[RP] Un mariage seigneurial / A divine wedding

Dans son coin, la prêtresse observait le ballet des invités. Et l'arrivée de sa jeune cousine Zazyl ne lui échappa pas. D'ailleurs, elle gardait un oeil discret sur celle-ci, depuis qu'elle faisait sa formation d'apprentie-prêtresse.
La mexicatl que sa cousine percuta de plein fouet, Polya la reconnut. Il s'agissait d'une chamane, elle se souvenait l'avoir vue en compagnie d'Ozomatli, un ancien huamantlèque que la jeune femme appréciait particulièrement. Il avait certes bien changé mais elle se souvenait de ces retrouvailles en Occident et la chamane ne lui était donc pas inconnue.
Ses yeux ne quittaient pas la scène, mais Polya ne bougeait pas. Brume n'était pas une ennemie. Puis elle connaissait sa jeune cousine. Elle avait encore bien besoin d'apprendre. Voyons comment elle allait s'en sortir cette fois.
Le visage impassible, la prêtresse observait...

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In place, the priestess observed the ballet of the guests. And the arrival of his young cousin Zazyl did not escape her. Moreover, she kept a discreet eye on this one, since she made her
formation of apprentice-priestess.
The mexicatl which his cousin collided quite hard, Polya recognized her. It was about a chamane, she remembered having seen her together with Ozomatli, an ancient huamantlèque that the young woman estimated(appreciated) particularly. He had certainly changed well but she remembered this reunion in West and the chamane was not thus unknown him.
The eyes did not leave the scene, but Polya did not move. Mist was not an enemy. Then she knew her young cousin. She still well needed to learn. Let us see how she was going to take out this time. The poker face, the priestess observed..
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Coyote et amazone indomptée.

Miosotis avait reçu une invitation pour se rendre à ce mariage seigneurial. Renoncer à la prêtrise pour se mairier. Et puis quoi encore? Enfin bref, elle était là pour Alexius. Elle reconnut quelques invités et rejoignit Polya qu'elle salua.
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Petite Fleur préférée de son frère Zabatan
Guerrière Condor, Tecuhtli d'Orient

L'emplumé l'avait invitée alors elle était venue . Pas habituée a autant de monde et bien seule.

Longtemps elle s'était demander si elle irait , se rendre à un mariage quand les Dieux ont rappelé a eux celui qu on aime .... Puis elle s'était mise en route, rien ni personne ne la retenait plus maintenant a Zoto , clan où elle avait migrer par amour qui aujourd hui allait aussi disparaitre.

Triste elle prit donc la route , distribuant quelques coups de massues a qui tentait de lui prendre le peu qu elle possédait.

Arrivée sur place, elle se trouva un coin tranquille d où elle pouvait voir le déroulement de la cérémonie et les personnes présentes
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Zagig stepped up behind Rae as she talked with the servant. The servant was first to meet his gaze. Without speaking the servant cast their eyes to the ground unable to meet his gaze of green. Rae turned and looked at him. Her eyes meet his, and the fire that blazed there soothed slightly. In a voice that could be heard over everything else, Zagig spoke. "I shall take her to him." The tone left no doubts for argument. Taking Rae's arm in his, he started walking her slowly towards her fiancee. Leaning over and whispering in her ear, he said, "He isn't worthy of you, but then, no man is. I suppose he is the closest." And then kissed her cheek. Rae did not blush, but she did smile, and he saw her eyes start to shine a bit more.


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He walked in, looking about for the one he had been asked to escort. He looked about in the few shadows, figuring that would be the best way to find her. He had cleaned himself well, even wearing a new loincloth, just for the occasion. He tried not to think too much about his companion. She tended to cause his body to respond in ways that would not be appropriate until after a wedding ceremony. Not seeing her, but seeing that the ceremony was starting soon, he went in to take a place. He figured she would appear out of nowhere when she was ready.

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Il entra, cherchant celle que l'on lui avait demandée d'escorter. Il regarda dans les quelques ombres autour de lui, supposant que ce serait la meilleure façon de la trouver. Il s'était mis bien propre, portant même un nouveau pagne, juste pour l'occasion. Il essaya de ne pas trop penser à sa compagne. Elle avait tendance à provoquer son corps à répondre de manières qui ne seraient pas appropriées avant la fin d'une cérémonie de noces. Ne la voyant pas mais voyant que la cérémonie commencerait bientôt, il entra pour prendre place. Il supposa qu'elle apparaîtrait, sortant de nulle part, quand elle serait prête.
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Des effluve fleuries se dégagent des ruelles dont les pavés sont ornés de mille et une plantes. Des tentures pendent des toits et des fenêtres, des guirlandes piquées de Yauhtli et d’Iztauhyatl traversent les rues, reliant une maison à une autre. L’occident à le cœur en fête et pour cause, l’être le plus puissant de la Seigneurie se marie.

La foule s’est déjà amassée autour de la place où sera célébré la cérémonie liant deux provinces, avant que le banquet ne soit ouvert et que les réjouissance débutent réellement. Le port altier bien campé sur ses jambes, bras croisés sur la poitrine dans un attitude des plus fermé, une femelle contemple la scène. Son regard se fait sombre et une attitude sévère vient crisper le visage tatoué. Les muscles de sa mâchoires viennent de tant à autre faire frémir la peau qui demeure gravement immobile.

Ses deux prunelles se rive sur la silhouette du grand mâle qui apparait. Paré de vert et de blanc, élégant comme à l’accoutumé, ne faillant pas au charisme surprenant qui était sien et dont lui seul avait le secret. Les doigts de la guerrière se crispe sur ses bras. Serait l’empreinte de la jalousie qui baigne son visage? Non, certainement pas, peut être, seulement, la trace d’une légère frustration.

Les mariages l’avaient toujours mis dans des états étranges. Un air de déjà vu… ou de déjà vécu. L’esprit de la chaman s’échappe un instant de la scène pour se plonger dans des réflexions plus générales. Qu’est donc le mariage? Pourquoi se lier à un être, s’enchainer à sa vie comme la parasite s’accroche à hôte.? L’union sacrée n’est peut être qu’un privilège, celui de s’enfermer dans une prison dont nous pouvons choisir nous même le geôlier.

