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[RP] Eglise Saint Patern de Vannes

Valeyriane
val était revenue de st pol.Elle entra dans l'église et s'avança.Elle se souvenait de tout.
Elle s'asseya au 1er rang,regardant avec peine le lieu ou son fiancé était tombée.
Doucement les larmes commençèrent à couler et elle ne les sêcha point.

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Ma vie et mon âme pour mon clan.
Alwenna.
Poussant la porte de l'église, je me diriges avec silence vers les premiers bancs voyant la silhouette d'une amie, je m'installe a ses cotés

Regardant un instant l'endroit ou mon ami s'est affaisser, je laisse la douleur gagné a nouveau mon cœur, puis me tournant vers Val.


Val, je sais que je n'ai pas été forcément présente avec toi dans ce moment douloureux, mais sache que si tu as besoin je suis là.

Prenant un instant de recueillement les mains croisés sur mes genoux, je pris et penses a lui, dans ma tête un murmure, mon ami tu me manque.

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Naudeas
Le Dimanche

Dernier jour en terre, bientôt des jours sur un radeau craquant de la coque au pont pour se rendre là bas. Elle y avait été, y a quelques temps la situation était calme et paisible mais tout avait changé encore une fois. Il était temps de profiter une dernière fois du calme d'une église. Elle poussa la porte de l'église de Vannes, avec ses pierres blanches qui reflétaient la pureté et la douceur. Elle était simple sans fioritures pas même les gargouilles ne se montraient pour chasser les démons. De simples fenêtres à ce jour, mettre quelques lumières à l'intérieur de l'édifice.

Elle arriva devant l'allée centrale, regarda droit devant vers l'autel. Fit une génuflexion en baissant les yeux devant une représentation d'Aristote. Elle espérait qu'en ce jour de dimanche une messe soit célébrée pour tout les valeureux qui partaient rejoindre le front, sinon tant pis, ca serait une prochaine fois. Elle prit une place qui était réservée à la noblesse, la petite noblesse, aujourd'hui depuis bien longtemps, elle n'écouterait pas un sermon de Clodeweck, ne se trouverait pas à sa droite comme garde.

Mais bientôt, elle retrouverait cela enfin quand ? Cela, on ne pouvait le savoir encore..

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Mimilia74
Mimilia arriva tôt à l'église ce matin. Elle n'avait pas célébrer depuis une ou deux semaines et ça lui manquait c'est donc d'un pas franc et rapide qu'elle se dirigeait vers l'église ouvrant la lourde porte avec rapidité. Ses yeux s’acclimatèrent à la pénombre de la Nef pas encore vraiment éclairé par les rayons du soleil. Grand sourire de la diaconesse. Qui ne voyant pas la personnes assise, commence à parler toute seule.

Me revoilà belle Eglise... au travail maintenant !

Puis elle remonta la nef et là stupeur ! elle remarqua qu'une personne était là assise, une personne qu'elle ne connaissait pas. Rougissement, et bafouillement de quelques mots.

Demat, mes excuses de troubler votre repos. Mimilia, diaconesse.

Leger signe de tête et la diaconesse s'enfuit sonner les cloches. Aussi vite que son age le lui permet. Et à 37 ans... il commence à la ralentir un peu.


BONG BONG BONG BONG


Puis elle redescend, allume les cierges silencieusement pour ne pas troubler la personne présente. Un autre signe de tête et la diaconesse comme à son habitude vient se placer sur le parvis de l'église. Attendant les fidèles et les autres qui font comme ci alors que leurs actes sont purement à l'encontre des principes aristotéliciens... mais que voulez vous... c'est le monde.
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Henri_de_plumaugat
Henri fut tiré de son sommeil par la sonnerie des cloches de l'église de Vannes. Il se leva rapidement après avoir embrassé doucement sa femme endormie. S'étant habillé rapidement, il se dirigea à grandes enjambées vers l'église. Mais bien vite il ralentit le pas, tellement la douceur de cette matinée de mai était agréable. L'air pur et frais du matin, les parfums enivrants des fleurs qui tendent leurs corolles aux caresses du soleil, les feuilles des arbres doucement agitées par le vent... Mais il ne pouvait se permettre d'arriver en retard, aussi il reprit un rythme plus soutenu. Il arriva à l'église et vit Mimilia sur le parvis, à son poste.

