[RP] Cathédrale Bx-Morgann de Sauvigny d'Auch

Amadeus0

La chorale arriva et se mit en place le premier chant, une louange au Dieu Très-Haut s'éleva vers les cieux. Il Toucha le bras du responsable pour que l'on entente encore mieux la puissance des voix.

Laureline.

Elle n'avait été informée du lieu et de l'heure de la cérémonie de baptême de ses amis que fort tardivement. Elle était en voyage de négoce et c'est un coursier qui lui avait remis missive de Wolf. Deux problèmes se posaient à elle pour rejoindre le parvis de la cathédrale, rejoindre le comté suffisamment tôt et que Laki n'enfante pas ...
Sa compagne de voyage attendait un heureux évènement et était fatiguée par cette aventure. L'enfant était descendu durant le périple et son ventre commençait à la faire souffrir. Que faire ? A la croisée des chemins et entrées en Terra d'Armagnac, elles poussèrent en direction d'Auch se disant que si enfant devait venir, il viendrait.
Comme le disait leur amie Kachi, un enfant d'Armagnac décide seul du moment de sa venue....

Arrivée à bon port, il leur restait à faire toilette et prendre matinel. Quelle mise était la sienne quand elle se mira dans l'eau de la fontaine proche.
Lisser et attacher ses cheveux indisciplinés, brosser son jupon et remettre sa cape dessus pour cacher sa pauvre mise...
De toute façon, elle n'avait rien de mieux, juste l'éclat de son coeur et l'amour qu'elle portait à Wolf et Abri...

Elle poussa la lourde porte de la cathédrale, peu de personnes encore, elle vit d'abord les enfants et chercha vite du regard leur père. Il conversait avec Amadeuso, elle ne voulait point les interrompre.
En avançant à leur encontre, elle aperçut une belle blonde et lui sourit puis avança vers les petits qui avaient des traces de ....cassoulet sur les braies. Qu'il pleuve, qu'il neige, qu'il vente, il y a avait toujours du cassoulet chez Touc. C'était plus qu'une religion...une véritable institution, il aurait même pu déposer une marque patentée...
Etouffant un rire, elle prit place et levant les yeux vers le vitrail de la madone pria pour retrouver vite Saint Bertrand, ses amis , un plus que les autres...

Amadeus0

Amadeus0 qui discutait avec Toucoule vit arriver Dame Laureline il la salua aimablement.
Bonjour gente Dame! ces enfants sont des pierres précieuses que Dieu vous à donné, je vois que vous en prenez soin, que Dieu vous bénisse, car il adore les "petits enfants".

Passez une bonne journée,
Mais veuillez m'excuser je dois vérifier encore quelques petites choses.

Amadeus0 salua cette belle famille et se retira en direction de l'autel.

Azuria.

Azuria savait qu'un baptême allait avoir lieu, mais elle n'avait pas été informée de l'heure précise de celui-ci . Elle préféra attendre sans bruit le commencement de la cérémonie ...

Mertin

Mertin c'était levé tôt pour venir à cette cérémonie. C'était à se demander, s'il avait même dormi. Conscient de son léger problème d'orientation, il était parti, alors qu'il faisait encore nuit noire sur Saint Bertrand des Comminge. Mais, après moult difficultés (comment ça, il suffit d'aller tout droit ?!), il arriva tout de même devant la cathédrales. Mais, à la vue de ce bâtiment, il fut littéralement paralysé.

La grandeur et la beauté de ce bâtiment étaient si grandes aux yeux de Mertin, qu'il n'arrivait plus à bouger. C'est dans ce genre de moment, que se rappelais à lui sa marque à la joue gauche. Elle irradiait comme pour lui rappeler ce qu'il était... ou plutôt ce qu'il avait été. Il se sentait sale, petit devant cette grandiose architecture. Avait-il seulement le droit d'y entrer ?

Seulement voilà, il avait promis. Et si ce bâtiment l'intimidait énormément, le fait de décevoir ces amis, était une sensation encore plus intense. Déglutissant difficilement, il commença à avancer. Chacun de ses pas, lui demandèrent une grande volonté. Mais pas à après pas, il s'approchait, tandis que son dos se courbait comme s'il portait un poids de plus en plus lourd.

Puis, les marches lui firent face. S'aidant de son bâton, il les gravit, une à une, tandis que les souvenirs se rappelaient à lui. La sueur coulait sur son front, comme si cet effort lui demandait une énergie intense. Il réussit cependant à atteindre les portes de l'édifice. Il les passa alors, réussissant, avec grande peine, à retenir ses tremblements. Puis, telle une ombre, il vint s'asseoir sur le premier banc devant lui.
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Description RP

Thea16

La brune avait elle aussi reçu une invitation .
C'est pas qu'elle ne voulait pas assister au baptême de Wolf et Abri,mais elle aurait préféré être ailleurs en ce jour .
Mais elle avait promis de venir .
Alors ce matin ,elle est c'était vêtue d'un joli corsage et enfilé une braie et un gilet de laine ,elle rajouta une cape sur ses épaules et partie en direction de la cathédrale.
Une foie devant l'impressionnant bâtiment ,elle eu un moment d'hésitation avant d'entrer
Elle attrapa sa cape entre ses mains et poussa la lourde porte .
Déjà quelques personnes étaient présentes .
Elle salua tout le monde d'un petit mouvement de la main et s'installa un peu mal a l'aise sur le dernier banc au fond .
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Anabel

La veille au soir, Wolf l'avait convié à leurs baptemes, alors en ce dimanche, elle se leva à l'aube, se prépara élégamment ainsi que son bibou et prit la direction de la cathédrale.

Elle n'y avait encore jamais mis les pieds et se dit en chevauchant que ces cérémonies seraient une bonne occasion de voir si elle suivrait ou pas ce chemin qui semblait se dessiner devant elle.

L'imposant monument se dressait, elle hésita une seconde sur le parvis et se décida à pousser la lourde porte.
Elle reconnut quelques visages familiers, d'autres inconnus et se faufila dans la première ligne de sièges et s'assit discretement admirant la beauté et la grandeur des lieux.
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Kachina

La cathédrâle..... Elle se dressait imposante et fière sous le ciel de la capitale. Les cloches sonnaient, conviant à la cérémonie de baptême de Wolf , Abriellyn et Aizu.
Se laissant glisser de cheval, Kachi mit pied à terre et confia sa jument au palefrenier le plus proche.
Du plat de la main , elle défroissa sa houppelande claire, mise à mal par la longue chevauchée depuis Saint Bertrand. D'un geste machinal , elle écarta de son épaule une longue mèche de cheveux, gravit les quelques marches de l'entrée et poussa la lourde porte.

Touc avait dit, troisième pillier sur la droite. Elle chercha du regard les silhouettes familières de ses amis. Joran arriverait plus tard . Quand elle l'avait quitté au lever du jour, il se reposait après une longue nuit de garde sur les remparts de Saint Bertrand.

Ils étaient déjà là , ceux de Saint Bertrand . Elle reconnut Laureline, soupira de soulagement en la voyant enfin de retour, Touc et sa petite famille , endimanchés et la jolie Azuria .
Quel étonnement de voir Mertin , ici, le jeune homme semblait mal à l'aise, perdu. Elle lui fit un signe amical de la main pour le rassurer.

Comme à son habitude, elle prit soin d'allumer un cierge, et enfin prit place aux côtés de Théa et Ana, caressa la joue de Lorenzo. Kachi se retournait parfois dans l'espoir d'apercevoir la silhouette familière de Joran.
Elle crut même pendant un instant, reconnaitre Lanceline, la blonde Lectouroise, dans cette ombre furtive qui cherchait la sortie.

Un chant liturgique résonnait dans l'air . Les yeux de Kachi se levèrent vers les vitraux, cherchant la lumière. Elle se laissa imprégner du calme de l'endroit.

Le prêtre conversait avec Ithier. Mais où étaient Wolf et Abri ?
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Amadeus0

Les enfants de coeur entamèrent une louange plus moderne biensur, mais une louange qui venait de leur coeurs.
Il écoutait cette nouvelle composition lorsque Dame Kachina entra dans la cathédrale.

Les voix s'élevèrent dans un coeur qui était harmonieux, et vigoureux.
Il aimait ses enfants. Ils représentaient l'église e demain qui surement aurait une nouvelle façon de voir les choses.

Il alla saluer la Maire de St. Bertrand.

Bonjour Dame Kachina, j'espère que le voyage n'a pas été trop pénible!
Bienvenue icelieu et que Dieu vous bénisse.

Il avaient un petit différent sur la manière de voir certaines choses, mais cela n'empêchait pas que Amadeus0 avait beaucoup de respect et de la sympathie pour cette femme si dévouée à sa ville.

Lanceline

Elle allait sortir, on lui avait parlé, alors, elle était restée... En plus, un chant venait d'être entonné. Coup d'oeil vers la porte qui ne faisait que s'ouvrir et se fermer. Des silhouettes qui se faufilaient dans les bancs. Des gens qu'elle connaissait...? Peut-être... Ou pas. Sourire gênée de la Blonde qui ne se sent vraiment pas à sa place icelieu, on l'a conviée alors qu'elle ne connaît pas les baptisés.... Du moins le croit-elle. Elle marmonna:

J'ai l'air fine! Comment je saurais que c'est lui, le baptisé? Merci, Aristote.

A croire qu'une autre femme portant son nom et lui ressemblant était passée devant elle, s'était liée d'amitié avec plein de gens, avait disparu soudainement pour lui laisser la place. Et vas-y que j't'embrouille tout le monde, toi compris!
Elle soupira. Comment ferait-elle pour s'en sortir?
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Abriellyn

Abrie arriva devant la grande porte de la cathédrale. Main dans la main avec Wolf, elle appréhendait un peu leur entrée. Ça y est une importante étape allait passé.

Elle n'avait pas beaucoup dormi de la nuit. Anxieuse et impatiente à la fois, elle avait passé sa nuit à veiller pensivement sur l'homme qu'elle aimait. Lui pas perturbé avait ronflé au chaud dans leur panier^^. Il avait comme à son habitude eu du mal à se lever et elle avait presque du le tirer du lit. Elle avait eu plus de temps qu'elle n'en avait besoin pour se rendre présentable. Les cheveux soigneusement tressés, la robe méticuleusement passée, elle avait veiller à ce que Wolf soit parfait.

La nuit avait été interminable. Elle avait prié silencieusement pour que la cérémonie se passe bien. Ils avaient eu droit à beaucoup de réflexions ces temps-ci mais ils tiendraient bon. Ça seraient elle et lui, lui et elle pour toujours, et peut importe les remarques ou les méchancetés.

Elle serra fort la main de son ange, le regarda en souriant.

Nous y sommes enfin nos baptêmes. J'espère que nous ne sommes pas en retard!

Elle prit un profond soupire écrasa encore un peu plus la main de Wolf dans la sienne et passa le porche pour pénétrer dans l'imposant édifice. Elle lui lâcha la main, respect du lieu oblige et avança doucement. Un sourire illumina son visage en voyant la présence de tout les gens qu'elle aimait.

Elle vit d'abord Mertin assis bien en retrait sur un banc du fond. Elle s'approcha du jeune homme lui adressant un sourire chaleureux. Elle posa sa main sur son épaule pour le saluer et le rassurer.
Les chants ayant commencer, elle ne s'attarda pas, elle aurait le temps de saluer en particulier chacun à la fin de la cérémonie. Elle adressa un sourire à ses amis, des signes de têtes aux personnes qu'elle n'avait jamais vu..

Elle chercha le prêtre du regard et le vit en grande discussion avec Kachi. Elle fronça un instant les sourcils, ils n'allaient pas commencer à reprendre leur discussion houleuse quand même. Abrie voulait que ce jour soit un jour de fête pour ceux qu'elle aimait. Elle pressa le pas pour aller les saluer. Remarquant aussi que Touc était là, se tenant à côté des deux précédant, elle sourit franchement.

Bonjour mon père, comment allez vous ce jour? Nous ne sommes pas en retard j'espère. Je vois que pour ma part mon parrain est déjà là.

Puis elle se tourna vers Kachi et Touc, elle leur donna un bisous chacun.

Parinou, je suis heureuse que tu sois déjà là. Tu es très beau ca te va bien de t'habiller en dimanche. Je vois que tu n'es pas venu seul.

Elle adressa un sourire aux enfants qui étaient bien calmes.

Kachi, merci d'être là. C'est important pour nous tu sais... ca nous touche d'autant plus que l'on sait que ton temps est bien remplis.

Reconnaissant Aizu un peu plus loin elle le salua d'un signe de tête.
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Navigius

Comme convenu, l'ecclésiaste italien se présenta à la Cathédrale Bienheureux-Morgann de Sauvigny d'Auch pour le baptême du jeune Aïzu. Il était toutefois inquiet, car l'homme à qui il avait confié sa missive pour le jeune baptisé ne lui avait pas semblé le plus fiable, si bien que la correspondance ne s'était peut-être pas rendu à temps.

Il portait, comme toujours, sa sempiternelle soutane noire à col romain, sur laquelle était brodée une fine décoration en fil d'argent, que Rome l'avait forcé à arborer du temps qu'il était évêque tant il détestait les gemmes ostentatoires de ses habits d'apparats. La rigueur et le caractère caustique de l'homme étaient réflétés dans son habillement, cela allait sans dire.

Le claudiquement caractéristique de sa démarche se fit entendre alors que sa canne martelait le sol de ce qui quelques mois encore était sa Cathédrale. Il cherchait du regard le jeune Aïzu parmi la foule, saluant au passage toutes les personnes présentes de sa connaissance. Il fit une légère génuflexion devant le père Amadeuso qui allait officier les baptêmes.

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Azuria.

Azuria arriva devant la cathédrale l'endroit est magnifique, elle y entra d'un pas pressé en remarquant qu'elle était en retard .

. Elle salua Abie et Wolf d'un signe de tête, et aussi Kachi, Touc, Mertin, et Aizu puis s'assit et écouta attentivement la cérémonie

Aizu

Le jeune homme patientait. Il savait que la communauté allait voir les rejoindre trois nouveaux fidèles, et non des moindres.
Il aurait aimer que feu son oncle soit là pour ce jour si important mais le Très Haut l'avait rappeller avant. Il ne doutait pas que, là haut sur le soleil, il observait de son regard bienveillant, son neveu.

La foule commençait à rejoindre la cathédrale et Ithier put se rendre compte que la communauté Aristotélicienne était bien vivante. Cela le comblait de joie, lui qui prévoyait sa vie pour l'église.

Une silhouette lui redonna le sourire et l'empli de joie quant il reconnu monseigneur Di Carenza, son futur parrain. Il se précipita à sa rencontre afin de lui tenir le bras.

Il s'accroupit et salua le prêtre.

Mon père, j'eusse peur que ma missive ne vous soit parvenu et de ne point vous voir ici lieu en ce jour si important à mes yeux. Vous me comblez de joie en accédant à ma requête.

Il proposa au vieil italien de lui servir de canne et lui prit affectueusement le bras.

Mon père, mon seul regret en ce jour sera de ne point avoir feu mon oncle à nos côtés... J'espère que de là haut il est fier de moi et de mes choix.

Marchant paisiblement en direction des premiers bancs et de l'autel, Ithier était fier d'avoir comme parrain un des clercs les plus clairvoyant et tolérant de la Sainte Eglise. Bien que ne partageant pas complètement le point de vue du prêtre sur cette tolérance il ne pouvait que l'admirer, lui qui avait tant oeuvré pour l'archi-diocèse depuis son ouverture.
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Ithier d'Ail-Zou dict "Aizu"
° Sujet du Royaume de France.

Navigius

L'ecclésiaste sourit grandement à l'arrivée du jeune Ithier. L'empêchant de s'agenouiller il lui fit l'accolade, fraternelle et familiale, puisque le jeune homme allait devenir son neveu et puisqu'il considérait Feu Monseigneur Martin comme sa propre famille.

- Pauvre Ithier, je crains que cet homme à qui j'ai confié ma missive ainsi que quelques écus ne les ait égarés tout deux dans une taverne en chemin. Pardonnez-moi, cher enfant, de l'anxiété que cela a pu causer. J'ai fait route à vive allure pour être ici pour vous, tout comme votre oncle l'aurait fait de son vivant.

Le baptême allait bientôt commencé. L'italien se remémorait toujours son propre baptême, en Artois, au tout début d'une longue aventure qui se poursuivait aujourd'hui.

- Mon cher Ithier, c'est un grand jour pour vous. Respirez à grande goulées, imprégnez-vous de ce jour, car il sera bientôt votre devoir de le faire vivre à d'autres. Imprégnez-vous des odeurs, de la majesté de la cathédrale, de la chaleur de vos confrères et consoeurs. Car aujourd'hui est nouvelle naissance, aujourd'hui est le début d'une longue aventure qui ne se terminera qu'avec votre dernier souffle. Logez ce jour en votre coeur et n'oubliez jamais vos motivations.

- En ce qui trait à votre oncle, je suis convaincu que sa fierté est aussi grande que la mienne. Déja vous n'étiez qu'un enfant qu'il parlait de vous avez tel enthousiasme. C'est véritablement pour sa famille et ses paroissiens qu'il oeuvrait à construire un monde meilleure. Et aujourd'hui, vous faites honneur à tout ses efforts. Le Soleil brille de sa fierté et de sa joie, n'en doutez pas.

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Cathédrale Bx-Morgann de Sauvigny d'Auch

Maryfly66

Mary partit tôt en direction de la cathédrale d’Auch afin d’y préparer la messe dominicale. La journée s’annonçait belle.
Emmitouflée dans sa cape ocre, l’archidiacre se hâta de traverser la grand place du village qui commençait à peine à s'éveiller.

Elle pénétra à l’interieur, s’arrêta sous l’arche de l’entrée puis retira sa capuche avant de se signer.
Empruntant l’allée centrale, Mary se dirigea vers la sacristie où elle déposa sa cape et se prépara pour l’office.
Retournant à l’autel, elle s’agenouilla un long moment sur le prie Dieu, face à la statue d’Aristote et pria en silence, les mains jointes et les yeux fermés.

L’heure s’égrénait et le moment de célébrer la messe n’allait pas tarder. Elle se releva et accueillit chaleureusement les enfants de chœurs qui venaient d’arriver dans un silence respectueux.
Tandis que les enfants et l’orguiste prenaient place, Mary alluma les cierges du candélabre posé sur la chair, s’assura qu’il ne manquait rien : livre des vertus, hosties et vin de messe.

Tout était fin prêt pour recevoir les fidèles. Elle alla sonner les cloches qui résonnèrent alors dans le village et ses alentours afin de prévenir du début de l’office.

Lorsque la cathédrale fût remplie et que les derniers fidèles furent installés, Mary, postée face à l’assemblée, commença d’une voix forte et cristalline afin que tout le monde, même ceux qui ayant honteusement péché dans la semaine se cachaient dans le fond, puisse entendre :

"Chers Frères, chères soeurs, nous sommes réunis en ce dimanche 07 Mars 1458 afin de célébrer la messe.
Soyez tous les bienvenus dans la maison de Notre Seigneur."

« Avant toute chose, confessons nous devant notre Seigneur et demandons lui pardon pour nos péchés commis cette semaine… »

Citation:

"Je confesse à Dieu Tout-puissant,à tous les Saints,
et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
et vous, mes Amis,
de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés."

"Avant de prononcer notre foy à Dieu, je vous invite à prier quelques minutes en écoutant les enfants de notre paroisse, ils sont venus ce jour nous chanter l’amour de notre Seigneur, Christos et Aristote. "

Un Ave Christos se fit entendre résonnant dans la cathédrale, l’echo allant se perdre sous la voûte semblant rejoindre les cieux...

"Merci les enfants, je suis persuadée que les paroissiens auront entendu le message du Très Haut.
Annonçons maintenant notre foy à Dieu. Répétez après moi."

"Je vous propose d’écouter un passage du Livre des Vertus.

L'archidiacre lut alors un passage de la Vita d'Aristote:

Citation:

En ce temps là une grande nouvelle se répandit dans la ville de Stagire : les sages astrologues venaient de repérer une comète inconnue dans le firmament. Aussitôt l’assemblée de la ville se réunie sur l'agora, tentant de découvrir le message que les cieux voulaient transmettre aux hommes. Hélas leur cœur était obscurci par leur foi erronée en de faux dieux, et ils s’égaraient dans des suggestions impies : pour l’un il s’agissait de la venue d’Hermès aux pieds ailés. Pour d’autre la foudre de Zeus allait s’abattre au milieu des hommes, et les temps touchaient à leur fin.
Seul dans l’assemblée un homme se taisait : son épouse était sur le point d’enfanter, et l’angoisse qui était la sienne ne lui permettait pas d’intervenir. Il n’était pourtant pas le moins sage, ni le moins écouté. La noblesse et la paix se lisait sur son visage, ainsi que les marques d’un dur labeur et d’une vie sans mollesse.

La jeune clerc reprit la parole:

"Vous avez dans ce texte l'exemple d'un père noble et sage, soucieux de son épouse et de l'enfant qui va naitre. Son existence a été marquée par la justice, le travail et l'honneur. Voilà l'exemple que vous devez suivre. L'honneur, la justice, le travail quotidien. C'est là que se trouve la clé du bonheur. Et peut-être alors que vos enfants, suivant vos traces, auront la sagesse d'Aristote et la bonté de Christos. "

Mary marqua une pose afin que ses paroles soient bien ancrées en chacun puis observa l'assemblée avant de reprendre :

"Je vous invite maintenant à la communion, approchez vous chers Frères et chères soeurs."

Prenant le calice posé sur la chair de l'autel, Mary donna à chacun l'hostie en benissant chaque fidèle.

Je tiens à vous rappeler que Dame Celtane et Sieur Brockanteur sont entrés cette semaine dans la grande famille Aristotélicienne. Nous les en félicitons et leur souhaitons la bienvenue parmi nous.

Il me reste à vous souhaiter à tous un agréable dimanche mes amis.
Allez en paix dans la foy Aristotélicienne.

Navigius

Le prélat était présent, comme toujours, afin d'observer le travail de sa subordonnée, excellent par ailleurs, et de prier.

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Lympo

Lympo arriva devant la cathédrale. Elle avait bien habillé les enfants. La matinée était certes fraiche mais belle. Ils descendirent de la calèche. Elle prit Valentin dans ses bras tandis que Phil portait les jumeaux.

Elle lui sourit. Le regard posé sur lui ne cachait rien des sentiments qu'elle lui porte. Ils ne s'attardèrent pas la messe donnée par le amie Mary allait commencer. Dès qu'ils passèrent la porte, ils virent qu'elle se préparait et vérifiait que tout était prêt.

Lympo apperçu son parrain. Elle alla le salua et lui fait la bise puis laissa Mgr Navigius qui désirait rester là pour aller saluer Mary. Ils s'installèrent ensuite attendant que la messe commence.

Comme demandé, Lympo fit la confession.

Je confesse à Dieu Tout-puissant,à tous les Saints,
et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
et vous, mes Amis,
de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Lympo sourit en écoutant les enfants chanter, Valentin, Anthony et Ambre si attentifs à la musique et au chant. Puis ce fut le moment de dire le credo, ce qu'elle fit.

Elle écouta attentivement Mary puis alla communier avec Phil chacun portant un des jumeaux. Valentin les suivait tenant Lympo par la robe lui souriant.

Lympo attendit la fin de la messe et allat féliciter Mary.

Tslisch

Tslisch arriva dans la maison de Dieu, où il allait probablement bientôt être baptisé. Il salua les personnes qu'il connaissait, remarqua monseigneur Navigius, toujours aussi discret. Il ne pouvait pas s'empêcher d'éprouver un immense respect pour cet homme que les années l'avaient rempli de sagesse. Puis, entendant l'archidiacre qui commençait l'office, il se confessa.

Je confesse à Dieu Tout-puissant,à tous les Saints,
et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints,
et vous, mes Amis,
de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis il affirma le credo :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN
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Davidgradir

David fut présent et vint devant la messe pour se recueillir. Pour être en paix et espérer pour le peuple d'Armagnac et des comminges.
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Gut

Gut se présenta à l'église. Chose qu'il ne faisait pas très souvent. Mais cette fois c,est qu'il venait prier pour l'aider dans sa quête à la recherche de sa famille. Les KroNenBourg était une famille bien connu en Savoie, endroit où son père Asiac avait vécu. Il savait que toutes sa familles y habitait encore, mais il ne connaissait pas grand chose à sa famille puisqu'il n,a jamais connu son père, ce dernier est mort au combat. Mais, il avait réussit à trouver des documents dans le bureau de sont père. Il venait aussi prier pour son défunt père.

Celiom

Celiom arriva à l'office, dégoulinant.
Ce matin la journée s'annonçait belle, mais maintenant ce n'était que pluie et neige.

Vivement le printemps ! se dit il ...

Il s'installa dans le fond.

Non pas qu'il avait péché, enfin si ... mais des grenouilles !

Il écouta la messe avec forte attention, dame Mary disait si bien la messe, il était prêt à se faire convaincre.

Entendant le sermon, il pensa avoir toujours rêvé être père.

Mais en tant que pécheur, il se disait aussi que ce soir il mangerai une excellente poêlée de cuisse de grenouille à l'ail et il était heureux ... pourtant quelques chose lui manquait !

En sortant de la cathédrale il vit une mouette passer dans le ciel et son cri attira son regard ...

Hum j'aimerais tant partager l'espace de cet être ... Décidément, la vie était bien compliquée ...

--Maryfly66

La jeune Archidiacre venait de terminer de se préparer. Elle était arrivée à l’église voila déjà une quinzaine de minutes et se préparait la messe. Avant de monter près de l’autel, Maryfly alla chercher une dernière petite chose, c’était un papier sur lequel elle avait gribouillé plein de note. Voyant que tout était prêt et que les fidèles attendaient, la jeune femme se dirigea au-devant de l’assemblée réunie dans l’église et commença l'office.

Bonjour à vous tous, je suis heureuse de vous accueillir en ce 14 mars 1458 pour la messe. J’espère pour chacun de vous que vous avez appréciez votre semaine et si ce n’est pas le cas alors vous avez eu raison de venir à l’église afin de trouver le calme et la sérénité que vous n’avez eu la chance de trouvé cette semaine. Je vous pris maintenant de commencer par la confession afin que nos péchés soient pardonnés.

Lorsque tous eurent fini de réciter la prière, Mary entonna le crédo afin que tous réaffirment leur foy en Dieu.

Après le crédo, Soeur Mary se dirigea vers le Livre des Vertus, l’ouvrit à la page du passage qu’elle souhaitait lire et prit un instant pour survoler le texte à nouveau.

"Aujourd’hui pour la première fois, j’ai choisi un petit extrait du récit de la vie d’Aristote. Cela parle de la manière dont Aristote à rencontrer Dieu."

Mary prit le temps de regarder les fidèles présents et de prendre une bonne inspiration puis lut le passage à haute voix forte et intelligible.

Citation:

Un jour le jeune Aristote, âgé seulement de cinq ans, voulu s'asseoir près du temple du faux dieu Apollon dans sa ville de Stagire. Le temple était sur une petite colline à l'extrémité est de la ville. L'enfant aimait regarder les hautes colonnes de pierre blanche se découpant dans l'azur du ciel.

Alors qu'il s'approchait des marches du temple il s'arrêta, comme immobilisé par une force invisible. Ne comprenant pas ce qui ce passait, il se retourna vers la ville pour appeler sa mère Phaetis, qui était à quelque distance de là. Mais ses lèvres ne produisirent aucun son.
La terreur commençait à inonder son âme, quand un roulement de tonnerre gronda au dessus du temple du faux dieu. Un éclair vint le frapper en son centre et il s'écroula aux pieds de l'enfant.
Puis une voix puissante qui faisait frémir les cieux retentie dans l'esprit d'Aristote; elle disait: "Voilà ce que ma puissance réserve aux démons qui se font honorer comme des dieux. Cherche le Dieu unique, cherche la Vérité et la Beauté, car un jour viendra celui qui restaurera tout".

Bouleversé l'enfant tomba inanimé sur le sol. Lorsque ses yeux se rouvrirent il était dans la maison de son père, et sa mère était tendrement penchée sur lui: " Mon fils, que t'es t'il arrivé? Nous t'avons trouvé près du temple écroulé, le visage tourné vers le ciel. Est-ce le dieu qui t'es apparut? Qui a détruit le temple? "
Mais l'enfant ne répondit rien. Il restait en silence et regardait sa mère avec les yeux de quelqu'un qui voit pour la première fois.
Enfin il pris la parole: " Mère chérie, je vous en prie, dites moi: qu'est ce que la Vérité? "
La pauvre femme était bonne, mais hélas son âme était encore pleine des erreurs païennes, et elle ne sut répondre à cette question. Elle se pencha sur le front de son fils, l'embrassa et lui ferma les yeux avec douceur.
"Je t'aime mon fils, n'est ce pas la seule chose importante? Dors maintenant; demain ton père revient de guerre et il faut que tu sois reposé pour le recevoir dignement."

Ce texte est très important car il explique la manière dont le plus important des prophètes de notre magnifique religion à trouver la voie qui le mèna au Seigneur. Lorsque cela est arrivé, Aristote était très jeune, néanmoins il avait été choisi par Dieu pour accomplir quelque chose de très important et le Très-Haut avait donc décidé de lui parler.
Le Seigneur est tout puissant et nous pouvons bien le constater ici, car si Apollon avait été un Dieu, il n’aurait pas laissé son temple se faire détruire ainsi.
Par ce geste, Dieu avait réussi à ébranler le petit Aristote qui fini par abandonner ces anciennes croyances païennes pour se tourner complètement vers ce Dieu qui lui avait parlé.
Il a ensuite entreprit d’enseigner au monde ce qu’il avait compris de Dieu et c’est grâce à lui que nous pouvons maintenant dire fièrement que nous sommes Aristotéliciens.

Pendant que les fidèles méditaient ce qu’elle venait de dire, l'Archidiacre reposa le livre des vertus sur la chair de l'autel puis prépara la communion.

Chers fidèles, communions ensemble pour notre Seigneur.

Les villageaois se présentait l'un après l'autre devant Mary qui les bénissait avant de leur remettre l'hostie dans la bouche.
Quand ce fût fini et que la file des fidèles fût tarie, elle reprit une dernière fois la parole.

