis? bon !! je vais au rapport annoncer pour les deux Italiens que j'ai vu ce matin


_________________
Le_bouffon
Les murailles

Le bouffon avait gagné les murailles. Un paysan tout juste recruté mangeait de la viande affamé près de lui.
-Merci Sieur Kampfer, vraiment, j'avais tellement faim.

Le bouffon scrutait le camp de soldats.
-Ca me rappel tant de bons souvenirs.

-Ah bon... miam moum miam... vous avez déjà attaqué des villes... crounch!

Le regard du bouffon se perdait dans le camp de brigands, le paysan lui s'en foutait de la réponse qu'il ne recevait pas immédiatement.
-J'ai combattu pour des rois, des ducs, des comtes.

-Vous avez déjà tué.

Le bouffon perdit son rictus.
-J'ai toujours honoré l'ennemi, j'ai toujours tué pour une cause qui me semblait juste, jamais par plaisir. La vie est merveilleuse, qui sommes nous pour l'ôter gratuitement?


Le paysan avait finis sa viande cuite et se léchait les mains, de la graisses sur les joues dégoulinait.
-Vous allez combattre pour la reine?

Kampfer retrouva son rictus.
-Bavarois, Anglois, pareils, la cause que tu crois juste n'est que l'intérêt d'un seul homme, ils sont capables de nous envoyer nous battre et nous taxer, mais quoi de plus?


Le paysan se tut.
-Z'avez pas tord sur ce coup là! L'armée nous protège des brigands cela dit!

Kampfer lança son regard dans celui du paysan qui trembla soudainement face à la masse au visage crispé de colère.
-Tu crois sincèrement que si a reine n'était pas là toutes les armées approchantes galoperaient aussi vites??


La paysan apeuré:
-Non surement pas, surement pas!

-Sors, il ne te sera fait aucun mal, sors et va voir les familles dans les chaumières, elles sont saines, sauves, en sécurité! Ces hommes là ne tuent pas des gens innocents!


-Ah bon?

-Imbécile, cesses de croire les foutaises d'une reine qui s'en contre fou de ta petite vie, de ta petite mort, douloureuse ou pas! Tant qu'elle urinera dans des latrines de luxe elle s'en contre fichera!


-Ah bon?

-Et arrêtes de dire "Ah bon?" comme si je t'apprenais une chose!

-Oui d'accord!

Les deux gens se turent, le regard du breton se plongea sur le camp.
-Sieur Kampfer, j'ai une question.

Très froidement sans tourner la tête le breton attendit.
-Vous allez faire quoi? Ici vous avez un foyer, des champs, des am...

-Amis?

Le bouffon rit.
-Je suis traité comme un brigand, comment veux-tu que je sois autre chose qu'un BRIGAND?


-Vous allez les rejoindre alors?

-Je vais rester un homme libre, un mercenaire! Point! Le reste je m'en fou, qui je combats je m'en fou! Le plus offrant, je me battrai pour lui.

-Les lunes?

Kampfer plongea son regard dans celui du paysan.
-Un jeune homme mort d'amour, de désespoir!

Le bouffon eut une larme.
-Un jeune homme rempli de rêves, une vie de famille, une femme, des enfants, des champs entourant une battisse, des chiens pourquoi pas, des vaches, des cochons, des poules? Il avait la possibilité de rêver de ses 18 ans, il avait la possibilité de devenir ce dont pourquoi il était né!

-Je ne comprends pas!

Le bouffon se redressa.
-Un ange! Quand il mourrait, je le tenais dans mes bras, je voyais tous ses rêves lui échapper, la souffrance de son cœur s'évaporer au fur et à mesure que la mort prenait place! Ce pilleur n'était qu'un enfant manipulé, sans aucune chance de redevenir un homme bon! Avant de mourir il m'a confié une mission, que j'ai accepté!

Le bouffon se mit à pleurer.
-Il m'a demandé... tout simplement de veiller... sur la femme qu'il aimait le plus au monde... sur l'être qui avait bâti ses rêves!

Le bouffon s'effondrait, le paysan s'approcha, tapotant son épaule.
-Elle est morte aussi, c'est ça?

Kampfer redressa la tête épuisé de la bêtise de cet homme.
-Non! Cette femme est Aliyane, juste Aliyane! Elle est là devant moi dans ce camp, et j'ai promis à Louis de donner ma vie pour elle!

Il renifla en scrutant le camp.
-Il n'avait pas tord.

Le paysan n'osait plus parler et recula.
-Quand mes yeux croisent les siens je ressens les même rêves que Louis. Elle est si...

Le confident n'en croyait pas ses oreilles. Le bouffon tombait amoureux?
-Elle semble si forte, mais son cœur si fragile!