- Demat Mimi ! Comment vas-tu ce matin ? Une belle journée de printemps qui s'annonce. Il y a longtemps que je suis venu... Ca fait du bien de revenir.
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Mimilia74
Mimilia sourit, elle l'aurait parié ! Maintenant qu'ils étaient revenus elle aurait parié qu'henry serait le premier à venir la saluer.
Elle sourit lui fit une bise.


Je vais bien; je vais bien. Et toi ? Ce petit voyage à fait du bien ?

Elle sourit, il avait changeait depuis qu'elle l'avait fait entrer au conseil municipal il y a un an... que le temps passe vite. Soupire discret de Mimilia. Dur de voir le temps passer.
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Henri_de_plumaugat
Henri rendit la bise à Mimi.

Citation:
- Je vais bien, je vais bien. Et toi ? Ce petit voyage à fait du bien ?

- Oh oui, il a fait beaucoup de bien. Nous avons revu des amis perdus de vue depuis un moment. Et puis les voyages ça enrichit un peu. Mais c'est vraiment bon d'être chez soi.

Il regarda autour de lui, aperçut une personne déjà dans l'église.

- Bon, je vais rentrer prier, je te laisse accueillir les autres paroissiens. A tout à l'heure.

Il lui sourit puis rentra dans l'église. La sérénité des lieux lui plaisait. Il se mit à genoux et commença à prier. Il priait pour toute sa famille, il priait pour remercier Dieu de lui avoir donné une si belle famille, il le remerciait de lui avoir donné un tel bonheur. Il savait bien que rien n'était acquis, que tout cela ne se gagne que si on se renonce à soi-même tous les jours, et tout seul, on ne peut y arriver.
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Naudeas
Naud en position de prière, sursauta légèrement comme à son vieux réflexe une main sur la garde de son épée, une femme mûre avait pénétré l'église toute guillerette, Naud lui fit signe de la tête quand elle se présenta. Elle fila si rapidement sonner les cloches que Naud n'eut le temps de répondre par politesse. Elle haussa les épaules et retourna dans ses pensées et prières.

Puis des voix venaient de l'extérieur de l'église, décidément, le breton ca parlait fort, elle esquissa un sourire, mais elle aimait ce pays et ses gens..

Elle attendait qu'en ce jour, mais comme les cloches l'invitaient, la messe serait là et bien là...

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Mimilia74
Après avoir bavardé avec Henry, Mimilia attendit d'autres personnes, qui n'arrivèrent pas. Lâchant un grand soupire elle regarda encore la place qui jouxtait l'église... et elle rentra dans celle-ci. Elle remonta la nef et vint se placer prés de l'autel.


Demat d'an Holl,

Je suis ravie de vous accueillir en ce premier dimanche du mois de mai.
Nous allons commencer par nous confesser.


Je confesse à Dieu tout-puissant,
à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, par action et par omission.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères,
de prier pour moi le Très-Haut
notre Dieu.



Laissant planer un petit silence la diaconesse se dirigea vers un livre, pas celui des vertus pour une fois. Elle l'ouvrit à l'endroit ou elle avait préalablement déposé la marque.

Citation:
Chapitre troisième: dialogue sur l'âme. Première partie:

Depuis quelques mois déja Aristote et sa famille habitaient à Pélas, la ville capitale de la Macédoine. Nicomaque, son père, venait en effet d'être nommé médecin personnel du roi de Macédoine, Amyntas II. Aristote grandissait en sagesse sous la direction éclairé de son precepteur. Un jour, alors qu'Aristote revenait de la palestre, il s'assit sur une fontaine de la cour intérieur de la maison paternelle, et demanda à son precepteur:

Aristote: "Maitre, par quelle merveille l'homme peut-il penser, alors que les animaux ne le peuvent point?".