"Chers frères, chères Soeurs, nous allons accueillir ce samedi 20 Mars, à travers le baptême, un nouveau membre au sein de notre communauté. Je vous invite à venir nombreux célébrer avec moi la venue de Sieur Mika... "

Je vous souhaite un excellent dimanche ainsi qu'une bonne semaine!
Que la paix du Seigneur Tout-Puissant soit avec vous et qu’il vous protège. J' espère avoir le plaisir de vous voir à l'office de dimanche prochain. "

Tslisch

Tslisch arriva dans la cathédrale. Aujourd'hui était un grand jour. Aujourd'hui était son baptême. Il se signa puis s'installa en attendant que le diacre qui devait célébrer son baptême arrive
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Boubou5911

Boubou arriva à la messe s'intalla puis se metta a se confessa

Je confesse à Dieu Tout-Puissant
à tous les Saints, et à vous aussi, mes amis
parce que j'ai beaucoup pêché
en pensé, en parole, en action
Je supplie tous les Saints, et vous mes amis
de prier le créateur pour moi
que le Très Haut nous accorde le Pardon
l'absolution et la rémission de nos pêchés

Puis elle récita le crédo pour exprimer sa foy en Dieu

Je crois en Dieu, le Très Haut tout Puissant
Créateur du ciel et de la Terre
des enfer et du Paradis
Juge notre ame à l'heure de la mort

Et en aristote, son prophète
le fils de Nicomaeque et et de Phaetis
envoye pour enseigner la Sagesse
et les lois divine de l'univers
aux hommes égarés

Je crois aussi en christos
né de Maria et de Giosep
Il a voué sa vie a nous montrer le chemin du paradis
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous ^ponce
il est mort dans le martyre pour nous sauver
Il a rejoint le soleil ou l'attendait Aristote de la droite ou Très Haut

Je crois en l'action divine
en la sainte église aristotélicienne romaine et indivisible,
en la communion des saints
en la remission des pêchés
en la vie éternelle

Amen

Puis elle écouta Mary qui se mit a citer une partie du livre des vertu. Puis elle s'avança devant Mary pour qu'elle la bénisse. Puis sourai en entendant le nom de l'homme quelle aime

Navigius

Comme à son habitude, le prélat était présent, suivant la messe au coeur d'une rangée bondée de fidèles, comme il se plaisait à le faire, démontrant ainsi que devant Dieu, il n'était qu'homme parmi la masse.

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Requins34

requins arriva en courant à la cathédrale, son filleul était dejà arrié.. il avait chercher de partout où était la cathédrale, il s'était perdu dans le village..

coucou filleul, j'espere que je suis pas en retard??

Tslisch

Un messager arriva exténué. Il délivra le message à Tslisch. Il lut le message. Sourire ironique.

Il y a eu malentendu sur le lieu du baptême. Skaski nous attend à la cathédrale de Tarbes.

Et il partit vers son vrai lieu de baptême

lien masqué par {Ayépapeur}. Merci d'en faire autant sur l'annonce.
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--Maryfly66

20 Mars 1458

Le printemps faisait place à l'hiver, la nature renaissait, les oiseaux virevoltaient dans le ciel en piaffant tandis que le soleil réchauffait la terre et les hommes.

La matinée était bien avancée alors que Mary se dirigeait vers la cathédrale d'Auch. D'un pas alerte malgré sa grossesse, elle traversa le village qui, après les rigueurs de l'hiver, semblait reprendre vie, les rues étant plus animées.
Elle traversa la grande place donnant sur le parvis de la cathédrale lorqu'elle aperçut deux ravissants enfants qui jouaient à se courser. Elle les observa un moment, un sourire aux lèvres en imaginant Alessandro et l'enfant à venir en faire de même.

" Ma Soeur ! Bonjour.... excusez moi mais nous allons être en retard !"

C'était le frère Vincente qui se dirigeait lui aussi vers le lieu Saint et qui voyant l'Archidiacre bailler aux corneilles la rappelait gentiment à l'ordre.

"Oh ! Bonjour Vincente ! Oui oui ... j'arrive... j'arrive ... "

Elle jeta un dernier coup d'oeil attendrit vers les bambins puis repris la direction de la grande batisse de pierre.

Elle entra à l'interieur, plongea ses doigts dans le bénitier, se signa,puis alla prier sur le prie Dieu un instant, en saluant au passage les personnes présentes dans le lieu Saint.
Elle vérifia ensuite que tout fût prêt pour recevoir comme il se doit le futur baptisé.

Enfin, quand l'heure arriva elle demanda à Soeur Carmélinda, une sacristaine, d'aller sonner les cloches pour elle.

Celles ci retentirent à 11 heures pile dans tout le village et ses environs, invitant les fidèles à venir accueillir Mika... dans la grande famille Aristotélicienne.

Boubou5911

Boubou ariva d'une belle longue robe. Elle entra dans la cathédrale et vena assister au bapteme de celui qu'elle aimer. Elle s'installa et attenda que sa commence.

Mika...

mika... entra, et apercoit sa douce, elle salua dame mary et embrasse boubou , puis attenda que sa commence

Celtane

Heureuse d'être aux côtés de son amie en ce jour important, Celtane entre et lui fait un gros bisou.

Puis lui chuchotte: tu aurais pu me le présenter quand même^^
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Talbandelacauve

Venu depuis le fin fond de d'Orléans, Talban vient au devant de sa foi, l'unique et l'universelle.

Elsamarie

Elsamarie arrive pour se recueillir avant son baptéme.

Oups, excusez moi monsieur de vous avoir bousculer, mais je ne vous ai jamais vu ici

Voulez vous que je vous aide à sortir au soleil, vous me semblez bien fatigué
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Talbandelacauve

Hélas ma petite dame, il m'est difficile de marcher tellement la douleur se fait présente. Croyez en mon humble respect de rencontrer une si gentille dame. Mes respects dame... Votre prénom... Oh veuillez m'excuser je me présente Talban vieil homme de mon état si mourant après un si long voyage. Et vous êtes?

Elsamarie

Moi je m'appelle elsamarie, dame de Saint Sauvy je vit ici depuis trés longtemps... je ne me souviens même plus depuis combien de temps...

Allez, venez appuyez vous sur moi, je suis fiére soldat d'armagnac, vous pouvez vous appuyez, nous allons sortir pour vous faire prendre un peu l'air, et je vous améne chez moi, je vais vous préparer un bon petit repas pour vous mettre en forme
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Talbandelacauve

L'air était frais dans la cathédrale et le gros manteaux de fourrure du vieil homme semblait tomber à point pour le protéger des mauvais esprits de ce comté.

Dame de Saint Sauvy, alors en plus d'être belle vous êtes une sainte.

Le lieu était parfait pour permettre le dérangement des cérémonies.

Comme cela vous êtes soldat de l'armée comtale. Et cette armée se porte bien?

Vieux voyageur Talban croit en la bonté de cette dame et tombe sous les charmes.

Alors j'accepte de le partager ce plat avec vous.

Elsamarie

Pour l'armée comtale, nous sommes toujours en train de reconstruire, vous savez dans la vie, il faut être patient.

Allez venez, je vous propose une bonne garbure qui vous réchauffera bien.

Mais je vois que vous avez des problèmes pour marcher. Nous allons y aller tranquillement, on a tout le temps.

J'étais venu ici pour me recueillir en vu de mon prochain baptême, mais il est beaucoup plus important pour moi de vous venir en aide, je me recueillerais plus tard, il n'y a la non plus aucune urgence
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Philivert

Philivert arriva main dans la main avec Lympo.

Il salua Mary et Celtane, heureux de les retrouver pour un nouvel heureux évènement. Puis il se dirigea vers sa filleule: "Boubou cette robe te va à ravir, pourrais tu nous présenter à Mika, nous avons hâte de faire sa connaissance"
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Talbandelacauve

Votre armée comtale est une OST, ou une compagnie militaire?

Encore merci de m'aider dame de Saint Sauvy, je vous en serais tout autant reconnaissant de cette attention.

Lympo

Lympo arriva avec Phil heureuse d'assister au baptême de Mika le fiancé de Boubou. Tenant la main de son bien aimé, elle fit la bise à Mary, Celtane et Boubou. Elle hésita un court instant puis fit la bise à Mika.

Mes félicitations pour ce grand jour Mika. Nous somme passé par là il n'y a pas logtemps Boubou et moi. Nous savons à quel point de jour peut être émouvant.

Elle sourit puis regardant Boubou.

Boubou c'est vrai tu es magnifique comme ça ... comme tu dois être heureuse toi aussi

--Maryfly66

Lorsque tout fut en place, l'archidiacre auscitaine descendit l'allée et prit place dans le choeur afin de débuter la cérémonie. elle regarda le jeune homme, désireux d'entrer dans la grande famille de Dieu. Un sacristain lui apporta un missel et un prie-dieu, afin qu'il puisse s'agenouiller, alors que les paroissiens terminaient de remplir les dernières rangées.

- Frères et soeurs! Nous voici ici aujourd'hui réunis dans la Maison du Très-Haut, afin de lui témoigner notre amour et prendre exemple sur sa divine parole. Non seulement sommes-nous ici pour apprécier sa sagesse, mais aussi parce qu'aujourd'hui est un jour heureux, un jour béni. L'un des nôtres, citoyen d'Armagnac-Comminges,Sieur Mika..., désire faire son entrée dans la Grande famille des Croyants.

Elle descendit vers le candidat au baptême agenouillé.

- Mika..., le baptême ne saurait être imposé, il doit être demandé, librement, dans l'acceptation du coeur et de l'esprit. Ainsi donc, nul ne saurait vous y contraindre, sur Terre ou devant Dieu. Mika..., demandez-vous, devant l'Aristotélisme ici assemblé, le baptême?

Boubou5911

Boubou mis sa main dans celle de mika et s'approcha de celtane, phil et lympo.Elle leur faisa une bise a tous les trois. Elle avança en esayant de pas marcher sur sa robe.

Je vous présente Mika

Elle le regarda tendrement

Mon amour je te présente à Phil, mon parrain celtane et lympo.

Elle se demanda si elle a pas été trop vite niveau présentation. Elle l'embrassa.

Mika...

mika... salue les amies de boubou ainsi que son parrain et embrassa sa douce, puis s'agenouille et repond a la question:

" oui, je demande le bapteme"

puis mika... sourit

--Maryfly66

Mary sourit au jeune homme, hocha la tête avant de reprendre:

"Mika..., la procédure canonique exige que le baptême soit demandé en liberté de toute contrainte. Une personne de l'assemblée doit donc témoigner de votre sanité d'esprit et de votre liberté de contrainte. Quiconque puisse s'acquitter de celà, se manifeste."

Boubou5911

Boubou se leva et manifesta

Moi boubou, j'atteste que Mika est saint d'esprit et qu'il a pris sa decision en pleine conscience.

--Maryfly66

Mary vit Boubou se lever de l'assemblée et prendre la parole:

Citation:

Moi boubou, j'atteste que Mika est saint d'esprit et qu'il a pris sa decision en pleine conscience.

Elle sourit à son amie pour qui, elle le savait, cette cérémonie était importante.

Se concentrant à nouveau sur Mika, elle reprit:

"Mika..., le chemin de la foy est long et difficile. Vous devrez affronter bien des doutes, des obstacles. Certains désirent arpenter cette route seul, d'autres choississent de se faire accompagner d'un parrain ou d'une marraine pour les guider et les épauler. Que décidez vous?"

Honorine_nouet

Alberie est très en retard au baptême de Mika... Mais elle arrive tout de même et se met dans un petit coin, ravie de voir qu'elle n'arrive pas trop tard.

Mika...

mika... un peu le traque, il écouta mary:

"Mika..., le chemin de la foy est long et difficile. Vous devrez affronter bien des doutes, des obstacles. Certains désirent arpenter cette route seul, d'autres choississent de se faire accompagner d'un parrain ou d'une marraine pour les guider et les épauler. Que décidez vous?"

mika... répondit:

"je souhaite me faire accompagné d'une marraine, elle s'appelle celtane"

puis mika... sourit

--Maryfly66

Mary attendit que le jeune homme lui répondit et l'encourageait à répondre d un sourire voyant qu'il était impressionné.

Citation:

"je souhaite me faire accompagné d'une marraine, elle s'appelle celtane"

Mary lui sourit puis regarde Celtane qui se tenait non loin de là et lui sourit également en lui faisant un petit signe de la main afin qu'elle approche de son filleul.

"Mika... Vous avez choisit Dame Celtane comme marraine afin de vous guider sur le chemin de la foy.
Pourriez-vous nous dire les raisons pour lesquelles votre choix se portent sur cette personne??"

Celtane

Celtane se lève et se rapproche de son filleul, lui posant la main sur l'épaule comme elle l'a reçue elle même se son parrain et de sa marraine.

Elle est heureuse de voir le sourire radieux de Boubou et de son tendre ami.

Elle écoute attentivement la suite.
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Mika...

mika... répondit:

"j'ai choisi celtane, car boubou me la conseiller et j'avou aussi que etant donner que je vient d'emménager dans cette ville je connaissait pas grand monde, alors boubou ma guider vers certaines personnes fort sympathiques"

Philivert

Philivert observait avec émotion la cérémonie. Il imaginait la joie de sa filleule de voir entrer son compagnon dans la famille Aristotélicienne. Il serra plus fort la main de Lympo, pensant que bientôt ils seraient ici même pour leur grand jour.
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--Maryfly66

Un sacristain emmena alors le futur baptisé le grand cierge de l'Église, qui brillait d'une douce flamme. On lui remis un cierge et l'on donna à la marraine un petit fagot de bois, afin que du grand cierge, elle puisse
allumer celui de son filleul.

" La foy est comme la vie et la lumière. Elle est un don dont nous avons la responsabilité, et elle nous est offerte par d'autres. Ainsi donc, j'invite Dame Celtane, la marraine, à porter la lumière dans le coeur de son filleul, à faire don de foy."

Celtane

Après s'être servie du petit fagot de brindilles pour allumer le cierge de Mika, Celtane le regarde.

Mika reçoit de ma part cette flamme qui représente la foy, qu'elle t'accompagne tout au long de ta vie.
Sache que je serai à tes côtés pour te soutenir dans les moments de doute comme dans ceux de joie.
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--Maryfly66

Mika... tenait à présent le cierge allumé devant lui. Mary ouvrit le livre des vertus et en lut un extrait à l'assemblée :

LIVRE DES VERTUS -Livre 1, le Mythe Aristotélicien- Partie VII, l'amour.

Citation:

“Nous sommes certes enchaînées à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le ce que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmesns que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais .

"Chers frères, Chères soeurs,
Demander le baptême, c'est dire publiquement que l'on est aimé et que l'on aime Dieu. C'est choisir de dire non à tout ce qui abîme l'homme. C'est choisir de suivre un chemin vers la lumière du Très Haut. Cette lumière qui est ici matérialisée par ce cierge."

Mary se plaça devant le baptistère, mit ses mains en coupole afin d'y recueillir de l'eau bénite et la versa sur le front de Mika....

"Je te baptise, Mika..., au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité. "

La cérémonie touchait à sa fin...
Mary invita Mika... à revenir près d'elle face à l'autel et à l'assemblée. Elle lui tendit un parchemin sur lequel était inscrit le crédo:

"Répétez après moi, le serment aristotélicien qui guide toute vie. "

Citation:

CREDO
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

"Vous êtes désormais baptisé et faites partie de la grande famille Aristotélicienne. Tous ici sont vos frères et soeurs, unis à vous par la foy et le désir d'arpenter le chemin de la vertu. Soyez-juste avec eux, et ils vous le rendront.
Allez, dans la paix du Seigneur! "

L'archidiacre remit au nouveau baptisé la médaille d'Aristote en signe de bienvenue

Puis elle rédigea un parchemin sur lequel elle récapitula le nom du baptisé, la date et le lieu du baptême, le nom de la marraine afin que l'archevêque puisse établir le certificat de baptême.

Mika...

mika... écouta mary, puis répète apres elle le crédo:

citation:

CREDO
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'aprés avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

mika.. souria avec beaucoup d'émotions

Celtane

Un gros poutou à tous les deux...

Félicitations Mika et bienvenue dans la famille! Si tu as question ou quoi que ce soit, je suis là, ne l'oublie pas!

Aller on va fêter le baptême de Mika avec le nôtre, d'accord Boubou?

Venez! La fête va battre son plein!^^
_________________

Boubou5911

Elle lui faisa un gros bisous aussi

Oui avec plaisir je vais encore un coup de plus sa me fera pas de mal^^

Elle rigola et embrassa tendrement son amour

--Maryfly66

Le page du prélat fit l'aller/ retour afin d'apporter au prélat le parchemin de Mary et revint le fameux certificat de baptême en main qu'il tendit à l'archidiacre.
Tout essoufflé, il lui dit:

"Tenez ma soeur!" puis lui sourit avant de s'éloigner vaquer à sa besogne.

Mary s'approcha de Mika et de son groupe d'amis.

'Tenez Mika... Votre certificat. gardez le bien précieusement. En cas de noces, il vous sera demandé."

Elle jeta un coup d'oeil à l'encontre de Boubou, lui sourit avec un sous entendu puis s'éloigna elle aussi en saluant tout le monde aimablement.

Navigius a écrit:

Citation:

Certificat de Baptême de Messire Mika...

À l'attention de l'Aristotélisme,

Nous, Navigius di Carrenza, Grand Aumônier de France par la volonté de Sa Très Aristotélicienne Majesté Lévan III de Normandie, Archevêque Métropolitain d'Auch par la grâce de Dieu et la volonté manifeste de l'Assemblée Épiscopale de France, prenons aujourd'hui la plume le coeur empli de sérénité afin de rédiger la missive suivante :

Qu’il soit sû que Messire Mika..., fut baptisé en la Cathédrale Bienheureux-Morgann de Sauvigny d'Auch, par Soeur Maryfly66, Archidiacre d'Auch, le 20e de Mars 1458. Sa marraine est Dame Celtane.

Que quiconque doutant de la véracité de cette affirmation soit rassuré par l'apposition de notre signature et de notre scel.

Aristotéliquement vôtre,

Navigius di Carrenza,
Grand Aumônier de France
Vice-Primat de France
Archevêque Métropolitain d'Auch

Faict à Auch le 20e de Mars de l'an de grâce 1458

G_de_b

L'idée lui était venu dans une église. Mais l'histoire commença lorsque Guillaume marchait doucement dans les bois derrières le village. Il observait ces lieux de paix. De nuit on entendait que le bruit des oiseux noctures et du vent qui sifflait à travers les branches. Artmaniak du Doubois était mort. C'est près de ce bois que Guillaume avait choisi de vivre, dans la ville d'Orthez.

Une amitié voire un amour sans borne avait été envers Artmaniak du Doubois, l'évêque de Toul..

Il marchait en faisant défiler les histoire de sa vie vécu quand Artmaniak était encore en vie et Que le père suppérieur Arthur De Baskerville lui avait raconté. Il voulait être diacre. Puis il fut évêque de Toul, avant de mourir dans le monastère Grégorien.

Guillaume étaient si fiers. Image d'un temps béni où tout semblait souriant et heureux, loin des soucis de la vie, des pièges de l'amour. L'homme à qui l'on pouvait faire confiance, avait eu de nombreux amis qui faisait un pélerinage aujourd'hui au nom du Très-Haut. Pour rendre un dernier hommage à Artmaniak selon un rite que certains ne comprendront pas forcément. Mais bon les hérétiques.

Dans ses souvenirs quand une idée lui vint comme si une lumière divine lui avait inspiré et partit alors faire une prière dans un lieu saint.

Guillaume était sur le parvis.

Un pied sur la première marche, il regardait la façade. Puis avança vers la porte de, la poussa et pénétra.

Il referma un peu plus sa bure sur son corps qui tremblait par le froid.

Pourquoi l’intérieur des églises est toujours froid ?

Il avança le long de la nef, posa sa main sur le dossier d’un des bancs de bois et s’agenouilla puis se signa.

Il se rapprocha encore de l’autel. S’installa sur une chaise de prieur et récita une prière qu'il avait déjà récité dans de nombreuse église.

Citation:

Dieu Créateur de toutes choses, Toi qui n'est ni bon ni mauvais!
Toi qui sais tout, purifies ton enfant afin qu'il soit reçu à ta droite.
Guide-nous dans nos actes, comme il a pus nous guider en ton nom,

Dieu qui n’intervint plus dans le monde, laissant Ses enfants vivre et prospérer.
Toi, L'Omniprésent mais nous laisse libre de notre destin,
Gardes les Vertueux dans un destin solaire et lumineux,

Dieu, Jetes les corrompus dans la lune, reclus et sombres.
Toi, je fais ma confession et mon pélerinage en Ton nom.
Gardes un regard sur mes actions et juges moi.

Dieu te Garde mon frère

Faire un pélerinage au nom du Très-Haut? Artmaniak Aurait aimé.

D'où lui venait cette prière? Et d'où lui venait cette envie de faire un pélerinage? Il avait apprit il y a quelques jours que de nombreux pélerins était sur les routes de tous les royaumes en hommage à Artmaniak du Doubois on parlait même de trois personnes qui auraient eu la vision de Artmaniak dans leur rêve. Est ce possible?

Puis à haute voix

Après cette Prière je continuerais ce pélerinage Pélerinage lerinage nage ......

Le lieu saint faisait résonner son "pélerinage"
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--Aigle.

Trois jours de marche s'étaient écoulés et j'étais fatigué. Mon but n'était pas vraiment important, mais pour rendre service à quelqu'un, j'arrivai à Lectoure.

Prends-le comme des vacances. Dit mon cousin pour finir sa missive qui avait debuté avec un : Salut cousin, j'espère que tu vas bien . J'ai besoin d'un service. Je grimmaçai à l'idée qu'on ne me cherche que quand on a besoin de moi.

Au fait, si j'ai bien comprit, Il fallait que je fasse acte de précense à un mariage héretique!!!

Je me donnai la consigne de suivre la foule et j'arrivai à l'endroit prevu.

Il y aurait peut-être des femmes pour rincer l'oeil? Tu diras salut à Laki. Je cherchai la surnommée Déesse Pele qui n'avait pas su garder son homme et semblait en manque, selon les rumeurs qui arrivaient à l'est du royaume Français. Désespérée peut-être? Je n'étais pas un profiteur. Je me dis donc: Passons!

Decidement mon cousin n'avait pas manqué details. Je fis attention même au moment de m'asseoir me souvenant de ses paroles. Si tu t'assois et que tu sens que cela sent mauvais. C'est surement Myrhanda, l'une des chiennes sans cerveau de Domy, une brigande de bas étage. Tu feras attention à tes poches... Je fis le geste instinctivement. Dans un salon où il aurait bientôt plein de brigands, cela n'était pas de trop.

Mais, il n'y a pas que de mauvais monde. Aure est fort sympatique, mais ne lui demande pas si elle fait partie du groupe de brigands. Elle n'en est pas fière et elle va le nier.
Pourtant, selon ce qu'on dit, même Sofio, au BA, qui avait des choses à perdre l'avait acepter. Je me demandai s'il allait me décrire tous ces brigands...

Mais, bon c'était la GP que je devais chercher, Domy11 pour ceux qui n'était pas dans le groupe de brigands. Je ramenai encore les mots de mon cousin qui m'ont fait sourire. A vrai dire, même moi, j'aurais de la misère à la reconnaitre habillée. Mais, c'est une rousse avec une p'tite face de cochonne. Tu arriveras à la trouver... Bon si c'était celle qui allait se marier. Je la trouverais certain. Il commençait à écrire de trop serieusement.

Je preferai les femmes, mais ce fut le cocu qui a attiré mon attention. Il avait l'air content: en voila, un coucou heureux! Bon c'est peut-être son choix. S'il aime partager sa femme et qu'il est heureux on n'a rien à lui repprocher.

Après tout, c'est peut-être pour cela qu'ils changent de religion! Les aristoteliciens n'amions pas les brigands et n'acceptions pas le genre de vie libérale qui menait ce couple si particulière.

En attendant le debut de cette cérémonie qui prometait être très ennuyeuse. je pris place un peu en retraite. Selon mon cousin, l'église n'allait pas se remplir Domy vira ou laissa partir ses amants ainsi que la femme qui a vu son couple briser par les saloperies d'une vieille femme de joie, l'autre qui n'a pas voulu partager son homme... Elle fit bien le menage, on va dire... donc j'aurais surement droit à une chaise. Pourtant, il y avait déjà plusieurs personnes.

Je restai assis tranquillement et j'attendis la suite du mariage entre la vieille femme et le coucou heureux...

Mais, je ne durai que quelques minutes là. avant de m'en dormir, je me dirigai à la Cathédrale pour prier au très haut.

Mon cousin ne pouvais pas m'en demander plus. S'il voulait eviter que la ville soit pillée, cette ville bien placée car elle est près de la frontière, ben.. après la publicité qu'ils eurent. Ils ne tenteraient rien. du moins, c'est cela que j'esperais.

Après avoir prié, je quittai la Cathédrale en sogeant à la vieille maitresse et au coucouc heureux qu'elle avait épousé.

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Pourquoi se faire des ennemis si on ne veut pas se battre contre eux?

Thetys

Ondoyant et chantonnant, le pas glissant sur les pavés comme les gouttes qui ruissellent avant de lessiver le sol, Thetys s'accoutumait aux lieux de la Province tandis qu'elle promenait sa silhouette filiforme de part et d'autre ; et en ce jour elle se dirigea nonchalemment vers un des hauts lieux du Comté. Elle ne savait pas vraiment ce qui la guidait en fait : peut-être juste un besoin de tranquilité dans l'agitation et les turbulences du monde qui l'entourait, peut-être juste un besoin de retrouver la sérénité de l'esprit malgré les vagues qui l'agitaient, ou peut-être encore simplement la curiosité elle qui n'avait jamais encore mis les pieds de son existence dans un lieu sacré.
Elle savait juste une chose... son coeur serait à jamais lié à cette force invisible, cet être à part et pourtant si absent en ce moment qu'il lui manquait terriblement. Et elle craignait sa faiblesse.

Elle leva les yeux devant elle et se sachant seule -les vautours ayant disparus des lieux depuis bien longtemps emportant leur charogne avec eux comme un cadeau du Père Noel après l'heure des festivités, sans goût et sans saveur de ne pas participer aux réjouissances à temps- elle se mit à marmonner doucement, dans le vide, ne sachant pas vraiment où sinon adresser sa demande : Si tu es là aussi, protèges-le... et protèges moi que je ne sois point tentée !

Et la tranquille jeune fille, après avoir soumis sa divine requête sortit de la cathédrale, apaisée et le coeur soulagé malgré le grand émoi qui l'étreignait et s'en fut vacquer à ses occupations.

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Dandolo

En ce 9 mai, les Aristotéliciens fêtaient le souvenir de Lescure, homme pieux s'il en était. Le Saint avait laissé derrière lui un Ordre religieux dont certains membres se dénommaient eux-même "Prêcheurs"...

La Foy... La Vérité... Ne se tait pas mais éclate au contraire comme un grand cri et s'affirme avec sérénité.

Le Grand Maitre n'était pas prêcheur et encore moins religieux. Il avait prononcé d'autres voeux autrement plus laïcs. Mais il entra dans la Cathédrale pour y prier et en appeler au Très Haut de l'aider à s'y tenir.

Installé dans un coin, il récita la prière des hommes d'armes qu'on lui avait apprise des années auparavant:

Donnez-moi, Très Haut, ce qu'on Vous a laissé
Donnez-moi ce qu’on ne Vous demande jamais.

Je ne vous demande pas le repos ni la tranquillité
Ni celle de l’âme, ni celle du corps.
Je ne vous demande pas la paix ni la félicité
Ni même la santé, ni le réconfort.
Tout ça, Très Haut, on Vous l'a tant sollicité
Que vous ne devez plus en avoir.

Donnez-moi, Très Haut, ce qu'on Vous a laissé
Donnez-moi ce que les autres Vous ont refusé.

Je veux l’insécurité et l’inquiétude.
Je veux la tourmente et l'incertitude.
Et que vous me les donniez, Très Haut, définitivement.
Que je suis sûr de les avoir toujours
Car je n’aurai pas toujours le courage, constamment,
De vous les demander avec amour.

Donnez-moi, Très Haut, ce qu'on Vous a laissé.
Donnez-moi ce dont les autres ont délaissé.

Mais épargnez-moi aussi la rage,
Et le doute et le désarroi.
Mais donnez-moi aussi le courage,
Et la force et la vraie Foi.
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Saint Sépulcre.

Loupameth

C'était pour Loupameth un grand moment et une grande satisfaction d'installer l'annonce des ces bans pour son mariage en la cathédrale D'Auch .

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Tipoison

Tipoison arriva comme d' habitude un peu avance pour préparer l' Eglise pour l'office,elle fit teinter les grandes cloches afin d' avertir les fidèles que l' heure consacrée au Divin approchait,

Elle se posta donc à l' entrée pour les accueillir et les,chacun, gratifier d' un chaleureux sourire et d' un signe de tete en guise de bonjour,
lorsque tout le monde fut entrer ,elle s' approcha de l' autel et commença:

Mes biens chers frères, mes bien chères sœurs, fidèles, bienvenue à tous dans la maison du Très Haut, dans votre maison, commune à tous Ses enfants !

Nous sommes réunis Ici Lieu comme tous les dimanches que le Très Haut nous accorde.
cette messe a un caractère un peu exceptionnel,en effet ,je viens d' etre nommer eveque de Toul ,je tiens donc à dire aurevoir à tous les paroissiens,

Débutons ensemble par une chose essentielle, la confession de nos péchés.

Une fois que tous eurent terminés, avec plus ou moins de discrétion, Tipoison resta silencieuse quelques secondes tandis que son regard balayait l’endroit,
Puis elle reprit la parole.

Vous n’êtes pas sans savoir que tout autour de nous, dans nos Comtés, Duchés, mais aussi en autre terres que le Royaume de France, une crainte nous est commune.
Crainte de la guerre, crainte de voir que l’hérésie se propage aussi rapidement que les mauvaises herbes, crainte de ne pas revoir un être cher parti sur les routes à cause de nombreux brigands, crainte également de multitude de choses, de sentiments qui s’évaporent au fur et à mesure des malheurs et déceptions que l’on ressent.

Ces craintes sont naturelles, et ne doivent pas être gardées pour soi. Nous avons la chance de ne pas être seuls et il ne faut pas l’oublier.
Beaucoup trop de monde oublie l’essentiel. Ils oublient la chose unique, merveilleuse, le cadeau qui n’a pas de prix que nous a offert le Très Haut. Ils oublient l’Amour.