Un regard se lève au ciel, et les visages des trois autres jeunes filles apparaissent dans son esprit. Toutes liées par le même serments, elles avaient développées des relations d’amitié frôlant l’ambigüité. Mais des quatre, seule la brume n’avait pas accepté son destin. Et si, elle n’était jamais partit. Son nez se fronce à l’idée, et sa mâchoire tremblote subitement, comme prête à grogner. Non! Elle a fait ce qu’il fallait.

Elle abaisse le menton, jetant de vifs regards autour d’elle. Elle se sent soudainement à l’étroit, comme n’étant pas à sa place parmi ses êtres qu‘elle ne connait pas. Une envie soudaine de courir vers la foret fait frémir sa peau. Ravalement bruyant d’une salive au gout acre.

La chamane se fait violence et ses prunelles se reportent sur la cérémonie.


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Flowered emanations emerge from alleys where pavements are decorated with a thousand and one plants. Hangings hang from roofs and windows, garlands dotted with Yauhtli and with Iztauhyatl cross streets, connecting a house to the other one. Occident has heart in feast for a very good reason, the most powerful being of the Seigneury gets married.

The crowd is already accumulating around the square, where will be celebrated the ceremony, binding two provinces, before the banquet will open and before festivities really begin. Haughty bearing, well standing firmly on her feet , arms crossed on the breast, in a most closed attitude, a female contemplates the scene. Her glance becomes darker and a severe attitude comes to wrinkle the tattooed face. The muscles of her jaws make, from time to another, shivering the skin which remains seriously immovable.

Her two pupils come to be rivetted on the big male's silhouette which appears.
Dressed in green and white, elegant as usual, not failing in the surprising charisma which was his and which only him had secrecy. The fingers of the warrior tense on her arms. Could it be the imprint of jealousy which bathes her face? No, certainly not, maybe only the track of a light frustration.

Marriages had always put her in strange states. A look of already seen... or of already lived.
The shaman's mind escapes for one moment off the scene to plunge into more general reflections. What is marriage? Why to bind to a being, to chain up to his life as the parasite clings to host?
The holy alliance is maybe only a privilege, the one to lock up into a prison of which we can choose the jailer.

A glance gets up in the sky, and the faces of three other girls appear in her mind. All bounded by same oath, they had developed relations of friendship touching the ambiguity. But out of the four, only the Mist had not accepted her fate. And if, she was never left... Her nose frowns at this idea, and her jaw quivers suddenly, as ready to growl out. No! She has done what was needed.

She lowers the chin, throwing deep glances around her. She suddenly feels cramped, as not being in her place among these beings she does not know.
A sudden urge to run towards the forest makes her skin shiver. Noisy choke back of a saliva with a bitter taste .

The shaman is forcing herself and her pupils return to the ceremony.

Thank to Ljd Oulaup!
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Karanlik slipped in quietly. He had heard his Aunty Rae was to be married. Though he was too young to understand the meaning of this he knew it was important.

Looking around for someone her rocognised...his father or mother perhaps...he slowly made his way further into the gathering crowd.


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Aic. Simple mâle sans grande particularité. Il devait se préparer. Simple, sobre. Discret. Consignes: fais-toi le plus discret, qu'on ne te voit pas, que tu te fondes dans le décor. Il en avait l'habitude. C'était son rôle. Etre là sans qu'on ne le voit ou qu'on ne le remarque. Pour cela, il savait pertinament y faire. Pourtant, cette fois-ci, les indications avaient été un peu modifiées. Il se prépara. Un sérape noir, un pagne noir et des sandales noires. Le premiére fois que sa protection se ferait pas si rapprochée que ça. Elle ne l'était pas à la base mais pour cette occasion, on aurait pu penser qu'il n'était qu'un simple invité. Ce dont il devait parvenir à faire croire. Il espérait que tout se passe bien. La veille, il avait utilisé sa technique ancestrale. Celle de rester en forêt toute la nuit à écouter les moindres bruits, examiner la moindre lumiére et laisser son corps se confondre avec la nature. Aic revenait à l'état sauvage. Le temps d'une nuit. Pour développer tous ses sens. Il étirait celui-ci dans de grands mouvements, gestes laissant le moindre muscle se tendre au maximum. Que la sueur recouvre la moindre parcelle de sa peau. Que son esprit se libére et s'éléve par le biais de longues priéres. Une nuit entiére à passer sur son corps ce baume. Un porte-bonheur et un rite qu'il pratiquait depuis toujours. Frais, il avait la particularité de protéger, de nourrir, de rafraichir. Et d'être aussi efficace sur plusieurs jours et nuits. Son odeur était un mélange subtil fruité et sucré, impossible à détecter avec précision sa composition.

Aic est prêt. Il sait que la Personnalité en question est déjà sur place. Il ne lui reste plus qu'à faire de même. Le mariage en question devrait attirer foule. Pourtant, il fut surprit devant le peu de mouvement en ce lieu. Trop tôt ? Il soupira. Il risquait de se faire remarquer. Un coup d'oeil rapide puis il la voit. Pas la moindre émotion ne traduit son regard. Il balaie continuellement comme si de rien n'était et pourtant, il guette bien les aller venus autour d'elle. Il sait où elle se trouve. Il l'a localisé. Il pouvait se déplacer à son ryhtme, à sa guise et à sa volonté parmi les présents, sans se faire remarquer. Pas un sourire. Pas une lueur ou marque de sympathie, belle lurette qu'il en avait perdu l'habitude. Le visage aux traits secs, froids, glacials. Taillés comme dans la roche. Le regard noir, perçant, vitreux. Une bouche charnue, large. Un nez droit et rectiligne. La statue de marbre que l'on pouvait poser à un endroit et ne plus jamais le voir bouger, ni respirer. Stoïc. Impassible.

Aic attend et surveille. Baisse les yeux quand il pense que leurs regards vont se croiser. Ne jamais laisser apparaitre une once de complicité. Ni de fraternisation. Ni de communication. Rien que cela pourrait trahir son rôle auprés d'elle. Et en aucun cas, il ne devait la mettre en danger ou l'exposer. Tourne la tête. Tourne le dos. Pivote sur lui-même. Part pour veiller sur elle sous un nouvel angle, un nouveau point de vue. Arrive même à se poster juste derriére elle sans qu'elle n'y prête attention. Et c'est cela qui lui plaît. Pouvoir la cotoyer sans que la Personnalité en question ne le sache ou ne puisse le sentir. Pourtant, il est bien là. Juste derriére elle. Et quand celle-ci se tournera pour croire sentir une présence, un regard persistant. Elle ne verra personne. Aura beau fouiller de son regard autour d'elle, rien. Qu'une impression. Un pressentiment.

