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[RP] Cathédrale Bx-Morgann de Sauvigny d'Auch

Paquerette
Paquerette était restée dans la cathédrale alors que la musique s'était éteinte et que tout le monde s'en allait. Elle irait rejoindre Zabou et Capoune bien sur, et tous leurs invités. Elle voulait aller parler avec son frère, mais celui ci s'était agenouillé et priait.

Paquerette s'agenouillât quelques bancs derrière lui et entendit sa prière.

Citation:
...
Ne laisse pas le sans Nom et ses agents régner en ce lieu,
mais apporte une solution, s'il te plait.

Que les arrogants arrêtent de l'être.
Que les égocentriques commencent à regarder autour d'eux,
Toi seul peux le faire.
Que ceux qui n'écoutent que leur propre intelligence entendent celles des autres.
Béni sois-tu mon Dieu.
Pour les siècles des siècles.


Que sa prière était juste ! comment se pouvait il qu'il y ait dans ce Comté tant de mauvaises personnes, de méchantes langues... Elle avait toujours su, depuis longtemps, que toute communauté avait le regard de celui qui menait cette communauté.
Malheureusement, celle du Comté n'était point gérée par les hommes ou femmes d'église qui sont naturellement humbles et à la recherche du bonheur de tous. Ce Comté n'était point géré non plus par des élus portés à leurs fonction par le Peuple et pour le Peuple.

Ce Comté était géré, depuis plusieurs mois déjà, par des despotes, des égocentriques, des personnes dont le népotisme et la partialité faisaient office de ligne de conduite.

Paquerette leva les yeux au ciel et se mit à psalmodier.


Dieu tout puissant, jetez vos yeux sur notre Comté
Bientôt viendra l'heure où tout pourrait changer.

Parce que sont partis ceux qui n'avaient d'yeux que pour le Pouvoir,
Parce que vont partir ceux dont la méchanceté n'a d'égale que la mauvaise foi,
Parce que vont venir des hommes neufs, de bonne volonté, au service de la Loi,

Dieu tout puissant, éloignez de nous pour toujours les serviteurs du Sans nom,
Poussez cette Communauté dans les mains de ceux qui sauront la gérer,
Baillez lui l'intelligence du coeur comme celle de la tête,
Donnez lui l'inspiration
Donnez nous votre protection
Pour que le choix de la générosité et de l'amour de notre prochain soit fait.


Elle se releva, un peu rassérénée. Il fallait aller féliciter les nouveaux mariés.
Elle eut un sourire espiègle, peut être pourrait elle raconter à Zabou quelles étaient les préoccupations de son régent de fiancé, il y a quelques semaines, en pleine préparation de leur mariage....
Zabou83
[Un peu avant]

La cérémonie venait de finir.....Voyant le père Amadeous occupé, Zabou prit note de lui ecrire afin de le remercier pour la ceremonie....
En attendant, elle sortie au bras de son époux, en direction de leur auberge, afin que tous puissent feter ce jour heureux...
--Trottinette
La vieille Trotinnette, qui fait le ménage dans la cathédrale après les cérémonies, entre alors et voit tout le déménagement laissé par les paroissiens, comme à chaque fois qu'il y a messes ou cérémonies d'ailleurs, ronchonnent en ramassant les choses qui trainent. Elle passe le balai de jonc, va dans le presbytère et ramasse les frusques que l'officiant a laissé trainer comme d'habitude...

- Pfff c'est-y pas une misère de voir autant de gens qui prient, qui font des grimaces, et qui "déposent" leurs "péchés" aux pieds du Très-Haut en croyant qu'ils seront absous ! A côté de ça ils mentent et médisent. Pauvres fous ! IL reconnaitra les siens, ça c'est sûr !


Et elle repart en ronchonnant.
Amadeus0
Le vicaire se relève devant l'autel ayant terminé de prier
et il se retourne, voit sa soeur quelques rangs plus loin. Il lui fait un petit signe.


Il l'interpelle, petite soeur je t'ai mis mon linge sale a laver sur le pries-dieu au Presbytère, tu peux les prendre pour les faire laver.


Puis il aperçoit l'ancienne celle qui nettoyait avant la Cathédrale.

Trotinette comment allez-vous, mamie?
je vois que vous êtes revenue pour travailler à l'église s'est bien ça!

