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[RP] Eglise Saint Patern de Vannes

Mimilia74
Bien Bien Bien… tout le monde semblait arrivé doucement. Vit au Loin Noab… qui arrivait et qui venait de pointer son nez au loin… elle prit le bras de Gui et souriait le tournant vers l’Eglise.
Allez hop… mon cher Guigoux. Le moment est venu… je te laisse remonter la nef et m’attendre, ainsi que ta femme… devant l’autel… et taratatata je ne veux pas de refus et pas de regard dehors… surprise !

D’une main douce mais ferme la Diaconesse fait entrer le futur marié … le regarde remonter la nef seul comme un pauvre hère et sourit. Quelle sadique cette Mimi.

Puis elle se retourne et accueille Noab. La bise.


Demat ravissante future mariée.
Comment te portes-tu ? Pas trop de pression ?


Elle écoute soigneusement la réponse. Puis lui sourit.

Je rentre devant toi. Je demande à ce que l’on lance l’orgue…et quand tu entends les musiques… et bien tu entres en piste.

Mimilia lui serre les mains.

Tout va bien se passer. Allez zou.

Mimilia lui sourit puis lui tourne le dos, remonte la nef en saluant les éventuels invités qu’elle aurait loupé… se poste devant le futur marié.

Et bien… allons-y. Musique s’il vous plait !

( http://www.youtube.com/watch?v=vWrqayt3bc0 )
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Henri_de_plumaugat
Toute la famille Plumaugat se rendit à l'église au grand complet. Ils étaient un peu en retard car il avait été un peu difficile d'habiller les enfants qui auraient préféré jouer dans le jardin. Ils laissèrent donc Noab rentrer dans l'église au son de la musique, et ils la suivirent discrètement pour aller prendre place dans les premiers bancs. Cela permettrait aux enfants de bien voir, surtout pour Violette qui regardait la mariée avec de grands yeux.
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Mikaphile
Mikaphile était entrée pas peu fière au bras de son charpentier préféré, était devenue écarlate en l'entendant chanter une des ses paillardes habiutelles, non ! pas dans une église, quand même ! avait vu le sourire amusé de l'officiante, ce qui l'avait rassérénée.
Elle se réjouit pour ses amis Noab et Gui, tout en enviant leur courage de s'engager ainsi l'un vis à vis de l'autre pour l'éternité. Dame, l'éternité, c'est long, quand même ....
Elle s'installe à côté de son tendre, et essaie de se concentrer sur la cérémonie
Guigoux
-Pas Guitounet espèce de témoin Lumineux! Tu le sais!

Il lui sourit.

-T'es bien habillé pour une fois... ça change... Allez va t'assoir!

Ensuite il bisa Oxytane

-Nerveux je suis mon amie... Je n'ai jamais vu Noab dans sa robe, je me demande si j'vais pas m'évanouir...

Il aperçu Gavroche passer, et lui sourit.

Pressé par Mimilia, il devait remonter la Nef seul... Grand moment de solitude où il serra les fesses... Le cœur battait vite... Très vite... Comme la première fois où... Non non je vais pas vous dire... La première fois où elle lui a pris la main. Un pied après l'autre, lentement, essayant de calmer sa respiration... Il regardait devant lui, puis les bancs avec les invités. Tout ce monde pour eux... Les décorations simples mais très belle d'Eloise lui faisaient plaisir. Puis il arriva devant l'autel. Sur et certain d'être écarlate... Il regardait tout le monde avec un sourire. Son cœur battait beaucoup plus vite encore... Lorsque Mimilia demanda l'orgue, il senti tout chose et ne s'apprêtait pas à être ébloui....
Noabgoldwasser
Noab arrivait au loin et vit la Diaconesse parler avec Gui. Elle sourit en voyant Mimilia pousser Gui à l'intérieur de l'église. Alors, elle s'empressa d'y arriver elle aussi.

Demat Mimilia.

Demat ravissante future mariée.
Comment te portes-tu ? Pas trop de pression ?


Elle sourit. La pression venait de poindre le bout de son nez depuis quelques heures seulement. Ou était-ce de l'excitation ?

Ça va, merci, se contenta t-elle de répondre.
Elle vit Lisbelle arriver, avait-elle pensé à l'alliance ?


Je rentre devant toi. Je demande à ce que l’on lance l’orgue…et quand tu entends les musiques… et bien tu entres en piste.
Tout va bien se passer. Allez zou.