Lui, il serait par là. A la surveiller. A s'amuser de la voir dans le doute. Peut-être un jour lui demanderait-elle d'être à ses côtés pour pouvoir mieux gérer sa protection. Faut dire qu'il n'était pas le seul à assumer cette tâche. Mais pour l'instant, il était bien plus doué en protection et surveillance qu'en protection rapprochée. Il ne lui restait plus qu'à se fondre, saluer les invités, regarder la cérémonie puis qui sait, à profiter de la fête. Toujours un oeil bienveillant sur Elle.



Aic. Single male without particularity. He had to prepare. Simple, sober. Discreet. Instructions: make yourself the most discreet, we do not see you, that you are into the background. He had the habit. It was his role. Being there without being seen or do not notice it. For this, he knew pertinant do. Yet this time, indications were slightly modified. He prepared. A black serape, a black cloth and black sandals. The first time that its protection would be not so close as that. She was not at the base but for this occasion, one would think he was just a guest. What he had to reach to believe. He hoped that everything goes well. The day before he had used his ancient technique. That remain in the woods all night listening to every sound, consider the lesser light and leave her body to merge with nature. Aic returned to the wild. The time of night. To develop all their senses. He stretched it in large movements, leaving the slightest muscle movements to tighten up. The sweat covering every inch of her skin. May his spirit is released and rises through lengthy prayers. To spend an entire night on her body balm. A lucky charm and a rite he practiced ever since. Fresh, it was notable to protect, feed, refresh. And be as effective over several days and nights. His smell was a subtle mix fruity and sweet and impossible to accurately detect its composition.

Aic is ready. He knows the personality in question is already there. It only remains to do the same. The marriage in question is expected to draw crowds. Yet he was surprised at how little movement there. Too soon? He sighed. It might be noticed. A quick look and then he sees it. Not least emotion does not translate his eyes. It continuously scans as if nothing had happened yet, although he watches them go come around. He knows where she is. He located. He could move his ryhtme, at its discretion and its determination among those present, without being noticed. Not a smile. Not a glimmer of sympathy or mark, a long time he had lost the habit. The facial features dry, cold, icy. Cut as in the rock. The black eyes, piercing, glassy. A fleshy lips, broad. A straight nose and straight. The marble statue that could be put in one place and never see it move or breathe. Stoica. Impassive.

Aic waits and watches. Looks down when he thinks that their eyes will cross. Never let appear an ounce of complicity. Or fraternization. Or communication. That alone could betray his role with them. And in any case, it was put in danger or expose. Turn your head. Turn away. Pivots on itself. Hand to look after her a new perspective, a new point of view. Even manages to post directly behind her without her no attention. And that is what pleases him. Without being able to rub the personality in question do not know or can feel it. Yet it is there. Just behind her. And when it will turn to believe there is a presence, a look persistent. She did not see anyone. Will search its beautiful look about her, nothing. An impression. Hunch.

Him, he would be there. At the monitor. A fun to see her in doubt. Maybe one day she would ask him to be with him to better manage its protection. Must say he was not alone in the task. But for now, he was more gifted in protection and monitoring in close protection. It only remained to merge, to greet the guests watch the ceremony and then who knows, to enjoy the party. Always a watchful eye on her.

Chérie arrive au milieu des invités... Pour le moins illustres... Elle sourit notamment à Zagig, Oulaup, Eurydice... Elle sent une présence derrière elle... Se retourne... Mais ne voit rien... Mirage. Puis elle cherche du regard Carlos ou les futurs mariés.

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Chérie comes into everybody... At least well known people... She smiles to Zagig, Oulaup, Eurydice... She feels someone beside her... She looks but doesn't see anyone... Strange. Then, she looks for Carlos or Alex and Raederlea.
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Il y alla, seul, il aurait aimé qu'Eonia vienne mais elle n'avait pas le coeur à venir. Il n'y avait pas de raison. Prit la route qui y menait en profitant du paysage. Alors que tout prenait place en son esprit, que celui-ci était apaisé, il semblait appréhender au fur et à mesure que la Pyramide prenait possession de sa vue. Beaucoup de va et vient. Beaucoup de gardes. L'ambiance festive. Un air de fête, de célébration grandeur nature et à l'image des futurs mariés. Aussi simples que respectés. Regard baissé devant certains scénes auxquelles il n'a jamais assisté. Malgré lui, certaines de ses actions ne semblaient pas encore faire l'unanimité dans son coeur ni dans son corps. Il apprenait à ne plus laisser voir ou entrevoir ses émotions. C'était la solution inéquanone pour se fondre dans la masse. Il regarda autour de lui, scruta partout. A priori, pour l'instant, plutôt calme et avec la cérémonie à venir, Alexis pourrait facilement juste se montrer à qui il le souhaitait. Grande inspiration. Regard vers la Pyramide. Regard vers la foule derriére lui, qui mine de rien prend de l'ampleur. Il reste à l'écart. Pas l'habitude. Cherche désespéremment quelque chose qui puisse lui donner contenance. Ne s'avance pas trop. Reste en recul, son épaule contre un arbre, les bras croisés. Fallait reconnaitre que c'était grandiose. Il baissa les yeux. Un sourire sur ses lévres et songeur, il se mit à penser dans le vague dans l'attente du début de la cérémonie.