Son precepteur, Epimanos, lui répondit:

Epimanos: "Qui peut prétendre lire le livre de la nature et en tirer les secrets des dieux? Aristote je te le dis: nous ne savons pas si les animaux ne pensent pas. l'homme pense, cela est certain. Mais les animaux? Sommes nous dans leur esprit?".

Aristote: "N'êtes vous pas d'accord noble maitre, que l'homme est sans cesse en quête de nouveauté?".

Epimanos: "Oui, certes, il est rare de voir l'homme tenir en place, et se contenter de ce qu'il possède et de ce qu'il sait. "

Aristote: "Hélas oui, c'est bien rare, et souvent je me dis qu'il vaudrait mieux pour l'homme d'être heureux dans la vie simple des anciens. Toujours est il que cette recherche incessante se retrouve sans cesse chez l'homme. Mais dis moi Noble Epimanos, cette quête de l'homme, n'est elle pas la preuve la plus évidente de son esprit et de son intelligence? "

Epimanos: "Je vois ce que tu veux dire: si l'homme ne cherchait pas sans cesse, alors cela voudrait dire qu'il se contente de ce qu'il a reçu, qu'il n'innove pas, qu'il ne pense pas même. En fait seul cette curiosité de l'homme nous garantie l'existence de son esprit."

Aristote: "Effectivement, c'est ce que je voulais dire. Je vois bien que je n'ai rien a t'apprendre. Mais continuons un peu. Tu possèdes un beau chien je crois? Un lévrier?"

Epimanos: " Oui, un cadeau de notre roi pour mon comportement à ses cotés lors de la dernière guerre contre les envahisseurs celtes. J'y suis très attaché."

Aristote: "Je te comprend. Quand tu élèves ton chien, comment fait tu?"

Epimanos: "C'est bien simple: je lui impose de faire quelque chose, et quand il le fait correctement je lui offre une récompense. Et s'il le fait mal je le puni légèrement."

Aristote: "Parfait! Une fois dressé, il fera toujours bien ce que tu lui as appris à faire n'est ce pas? Il a compris que s'il ne fait pas ce que tu lui demande il ne sera pas récompensé."

Epimanos: " En effet. Mais je ne vois pas où tu veux en venir. "

Aristote: " A ceci mon maitre: ce chien si noble et si bien dressé ne fait ce qu'il fait qu'en vertu de ce que tu lui as appris. Il ne le fait pas de sa propre initiative et une fois dressé il n'est plus en mesure de changer. N'êtes vous pas d'accord?"

Epimanos: " Il est vrai que pour le faire changer il faudrait le dresser à nouveau, et le punir alors qu'on le récompensais jadis. Et le pauvre deviendrai fou. Ce serait scandaleux."

Aristote: " Oui. Mais n'avons nous pas dit tout à l'heure que c'était la curiosité de l'homme et sa capacité à inventer de nouvelles choses qui montraient que l'homme avait un esprit?"

Epimanos: " Nous avons dit cela en effet. Et si je te suis, cela veut dire que les animaux, comme mon chien, qui ne peuvent pas changer de comportement par eux mêmes, n'ont pas le même esprit que l'homme. "

Aristote: " Exactement! Il est donc établi qu'il y a une différence entre l'homme et les animaux. Mais laquelle? Le sais-tu? "

Epimanos: " Non, je l'ignore. Veux-tu que nous cherchions ensemble une réponse à cela? "

Aristote: " Avec joie! Mais pas tout de suite, car je vois mon père revenir de la cour du Roi, et j'ai hâte d'entendre les nouvelles du palais. Portes toi bien! "

Epimanos: " Et toi aussi brillant disciple! "



Ce long texte est tiré de la vie d'Aristote, l'un de nos prophète. Ce texte est interressant, mais il ne peut être la base d'un sermon, je voulais par cette lecture développer votre connaissance des textes sains.