Mais vous savez que le médicastre vous l'a interdit. Si je lui répète il va être fâché contre vous. Vous savez qu'Antoine si vous ne suivez pas les conseils qu'il vous donne, va se fâcher.

mais je ne lui dirai rien, sinon il va vous faire retourner à l'Hostel Dieu ma pauvre femme. vous savez combien je vous aime, et ne veux pas que vous vous épuisiez à ce dur labeur. C'est plus de votre âge.

Non, vous ne devez plus venir, je vous en prie, prenez soin de vous, vous risquez une attaque de votre vieux coeur. J'espère que votre tête va mieux, on m'a dit que par instant vous la perdiez un peu, comme je compatit à ce malheur. mais nous passerons peut-être tous un jour par là.
Seul dieu est grand et reconnaitra les siens. Venez, allons venez manger une soupe chaude et je vous raccompagne chez vous.

Amadeus0 la prends doucement par les épaules et l'entraine vers le Presbytère pour lui donner une bonne soupe chaude.
Paquerette
Paquerette sourit à son frère. J'y vais, Amadeus, Doggniette sera ravie de s'occuper de ton linge et je te rapporte tout cela dès demain.

Paquerette sortit par la porte du presbytère alors que Amadeus allait vers une vieille femme toute voûtée.
Doggniette était la fille de Doggnia, l'économe de la maison Mattei de Dénéré. Il était maintenant très âgé et se contenter de surveiller ce qui se passait à Lavardens, en chauffant ses vieux os au soleil de l'Armagnac.
Sa fille, jeune brune accorte et dynamique, avait toujours eu un faible pour le frère de Paquerette et chaque fois qu'il fallait s'occuper de ses affaires, elle se précipitait pour s'en occuper et rendait le tout avec toujours une gourmandise pour le cistercien.

Entrant dans le presbytère, elle vit les vêtements de son frère, tombés sur le sol ! Ce n'était certes pas Amadeus qui les avait laissé ainsi. Il était beaucoup trop soigneux pour cela. Mais peut être avait il encore laissé entrer ce gros chat noir pour partager sa soupe avec lui.

Sale bête ! pensa Paquerette, il a encore fait son nid dans la soutane de toile et de laine.Ou alors c'est cette vieille Trotinette qui a tout malmené dans le presbytère. Faut toujours qu'elle fourre son nez partout à la recherche d'une vilenie à faire ou à dire !

Paquerette vérifia que rien ne trainait plus au sol, alla prendre les nappes de l'autel qui avait aussi bien besoin d'un blanchissement, plia le tout et prit le paquet pour l'emmener à Lavardens.

En sortant, elle croisa son frère toujours avec la vieille femme. Elle les salua de la main, lançant à Amadeus :
J'ai oublié de te dire, Phil sera là avant la fin de la semaine. Tu viendras manger à la maison pour le voir. Il a surement encore beaucoup d'exploits à nous raconter, avec le temps qu'il est resté à Blois !
Amadeus0
Très bien petite soeur, je n'y manquerait pas, mais moi aussi j'ai une nouvelle.

Je suis nommé Évêque de Tarbes. Ainsi Dieu reconnait les siens comme disent certains. Mais la responsabilité est importante, et je vais devoir faire des choix dans mes diverses fonctions.
--Ramassefeuille
Le dict "Ramassefeuille", époux de "Trottinette", se présente à la Cathédrale... Il tournicote son chapeau dans tous les sens avant de s'adresser au prélat.

- Monseigneur, z'auriez-vous pas vu ma vieille queque part ? Passe que j'attends encore ma soupe moué... El'm'la fait pas c'te vieille carne de Trottinette... Préfère v'nir trainer chez les curés c'te vieille garce... Et moi, p'dant c'temps j'pose poirier devant m'n'assiette vide...


Il sent comme une bonne odeur...

- C'pas qu'je veux vous déranger monseigneur... mais c'pas d'la soupe que j'sens là ? C'est qu'j'ai faim moi...

L'odeur l'en fait saliver...

- J'me dis qu'à défaut d'ma vieille, un tit bol d'soupe ou un écu, ça f'ra mieux mon affaire p'tête ben, et que dans la maison du Seigneur... ben...
Amadeus0
Le prélat regarda l'homme en souriant.