He went alone, he would have liked qu'Eonia come but she had not the heart to come. There was no reason. Took the road that led there enjoying the scenery. While everything took place in his mind that he was appeased, he seemed to understand As the Pyramid took possession of his sight. A lot of back and forth. Many guards. The festive atmosphere. A festive, celebratory and life-size picture of the bride and groom. Simple as respected. Looking down at some scenes which he never attended. Despite himself, some of its actions did not seem to be unanimous in its heart or in his body. He learned not to let her see or glimpse of emotions. This was the solution inéquanone to blend into the mass. He looked around him, peered around. A priori, for now, fairly quiet and with the upcoming ceremony, Alexis could easily just to show that he wanted. Great inspiration. Looking to the Pyramid. Looking towards the crowd behind him, who casually grows. He stays away. Not used. Desperately seeking something that could give him countenance. Do not advance too. Remains down, his shoulder against a tree, arms crossed. Must admit that was great. He lowered his eyes. A smile on his lips and pensive, he began to think in the wave while waiting for the start of the ceremony.
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He saw her hand reach back and took it in his before sliding up directly behind her body. His other hand moved to her hip and around her waist slightly. Not much, but enough to pull her close and let her feel his own emotions at their reunion. He could almost sense where she was looking and whispered in her ear,

She'll be up above slightly, where we can all see them and they can see us. No way we can miss her, once she comes out.

His words complete, he nipped her ear and leaned back, her body still standing against his.

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Il sentit sa main remonter par derrière et l'a pris dans la sienne avant de se glisser directement derrière son corps. Son autre main se déplaça vers sa hanche puis légèrement autour de sa taille. Pas beaucoup, mais assez pour l'attirer contre lui et la laisser sentir ses propres émotions à son contact.. Il pouvait presque sentir où elle regardait et chuchota dans son oreille,

"Elle sera légèrement plus haut, où nous pouvons tous les voir et d'où ils peuvent nous voir. Nous ne pouvons la manquer, une fois qu'elle sera sortie."

Ses paroles prononcées, il lui pinça l'oreille et se pencha en arrière, son corps reposant toujours contre le sien.
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Her arm linked in Zagigs she walked slowly with him. She listened to him talk and couldnt help but smile. She knew in his mind, no one would have be good enough, not even the huey tlatoani himself, but atleast had agreed he was the closest.

Her eyes twinkled as he finished speaking. She could see Cheri out of the corner of her eye and turned and waved and smiled. "Thats Cheri, Huey Tlatoani of the Aztecs, but then again, you have likely met her have you not?"

She continued to look around and saw many people she knew. She offered each a smile and a nod, some a wink. This was becoming very real to Rae very quick. Her eyes finally rested on the groom. He was speaking with someone, so she took the time to study him.

Alexius was very impressive. His crown of feathers were a site to behold resting on his head. His shoulders were broad and his chest a mass of muscels. Pulling her out of her daze, was Zagig as he brushed his lips against Rae's cheek.

Rae looked back to Zagig brushing her lips against his cheek. "Thank you." Rae whispered to Zagig as she glanced around knowing people would come and talk while waiting for the wedding to begin.

_______________________ Thanks Oula!

Son bras lié à celui de Zagig, elle marcha lentement à ses côtés. Elle l'écouta parler mais ne put s'empêcher de sourire. Elle savait que pour lui, personne ne pouvait être assez bien pour elle, pas même le huey tlatoani lui-même, mais, au moins, il avait reconnu qu'il en était le plus proche.

Quand il eut fini de s'adresser à elle, les yeux de Rae scintillèrent. Du coin de l'œil, elle aperçut Cheri, tourna la tête, fit un signe de la main et sourit. "C'est Cheri, Huey Tlatoani des Aztèques, mais bien sûr, tu l'as probablement déjà rencontrée, n'est-ce pas? "

Elle continua à regarder autour d'elle et vit beaucoup de personnes qu'elle connaissait. Elle offrit à chacun un sourire et un signe de tête, à certains un clin d'œil. Cela devenait de plus en plus réel pour Rae. Ses yeux se posèrent finalement sur le marié. Il parlait à quelqu'un, donc elle prit le temps pour l'étudier.

Alexius était très impressionnant. Sa couronne de plumes, posée sur sa tête, était un endroit à contempler. Ses épaules étaient larges et sa poitrine une masse de muscles. Ce qui détourna son regard de lui, fut l'effleurement des lèvres de Zagig effleurant sa joue.

Rae se retourna vers Zagig, et, à son tour, effleura de ses lèvres sa joue. "Merci." murmura Rae à Zagig pendant qu'elle jetait un coup d'œil autour d'elle sachant que les gens viendraient lui faire la conversation en attendant que le mariage commence.
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Alexius observait toutes les personnalités qui se mouvaient sur l'esplanade. Des prêtres, des guerriers, des dignitaires, leurs familles. Il lui avait même semblé apercevoir Cherie_sexy, entourée d'esclaves et de soupirants. S'il en reconnaissait la majorité, certains lui étaient inconnus. Il inclina légèrement la tête à l'égard d'Alexis afin de le saluer. Il adressa également un signe de la main à Guyhom. Il devrait s'entretenir avec lui un peu plus tard. Il adressa un sourire à son cousin Menion. Lui, le guerrier le plus plumé de Tlaxcalla, était l'éternel défenseur des valeurs seigneuriales. Il avait été parmi les premiers à s'élever contre la tyrannie du blasphémateur Kuzco et avait toujours représenté l'idéal guerrier dans sa forme la plus pure, allant jusqu'à se ruiner à maintes reprises pour pouvoir suivre les armées tlaxcaltèques à la guerre sans jamais demander de contrepartie, sans jamais se formaliser du manque de reconnaissance.
Sa jeune fille, Madrededios, était également présente. Son voyage en Acolhuahcan s'était apparemment bien terminé, puisqu'elle était rentrée vivante. C'était une bonne chose car tant que ses frères et ses cousins n'auraient pas d'enfants, elle demeurerait l'unique pupille de la Tribu Aztlàn et sa seule héritière. Une fois qu'il serait sacrifié et rejoindrait Quetzalcoatl, elle demeurerait seule. Les temps des plaisirs étaient révolus et il se devait désormais de la préparer, de la former et de lui enseigner toute l'expérience acquise tout au long de sa vie afin qu'elle puisse se forger ses propres armes et perpétuer la grande lignée qui était la sienne.
Alexius tourna la tête et repéra sa fille dans la foule. Elle était accompagnée d'un garçon de son âge. Qui était-ce? Le Huey Tlatoani commençait à voir rouge. Une fois la cérémonie terminée, il ferait fouetter l'impudent qui avait osé approcher la chair de sa chair. Le jeune fou ne perdait rien pour attendre et ses parents, s'il en avait, ne vivraient pas bien longtemps! Mais l'heure n'était pas à l'amusement. Il règlerait ce souci lorsque la cérémonie serait terminée.
Lorsqu'il vit Raederla et Zagig s'avancer vers lui, Alexius se permit la faiblesse de sourire. Dans quelques instants, ils seraient mariés. Lorsque Raederla fut à ses côtés, il leva un bras afin de demander le silence puis commença:

Mes sœurs, mes frères, Tlaxcaltèques et amis de Tlaxcalla.
Niltzé à vous.

