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[RP] Eglise Saint Patern de Vannes

Roxannemontfortlaval
Et en voila une blondinette qui aussitôt arrivée entendit les cloches de l'église qui tintaient. Ses gambettes la démangeaient déjà de se mettre à courir pour faire la surprise à sa tante mais elle savait combien son taquin d'amour avait une aversion pour les églises.
Elle avait pas non plus spécialement envie d'aller à la messe cette matinée là, ils venaient à peine de passer les remparts et de rentrer et n'aspiraient qu'à se retrouver au calme, ensemble tous les deux et reprendre leurs 'tites habitudes qui leur avaient manqué durant ce petit voyage.
Mais notant que sa tante n'était pas encore entré dans l'église, elle susurre à son démon Tu viens avec moi embrasser tata et après on va se reposer chez toi ? Pas envie d'aller à l'église aujourd'hui, puis c'est pas grave pour une fois, j'irais me confesser pour ne pas y être allée !!!

Et c'est enlacés avec l'amour de sa vie qu'ils arrivent devant sa tante. Loanne est de dos devant elle et Roxanne lui ceint les yeux de ses mains en disant malicieusement à sa cousine sous l'oeil brillant d'une satisfaction non dissimulée de la tantine...Qui c'eeeesssstt ??!!!!

Trop heureuse d'être rentrée, ils n'étaient pourtant pas bien loin mais ils s'étaient ennuyés de leur chez soi. Non pas qu'ils n'aimaient pas les voyages en amoureux, mais Rennes était d'une monotonie affligeante.

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Mimilia74
Mimilia sourit, comme toujours Lavatar était dans les premiers. Elle l'embrassa et lui répondit.

Vouip, regarde bientôt le printemps, les oiseaux batifolent... tout va donc trés bien. Alors pourquoi ferais-je une tête de trois pied de long.

Elle lui sourit.

Puis elle vit Loanne arriver, l'embrasser.

Oh ma puce, je suis contente que tu te décides à venir à l'église!

Et tandis qu'elle lui répondait. Une Roxanne qui semblait un peu fatiguée par le voyage, accompagné de son Taquin. Grand sourire de la tante lorsqu'elle voit Roxanne couvrir les yeux de Loanne et jouer à qui c'esttt.
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Loanne.
A peine Lolo avait elle embrassé sa mère et esquissé un sourire que... Noir. Plus rien. Loanne ne voyait plus rien. Elle sentait juste des mains fraîches posées sur ses yeux. Et une voix perça jusqu'à ses oreilles. Et cette voix, Loanne la connaissait bien...

" Qui c'eeeesssstt ??!!!! "

Le visage de la petite s'illumina. Aaaaaah, enfin ils étaient rentrés! Alors elle s'exclama:


C'est roxiiiiiiiiii!!!


Avant de se retourner et de serrer fort sa cousine dans ses bras. Elle lui planta un gros bisou, ainsi qu'a Wen.

Alors ça y est, z'êtes rentrés ? C'était comment Rennes ? Haaaaan, comme vous m'avez manqués!!
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Mimilia74
Aprés avoir papoter Mimilia fit rentrer tout ce petit monde. En ce dimanche elle avait envie d'être expéditive.

Bienvenue chers fidèles !

Je vous inviterai avant de commencer cette messe à confesser humblement vos fautes au Créateur et comme je suis gentille je vous la fait en latin cette fois Niarrffff

Citation:
Confiteor Deo omnipoténti,
Et omnes sanctis
Et vobis, fratres,
Quam peccávi nimis
Cogitatióne, Verbo et ópere.

Mea culpa, mea culpa, mea máxima culpa,
Ideo precor omnes Sanctos, et vos, fratres,
Oráre pro me ad Dóminum Deum nostrum

Amen.



Aujourd'hui, mes chers frères et soeurs, je souhaiterais vous parler des enseignements que l'on doit retenir du Livre des Vertus. C'est pourquoi je vais vous lire les Treize Aphorismes tirés du Livre des Vertus.
Citation:
I. Dieu est un Etre parfait.

II. Il a toujours existé et existera toujours, car il est hors du temps, éternel.

III. Il est le créateur de toute chose, car toute chose paraît par sa pensée.

IV. Il dota les hommes d'un esprit, capable de raison et de sentiments, afin que, par lui, l'homme éprouve de l'amour pour son créateur.