Noab attendit devant la porte, de côté afin qu'on ne la voit pas. Puis elle attendit l'orgue.
Elle l'attendait ce jour, depuis bien longtemps.
Jamais elle n'avait songé que pousser la porte d'une taverne bretonne et attraper un rhume changerait à jamais le cours de sa vie. Elle avait fondue, quasiment instantanément sous ce regard bleu tel «l'océan de Vannes». Mais elle s'en était bien cachée, un moment, jusqu'à tendre doucement à oser s'abandonner pour la première fois à un homme. Elle le fit car elle avait l'intime conviction qu'elle n'aurait pas à le regretter...
Mais quand même, quelle audace ce Gui ! Aller frictionner une dame malade que l'on connait à peine, et lui proposer sa chemise !


L'orgue se fit entendre.
Noab avança doucement, trois courtes roses blanches dans les mains, en se remémorant tous ces moments de bonheur, allant de la taverne des frictions, à la mine dans laquelle il lui avait offert une bague entre deux coups de pioche, à la plage où elle s'était endormie contre lui, dans sa chambre à l'auberge où elle lui avait dit qu'elle souhaitait ne jamais quitter Vannes, sous entendant ne jamais le quitter lui.

Et la voilà, dans cette église, prête à lui dire oui, lier son existence à la sienne devant Aristote, prendre son nom. Un mariage qui était une grande fête en soi, mais qui signifiait beaucoup plus: une volonté de montrer au monde entier que jamais l'on ne se quitterai, qu'on ne voyait plus son avenir l'un sans l'autre. L'émotion se fit voir dans les yeux de Noab, touchée par cette promesse silencieuse exprimée par Gui lors de sa demande.
Elle avançait, fière d'être si belle pour lui en ce jour. Malgré les invités présents et la décoration somptueuse qu'elle remarquerait plus tard, elle ne voyait que lui, lentement, de plus en plus proche. Il était magnifique, avec des vêtements neufs et distingués, et même une cape. Quel excellent tisserand avait-il bien pu aller voir ?

Pas un regret, juste la conscience d'être bénie par Aristote de lui avoir fait rencontrer ce jeune homme si exceptionnel. Et une crainte nouvelle: regrettait-il ? Il lui avait semblé qu'il avait peu dormi de la nuit, ce qui l'avait fait veiller tard elle aussi, l'observant dans un silence anxiogène. Mais, soit, il était là, c'était déjà rassurant en soi.

Elle s'avança, comme dans un rêve, le fixant dans les yeux et ne sentant plus ses jambes, le sourire aux lèvres. Elle avança jusqu'à ses côtés, essayant de chercher une touche rassurante dans ses yeux.
Puis elle vit un beau bouquet sur sa chaise, se demandant qui l'avait posé là. Elle sourit et se dit qu'il était bien plus joli pour le cortège. Elle se pencha pour le prendre.

Puis, elle inspira très fort, se mit bien droite et posa ses yeux sur Mimilia.


Gavroche
Gav retint son souffle en voyant la beauté de Noab. Elle était si captivée qu'elle ne vit même pas Cirdec entrer
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Gavroche
Vannetaise
Cultivatrice de maïsS
Bouchère
Mimilia74
Mimilia regarda la belle du jour remonter la nef… tout en lançant quelques regards au fiancé. La diaconesse était émue. Ils étaient magnifiques tous les deux. Elle attendit que Noabgoldwasser se soit posté face à elle, au côté de Guigoux. Elle toussota pour faire taire les chuchotis.
HUM HUM

Bien, mes chers frères et mes chères sœurs,


Nous sommes aujourd’hui réunis en l’église Saint Patern afin de célébrer l’union de Noabgoldwasser et Guigoux.

Je demande à leur témoins de venir se placer à leur cotés.


Mimilia attendit un moment que les deux témoins prennent place et enchaina.

Bien chers Noa et Gui! C'est pour moi une joie immense de vous recevoir ici, afin que vous receviez des mains de l'Eglise le sacrement qui va faire votre bonheur. Ne prenez pas à la légère l'engagement que vous allez déclarer maintenant devant tous. Vous allez vous unir pour le meilleur et pour le pire, vous allez affronter des difficultés, des disputes et des tristesses. Mais avec l'aide de Dieu et l'enseignement d'Aristote, vous allez surmonter tout cela chaque jour, et donner à tous un exemple d'Amitié et de courage. Que Dieu vous bénisse !