Nous sommes réunis en ce jour de fête afin de célébrer mon union à la belle Raederla. Mais cette union tribale, renforçant les liens entre les calli Aztlàn et Chaos, se double d'une union sacrée. Aujourd'hui, moi Alexius Aztlàn Cuamantzingo Tlaxcallàn, Seigneur de Tlaxcalla-la-grande, je vais prendre pour première épouse Raederla et en faire ma reine.
Puisse le peuple Tlaxcaltèque lui faire bon accueil car elle deviendra dès lors notre soeur.

Si quelqu'un s'oppose à cette union, qu'il me défie maintenant en arène afin que les dieux, mes pairs, décident de la validité de ce mariage. Sinon, qu'il se taise à jamais et ne conteste pas notre choix.

Alexius se tourna vers Oulaup et Maximusrem puis poursuivit:

Ma sœur, mon frère, le moment est venu.

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Alexius observed all the personalities which were driven on the esplanade. Priests, warriors, dignitaries, their families. He had even seemed to him to see Cherie_sexy, surrounded slaves and sighing. If he recognized the majority of them, some were unknown for him. He inclined the head with regard to Alexis slightly in order to greet him. He also addressed a sign of the hand to Guyhom. He should discuss with him a little later. He addressed a smile to his cousin Menion. He, the warrior more plucked of Tlaxcalla, was the eternal defender of the seigniorial values. He had been among the first to be protested against the tyranny of the blasphemer Kuzco and had always represented the warlike ideal in its purest form, going until being ruined on several occasions to be able to follow the tlaxcaltèques armies to the war without never asking counterpart, without never formalizing lack of recognition.
His young girl, Madrededios, were also present. Her voyage in Acolhuahcan had finished apparently well, since she had returned alive. It was a good thing because as long as his brothers and his cousins would not have children, she would remain the single pupil of the Aztlàn Tribe and its only heiress. Once he would be sacrificed and would join Quetzalcoatl, she would remain alone. Times of the pleasures were completed and it was from now on to prepare her, form her and to teach to hem all the experience gained throughout his life so that she can forge her own weapons and perpetuate the great line which was his.
Alexius turned the head and located his daughter in crowd. She was accompanied by a boy of her age. Who was this? Huey Tlatoani started to see red. Once the finished ceremony, he would make whip the impudent one which had dared to approach the flesh of its flesh. The young fool did not lose anything to wait and his parents, if he had some, would not live a long time! But the hour was not with the recreation. He would regulate this concern when the ceremony would be finished.
When he saw Raederla and Zagig to advance towards him, Alexius allowed the weakness to smile. In a few moments, they would be married. When Raederla was at his sides, he raised an arm in order to ask silence then started:

My sisters, my brothers, Tlaxcaltèques and friends of Tlaxcalla.
Niltzé to you.

We are joined together in this festivities in order to celebrate my union with the beautiful Raederla. But this tribal union, reinforcing the bonds between the calli Aztlàn and Chaos, is doubled of a sacred union. Today, me Alexius Aztlàn Cuamantzingo Tlaxcallàn, Huey Tlatoani of Tlaxcalla-the-great, I will take for first wife Raederla and she will be my queen.
Can the Tlaxcaltèque people receive warmly to her because she will consequently become our sister.
If somebody opposes this union, that he defies me now out of arena so that the gods, my pars, decide validity of this marriage. If not, that he is keep silent forever and does not dispute our choice.

[ib]Alexius turned to Oulaup and Maximusrem then continued:[/i]

My sister, my brother, the moment came.
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Karanlik watched from the side as his Aunty Rae and father appeared. His Aunty looked happy, which somehow made him happy. Ha had brought a little candy to give to her after a comment about needing it but didnt think that now was the right time so he waited and watched.


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Une invitation lancée au Conseil des Tlamacazquis et une silhouette qui se profile. La prêtresse se fait discrète, elle n'avait rien promis, pas même prévenu son ancien grand-prêtre et son Seigneur de sa venue. Un mariage, elle n'avait pas forcément le coeur à venir festoyer, elle pensait encore à Atecoatl et son sacrifice. Mais c'était jour des épousailles de son Seigneur et c'est parée de ses habits et bijoux de cérémonie sacrée que la prêtresse de Huehuecoyotl et du Tlaxcitlan fait son entrée.
Elle a tôt fait de remarquer la haute silhouette d'Alexius paré de ses plus beaux atours et son regard gris embrassant les lieux elle y reconnait des silhouettes connues.
Silencieuse, elle attend la suite de la cérémonie alors que son Seigneur vient de terminer son discours.

A thrown invitation to the Council of Tlamacazquis and a silhouette which stands out. The priestess makes discreet, she had promise nothing, not even told her ancient high priest and his Lord of her visit. A marriage, had necessarily no heart to come to feasther, she still thought in Atecoatl and the sacrifice. But it was in the daytime the nuptials of of his Lord and it is adorned with the clothes and jewels of sacred ceremony when the priestess of Huehuecoyotl and Tlaxcitlan makes her entrance.It early made to point out the high Alexius stature parried with its nicest finery and its grey look embracing places her there she's looking of the known silhouettes.
Silent, it waits for the suite of the ceremony while his Lord has just ended his speech.
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Coyote et amazone indomptée.

" But, what are we doing?... I am alone... Max is not there... " Oula said looking at Rae for guidance.

"I'd be pleased if you'd do the honors of the final step. You can represent Tlax but also Chaos." Rae said with a soft smile to Oula.

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Mais, qu'est-ce qu'on fait?... Je suis toute seule... Max n'est pas là..." Dit Oula en regardant Rae pour de l'aide.