Elle se tut une seconde puis lut un extrait du Livre des Vertus

Voici un extrait du Livre des Vertus, La Vita de Christos, chapitre X

Citation:

Citation:
Un bruit assourdissant régnait en cette place. Et pourtant, quand Christos monta sur la fontaine centrale, et qu’il s’adressa à la population, tout le monde se tut et l’on n'entendit bientôt plus que sa voix claire et douce qui se détachait dans le silence.

" Hommes et femmes de Jérusalem, disait-il, venez à moi entendre la parole de Dieu. Il ne veut que partager avec vous Son amour. Aimez-le et vous Le comblerez de joie, et cette joie sera aussi dans vos cœurs. Détournez-vous de Son amour et Il sera peiné, et cette peine sera votre plus grande souffrance. "

Alors, la foule s'amassa autour de Christos et nombreux furent ceux qui lui demandèrent:

" Mais qui es-tu donc, étranger, pour connaître si bien l’amour de Dieu? "
Christos leur répondit: " Je suis Christos, de Nazareth, le messie, guide et miroir de la divinité, habité par Dieu. Aristote le prophète avait annoncé ma venue, afin que je vous montre la voie à suivre pour vivre dans l’amour du Très Haut. "

Mais certains doutèrent encore de ses paroles et dirent: " Comment savoir si tu dis vrai, si tes paroles ne sont pas que du miel destiné à nous boucher les oreilles pour que nous nous détournions de Son véritable message? "

Christos leur répondit: " Voyez comme vous-mêmes, comme vous vous êtes tus lorsque j’ai commencé à parler et comme vous êtes tous venus à moi ! Ecoutez vos cœurs crier la foi qui se nourrit de mes paroles. Regardez donc autour de vous! Dans la foule autour de moi amassée, nombre d’infirmes se sont levés pour venir m’écouter, nombre de malades m’ont approché, sans même se rendre compte qu’ils sont enfin guéris, nombre de vieillards fatigués ont retrouvé une nouvelle jeunesse en m’écoutant. Car Dieu nous aime, et ceux qui m’écoutent et me croient sont bénis de Lui. "

Mais qu’est-ce que l’Amour ?

C’est un sentiment incroyable qui vous réchauffe le cœur quand tout semble froid, c’est le sourire d’une sœur, la main d’un ami, le réconfort d’une mère.
C’est aussi ces personnes qui marchent à vos côtés dans la même direction, c’est les larmes de joie d’un enfant, la leçon d’un professeur, l’encouragement d’un parrain, l’écoute d’un clerc.

C’est aussi le rire d’un inconnu dans la rue ou le retour après une longue absence dans son foyer ou dans un lieu qui nous est cher.

Tout est Amour, tant que l’on ouvre son cœur. Ne vous refermez pas sur vous-même et ne cessez jamais d’aimer. Même quand vous croyez qu’il n’y a plus d’espoir, n’oubliez jamais que le Très Haut vous aime.
Et par Son Amour, aimez vous, aimez Le.

N’oubliez jamais d’aidez ceux qui doutent, ceux qui oublient d’aimer. Rappelez leur ce qu’est l’Amour, tendez leur la main, ouvrez leur votre cœur.
Parlez de Lui, distribuez l’Amour et n’ayez crainte du bruit que font ceux qui doutent, ou ceux qui se sont perdus dans les ténèbres. Car si votre Amour est sincère, ils vous entendront.
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Audra

Audra se rendit a la cathédrale afin d' y assister a la cérémonie dominicale. Elle arrivait tout juste de l'Ordre et ne voulait pas manquer cette office. Elle ouvrit la grande porte de bois, se signa du bout des doigts en exécutant une genou flexion. Puis elle franchit la grande allée d' ou filtrait le soleil par les grande fenêtre .

Elle prit place dans le troisième banc et s' agenouilla afin d' y prier silencieusement Dieu.

Puis quand la messe commença ., elle écouta attentivement avant de prononcer cette confession des péchés.

Ensuite elle écouta l' extrait du livre sacré sur l' amour. Cet extrait elle l' aimait tout particulièrement et la touchait profondément, car la prêtresse avait bien raison de le commenter de cette manière.

Tipoison

Elle se tut à nouveau, quelques secondes.
Puis après avoir regardé à nouveau les personnes présentes...

Mes amis, fidèles, je vous demanderai de bien vouloir entonner tous ensemble le credo!

Et d'une voix claire et chantante, elle entonna avec eux

Tipoison garda le silence quelques secondes avant de poursuivre...

Elle finit de chanter le crédo en compagnie des fidèles. Certains manquaient un peu d'entrain, mais bon, elle ne leur en tenait pas rigueur, après tout, c'est pas donné à tout le monde de savoir chanter juste !
Toujours le sourire aux lèvres, elle annonça le moment du partage

Chers fidèles, voici maintenant venu le temps du partage du pain et du vin, en souvenir de Christos et de son sacrifice, prémisse de l’amitié Aristotélicienne !

Ne soyez pas timides ! Venez me rejoindre..

Mimique amusée, elle partagea donc cela avec ses amis, ses frêres et soeurs.
Puis une fois cela fait, comme il fallait bien clôturer cette office, elle descendit les quelques petites marches de l'autel

Je vous souhaite à tous une bonne journée, qu’Aristote veille sur vous, que le Très Haut guide vos pas ! Et n’oubliez pas l’essentiel : aimez vous les uns les autres !
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Skaski

La cathédrale était prête à accueillir les croyants, venus faire leurs aurevoir à leur bien aimée ex Mairesse de Saint-Bertrand. Skaski se préparait pendant ce temps dans la sacristie
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Nkhan

6 mois...voilà 6 mois qu'il était parti de cette terre, pour aller faire la Guerre au nom du Roy, lui, le Baron, vassal de Sa Majesté, et habitant de Saint Bertrand...un homme qui avait tant donné à cette terre d'accueil, et qui l'avait quitté des mois durant sans trop de pincements au coeur...

Il était couvert de crasse...son armure, qu'il portait comme une deuxième peau, portait encore les stigmates des combats passés...quelques tâches de sang séchées parsemaient ci et là la gangue de poussière qui recouvrait les plaques de métal..
L'une des tâches semblait pourtant un peu plus fraiche, témoignage d'une rencontre sur les chemins entre Saint Lisiers et Saint Bertrand de Comminges. Un étrange personnage avait alors fait irruption devant lui, pour tenter de détrousser le convoi que le Baron menait. Ce n'était pas un convoi très impressionnant il fallait dire...juste un cheval de bât, et deux de ses hommes, plus employés pour la gestion courante de la vie en période de Guerre que comme hommes d'armes.

Le Baron s'était alors fait le plaisir de descendre de sa monture et de se dérouiller le bras sur l'herpaille qui tentait de le détrousser.
La besogne achevé, le vilain n'ayant pas mandé son reste, il avait envoyé l'un de ses hommes signaler le délit auprès de la prévôté, en donnant une description qu'il espèrerait précise du brigand.
Puis il s'était remis en route...

Les cheveux gras, la barbe en broussaille, mais son épée et son bouclier toujours prêt au comabt, sa première action, entré chez lui, fut de se diriger vers la Cathédrale d'Auch..non pas qu'il eut envie de se confesser..Il était parti avec ses convictions et elles l'animaient toujours...mais en rentrant vers sa propriété de Saint Bertrand, il avait appris une terrible nouvelle..
Damejeanne, une personne qu'il avait appris à apprécier, une personne digne, animée par un fond plein de compassion et d'empathie avait trépassé...
Et il voulut lui rendre un dernier hommage, devant Dieu et Aristote.

Aussi, ce fut dans des atours propres aux combattants qu'il parvint devant l'imposante bâtisse faite de pierres, et consacré à Dieu. Son accoutrement prouvé sa noblesse, mais son aspect restait cependant crasseux. *Au Diable le bain*, s'était dit le Baron, *il attendrait bien...*

Sautant de la selle de son lourd destrier, il regarda l'édifice religieux...
Puis, le visage morne, il se dirigea vers la lourde porte, et pénétra en son sein...la fraicheur qui régnait dans le bâtiment, tranchait avec l'atmosphère lourde de ce début d'été..
Se signant, il se dirigea vers les travées..afin de trouver l'alcôve réservée aux prières et autres dépôts de cierge.

Allumant l'un d'eux, il ferma les yeux et se plongea dans une prière..
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Ninon2

Ninon pris place dans les ranges ayant plus de peine que jamais .
s installe et prie dans un silence glaciale.
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Saintjust

Antoine s'était rendu aux abords de la cathédrale gasconne. Il était loin le temps où l'Aquitaine de Guillaume volait le titre aux Armagnacs mais le souvenir des livres monastiques savaient redistribués quelques lambeaux de ce passé lointain.

Il s'installa près de la porte, s'adossant au mur. Il ne croyait pas en ce très-haut aristotélicien et resterait à jamais fidèle à Richenoue... Néanmoins, il lui fallait rendre hommage à une personne qui avait donné un peu de sa vie au bien-être de sa ville.
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Bourgeois auscitain et fier de l'être.. Il n'y a qu'à regarder mes braies pour en être convaincu.

Aubade

Aubade s'avança timidement sur les marches de la cathédrale, le coeur battant.
Elle entra et sentit l'air glacial se poser sur ses épaules.

Les larmes lui montèrent aux yeux quand elle vit toutes les bougies qui éclairaient l'hotel d'une lumière dansante. Les petites flammes lui disaient que Jeanne était en paix et heureuse et qu'elle veillait sur elle.

Elle avança dans les tous premiers rangs, s'agenouilla et pria pour sa soeur pour qu'elle repose en paix.

Benedom

Benedom, avançait vers le parvis de la cathédral , malgré les tourments que l'église et la néfaste inquisition avait fait subir à sa famille pour être templier, Damejeanne méritait pour son dernier hommage sa présence.

Il avait revêtu son pourpoint avec les armoiries de sa famille et portait la cape brodée de la croix du temple , son oncle le Seigneur d'Evol, Baron d'Opoul, et dernier sénéchal de la commanderie templière du Mas Deu lui avait offert lors de ses vœux.

Comme la tradition catalane , son portefaix le suivait portant le pavois des Oms,: quatre faixes d'or couchées sur un lit de sang.

A l'entrée du lieu de culte il reconnu les capes de la garde d'honneurs des chevaliers hospitaliers qui venaient pour accompagner en sa dernière demeure celle qui avait incarnée le don de soi et la charité.

Il saluât le sénéchal du détachement Hospitaliers,

En entrant dans la cathédral il vit au fond contre le mur Saintjust, lui aussi avait sacrifié pour un moment et pour notre Damejeanne, à ces convictions il le saluât du chef,

En traversant la nef il reconnu moult visages du peuple d'Armagnac et surtout de Saint Bertrand.

Tous étaient là pas pour Aristote mais pour feu Damejeanne.

En arrivant au chœur il vit dans les premiers rangs les autorités et les nobles du comté dont certains semblaient plus en période de campagne que en prière recueillis.

Pour ne fâcher personne il ne saluât aucun sauf sur les bancs de la famille Dame Aubade en l'embrassant.

Puis alla devant le dais funéraire s'inclinât en silence une dernière fois devant le corps de son amie.

Aligot , le portefaix inclinât ,comme la tradition le veux par trois fois le blason des Oms.

Benedom , fit demi-tour et au lieu de rejoindre les rangs de la noblesse il préféra aller s'installer avec les voisins de Saint Bertrand de Comminges
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Laureline.

Isambour. avait rejoint les abords de la cathédrale non sans mal. Une foule était massée devant le grand porche. elle reconnut la silhouette de Benedom drapé de sa cape de la croix du temple. elle se fraya un chemin parmi les badauds et entra dans ce lieu de recueillement.

Elle avança le coeur battant et submergée par une profonde tristesse. Elle n'avait pas eu le temps de découvrir cette grande dame à qui l'on rendait hommage, mais la ville entière de Saint Bertrand était imprégnée de sa marque.
Les mêmes mots revenaient sans cesse dans toutes les conversations évoquant son souvenir, bonté, générosité et don de soi, telle était Damejeanne.

Isam arrivait à hauteur des personnalités et surtout devant Aubade, elle s'arrêta devant elle, lui prit les mains et l'embrassa avec une grande affection...
Puis elle se dirigea vers le cercueil afin de s'y recueillir un moment et dire adieu à cette grande Dame et lui demander de veiller sur sa ville et les guider dans la poursuite de son oeuvre.

Hyannos

Hyannos, après un bon jour de marche, arriva au pied de la cathédrale car il avait appris qu'une messe y serait célébrée en mémoire de Damejeanne. Il s'avança sur le parvis puis plus avant dans l'église, étonné qu'il était de reconnaître personne

"mais que sont mes amis devenus..." pensa t-il

personne excepté Sieur Nkhan encore recouvert de son armure poussiéreuse.

"Mais l'habit ne fait pas le moine et c'est en l'intérieur que brille la bonté"

Il s'avança doucement dans la nef et se colla contre un pilier, puis il se mit à prier pour le salut de celle qu'il avait peu connue mais dont il avait eu largement le temps d'apprécier la bonté
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Hyannos Maître Boulanger à Lectoure
Etudiant en droit et en navigation

Skaski

Il y avait beaucoup de monde. Skaski commença :

Mes amis, aujourd'hui est une triste journée pour ceux qui ont connus DameJeanne, une triste journée pour la famille de la défunte... Nous allons donc d'abord nous confesser tous ensemble, afin que notre prière porté au Très-Haut pour DameJeanne soit une prière très sérieuse.

Citation:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Pendant ce temps, des hommes apportèrent le cercueil encore ouvert jusque devant l'autel
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Wesley_cooper

Wesley entra dans l'enceinte de la cathédrale et semblait préoccupé . Il pensait à Dame Jeanne , une femme qu'il admirait pour sa dévotion envers la ville de Saint-Bertrand de Comminges . Mais il pensait surtout à Dieu .. Il croyait dur comme fer à son existence malgré le fait qu'il n'était pas chrétien . Il se sentait néanmoins en paix lorsqu'il entrait dans un batiment religieux . Il alla saluer Isam et Aub et s'installa prés d'eux attendant que la messe fut dîte .

Aubade

Aubade était rassurée de voir l'Eglise qui se remplissait. Elle savait que sa soeur était aimée et appréciée. Elle remercia du regard les personnes présentes, ses amis, Saintjust, Isambour, Wesley, Benedom, Ninon, Naw, et tous ceux qu'elle ne connaissait pas.
Elle regardait le cercueil et vit sa soeur si belle et si paisible. Elle ne put retenir ses sanglots. elle savait que ce n'était qu'un corps, l'âme de sa soeur était présente et veillait sur elle et sur tout le village.

Elle reprit avec le prêtre

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Nkhan

Nkhan avait rejoint l'assemblée et, à l'invitation du prêtre, avait entamé, dans une remuement peu perceptible de sa barbe, la confession demandée...il ne pensait pas avoir à se confesser..non pas qu'il se jugea au dessus de Dieu et de son jugement, nullement...cependant il pensait que Dieu avait bien autre chose à faire que de se soucier des hommes...à qui, il le pensait, Il avait donné le libre arbitre...
Le Baron barbu croyait en l'homme, malgré tout, et fière finalement de l'idée qu'il se faisait de l'honneur, de ses valeurs, celles pour qui il combattait, par le verbe et l'épée, il ne pensait donc pas avoir à se confesser pour les actions que celles-ci (ses valeurs) sous-tendaient...

Cependant, il n'était pas homme parfait...il était homme de guerre, prêt à se battre, l'armure encore souillée de ses ennemis...oui il prenait des vies, et il devait se confesser pour cela...mais le "pourquoi", il ne pensait pas devoir faire confession pour cela.
La Royauté était un concept que peu souhaitait appréhender...c'était un tout, délimiter par la terre, par le pouvoir la régissant, et par le peuple...cela ne formait qu'une et indivisible partie. Mais plus encore elle pouvait représenté des valeurs, qui étaient fondamentales pour le barbu...le respect de l'autre, l'honneur, la protection des faibles notamment...

Il secoua la tête...cela n'avait pas d'importance en ces temps de tristesse...

Passant la tête, regardant l'assemblée, il croisa le regard de Hyannos, qu'il salua de la tête.

Puis pensa très fortement à la disparue...son cercueil faisait route vers le choeur, et la tristesse se lisait sur les visages des personnes présentes...

*Foutu vie* pensa le Baron...*Ce sont toujours les meilleur-e-s qui partent en premier*...
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Saintjust

Antoine écoutait les prises de paroles du prêtre sans y répondre. Il n'était présent que par respect mais il ne pouvait se fondre dans la masse des aristotéliciens.

Il fît une brève prière à Richenoue dans l'anonymat de ses pensées et continua à suivre la suite de la cérémonie.
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Bourgeois auscitain et fier de l'être.. Il n'y a qu'à regarder mes braies pour en être convaincu.

--Aldonza_la_joie

Petite et menue comme un chat sauvage Aldonza
s'était faufilée sur le parvis de la cathédral. Elle avait marché toute la nuit pour rendre hommage à celle qui l'avait recueilli soigné et nourrie même si elle Aldonza n'était qu'une de ses filles de plaisir.

Là au milieu de la populace , elle voulait y être aussi .

Damejeanne le méritait car sans un mot ni un reproche ni un baptême elle avait;

il y a bien longtemps ;

donné du pain et du temps à une gueuse comme elle.

Aldonza voyait passer dans le couloir d'honneur maintenu par les soldats les officiels, les prévôts et marchands ceux la même qui bien souvent lui avait refusé l'aumône.

Dans cette cohorte , de sans cœur , elle reconnue un visage , l'homme qui lui donnait des deniers pour des moments de plaisir.

Il détourna le regard en croisant le sien.

Mais savait il que c'était Damejeanne qui l'avait aidée et que son hôpital à Saint Bertrand encore gardait et nourrissait le fruit des plaisirs?

Ce fruit portait un nom Jeannette ,,,,

Aldonza compris qu'elle ne pourrait pas entrer , et disparu vers le coin de la place.

C'était décidé le bouquet de jonquilles elle irait le mettre sur la tombe la nuit seule et tranquille

Damejeanne comprendrait

Nael35

nael arriva tout de blanc vêtue
Elle se fit discrète car comme a sont habitude encore en retard
Jeanne ne lui en voudrait pas elle là connaissait et savait combien nael pouvait se battre avec ce fichu temps
C'était donc le plus discrètement possible quelle alla s'assoir sur les bancs de la dernière rangée
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La vie ce n'est pas d'échapper a la tempête , mais de danser dans la pluie

Greg.

Greg qui rentrait de Tarbes, s'était aussitôt vêtu comme il fallait pour l'enterrement de son amie Damejeanne.
Il vit plusieurs personnes présentes et se dit "c'est Jeanne qui sera heureuse de voir tout ses amis, de là haut".
Il soupira encore et encore. Il se mis aux côtés d'Aubade, tout en écoutant le Curé puis se confessa..

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Skaski

Skaski monta sur la chaire

Lecture du livre des vertus, livre I, la fin des temps Chapitre V :

Citation:

Je Lui demandai: “Quand serons-nous jugés? Quelles seront les peines et les récompenses que nous aurons?” Il me répondit: “J’ai décidé, lorsque J’ai fait des humains Mes enfants, de leur faire le plus beau des cadeaux: J’ai fait de tous vos esprits des âmes, vous permettant de gagner le Paradis si vous suivez les enseignements d’Aristote et de Christos, mais vous punissant des Enfers si vous vous détournez du chemin qu’ils ont tracé. Vous êtes en cours de jugement tout au long de votre vie. Chaque pensée, chaque parole et chaque action influent sur Ma décision finale. Lorsque chacun de vous meurt, Je décide de votre destination éternelle. Selon que vous avez été vertueux ou pécheur, vous rejoignez les rangs des élus ou des damnés.”

Je Lui demandai ensuite: “Mais à quoi ressembleront les humains qui accéderont au soleil ou à la lune? Ne serons-nous que de purs esprits? Que deviendront nos corps? Que sont ces anges et ces démons?” Il me répondit: “Le corps ne peut vivre sans l’esprit et l’esprit sans le corps, car J’ai fait de la vie l’union de ces deux états. Lorsqu’un humain accède au Paradis ou à l’Enfer, le corps qu’il avait sur le monde est abandonné pour nourrir la vie et un nouveau corps lui est donné en échange. Celui-ci est à l’image de l’esprit de l’humain: il en représente soit la beauté soit la laideur. Les anges sont ceux qui, par leur sainteté, ont obtenu un corps si parfait qu’ils me secondent dans le soleil. Les démons sont ceux qui ont tant vécu dans l’erreur que leur corps n’est qu’horreur et bestialité.”

Skaski attendit trois minutes après sa lecture afin que chacun des fidèles réfléchissent aux paroles apportées.

Il se releva ensuite

Redisons ensemble notre foy :

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Aubade

Aubade écoutait ce que disait le Prêtre les yeux rivés sur le cercueil.

Elle pria pour Jeanne car elle savait que cette dernière était croyante alors que elle même était allée si rarement à l’Église quelle connaissait très peu les prières.

Mais elle répéta après le curé

Je crois en Dieu le Très Haut Tout Puissant Créateur du ciel et de la terre
Des Enfers et du Paradis
Juge de notre âme à l’heure de la mort
Et en Aristote son prophète
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l’univers aux hommes
Je crois aussi en Christos
Né de Maria et de Giosep
Il a voué sa vie à nous montrer les chemins du paradis
C’est ainsi qu’après avoir souffert sous Ponce
Il est mort dans le martyr pour nous sauver
Il a rejoint le soleil où l’attendait Aristote
Je crois en l’action divine
En la sainte Église Aristotélicienne Romaine
Une et Indivisible
En la communion des Saints
En la rémission des pêchés
En la vie Éternelle

Amen

Delmas_louis

_Une Calèche aux armoiries de Saint Bertrand arriva à grand train aux abords de la Cathédrale de Auch.

_El_lovo en sortit et en fît rapidement le tour, pour aider Hélenedid à en descendre.
Le jeune maire donna quelques instructions au cocher et à l'homme en arme assis à ses côté, et avant que l'attelage n'aie disparut en direction des écuries, Léne et Lovo avait atteints le parvis du lieu Saint.

_La musique sonnait déjà dans l'église, la messe venait de commencer.
Saluant Aubade et quelques personnes connues d'eux, ils entrèrent en silence ne voulant pas déranger l'office.

_Les bancs étaient replets de gens de toutes confessions, si ce n'avais été pour un enterrement, celà aurait été plaisant à voir...

_La grande Dame qu'ils étaient venu saluer pour la dernière fois, reposait là allongée dans son écrin de bois, triste carrosse qui devrait l'emmener, jusqu'aux portes d'un autre monde.

_La mort arrivait toujours comme une pluie glaciale , et le jeune homme avait toujours grande peine a concevoir, qu' à un instant on était dans toute sa grandeur et dans le temps d'un éclair on n'était plus rien.

_Lovo regarda Lène empreinte aussi de tristesse, la couvrit d'un regard bienveillant, puis reportât son attention sur l'office en cours.

Chrisfish

chris était resté quelques instants sur le parvis...
tout comme pour retarder au maximum ce dernier au revoir à sa ptite jeannou...

il pénétra dans la cathédrale avec comme seule compagne... ses souvenirs...
fait quelques signes de tête pour saluer les personnes, ami(e)s qui se trouvaient deja là...

il se dirigea vers Aubade... la serra délicatement... d'un geste se voulant réconfortant... tel un grand frère... lui fit un délicat poutou ... s'installa en prière à ses cotés ... ecoutant le pretre de SBC orchestrer la cérémonie...
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Skaski

Mes frères, mes soeurs, la mort est, comme nous le savons, un passage vers une vie éternelle : Les bons vont au Soleil, rejoindre Aristote et Christos, là-bas, tout est parfait et splendide. Mais ceux qui ont fait du vice pendant toute leur vie, iront sur la Lune avec les 7 Démons, pour l'éternité ! Nous connaissons bien tous les péchês, prennez un temps chaque jour, et pensez quels péchés avez vous commis durant cette journée, et ensuite, une fois que vous les avez trouvez, repentissez vous, confessez vous, d'où l'importance de ce sacrement ! Si Dieu ne nous aimerait pas, il nous pardonnerai pas, or ici il cherche à pardonner à tout pris, il nous tend la main. Alors saisissons cette occasions, cela veut le coup : la vie éternelle dans un monde parfait.

DameJeanne était impliquée dans la politique de Saint-Bertrand de Comminges. Une femme active, souriante à la vie. Sa vie professionnelle, son manque de repos l'a conduit à la fatigue sans doute. Mais Dieu prendra compte de son engagement envers les autres.
Mais l'homme ne meurt pas tant que réside encore en nous la mémoire, que ce qu'il a fait ne tombe pas dans l'oubli, souvenons nous de ces bonnes actions passées.

Skaski se rapprocha du cercueil

Et maintenant que ceux qui le désire ou qui en ressentent le besoin viennent dire leurs Adieu auprès du défun, un par un.
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Greg.

Greg après avoir écouté le Curé Skaski, se rapproche alors du défunt, et y déposa une fleurs. Ensuite, il chuchota doucement..

Damejeanne, Jeanne, mon Amie, garde moi une place auprès de toi là haut, pour qu'on puisse se retrouver un peu plus tard.
Surveille nous aussi de là haut, et surtout repose toi, tu le mérite.
Je garde une place pour toi, dans mon cœur, tu me manque mon amie.

Puis s'écarta, le cœur lourd..

Skaski

Skaski ferma le cercueil, désormais le corps de DameJeanne ne sortirai plus de ce cercueil. Les mêmes hommes qui ont apportés le cercueil au début prirent le cercueil et suivèrent Skaski qui se dirigait vers le cimetière. Les fidèles venus prier pour le défun suivirent le cercueil.

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Aubade

Aubade se sentait entourée et soutenue par ses amis. Elle leur était tellement reconnaissante d'être là.

Elle regarda une dernière fois sa soeur chérie avant que le cercueil ne se referme à jamais et murmura

Tu resteras toujours dans mon coeur. Ton corps s'en va mais je sais que ton âme resteras auprès de moi et veilleras sur tous ceux que tu as aimés et qui t'ont aimés.

Elle suivit le cercueil que les hommes portaient dans l'allée de l'église avec des larmes pleins les yeux.

Helenedid

Encore sous le choc du triste événement, Lène avait machinalement suivi Lovo. Elle avait peiné à refaire surface après... la chute...

La main dans celle celle de son amant, les yeux hagards depuis qu'ils avaient tous deux pris la route au départ de Saint Bertrand, elle se tenait debout dans le fond de la cathédrale.

Toute à ses pensées, elle n'écoutait absolument pas ni le clerc ni toutes ses bondieuseries.

Une pensée lui traversa l'esprit...
"Jeanne... Jeanne... Et toi qui a tout essayé pour me faire à nouveau rentrer dans une cathédrale aristotélicienne... Le droit chemin tu disais... Gagné ! Pffffff ! On peut dire que tu as réussi ton coup"

Elle pria sincèrement, laissant parler son coeur plutôt qu'en débitant les prières automatiques qui ponctuaient comme d'habitude les cérémonies religieuses.

Delmas_louis

_La messe prenait fin à présent... Un défilé se formait passant auprès du cercueil de la défunte, le lourd couvercle se refermait à présent sur le corps de Jeanne...

Adieu Damejeanne...

_Perdu dans ces pensées et quelque peu préoccupé par Léne, El_lovo exerçât une légère pression sur la main de sa promise, puis l'invitât du regard a sortir de la Cathédrale...

_Au dehors le soleil les assaillis de ses long rayons au doigts tièdes, c'était ça la force de la vie, elle vivait dans la mort aussi.

_Tout deux marchèrent un moment pour rejoindre les écuries, leurs pas meublaient le silence en rythmant leur pensées endeuillées...

_Peu de temps après un cocher guide son carrosse haranguant ses bêtes, la calèche Bertrandaises quitte la grande plaine de Auch emportant Hélenedid et El_Lovo à son bord...

Skaski

Arrivés à l'endroit indiqué, les hommes déposirent le cercueil dans le trou et Skaski prononca :

Nous allons maintenant confier à la terre le corps de notre soeur dans ce lieu où reposent déjà tant de défunts de nos familles. Le moment est venu de lui dire "à Dieu".
C'est un moment de tristesse, mais il faut que l'espérance reste forte en nous. car nous espérons revoir Damejeanne quand Dieu nous réunira, dans la joie de son Royaume.
Recueillons-nous en pensant à tout ce que nous avons vécu avec Damejeanne, à ce qu'elle est pour nous, à ce qu'elle est pour Dieu.

Un silence s'installa, puis Skaski aspergea d'eau bénite le cercueil et dit :

Citation:

"Cette eau, souvenir de ton baptême,
nous rappelle que Dieu a fait de toi son enfant.
Qu'il te reçoive aujourd'hui dans sa Paix !"

Ainsi se termine ces funérailles, j'invite les amis de Damejeanne ainsi que sa famille à jeter symboliquement de la Terre, symbole d'Adieu.
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Greg.

Grég qui avait fait ses adieux, s'écarta du cercueil afin que ses proches le puissent aussi. Il suivit lentement les hommes qui portait le cercueil de son amie, puis jeta une poignée de terre de sa main droite, sur ce dernier, afin de symboliser l'adieu, après que le Curé l'ai aspergé d'eau bénite.
Il se retira ensuite de la cathédrale, n'arrivant pas à se dire que ce qui se passait était réel. L'épreuve était terrible, Jeanne lui manquera énormément.

Davidgradir

Le vicomte entra dans la cathédrale pour s'y recueillir... Il contempla Christos et d'une lumière pénétrante de part les fenêtres reliques des prêches de la foi, il vit lumière en Église. "Courage Armagnac, courage Comminges, devant la dérive des hommes, soit courageuse province. Ne tombe pas dans les travers de la foi facile en t'aidant du malin. Soit digne et lève ton cœur au dessus de la communauté." dit il tout bas, il se relève avec l'aide d'une canne.
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Amadeus0

Amadeus0 se rendit très tôt à la cathédrale, aujourd'hui devait se dérouler trois sacrements de baptême la future soeur Abriellyn, le futur frère Wolf et le futur frère Aizu.
Trois croyants qui allaient passer au stde de fidèles de l'église aristotélicienne.

Il désirait que tout soit en ordre, propre, éclatant car ses nouveaux frères devaient recevoir la bénédiction de Dieu en se lieu et Lui remettre leur vies entre ses mains de façon officielle. La famille céleste serai présente, le Père mais aussi Christos et Aristote ainsi que les archanges et les anges et participerait du haut des cieux.