Puis la diaconesse s'avance et lit un passage de la vie d'Aristote:

Citation:
En ce temps-là une grande nouvelle se répandit dans la ville de Stagire : les sages astrologues venaient de repérer une comète inconnue dans le firmament. Aussitôt l’assemblée de la ville se réunie sur l'agora, tentant de découvrir le message que les cieux voulaient transmettre aux hommes. Hélas leur cœur était obscurci par leur foi erronée en de faux dieux, et ils s’égaraient dans des suggestions impies : pour l’un il s’agissait de la venue d’Hermès aux pieds ailés. Pour d’autre la foudre de Zeus allait s’abattre au milieu des hommes, et les temps touchaient à leur fin.
Seul dans l’assemblée un homme se taisait : son épouse était sur le point d’enfanter, et l’angoisse qui était la sienne ne lui permettait pas d’intervenir. Il n’était pourtant pas le moins sage, ni le moins écouté. La noblesse et la paix se lisait sur son visage, ainsi que les marques d’un dur labeur et d’une vie sans mollesse.



La Diaconesse repris la parole:

Vous avez dans ce texte l'exemple d'un père noble et sage, soucieux de son épouse et de l'enfant qui va naitre. Son existence a été marquée par la justice, le travail et l'honneur. Voilà l'exemple que vous devez suivre. L'honneur, la justice, le travail quotidien. C'est là que se trouve la clé du bonheur. Et peut-être alors que vos enfants, suivant vos traces, auront la sagesse d'Aristote et la bonté de Christos.

Elle marqua une pause volontairement… pour que tout deux ainsi que l’assemblée puisse se rendre compte de la mesure de l’évènement et de l’acte qu’ils entreprenaient.

Puis d'un geste de la main elle invita les deux futurs époux à se lever.

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Alix_
Iwan dormait comme un bienheureux, indifférent à tous les bruits autour de lui ... et même quand la musique résonna, il ne bougea pas d'un pouce.

Eloïse se tourna doucement vers le fond de l'église pour assister à l'entrée de la mariée. Elle était magnifique ... splendide et sur son visage comme une aura de bonheur qui fit frissonner Eloïse en se souvenant d'un autre jour, merveilleux comme celui ci.


Gui était rose d'émotion, les mains un peu tremblantes, mais un sourire sur son visage qui en disait long.

Noab s'installa à côté de lui ... et Eloïse sourit quand elle prit le bouquet dans ses mains. Elle avait eu un peu peur qu'elle ne s'asseye dessus. Eloïse pouffa toute seule au moment même où Mimilia leur demandait à tous de se taire et regarda Karu se placer à côté de Gui.

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Karuna
A la demande de Mimi, Karu se leva et se plaça près de son Guitounet... Allez souffle un grand coup! c'est le plus important moment de ta vie.

Il resta silencieux ensuite car mine de rien, lui aussi avait la pression. C'était la première fois qu'il était témoin à un mariage.

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Guigoux
Oh c'te claque!!!! Oh Bonté Divine!!! Heureusement qu'il est solide le Guiguidounet... Une beauté majestueuse dans des vêtements aussi somptueux. C'est plus des étoiles qu'il a dans les yeux... C'est le ciel... En fait, pour avoir une image, si il ne se contrôlait pas, le menton serait au sol, la langue aussi... Les yeux en dehors des orbites.

Il arriva à se contrôler, la regarda dans les yeux, essayant de lui faire comprendre qu'il serait toujours là pour elle, qu'il ne regrettait rien.

Puis il sentit quelque chose proche de lui... Ah non... Guiguidounet! On se ressaisit... Faut pas se laisser aller... Il remarqua que Karunette était près de lui. Juste à côté en train de lui parler. Il ne comprit que:


Citation:
Allez... grand coup ... Le plus important ... de ta vie.


N'ayant pas tout saisi, il sourit à son ami. Même si il supposait qu'il manquait des mots... Parce que Karu lui dire ça... Quoi que... Avec ses idées tordues... C'est possible, mais improbable en de telles circonstances.

Il se leva ensuite et se tint raide comme un manche à balai. Le stress était devenu excitation... Il espérait que Eloise avait donné l'alliance à Karu. A moins qu'il ne le lui ai pas dit... Mon Dieu! Guiguidounet, c'est pas le moment!!! Il se ressaisit, adviendra ce qu'adviendra.... Il regardait Mimilia mais aussi la Princesse qui sera sa Femme dans quelques minutes.
Cirdec
De sa place, dans un coin de l'eglise, Cirdec suiva le deroulement de la ceremonie. Il ne voulait rien manquer de ce moment de grand bonheur pour son amie et son futur.
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Noabgoldwasser
Noab plongea son regard de celui de Gui, et elle comprit qu'il n'avait pas encore changé d'avis. Toute émue, elle écouta la Diaconesse.