"Je serais ravie si tu me faisais l'honneur de ce dernier pas. Tu peux représenter Tlaxcalla mais aussi Chaos." Dit rae avec un doux sourire envers Oula.
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Goddess of Controversy - From Chaos comes clarity
2 term Tlatoani,4 Term Pochteca, 1 term Sherrif all for Tepeyacac. Mother of Eurydice

Zagig is happy to have taken Rae to her husband to be. But when he gets there, he sees that Oula is alone, when there should be a male matchmaker with her.

In an attempt to be helpful, Zagig steps to Oula's side, and whispers in her ear, "Tell me what to do, and I will help to get this done." Then, as an added gesture, he softly kissed her ear.
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Des visages apparaissent, connus ou moins connus et un regard les parcoure, cherchant à s’accrocher sur le moindre détail. Une mèche rebelle, une cicatrice à peine visible, un fil qui pend d’un sépare… Autant de chose futiles qu’elle remarque pourtant avec un vivacité alarmante. Tout est bon à prendre quand on cherche un échappatoire…

Quand la voix du Seigneur s’élève, la brume ne détourne pas la tête, son regard rivé sur un collier de perles de bois porté par une femelle non loin d’elle. L’une des perles est plus petite que les autres, celle à droite, la troisième partant de la bille centrale. Sa couleur est aussi légèrement plus claire que les autres. Alors qu’elle se refuse à reporter son regard sur le centre de l’attention générale, des murmures fusent autour d’elle. Une excitation chuchotée… Le grand moment est arrivé.

La chamane cède, la tête se tourne, et ses prunelles acérées se posent sur le couple. De toute sa hauteur, Alexius surplombe une femelle qu’elle n’a jamais vu, la connaissant à peine de nom. L’espace d’un instant, la Brume la dévisage, l’analyse, la fouille et la transperce, et ses bras se resserrent sur sa poitrine. Les marieurs sont aussi présents et ils ont tôt fait de saisir d’un pan des habits des deux futurs mariés. Les doigts s’entremêlent, les étoffes s’enlacent, l’union se lit en même temps que ces tripes se nouent.

Ses narines frémissent, et d’un coup de dents elle se mord l’intérieur de la lèvres, pinçant douloureusement une boule de chair entre ses canines. Les visages se confondent, des souvenirs qui se matérialisent. Un coup porté contre son flanc la tire de ses visions. Tournant vivement la tête, elle adresse un grondement irrité à son voisin qui demeure les bras en l’air. Sa voix se mêle à la clameur qui s’élève, et il remarque à peine la chamane qui demeure obstinément muette.

Soupire agacé qui s’échappe de ses lèvres. Le premier qui la bouscule tâtera de ses crocs.

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Faces appear, known or less known and a glance crosses them, trying to hang on the slightest detail. A drill rebels, a hardly visible scar, a thread which hangs of one separates … So much thing pointless as she notices nevertheless with one alarming liveliness. Everything is good to set when we look for one excuse …

When the voice of the Lord rises, the mist does not divert the head, its glance was riveted on a pearl necklace of wood worn by a female not far from her. One of the pearls is smaller than the others, that to the right, third leaving of the central ball. Its color is so slightly clearer as the others. While she refuses to postpone her glance on the center of the general attention, rustles fuse around her. A whispered excitement … The big moment came.

The chamane gives up, the head turns, and its sharp eyes settle on the couple. Of all his height, Alexius overhangs a female that she has never seen, knowing her hardly of name. For a brief moment, the eye stares at her, the analysis, the search and pierces her, and the arms tighten on her breast. The matchmakers are also present and they early made seize with a piece of the clothes of the future two bridegrooms. Fingers become entangled, materials embrace, the union is read at the same time as these guts are formed.

The nostrils shiver, and just like that with teeth she bites itself the inside of lips, pinching painfully a ball of flesh between the canine. Faces become confused,souvenirs which materialize. A blow carried against the side pulls her of its visions. Deeply turning the head, she sends a rumbling irritated to her neighbor who lives arm in the air. His voice gets involved in the clamour which rises, and he notices hardly the chamane which remains stubbornly dumb.

Sigh annoyed which escapes from the lips. The first one who pushes aside her will try his fangs.

* Made by a machine translation
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Raederlea had remained quiet during Alexius speach and with others words. This all seemed very surreal to her. It felt like she was watching someone else get married when in reality it was her.

"And I shall take her as my queen." Alexius had said. This caused her to look at him, then at herself. The reality of what was happening finally had sunk in. She was about to become the wife of the Huey Tlatoani of Tlaxacalla.

Her eyes started roaming the crowds for people she knew. She smiled at Alexis. He had come at her request. While she was traveling he had been very kind to supply the troops with food. She wanted to thank him personally and let her husband know what he had done for their people.

She saw many people she knew, Kandy, Guyholm, Oula and of course Zagig. There will others but her eyes settled on her two favorites, Zename and Karn. She had always loved being around the kids so it pleased her to see them both at the celebration.

Zagig and Oula had just tied them together. Oulas words were sweet and heart felt. "Here you are, in front of Gods and people, oquichtli and cihuatl* , may some protect you and may the others respect you as they owe it to your rank. You, Alexius of the tribe Aztlàn, Lord of Tlaxcalla and you Raederlea his Queen, Goddess of Chaos." The Weasel had said with athority. After giving the happy couple some food Zagig's word rang in Raederleas ears. "Alexius and Raederlea, may your union be blessed with much Chaos! Congratulations!" He said his face bright with a smile. For the first time Raederlea's face also beamed with a smile while a giggle escaped her slightly parted lips knowing anywhere Rae was.. there would be Chaos.

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Raederlea était restée calme pendant le discours d'Alexius, prononcé avec des mots différents. Tout ça lui semblait très surréaliste. Elle avait l'impression qu'elle observait quelqu'un d'autre se marier alors qu'en réalité c'était elle.

"Et je la prendrai comme ma reine." avait dit Alexius. Cela occasionna qu'elle le regarde, puis qu'elle se regarde elle même. La réalité de ce qui arrivait l' avait finalement engloutie. Elle était sur le point de devenir la femme du Huey Tlatoani de Tlaxacalla.