Ainsi le maison de Dieu devait resplendir pour faire honneur à l'Un comme aux autres.

Il vérifia l'autel, l'orgue, les chorales avaient été convoquées. Les cloches vérifiées. les cierges seraient allumés quelques heures à peine avant la cérémonie.
Les fleurs disposées et toutes blanches pour cette nouvelle naissance vis à vis de la famille du Très-Haut.

Les postulants au baptême avait jeunés, puis priés et enfin méditer sur leur nouvelles conditions de vie ayant Christos pour exemple et modèle.

Tout était prêt, Amadeus0 voyant que tout était en ordre alla s'allonger dans le Presbytère attenant.

Lanceline

La Blonde avait reçu, très tôt, un courrier. De la part d'un Loup. Qu'elle devait sûrement connaître... Ou pas. Bref, elle était allée se laver aux thermes, avait mis une robe verte, relevé ses cheveux en un chignon qui laissait dépasser quelques mèches, et zou! La voilà en route pour Auch. Elle se fit indiquer la cathédrale, arriva devant. Les portes étaient fermées. Elle les poussa, les portes grincèrent un peu, comme pour dire"Tu n'es pas la bienvenue." Mais non, elle se faisait juste des idées! Elle entra dans le lieu saint, ne vit personne. Alors elle s'approcha du dernier banc, s'agenouilla, fit une courte prière avant de se relever, de se signer et de sortir prestemment... Elle attendrait dehors que le futur baptisé arrive.
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Toucoule

Toucoule se planta devant l'imposant monument, muni de l'invitation.
Ce serait donc ici... cathédrale d'Auch ?

Personne encore sur le parvis.

Il arrivait à l'invitation de ses amis futurs baptisés.
Il était fier dans sa chemise blanche du dimanche.
Il était fier avec sa petite famille tôt levée pour ne pas risquer d'être en retard.
Il était fier d'avoir été choisi comme parrain.
Il était Touc, Touc du dimanche en plus.

Après avoir cassé une petite croute dans le jardin municipal,
... une bonne tranche de jambon,
... une lichette de paté,
... avec du pain frais croustillant de Saint Bertrand,
... un reste de cassoulet... froid... mais du cassoulet de Saint Bertrand, ça se mange tout le temps,
... un petit gorgeon de ce vin aigrelet des coteaux, de l'eau tintée pour les enfants.
Et le soleil se mit à briller !

Xiaelle et Mathéo étaient impatients.
Ils décidèrent donc de rentrer dans la cathédrale en attendant.
La lourde porte grinça... et s'ouvrit sur une immense salle... lumineuse...
Et personne...

Ah si !
Une dame était installée tout là bas.
Sa tête n'était pas inconnue de Toucoule...
Etait-elle passée en taverne à Saint-Bertrand ?
L'avait-il rencontré lors d'un voyage ?
Confondait-il avec allez donc savoir qui ?

Les enfants choisirent une place, prêt d'un pilier, comme à l'église de Saint Bertrand.
Et ils attendirent presque sagement l'arrivée de l'assemblée.
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Drôle de merle, donc moqueur
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Porte sa croix, mais sans bannière

Amadeus0

Il se leva tôt en ce dimanche matin 24 octobre de l'an de grace 1458.
Il fit ses ablutions près du puits, l'eau froide le revigora.

Il mis ses vêtements de cérémonie et fin prêt se rendit dans l'église.
Il alla près du bénitier, petite génuflexion, l'eau bénite se signa, remercia Dieu de voir ce jour, puis il s'avanç dans la cathédrale.
Il aperçu une silhouette dans les derniers rangs et se rendit vers elle pour la saluer.

Bonjour ma soeur, soyez la bien venue icelieu, que le Ytrès-Haut vous bénisse!

Elle jeune personne le salua d'un petit sourire.
Il avança vers la nef centrale, Les cloches se mirent à sonner, le bedeau était déjà en action. Il était temps pour les croyants de prier leur Dieu et d'appeler au rassemblement son peuple.

Amadeus s'agenouilla et pria pour que Dieu bénisse cette journée et l'ensemble de sa création.
Puis alla vérifier l'orgue de la cathédrale.

Revenant dans la pratie prinsipale de l'église il aperçu quelques personnes il se dirigea vers eux, en avança il aperçu Messire Toucoule et toute sa petite famille. Il serendit vers lui pour le salua, lui son épouse et ses enfants

Bonjour Messire Toucoule! Soyez le bienvenu en cette maison de Dieu
Je suis heureux de vous voir si matinale, il va vous falloir attendre un petit moment. J'espère que tout le monde est bien couvert car le lieu est plutôt frais en cette période de l'année.

Si les enfants ont froid dites-le moi je leur apporterai des plaids.

Toucoule

Toucoule vit le curé saluer les paroissiens présents.

Amadeus0 a écrit:

Bonjour Messire Toucoule! Soyez le bienvenu en cette maison de Dieu
Je suis heureux de vous voir si matinale, il va vous falloir attendre un petit moment. J'espère que tout le monde est bien couvert car le lieu est plutôt frais en cette période de l'année.

Si les enfants ont froid dites-le moi je leur apporterai des plaids.

Merci bien à vous.
C'est très aimable.
Mais ce sont des enfants de nos montagnes.
Ils sont habitués aux rigueurs de notre pays.
Il fait doux ici... La plaine... et une belle fin d'été sûrement.
Et comme nous ne connaissions par l'heure, nous avons bien marché, ça réchauffe ça aussi.

Vous êtes venu à pied ?
Nous pourrons faire le chemin du retour ensemble si vous voulez ?
J'ai un bon gourdin pour convertir les malandrins...
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Drôle de merle, donc moqueur
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Porte sa croix, mais sans bannière

Aizu

Le jour avait son importance et il était anxieux. Anxieux de n'avoir eu de réponse de son futur parrain .. Il ne savait d'ailleurs pas si oui ou non il avait accepter. Anxieux également de son engagement envers le Très Haut. Non pas qu'il doutait, sa foy était bien réelle, mais plutôt du choix qu'il faisait. Son oncle avait fait le même il y a de nombreuses années et celui ci avait eu raison de sa vie.

Ithier avait fait son choix : il donnerait sa vie pour l'église. Il ne reviendrait pas sur ce choix.

Arrivant enfin en la cathédrale, il passa la grande porte et vit que certains étaient déjà présent.
Il se signa rapidement et se dirigea vers les premiers rangs non sans avoir saluer les personnes présentes.

Arrivé à hauteur d'Amadeus, il le salua et dit :

Amadeus, j'avais fait parvenir missive à Monseigneur Navigius pour être mon parrain mais je n'ai eu de réponse de sa part. Je n'ai donc pas de parrain pour mon baptême.

La déception se lisait quelque peu sur son visage. Ithier avait prit le vieil italien en modèle et en affection mais l'absence de réponse l'avait déçu, surtout sur cet engagement.
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Ithier d'Ail-Zou dict "Aizu"
° Sujet du Royaume de France.

Lanceline

V'là un homme qui s'amenait. Elle le connaissait? Possible... De loin, alors. Elle fut surprise quand l'ecclésiaste d'approcha d'elle.

Citation:

Bonjour ma soeur, soyez la bien venue icelieu, que le Ytrès-Haut vous bénisse!

Merci mon père.

Bref sourire de la jeune femme. Mais déjà il s'éloignait en direction de l'homme qui venait d'entrer. Une troisième personne, déjà, faisait son apparition et lui adressa un signe de tête, auquel elle répondit par un sourire. Connaît, connaît pas? Non, elle ne le connaissait pas.
Elle regarda devant elle, puis tressaillit. Le baptisé... Le reconnaîtrait-elle seulement?
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Amadeus0

Amadeus0, vit entré Aizu en la cathédrale.

Bien Messire Toucoule se sera un plaisir de partager cette marche avec vous pour le chemin de retour en notre bonne ville.
Pour le gourdin ne vous inquiétez pas nous avons bien mieux, Dieu nous protègera.

Il offrit quelques friandises aux enfants, lesquels le remercièrent mais les récusèrent par politesses, alors leur père leur dit de la prendre et ils le firent avec une joie non dissimulée qui brillait dans leur yeux.

Excusez-moi Messire mais voici Messire Aïzu, une des personnes qui va recevoir le sacrement du baptême en ce jour!

Messire Aïzu je vous présente Toucoule un paroissien bien fidèle à notre église,
présent à chaque offfice et venu spécialement assister à votre sacrement.

Pour votre parrain ne vous inquiétez pas c'est un homme de confiance il arrivera le moment venu. Et puis le chemin est long pour lui arriver ici.

Dans le cas ou il ne serai pas là si vous êtes d'accord, je serai votre parrain.
Mais il va venir.

Amadeus0

Laureline.

Amadeus0

Azuria.

Azuria savait qu'un baptême allait avoir lieu, mais elle n'avait pas été informée de l'heure précise de celui-ci . Elle préféra attendre sans bruit le commencement de la cérémonie ...

Mertin

Description RP

Thea16

Anabel

Kachina

Amadeus0

Les enfants de coeur entamèrent une louange plus moderne biensur, mais une louange qui venait de leur coeurs.
Il écoutait cette nouvelle composition lorsque Dame Kachina entra dans la cathédrale.

Lanceline

Abriellyn

Navigius

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Azuria.

Aizu

Navigius

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Amadeus0

Les prétendants au sacrement du baptême étant présent la cérémonie allait pourvoir commencer vraiment.

Le prêtre se tourna vers l'assemblée composée des fidèles et croyants, ainsi que des membres des différentes familles et des invités venus célébrer et le Dieu très haut et profiter de cette saine cérémonie ou les coeurs s'unissent dans l'amour de Celui qui a tout donné.

Il regarda la foule présente.
je me réjouis de vous voir tous ici dans un même élan, et je pense que Dieu en est également heureux, Il fera pleuvoir sur chacun d'entre nous ses bénédictions.

Aujourd'hui c'est un jour de fête pour Notre bientôt soeur Abriellyn, et pour nos bientôt frères Aizu et Wolf. mais pour nous aussi car la famille s'agrandit.

Dieu ne s'attends pas à ce que nous soyons parfait, mais il espère que simplement nous cherchions à vivre selon sa divine volonté.

Mes frères et mes soeurs il est temps pour moi curé de ce Comté de demander devant vous et humblement à notre Père céleste le pardon pour mes fautes et mes manquements, ensuite si d'autre veuillent suivre cet exemple ils le pourrons tout à leur aise.

Amadeus0 s'agenouilla, baissa la tête et joignit les mains devant son visage. Il se concentra et médita quelques instants puis lança vers le Très-Haut :

Il se tût, releva un genoux et tout en allant vers le saint livre il écouta les murmurent de demande de pardon dans les confessions.

Paquerette

Paquerette entra dans la cathédrale. Il y avait déjà beaucoup de monde pour ces baptêmes, beaucoup de personnes de Saint Bertrand... Monseigneur Navigius... On lui avait dit qu'il était rentré mais elle ne l'avait pas encore croisé.

Amadeus commença l'office. Derrière lui, et avec plusieurs des présents, Paquerette répéta :

Elle avait les yeux fermés et ressentait à chacun des mots prononcés. Elle avait tant besoin de réconfort en ce moment. Heureusement, un pigeon arrivé le matin lui avait donné quelques nouvelles de Phil. Elle espérait tant qu'il rentre vite.

Abriellyn

Abrie s'installa à la place qu'on lui attribua. Elle attira discrètement Wolf auprès d'elle le tirant par un bout de sa chemise. Une fois installer elle écouta le père Amadeus commencé la cérémonie. Elle baissa les yeux pour réciter la prière.

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Narutachi

Naru arriva devant cette grande cathédrale. Il poussa doucement les portes, qui celles ci se mirent à grincer légérement. Naru rougit un peu, car il ne voulait ne pas se faire remarquer et avait comme même réussi à faire l'inverse.

Naru avanca doucement vers Abrie, lui sourit doucement, lui donna les fleurs qu'il venait de cueillir.

Serra la main de Wolf et murmura:

-Bonjour bonjour vous deux!!!
je vais pas me faire remarquer plus que ça, j'en ai assez fait

Naru fila au fond de cette grande batisse, s'assit et ne dit plus un mot.

Gogor

Wolf rejoint discrètement sa fiancée pour la prière. Il salua Naru d'un signe de la tête, c'était gentil de sa part d'être venu pour leur baptême, puis se concentra sur les paroles du père Amadeus0 avant de commencer.

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Aizu

Le jeune homme reprit la confession à la suite du clerc.

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Ithier d'Ail-Zou dict "Aizu"
° Sujet du Royaume de France.

Amadeus0

Les prétendants au baptême avait fait leur acte de confession.
Le prêtre se tourna vers eux et leur sourit amicalement.

Mes enfants cette confession est pour Dieu une preuve immense de votre humilité et de votre compréhension qu'il est votre Père et mérite votre confiance et votre respect.

Je demanderai maintenant aux parrains et marraines de s'avancer près de nous. Si parmi vous marraines et parrain il y a un volontaire pour lire dans le livre des Vertus ce passage qui se trouve dans le Livre de la Création, Au Chapitre VIII - et qui s'apelle « La décision » :

Citation:

4 Dieu tourna ensuite Sa voix en direction d’Oane et lui dit : "J’ai fait de ton espèce Mes enfants. Je fais maintenant de vos esprits des âmes. Elles se différencient des esprits des autres espèces en ce qu’elles resteront dorénavant les seules à être de nature supérieure, à tendre vers Ma divine perfection. Ainsi, je divise le temps en sept parties, appelées "jours", afin qu’à chaque septième jour, toi et les tiens vous vous réunissiez pour honorer votre père : Moi."

5 "Mais il faudra encore que, chaque jour, toi et les tiens fassiez perdurer votre espèce. A l’exception de celle que Je n’ai pas nommée, J’ai fait de toutes les créatures vos soumises. Ainsi, vous vous en nourrirez, sans qu’elles ne se nourrissent de vous. Ce pouvoir dont vous disposez de vous nourrir des autres espèces, Je le nomme "travail". Mais, afin que vous n’oubliiez jamais que ce pouvoir est un don de Moi, vous récompensant ainsi de ta bonne réponse, Oane, le travail sera laborieux, difficile, usant et fatigant. Mais ne te plains pas de la souffrance que cela te cause, car, en vérité, c’est un bien beau cadeau que Je te fais."

6 "Afin que vous remplaciez par de nouvelles générations celles dont la vie se termine, je vous fais un cadeau bien plus beau encore. Cet amour que J’attends de vous, Je vous permets aussi de l’éprouver également envers vous, en couple. La tendresse et le désir mutuels seront les composantes de ce pur sentiment. La procréation en sera le but. Mais seul l’amour que J’aurai béni pourra permettre l’acte de chair, afin que votre espèce perdure dans Mon amour."

7 Alors, Dieu créa deux astres au-dessus du monde. L’un, rayonnant de lumière, fut appelé "soleil". L’autre, luisant froidement, fut nommé "lune". Dieu expliqua à Oane: "Que votre fidélité soit celle des enfants envers leurs parents ou je serai aussi sévère que les parents envers leurs enfants. Car, lorsque chacun de vous mourra, Je le jugerai, en fonction de la vie qu’il a menée. Le soleil inondera chaque jour le monde de sa lumière, par preuve d’amour pour Ma création. Ceux, parmi les tiens, que j’y enverrai, vivrons une éternité de bonheur. Mais entre chaque jour, la lune prendra la relève. Et ceux qui, parmi les tiens, y seront jetés n’y connaitront plus que la tourmente."

Spyosu

Amadeys0 guida les marraines et parrains vers le pupitre ou était ouvert le livre.

Anabel

Anabel qui ne connaissait rien de tout ça, suivait avec attention la cérémonie, les chants l'avait ravie et elle sentait ici une sérénité qui l'avait abandonné depuis longtemps.

Son fils, sagement assis sur ses genoux, tendait sa menotte dans les rayons de lumière qui filtraient par les vitraux colorés. Elle enfouit son visage dans son cou en écoutant les paroles répétées par les baptisés.
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Greg.

En une belle journée, Greg se rendit à la cathédrale mais arriva un peu en retard pour le baptême de son futur neveu..
Il en était un peu honteux..
Il écouta alors les paroles du clerc à son arrivée et se mis à répéter ces dernières pour la confession..

Citation:

Tout le monde se confessa alors et le clerc fit ensuite appel aux marraines et parrains des futurs baptisés..
Greg avait accepté d'être le parrain de Wolf71, il s'approcha alors au moment voulu comme demandé et se porta volontaire pour lire l'extrait du livre des vertus..

Citation:

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Nael35

nael arriva bien tard , mais des préoccupation personnelles l'avais retenue .
Elle pénétra donc dans la cathédrale sans faire de bruits autre que cette fichue porte qui se mit a grincé
Elle espérait tout de même ne pas avoir déranger la cérémonie
Elle s'en serrait bien trop voulue de ne pas êtres là , alors qu'elle l'avait promis à wolf
C'est donc la main dans la main de son fils , qu'elle alla prendre place au dernier rang .
Elle le pris sur ses genoux et tout en lui frottant ses mains dans les siennes , pour le réchauffer , se mis a écouté attentivement la cérémonie .
Killian s'était blottit tout contre son épaule et regardais les lumière danser des cierges .
La bouche grande ouverte , pour lui c'etait la première fois qu'il entrait dans un lieux comme celui là
nael baissait de temps à autre le regard sur son fils et pleine d'amour lui glissait un baiser sur le haut de sa chevelure blonde comme le blé .
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La vie ce n'est pas d'échapper a la tempête , mais de danser dans la pluie

Amadeus0

Le prêtre écouta la déclaration du parrain de Wolf.
Puis il prit la parole:

Mes soeurs et mes frères je suppose que vous avez fait le lien entre ce texte que vient de lire Messire Greg0016 et la cérémonie qui se déroule sous vos yeux. Dieu a choisit l'espèce humaine pour se enfants, et cette confirmation se retrouve dans le sacrement du baptême.

Le baptême est une nouvelle vie qui commence, l'ancienne est oubliée, et le nouveau baptisé rentre dans la grande famille aristotélicienne, et il devient un fils de Dieu confirmé.

Notre soeur, et nos frères vont rentrés dans notre grande famille ils savent la protèction que Dieu leur apportent mais ils doivent se rapeller également leurs devoirs vis à vis du Créateur, de leurs frères et soeurs, mais aussi vers de la création en général, l'amour et l'amitié vont être leurs critères pour leur attitude dans la nouvelle vie aristotélicienne.

Leurs enfants seront élevés dans cette voie, la voie de Dieu, voie de rectitude, et de vérité, de compréhension et de tolérance, mais encore d'entre-aide et de compassion.

Le baptême est donc pour eux Illumination de l'Âme par la Foi, Début du chemin de
purification, Libération de la vision purement matérielle du monde :
accession au monde des Idées, Promesse du paradis.

La soeur Abriellyn et les frères Aizu et Wolf ont fait ce choix ils rentre aujourd'hui dans notre grande famille, je leur demande d'avancer vers moi.

Toucoule

A l'invitation du curé, Toucoule s'avança, rejoignant les futurs baptisés.
Il salua messire Ithier, son ami Wolf et sa filhote Abri.

Il fit un clin d'oeil à Greg qui avait lu le texte proposé.
Et aux côté d'Abri, il attendit la suite de la cérémonie.
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Drôle de merle, donc moqueur
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Porte sa croix, mais sans bannière

Navigius

La cérémonie se déroulait à bonne allure, ce qui n’était pas pour déplaire à l’ecclésiaste italien, qui avait presque perdu le fil des baptêmes auquel il avait assisté. Était-il encore sous le millier, il n’en était plus sûr, tellement c’était le pain quotidien de tout prélat. Il n’arrivait qu’à se souvenir que son filleul, Théophane, avait été le 307e et que sa filleule, Damejeanne, avait été la 609e. Hors, les deux étaient aujourd’hui décédés, ce qui n’aidait pas l’italien à se réconforter quant à son âge et à un probable chiffre sous le millier. Décédés, il y songea un instant, espérant beaucoup que son futur filleul, le jeune Ithier, lui survivrait pour une fois, car il ne voulait pas devenir parrain porte-malheur.

Le prêtre déclina de faire la lecture, laissant le privilège à d’autres parrains ou marraines pour qui c’était la première fois. Après tout, l’italien connaissait le texte par cœur, l’un des classiques du baptême. Il tiquait toutefois, car la sanité d’esprit et la liberté de contrainte n’avait pas été publiquement vérifiée. C’était là une exigence canonique, mais assurément, le célébrant allait y venir…

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Aizu

Ithier écouta le parrain de Wolf faire la lecture, non sans un large sourire. Son regard glissait vers son parrain puis vers Amadeus pour enfin finir sur Abriellyn et Wolf.
Il supposait la même fierté pour eux que pour lui et glissa à voix basse en leur direction :

Vraiment un moment magique n'est il pas ?!

A l'invitation d'Amadeus, il fit comme sa soeur et son frère et avança verts l'autel. Jetant un coup d'oeil vers son parrain, il fit un rapide clin d'oeil tout comme pour lui dire "Merci d'être là et de m'accompagner dans ma nouvelle vie".
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Ithier d'Ail-Zou dict "Aizu"
° Sujet du Royaume de France.

Joran.

Joran se tenait contre le pilier Ouest de la cathédrale, près de la sortie, restant en retrait de la cérémonie mais ne quittant pas des yeux ses amis Abrie et Wolf.

Bien qu'il ait lui-même fait sa pastorale, Joran ne s'était pas fait baptisé. Certains des événements récents l’avaient même conforté dans ce choix. Il n’avait rien contre les hommes d’église et contre leur vocation. Il se sentait même proche de certains de ses représentants comme Navigius, mais il trouvait que ce que les hommes faisaient de la parole d’Arsitote, avait plutôt tendance à enfermer les âmes, qu’à les sauver.

Enfin ce n’était point le jour pour mettre ces débats de l’esprit sur la table, aujourd’hui c’était le baptême conjoint de deux loups qui malgré leurs épreuves, s’étaient retrouvés

Joran sourit en repensant à son ami qui cherchait désespérément ce qu’il avait prêt de lui. Il revoyait Abrie la jeune femme timide, qui s’était révélée une vraie louve quand il avait fallu défendre leur amour. Elle le canalisait, elle le rendait meilleur, un peu comme Kachi avec lui.

Joran fit un signe à Kachi qui le regardait à ce moment précis, pas de mots elle savait son choix de ses tenir en retrait, elle savait que loin de vouloir se tenir distant, il communiait à sa façon.
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Kachina

Elle écoute les prières de chacun , partage avec eux cet instant important.

Heureuse de voir que ses amis sont appréciés , qu'ils ont réunis ici tant de personnes différentes, mais belles. Greg et Nael sont là aussi.

L'église est pleine.

Mais quand elle se retourne et qu'elle le voit, appuyé contre le pilier, ses puissantes épaules dessinées sous un pourpoint de velours sombre, elle oublie un instant tout ce qui n'est pas lui.
Leurs regards se cherchent et s'accrochent.

Elle lui sourit , et puis retient un rire quand Lorenzo, babillant gaiement , gesticule , tirant sur sa natte.
Les yeux gris acier de l'enfant , la fixent du même éclat que celui de Joran. Lorenzo d'Ascazan..... Joran d'Ascazan, même sang, même impatience ....

Mais déjà, les chants reprennent. Abri est si jolie aujourd'hui.......
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Amadeus0

Amadeus0 se tourna vers le parrain de Wolf et lui demanda à haute voix :

Mon frère Greg0016, tu es toi-même membre de notre sainte famille, tu es notre frère.

En tant que tel tu es le parrain de notre futur frère dans la foy.

En ton âme et conscience vois-tu une raison quelconque qui pourrait empêcher notre futur frère Wolf de pouvoir prendre le baptême?
Son esprit est-il saint? Son âme te parait-elle pure?
Acceptes-tu d'être celui qui le guidera sur le chemin qui mène vers le Très-Haut? ceci dans la droiture, l'amour de son prochain et l'amitié profonde des aristotéliciens? Si tu réponds oui, tu en seras responsable dans notre grande famille. Ta réponse doit être claire et en pleine conscience que tu parles devant Dieu, Aristote et devant Christos ainsi que devant l'assemblée, c'est à dire l'église.

Badboy80

Jérémy devait voyagé pour tenir sa promesse a Wolf pour assisté a son bapteme. Il avait vétu ses plus beaux habits. Preferance pour le bleu... Normal aussi car il venait de Lectoure la Bleue.

Sera vite on va etre en retard on est attendus.

Jérémy regarda Sera avec son visage d'ange qui se réveillée doucement.

Lorsque tout les 2 furent pret ils partirent direction le bapteme de Wolf et sa compagne.

On est pas en avance...

Jérémy accelera le pas et arriva enfin devant la céthédrale avec Sera. Mais la cérémonie était déja commencée. Ils entrèrent discretement et s'assirent sans faire de bruit au fond pour assisté a la fin de la cérémonie.
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Abriellyn

Abrie écouta attentivement les paroles du père Amadeus. Elle leva le nez quand Naru lui donna les fleurs et lui sourit. Elle prit le bouquet et le porta à son nez. Elle le regarda ensuite et lui murmura:

Merci, je suis heureuse de te voir!

Elle lui serra la main avant de le voir s'installer en fond de cathédrale. Elle sourit amusée et se retint de rire en le voyant rougir. Les églises n'étaient pas son fort aussi elle mesurait toute l'importance de sa présence ici. Elle était touchée, émue. Un regard sur Wolf, un sourire pour lui, c'était dur d'être si proche sans pouvoir lui tenir la main.. mais elle était heureuse. Elle reprit la suite de la cérémonie écoutant la fin du texte. Puis quand Amadeus appella les parrains, elle regarda Touc, il dort.. il dort pas.. il dort... il dort pas... mmhh entre les deux... Elle soupira soulager de le voir bouger. Elle sourit et acquiesça quand Aizu leur murmura.

Puis sans se le faire demander deux fois, elle s'avança quand son tour fût venu. Elle écouta les paroles d'Amadeus et discrètement posa sa main sur le bras de Touc. Cela avait deux fonctions bien précise. D'une part empêcher qu'il dorme, à cet âge vous savez c'est dur de rester debout à écouter les gens... D'autre part, je dirais même surtout, c'était sa façon de lui faire comprendre qu'elle était heureuse de l'avoir pour parrain. Le râleur de SBC était apaisant. Il savait exposé ses opinions, sa visions des choses calmement et clairement avec toujours cette pointe de bonhommie qui le caractérisait tant. Serrant le bras de Touc, elle regardait tour à tour Greg et Wolf attendant la suite de la cérémonie.
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Toucoule

Toucoule attendait l'intervention du curé quand Abri posa son bras sur le sien.
La petite lueur amusée qu'il vit briller dans ses yeux l'aurait presque inquiété de la part d'un autre.
L'avantage ici, c'est que ses espliègleries, elle devait les garder pour elle, non mais !

Il lui sourit en pressant légèrement son bras.
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Drôle de merle, donc moqueur
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Porte sa croix, mais sans bannière

Madpompon

Mad arriva en courant avec sa petite famille. Encore une fois, l'heure et lui étaient de vrais ennemis. Pas moyen de s'entendre.

Essayant de se faire discret, il poussa la porte de la cathédrale et se glissa derriere les bancs. Au moment ou se fit silence, son fils lui attrapa la chemise et la tira:

" Papa, papa, c'est qui la madame en mariée? "
D'une voie appuyée que tout le monde entendit

Tant bien que mal, il essaya de mettre la main sur la bouche de son fils mais le mal était fait. Au moins, on savait qu'il était là.
Ayant calmé son rejeton, il attendit la suite de la ceremonie se rappelant la sienne avec sa tendre épouse la belle Cherry46.
Il était heureux pour Kachina et son tendre...

Greg.

Greg vit Toucoule et lui rendit un clin d'œil..
Il écouta ensuite le clerc puis répondit à toutes ces questions..
Il prit alors la parôle de manière claire et tout à fait conscient, devant l'assemblée..

En mon âme et conscience, je ne vois aucune raison qui pourrait à ce grand jour, empêcher notre futur frère Wolf71 à faire son baptême pour qu'il rejoigne notre grande famille aristotélicienne.
A mon regard son esprit est saint et son âme est pure. Cet homme est bon.
J'accepte avec grand plaisir en cette belle journée pour notre famille et notre futur frère, de le guider en toute droiture vers le chemin qui mène vers le Très-Haut.

Puis se tut en attendant la suite..
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Amadeus0

le prêtre se tourna vers Abriellyn et lui demanda d'avancer ainsi qu'à son parrain messire Toucoule.

Messire Toucoule je réitère ma question par rapport à votre filleule notre future soeur Abriellyn.
Tu es toi-même membre de notre sainte famille, tu es notre frère.

En tant que tel tu es le parrain de notre futur soeur dans la foy.

En ton âme et conscience vois-tu une raison quelconque qui pourrait empêcher notre futur soeur Abriellyn de pouvoir prendre le baptême?
Son esprit est-il saint? Son âme te parait-elle pure?
Acceptes-tu d'être celui qui le guidera sur le chemin qui mène vers le Très-Haut? ceci dans la droiture, l'amour de son prochain et l'amitié profonde des aristotéliciens? Si tu réponds oui, tu en seras responsable dans notre grande famille. Ta réponse doit être claire et en pleine conscience que tu parles devant Dieu, Aristote et devant Christos ainsi que devant l'assemblée, c'est à dire l'église.

Toucoule

Toucoule, l'habitué des explications, des justifications fut fort heureux de ces questions simples, même si elles portent sur un engagement puissant.
Questions simples à partir du moment où le choix est fait depuis longtemps.
Le cheminement d'Abri, il en connaissait une petite partie, fort sympathique.
Un peu comme le chemineent de son Wolf.
C'était des amis qui n'hésitaient pas à s'investir pour les autres.
Il leur faisait confiance.

Aussi il s'appliqua pour que dans sa réponse une fois de plus on y trouve toute la nuance, toute la motivation qu'il sied.
Que cette réponse ne puisse pas trop être déformée.

Il regarda sa filhote en souriant...
Il regarda la foule des amis réunis.
Et s'adressant au curé, il s'engagea :

Oui.
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Drôle de merle, donc moqueur
____________________________
Porte sa croix, mais sans bannière

Amadeus0

Amadeus0 regarda Aizu lui demanda de venir près de lui ainsi qu'à son parrain Monseigneur Navigius.

