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[RP] Eglise Saint Patern de Vannes

Lauralyne
Laly se retira, laissant place à la famille et ami(e)s très proche. Elle alla retrouver ses enfants qui se demandaient ce qui se passait. Elle leurs murmura brièvement ce qui venait de se passer.
Ils prièrent pour le repos de l'âme de Wari puis tous sortir en silence de l'église.

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Maman d'Elrick, Floraline, Krystal, Enoal et mère de coeur de Titouan et Klauss
Soeur de Debad, Jepl et Eldon
Missanges
Main dans la main toujours dans le fond de l’église nous regardions les uns et les autres. Une petite voix au fond de moi me souffla la mauvaise nouvelle. Les visages se tendaient. Je compris le drame.

Murmurant doucement à l’oreille de Viken, viens chéri sortons

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Chanson. Parole et musique de Peter et Missanges de Kerdren Encyclopédie
Lavatar
Lavatar s'avança, incrédule...

Il vit la douleur s'inscrire dans les visages des gens aimés.. le corps inerte de Wari... Il comprit à sa posture et à la lourdeur de son bras...

Il posa la main sur l'épaule d'Alwenna... Son visage se crispa, voyant la détresse dans les yeux de Lilith, Alwenna, et.... Val...

Encore une fois, la mort jouait un de ses vilains tours...

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Gwilherm
Une douce odeur printanière était dans l'air, les bourgeons se transformaient en fleurs ou en feuilles, le soleil réchauffait les cœurs autant que les corps. Tout était propice à la joie et aux réjouissances. Tout, y compris un mariage qui s'annonçait heureux. Beaucoup des gens avaient fait le déplacement jusqu'à Vannes pour y assister, témoignant ainsi l'amitié qu'ils avaient tous pour ce couple. Gwilherm, qui n'avait pas fait le déplacement spécialement dans la mesure où il effectuait un tro Breizh, s'était néanmoins réjouis de pouvoir y assister car il estimait comme beaucoup d'autres les futurs époux.

Le Bréhatin était rentré dans l'édifice religieux, tenant le bras de la douce Pelotine. Ils s'étaient installés côte à côte. Les mariés étaient rentrés, sous le regard de tous, et, au moment où la cérémonie allait débuter, Wari s'effondra. Mort.

Stupeur. Incompréhension. Désarroi. Le regard fixé sur l'autel, Gwilherm partageait sans doute avec tous ceux présents dans le lieu les mêmes sentiments.

Ce n'était pas pour le mort qu'il ressentait ça. Le Très Haut en avait décidé ainsi et, de ce que le Harscouët connaissait du défunt, tout laissait à penser qu'il l'accueillerait à ses côtés. Wari allait pouvoir paisiblement goûter au repos éternel et cela ne pouvait attrister quiconque. Le plus dur allait être pour ceux, et surtout celle, qui devraient rester en ce bas monde, sans cet être cher.

Tout le monde se pressait alors autour de Valeyriane et du cadavre, ce qui n'était guère étonnant. Gwilherm, n'aimant pas les mouvements de foule et ne voulant rajouter un pathos inutile s'éclipsa dans les pas de Pelotine ; il irait trouver la jeune promise éplorée plus tard pour lui témoigner de son soutien.

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Mimilia74
Mimilia vit Valeyriane sortir. Elle comprit la réaction de la jeune femme. Elle se retourna, parti dans la sachristie chercher un Linceul et entoura le corps de Wari, doucement, en gardant un oeil sur Lilith.
Puis elle la prit dans ses bras.


Lilith... il faut que tu ailles te reposer... aller... Les hommes de la famille viendront surement chercher le corps, vous le ramenerait à KP. Mais toi là... tu dois penser à te reposer pour tes bébés. Pour Peter.

Elle l'embrassa, espera que son amie allait l'écouter, et ne se trouvant pas à sa place sortie de l'édifice.
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Alwenna.
Je pris doucement la main de Lilith, l'incitant a se lever, regardant Lav, puis regardant la petite Kristenn que lui dire a ce petit ange, je lâche la main de ma sœur et la prend dans mes bras.

Viens princesse on va aller voir nourrice Marion, maman est fatiguée.


Ne rien dire pour le moment , laisser passer un petit peu de temps pour Lilith, je m'approche de la nounou, dépose un doux baiser sur le front de la petite, et la confie a sa nounou

Tata Wenna va venir te voir après ma princesse, d'accord.