V. Les humains sont les seuls à comprendre l'amour.

VI. Dieu a permis à la Créature sans nom de tenter les hommes pour éprouver leur amour pour lui.

VII. Ils doivent aussi s'aimer les uns les autres car l'amour est le seul vrai sens de la vie.

VIII. L’homme doit cultiver l’amitié au sein de la communauté aristotélicienne ; ce qui implique de ne pas tuer un autre homme.

IX. Dieu a fait de la vie une merveille pour ceux qui savent la déguster.

X. Tous les hommes sont égaux devant Dieu dont ils sont les Enfants.

XI. Le travail est un don de Dieu, le négliger est un péché.

XII. Après leur mort, les humains vertueux seront envoyés sur le Soleil, mais les pécheurs iront subir des tourments éternels sur la Lune.

XIII. Il existe sept princes-démons : Asmodée s’était abandonné à la gourmandise, Azazel à la luxure, Belial à l’orgueil, Lucifer à l’acédie, Belzébuth à l’avarice, Léviathan à la colère et Satan à l’envie et sept archanges : Gabriel faisait montre de tempérance, Georges d’amitié, Michel de justice, Miguaël de don de soi, Galadrielle de conservation, Sylphaël de plaisir et Raphaëlle de conviction.



Voilà condensés en treize points les vérités du Livre des Vertus, du moins de son premier tome.
Je suis persuadé que souvent certains d'entre vous ont la tentation d'estimer fort complexe le Dogme de Notre Sainte Eglise, voire presqu'artificiel. Et pourtant, ces Treize Aphorismes nous révèlent toute la simplicité et l'évidence des valeurs aristotéliciennes. Seuls des hérétiques contesteront l'évidence des quatre premiers points. Et j'ai l'intime conviction que l'écrasante majorité des Vannetais est loin de toute hérésie, même si certains d'entre vous se cherchent parfois, et doutent. Qu'ils se rassurent alors, en lisant et en écoutant la parole de Dieu, qui leur apportera réconfort et bonheur.

En vérité, tous les Aphorismes nous paraissent d'une évidence limpide : qui niera qu'il est mauvais de tuer un autre homme ? Qui pensera que le travail n'est pas nécessaire à la vie terrestre ?

Ainsi vous percevrez, chers fidèles, combien il est naturel d'agir vertueusement dans votre existence pour accéder au Paradis et éviter le châtiment divin. Il n'est rien dans tout cela que de très logique.

Devant le bel ordonnancement du monde, nous ne pouvons que louer le Créateur. Récitons le credo :

Citation:
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre, Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN



Et pour concrétiser l'amitié aristotélicienne, je vous invite à oublier les querelles du quotidien et à tous vous réunir pour communier ensemble et partager un repas sacré.


Allez en Paix !

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Melyane_
Dimanche, nous étions dimanche mais pas le dimanche que j'attendais. Je me préparais à monter le parvis de l'église, puis je m'arrêtais une seconde. Je regardais à gauche à droite, j'étais la première !!!
Je rentrais heureuse dans l'église, je déposais mes armes à l'entrée, un signe de croix et je m'avançais, prenant place presque tout devant.

J'avais envie de prier ce matin seule avant la cérémonie hebdomadaire.
Dans une semaine j'allais me marier, là dernière fois que je devais me marier, l'homme, l'amour de ma vie à cette époque m'avait abandonné..J'avais peur que cela arrive une nouvelle fois, on dit qu'une fois n'est pas coutume mais s'il y a une deuxième fois? Si..avec des Si on refait le monde.

Je joignais mes mains l'une contre l'autre, fermant les yeux puis tout bas je priais. Je priais pour l'homme que j'aimais actuellement, pour ceux que j'aimais par leur gentillesse, leur patience, l'écoute et l'amitié qu'ils m'apportaient..

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Lavatar
Les cloches de l'Eglise n'avaient pas encore tinté le rappel des ouailles et déjà Lavatar s'était pomponné et relativement bien coiffé... Il s'était aspergé d'eau de menthe et s'en était allé d'un pas confiant vers l'Eglise St Patern.

Il entra, silencieux, et la vit devant l'autel, agenouillée telle une ravissante vestale priant pour le bien du monde... Le chevalier sentit son coeur s'envoler et demander l'ouverture des mâchoires pour aller retrouver l'objet de son amour... Il pinça les lèvres d'un sourire amoureux, là n'était pas le lieu...