Monseigneur je vous pose la même question par rapport à votre filleul notre future frère Aizu. En tant que parrain de notre futur frère dans la foy.

En vostre âme et conscience voyez-vous une raison quelconque qui pourrait empêcher notre futur frère Aizu de pouvoir prendre le baptême?
Son esprit est-il saint? Son âme vous parait-elle pure?
Acceptez-vous d'être celui qui le guidera sur le chemin qui mène vers le Très-Haut? ceci dans la droiture, l'amour de son prochain et l'amitié profonde des aristotéliciens? Si vous répondez oui, vous en serez responsable dans notre grande famille. votre réponse doit être claire et en pleine conscience que vous parlez devant Dieu, Aristote et devant Christos ainsi que devant l'assemblée, c'est à dire l'église.

Navigius

L’ecclésiaste s’avança, mettant la main sur l’épaule de son filleul.

-Père Amadeus0, j’atteste devant l’Aristotélisme assemblé et sous le regard de Dieu que ce jeune homme est libre de contrainte et sain d’esprit, que ce baptême relève de sa démarche de foy personnelle et que je m’engages à l’accompagner et le garder sur le droit chemin au meilleur de mes capacités.

_________________

Gogor

L'église était pleine, quoi que il y avait eu quelques retards, ce n'était pas bien grave. Wolf essayait de reconnaître les personnes présentes sur les lieux. Il écouta tour à tour Greg, Touc et Navigus en se disant qu'après tout un baptême à trois c'était pratique et pas vraiment si long comme il pensait au début.

Il croisa le regarde d'Abri et lui fit un clin d'oeil. C'était assez amusant d'observer Abri qui essayait de maintenir Touc réveillé pendant la cérémonie. Wolf se concentra sur la suite des événements.

Toucoule

Toucoule fit un clin d'oeil à Wolf.
Il regarda la mine réjouie de sa filhote...

La vie simple, le vrai bonheur...
Merci les amis.
_________________
Drôle de merle, donc moqueur
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Porte sa croix, mais sans bannière

Amadeus0

Amadeus0 s'avança vers le baptistère, le moment était venu pour les prétendants au baptême de recevoir l'aspersion d'eau, ce qui signifiait qu'ils passaient d'une vie à une autre mais aussi qu'ils étaient lavés de leurs péchés passés et présents, mais encore qu'ils entraient dans la grande famille aristotélicienne. Ils leurs demanda donc de s'avancer avec lui, ainsi qu'aux parrains.

Il demanda à Abriellyn de venir près de lui en particulier.

Ensuite il procéda à l'asption d'eau et accompagna le geste de la déclaration traditionnelle :

Citation:

"Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité"

Puis se retournant vers une petite table recouverte d'un lin immaculée, il prit un cierge et le tendit à la baptisée.

Lui déclarant : "Ce cierge est le symbole de la lumière que tu as reçu de la part de Dieu et de l'Église aristotélicienne, lumière que tu es chargée de propager autour de toi, prends la ma fille et ma sœur, et fais s'en bon usage."

puis prenant un petit coffret qui se trouvait devant chaque cierge, il l'ouvrit et en sortit une petite médaille bleue.

Cette médaille est la représentation que tu appartiens à la grande famille de la foy, qu'elle soit pour toi un signal te rappelant qui tu es, et l'attitude que tu dois prendre dans tes choix, que la vie ne manquera pas de te présenter chaque jour que Dieu fait, qu'elle t'inspire réflexion et te fasse te poser cette question : "qu'aurait choisit Christos devant le même choix que j'ai aujourd'hui?"

Ma soeur tu fais partie maintenant de la grande famille aristotélicienne, l'amitié de cette famille t'est acquise, l'amour sera v sera toujours autour de toi, et le Très-Haut te protègera et te guidera. Sois lui fidèle afin de ne pas perdre le fruit de la bénédiction qu'Il offre aujourd'hui, car il t'aime et Il est fidèle.

A cet instant les cloches sonnèrent de nouveau.
Amadeus0 demande de laisser la place maintenant à Wolf et de rejoindre les autres frères et soeurs , en attendant la communion de l'assemblée.

Aizu

Le moment solenel, un temps nouveau, une vie vertueuse selon le dogme Aristotélicien, voila ce qui attendait dans un court moment les trois nouveaux fidèles. Ithier s'avança en compagnie de son parrain.

Abriellyn fut la première à recevoir le sacrement marquant sa nouvelle vie. Cela allait être le tour de Wolf puis le sien. Il souriait légèrement, fier de sa soeur et de son frère.
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Ithier d'Ail-Zou dict "Aizu"
° Sujet du Royaume de France.

Gogor

Wolf avança vers le baptistère un peu impatient. Le grand moment était venu. Il jeta un coup d'oeil sur Greg pour s'assurer qu'il était bien là en essayant surtout de cacher son impatience. Tout le monde le suivit et la première était Abrie. Il écouta attentivement le père Amadeus0 en souriant à sa fiancée. Puis il s'approcha à son tour quand il eut appelé.

Amadeus0

Le prêtre fit maintenant signe au futur frère Wolf, de s'avancer vers le baptistère.

Il lui demanda de venir près de lui. Amadeus0 avança le goupillon et le plongea dans l'eau. Ensuite il procéda à l'aspersion en direction de Wolf et accompagna ce geste de la déclaration traditionnelle :

Citation:

"Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité"

Puis se retournant vers la petite table recouverte du lin blanc, il prit une nouvelle fois un cierge et le donna au baptisé.

Lui disant: "Ce cierge est le symbole de la lumière que tu as reçu de la part de Dieu et de l'Église aristotélicienne, lumière que tu es chargé de répandre autour de toi, prends la mon fils et mon frère, et utilisa la de façon sage et à bon escients."

puis il prit le second petit coffret se trouvant devant l'autre cierge, il l'ouvrit et en sortit une seconde médaille bleue.

Cette médaille est le signe que tu appartiens à la grande famille de la foy, qu'elle soit pour toi une marque te rappelant qui tu es, et l'attitude que tu dois prendre dans tes choix, que la vie ne manquera pas de te présenter chaque jour que Dieu fait, qu'elle t'inspire réflexion et te fasse te poser cette question : "qu'aurait choisit Christos devant le même choix que j'ai aujourd'hui?"

Mon frère, tu fais partie maintenant de la grande famille aristotélicienne, l'amitié de cette famille t'est acquise, l'amour sera toujours autour de toi, le Très-Haut te protègera et te guidera. Sois lui fidèle afin de ne pas perdre le fruit de la bénédiction qu'Il offre aujourd'hui, car il t'aime et Lui Il est fidèle.

De nouveau les cloches sonnèrent.
Amadeus0 demande à Wolf de laisser la place, maintenant à au très bientôt frère Aizu, et de rejoindre les autres frères et soeurs , en attendant la communion de l'assemblée.

Aizu

Le jeune Ithier s'avança. Le moment tant souhaité arrivait.

Ses mains étaient moitent et la bouche sèche. Il savait avoir fait le bon choix mais l'humain était ainsi, douter sur ses propres choix, se demandant si celui ci était le bon.

Il tourna la tête vers son parrain, cherchant un réconfort et un soutien dans son regard. Il avait foi en lui et le savait fidèle comme lui avait souvent rappelé son oncle.

Il fixa ensuite Amadeus, voyant la lumière dans ses yeux, certainement fier de son geste en tant que clerc.

Le moment n'avait pas besoin de description, juste le vivre...
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Ithier d'Ail-Zou dict "Aizu"
° Sujet du Royaume de France.

Amadeus0

Amadeus0 a écrit:

Amadeus0 stourna vers Ithier d'Ail-Zou dit Aizu dans la ville de St. Bertrand, neveu de Monseigneur Martin Aizu, homme et prêtre d'exception, il le regarda et se permis de lui mettre la main sur l'épaule, car il avait beaucoup d'amitié pour le jeune homme qui promettait un avenir brillant. Dieu le soutiendrait et lui apporterait son esprit.I lui fit signe de la main de s'avancer vers le baptistère.

Amadeus0 avança le goupillon et le plongea dans l'eau comme il l'avait fait pour Wolf et Abriellyn. Il procéda à l'aspersion et fit la déclaration traditionnelle :

Citation:

"Je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saint et pour l’amour du Père de l’humanité"

Il prit ensuite sur la petite table recouverte du lin blanc, un cierge et le lui donna.

Il lui dit à lui aussi: "Le cierge que voici est le symbole de la lumière que tu as reçu de la part de Dieu et de l'Église aristotélicienne, lumière que tu es chargé de répandre autour de toi, prends la mon fils et mon frère, et utilisa la de façon sage et à bon escients."

Prenant le dernier petit coffret , il l'ouvrit sortit une médaille bleue.

Cette médaille est le signe que tu appartiens à la grande famille de la foy, qu'elle soit pour toi une marque te rappelant qui tu es, et l'attitude que tu dois prendre dans tes choix, que la vie ne manquera pas de te présenter chaque jour que Dieu fait, qu'elle t'inspire réflexion et te fasse te poser cette question : "qu'aurait choisit Christos devant le même choix que j'ai aujourd'hui?"

Mon frère, tu viens d'entrer dans la grande famille aristotélicienne, l'amitié de cette famille t'est acquise, l'amour sera toujours autour de toi, le Très-Haut te protègera et te guidera. Sois lui fidèle afin de ne pas perdre le fruit de la bénédiction qu'Il offre aujourd'hui, car il t'aime et Lui Il est fidèle.

Les cloches sonnèrent une dernière fois.
Amadeus0 demande à Aizu de rejoindre les autres frères et soeurs , pour célébrer la communion avec Christos au milieu del'assemblée.

Abriellyn

Abrie avança en entendant son nom. Elle chercha le regard de Wolf et Touc du regard. Elle leur adressa un sourire puis se tourna vers le prêtre. Elle se sentait émue et par nervosité tourna la bague qu'elle avait autour de son doigt. Elle écouta avec attention Amadeus. Elle regarda l'eau se rendant compte que le moment allait arrivé. Elle ferma légèrement les yeux puis sourit en les rouvrant. Elle tendit la main pour saisir le cierge quand il lui intima de le faire. Dans l'autre main, le prêtre y placa la médaille.. voilà elle était à présent baptisée... enfin! Elle se recula pour laisser la place à Wolf et tendit la médaille à Touc pour qu'il la passe autour de son cou. Un fois la médaille à sa place, elle écouta la suite. Elle était aussi émue pour Wolf. Enfin tout les deux, ils allaient pouvoir penser à leur mariage.. leurs baptêmes étaient le début de leur nouvelle vie en quelques sortes.Quand Wolf se recula, elle lui prit discrètement la main pour regarde le baptême d'Aizu. Un fois tout cela terminé elle regagna sa chaise pour assister à la communion.
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Amadeus0

Amadeus0 allait maintenant servir la communion.
On avança le pain et le vin.

Il servit en premier les nouveaux baptisés, puis toutes les personnes de l'assemblée qui s'avancèrent.

Amadeus0 invita ensuite les fidèle a se lever pour la bénédiction finale:

Citation:

Que Dieu le Père tout-puissant vous donne sa joie et vous bénisse dans vos enfants.
Tous : Amen.
Que Christos veille sur vous et vous assiste dans le bonheur et dans l'épreuve.
Tous : Amen.
Qu'Aristote ne cesse de répandre son amour dons vos cœurs.

Amen.

Amadeus0

Aujourd'hui les baptêmes étaient finis, une autre commémoration commençais, le jour des morts et la fête des saints.

Le vicaire faisait sonner les cloches de la Cathédrale.

Il appelait l'assemblée à se réunir pour commémorer et se souvenir.
Les morts le méritait et cela faisait partit de l'attitude de l'aristotélicisme.

De plus des personnes particulières les avaient quitter, et Amadeus0 tenait à leur faire une reconnaissance officielle.

Il attendit que l'assemblée se rassemble.

Amadeus0

les fidèles et croyants arrivaient par petits groupes, pour eux aussi, c'était un évènement important.
l'orgue et l'organiste étaient fin prêts. La chorale était prête
les enfants de choeurs également, étaient prêt à entonner le premier chant.

Le Vicaire s'avança vers l'assemblée présente et salua de la tête et les béni par le signe de croix.

Mes soeurs et mes frères en ce jour fête de nos morts j'ai voulu rappeler à la mémoire de chacun nos chers disparus. L'église est loin d'être insensible au fait que les êtres faibles que nous sommes retournons tous vers notre Créateur. Bien au contraire elle gémit tous les jours à cause de séparations entre êtres chers et proches. Elle comprends mieux que n'importe qui pourquoi cela arrive, mais elle comprends aussi pourquoi ce n'est qu'un éloignement momentané, un au revoir, et non un adieu.

Ainsi aujourd'hui après les cantiques et les hymnes, nous prirons pour tous ceux qui sont encore et pour toujours dans nos coeurs.

A ce moment là les moines cisterciens amis et frères d'Amadeus0 prirent places, Amadeus0 posa sa ma sur le bras d'un moine, et le chant commença.

Amadeus0

Lorsque le cantique fut terminé le Vicaire se tourna vers l'autel, s'agenouilla et fit son acte de confession.

Puis se relevant il se tourna vers l'assemblée qui faisait le sien.

Caline

La bretonne était depuis plusieurs jours à Auch, elle en faisait le tour en s’y perdant comme à sa louable habitude, se perdre pour connaître, se perdre pour toujours savoir on fuir si besoin…si jamais après tout ce temps il la cherchait encore….non qu’elle le fuirait encore son paternel, avec tout ce qu’elle avait vécue depuis sa fugue bretonne sure qu’elle l’affronterait même, quitte à y laisser sa vie…mais les habitudes étant ce qu’elles sont –difficiles à changer - la blonde se perdait dans Auch pour mieux s’y retrouver.
Enfin bref, comme disait Pépin, maire de chéplusou, c’est au détour d’une ruelle, alors qu’elle se rentrait au campement des Sagittaires qu’elle entendit les cloches de la cathédrale…y aller ? ne pas y aller ? fut la question qui lui tarauda l’esprit pendant un bon moment, avant que ses pas, sans qu’elle l’ait vraiment décidé, la mènent vers la cathédrale et que d’une main, elle pousse la porte, avant d’y entrer et de s’installer, sur un banc bien au fond, tandis que le premier chant commençait.

La messe des morts ! Elle revenait dans une église pour la messe des morts…autant de temps sans pouvoir mettre les pieds dans un tel lieu, sans que l’idée même d’y aller lui colle cette fichue boule au fond de la gorge…y a pas à dire le Très Haut avait un sens de l’à-propos assez particulier!

La bretonne écoutait, sans participer plus que cela à l'office, les souvenirs d’autres moments similaires et non lui revenant : sa mère l’accompagnant alors qu'elle était toute jeune à la chapelle familiale, son baptême, celui de sa filleule…et tellement plus…

...la rémission de tous nos péchés.

Machinalement elle avait dit son acte de confession, malgré tout ce temps passé sans en avoir prononcé un seul, sourire à peine esquissé, bonheur que des choses apprises par cœur, qui vous permettent de faire croire que vous êtes à l'écoute et active alors que l'esprit est à mille lieux...
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Amadeus0

Une fois que les murmures se turent, le vicaire dit

Nous allons maintenant louer le Trés-Haut et le bénir, le reconnaissant comme notre Père et Créateur.

Maintenant j'aimerai vous parler de ceux qui perdurent dans nos coeurs, ceux pour qui nos larmes ont coulés et coulent encore.

Pour cela j'aimerai vous lire le passage suivant du livre des Vertus.

Dans le chapitre des vetus le II
a la vie, il est écrit :

Citation:

Mais Dieu n’avait pas conçu le mouvement de la vie comme une force infinie et, pour qu’il se perpétue, il fallait que l’animal broute le végétal, que le prédateur dévore la proie, et que les cadavres d’animaux pourrissent pour nourrir les végétaux. Ainsi, la mort faisait partie intégrante de la vie. Mais, pour que cela ne détruise pas Ses créatures, Dieu partagea chaque espèce en deux principes complémentaires, qu’il appela masculin et féminin. Tous deux étaient égaux et devaient se rechercher pour s’unifier, et ainsi perpétuer la vie.

Ainsi, de la vie Dieu créa le temps, où la mort succède à la vie, la vie à la mort, et la progéniture à ses géniteurs. De même, l’eau rejoignait le ciel pour descendre sur terre et alimenter les rivières, et le feu sortait des volcans pour alimenter la terre, qui s’accumulait pour nourrir le feu en son sein. Le monde tout entier était uni dans un mouvement perpétuel de vie, alors que Dieu paraissait immobile, échappant aux contraintes du temps.

Quand il eut terminé sa lecture il leva les yeux vers l'assemblée.

Amadeus0

Puis le Prêtre après avoir lu se tourna vers l'assemblée.

Que nous dit ce texte?
Que la vie et la mort sont liées. Qu'elles représentes des cycles, des transformations de la nature, que c'est une normalité, oui, cela je pense que tout un chacun le conçoit.

La création d'un enfant, et son développement dans le ventre de sa mère est pour cet être une vie de 9 mois, un cycle. Puis vient son apparition dans notre monde, une transformation pour lui, une autre dimension. Au bout de quelques dizaines d'années cet être disparait, appelé ailleurs. Nous autre dimension dont nous ignorons presque tout. Cela inquiète et pour certains les angoisse. Mais pour nous aristotéliciens, cela ne doit pas nous angoisser, c'est un passage vers autre chose, vers Dieu et le soleil, vers la lumière d'une autre connaissance, autre compréhension, autre vie et mission. Merci mon Dieu de ces cycles qui nous permettent de nous renouveler.

Ainsi nos chers disparus, sont en avance sur nous et découvrent un autre univers, d'autres conditions d'existence, c'est une autre merveille du Très-Haut.

En ce jour je voudrai commémorer la disparition tragique de notre bonne Damejeanne, avec qui j'ai eut des conversations sur la vie ici bas.
Elle m'a comptée sa déception de cette vie par rapport à des êtres humains sans foi ni loi. Des êtres humains qui n'apportaient que des soucis et des inquiétudes aux autres, leurs proches ou leurs voisins. Ces êtres me disait-elle, sont des prétentieux, des orgueilleux, des égocentriques, aimant les plaisirs plus que Dieu. N'apportant rien à leur entourage mais le suçant comme des sangsues. Car non seulement ils ne se contentes pas d'être tout ce que je viens de dire mais en plus ils sont opportunistes, méchants, empêchant les autres de vivre leurs vies comme ils le souhaiteraient, parce que eux veuillent toujours passer devant, et écraser pour mieux commander et gérer, faire de l'argent avant toute chose, ou encore avoir une belle renommée, ou avoir le pouvoir; Trois choses qui amènerait à ce que l'homme par son comportement devienne haïssable.
Damejeanne nous a quittée à cause d' un accident, mais son envie de vivre l'avait quittée depuis un moment déjà. Seule sa foy en notre Dieu l'a empêcher de commettre l'irréparable.

Puis il y a eut Angelfly ma nièce une jeune femme dévouée, s'étant consacrée à renforcer les effectifs de la FADAC, elle avait ses diplomes d'infirmière, et pouvait être médecin car elle en avait les capacités, mais elle fut découragée par ces chefs, par un commandant jeune et immature, par un commandant imbus de sa personne. Elle fur découragée aussi par une femme qui trouvait qu'elle écrivait mal et donc ne pouvait faire médecin, seulement dans le but d'avoir la place qu'elle convoyait elle-même, qu'elle honte! mes frères et mes soeurs. Si bien que ma nièce s'est laissée aller dans une déprime, ne mangeant plus elle sombra dans la mort.

Je parlerai également de Dame Eclipsel, qui bien qu'étant dans un contexte différent, s'est laissée glisser dans la mort. Je dis honte à ceux qui l'on poussés à cela. Dame Eclipsel était elle aussi une femme très bien.
Je ne peux que déplorer que les meilleurs nous quitte, et que les autres restent parmi nous.

Car ces trois cas cités ne sont pas les seuls. Il y a ceux qui sont partis exténués de l'ambiance qui règne en ce Comté, mais aussi dans l'ensemble de ces Royaumes.

Hontes sur ceux qui provoquent cela et se pensent intouchables.

Il y a parmi eux malheureusement des aristotéliciens, de ceux qui se pensent être des bons croyants, des personnes saines, ils vont à l'église mais se n'est que façade, ils font bénir et baptiser leurs enfants, mais ne crois en rien et encore moins à la puissance de Dieu.

Pour ceux-la, le Très-Haut sera présent et rendra sa sentence au dernier jour. il est dit "la vengeance appartient au Seigneur" et je dis heureusement!

Je prie aujourd'hui pour que ces atrocités, ces tortures psychologiques, ces brimades ARRÊTENT, nous sommes tous ici pour passer de bons moment, entre amis, pour donner et non pour toujours recevoir. Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir et c'est bien vrai.

Alors je parle à tous les aristotéliciens, qui veulent retrouver une certaine joie de vivre de me rejoindre, que nous partagions ensemble, l'amitié et l'amour du Très-Haut. Que nous fassions honneur à notre choix de servir Dieu par une attitude de bonté envers les autres, tout en se faisant respecter comme cela nous est dû.

Mais j'appelle aussi tous les autres personnes, ceux qui n'ont pas encore croisé Dieu à s'approcher de lui.
J'appelle les membres qui ont d'autres croyances à venir aussi pour parler et partager nos visions. quelque soit la foy qu'ils ont en ce jour, je lance cette ouverture afin que l'unité se fasse non par une politique qui tourne en rond mais par un rassemblement dans l'amitié et l'amour de Dieu et du genre humain qu'il soit de tous bords, cela n'a guère d'importance.

Oui, en cet instant prions Dieu pour qu'il nous bénisse dans ce but.

La prière de Saint Arnvald sera notre crédo de ce jour.

Citation:

SAINT ARNVALD, tant que tu as vécu parmi nous
Tu as été l’avocat des pauvres,
Le magistrat impartial, sévère mais juste,
La Providence de tous les justiciables ;
Écoute aujourd’hui notre prière.

Obtiens nous d’aimer la justice comme tu l’as aimée.
Fais que nous sachions défendre nos droits,
En cherchant avant tout la réconciliation et la paix.
Pour que « justice soit rendue dans l’amour aristotélicien»,
Sans indulgence pour la culpabilité d’un ami ou d’un puissant.

Guide nous sur la chemin parsemé d’embûches de l’intégrité,
Capable de résister à l’attrait du pouvoir et des richesses,
Respectueux de la parole donnée et de l’idéal d’honneur chevaleresque,
Protège nous de la tentation de la facilité et de la créature sans nom.

Toi, le modèle du prélat humble,
Qui parcourais nos campagnes en quête de vérité
Bouleversant les foules par le feu de ta parole
Et le rayonnement de ta vie,
Obtiens à notre pays les hommes vrais il a besoin.

Saint Arnvald le justicier, priez pour nous,
Aide nous à concilier l’idéal du juste milieu aristotélicien
Avec ton exemple de quête de Justice, de Vérité et d’Intégrité

Caline

La vie, la mort un perpétuel cycle, elle le sait, mais accepter, accepter de voir partir ceux que l’on aime si jeune, si tôt , trop tôt, ça relève du difficile pour la bretonne, elle a mit le temps avant d’y arriver, elle y ait arrivé …encore que certaines morts lui semblent toujours aussi injustes et cruelles, les souvenirs des émotions intenses et douloureuses, de l’insurmontable douleur ressentie face à ces morts lui reviennent et lui étreignent la poitrine…elle se souvient de cette douleur insurmontable impossible à décrire, de ce chagrin immense, aussi vaste que l’océan qui a failli l’emporter vers les profondeur du désespoir …elle s’en souvient, n’oubliera pas, n’oubliera jamais à qui ces douleurs sont attachées…elle se souvient aussi des moments heureux alors que le prêtre continue sa prêche avant de poursuivre sur le credo.

Elle se souvient de tout ce qui a été sa vie jusque là de tous ceux qui l’ont traversé et qui ne sont plus. Tous ces souvenirs tirent à la blonde, une goutte salée qui roule sur sa joue, jusqu’à la commissure de ses lèvres ou se dessine un mince sourire. La tristesse de la mort, le sourire des moments heureux…
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Paquerette

La tête penchée, Paquerette écoutait la messe des morts.
Damejeanne, Angelfly, Eclipsel.... Une larme roula sur sa joue. Il y en avait d'autres qu'elle avait ainsi vu disparaitre brutalement. La vie dans ces Royaumes était dure !

Citation:

SAINT ARNVALD, l’avocat des pauvres, magistrat impartial, sévère mais juste,
Écoute aujourd’hui notre prière.

Avocat, magistrat... Paquerette avait découvert depuis peu la justice et ses arcanes. Au milieu des multitudes d'affaires de brigandages, elle trouvait de vraies affaires, de celles où l'on se dit qu'il faut faire quelque chose....

Citation:

Aimer la justice, Défendre nos droits, la réconciliation et la paix.
Que « justice soit rendue dans l’amour aristotélicien»,sans indulgence pour la culpabilité d’un ami ou d’un puissant.

Les puissants, passe encore ! On ne les aime pas tant que ça ! mais les amis... Lac, Chris... Non Pas facile, vraiment pas facile....

Citation:

Le chemin de l’intégrité, le danger du pouvoir et des richesses, la parole donnée et l’honneur chevaleresque,

En voilà de belles choses, des sentiments auxquels il fallait savoir se raccrocher, toujours, pour garder la tête haute et la ligne droite.

Citation:

Arnvald, le prélat humble, en quête de vérité, le rayonnement de ta vie,
Saint Arnvald le justicier, priez pour nous !
ton exemple de quête de Justice, de Vérité et d’Intégrité

Paquerette soupira. Heureusement, Phil était sur le chemin du retour, avec lui, les choses seront plus faciles à supporter !

Amadeus0

Lorsque le Vicaire eut fini son sermon, il invita l'assemblée à la communion.

Mes frères et mes soeurs partagés en ce jour le corps et le sang de Christo n'est pas une simple coutume mais un rappel que nous nous disciples d'Aristote et de Christo et comme tels partager leurs conseils et leurs attitude, aider et aimer.

Caline

La communion...cela faisait longtemps... la Bretonne laissa quelques personnes se lever, essuya doucement la goutte salée, et s'avança à son tour pour la communion.
Son esprit empli de pensées...Il était temps qu'elle fasse la paix avec elle même, qu'elle se pardonne, recommence à vivre réellement, recommence à s'engager...s'engager elle le faisait déjà d'ailleurs, pour le Comté, qu'elle avait appris à apprécié, par les escortes qu'elle avait déjà faite et qu'elle ferrait encore...mais tout cela n'engageait pas son cœur plus que nécessaire.

La bretonne communia à son tour, croissant un bref instant le regard du célébrant et retourna à sa place ou elle se recueilli un instant, envoyant sa prière au Trés Haut.

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Amadeus0

Lorsque la communion fut terminée, le père, reprit un bref instant la parole.

Mes soeurs et mes frères un derniers mots avant de se quitter.

comme nous avons vu, par la mauvaise attitude d'une poignée de personnes le Comté souffre. Je vous demande de faire acte de bons aristotéliciens.
Il est évidant que bien sur ce n'est pas parce que nous sommes enfant de Dieu que nous devons nous laisser piétiner par certains. Cependant tachons de leur réponse à la hauteur de leurs paroles sans plus insister.

Sachez aussi, que bien souvent ils ne se rendent même pas compte de leur propre attitude, pensant qu'ils sont l"s gentils, alors que c'est loin d'être le cas.

ignorez-les c'est ce qui les ennuis le plus, et comme la dit Christos pardonnez-leur, car ils ne sont pas conscients de se qu'ils représentent, a la rigueur offrez-leur un miroir.

Je vous invite maintenant à rentrer chez vous, et souhaite que le Dieu de toutes choses soit avec vous et vous protège, durant la semaine à venir.

Je vous signale que le 14 Novembre nous aurons icelieu un grand évènement. Le mariage de Dame Zabou83 et de Messire Capoune.
Venez tous nombreux, seront présente de grandes chorales venus de loin.
Nous nous réjouissons par avance de ce grand évènement.

Amadeus0

L'aube n'était pas encore arrivée que déjà la cathédrale se trouvait en effervescence. l'agitation d'ailleurs y régnait déjà depuis plusieurs jours.
Mais en ce jour 14 Novembre de l'an de grâce 1458, les préparatifs en étaient à leurs comble.

En effet, dans ses murs la Cathédrale devait célébrer l'union d'un nouveau couple. une nouvelle famille allait naître sous le regard de Dieu.

Dame Zabou83 Bailli d'Armagnac et Comminges et Messire Capoune de Blue Lake, Chancelier d'Armagnac et Comminges, allait y officialiser leur épousailles.

Le nouveau Vicaire Diocésain de Leslur, mettait au point les derniers préparatifs de la célébration. Il avait réunit tout son petit monde.
Les 5 bedeaux étaient là et avaient reçus des ordres précis, avec chacun des taches, qu'ils n'avaient pas intérêts à négliger.
Deux organistes se relaieraient à l'orgue de cuivre, qui pour l'occasion avait été entièrement ré accordé et briqué, puis décoré.

Le Vicaire avait fait venir Trois chorales différentes, chacune ayant une spécificité différente dans son répertoire. Lui-même mettait la main à la pâte, repassant là où il le jugeait utile.

Il retourna un moment au Presbytère pour mettre ses habits de cérémonie.
Dont sa nouvelle chasuble et sa nouvelle étole spécifique à sa nouvelle fonction Vicaire diocésain de Tarbes.

Ayant encore quelques instants il se retira dans le petit prieuré pour médité et prié. Puis ayant demandé à Dieu son Esprit et son aide il revint dans la nef principale, et fit signe à deux bedeaux qu'ils pouvaient aller faire retentir les cloches, l'appel à l'assemblée des fidèles et croyants était donné.

Loupameth

Loupameth qui arrivait de la Touraine avec sa compagne Cassie , ou ils y étaient depuis 3 mois en mission pour l'ordre Equestre de St sépulcre , au son des cloches de la cathédrale décide d'y aller d'autant que l'office est fait par son cousin Amadeuso.

En entrent dans la cathédrale il remarque qu'il est le premier et aussi qu'il y a beaucoup de fleurs il se pose la question si c'est pour une messe ou autre cérémonie comme par exemple un mariage , qu'a cela ne tienne il s'installe sur un coté sort son livre de prières qu'il consulte , s'agenouille et prie pour tous ceux qui souffres dans leurs chaires
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Rapido

Rapido entra dans la cathédrale, vit qu'il n'y avait personne a par un homme sur le côté, alors il se metta sur une des nombreuse chaise et attenda le grand moment en observant toutes les jolies fleurs l'entourant.