Je lui souris avec douceur, et repars vers ma sœur la prenant avec douceur dans mes bras, retirant quelques mèches de cheveux de son visage je dépose un baiser sur sa joue, et lui murmure,

Viens ma chérie, on va laisser Mimilia s'occuper deWari, on reviendra après.

Je lui prends la main avec douceur et l'entraine vers Lauralyne.
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Sanzillusion
Sanzi regarda Val se sever et sortir. Elle ne fit aucun geste pour la retenir.
Le chagrin de Val n'appartenait qu'à Val ; elle le gérerait comme elle le pourrait. Quels mots pouvaient apaiser les tourments de son âme ?

"J'aime pas les églises, j'aime pas les églises..." toujours cette phrase qui se répétait à l'infini dans le cerveau englué de Sanzi.
Ses oreilles bourdonnaient.
Son regard vide se posa sur chaque vitrail, chaque statue de l'église ; tout n'était que représentation de la mort.
Elle comprit enfin pourquoi elle était si mal à l'aise dans les églises.

Les voix que ceux qui s'affairaient encore autour de Wari résonnaient comme dans du coton...

Il fallait qu'elle parte. Epuisée, lasse, vidée de toute énergie, elle laissa ses pas la mener vers la sortie.

Les rayons d'un soleil indécent l'éclaboussèrent. Elle n'eut que le temps de se tourner pour vomir.





Clochette
le froid l'avait envahit , il n'y avait plus rien a faire , les gens sortaient , fuyant la mort , préférant se tourner vers leur petite tranquillité sans etre inquiété, sentant l'eglise presque vide , clo regarde autour d'elle , ne reste que quelques personnes, un dernier regard sur wari que l'on recouvre d'un linceul... cherchant au fond d'elle même la force d'avancer , clo tremblante traine le pas vers la sortie , le soleil l'aveugle , la rechauffe , elle porte la main a ses yeux , tout ceci semble irreel , comme si deux mondes existaient , dehors et dedans , des hoquets sur le côté , elle tourne machinalement la tête , sanzi vide ses entrailles , elle connait bien ça la clo des qu'elle est contrariée elle vomit ... piou reste collé a son mollet tremblant lui aussi , clo baisse la tête , les larmes arrivent difficilement , juste cette boule dans la gorge qui l'empeche de parler et respirer ... descendant les marches , la fée s'assoit lourdement , le menton dans les mains et attend sanzi ....
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Peterpan31
Peter ne disait rien, abasourdi par le spectacle qui s'offrait à ses yeux. Le désolement avait gagné l'enceinte religieuse. Il leva les yeux vers le ciel et dit tout haut :

Par quelle damnation notre ami méritait-il ce sort, le jour de son mariage ? Parle, Aristote, toi qui est omniscient ! Parle car notre Wari s'est tu à jamais !!!

Les yeux rougis, il vit approcher sa Lili, sa raison de vivre. Elle était soutenue par leurs proches, visiblement très choquée elle aussi. Wari était un frère pour elle.

Peter lui prit la main et la serra contre elle. Il était dit que les souffrances auraient toujours l'avantage sur les moments heureux, en ce bas monde.

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Fol d'amour pour sa Lili
Valeyriane
val avait passé plusieurs heures seule à l'endroit où ils s'étaient rencontrées puis elle revint vers l'église.
Elle ne croyait pas à sa mort et voulais le vérifier.
Elle monta les marches de l'église et entra dedans.Tous les regards étaient tournés vers lilith.
Val s'approcha de wari et vit qu'un drap avait été mit autour de lui.Elle s'agenouilla à ses côtés et le toucha.
Puis elle enleva le drap sur la partie de la tête de wari, s'allongea à ses côtés et le regarda.
Elle murmura
:je vais attendre que tu te reveille chéri et je serais à tes côtés pour ton reveil.
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Ma vie et mon âme pour mon clan.
Sanzillusion
Un dernier haut-le-coeur. La nausée était passée...

Alors qu'elle revenait de la fontaine où elle s'était rafraîchie, Sanzi vit revenir Valeyriane, blafarde mais avec sur le visage comme une sérénité, une certitude tranquille.
Intriguée, Sanzi la suivit à l'intérieur de l'église.

Elle regarda Valeyriane soulever le linceul, s'allonger près de Wari et lui dire qu'elle allait attendre son réveil.