Kampfer se redressa empoignant son épée.
-Va-t-en!

-M'en aller? Mais où?


-Va-t-en de cette vile immédiatement!


-Mais ils sont dehors! Ils vont...

-Écoutes, il y a deux façons de veiller sur une personne, la sauver du danger, ou bien la venger convenablement! Dans tous les cas je dois être prêt à attirer l'attention ou bien anéantir ceux qui l'attraperont, cette ville va bientôt avoir faim, prends ce que je t'ai offert et va-t-en, abandonnes ta misérable vie, sors d'ici et vas loin! Très loin.

Le bouffon se rassieds en examinant ces brigands, jouant avec leur liberté ils en jouissaient cependant chaque jour .
_________________
Je suis l'envoyé de Dieu. Si si!
Akmer
[Du seul endroit où la vue est plongeante…]

On pourrait certainement se demander comment une grosse bête comme une Salamandre a fait pour monter tout en haut des murailles, car il était bien question de cela. L’explication est tellement évident qu’elle échappe bien souvent à tous. Et oui, une Salamandre a plein de ressource, alors imaginez quand il y en a quatre. Rien n’est impossible dans de telles conditions. Bon certes nous n’oublierons pas de remercier, à n’en pas douter, les architectes qui ont prévu des escaliers assez larges pour une bébête comme celle-ci. Mais cela ne change pas le fond de ma pensée, une salamandre a beaucoup de ressource, et les quatre compagnons n’attendaient que la première occasion pour le montrer. Un affrontement qui malheureusement se faisait prier, alors que pourtant tout était réuni. Des adversaires, des armes, un lieu de combat, et surtout le plus important, des valeurs à défendre. Tout j’vous dis, pourtant Akmer ne comprenait pas encore ce que ces brigands attendaient. Heureusement pour son pauvre esprit torturé, on lui apporta la réponse.


C’était un jour où tous se trouvaient sur les remparts, une scène devenue presque habituelle, et cela même si le siège n’avait pas encore duré une semaine entière. Vous ne serez donc pas étonnés si je vous dis qu’Akmer s’y trouvait lui aussi, comme pratiquement la moitié de la population locale d’ailleurs. Des têtes totalement inconnues bien sur, mais cela ne le choquait plus depuis le temps qu’il arpentait les routes en quête d’idéaux à défendre, ou plus modestement en quête d’action.
La journée avait commencé normalement, mais la présence d’une de ces lunes pourpres au pied des remparts, étendard en main, vint donné à cette journée morose une tournure particulière. Les choses étaient plutôt simple et se résumaient selon à : "Donnez nous la reine ou vous crame tous.". Oui, Akmer ne fait pas la dentelle, et il préfère souvent, pour ne pas dire toujours, simplifier les choses à l’extrême.

Mais que les choses soient ou non complexe, l’annonce lui fit soulever ses gros sourcils noirs, le tout sur un arrière plan d’une grosse, et grossière, inspiration. Et à en voir les personnes présentes sur les remparts qui s’agitaient de tout part, la proposition ne fit pas plaisir à tous, mais ce sont là des réactions sur lesquelles le ténébreux ne s’attarda pas.
Le concernant, qu’il n’aime ou pas les nobles ne changeaient rien, il s’agit après tout de la Reyne de France, et non pas du premier petit seigneur venu. Pour vous donner une idée, le simple fait que ces brigands aient l’arrogance de penser pouvoir enlever la Reyne le mettait en colère. Encore un sentiment à ranger avec tous ceux qui se bousculaient depuis quelques jours. Pfiou ça en fait depuis quelques jours, j’imagine pas le jour où tout ça va sortir …


Des lopettes. Incapable de venir la chercher eux même …

Plus un grognement qu’autre chose il fallait bien le dire, mais cette phrase sortit quand même de la bouche du licerois alors qu’il bougonnait dans son coin, sa main gantée droite sur le pommeau de son épée. Il fallait en effet qu’il empoigne quelque chose, sans doute un vieux réflexe pour ne pas rester inactif, même dans les pires situations.
_________________
Dandolo
[Mortagne, sur les remparts perché]

Le Frère assistait au spectacle en compagnie des autres "disséminés" de son Ordre. C'est fou ce que les membres d'une Confrérie ont l'instinct grégaire tout de même.

Bon, la déclaration tapageuse sur l'air de " même pas cap' " du chef d'armée adverse lui avait arraché un sourire: lui, il avait arrêté de dire cela passé l'âge de 6 ans. Par contre, c'était sa vocation à lui et il avait repris la direction du service de défense de la sympathique ville du Perche. Avec Barbu, ils avaient gourmandé deux de leurs adversaires, rapport dont ceux-ci semblaient vouloir l'omettre, mais restaient l'épée en grand appétit.