Caerellyn

Elle avait pressé Morgane qui ne se trouvait à son goût, dompter ses cheveux s'était révélé un enfer, mais deux peignes d'argent avaient réussi ce tour de force, aidé en cela par un joli bandeau.

La chambrière était épuisée, rouge et transpirante.
Malicieusement, la jeune vicomtesse l'imaginait s'effondrer sur le lit, bras et jambes écartés, dès leur départ.

Zabou épousaillait Capoune. Elle voulait être à leurs cotés pour ce grand événement.

Les roues de la calèche aux Armes de Fézensaguet, résonnèrent dans la cour.
La tenant par la main, rapidement, elle entraina sa fille.

Au loin, déjà on entendait les cloches annoncer l'heureux événement.

Le trajet fut vite parcouru, elle répondait inlassablement aux questions de sa fille, et lui faisait moult recommandations sur sa tenue et son langage.

Elle n'attendit pas la main du valet pour sauter les trois marches. Jamais elle ne s'était autant sentie attirée pour pénétrer au plus vite dans le majestueux édifice religieux.

Elle remonta la nef, tentant de calmer sa respiration.
Derrière elle, Morgane ne disait mot, ce qui l'étonnait et la rassurait.

Un banc leur avait été réservé. Elles s'y installèrent et commencèrent à prier pour le jeune couple.

Mes déjà ses pensées vagabondaient. La vie était bizarre et les desseins du Très Haut fort impénétrables. Elle soupira doucement, en baissant la tête. Sa main, caressait les cheveux flamboyant de sa fille.
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Strakastre

Malgré les recommandations de son médicastre, le Comte d'Isle Jourdain avait quitté la chambre, où il était cloisonnée depuis des semaines, cloué au lit par une forte fièvre et une blessure à la jambe qui n'avait cessé d'empirer... Mais "raisonnable" ne fait pas partie de la devise de l'Ours. Aussi était-il donc parti de sa retraite, bien que soutenu par quelques gens de confiance, déterminé à rejoindre la cathédrale.

Après un voyage cahotique, on fit descendre le Comte du carrosse, fort laborieusement du reste... mais une fois sur deux pieds, l'homme se redressa d'un trait et toute la souffrance du voyage et de la station debout sembla disparaitre derrière le masque de la dignité nobiliaire.

Seul son visage humide marquait l'effort entrepris. Mais, en son esprit, l'épreuve qu'il s'était donné à subir se justifiait amplement. Et lui seul, ou presque, en connaissait l'enjeu.

Alors, dans un nouvel effort, il gravit les dernières marches et passa le porche dans une lenteur toute caractéristique, le visage fermé et le regard scrutateur.
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Caerellyn

Dans ses rêveries, elle entendait un pas qu'elle connaissait bien, un pas qu'elle n'avait plus entendu depuis longtemps, bien trop longtemps.
De nouveau, elle soupira, tentant de n'y prendre garde.

Lentement, elle se redressa, tendant l'oreille. Ce pas....

Elle se retourna et le vit, son ami de si longue date. Les rumeurs circulant l'avaient affolées et rendu d'une inconsolable tristesse.

Mais, tel en lui même, il se tenait droit, son visage marqué par la fatigue, mais les traits fiers et immobiles.

Instinctivement, elle s'était dressée. Elle croisa son regard.
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Strakastre

Un soupir dans un sourire... Aussi lentement, il s'approcha de ce regard croisé et l'interrogea du regard pour s'asseoir à ses cotés. regard qui s'adoucit en direction de l'enfant, pour ne pas apparaitre trop patibulaire, puis le vieil homme s'installa, non sans marquer la douleur de faire plier ainsi sa jambe meurtrie, à peine consolée par quelques caresses adaptées...

Puis sa tête se tourna vers elle, son regard la remercia d'être là.. Il n'aurait pas eu la force d'affronter regards et questions tout seul... l'esprit trop accaparé par ce mal physique d'une vieillesse douloureuse... Mais son amie, sa confidente, sa cheville ouvrière de l'ombre lui insufflerait, comme elle l'a toujours fait, l'énergie nécessaire à suivre cette cérémonie..

Il était heureux de la revoir... L'apaisement sembla l'alléger de son état difficile. Pas un mot ne fut prononcé entre eux... les silences sont souvent bien plus disserts...

Et dans l'anonymat de ce rang resserré, sa main vint se poser sur la sienne, la serrant un peu, en signe d'attachement perpétuel, leur rappelant ces mois, voire ces années de proximité professionnelle, vassalique et tant d'autres choses...

La vie tient parfois à peau de chagrin.. le hasard est trop souvent joueur à croiser certaines voies...

Et dans l'anonymat de ce rang resserré, deux voies s'étaient rejointes, juste un instant peut-être, mais à valeur d'éternité probablement...
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Caerellyn

Un soupir dans un sourire.

Elle le regardait s'approcher et d'un lent mouvement de paupières répondit à sa question. Il s'assit.

Le frôlement de son bras contre le sien la fit frissonner. Elle refusa de voir cette main qui devait apaiser, mais si peu, sa douleur...elle savait...elle sentait...elle le connaissait depuis si longtemps.

La naissance d'Eauze les avait réunis, puis le travail encore et toujours, puis la complicité, elle seule osait lui tenir tête quand l'ours armagnacais grognait. Il pouvait être aussi courtois que tyrannique.

Sa main se posait sur la sienne la serrant doucement. Elle s'y cramponna, souhaitant plus que tout lui insuffler sa force pour qu'il ne parte vers le pays d'où l'on ne revient pas. Elle n'osait imaginer une vie où il ne serait pas.

Ils ne se parlaient pas, qu'auraient-t-ils eu à se dire que leurs deux mains serrées ne se disaient.

Elle profitait de chaque seconde de l'instant présent.

Instinctivement, son autre main accrocha la main de Morgane.

Elle aurait pu dire qu'elle était heureuse.
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Cerrydwenn

C'était le jour , Zabou et Capoune allaient s'unir devient Aristote .
La lecture ne serait plus un péché ...elle sourit en y pensant ..
Ce matin là elle fit parvenir ses rapports boucla ses dossiers puis elle rentra rapidement à l'auberge pour revetir une paire de braies , des bottes bien cirées chemise et gilet ..non elle ne portera pas de robe ..elle natta sa criniere dans le dos et lorsque que les cloches retentirent elle hâta le pas afin de gagner la cathédrale .

Une fois arrivée sur le parvis elle monta les quelques marches puis entra
discrètement et s'installa dans le fond pres d'in pillier ..completement en retrait ..récita interieurement une prière pour le bonheur qui allait etre célébré .. moment qu'elle ne connaitrait jamais mais peu importe elel en avait connu d'autre qui doucement s'effacait avec le temps ..

Le minois aussi de marbre ses émeraudes scrutait les alentours mais nul sourire ne se dessinait .

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Amadeus0

les cloches continuaient à sonner et Amadeus0 observait l'assemblée croitre au fils des minutes qui s'écoulaient.
Dans les premières personnes qu'il connaissait il vit arriver Dame Caerellyn et sa petite fille. Il alla les saluer

Bonjour Dame Caereillyn, je suis heureux de vous voir en la maison de Dieu, que vous y soyez la bienvenue et votre ravissante fille également. J'espère que votre époux viendra vous rejoindre, nous allons commencer dans quelques minutes.

Puis il alla saluer Messire Strakastre, qu'il savait pourtant très malade à ce que lui avait dit sa fille adoptive Cerrydwenn.

Bonjour Messire Comment vous portez-vous, j'ai ouïe dire que vous avez été assez souffrant, je suis heureux de vous voir dans la maison du Très-Haut.

Puis se tournant vers un bedeau, le Vicaire l'interpella,

Gustavo! s'il vous plait mon ami apportez une chaise à bras pour Messire Straskastre et des coussins afin qu'il soit plus à son aise durant l'office. Merci!

S'éloignant quelque peu il salua encore quelques personnes.

Puis il fit un signa a la première chorale, un homme s'en détacha et vint jouer de la viole, sa voix envahit la cathédrale.

Le Vicaire alla s'agenouiller devant l'autel et méditer quelques instant devant Dieu.

Silverangel

Il y avait longtemps que Silver attendait ce moment, il avait pu être de retour sur Auch juste à temps pour cette célébration, après il avait promis à Zabou qu'il serait au rendez vous.

il ne mit pas bien longtemps à se préparer, mettant sa tenu préférée , braies et chemises blanches, il se recoiffa un peu histoire de mettre un peu d'ordre dans ses cheveux en bataille et parti en direction de la cathédrale, un bouquet de roses blanches à la main.

Il s'installa sur un banc inoccupé et attendit patiemment que la célébration ait lieu. Mais il ne pu s'empêcher de penser silencieusement :"vivrais-je ce moment un jour ?"

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Cleo97

Cleo entra dans la cathédrale sur la pointe des pieds. Elle espérait ne pas être en retard, elle avait déjà fait faux-bond à Zab la veille... Elle regarda les personnes présentes et s'assit non loin de Silverangel qu'elle avait déjà croisé quelques temps auparavant. Stressée, elle remuait sur sa chaise et se retournait fréquement pour voir les futurs époux arriver.

Prunelle1

Après quelques jours de voyage prunelle un peu épuisée s'était reposée quelques heures non loin de Lectoure.
dés les premières lueurs de l'aube, elle se dirigea vers le village et entra dans une auberge
pour y faire un brin de toilette et revêtir sa plus belle houppelande c'est alors que les cloches de la cathédrale se mirent à sonner à toute volée .
C'est en ce beau jour automnal qu'elles annonçaient le mariage de ses amis Zabou et Capoune.
Après avoir rajuster sa coiffure, elle prit la direction de la cathédrale
Arrivée sur le parvis, elle poussa la porte. Un doux parfum de fleurs inondait
la cathédrale.
Elle trempa ses doigts dans l'eau bénite se signa et avança dans la grande allée. Elle salua Rapido d'un signe discret de la tête et s'installa sur une chaise .
Elle attendit tout en priant Aristote lui demandant de veiller au bonheur de ses amis qui allaient s'unir devant lui pour le meilleur et pour le pire.

Nane94140

La drôle de carriole s'arrête devant la cathédrale, toute emprunté dans ses beaux atours dont elle n'a pas l'habitude la blonde tente de sauter de son siège comme a son habitude.

Sauf ... Qu'un bout de sa robe s'emmêle dans un des montant du banc de conduite et que ce qui devait être une descente élégante bien que sportive se retrouve être une gamelle de la plus belle farine.

Non d'un scalpel ! La blonde est furieuse ! Non mais qu'est ce qui m'a pris de m'attifer de la sorte ! heureusement dans mon malheur j'ai évité la flaque de boue. Enfin évité c'est un bien grand mot le bas de la robe pourpre a été bien maculé ainsi que la coiffe qui est allée rouler au diable vauvert ! Elle s'essuie tant bien que mal ne parvenant qu'a étaler les traces de terre.

Tant pis j'ai fais mon possible pour être présentable mais la je peux pas mieux.

Elle attache les bœufs a un anneaux fort commodément scellé dans le mur de la cathédrale et entre dans la nef.

Nom de d'la ! Yen a t'y pas du monde ! Pi du beau linge en plus ! Je vais faire un peu tache moi !

Elle qui n'a peur de rien ni de personne, se retrouve intimidée.

Arf ! En plus faut que j'aille me mettre devant moi !

Gros soupire, et la voila partie à remonter la nef entre les bancs, en essayant de voir si, par hasard, elle aurait des connaissances dans les lieux.
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Caerellyn

Le vicaire s'avança pour la saluer.

Messire vicaire soyez remercié pour votre accueil, ma fille et moi, n'aurions manqué pour rien au monde ces épousailles. Je suis honorée de partager le bonheur de dame Zabou et de messire Capoune.

Elle se tenait droite, sur son banc, ne lâchant point les mains auxquelles elle était accrochées.

Il salua avec déférence le comte. Mais elle protesta quand il mandat un bedeau quérir une chaise à bras.

Charles ouvrit la bouche, vivement, elle lui coupa la parole.

Messire vicaire, ne vous donnez point cette peine, les gens du comte l'attendent au dehors et s'il souhaite quelque chose, ne doutez point qu'on saura le satisfaire. Charles de la Croix de Bramafan, n'est point homme à se déplacer en chaise à bras, quoiqu'il lui en coûte.

Soyez cependant infiniment remercié de votre sollicitude.

Un air de viole enchanteur et apaisant envahit la cathédrale. Elle se laissa pénétrer par la musique et se détendit.

Avec un sourire heureux, elle se tourna vers sa droite puis vers sa gauche.
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Capoune

Après maint tourments et maintes nuits blanches, ce jour fatidigue arriva enfin. Ayant revêtu ses plus beaux habits, ceux qu'il conservait pour les plus grandes occasions, le nouveau Chancellier se rendit à la cathédrale pour enfin unir sa destinée à celle qui avait fait revivre son coeur. Car jamais il n'aurait cru possible d'unir à nouveau sa destinée à une femme après que le Très-Haut eu rappellé à lui feu Élysabeth.

Durant son errance qui l'a conduit sur de nombreux chemins du royaume, le Très-Haut lui a mit se rayon de solei qu'est Zabou, ce rayon de soleil qui fit fondre la glace qui emprisonnait coeur depuis...

Et Chaque jours depuis que sa tendre était entrée dans sa vie est une journée dont il rend grace d'être en vie et d'avoir le bonheur de cotoyer une femme telle que celle qu'il allait prendre pour épouse.

Arriva enfin à la Cathédrale, Capoune attacha son destrier tout près et gravit les marches conduisant à l'entrée.

À peine introduit dans la Cathédrale, trempa les doigts dans l'eau du bénitier et se signa. Tout en s'avaançanat dans l'allée jusqu'au premier rang, il salua d'un signe de têtes les différentes personnes présentes, sincèrement touché par leurs présences en ce moment unique. Puis, s'installa sur un prie-Dieu et se recuilli....
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Davidgradir

Le vicomte fit une entrée sans bruit par une alcôve, il savait les rumeurs de crise ambiant qui pesées sur différentes institutions poussées par les voix protestataires mais Humaines du peuple contre la tyrannie de certains êtres. Il laissa son escorte son épée. Dans la maison du Tout Puissant nulle arme ne peut y séjourner. Il regarda son épouse en qui il avait tant d'admiration.
Dans la Cathédrale d'un style riche, il scruta les personnes présentes. La noblesse et roturiers étaient réunis sous la bonne marche de Christos. Il vit l'arrivée de Capoune, Régent en qui il faut loyal. Bien qu'étant pas d'accord sur certains point, il appartenait à cette "race" d'Homme digne de loyauté envers leur Suzerain,y compris dans "l'adversité des troupes". Mais ici, c'est l'union d'un collègue de travail et ancien Régent et en cela sa compagnie y sera bien plus utile que dans une ost en pleine perdition, un Conseil Comtal divisé ou en son bureau diplomatique. Il est enfin heureux de voir l'Amour et l'Union se dessiner en ce jour.
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Garriguette

Garriguette entra à pas feutrés dans l'antre de la Cathédrale. L'émotion la tenaillait, l'endroit était très solennel et du beau monde avait déjà pris place dans les travées de bancs... Elle aperçut son amie Nanou qui se tenait au premier rang et se glissa dans la première rangée libre, presque qu'au fond de la nef. Elle ne connaissait personne et son regard ne quittait pas le grand portail d'entrée qui allait s'ouvrir, du moins l'espérait elle, sur Freg ou Marcj, ses amis albigeois qui avaient fait le déplacement avec elle.

Mais c'est Capoune qu'elle vit entrer ! Il y avait tellement longtemps qu'elle ne l'avait pas vu, qu'elle lui aurait bien sauté au cou...mais ce n'était ni le lieu, ni le moment! Elle se contenta de lui faire un petit signe de la main lorsqu'il passa près d'elle dans l'allée centrale puis commença à réciter un Pater en silence. Des chuchottements emplissaient la nef, la cérémonie allait commencer' et elle ne voulait pas rater l'entrée de la mariée....
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Fregouille

La route avait été longue et harassante... Freg était fourbu, mais aussi ému d'arriver à la célébration de mariage de son parrain et ami.
Il avait réussi à retrouver le bonheur, ce qui n'était pas encore son cas...

Il vérifia que le précieux cadeau qu'ils convoyaient restait bien caché sous les couvertures... puis sortit ses plus beau atours de ses bagages et les enfila prestement...
Il eut un pincement au coeur... la dernière fois qu'il avait enfilé cette tenue...

Il regarda l'édifice, apercevant Capoune entrer...
Il ne pu réprimer un long soupir, regardant le ciel, il prit une grande inspiration en pensant à Aza, se redressa, ajusta sa tenue et se dirigea vers l'entrée de la cathédrale...

L'assistance était déjà nombreuse et la cérémonie ne tarderait pas à commencer : Malgré leurs mésaventures, les Albigeois étaient arrivés à temps...

Il se signa avant d'aller rejoindre ses amis...

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Hyannos

Hyannos comme à son habitude voulait honorer l'invitation qui lui avait été faite, cette fois d'autant plus qu'elle provenait de Lectourois qu'il estimait tout particulièrement. Toutefois, toujours comme à son habitude, il avait garder ses nippes ordinaires et il se glissa donc discrètement en la cathédrale et s'installa dans un coin peu éclairé. Là il se mit en prière et un peu égoïstement il adressa sa première prière à Aristote le grand pour le remercier d'avoir pourvu son village Lectoure d'un recteur (curé) de la qualité de Sieur Navigius. Puis il attendit......
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Hyannos Maître Boulanger à Lectoure
Etudiant en droit et en navigation

Birdinflames

Le père Igor

Ils s'en étaient venus du Périgord, avec un léger détour par la Bretagne (comment ça, c'est pas sur la route ?). Leur petite roulotte s'était installée en bordure de la forêt. Rapidement, un campement avait été établi.

À peine quelques jours plus tard, ils s'étaient dirigés pour la capitale. Il y avait, parait-il, un mariage.

Longtemps auparavant, lors d'un passage à Bergerac, Zabou lui avait fait une demande particulière... Celle d'être son témoin. Aussi, ce jour-là arrivé, il avait traversé tout le pays pour finalement arriver en Armagnac.

Le matin du grand jour, lui et Eony s'étaient préparés, avant de prendre la direction de la cathédrale, où se déroulerait la cérémonie.
Une fois n'est pas coutume, ils étaient (oui oui, c'est possible) un peu en avance.

Birdy tint la porte ouverte pour sa belle, avant de la suivre à l'intérieur.
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

Zabou83

Après une courte nuit, une partie de la matinée à se preparer, Zabou arriva enfin devant la cathédrale. Nerveuse, excitée, heureuse..tout un chanps de sensations pouvant decrire ce qu'elle ressentait au moment de monter les marches du parvis de la cathedrale....

Souriante, les yeux petillants de bonheur, Zabou entra dans la cathedrale, se signa puis remonta la nef en direction de l'autel ou Capoune l'attendait....Au passage, elle appercut ses amis qui avaient fait le deplacement du Perigord, leurs amis d'Armagnac et les amis de Capoune qu'elle n'avait pas encore le plaisir de connaitre....Les remerciant tous de leur presence par un sourire, un regard, elle parvient devant l'autel ou ses yeux se fixérent sur son futur époux....

Honorine_nouet

Alberie-Reine et sa petite famille entrent à leur tour dans la Cathédrale. Elle aperçoit de loin son oncle et Caerellyn installé côte à côte. Elle s'approche d'eux et leur fait un sourire. Elle fait asseoir Maud-Elleanor près de sa marraine et s'adresse en premier à son oncle.

- Mon oncle je suis heureuse de vous voir. Je suis inquiète pour vous, mais rassurée de vous voir. Prenez soin de vous je vous prie.

Puis, elle s'adresse à Cae.

- Bonjour ma douce amie.

Elle s'installe près d'eux avec les enfants.

Antoineleroy

Courant à travers les rues de la capitale, Antoineleroy perdait divers feuilles économiques s'envolant de sa besace remplie de dossiers

* Ne pas arriver en retard... Mariage important... Ne pas arriver en... *

Voila à peu près les pensées du Vicomte qui s'excusait auprès des passants dans sa course folle, car il fallait bien le dire il aurait été plus intelligent de prendre une calèche pour un tel déplacement!
Le souffle court, son visage commençant à perler de sueur, Antoine passa un revers de sa manche sur son front puis gravit quatre à quatre les marches menant au parvis de la Cathédrale dont le son des cloches résonnait. Mais dans son élan il trébucha puis s'étala de tout son long sur les dales dans un bruit sourd

" Non di dju! "

Instinctivement il porta sa main au niveau de son nez dont quelques goutes de sang venaient s'écraser sur le sol en compagnie des goutelettes de pluie. Le CAC venait de se casser la cloison nasale, si c'était intelligent ça...
Une profonde inspiration pour revenir à un rythme cardiaque normal, ainsi que pour renifler le sang et éviter qu'il ne séchappe de trop, quelques pas pour passer l'encadrement des grandes portes en bois massif et le voila se dirigeant vers l'eau du bénitier. Antoineleroy plongea sa main dedans puis se signa avant de la remettre dans l'eau et de se la jeter au visage

* Ah ben fit couillon c'est qu'ça fait du bien quand même! *

Maintenant son nez entre ses doigts pour arrêter le saignement, il cherchait des yeux sa femme ainsi que ses amis. Non sans saluer les personnes qu'il reconnaissait avec un grand sourire, mais dans son état ça pouvait faire peur!

" Ma mie? Où êtes-vous? "
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Honorine_nouet

Alberie-Reine entend un bruit mat et un "nom di dju" qu'il lui parait inutile de chercher à identifier : Antoine vient de s'étaler dans la cathédrale... Elle confie à Cae la petite Maud-Elleanor et Tristan-Antoine, et se précipite au devant de son époux.

- Antoine... et bien, vous êtes bien fait... Venez donc vous mettre près de nous...

Elle lui tend un mouchoir pour qu'il compresse son nez. La petite voyant son "papounet" saute sur les genoux de son père, lui comprimant quelque peu l'estomac.

- Doucement Maud-Elleanor allons ! Votre père est souffrant regardez son nez !

Marcj

Vêtu de ses plus beaux habits, Marcj monta les marches de la cathédrale.

Il avait laissé Nane, sa douce, transporté leur cadeau jusqu’aux mariés.
Il avait dû , quand a lui, avant de se changer, chasser cette odeur de fauve que dégageait l’encombrent cadeau de noce qu’ils avaient transporté ces derniers jours.
Et pour ce faire il avait trempé dans la rivière du coin, d’ailleurs fort fraiche, durant un temps beaucoup trop long a son gout. Il avait même dû se frotter avec un bouquet de plantes aromatiques pour faire passer l’odeur. Maintenant, la peau de ses mains et de ses pieds était devenue toute flétrie, mais il n’était pas question de sentir le vieux bouc pour assister aux noces de son ami.

Il entra dans la cathédrale et à son grand désarroi le marié était déjà là.
Il ne put s’empêcher de grommeler :

Non de non, une fois de plus je suis en retard…

Mais constatent que la mariée n’était pas encore devant l’autel, il se sentit tout de même un peu rassuré.
Faisant un tour de l’assemblé, il aperçut Nane au premier rang, puis Freg et Garri.
Il rejoignit ces deux derniers et s’installa a leur coté.

Strakastre

Amadeus0 a écrit:

Bonjour Messire Comment vous portez-vous, j'ai ouïe dire que vous avez été assez souffrant, je suis heureux de vous voir dans la maison du Très-Haut. [...] Gustavo! s'il vous plait mon ami apportez une chaise à bras pour Messire Straskastre et des coussins afin qu'il soit plus à son aise durant l'office. Merci!

Charles esquissa un signe de tête, en forme de salut, en direction de l'ecclésiastique, s'apprêtant à répondre à son attention, mais il n'en n'eut guère le temps, soufflé par son amie de toujours, aussi prompte à réagir aux moments opportuns.

Sauf que sa réaction eut, pour le moins, l'occasion de le faire sourire un peu, resserrant légèrement sa main sur la sienne, afin d'attirer son attention.

- Merci de votre attention, mais ne nous donnez pas trop de peine à mon égard, je crains de toutes manières que le mal qui me cloue d'ordinaire chez moi depuis des semaines ne soit guère apaisé, même sous le confort de coussins.

Plus bas, en direction de Caerellyn.

- Doucement mon amie, je ne refuse jamais une attention offerte avec le coeur... mais pour votre gouverne, la chaise à bras n'est pas réellement une chaise à porteurs, mais un confort supplémentaire pour s'y sentir plus à l'aise.

Ils en étaient là de leur entretien lorsqu'Alberie Reine vint les rejoindre, suivie de peu par une entrée dont seul Antoine avait le secret...
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Caerellyn

Elle rougit de honte. Son empressement, qu'il connaissait bien et l'avait toujours fait sourire, lui avait, une fois de plus embrouillé l'esprit.
Elle quémanda son pardon en serrant sa main encore plus fort .

Fort marrie, elle s'excusa auprès de l'ecclésiastique.

Elle espéra que la bienvenue arrivée de son amie, détournerait bien vite les esprits de sa bévue.

Elle lui sourit et mettant un bras autour des épaules de Maud-Elleanor, se souleva légèrement pour l'embrasser

Ma petite princesse, comment vas-tu ? tu manquais énormément à marraine.
Mais que te voila superbe, une vraie damoiselle. Je t'aime très fort tu sais.

Ma douce, je suis ravie d'assister à cette cérémonie à vos cotés. Votre robe est splendide.

Elle se pencha de nouveau pour regarder l'enfançon sur lequel elle déposa un souffle de baiser sur les cheveux si doux.

Et toi, mon bel angelot, te voila bien sage !mais, n'est-ce pas un sourire que j'aperçois ?

Sa main n'avait pas quitté la sienne, elles étaient et resteraient soudées jusqu'à la fin de cette cérémonie.

Un bruit mou, suivit d'un juron brisèrent le silence.
Qui pouvait faire une arrivée aussi fracassante si ce n'était son frère de cœur ! Antoine était coutumier du fait, il ratait toutes ses entrées.

Inquiète, elle se retourna et vit quelques gouttes de sang qui maculaient sa jolie chemise.

Bon, rien de très grave

Il s'installa à leurs cotés, elle lui sourit tendrement puis lui jeta un regard noir.
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Antoineleroy

Voyant sa belle et douce arriver à ses devants, un grand sourire traversa le visage du Vicomte qui la prit dans ses bras pour lui déposer un tendre et doux baiser... Evitant ainsi de se faire tirer les oreilles

" Je ne me suis pas râté effectivement, satanés dales! "

Reniflant un autre coup, il accepta avec un léger signe de tête le mouchoir soyeux d'Albérie puis la suivit jusqu'aux bancs où se trouvaient ses amis de coeur.
Une grande révérence à l'attention du Comte Charles envers qui il avait une immense estime puis une embrassade avec sa chère Caerellyn. Le regard noir le fit frissonner ainsi que baisser le sien vers ses chausses

" Groumph... "
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Loupameth

Dans ces profondes prières , loupameth entend arriver plusieurs personnes , dont certaines ne lui sont pas inconnues , il arrête ferme sont livre salue d'un petit signe de tête Dame Carellyn , Messire Antoineleroy , son cousin Davidgradir qu'il invite a venir à coté de lui .

En voyant arriver toutes ces personnes il remarque que ,en fait c'est un mariage qui à lieu et non une messe comme il le pensait , quà cela ne tienne il était là il allait en profiter surtout au moment ou entre la futur mariée qu'il connait bien Zabou 83 , par contre il ne connaissait pas le l'heureux élu .

Tout cela lui rappel de beaux et mauvais souvenirs , il souhaitait dans son fond intérieur le bonheur de Zabou83 .

Il attendait la fin de la cérémonie pour aller saluer les époux .

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Amadeus0

Les époux étaient arrivés, la cérémonie allait véritablement pouvoir commencer. Le Vicaire debout sur le parvis accueillait chaleureusement et le sourire aux lèvres les futurs mariés.
La mariée portait une robe magnifique, toute brodée et perlée, il avait l'impression que la traine n'avait pas de fin.

Ils se mettaient en place pour commencer la procession qui les mènerait près de l'autel, qui se trouvait dans la nef principale.

En tout premier se placèrent les demoizelles d'honneur.

Puis vint le Vicaire et les clercs qui allaient participer au sacrement.
Ensuite viendrait les familles des deux futurs conjoints.

La marche nuptiale commença à retentir dans la cathédrale.

Coxwen

cox arriva comme a son habitude en retard il rentra dans la cathédrale et y aperçu rap et une ancienne amie de sarlat prune il leurs fit signe puis s'installa sur une chaise tout en regardant les futurs mariés

Hyannos

Hyannos comme à son habitude fut impressionné par le faste de la cérémonie et il commença à rêver en entendant cet air de musique nuptiale
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Hyannos Maître Boulanger à Lectoure
Etudiant en droit et en navigation

Philivert

Philivert en entendant sonner les cloches de la cathédrale se souvint de l'invitation de Dame Zabou.

"Boudiou et calembredaines comment ai je pu oublier le mariage de notre charmante bailli"

Il s'empressa auprès de son épouse et lui expliqua ce qu'il avait omis de lui dire. Un nuage noir passa dans le salon mais assister à une belle cérémIonie ne se refuse pas et après une chaude étreinte, ce fut le branle bas de combat. Heureusement la lavandière avait ramenés les tenues de la dernière fête à Caumont, ils seraient très beaux avec.

Ils habillèrent à la hâte les enfants qui étaient excités à l'idée d'un nouvelle fête et sautèrent dans la calèche en direction de la cathédrale.

Ils arrivèrent quand la marche nuptiale commença à retentir. Ils saluèrent Hyannos qui arrivait aussi et à sa suite se faufilèrent aussi discrètement que possible. Ce ne fut pas très possible car les enfants ayant aperçu leurs amis voulurent les retrouver de suite. Heureusement des places étaient libres derrière Caerellyn et ils s'y glissèrent.

Se penchant en avant:"Bonjour Cae, nous arrivons à temps. Chuttt les enfants vous pourrez crier plus tard"
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Caerellyn

Elle sentit un souffle chaud murmurer à son oreille.

Prenant appuie contre son épaule, elle se retourna discrètement.

Enfin vous voila. Bonjour Phil et Lympo. Votre absence me préoccupait.

Clin d'œil malicieux aux enfant et grand sourire

Nous nous retrouvons à la sortie !