Ses yeux commencèrent à errer dans la foule pour chercher les gens qu'elle connaissait. Elle sourit à Alexis. Il était venu à sa demande. Pendant qu'elle voyageait il avait été très aimable de lui fournir de la nourriture pour les troupes. Elle voulait le remercier personnellement et faire connaître à son mari ce qu'il avait fait pour son peuple.

Elle vit beaucoup de personnes qu'elle connaissait, Kandy, Guyhom, Oula et bien sûr Zagig. D'autres étaient là mais ses yeux se posèrent sur ses deux favoris, Zename et Karan. Elle avait toujours aimé être entourée d' enfants aussi il lui plaisait de les voir tous les deux à la célébration.

Zagig et Oula venaient de les lier ensemble. Les mots de Oula étaient doux et venant du cœur. "Vous voilà, devant les Dieux et les hommes oquichtli et cihuatl, puissent les uns vous protéger et les autres vous respecter comme ils le doivent à votre rang. Toi, Alexius de la tribu Aztlàn, Seigneur de Tlaxcalla et toi, Raederlea sa Reine, Déesse du Chaos." avait dit la fouine avec autorité. Après l'octroi de nourriture à l' heureux couple, la parole de Zagig avait résonné dans les oreilles de Raederlea. "Alexius et Raederlea, puisse votre union être bénie avec beaucoup de Chaos! Félicitations!" avait-il dit, le visage éclairé d' un sourire. Pour la première fois le visage de Raederlea rayonna aussi d' un sourire tandis qu'un fou rire s'échappa de ses lèvres légèrement entre ouvertes sachant que partout où Rae soit .. il y aurait le Chaos.

Thank you Oula for all your help!
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Rae smiles at Zename. She beckoned him to come to her and reaches into the pocket. She was sure his keen child eyes would catch it and smiled large. She waited for him to come closer before she took the candy from her pocket.
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Eeeet la poiiiiiiisse!
Encore à la bourre!
Elle avait même à peine commencé à se préparer.
Tout juste mis un pagne et un huipil propre, et enfilé un bracelet à chaque poignet et chaque cheville.
C'était pas gagné!
Qu'est-ce qu'il lui restait à mettre?
Une brève vision des choses la convaincra rapidement d'abandonner.
Elle est assez en retard comme ça.
Bondissant dehors telle une comète, elle tricote des jambes pour tenter d'atteindre le lieu de la cérémonie... Ben, pas trop tard.
A droite, à droite, à gauche, à droite, devant, à droite, à droite, tout droit sur deux cents mètres...
Mince!
Arrêtée en plein milieu de la ligne droite, elle est perdue.
Elle est déjà passée par ici nan?
Nom d'un Lacari à Rhume!
Si elle sait même plus où c'est, elle est pas rendue.
Alors elle passe en mode furtif.
A l'odorat, à l'oreille, elle trouvera.
Rien?
Rien... Encore.
Et soudain.. Du bruit!
La course reprend, claquement des pieds nus sur le sol.
Une foule attend, Alexius au milieu, normal, elle est arrivée.
Par où elle va passer pour jaillir au premier rang?
Bah, pas la peine de finasser, on la laissera bien passer.

"Plaaaace, Plaaaaace! J'suis en retard, pardon, PARDON! Mais poussez vous bon sang! Aïe, m'avez fait mal! Met pas tes paluches ici toi, elles sont même pas propres! Non mais vire, je passe, on m'attend devant! Argl, les miséreux savent plus rester à leur place!"

Et jouant des coudes, des genoux, des ongles, des mains, des épaules et des dents, et puis aussi des pieds, elle parvint à s'enfoncer dans la foule comme un couteau en pierre dans le corps d'un ours.. C'est dur, difficile, mais ça rentre... Petit à petit? Oui, bon, un couteau en pierre mal aiguisé.
A ne cesser de râler, elle creusait son trou, pour aller chercher sa place au soleil en tout cas.
Et puis, une main glissée au hasard là où elle n'aurait pas du, la fit se retourner, vociférer...

"NON MAIS VOUS ALLEZ PAS BIEN VOUS, ON M'TOUCHE PAS SI FACILMENT!"

Une baffe qui se perd, et elle trébuche en arrière, rentre dans quelqu'un, tombe sur les fesses, s'écrase au sol..
La voilà à l'ombre d'un drôle de nuage.. Plutôt une brume?
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Raederlea's eyes had a distant look in them. Her mind was flooded with the recent happenings. She looked down at her arm, which was tied to Alexius. People were talking to them, congratulating them and then moving on so that others could have their turn. She didn't really answer anyone. She felt like she was in a large room screaming and nobody was paying attention. The longer this went on the more her heart was speeding up. As she got more and more anxious, her eyes would rest on the people she knew. Try as she might, nothing was working to help calm her.

She tried to move her arm. As she did she could feel the bond of the tie seemingly gripping tighter and tighter. With one fluid movement the reached down and pulled the string that held them together. Within seconds it was released and both her and Alexius's arms were free of the other.

Raederlea without looking back walks over to Oula and Kandy putting her arm around each of them. "Three women of Chaos" She said offering Zagig a sly wink. "Welcome to the jungle baby."
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Nez froncé, crocs au dehors, prête à grogner, la féline ne détache pas son regard des yeux de la femelle inconsciente. Oui, inconsciente qu’elle est, d’être venu s’étaler entre ses pattes! Et voilà qu’elle parle en plus! Et tente de se blanchir! Le regard de la guerrière suit la ligne du bras qui se tend puis fixe le mâle désigné du bout du doigt, un sourcil redressé.

"Et puis lâche moi sinon j'te jure que tout Tlaxcalla te tombe sur le dos! Tu sais qui j'suis?"

D’un geste vif de la tête, la sauvageonne reporte son attention sur le visage de l’inconnue. Celle qui s’était montré presque convaincante vient de perdre toute sa crédibilité. Sourire carnassier qui s’affiche sur ses lèvres avant qu’un rire nerveux et amusé ne s’en échappe.

La donzelle cherche à l’intimider pas sa réputation? Dommage pour elle, elle est tombé sur la mauvaise personne. Plus je m’en foutiste que la Brume, on fait difficilement.

_ On dirait qu’tu sais pas non plus qui j’suis ma belle? Insiste et je te l’apprendrais au prix de quelques jolis bleus!