Dans une semaine pourtant... ils seraient tous deux ici, main dans la main, à échanger les consentements et réitérer ces promesses d'amour éternel qu'ils s'étaient déjà maintes fois murmurées...
Un sourire de bonheur se dessina sur son visage... Non, cette fois, la mariée se présenterait... elle ne partirait pas dieu ne sait où une semaine avant pour ne pas revenir le jour tant désiré... Cette crainte, il devait se l'avouer, lui avait effleuré l'esprit... et s'il avait confiance en Meiline, la mauvaise fortune pouvait frapper à tout moment...

Il s'assit donc juste derrière son amour, à la deuxième rangée, et admira sa promise courber l'échine davant le Très Haut... Que pouvait-elle bien lui demander ?

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Mimilia74
Mimilia sourit passa en coup de vent afficher un panneau elle vit Lavatar et Meiline

Elle rentra en riant.


Et bien vous êtes matinal... mais je vais vous décevoir.... je fais pas la messe... par contre je vous embarque avec moi pour mon anniversaire. Manoir de Rosclédan, chez Anastriana. Le très-haut nous pardonnera.



Citation:
MESSE ANNULEE POUR CAUSE D'ANNIVERSAIRE
Oui la cause est pas valable mais tant pis !
La diaconesse vous attends en gargotte.
Bonne journée.

Et elle sourit à Lav et Mei et reparti comme elle était venu.[/quote]
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Melyane_
Terminant ma prière, j'ouvrais les yeux, un dernier signe de croix et je le remerciais de m'avoir écouté.
Je sentais du vent dans mon dos, surement les premiers fidèles qui arrivaient. Je me tournais prête à saluer mon aimé quand notre Diaconesse prit la parole.


- Entendu nous y serons alors. J'ai fait bien de venir plus tôt pour prier. Moi en tout cas pour rien au monde je ne raterai une fête, trugarez Mimi.

Je longeais le rang puis j'avançais vers mon aimé, glissant ma main dans la sienne, je me penchais pour l'embrasser puis.

- Tu sens agréablement bon mon Précieux. Allons fêter dignement les 20 ans de notre Mimi veux-tu.

Je rigolais, bien-sur qu'elle n'avait pas 20 ans.
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Lavatar
Lavatar haussa les sourcils... l'anniversaire de Mimilia ! mais bien sûr ! il n'osa demander où se trouvait le manoir, mais pensa que Meiline le savait, Anastriana était une de ses amies. Il accueillit ensuite avec plaisir sa belle entre ses bras amoureux.

- Tu sens agréablement bon mon Précieux. Allons fêter dignement les 20 ans de notre Mimi veux-tu.

— et je te renvoie le compliment , mon coeur... Oui, je vais aller avec toi., bien sûr. heu, tout de suite ? Nous n'avons pas de cadeau ...

Il embrassa sa belle et sortit avec elle, le soleil était déjà un peu plus haut et ses rayons rasants l'éblouir quelque peu, mais pas autant que le sourire de sa sirènette.
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Gaya_da_firenze
Gabrielle entra discrètement dans l'église, son ange endormi dans les bras.
Elle s'approcha de l'autel, signa et s'assit.

Elle observa l'église, la sérénité, le calme, la paix intérieure l'envahie.
Elle regarda les statues longuement comme pour chercher une rponse à ce qu'elle devait faire.

Elle se rappella les doux moments qu'elle avait passé içi avec son amie. A se remonter le moral l'une, l'autre. Et c'était elle maintenant qui avait un bébé dans les bras. Elle sourit à cette comparaison.

Gabrielle ferma les yeux et pria longuement.
Mimilia74
Mimilia avait marché toute la nuit. Elle était épuisée. la colére ne se voyait plus mais rongeait toujours son bas ventre. Elle rentra dans l'édifice, se signa et avança devant l'autel. Se mit à genoux et chercha à comprendre. Réfléchit, pria. Demanda à Dieu ce qu'elle avait fait pour qu'il la fasse souffrir autant... depuis sa naissance. Elle resta là comme ça de longue minute, quand Mimi donnait elle donnait tout. Elle avait encore tout donné... Elle avait encore baisser sa garde. Et elle avait encore pris un coup. Son cœur ne tiendrait pas longtemps à se rythme là. Elle était en colère, il repartait, seul, il lui avait interdit de venir... il lui avait dit de ne pas rester tourner vers l'ombre qu'il était mais de se tourner vers la lumiére. Là, la seule lumiére que Mimilia voyait c'était le feu de la colère. Et pourtant elle tentait de se calmer, dans le lieu saint, son lieu de vie, sa plénitude. Et rien n'y faisait elle lui en voulait.
Elle soupira. Elle était maintenant persuadé de ne pas avoir choisit la bonne voie. Elle aurait du faire voie de l'Eglise. Mimilia songea à aller s'enfermer chez les moines... mais il fallait tenir. Au moins jusqu'au 18 avril. Puis le 24 celui de Val... et Mimi n'en prendrait plus ensuite. Elle avait besoin d'une pause. Elle enchainait les mariages et les baptêmes. Elle avait envie d'aller voir ailleurs le monde.