Vous cherchez votre épouse? Oui en effet elle était là il y a quelques instants, mais elle est repartie la pauvre. La cathédrale est grande, bien trop grande pour elle maintenant vu son grand âge et le mal dont elle souffre.

Vous ne devriez pas la laisser seule dans les rues à de pareilles heures, avec tous les coupes-jarrets qu'ils y a le soir dans les rues. Ils vous retirent l'escarcelle sans que vous vous en rendiez compte mon brave.

De la soupe oui en effet la soupe est au feu, vous en désirez une bolée et bien oui, suivez-moi au Presbytère, nous allons partager, le pain, le vin et la soupe avec un bon morceau de lard.

Dites-moi je ne vous vois pas souvent à confesse ni à l'office pourtant nous en avons tous besoin. Dieu est miséricordieux avec nous. Venez!
--Ramassefeuille
Ramassefeuille, essuie la morve qui coule de son nez du revers de la manche... Pour un peu, il embrasserait le monseigneur là ! Il lui pose une main plus que crasseuse sur le bras et lui dit avec postillons à l'appui à deux doigts de son nez...

- Ah bah... z'êtes bien brave... ça fait plaisir de voir un homme d'église qui soit pas bête... enfin, pas trop. J'avions bien un peu peur de vous... mais plus maintenant par le sans nom ! Le ménage dans vot'église, ben c'est moi qui va le faire... Et je vas bien le faire vous verrez ! Et puis j'vendrai à la messe tous les dimanches et pi, les aut'jours que le Très-Haut fait, ça pour sûr. Je vas plus vous quitter...

Le vieux renifle, "renacle" comme un vieux canasson et bave autant qu'il peut sur les pavés de la cathédrale... De joie et de gourmandise, il en ferait bien dans ses braies...
Amadeus0
Je suis heureux que vous décidiez d'aider à l'église mon brave "Ramassefeuille" car nous avons besoin de quelqu'un comme vous dans la maison de Dieu. Puisse que vous le prenez ainsi et pour soulager votre pauvre femme je vous nomme bedeau en titre de la cathédrale. Je vous paierai moi-même un pain à 2 écus par jour que je vous ferai donner en taverne chaque jour.

Cela vous convient-il? Vous habitez dans qu'elle ville que je puisse vous faire parvenir le pain, à Eauze je crois? c'est cela?

Tenez voici un linge de nez pour votre rhume, et une bavette pour votre salive qui laisse des traces partout ou vous passez. Vous me rappelez quelqu'un que j'ai peu connu mais qui parait-il bavait sur tout le monde.

N'hésitez pas à m'en demander autant que vous voulez, j'en avais acheté tout un stock pour cette pauvre femme, mais comme elle est morte, Dieu ait son âme, la stock me reste. Vous êtes peut-être de sa famille, non?
--Ramassefeuille


Le vieil homme regard le prélat les yeux tout ronds...

- Cette femme ? de la famille de cette femme ? Et de quelle femme diable ? Moi j'suis qu'un pauv' ère, et j'suis ben content qu'vous soyez contents... mais j'ch'fais pas la charité mon pauv'curé... j'demande pas d'salaire... par contre..
.

Il tire sur la manche de Monseigneur AmadeusO...

- Par contre si vous pouviez prier pour mon âme... ça m'va ça... passe que... passe que j'ai beaucoup, beaucoup péché voyez vous... j'ai déposé quatre étrons derrière le presbytère... et j'ai posé P... pleins de pets dans vot'sacristie... j'a des problèmes de ventre voyez-vous... c'est à cause d' la soupe au chou et au raves de ma trottinette ! et si vous êtes d'accord, ben.... topez là mon curé ! j'f'ra le ménage toutes les s'maines après la messe, sans rien d'mander ! ça vous va-t-y comme ça ?


Il lui tend sa main crasseuse...
Bushiro
Aujourd'hui était un beau jour, c'était jour de mariage. C'était le premier sacrement que l'archevêque allait faire en la cathédrale d'Auch, le prélat ce faisait une joua d'officier.

Sur le panneau a coté de la grande porte, on pouvait lire :

Citation:
Bienvenue à tous en ce Dimanche 20 Février 1459.