La poigne se ressert sur l’étoffe. Le visage s’approche légèrement de la femelle.

_ Craches moi donc ton nom, histoire que je sache pourquoi j’aurais l’honneur d’avoir à dos tout Tlaxcalla.
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Prétention grandissante, c’est non sans assurance qu’elle lui lance son identité. La donzelle semble en effet ne pas être n’importe qui… Guyhom ne lui est pas inconnu, Alexius encore moins, mais loin de l’impressionner cet échantillon de généalogie la fait sourire. Celui ou celle qui sera craint de la Brume n’est pas né et l’arrogante en est persuadée, il ne naitra jamais.
La courbe à peine esquissé de son sourire s’étire dévoilant se dents blanchâtres, dont certaines sont finement aiguisées selon l’art de leurs voisins Maya. De sourire carnassier, pour sûr, la Brume en avait le meilleur.

_ J’te garantis ma fille, que si je te sors tout mon passé t’auras plus qu’à t’écraser bien gentiment devant mes pieds.

Sa fierté exacerbée, elle ne l’a pas inventé, elle l’a forgé et ce à juste titre. De ces gloires passées, elle a sut en oublier le goût délicat, mais elle n’hésite pas à rappeler aux impertinents de quelle trempe elle est faite, sans pour autant se révéler… Quetzalcoalt n’a pas fait les hommes égaux, et Tezcatlipoca a choisit de la mener eu dessus des autres. Voilant volontairement son passé, désormais c’est en temps que guerrière qu’elle est connue d’Acolhua et de ses frères d’armes de toutes provinces. Brume Sauvage, chamane fanatique au visage spectrale. Redoutable autant qu’apprécié, elle se livre néanmoins à des passes temps que beaucoup qualifient de morbide.

Oh, elle veut qu’elle la lâche? D’un dernier élan d’énergie elle soulève d’avantage celle qui commençait à toucher terre à cause des ces bras qui faiblissent. Quand elle la trouve assez haute, ses yeux se plissent et elle lui offre un sourire des plus narquois.

_ Vos demandes sont des ordres.

Sans plus attendre, les doigts s’ouvrent subitement lâchant le col de celle qui avait décoller du sol.
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Plus on s'élève haut, plus la chute est rude.
Méditons ce proverbe tant de fois médité... Euh, pardon, vérifié!
Ainsi, pour avoir décollé de quelques centimètres, face à l'arrogance d'une espèce de musclor au féminin.... Quoique, la Zazyl n'étant pas si lourde ni si musclée, elle même, en fait, étant juste fine, pareille à une belette affamée. Ou quelque chose dans le genre. Donc ayant décollée, elle patina dans l'air, essayant de pédaler pour ne pas perdre le sens du monde.
Et soudain, le choc, et son derrière rencontra brutalement le sol dans une collision imprévue par la Matlazatecatl, et mal organisée.
Le bruit, mat, fut couvert par le cri de surprise.

"Aye!"

Affalée à terre, la jeune Tlaxcaltèque se mit à fulminer.
Et alors que son adversaire semblait presque se satisfaire d'elle même, elle se redressa rapidement, sur les coudes, toujours les fesses au sol, avec un oeil haineux.

"J'm'écrase devant personne, quoi qu'il soit!"

L'estocade était prévue, après la vocifération.
Aussi le talon droit de la teigneuse accidentée au sol remonta rapidement la pente, précurseur de la Zaz', pour venir subitement à la rencontre du genoux de la Brume, visant un potentiel retournement de situation, voire, un craquement sinistre.
Elle était même prête à chasser l'autre cheville d'une balayette de l'autre jambe, pour rendre la monnaie de sa pièce à son adversaire... Encore inconnue.
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L’enquiquineuse, le cul dans la poussière, la brume s’en désintéresse immédiatement. Cette sortie n’a que trop durée, et les nerfs à vif, la guerrière n’a plus qu’un seul objectif: partir.
Ses prunelles se posent sur le couple seigneuriale et son attention s’attarde sur le visage du mâle que les rides de l'expérience viennent creuser peu à peu. La femelle à ses pieds vocifère des paroles qu’elle n’entend pas et s’appétant à tourner les talons, la Zazyl la ramène subitement à elle.

Un coup derrière le genoux sans crier gare, elle flanche et encaisse le second sans broncher. Cette fois c’est la goutte d’eau qui fait déborder la marre!

Mâchoire tremblante, caractéristique de sa fureur, le pied glisse sur le sol pour y imprimer un demi tour. Sans attendre, sans une parole, la sauvageonne fond sur son adversaire. A califourchon, plaquant à terre celle qui tentait de se redresser, la Brume tombe assez violemment pour s’en faire elle-même claqué les genoux sur le sol. Choc plus violent que prévu, elle esquisse une grimace avant de se morde la lèvre inférieur.

Une main s’avance, cherchant à agrippé le cheveux de la femelle, tandis que les doigts de l’autre crispée à s’en faire pâlir les phalanges prend racine dans la terre, cherchant une prise.

_ Alors toi ma dinde, t’es pas prête de te relever!
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Sauf que la dinde en question, qui aurait sûrement contesté l'appelation, n'était, pour le moins, pas en état de se redresser.
On a beau mordre et se démener comme une teigne, ça ne vous donne pas la résistance d'un homme fait, et avec le récent placage de la brume, elle avait pris un méchant coup sur la tête.
Vous savez, ce genre de coup qui vous fait voir des mouches et des papillons devant les yeux, ce genre de coup qui vous colle un bourdonnement creux dans les oreilles, et vous brouille l'esprit et ce qui vous reste de vue.
Un coup de fer, dans la bouche.
Oh, rien de grave, elle s'était bêtement mordue la langue.
Mais sans l'habitude de prendre des gnons, la peste n'avait plus du tout la sérénité et la ténacité qu'elle avait déployé jusque là à riposter.
Elle n'était même pas loin d'angoisser, d'avoir la tête si lourde.
Et la rage de voir l'autre profiter d'un mauvais coup pour prendre l'ascendant.
Ainsi donc était-elle seulement sonnée, mais tellement préservée dans sa vie, jusqu'ici, de ce genre d'incident, qu'elle se croyait au moins le crâne enfoncé, à défaut d'être mourante.
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