Se penchant vers lui.

Mon ami, vous souvenez-vous de Philivert,il travailla quelque temps à nos cotés.

Un doux sourire éclaira son visage.
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Amadeus0

Ils s'approchèrent au son de la marche nuptiale vers le centre de la nef.
Tout était prêt pour recevoir les promis, la Bailli D'armagnac, Damoizelle Zabou83 et son Excellence le Chancelier d'Armagnac son futur époux.

Deux chaises les attendaient au centre de la nef, face à l'autel décoré de blanc, symbole de la pureté devant le Créateur.

Le vicaire les plaça face a lui et leur sourit.

Mes enfants est-ce que les témoins sont bien parmi nous?
S'ils sont là qu'ils s'avancent et viennent à vos côtés.

Capoune

Amadeus0 a écrit:

Mes enfants est-ce que les témoins sont bien parmi nous?
S'ils sont là qu'ils s'avancent et viennent à vos côtés.

Oui mon père, ils le sont....

D'un signe il les invita à exécuter les propos du Nonce apostolique tandis que du regard, continua d'admirer la resplendissante beauté de sa promise

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Honorine_nouet

Antoineleroy a écrit:

Voyant sa belle et douce arriver à ses devants, un grand sourire traversa le visage du Vicomte qui la prit dans ses bras pour lui déposer un tendre et doux baiser... Évitant ainsi de se faire tirer les oreilles

" Je ne me suis pas raté effectivement, satanées dales! "

Reniflant un autre coup, il accepta avec un léger signe de tête le mouchoir soyeux d'Albérie puis la suivit jusqu'aux bancs où se trouvaient ses amis de cœur.
Une grande révérence à l'attention du Comte Charles envers qui il avait une immense estime puis une embrassade avec sa chère Caerellyn. Le regard noir le fit frissonner ainsi que baisser le sien vers ses chausses

" Groumph... "

- Je vous aime tant mon doux... Prenez soin de vous. Il faut que nous parlions dès que possible mon cher époux. Cette cérémonie me rappelle la nôtre. Navigius me manque vous savez ?

Les futurs mariés vont bientôt être unis. Elle se serre contre son mari avec tendresse, lui tenant la main discrètement.

Nane94140

Gauche et empruntée dans sa belle robe tachée de terre, Nane s'avance.

Sa robe s'emmêle dans ses jambes la faisant trébucher quasi à chaque pas.
C'est donc en pestant après ce "bout de chiffon " qu'elle prend place au coté du marié.

Pff j'aurais vraiment mieux fait de conserver ma tenue Habituelle au moins je pourrais marcher normalement sans m'emmêler les crayons.

D'un sourire crispé, par l'effort de se maintenir debout, elle salut son ami Capoune puis le prêtre.
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Zabou83

Zabou avait l'impression de rever....Elle etait là au coté de Capoune pour etre uni devant Aristote...depuis le temps qu'ils attendaient tous deux ce moment...

Zabou dejà émue etait touchée par la chorale, la marche nuptiale, le Père Amadeus avait tout fait pour que ce jour reste gravé dans leurs memoires...

Citation:

Mes enfants est-ce que les témoins sont bien parmi nous?
S'ils sont là qu'ils s'avancent et viennent à vos côtés.

Zabou vit une dame s'avancer et se mettre au coté de Capoune...Dame Nane à n'en pas douter..Elle n'avait point eu encore l'occasion de faire sa connaissance..mais il lui semblait déjà la connaitre, Capoune lui en avait beaucoup parlé...

Zabou tourna discretement la tête essayant de voir ou son propre témoin se cachait...L'appercevant aux cotés de son epouse, elle lui fit un petit signe pour qu'il vienne la rejoindre...

Amadeus0

Le prêtre s'avança seul vers l'autel, il se signa et s'agenouilla.

Il médita quelques instant, puis se relevant il fit face aux futurs mariés et à l'assemblée.

Bonjour mes frères et mes soeurs, je suis heureux de vous accueillir dans la maison de Dieu.
Dieu nous a permis d'avoir une belle journée qui n'ensoleille pas seulement notre ville, mais aussi nos coeurs.

Nous sommes heureux d'accueillir en ce jour La Gente Damoizelle Zabou83 et Messire Capoune de Blue Lack pour qu'ils s'unissent officiellement devant leur Créateur. C'est un jour de fête pour toute l'assemblée ici présente.

Voilà donc une bonne raison pour le remercier.
Nous commencerons par prier Dieu pour qu'il nous pardonne de nos péchés.

Citation:

Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Honorine_nouet

Alberie-Reine ne peut s'empêcher de sourire en entendant cette musique qui vient du futur ! On dira après tout cela, que le Nonce Apostolique Amadeuso n'est pas juste un peu sorcier !...

Mais elle se reprend et se concentre sur la cérémonie de mariage, sans entendre les absurdités qui passent, par hasard, au gré des courants d'air de la cathédrale... Et récite le credo à son tour.

- Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Capoune

Voyant son amie de longue date s'approcher pour faire office de témoin, lui sourit chaleureusement... tant de souvenirs remontant ainsi... Puis écoute avec attention les propos du Nonce et, récita à voix basse

Citation:

...pour sourire à nouveau, bercer par la paix du lieux et la chaleur amicale dont ils étaient entourées
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Birdinflames

La cérémonie commença, et le prêtre appela les témoins.

Il quitta donc son banc et s'avança d'un pas assez rapide vers les deux mariés. Un sourire à Zabou et Capoune, avant de se placer près de la première.

Ne restait plus qu'à attendre le bon vouloir du prêtre pour continuer la cérémonie. À dire vrai, il ne savait pas trop quelle tâche serait la sienne, mais il était heureux d'être là, pour accompagner son amie dans l'épreuve du mariage... Depuis le temps qu'elle attendait ça.
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

Zabou83

Zabou sourit en voyant son ami s'approcher d'elle, puis se mit a prier

Citation:

Caerellyn

Sur le banc, toutes les têtes se baissèrent en signe de respect et leur oraison monta vers le Très Haut :

Citation:

Citation:
Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis deux mains qui se serrent encore et encore, un sourire de remerciement échangé, tout était bien.
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Cleo97

Cleo regardait le couple, simplement heureuse d'être là et joignit sa voix à celle des autres.

Citation:

Fregouille

A son tour, Freg répéta son crédo avec ferveur:

Citation:

Ensuite, Freg profita de ce moment de battement, pendant que tous prononcaient leur crédo pour s'ecclipser un instant pour vérifier le cadeau...

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Prunelle1

Prunelle, tout en admirant le couple , Zabou et Capoune, rayonnant de bonheur, récita le CredoJe confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Samuel_de_treviere

Les sabots des chevaux noirs tout appreté par les soins du Haras des Trévière arriva sur le parvis tirant le carrosse du Comte... Ce dernier observait par la fenetre l'entrée de l'eglise. Deja les gens rentraient..; A vrai dire les derniers s'amassaient en le saint lieu.
Samuel bondit laissant valet et cocher a leur besogne. Il montat les marche au plus vite. il entra dans la nef et vit que les regards etait tourné vers le vicomte qui semblait avoir chu.
Toutefois Samuel se fit discret. Autant l'on pouvait attendre d'un régnant en exercice qu'il soit en retard... Autant Samuel n'aimait pas etre en retard. Il suivit le cortège en silence, evita de faire quelconques frasce et pris place a son rang.

La cérémonie commença et les choses avaient ete faite en grand.

Vetu de longue etoffes de sable brodé d'or il commencait a se rechauffer enfin. Tout allait donc fort bien a cette instant.
Arriverent les epoux et epouse et Samuel Avoua qu'il etait ravissants. Une rapide pensée pour ce dire que la lecture avait du bon. Le sourire au levres il les regarda donc prendre office.

Vint le credo et samuel dans un semi silence recita les yeux fermé son credo

Je confesse à Dieu Tout-Puissant,
à tous les Saints,
et à vous aussi, mes frères,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action.
C'est ma faute,
c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

AMEN

Garriguette

Après qu'avec l'assemblée, dans un pieux recueillement, Garri ait récité le credo, elle vit Fregouille s'éclipser furtivement... Intriguée, elle eut du mal à ne pas le suivre...mais la cérémonie se poursuivait et il eut été inconvenant de sortir à son tour.
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Amadeus0

D'autres personnes entraient dans la Cathédrale, Le Comte, sa Grâce Samuel de Trévière était présent.

Le Vicaire Diocésain reprit la parole :

Nous voici rassemblés dans la maison de Dieu
autour de Zabou et Capoune, qui vont aujourd'hui fonder leur foyer.
En ce moment décisif de leur vie, nous voulons les entourer
non seulement de notre affection ou de notre amitié,
mais encore de notre prière fraternelle.
Avec eux nous allons d'abord écouter
la Parole que Dieu nous adresse aujourd'hui.
Ensuite, avec toute l'Église
et par l'intermédiaire de Christos,
supplions Dieu, notre Père,
d'accueillir, de bénir et d'unir ces futurs époux.

Prière de collecte

Citation:

Notre Dieu, Toi le Très-Haut,
tu as sanctifié le mariage
par un mystère si beau
que tu en as fait le sacrement
de l'alliance du Christos et de l'Église;
Accorde à Zabou et Capoune
qui vont recevoir ce sacrement dans la foi,
de réaliser par toute leur vie ce qu'il exprime.
Par Christos.

--Volavoine

[Le présent est une affaire de temps ]

A plus de 15 jours de là, Reb et Eleonoreh avaient reçu une invitation pour le mariage de Zabou et de son compagnon. Zab étant la fieulle de Reb, il se devait d'aller en Comminge et assiter à la cérémonie. Bien qu'ils gardèrent bonne date, il fallait se déplacer au plus vite, car le BA n'éatit point à coté. Pourtant, les préoccupations d'alors, leurs firent oublier l'avance et anticipation qu'il reçurent à la lecture de la missive. Une simple histoire vint tout chambouler.

Une mauvaise gestion du marché exaspérait Reb. Le bois était si cher, que bien des denrées augmentaient. Sa compagne étant boulangère, il fit grand débat et grand éclat de voix si bien porté, que tout un conseil ducal vint à calmer. Décidant de faire concurence à la mairie, le couple partit en Limousin chercher plus de 150 stères à prix fort honnête. Hélas le temps passait et dans leur préoccupation première, ils en oublièrent le voyage et l'invitation.

De retour en leur village, ils eurent fort à faire et produisirent en quantité, bons pains vendus à chaque lendemain. L'un au moulin, l'autre au pétrin. Le temps tourna si vite, que lettre d'invitation en devint passé.

Comme si le présent devait ressurgir en bon temps, le couple se rappela qu'il avait une invitation en suspend. Hélas il était trop tard, car il fallait bien 6 jours de marche sans travailler pour se rendre en Comminge. Reb en râgea et se sentait tout penaud de s'être laisser aller à moins important. Le bois pouvait bien attendre, mais son emportement en fit autrement. Questionnant son épouse sur la conduite à tenir, il espérait trouver une solution passagère.

Dans un premier temps, il fut décidé d'envoyer un volatile porter la triste nouvelle. Ils ne savaient quelle excuse devait convenir, mais Reb savait si bien raconter, qu'il en serait à moitié pardonné. Il avait morale à ce donner. Si au présent l'on t'a donné en suspend, ne met point au passé car mémoire doit rester.

[Vol express]

Reb se mit donc à écrire, puis attacha la missive à son fidèle rapace nocture. Une fois la besogne faite, il envoya le tout par les airs. Le hibou prit donc les cieux en bonne direction. Préférant les bois et les forêts, il n'avait point eu d'ennemi en son sillage jusqu'au dit village. Son vol fut sans encombre, mais il avait si faim d''un petit mulot, qu'il en oublia pour un moment sa mission première.

Perché sur le haut clocher, le hibou attendait pour empocher. Sous lui, un mulot vint à passer. Quittant son perchoir, le rapace fondit sur le rongeur, dont la seule surprise fut d'être enserré et plaqué.

Héhé pauvre petit mulot, ne sait tu point que tu es mon festin?

Ne pouvant plus sauver sa peau autrement que par une bravade, le mulot dit en un sursaut.

Je n'ai que peau sur les os, mais je connais un sur mulot qui pourrait calmer votre entrain.

Le racape suspendit son geste.

J'ai faim et aime manger à l'heure, point la peine de me tendre un autre leure.

Le mulot ajouta avant qu'il ne vive trépas.

Ce rongeur mange comme quatre et se gausse de ne point être inquiété.

Le hibou fit tourner ses yeux tout vitreux puis se pencha sur sa proie.

Ton offre est tentante, mais je ne vois point celui dont tu me dépeinds.

Avant que le mulot ne surenchérisse, le rapace l'engloutit en son bec.

Vrai que le hibou ne fit qu'uner bouchée de ce petit rongeur, mais il avait colis à livrer.

Reprenant son envol, le rapace gagna les hauteurs puis tournoya autour de la cathédrale avant de passer par le clocher avant de se diriger vers Zabou et son futur époux. Une fois posé, il se délesta de son petit parchemin.

Citation:

Ma chère Zabou,

Je suis fort mécontent car je n'ai pu venir à temps. Tu sais combien tu m'es attachée mais les derniers évènements nous détournèrent sans nous rendre compte du temps. Il est bien tard pour prendre chemin, mais j'espère que ce petit message te sera remis en les plus brefs délais.

Eleonoreh et moi même te souhaitons tout le bonheur possible. Nous souhaitons que votre union soit aussi belle que la notre et que votre amour présent soit éternel.

Je ne sais si nous seront à temps, mais sache que nous viendrons vous rendre visite dés que possible.

Dans l'attente de nous revoir, sache que nous sommes heureux pour toi.

Ton parrain Reb

Capoune

Capoune, toujours silencieux et en recueillement.... écouta avec attention les propos de l'officiant, priant et implorant les lumières du Très-Haut, qu'elles descendent sur lui, sur le couple qu'il allait former avec celle qui fait battre son coeur.
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Nane94140

Après avoir récité son crédo Nane se recueillait comme les autres.

Cette ambiance lui remettait en mémoire ses propres noces avec Marcj.
Un sourire accompagné d'un clin d'œil complice à Capoune aussi emprunté en ce jour que Marcj avait pu l'être à son heure. Capoune était la aussi a ses noces a elle il y a longtemps maintenant, noces qui avaient failli se terminer en pugilat général.
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Antoineleroy

Les invités continuaient à arriver tandis que le Vicaire Amadeus commençait la cérémonie... Antoineleroy salua donc d'un signe de tête Messires Loupameth et Hyannos, ainsi que son ami Philivert qui arrivait avec la famille.
Mais les paroles de sa femme le sortirent de ses pensées

" Navigius me manque également ma tendre aimée... "

Il l'embrassa avec amour avant de suivre l'invitation de prière

" Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés. "

Puis le Vicomte se signa avant de continuer à suivre attentivement la cérémonie
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Paquerette

La cathédrale s'était remplie, petit à petit et c'était un vrai plaisir de voir tous ces nouveaux visages, rayonnants du plaisir d'assister au mariage de leurs amis.

Bien sûr, il y avait aussi les armagnacais, plus ou moins attentifs à la maison du Seigneur ! Mais certains ne savaient pas se détacher de leur goût pour les hommes alors que le moment était à Dieu.
L'épouse du Vicomte de Fontrailles faisait une drôle de tête en écoutant la musique choisie par le Nonce apostolique. Peut être voyait elle des fantômes ? ou avait elle des visions futuristes ? On savait bien qu'elle n'était pas tout à fait "normale"... mais la normalité, à notre époque !!! Paquerette pencha la tête pour la regarder. Etait elle à nouveau enceinte ? Son dernier né faisait déjà bien parler de lui !

Devant l'autel, Capoune et Zabou étaient absorbés dans une prière commune. Rien qu'à les regarder, on sentait leur complicité. Paquerette se remémorait les dernières semaines, le travail avec le conseil de régence mené par Capoune, les discussions avec celui-ci...
Si elle appréciait Zabou de très longue date, elle avait redécouvert Capoune et avait pu mesurer les qualités du Régent. Elle était très contente de ce mandat fait avec lui ! Travail efficace, dans une bonne ambiance malgré les difficultés.

La musique montait dans l'église. Le pâle soleil d'hiver jouait dans les vitraux, éclairant d'une lumière douce et changeante les chevelures des témoins et des amis nombreux. Les Credo s'élevaient vers la nef. Belle cérémonie, tant attendue... Paquerette eut un sourire. Peut être que l'attente rendait toujours les cérémonies plus belles !

Amadeus0

La cathédrale était pleine et les personnes arrivaient encore.

Le Vicaire se dirigea ensuite vers le pupitre. il ouvrit le livre puis il lut.
En guise de Lectures rituelles, voici la Vita de Christos, Partie XIII

Citation:

Or, la fille de nos hôtes vint avec une cruche pour nous servir du pain et du vin, et Christos reconnu celle qui se nommait Natchiachia, et qui lui avait adressé la parole précédemment, lorsqu’elle était dans la foule. Natchiachia versa le vin de sa cruche dans la corne de Christos, et lui demanda :

" Maître, je suis en proie à un profond tourment de l’âme. Je voudrais te suivre dans tes enseignements, mais j’aime un homme qui habite ici et qui se nomme Yhonny, je l’aime d’un amour pur comme le diamant… Que dit Aristote sur cette question que dois-je faire ? "

Christos lui répondit: " Lorsque deux êtres s’aiment d’un amour pur et qu’ils souhaitent perpétuer notre espèce par la procréation, Dieu leur permet, par le sacrement du mariage, de vivre leur amour. Cet amour si pur, vécu dans la vertu, glorifie Dieu, parce qu’Il est amour et que l’amour que les humains partagent est le plus bel hommage qui puisse lui être fait. Mais, comme le baptême, le mariage est un engagement à vie, aussi, Natchiatchia, choisis judicieusement, car une foi que tu aura épousé Yhonny, vous ne pourrez plus vous y soustraire. "

Amadeus0 referma le livre et commença son homélie

Citation:

Mes Chers amis, si nous sommes ici c’est que Dame Zabou83 et Messire Capoune de Bluelack en on fait la demande. Je connais Messire Capoune depuis quelques temps déjà. Nous nous sommes rencontrés dans la Chancellerie puis plus tard au Conseil Comtal. C'est un homme sérieux et honnête, un homme qui est responsable, je suis fier aujourd'hui de l'unir à Dame Zabou que je connais depuis peu, mais dont j'ai pu déjà apprécier le sérieux.Dame Zabou une femme très talentueuse et dévouée. Ces deux êtres ici présent sont magnifiques et ont un grand potentiel de vie. J’espère pour eux qu’ils iront loin et que Dieu les protègera toute leur vie.

Amadeus0 continua la cérémonie.

Le temps est venu de partager le pain de l’amitié.

Citation:

[b]Ô Dieu, veuillez bénir ce pain qui est signe du corpus de Christos et ce vin signe de la réconciliation. Béni sois celui qui viens au nom de Dieu pour proclamez ses paroles.
Bénissez le Pape Eugène V, les prêtres, diacres et ceux qui ont la charge de ton église. Laisse nous grandir dans la réconciliation et la paix humanitaire.[/b]

Puis Le Vicaire avança vers les futurs époux

Citation:

Et maintenant, procédons à l’échange rituel devant Dieu tout puissant et bienveillant pour ceux qui s’aiment.

Les époux se doivent mutuellement fidélité, secours et assistance en toute circonstance et tout au long de leur vie. Ensemble vous devrez assurez la direction morale et matérielle de la famille au sein d’une vie commune et vous devrez protéger et éduquer du mieux que vous le pourrez votre progéniture.

Que si quelqu'un doit s’opposer à cette union, qu’il parle maintenant sous le ciel de ce monde, ou se taise à jamais.

Il se tut un instant, puis un enfant de coeur apporta deux petits écrins en ormes garnis de satin rouge, dans lesquels étaient déposés deux les anneaux de l'union solennelle.

Citation:

Fregouille

Freg s'était ecclipsé quelques instant, après avoir récité son crédo, le temps d'aller vérifier que le précieux cadeau convoyé depuis Albi était toujours... intact, à l'arrière de la cathédrale...

Il se glissa aussi discrètement que possible dans l'édifice... mais c'était sans compter sur la lourde porte qui grinçait... plus lourde qu'il n'aviat estimé apparment :

Crouiiiiiiiiiik ! Blam!!

*Ooops ! Désolé...*
se dit-il, offrant un large sourire à ceux qui se retournaient...

Confus, il alla rejoindre ses amis au moment où le prêtre allait procéder à l'échange des alliances...

Il se pencha vers Garri pour lui chuchoter :

J'ai déjà fait plus discret... mais tout va bien dehors !

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Garriguette

La porte grinça et Garri vit Fregouille se glisser à l'intèrieur de la cathédrale et venir les rejoindre. Lorsqu'il lui chuchota

elle sourit et lui dit en riant

Oui ! En effet ! puis elle le regarda, les yeux tout ronds Mmmais ....tu pues la poiscaille Freg ! Tu t'es pas lavé les mains après avoir...euh...t'être occupé du cadeau ?
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Amadeus0

Mes enfants nous passons maintenant à l'échange devant Dieu
Zabou83 et Capoune, vous avez écouté la Parole de Dieu qui a révélé aux hommes le sens de l'amour et du mariage.
Vous allez vous engager l'un envers l'autre.
Est-ce librement et sans contrainte?
Pouvez-vous me répondre par l'affirmatif en cet instant?: Oui.
Vous allez vous promettre fidélité.
Est-ce pour toute votre vie?
Vous devez pour que ce mariage soit valable répondre : "Oui, pour toute notre vie."

Dans le foyer que vous allez fonder, acceptez-vous la responsabilité d'époux et de parents?
répondez également : "Oui, nous l'acceptons."

Amadeus0 reprends et dit :

Mes frères avec Zabou83 et Capoune, nous avons écouté la parole de Dieu qui a révélé tout le sens de l'amour humain.
Le mariage suppose que les époux s'engagent l'un envers l'autre sans y être forcés par personne, se promettent fidélité pour toute leur vie et acceptent la responsabilité d'époux et de parents.

Le Vicaire se tourne alors vers les fiancés:
Zabou83 et Capoune, est-ce bien ainsi que vous avez l'intention de vivre dans le mariage?

Donnez maintenant une réponse à Dieu: "Oui".

Amadeus0 attendit quelques instants les réponses à ses questions.

Honorine_nouet

Alberie-Reine serre la main de son époux, en confessant à son tour.

- Je confesse à Dieu Tout-Puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes frères, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
C'est ma faute, c'est ma faute, c'est ma très grande faute.
C'est pourquoi je supplie tous les Saints, et vous, mes frères, de prier pour moi le Créateur notre Dieu. Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis en souriant, elle attend elle aussi les vœux des mariés.

Zabou83

Zabou sourit et sans ciller d'une voix claire repondit au Père Amadeous

C'est librement et sans aucune contrainte que devant vous tous et devant Dieu je m'engage envers messire Capoune. Je lui promet fidelité et ce pour toutes les années qu'il me sera donner de vivre.
J'accepte toutes les responsabilites d'épouse et de mère que mon choix engendre.

Puis se tournant vers Capoune, les joues s'empourprant

Oui c'est mon choix d'unir ma vie à la tienne et ce pour toute ma vie

Capoune

Écoutant avec attention les propos du Père, pour ensuite la voix mélodieuse de Zabou, telle la plus douce des caresses prendre officiellement engagement devant Tous.

Il la regarda amoureusement pendant un moment où il ne dit rien. Jamais... JAMAIS il n'aurait cru ni même pensé avoir à entendre de telles paroles... ni d'avoir à les dires d'ailleurs. Un étrange éclat d'humidité apparu au coin d'un oeil lorsqu'il dit haut et fort:

C'est librement et sans aucune contrainte que devant vous tous et devant Dieu je m'engage envers Dame Zabou. Je lui promet fidelité et ce pour toutes les années qu'il me sera donner de vivre.
J'accepte toutes les responsabilites d'époux et de père que mon choix engendre.

Puis regarda Zabou directement dans les yeux, rajouta:

Oui c'est mon choix d'unir ma vie à la tienne et ce pour toute ma vie. Choix que je n'aurais jamais cru possible jadis... mais, tu as redonné vie à mon coeur en y déposant la semence de l'amour.
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Amadeus0

Le prêtre invite les fiancés à se donner la main et à échanger leurs consentement.

Puisque vous êtes décidés à vous engager dans les liens du mariage, en présence de Dieu et de son église, veuillez joindre vos mains et échanger vos consentements.
En présence de Dieu qui est source de votre amour et qui sera toujours avec vous, devant tous ceux qui sont ici, échangez vos consentements.

Messire Capoune à vous l'honneur, voici la demande à faire officiellement devant l'assemblée des fidèles :

Citation:

Zabou, veux-tu être ma femme ?
Oui, Capoune (je veux être ta femme) Et toi, Capoune, veux-tu être mon mari ? Oui (je veux être ton mari)
Je te reçois comme époux et je me donne à toi.
Je te reçois comme épouse et je me donne à toi
Ensemble : Pour nous aimer fidèlement dans le bonheur ou dans les épreuves, et nous soutenir l'un l'autre, tout au long de notre vie.

Le prêtre étend la main droite sur les époux, en disant:
Désormais, vous êtes unis par Dieu dans le mariage.

Le Vicaire reprends la parole et dit:

Que le Seigneur bénisse vos alliances
et vous garde tous les deux dans l'amour et la fidélité.
Échangés les alliances je vous prie!

Il les regarda et les écoute échangés leur serments et leurs alliances, souriant, heureux de voir une nouvelle famille s'unir sous le regard de Dieu.

Capoune

Se tourna vers Zabou, mit un genou au sol, prit sa main dans la sienne et tout en plongeant son regard dans le sien dit d'une voix claire et forte:

Zabou, ma chérie, mon rayon de soleil qui grace à toi mon ciel bleuït et ma terre reverdie...

Par cette bague que je te glisse au doigt, Je te reçois, Zabou, comme épouse Pour nous aimer fidèlement dans le bonheur ou dans les épreuves, et nous soutenir l'un l'autre, tout au long de notre vie.

Et sans plus attendre glisse la bague le long de l'annuaire de sa belle. Et sans même s'en rendre compte, une larme d'émotion, de joie, perla au coin de l'oeil.
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Davidgradir

David regarde l'échange des anneaux. Il regarde Capoune, fier de lui. Le plus dure reste à faire, les responsabilités envers sa femme, sa noblesse à respecter et le respect des traditions,... Il lui souhaite d'avoir enfants et belle surprise de la vie.
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Garriguette

Le coeur de Garri s'étreint...les époux échangent les anneaux dans un silence religieux. Pas un bruit dans cette magistrale cathédrale...Seuls 2 coeurs qui battent à l'unissons et une foule d'amis qui s'unissent à leur nouveau bonheur .
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Nane94140

Quelle émotion et quel silence dans cette église. Le moment est tellement solennel. Nane émue comme toute l'assemblée regarde Capoune à genou la larmichette a l'œil.

C'est le moment que choisit sont estomac pour se mettre à gronder de façon incongrue et bruyante.

grumbllllgrumblll

La blonde se met à rougir et se tasse sur son siège se faisant encore plus petite qu'elle ne l'est afin, peut être, d'éviter de se faire repérer.
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Zabou83

Zabou emue ecoutait le père Amadeus....Le moment de l'echange des voeux et des alliances arriva..
Capoune un genou à terre, lui tenant sa main, leurs regards plonger l'un dans l'autre, lui passa l'alliance avec des mots la touchant au plus profond d'elle même.
Zabou souriante, d'une voix un peu tremblante par l'emotion lui repondit sans lacher son regard...

Capoune, c'est un avec un grand honneur que j'accepte cette bague

Puis en glissant à son tour l'alliance à son doigt

Par cette bague que je t'offre, je te recois, Capoune, comme époux et je me donne à toi. Notre amour rayonnera tout au long de ces années nous permettant d'avancer ensemble. Dans le bonheur ou la peine nous ne ferons plus qu'un.

Amadeus0

La marié fit également sa déclaration officielle.

Puis L'officiant vit à ce moment-là le témoin du marié s'avancer. Il lui sourit et lui demanda :

Dame Nane94140, vous êtes le témoin de Messire Capoune de Blue Lacke, n'est-ce pas? vous êtes baptisée dans la religion qui les marie.

avez-vous bien entendu, comme moi, que Capoune est prêt à être lié à Zabou83, jusqu’à ce que la mort les sépare, en l’aimant d’un amour si pur et vertueux qu’elle en glorifiera Dieu?

Nane94140

Nane se redresse encore rouge de confusion. Ouf son gargouillement a l'air d'être passé inaperçue.

Elle bredouille quelque peu surprise que le curé l'interpelle et cherche qui peut bien être cette femme qui porte presque le même nom qu'elle. arf oui, une erreur de mes parents ... c'est mon nom complet c'est vrai ! Elle réponds rapidement

Oui... heu .. oui je suis témoin de Capoune! Mais heu... excusez moi, j'ai pas l'habitude qu'on me donne mon nom complet, Nane suffit bien. Je cherchais en fait de qui vous parliez. Et oui, je suis baptisée devant le Très Haut.

La Blonde se mélange un peu les crayons dans ses propos un peu décousus, mais ouf, elle a tout dit ah non pense t'elle manque le plus important :

Je suis témoin de l'engagement de Capoune envers Zabou !
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Amadeus0

Amadeus0 sourit et lui dit :

Ne soyez pas confuse Damoizelle Nane, car nous sommes dans une assemblée officielle, et devons employer les noms et prénoms exactes.
Je vous remercie pour votre intervention et votre gentillesse.

Puis il se tourna vers le témoin de la mariée.

Si messire Birdinflames veut bien me rejoindre!

vous êtes le témoin de Dame Zabou83, n'est-ce pas? vous êtes baptisé dans la religion qui les marie.

Avez-vous bien entendu, comme moi, que Dame Zabous83 est prête à être liée à Messire Capoune de Blue Lack, jusqu’à ce que la mort les sépare, en l’aimant d’un amour si pur et vertueux qu’elle en glorifiera Dieu?

Garriguette

Garri se pencha vers Fregouille et lui chuchota

Dis freg, il doit commencer sèrieusement à trouver le temps long notre cadeau, non ? J'espère que ça l'aura pas rendu trop nerveux !
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Birdinflames

Alors que la cérémonie avance, un étrange gargouilli se fait entendre tout près de lui. Impossible de déterminer exactement d'où il provient, mais surtout, impossible de retenir un sourire amusé. Peu après, le prêtre appelle Nane.