Oh oui qu'ils affronteraient des difficultés, ils en avaient déjà vécus et s'en étaient sortis, plus forts. En espérant qu'il n'y avait que le meilleur qui les attendait à présent.

Il lui tardait de prendre sa douce main, elle pourrait le faire lorsque dans quelques instants, lorsqu'il serait son époux.

Elle n'aurait pu décrire comment elle se sentait, à ce moment là. C'est comme si tout son corps était du coton.
Lisbelle
Déjà l'heure! Si il y a une chose à savoir sur Lisbelle, c'est que le ponctualité, elle ne connait pas! Surtout pour les mariages! Jamais elle n'a réussi à arriver avant le début de la cérémonie! Pourtant, cette fois-ci, elle avait tout mis en œuvre pour pouvoir se réveiller. Couchée tôt, le chien resté dans la chambre, au chant du coq il la réveillera pour aller sortir. On ne fait pas mieux comme réveil-matin!

Et cela avait fonctionné. Aux aurores, la blondinette était déjà dehors, le gros toutou courant dans la rue, ravi de se dégourdir les pattes.
Puis elle était rentrée, pour commencer à se préparer pour ze jour J.
Alors qu'elle avait une pince à cheveux coincée entre ses lèvres, les deux bras levés, retenant la lourde masse blonde, quelqu'un frappa doucement à sa porte. C'était Noab. Lisbelle l'accueillit à coup de grands sourires.
Les deux amies commencèrent alors les préparations, la robe de mariée fut mise, coiffure fut innovée, et pince à cheveux de môman fut plantée dans le chignon bouclé.
En se reculant pour admirer le travail, la petite blonde sourit de bon cœur. Elle était ma-gni-fi-que!
Puis ce fut son tour de se vêtir. Elle avait choisi une tenue assez sobre, mais dont la couleur lui plaisait bien. Elle avait décidé de laisser les cheveux libres, après tout, une fois n'est pas coutume.

Et voilà, elle était fin prête!
Oooups, la bague! Failli l'oublier celle-là: Allez hop, dans la petite bourse qu'elle porte à la main, au moins elle ne risquera pas de la perdre! Et zou, direction l'église!

En retard? Pas en retard? La blondinette n'avait pas encore entendu les cloches sonner, donc elle devait être dans les temps... Ce serait bien la première fois de sa vie tient!
Les invités encore présents sur le parvis de l'église apportèrent réponse à sa question. Et c'est alors tout sourire qu'elle grimpa les marches, fière d'elle, elle était à l'heure!

Après avoir salué tout le monde croisé, elle arriva enfin à la hauteur de Noab. Lui prenant les mains dans les siennes, elle lui adressa un grand sourire.


Pas trop nerveuse? J'imagine que tu as du entendre cette question au moins dix fois aujourd'hui!

Après un petit clin d'œil, elle pénétra dans l'église, et alla s'installer devant, à la place réservée aux témoins. Du moins, c'était ce qu'elle espérait.
Peu de temps après la cérémonie commença.

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Chroniqueuse de la Grande Maison d’Attigny
Mimilia74
Mimilia trouva le tableau touchant. Puis comme elle était sadique... elle resta là un instant encore à regarder tout le monde... à regarder les futurs mariés qui se dévoraient des yeux. Elle sourit et enchaina.

Bien bien bien.

Qui a les alliances?
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Oberthur
La blonde était rentrée sur la pointe des pieds au centre d'un nuage d'effluves franc-comtoises à base de Comté et de saucisses de Morteau, présent du rouquin envers les mariés.
Elle venait juste de les cacher derrière l'église, ne pouvant décemment pas rentrer à l'intérieur munie de son cadeau odorant.
Le marié savait où les récupérer lorsqu'il en aurait besoin.

Elle ne connaissait pas grand monde et très mal, n'étant à Vannes que depuis quelques jours, elle leur adressa des sourires sincères tout en sachant qu'ils seraient, pour certains, pas forcément bien reçus.

S'asseyant sur un banc libre, elle admira la grâce de la mariée et le charme de son fiancé.
Elle leur avait un peu causé la veille et les trouvait très agréable et fort bien assortis.
Elle ne manquerait pas d'aller les féliciter derechef lorsqu'ils seraient moins sollicités.

Contente d'être là, elle suivit avec plaisir la cérémonie.
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