Petit regard en souriant vers son ami ibérique Yocto.


Tu sais... Cette ville tire son nom d'une unité maure de l'armée romaine... Mauritania... Je ne sais quoi en penser... Nous voici donc promus au rang d'armée impériale? Ou retrouvons-nous nos racines en Orient et Sicile à combattre vils Sarrasins et piètres Hérétiques?


Hoche la tête en écoutant la jeune femme faire sa harangue en contrebas.

Les écus... Auri sacra fames... Ils peuvent bien l'envelopper de quelques discours que ce soient, on en revient toujours à la clause monétaire et, de fait, rongés par l'acédie et menant vie dissolue, les brigands ne recherchent in fine que cela. Leur liberté, ils la volent aux autres.

Concept totalement étranger pour le charitable Frère, goutant assez peu à la clochardisation de la civilisation même s'il se montre plus que libéral de tout ce qu'il peut bien avoir en poche.

Arf... Mais il faut bien se nourrir... On n'est pas des ânes... Celui d'Aristote avait fini par apprendre à vivre sans manger mais, hélas dit la légende, il mourut sans avoir eu le temps de mettre à profit cette qualité... L'âne de Buridan, lui, hésita entre le boire et le manger et finit par laisser la vie le quitter de son indécision.

Petite moue suivie d'un bref instant de réflexion. Au-delà des messages qu'avaient voulus faire passer le Prophète et son homologue philosophe, le Grand Maitre doit pourvoir aux besoins des uns et des autres et il convient de conserver un minimum d'organisation... Des fois, cela va très vite... Des fois, on reste trois mois sur place comme face au Lion de Judas en Béarn... Rien n'est assuré sur cette terre et surtout pas la vitesse avec laquelle on va envoyer ces tristes sires sur l'Enfer de la Lune qu'ils semblent tant chérir.


Axe et Yocto avec moi cette nuit. Les autres peuvent aller chercher quelques écus. Nous sommes bien assez nombreux pour ces marauds.

Fin sourire. Au fond, tout ne va pas s'y mal et il y a pire comme voyage de noces. A ce propos...

Je vous laisse. Je vais aller rejoindre mon tendre et cher ange.

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Saint Sépulcre.
Odoacre
[Sur les murailles]

Odoacre, archevêque de Rouen, stationnait à Mortagne pour introniser un curé quand la ville avait été attaquée.

Des rumeurs faisaient mention de la présence de la reine dans la bourgade. D'autres affirmaient qu'elle était blessée gravement. D'autre qu'elle était en pleine santé. D'autre encore qu'elle n'était pas dans la ville.

Quoiqu'il en soit, une troupe armée campait au pied de la ville et les murailles s'étaient garnis de défenseurs.

De l'action.

Mais potentiellement, un risque de famine si le siège se prolongeait, et affamer Odoacre n'était jamais une très bonne idée.

Aussi le prélat avait-il décidé d'arpenter les murailles, saluant et encourageant les défenseurs, qui d'une tape dans le dos, qui d'une bénédiction-minute comme il savait si bien les faire.

Non loin, il aperçut une femme à cheval, manifestement une sorte de hérault de la bande pourpre qui énonçait des exigences.

Depuis le haut des murailles, le vieux Grec, facilement reconnaissable dans sa robe de bure noire et avec sa haute coiffe de religieux grec, interpela la messagère


Eh bien ma fille, quand votre caprice aura pris fin, vous serez bien bonne de mander votre capitaine, il s'agit là, je crois d'une affaire d'hommes !

Habitué à tempêter et à prêcher, sa voix portait, n'apportant que plus de force à la misogynie récurrente du Grec.
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Archevêque de Rouen et Inquisiteur de la Foi
Evêques à Tours IG : envoyer mp IG à JDW pour voter pour les royales
*amalinea*
Aux pieds des murailles

Les heures filaient, Néa ne bougeait pas d'un pouce, elle attendait. Quelques silhouettes déambulaient ou se balançaient du haut des murailles. Des sons lui parvenaient et en particulier une diatribe de ce qui lui semblâ etre un pretre. Hormis un léger sourire qui s'installa un instant sur ses levres, Néa ne réagit pas aux mots que le vent portait jusqu'à elle.
Elle était là pour entendre la réponse de la reyne, ou du moins voir son émissaire, mais cela ne semblait pas etre possible. A priori, la Reyne ne daignait meme pas chercher une solution pacifique pour son peuple. Cela ne surprenait pas Néa. Rare étaient les membres de la noblesse qui s'interressait aux petit peuple, préférant les sacrifier plutot que de perdre une once d'or.
Car c'etait bien de sacrifice dont il s'agissait ici. Des meuniers, charpentiers, agriculteurs allaient mourir cette nuit pour leur reyne, pour ce qu'ils imaginaient etre leur liberté. Tant de morts, alors qu'il eut suffit que la Reyne accepte leur marché pour les sauver tous. Mais c'était ainsi dans leur monde, une seule personne pouvait décider du sort de plusieurs dizaines sans que personne n'y trouve à redire.