Aujourd'hui aura lieu le Mariage entre la Dõna Firielle et le Sieur Riwen, leur témoins seront Damian & Angel_wittelsbach


L'archevêque ordonna alors a l'un de ses disciple de faire retentir le son des cloches affin de Convier les habitants d'Armagnac et Communges a ce rendre en la cathédrale pour assisté a cette heureux événement



Une fois les fidèles arrivés, le clerc alla à l'autel et fit signe à la foule de se taire.

Mes chers amis, nous voici réuni en ce jour pour assister au Mariage entre la Dõna Firielle et le Sieur Riwen.

Le mariage est la consécration de l'accord profond entre deux personnes, créant une communauté de vie, réputée indissoluble et symbolisant l'Amitié Aristotélicienne dans l'une de ses formes les plus étroite.




Le prêtre marqua alors une petite pause pour laissé le temps a tout les fidèles et aux simple croyant de prendre place ainsi qu'aux derniers retardataire d'arrivée.
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Antoineleroy
Courant à travers les rues de la capitale, Antoineleroy perdait divers feuilles diplomatiques s'envolant de sa besace remplie de dossiers

* Ne pas arriver en retard... Mariage important... Ne pas arriver en... *

Voila à peu près les pensées du Vicomte qui s'excusait auprès des passants dans sa course folle, car il fallait bien le dire il aurait été plus intelligent de prendre une calèche pour un tel déplacement!
Le souffle court, son visage commençant à perler de sueur, le Chancelier passa un revers de sa manche sur son front puis gravit quatre à quatre les marches menant au parvis de la Cathédrale dont le son des cloches résonnait. Mais dans son élan il trébucha puis s'étala de tout son long sur les dales dans un bruit sourd


" Non di dju! "

Instinctivement il porta sa main au niveau de son nez dont quelques goutes de sang venaient s'écraser sur le sol en compagnie des goutelettes de pluie. Antoineleroy venait de se casser la cloison nasale, si c'était intelligent ça...
Une profonde inspiration pour revenir à un rythme cardiaque normal, ainsi que pour renifler le sang et éviter qu'il ne séchappe de trop, quelques pas pour passer l'encadrement des grandes portes en bois massif et le voila se dirigeant vers l'eau du bénitier. Le Vicomte plongea sa main dedans puis se signa avant de la remettre dans l'eau et de se la jeter au visage


* Ah ben fit couillon c'est qu'ça fait du bien quand même! *

Maintenant son nez entre ses doigts pour arrêter le saignement, il cherchait des yeux une place libre pour y poser son séant. Non sans saluer les personnes qu'il reconnaissait avec un grand sourire, mais dans son état ça pouvait faire peur!
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Tslisch
Arrivant tranquillement à la cathédrale, Tslisch en était à sa deuxième cérémonie du week-end. Un sourire apaisé éclairait son visage, tandis qu'il pénétrait dans la maison du très haut, où allait bientôt avoir lieu le mariage.

Rentrant dans la cathédrale, il salua aimablement ceux qu'il reconnaissait, puis s'assit sur un banc. "Pas en retard, cette fois ci!", se dit-il alors qu'il observait les gens rentrer peu à peu dans l'édifice religieux. Bientôt allaient rentrer les futurs mariés...

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Riwenn


Le Duc avait mal dormi, des bruits l'avaient réveillés à de nombreuses reprises. Il faut dire aussi que le peu d'angoisse qui le tenait aux tripes avait en quelque sorte aiguisé ses sens, ainsi avait-il sursauté au moindre bruit. Il s'estait malgré tout reposé.

C'est donc avec un visage meilleur qu'icelui que les jours précédents avaient marqué sur sa personne que Riwenn pénétra la Cathédrale. Seul pour le moment, il ne doutait pas que sa future épouse, et leurs témoins, allaient pénétrer les lieux tost ou tard, si ce n'estait déjà faict. Et en entrant, il put remarquer que ce n'estait pas le cas, peu estait présent pour l'heure.

DINNNNG DIINNNNNNG DIIIINNNNNG !

Le noble gascon portait une tenue qu'il avait faict coudre par une chère amie couturière spécialement pour l'occasion. Ses couleur favorite ornaient les tissus qui se regroupaient en un splendide vestement qu'auraient pu jalouser les officiers royaux.



Il s'avança ainsi jusqu'à l'autel où Bushiro estait déjà en place.

Mariage : J-0.

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Héraldique européenne
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