Nous allons maintenant passer au partage des pains.


Ce qu'elle fit, elle rompit les pains et les partagea.

Allez en paix !
Je suis à disposition si besoin de quoique ce soit.

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Naudeas
Naud patienta encore prise avec ses état d'âmes, avait-elle bien fait de partir ou pas, voilà que déjà le premier jour, ça partait en dérive, pas aujourd'hui mais demain qu'on lui avait répondu. Elle fixait avec tant de fermeté la statue d'Aristote, que ses yeux venaient à lui piquer. Puis vint le moment de faire pardonner ses péchés. Elle prit ses mains en croix puis baissa les yeux, laissant couler une larme.

Je confesse à Dieu tout-puissant,
à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, par action et par omission.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères,
de prier pour moi le Très-Haut
notre Dieu.


Puis écouta la lecture, elle baissa un peu plus la tête, pour être attentive. Elle se sentait un peu comme ce chien, écoutez sans rechigner, et avoir récompense mais là, ces derniers jours, elle en avait eu marre. Suivre, ne rien dire, ne rien faire. Écouter, toujours et encore, elle aurait eu une friandise que ça aurait fait pareil. Elle laissa là, ses pensées impurs et pleines de colère et de haine. Pour aller partager le pain.

Elle s'avança devant la diaconesse, la gratifia d'un signe de tête, bientôt l'heure, où elle devrait partir pour une autre mission. Elle prit le pain, et s'en alla, le coeur un plus léger que quand elle fut entrée. Saluant d'un signe tête les présents...

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Henri_de_plumaugat
Henri suivit la messe avec attention. Cela lui faisait beaucoup de bien. Il regretta ses fautes de tout son cœur, écouta la lecture et reçu le pain. La messe terminée il s'approcha de Mimi.

- Merci Mimi pour cette messe. Mais je me doute que tu regrettes qu'il n'y ai pas plus de monde. Je crains que l'existence de Dieu ne tourmente pas beaucoup nos concitoyens...
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Mimilia74
Plip Plap Plop. Qui dit dimanche dit messe et qui dit messe dit Mimilia en action... et qui dit Mimilia en action dit Cloches qui sonnent et qui dit cloche qui sonnent dit attente des fidèles.


[BONG BONG BONG]

Quand elle se mets sur le perron... elle n'a pas souvent grand monde, peut être qu'elle fait peur. Et bien cette fois, la diaconesse se cache dans la sachrystie. Et elle n'en sortira qu'au moment d'officier. Et toc!
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Henri_de_plumaugat
Comme tous les dimanches où il peut venir, Henri prit la direction de l'église pour la messe. Il fut très surpris de ne pas voir Mimi sur le perron. Mais elle devait bien être là puisque les cloches avaient sonné. Il entra dans l'église, se mit à genoux comme à son habitude et se mit en prière...
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Gwenhael
Aujourd'hui, dimanche, saint jour de grâce. Et ça, pour être saint, il est saint ce jour, car, pour la première fois qu'il est de retour en Bretagne, qu'il s'en va à la messe. Lui, qui fut dans le temps si souvent accusé d’éréthisme, plusieurs fois promis à la corde, le voila qui s'en allait en ce dimanche matin, au son des cloches, vers l'église de Saint Patern.

Pas de curé sur le parvis à saluer, il entra donc, mais ne s'avança pas trop non plus dans la maison d'Aristote. Il s'installa sur un banc, et suivit ainsi l'office, mimant les personnes qui connaissaient par cœur le déroulement de la messe.
Pelotine.
Pelotine pénètre dans l'Eglise.
Les dimanches se déroulaient généralement de la même façon.
La croque commençait par déjeuner léger , puis elle partait directement prier , parfois avec Gwilherm , parfois sans.
Aujourd'hui c'était sans.
Après avoir pris place , elle attendit la messe , sagement.

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