Le soleil s'abimait derriere l'horizon, il était temps pour elle de retourner aux camps des lunes. Il y aurait de nouveau un conseil ce soir ou une décision collégiale serait prise.

Soupirant, Néa touna le dos aux murailles. Le temps de la diplomatie venait de prendre fin.
*amalinea*
Exterieur nuit, aux pieds des murailles quelques heures plus tard

Ils étaient là, tous, prêt à vaincre ou périr. Qui avait revêtu triple chaussettes, qui affichait peinture de guerre ou épées étincelantes suivant, déterminé, Loupphoque en tête de colonne.
Néa faisait partie du lot, évidemment. A ces cotés, Holaf lui souriant d'un air de connivence, l'œil paillard. Néa répondit par un sourire à cette muette provocation, partageant son attention entre les défenseurs qui faisaient pleuvoir sur eux huile bouillante et volée de flèche et la proximité de Leon son cher et tendre.
Il n'avait rien trouvé de mieux à faire que de partir au combat avec sa seule épée, délaissant un bouclier. Néa espérait de tout son cœur que cela ne l'entrainerait pas vers un funeste destin.
Mais baste, il n'était plus temps de tergiverser. Devant eux se dressait les défenseur de Mortagne. nombreux, très nombreux, peut être même trop nombreux...

Un dernier regard vers la lune qui éclairait la scène de son œil blafard quand surgit devant elle une femme nettement plus grande et charpentée qu'elle ainsi qu'un homme qui lui aussi la dépassait facilement de deux têtes.
Quelle idée d'être aussi petite ronchonna t elle en se préparant au combat.
Avant que le premier coup d'épée s'abatte, Néa eut le temps d'apercevoir la silhouette d'un Bouffon qui s'enfuyait de l'armée. Il avait cet air blême et le fond du pantalon humide qu'affiche tout les pleutres quand la mort leur fait face.
Néa ne put retenir un sourire à cette vision, puis reportant son attention sur ses adversaires, elle avançât d'un pas.
C'est une belle nuit pour vivre sa mort
Aliyane
La brunette avait mis son petit à l'abri au fond du campement.
La dague de Tonton Jaja posée comme toujours à coté de l'enfant .

Certaine qu'il serait à l'abri elle alla rejoindre ses ami le coeur lourd de ne pas pouvoir combattre à ses cotés.

Un dernier regard vers tout ses amis, jamais ils n'avaient fuis jamais et ils ne le ferrait.
Même si l'issue du combat était courue d'avance aucun ne craignait de s de mourir l'arme à la main.


Mes amis ce soir nombre d'entre vous mourrons sans doute, d'autre seront grièvement blessé mais vous avez tous eu le choix et vous avez tous décidé de partir au combat.
Je suis fière de vous fière d’être lune ...

Et quoi qu'il arrive nous garderons la tête haute...
Syriuss
Syriuss avait chaud et froid , il avançait dans la nuit sa doucette Aziliz a coté de lui , il la protégeait de son corps puissant
il la fixait et lui sourit

ça va aller ma chérie , un mauvais moment a passer mais après on vivra heureux , on pensera a faire un petit, tiens , ça nous occupera


les cornes sonnèrent , la charge commença , quand tout d'un coup il vit mais lui on pouvait pas le louper , c'est le seul qui avance à reculons

archerrrrrrrrrrrrrrssssssssssss visez moi la cible marron jusqu'au dos qui s'enfuit
et le grand chargea , il tailla , découpa , défonça les cranes a coups de "béni sois tu " sa masse d'arme , explosa des membres , ça voltigea de tout coté , les os , les tripes , il essaya de foncer sur le paquet de merdouille ambulant , mais il allait trop vite et l'ennemie le protégeait sans le savoir
il vit son amie Amandiere tomber , ça passa mal très mal pour le type qu'il porta un bon coups d'épée , quand Clody bouscula de son cheval il trempa son épée dans le ventre d'un pauvre type qui le fixait et qui admirait sa belle épée dans son bide , ses derniers mots furent
tu la vend?

pauvre gars !! en plus elle est pas a vendre , je te l'ai juste prêté là et tu te coupe avec

un coup d'œil a sa douce qui lui souriait , il était rassuré le Syriussil pouvait mourir en paix
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