Il lui fallait agir vite, et avec tact. Son amie était-elle en train de perdre la raison ? le chagrin la faisait-elle divaguer ?
Sanzi s'approcha lentement de Valeyriane, lui caressa longuement l'épaule avant de lui murmurer d'une voix douce et rassurante :

" Tu as raison, Val. Wari est fatigué, faut le laisser se reposer. Mais tu sais, ma belle, vous allez attraper froid, là, par terre. Faudrait te lever. On va bien couvrir ton amour avec des couvertures, et pis on va vous ramener à la maison, hein. Tu veux ? ça va aller...ça va aller..."

Elle laissa les mots faire leur chemin puis continua sur un ton plus persuasif :

"Maintenant, faut te lever, Val. Si Wari se réveille et qu'il te voit malade, il va pas être content ! Allez, ma belle, faut que tu sois en pleine forme pour t'occuper de lui. "

Sanzi sourit à Valeyriane pour l'inciter à obtempérer.
Valeyriane
Sanzillusion a écrit:


" Tu as raison, Val. Wari est fatigué, faut le laisser se reposer. Mais tu sais, ma belle, vous allez attraper froid, là, par terre. Faudrait te lever. On va bien couvrir ton amour avec des couvertures, et pis on va vous ramener à la maison, hein. Tu veux ? ça va aller...ça va aller..."

"Maintenant, faut te lever, Val. Si Wari se réveille et qu'il te voit malade, il va pas être content ! Allez, ma belle, faut que tu sois en pleine forme pour t'occuper de lui. "


oui oui sanzi mais on fait comment pour lever wari? on est pas assez forte nous 2.
Val se rajuste et tape sur ses joues pour leurs redonner des couleurs.
Puis elle se tourne vers sanzi et la regarde

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Ma vie et mon âme pour mon clan.
Sanzillusion
Les mots avaient agi. Avec soulagement, Sanzi vit Valeyriane se relever.

Citation:
oui oui sanzi mais on fait comment pour lever wari? on est pas assez forte nous 2


La réplique était pertinente. Après un rapide coup d'oeil autour d'elles, Sanzi dut se rendre à l'évidence... Restait pas grand monde...
Mais son amie la regardait, et il était hors de question de laisser paraitre un quelconque désarroi, ni de lacher prise ; c'était pas le moment. Il était hors de question de la decevoir.

Sanzi lui répondit donc dans un sourire plein de confiance

"Bah, Val ! Tu nous as déjà vu baisser les bras devant l'adversité ? Non, hein !
" assura-t-elle.

Il lui fallait réfléchir vite et bien... et calmement pour ne pas effrayer Valeyriane.

"Dis, ma belle, c'est ta charrette qui est sur le parvis, hein ? On va y arriver ma puce. A nous deux, on va y arriver. " dit-elle pour se convaincre elle-même.

Elle poursuivit de sa voix à la fois posée et assurée :

"Voilà comment on va faire, ma douce. Tu vas prendre les jambes de ton amoureux et je le prendrai par les épaules. Tout doucement pour pas le réveiller, tu veux ? La sortie de l'église n'est pas trop loin, on y arrivera facilement, tu verras ! On le couchera délicatement dans ta charrette et tu le couvriras avec tes couvertures , d'accord ?" la persuada-t-elle en souriant avec assurance.

Elle fit une pause pour ne pas brusquer son amie, et poursuivit sur le même ton calme et bienveillant, en lui caressant délicatement les cheveux :

"Tu pourras t'allonger près de lui dans la charrette. Vous serez mieux que par terre, ici,hein..." la rassura-t-elle dans un sourire compatissant.

Ainsi, elles soulevèrent Wari et le portèrent au dehors de l'église, dans le soleil éclatant de cette infâme journée de Pâques.
Kirstenn
Les yeux fixés sur le visage de son toton, un silence s'installait telle une bulle tout autour de la petite Kirstenn... Elle entendait encore "jeune fille" résonner dans sa tête... Et là, tout devenait si froid, glacial autour d'elle.

Elle ne se sentit pas emporter par sa tata Wenna . elle ne comprenait pas ce qu'il se passait : tous ces visages si tristes, si marqués par la douleur, horrifiaient la princesse. Elle n'entendait plus les paroles incompréhensibles tellement sa peur l'envahissait... Juste un Pourquoi ! résonnait encore et encore .... Pourquoi ?!