Elle leva le regard vers l'autel.


Pourquoi... dis moi toi... pourquoi moi...? Qu'est-ce que j'ai fait de mal? Où ai-je péché ?
Viens me chercher va... me laisse plus souffrir là. Ramène moi prés du seul homme qui valait la peine que je l'aime autant que je l'ai aimé... ramène moi prés de Lelf.


La colère, toujours, colère de ne pas arriver à vivre comme elle le voudrait, d'à chaque fois reprendre une vague titanesque dans la tronche, la colère d'être trahie encore une fois... Colère sourde, mais colère fulgurante. Les premières larmes roulèrent sur la joue de la presque quarantenaire, fatiguée de tout ça.
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Mimilia74
Mimilia avait des dons, des dons de comédienne surement. Depuis certaines réflexions, elle ne montrait plus rien. Elle ne dormait plus, elle ne mangeait que peu, elle passait son temps à marcher en forêt de nuit et à s'occuper des enfants. Elle était donc passablement ramassable à la petite cuillère comme dirait sa nièce, mais elle n'en montrait rien. Elle riait, souriait, répondait "parfaitement bien" aux questions traditionnelles. Et ça trompait son monde. C'est donc parfaitement à l'aise dans son scenario de tout vas bien je vais bien qu'elle arriva à l'Eglise ce matin. Qu'elle monta tranquillement sonner les cloches. Elle avait bien lavé son visage et ses yeux rougie par les larmes, elle avait fait en sorte d'avoir une apparence potable, réussie ou pas... elle ne sait. Elle sonne donc les cloches pour l'office dominical.

[BONG BONG BONG]

Puis elle accroche un grand sourire à son visage et se poste devant l'édifice, sur le parvis, afin d'accueillir les fidèles.
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Lavatar
BONG ! BONG ! BONG !

Lavatar arriva aux sons des cloches cette fois, son sommeil avait été agité et il avait eu du mal à sortir de sa couche...
Il salua d'un sourire Mimilia, qu'il savait en aussi triste état que lui, voire pire, étreignit son épaule et alla s'asseoir dans un coin sombre de l'église... Le grand gaillard avait envie d'être seul...

Ce jour aurait dû être celui de son mariage, annulé comme le précédent, mais pas pour les mêmes raisons...
Si la maladie avait empêché une Alwenna en lutte contre la mort de se présenter, sans pouvoir prévenir qui que ce soit, les fortes personnalités de Meiline et Lavatar, et les nombreuses disputes portées par la jalousie de chacun d'eux, faisaient cette fois capoter la cérémonie...

et pourtant... tous deux s'aimaient...La chose était à n'en pas douter... Raison de plus pour que le légionnaire porte ses mains à ses yeux et ses coudes à ses genoux, dans un semblant de prière et une attitude de prostration...

Enfin, il rejoignit ses mains et pria pour le bonheur de Meiline... Qu'elle trouve le bonheur qu'il n'avait pas su lui apporter...

Il comptait partir après le mariage de Roxanne et Alwen... et revenir une fois la douleur apaisée, terrée au fond de son être par les cris de la guerre.

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Athris
C'est au bras de Saphyra qu'Athris prit le chemin de l'Eglise pour l'office dominical, Enguérande tenant Freyja dans ses bras était dans leur sillage. Certains visages trahissaient la joie, d'autres la peine, mais tous se retrouvaient pour communier ensemble.

Ils saluèrent Mimilia et serrèrent Lav contre leur poitrine, parfois le simple geste suffisait à dire les mots qu'on avait de la peine à formuler.

Puis ils s'installèrent sur un banc en attendant le début de la messe.

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Melisende
Mélisende avait entendu les cloches sonner et elle se dirigea en bonne aristotélicienne vers l'église. Elle n'était pas encore bien familière avec la ville, mais guidée par le clocher, c'était assez facile.

Elle entra dans l'édifice et admira quelques instants l'endroit. Elle salua de la tête les présents et vint trouver une place sur un banc pour assister à l'office.

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