Nounou Marion, sous le choc, restée figée là devant cette scène, prit Kirstenn dans ses bras et avança vers la sortie de l'église tel un zombie. Elle la serrait fort, si fort pour ne pas qu'elle lui échappe.
"Sage" lui avait elle répété... "Sage !" La douce princesse aux boucles blondes se penchait doucement, les yeux embrouillés, sans crier, juste à murmurer " a t 'aime toton... a t 'aime", tendant uniquement le bras vers son toton Wari qui ne bougeait plus...

Plus elles s'éloignaient, plus elle se penchait en tendant son bras, les doigts tendus comme pour le toucher...."Sage.... Il sera fier si tu es sage " avait-elle dit. Cela fait si mal d'être sage... Le petit coeur de la jeune fille s'alourdissait d'une peine incommensurable. Un vide qu'elle essayerait de remplir à tout jamais...
Alwenna.
Revenant vers l'église, je reste un instant interdite devant la scène la gorge nouée, devant ce qui n'est pas concevable si Lilith vient ici, si Lilith voit cela, je ne promet rien de sa réaction, le départ n'est prévu que pour demain, et elles sortent le corps de notre ami, de l'église, le déposant dans la charrette, comme on déposerais un fétu de paille, non mais ont elles réfléchies ou es ce la douleur, qui les fais divaguer??

Je m'avance vers elle, les regardant, un regard sombre, sombre par la douleur qui me rend froide ces derniers jours, peut être qu'on ne m'aimera pas par cette réaction, peut être qu'on me jugera mais je ne peux laisser faire cela sans mot dire, je regarde Val je peux concevoir qu'elle a perdue l'homme de sa vie, je n'imagine pas la mienne sans Lav, mais de la a commettre des choses idiotes, laisser un corps inerte a la proie du soleil, un grand n'importe quoi.

Val que fais tu?? Pourquoi avoir sortie le corps de Wari de l'église?? Nous quittons Vannes que demain pour rejoindre St Pol, les hommes s'en auraient occuper avant le départ.

Je la regarde cherchant a comprendre un but a cela, posant mes yeux sur mon ami Wari ,m'approchant d'elle, je la regarde

Val je suis désolée mais Wari ne reviendra pas, je sais c'est douloureux pour nous tous, pour toi il était l'homme de ta vie, le futur père de tes enfants, pour d'autre un frère un confident, pour d'autre un ami, il était pour chacun de nous quelqu'un de spécial, mais on se doit pour lui d'accepter l'inacceptable, peut-être me détesteras-tu de te dire cela, mais je préfère la vérité, qu'a un grand théâtre de n'importe quoi, Wari on l'aimait tous, malheureusement il est partit pour un autre monde mais restera a jamais dans nos cœurs.

Je la regarde les larmes aux yeux,

Il faut laisser le corps au sein de l'église jusqu'au départ, le laisser dans la maison du Très Haut, par respect pour lui, par respect pour son âme.

Je me tais les regardant toutes deux.

Je vous transmet un petit mot du LJD Wari avec qui je suis en contact, puisque je n'agis pas sans son accord, et que je lui transmet les rp actuellement en cours sur son décès.

(LJD Wari : Malgré toutes les peines que je peux avoir pour lire le RP qui est en train de se faire, j’arrive tout de même à me le faire transmettre.
Ainsi, que ce soit pour une raison morale ou une autre, je vous prie de bien vouloir garder la cohérence dans vos textes.
Je ne comprends pas comment deux femmes, les deux tristes, pleine de chagrin, peuvent tirer le cadavre d’un homme bien bâti, vu qu’il était soldat.
Tout le monde sait combien il est dur de faire cette besogne surtout quand on est empli de chagrin, et je n’aimerai pas que cette tâche perde toute valeur symbolique, car à cette époque, tout a une signification.
L’honneur du corps, sa préservation, est une coutume des plus importantes comme des plus anciennes, on n’a pas besoin de se rappeler que ceux qui n’ont de sépulture ne vont pas au royaume du Très-Haut, selon les croyances médiévales.
Je vous remercie de reconsidérer vos gestes, certainement précipités à cause de votre douleur, que je partage néanmoins.
Toutefois, je remercie à tous ceux qui ont su agrémenter un moment aussi triste de par leur imagination et la force de leur vocabulaire.
Sachez que tous ces mots, m’emplissent d’une joie qui n’a de limite que la tristesse qui vous emprisonne.
Ne perdez pas goût au RP : le meilleur n’est sans doute qu’à venir.
Trugarez pour votre compréhension ! (Je posterai dans les prochains jours un RP pour que tout ce fasse comme je l’aurais souhaité.))

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