Puis il s'adresse à lui, par son nom complet également. Il se dit que Zabou devait l'avoir communiqué au prêtre, car bien peu étaient au courant.

Il s'avança d'un pas, à peine, avant de répondre aux deux questions posées par le prêtre.

Oui, je suis baptisé dans la religion qui les marie.

Un sourire ravi sur les lèvres, il prononça les prochains mots, se tournant à demi vers Zabou
Je suis témoin de l'engagement de Zabou envers Capoune.
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Birdy du Domaine du Loup Noir, Frère de Fobia02, Voyageur et vacancier... Politicien ?? O_o

Amadeus0

Le vicaire se tourne vers les époux et lui dit :

Par les pouvoirs qui me sont conférés par le sacerdoce et avec la bénédiction du ciel, je vous déclare unis par les liens sacrés du mariage.

vous pouvez embrasser la mariée.

Le vicaire constate un baiser passionné plein d'amour.

Hyannos

Hyannos oubliant un instant le lieu où il se trouvait faillit applaudir, mais au dernier moment , ses mains se figèrent et il se contenta de sourire et de murmurer

" Paix et joie à ses nouveaux époux"
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Hyannos Maître Boulanger à Lectoure
Etudiant en droit et en navigation

Capoune

Amadeus0 a écrit:

Par les pouvoirs qui me sont conférés par le sacerdoce et avec la bénédiction du ciel, je vous déclare unis par les liens sacrés du mariage.

vous pouvez embrasser la mariée.

À ces paroles, Capoune se senti traverser par une lame de fond, d'un bonheur incommensurable et prestement enlaça celle de qui il pouvait enfin dire sa femme et l'embrassa sans aucune retenue, d'un fougueux baiser dès plus passionné, transposant ainsi tout l'amour qu'il éprouvait pour sa douce, sans même ce soucier du lieu ou des gens présents. Puis les yeux emplit d'étoile, dit tout bas:

Merci Mon Père pour votre office.

Se tourna ensuite vers ceux présent en la cathédrale et déclara d'une voix forte et claire:

C'est maintenant l'heure des réjouissances! Vous êtes toutes et tous conviés à venir vider quelques tonneaux, manger et surtout... partager ce bonheur qu'est le notre.
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Cleo97

Cleo sourit et retint un rire. Capoune avait toutes les raisons d'être heureux... Elle pensa à la salle. Serait-elle assez grande? En avait-elle trop fait? Oh et puis zut, de toutes façons il était trop tard. Elle regarda les nouveaux époux s'embrasser avec joie, teintée de mélancolie qu'elle chassa rapidement.

Amadeus0

Le prêtre sourit et dit à Capoune, j'espère que votre impatience, toute naturelle me laissera tout de même terminer l'office. Mais rassurez-vous nous nous réjouissons tous déjà pour vous, dit Amadeus0 en souriant aux deux jeunes mariés.

Zabou83

Zabou ecouta Nane, puis Birdy témoigner de l'engagement de Capoune vis à vis d'elle et reciproquement..

Citation:

Par les pouvoirs qui me sont conférés par le sacerdoce et avec la bénédiction du ciel, je vous déclare unis par les liens sacrés du mariage.

vous pouvez embrasser la mariée.

A ces mots, Zabou sentit ses yeux s'humidifier de bonheur....Capoune l'enlaca aussitot pour l'embrasser d'un fougueux baiser auquel repondit avec passion...

Puis sans lacher la main de son epoux, elle se tourna vers le père Amadeous pour suivre la fin de l'office...

Silverangel

Silver suivit avec attention la cérémonie, le coeur transporté par cette émotion ambiante. Cet instant resta gravé pour toujours dans son coeur, heureux pour son amie Zabou de vivre ce moment inoubliable qui ne se vit qu'une seule vie.

Il songea intérieurement que ça serait bientôt son tour d'y passer également et ne pu s'empêcher de penser à doux ange.

Il releva les yeux attendant que le père termine son office pour ensuite aller festoyer comme il se devait.
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--Eugenie

Comme chaque semaine, Eugénie était venue de Saint-Bertrand pour « faire » le marché à Auch.
Sitôt ses emplettes effectuées elle se promena et déambula dans la ville, à l’affût des événements qu’elle ne manquerait pas de rapporter et commenter à la taverne municipale où elle travaille comme fille de cuisine.
Il devait se passer quelque chose d’important à la cathédrale car cela faisait un moment que le carillon sonnait à toute volée.

Eugénie, très curieuse bien que plutôt réservée n’osa prendre le risque de pénétrer dans le bâtiment.
Elle se préparait à entrouvrir la porte quand elle entendit dans son dos le bruit caractéristique d’un cheval lancé au grand trot …
Encore de l’inhabituel, surtout en ville !
Elle ne se retourna pourtant pas assez vite et n’eut que le temps d’apercevoir un percheron à la robe blanc-gris pommelé qui filait vers la campagne environnante, chevauché par un cavalier aux longs cheveux noirs.

« Trop tard ! » Songea-t-elle en tirant sur le lourd battant de chêne.
« Et ici … ? »
-Oooooh … Un mariage …

Capoune

Aux propos du Nonce j'espère que votre impatience, toute naturelle me laissera tout de même terminer l'office.
Capoune rougit comme une tomate bien mûre, se mord la lèvre en prenant un air repentant et dis tout bas:

Pardonnez-moi mon Père.

Poursuivez je vous prie...
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Amadeus0

Amadeus0 sourit à Capoune et dit: "Ne vous inquiétez pas je comprends votre joie en ce jour".

Je vais prier pour vous et votre couple mes enfants faisons la prière des époux. Il mit sa main sur les leurs assemblées et pria :

Citation:

Seigneur, notre Dieu,
Toi qui as fait Alliance avec nous par Christos,
bénis maintenant ces alliances
et donne à Zabou et à Capoune
qui les porteront à leur doigt,
de se garder toujours une parfaite fidélité.

Seigneur, bénis Zabou et à Capoune,
Sanctifie-les dans leur amour;
et, puisque ces alliances sont le signe de leur fidélité,
qu'elle soient aussi le rappel de leur amour.
Par Christos, notre Guide.

Puis il leva les mains vers les cieux.

Citation:

Vraiment, il est juste et bon de te rendre gloire,
de t'offrir notre action de grâce, toujours et en tout lieu,
à toi, Père très saint, Dieu éternel et tout-puissant.

Car tu veux que l'alliance entre les époux
soit un lien irrévocable d'amour et de paix,
et que la fécondité du foyer aristotélicien
augmente le nombre de tes fils;
C'est ton plan de salut, mon Dieu,
c'est la grâce admirable de tes sacrements
qui enrichit à la fois l'humanité et l'Église,
car toute naissance ajoute à la beauté du monde
et la nouvelle naissance fait grandir ton peuple saint,
par le Christos notre Prophète.
Par lui, avec les anges et tous les saints,
nous chantons l'hymne de ta gloire
et sans fin nous proclamons: Saint!...

Souviens-toi de ces nouveaux époux,
Zabou et Capoune : tu les as conduits jusqu'à ce jour de leurs noces, exauce leur désir d'avoir des enfants;
et que ta grâce leur accorde de vivre ensemble
longtemps dans le bonheur et la paix.

Écoute les prières de ta famille assemblée devant toi, et ramène à toi, Père
très aimant. tous tes enfants dispersés.

Amen

A cet instant les cloches sonnèrent,
et la chorale entama un chant glorieux

Capoune

Se reprenant, Capoune écouta avec attention les propos de l'officiant puis, se laissa bercer par la douce mélodie entamée par la chorale.
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Amadeus0

Le vicaire se tourna vers le couple et leur dit.

C'est un honneur que Dieu me donne aujourd'hui, de vous transmettre de la part de l'assemblée présente, tous les voeux de bonheur, de prier pour vous afin que le Très-Haut dans son amour pour vous, vous protège individuellement, mais aussi au niveau de votre couple, et de votre descendance. Bénis soyez-vous, et ne vous éloignez jamais de Dieu car Lui est toujours près de vous.
La cérémonie est terminée et le chant qui s'élève maintenant est en votre honneur.

Amadeus0

Le mariage était terminé et le Vicaire avait mandé pour que la Cathédrale soit nettoyée et prête pour un nouvel office.

Il alla près de l'autel, se signa et s'agenouilla pour prier Dieu.

Mon Père toi qui est dans les cieux,
Que ton saint nom soit sanctifié,
et que ta volonté se fasse en tous lieux.

Je te demande de m'éclairer par ton Esprit,
Dis moi ce que je dois faire par rapport à cette terre.
As-tu encore besoin de moi, j'ai cette incertitude.
Je vois plein de gens retourner vers toi, et je me pose la question.
Pourquoi Père, ce monde est-il si perfide, si peu reconnaissant,
envers certaines personnes. je te prie encore pour
Damejeanne, pour Eclipsel, pour Angelfly, mon Père.
Je sais que d'autres vont partir encore, certains vers Toi car fatigués
de cette vie, de critiques dans lesquelles ils évoluent.
D'autres vers d'autres territoires, car dégoutés par celui-ci.

Ne laisses pas le sans Nom et ces agents régner en ce lieu,
mais apportes une solution, s'il te plait.

Que les arrogants arrêtent de l'être.
Que les égocentriques commencent à regarder autour d'eux,
Toi seul peux le faire.
Que ceux qui n'écoutent que leurs propre intelligence, entendent celles des autres.
Bénis sois-tu mon Dieu.
Aux siècles et des siècles.

Amen!

Quand il eut fini il rentra au presbytère et s'enferma dans la tristesse la plus totale.

Paquerette

Paquerette était restée dans la cathédrale alors que la musique s'était éteinte et que tout le monde s'en allait. Elle irait rejoindre Zabou et Capoune bien sur, et tous leurs invités. Elle voulait aller parler avec son frère, mais celui ci s'était agenouillé et priait.

Paquerette s'agenouillât quelques bancs derrière lui et entendit sa prière.

Citation:

...
Ne laisse pas le sans Nom et ses agents régner en ce lieu,
mais apporte une solution, s'il te plait.

Que les arrogants arrêtent de l'être.
Que les égocentriques commencent à regarder autour d'eux,
Toi seul peux le faire.
Que ceux qui n'écoutent que leur propre intelligence entendent celles des autres.
Béni sois-tu mon Dieu.
Pour les siècles des siècles.

Que sa prière était juste ! comment se pouvait il qu'il y ait dans ce Comté tant de mauvaises personnes, de méchantes langues... Elle avait toujours su, depuis longtemps, que toute communauté avait le regard de celui qui menait cette communauté.
Malheureusement, celle du Comté n'était point gérée par les hommes ou femmes d'église qui sont naturellement humbles et à la recherche du bonheur de tous. Ce Comté n'était point géré non plus par des élus portés à leurs fonction par le Peuple et pour le Peuple.

Ce Comté était géré, depuis plusieurs mois déjà, par des despotes, des égocentriques, des personnes dont le népotisme et la partialité faisaient office de ligne de conduite.

Paquerette leva les yeux au ciel et se mit à psalmodier.

Dieu tout puissant, jetez vos yeux sur notre Comté
Bientôt viendra l'heure où tout pourrait changer.

Parce que sont partis ceux qui n'avaient d'yeux que pour le Pouvoir,
Parce que vont partir ceux dont la méchanceté n'a d'égale que la mauvaise foi,
Parce que vont venir des hommes neufs, de bonne volonté, au service de la Loi,

Dieu tout puissant, éloignez de nous pour toujours les serviteurs du Sans nom,
Poussez cette Communauté dans les mains de ceux qui sauront la gérer,
Baillez lui l'intelligence du coeur comme celle de la tête,
Donnez lui l'inspiration
Donnez nous votre protection
Pour que le choix de la générosité et de l'amour de notre prochain soit fait.

Elle se releva, un peu rassérénée. Il fallait aller féliciter les nouveaux mariés.
Elle eut un sourire espiègle, peut être pourrait elle raconter à Zabou quelles étaient les préoccupations de son régent de fiancé, il y a quelques semaines, en pleine préparation de leur mariage....

Zabou83

[Un peu avant]

La cérémonie venait de finir.....Voyant le père Amadeous occupé, Zabou prit note de lui ecrire afin de le remercier pour la ceremonie....
En attendant, elle sortie au bras de son époux, en direction de leur auberge, afin que tous puissent feter ce jour heureux...

--Trottinette

La vieille Trotinnette, qui fait le ménage dans la cathédrale après les cérémonies, entre alors et voit tout le déménagement laissé par les paroissiens, comme à chaque fois qu'il y a messes ou cérémonies d'ailleurs, ronchonnent en ramassant les choses qui trainent. Elle passe le balai de jonc, va dans le presbytère et ramasse les frusques que l'officiant a laissé trainer comme d'habitude...

- Pfff c'est-y pas une misère de voir autant de gens qui prient, qui font des grimaces, et qui "déposent" leurs "péchés" aux pieds du Très-Haut en croyant qu'ils seront absous ! A côté de ça ils mentent et médisent. Pauvres fous ! IL reconnaitra les siens, ça c'est sûr !

Et elle repart en ronchonnant.

Amadeus0

Le vicaire se relève devant l'autel ayant terminé de prier
et il se retourne, voit sa soeur quelques rangs plus loin. Il lui fait un petit signe.

Il l'interpelle, petite soeur je t'ai mis mon linge sale a laver sur le pries-dieu au Presbytère, tu peux les prendre pour les faire laver.

Puis il aperçoit l'ancienne celle qui nettoyait avant la Cathédrale.

Trotinette comment allez-vous, mamie?
je vois que vous êtes revenue pour travailler à l'église s'est bien ça!

Mais vous savez que le médicastre vous l'a interdit. Si je lui répète il va être fâché contre vous. Vous savez qu'Antoine si vous ne suivez pas les conseils qu'il vous donne, va se fâcher.

mais je ne lui dirai rien, sinon il va vous faire retourner à l'Hostel Dieu ma pauvre femme. vous savez combien je vous aime, et ne veux pas que vous vous épuisiez à ce dur labeur. C'est plus de votre âge.

Non, vous ne devez plus venir, je vous en prie, prenez soin de vous, vous risquez une attaque de votre vieux coeur. J'espère que votre tête va mieux, on m'a dit que par instant vous la perdiez un peu, comme je compatit à ce malheur. mais nous passerons peut-être tous un jour par là.
Seul dieu est grand et reconnaitra les siens. Venez, allons venez manger une soupe chaude et je vous raccompagne chez vous.
Amadeus0 la prends doucement par les épaules et l'entraine vers le Presbytère pour lui donner une bonne soupe chaude.

Paquerette

Paquerette sourit à son frère. J'y vais, Amadeus, Doggniette sera ravie de s'occuper de ton linge et je te rapporte tout cela dès demain.

Paquerette sortit par la porte du presbytère alors que Amadeus allait vers une vieille femme toute voûtée.
Doggniette était la fille de Doggnia, l'économe de la maison Mattei de Dénéré. Il était maintenant très âgé et se contenter de surveiller ce qui se passait à Lavardens, en chauffant ses vieux os au soleil de l'Armagnac.
Sa fille, jeune brune accorte et dynamique, avait toujours eu un faible pour le frère de Paquerette et chaque fois qu'il fallait s'occuper de ses affaires, elle se précipitait pour s'en occuper et rendait le tout avec toujours une gourmandise pour le cistercien.

Entrant dans le presbytère, elle vit les vêtements de son frère, tombés sur le sol ! Ce n'était certes pas Amadeus qui les avait laissé ainsi. Il était beaucoup trop soigneux pour cela. Mais peut être avait il encore laissé entrer ce gros chat noir pour partager sa soupe avec lui.
Sale bête ! pensa Paquerette, il a encore fait son nid dans la soutane de toile et de laine.Ou alors c'est cette vieille Trotinette qui a tout malmené dans le presbytère. Faut toujours qu'elle fourre son nez partout à la recherche d'une vilenie à faire ou à dire !

Paquerette vérifia que rien ne trainait plus au sol, alla prendre les nappes de l'autel qui avait aussi bien besoin d'un blanchissement, plia le tout et prit le paquet pour l'emmener à Lavardens.

En sortant, elle croisa son frère toujours avec la vieille femme. Elle les salua de la main, lançant à Amadeus : J'ai oublié de te dire, Phil sera là avant la fin de la semaine. Tu viendras manger à la maison pour le voir. Il a surement encore beaucoup d'exploits à nous raconter, avec le temps qu'il est resté à Blois !

Amadeus0

Très bien petite soeur, je n'y manquerait pas, mais moi aussi j'ai une nouvelle.

Je suis nommé Évêque de Tarbes. Ainsi Dieu reconnait les siens comme disent certains. Mais la responsabilité est importante, et je vais devoir faire des choix dans mes diverses fonctions.

--Ramassefeuille

Le dict "Ramassefeuille", époux de "Trottinette", se présente à la Cathédrale... Il tournicote son chapeau dans tous les sens avant de s'adresser au prélat.

- Monseigneur, z'auriez-vous pas vu ma vieille queque part ? Passe que j'attends encore ma soupe moué... El'm'la fait pas c'te vieille carne de Trottinette... Préfère v'nir trainer chez les curés c'te vieille garce... Et moi, p'dant c'temps j'pose poirier devant m'n'assiette vide...

Il sent comme une bonne odeur...

- C'pas qu'je veux vous déranger monseigneur... mais c'pas d'la soupe que j'sens là ? C'est qu'j'ai faim moi...

L'odeur l'en fait saliver...

- J'me dis qu'à défaut d'ma vieille, un tit bol d'soupe ou un écu, ça f'ra mieux mon affaire p'tête ben, et que dans la maison du Seigneur... ben...

Amadeus0

Le prélat regarda l'homme en souriant.

Vous cherchez votre épouse? Oui en effet elle était là il y a quelques instants, mais elle est repartie la pauvre. La cathédrale est grande, bien trop grande pour elle maintenant vu son grand âge et le mal dont elle souffre.

Vous ne devriez pas la laisser seule dans les rues à de pareilles heures, avec tous les coupes-jarrets qu'ils y a le soir dans les rues. Ils vous retirent l'escarcelle sans que vous vous en rendiez compte mon brave.

De la soupe oui en effet la soupe est au feu, vous en désirez une bolée et bien oui, suivez-moi au Presbytère, nous allons partager, le pain, le vin et la soupe avec un bon morceau de lard.

Dites-moi je ne vous vois pas souvent à confesse ni à l'office pourtant nous en avons tous besoin. Dieu est miséricordieux avec nous. Venez!

--Ramassefeuille

Ramassefeuille, essuie la morve qui coule de son nez du revers de la manche... Pour un peu, il embrasserait le monseigneur là ! Il lui pose une main plus que crasseuse sur le bras et lui dit avec postillons à l'appui à deux doigts de son nez...

- Ah bah... z'êtes bien brave... ça fait plaisir de voir un homme d'église qui soit pas bête... enfin, pas trop. J'avions bien un peu peur de vous... mais plus maintenant par le sans nom ! Le ménage dans vot'église, ben c'est moi qui va le faire... Et je vas bien le faire vous verrez ! Et puis j'vendrai à la messe tous les dimanches et pi, les aut'jours que le Très-Haut fait, ça pour sûr. Je vas plus vous quitter...

Le vieux renifle, "renacle" comme un vieux canasson et bave autant qu'il peut sur les pavés de la cathédrale... De joie et de gourmandise, il en ferait bien dans ses braies...

Amadeus0

Je suis heureux que vous décidiez d'aider à l'église mon brave "Ramassefeuille" car nous avons besoin de quelqu'un comme vous dans la maison de Dieu. Puisse que vous le prenez ainsi et pour soulager votre pauvre femme je vous nomme bedeau en titre de la cathédrale. Je vous paierai moi-même un pain à 2 écus par jour que je vous ferai donner en taverne chaque jour.

Cela vous convient-il? Vous habitez dans qu'elle ville que je puisse vous faire parvenir le pain, à Eauze je crois? c'est cela?

Tenez voici un linge de nez pour votre rhume, et une bavette pour votre salive qui laisse des traces partout ou vous passez. Vous me rappelez quelqu'un que j'ai peu connu mais qui parait-il bavait sur tout le monde.

N'hésitez pas à m'en demander autant que vous voulez, j'en avais acheté tout un stock pour cette pauvre femme, mais comme elle est morte, Dieu ait son âme, la stock me reste. Vous êtes peut-être de sa famille, non?

--Ramassefeuille

Le vieil homme regard le prélat les yeux tout ronds...

- Cette femme ? de la famille de cette femme ? Et de quelle femme diable ? Moi j'suis qu'un pauv' ère, et j'suis ben content qu'vous soyez contents... mais j'ch'fais pas la charité mon pauv'curé... j'demande pas d'salaire... par contre...

Il tire sur la manche de Monseigneur AmadeusO...

- Par contre si vous pouviez prier pour mon âme... ça m'va ça... passe que... passe que j'ai beaucoup, beaucoup péché voyez vous... j'ai déposé quatre étrons derrière le presbytère... et j'ai posé P... pleins de pets dans vot'sacristie... j'a des problèmes de ventre voyez-vous... c'est à cause d' la soupe au chou et au raves de ma trottinette ! et si vous êtes d'accord, ben.... topez là mon curé ! j'f'ra le ménage toutes les s'maines après la messe, sans rien d'mander ! ça vous va-t-y comme ça ?

Il lui tend sa main crasseuse...

Bushiro

Aujourd'hui était un beau jour, c'était jour de mariage. C'était le premier sacrement que l'archevêque allait faire en la cathédrale d'Auch, le prélat ce faisait une joua d'officier.

Sur le panneau a coté de la grande porte, on pouvait lire :

Citation:

Bienvenue à tous en ce Dimanche 20 Février 1459.

Aujourd'hui aura lieu le Mariage entre la Dõna Firielle et le Sieur Riwen, leur témoins seront Damian & Angel_wittelsbach

L'archevêque ordonna alors a l'un de ses disciple de faire retentir le son des cloches affin de Convier les habitants d'Armagnac et Communges a ce rendre en la cathédrale pour assisté a cette heureux événement

Une fois les fidèles arrivés, le clerc alla à l'autel et fit signe à la foule de se taire.

Mes chers amis, nous voici réuni en ce jour pour assister au Mariage entre la Dõna Firielle et le Sieur Riwen.

Le mariage est la consécration de l'accord profond entre deux personnes, créant une communauté de vie, réputée indissoluble et symbolisant l'Amitié Aristotélicienne dans l'une de ses formes les plus étroite.

Le prêtre marqua alors une petite pause pour laissé le temps a tout les fidèles et aux simple croyant de prendre place ainsi qu'aux derniers retardataire d'arrivée.
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Antoineleroy

Courant à travers les rues de la capitale, Antoineleroy perdait divers feuilles diplomatiques s'envolant de sa besace remplie de dossiers

* Ne pas arriver en retard... Mariage important... Ne pas arriver en... *

Voila à peu près les pensées du Vicomte qui s'excusait auprès des passants dans sa course folle, car il fallait bien le dire il aurait été plus intelligent de prendre une calèche pour un tel déplacement!
Le souffle court, son visage commençant à perler de sueur, le Chancelier passa un revers de sa manche sur son front puis gravit quatre à quatre les marches menant au parvis de la Cathédrale dont le son des cloches résonnait. Mais dans son élan il trébucha puis s'étala de tout son long sur les dales dans un bruit sourd

" Non di dju! "

Instinctivement il porta sa main au niveau de son nez dont quelques goutes de sang venaient s'écraser sur le sol en compagnie des goutelettes de pluie. Antoineleroy venait de se casser la cloison nasale, si c'était intelligent ça...
Une profonde inspiration pour revenir à un rythme cardiaque normal, ainsi que pour renifler le sang et éviter qu'il ne séchappe de trop, quelques pas pour passer l'encadrement des grandes portes en bois massif et le voila se dirigeant vers l'eau du bénitier. Le Vicomte plongea sa main dedans puis se signa avant de la remettre dans l'eau et de se la jeter au visage

* Ah ben fit couillon c'est qu'ça fait du bien quand même! *

Maintenant son nez entre ses doigts pour arrêter le saignement, il cherchait des yeux une place libre pour y poser son séant. Non sans saluer les personnes qu'il reconnaissait avec un grand sourire, mais dans son état ça pouvait faire peur!
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Tslisch

Arrivant tranquillement à la cathédrale, Tslisch en était à sa deuxième cérémonie du week-end. Un sourire apaisé éclairait son visage, tandis qu'il pénétrait dans la maison du très haut, où allait bientôt avoir lieu le mariage.

Rentrant dans la cathédrale, il salua aimablement ceux qu'il reconnaissait, puis s'assit sur un banc. "Pas en retard, cette fois ci!", se dit-il alors qu'il observait les gens rentrer peu à peu dans l'édifice religieux. Bientôt allaient rentrer les futurs mariés...
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Riwenn

Le Duc avait mal dormi, des bruits l'avaient réveillés à de nombreuses reprises. Il faut dire aussi que le peu d'angoisse qui le tenait aux tripes avait en quelque sorte aiguisé ses sens, ainsi avait-il sursauté au moindre bruit. Il s'estait malgré tout reposé.

C'est donc avec un visage meilleur qu'icelui que les jours précédents avaient marqué sur sa personne que Riwenn pénétra la Cathédrale. Seul pour le moment, il ne doutait pas que sa future épouse, et leurs témoins, allaient pénétrer les lieux tost ou tard, si ce n'estait déjà faict. Et en entrant, il put remarquer que ce n'estait pas le cas, peu estait présent pour l'heure.

DINNNNG DIINNNNNNG DIIIINNNNNG !

Le noble gascon portait une tenue qu'il avait faict coudre par une chère amie couturière spécialement pour l'occasion. Ses couleur favorite ornaient les tissus qui se regroupaient en un splendide vestement qu'auraient pu jalouser les officiers royaux.

Il s'avança ainsi jusqu'à l'autel où Bushiro estait déjà en place.

Mariage : J-0.

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Héraldique européenne

Angel_wittelsbach

Voici que l'impètueux chancelier de Gascogne arriva dans la cathédrale.Accompagnait de sa garde personnelle,le jeune Von Wittelsbach gravit les escaliers tout en saluant la foule en liesse.Vétu d'une tenue aux couleurs or avec une étoffe de rouge poupre,le sourire ravageur destinés aux jeunes donzelles,Angel faisait bonne impression.

Témoin de l'heureux évènement, le seigneur de Gostoro était fier de pouvoir etre au coté de Firielle et de Riwenn.

Il pu apercevoir dans le coeur de la cathédrale, son ami , son père spirituelle le Duc magnifiquement habillé pour l'occasion .Il s'approcha s'inclina devant sa Grasce puis salua l'homme d'Eglise.

Kachina

Devant l'église

Les cloches sonnent déjà, alors que Kachi attend sur le parvis de l'église, devisant gaiement avec ses amis.

L'air est doux pour la saison, en ce jour de février de l'an de grâce 1459.
Les invités arrivent et se pressent, vêtus avec soin.

La mairesse de Saint Bertrand célèbre ses épousailles.

Il y aura du beau linge, pour sûr. La noblesse a rendez vous ici aujourd'hui.

Mais il y aura aussi, les gens de Saint Bertrand, ceux qui partagent les chopes en taverne avec Firielle.
La future duchesse aime parfois s'encanailler .

Mais il faut rentrer, les cloches sonnent......

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Firielle

Arriva le tour de la Vicomtesse de Gimoez, Firielle de Lasteyrie, d'entrer dans la cathédrale d'Auch.

L'office avait commencé, les invités étaient arrivés, c'était le grand jour, celui du mariage de la brune.

Avant d'en arriver là, la blonde s'était transformée en brune et avait totalement changée de coiffure.

La confection de la tenue avait pris des heures de travail, la brune avait obligée la couturière a travailler toute la nuit pour finir à temps.

C'est donc avec cette robe qu'elle fit son entrée dans la cathédrale pour enfin s'unir avec son être aimé.

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Hyannos

Hyannos avait reçu information que Dame Firielle se mariait ce jour en la Cathédrale d'Auch. Malgré ses nombreuses occupations et sachant qu'il ne pourrait se rendre à Saint Bertrand, Hyannos se rendit fort tard il est vrai en la Cathédrale en espérant que l'office ne serait point déjà fini. En fait à son arrivé, il vit Dame Firielle entrer dans la nef.
Il attendit un moment que le calme revienne tant dans son être palpitant de sa course, que sur la parvis de l'édifice.
Puis, comme à son habitude, il se glissa discrètement dans le fond de l'édifice, observant l'assemblée tout en commençant à se receuillir
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Hyannos Maître Boulanger à Lectoure
Etudiant en droit et en navigation

Linoa

Un mariage de plus un! Il fallait se prendre encore un chouilla de temps, entre deux cérémonies, deux baptèmes ou deux mariages, cela dépendait des jours. C'était dans ces moments là qu'on pouvait se rendre compte du nombre de cérémonies pour éguayer l'hiver tandis que le printemps poindait bientôt.
Ainsi vêtue plus que simplement d'une robe de chaque jour, pas eu le temps de se changer aussi, Line pénétra dans la cathédrale, que de monde de présent! Heureusement, la Tyx arrivait à point nommé, à peine le temps de s'installer que la mariée faisait son entrée en... Bleu? Original... Bien que le rouge soit plutôt de mise lors d'une telle cérémonie pourquoi pas!
Alors Line sourit, se permettant une petite escapade à travers monts et merveilles...
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Bushiro

Le foule de fidèle s'amassait, l'archevêque reprit :

Comme je vous le disais, nous voici réuni en ce jour pour assister au Mariage entre la Dõna Firielle et le Sieur Riwen

La société humaine est divisée en deux ordres : l'ordres des religieux qui se donnent totalement à Dieu et l'ordre des laïcs qui ont vocations à exprimer l'amour de Dieu pour l'homme par un amour humain.

Le Sacrement du Mariage a été institué pour unir par un lien indissoluble deux âmes que Dieu a faîte l'une pour l'autre.

Cette union spirituelle avec tous les baptisés s'exprime plus particulièrement entre l'époux et l'épouse dans le cadre du mariage. Les époux, par un amour pur et désintéressé, sont appelés à former cette amitié parfaite qui est le gage de la sainteté aristotélicienne.

Le mariage est indispensable à l'amour incarné, car il fonde une communauté de vie qui débouchera sur la mise au monde d'enfants et la fondation d'une famille, afin de rendre présente la fécondité de l'amour. C'est un engagement ferme et fort, dans lequel les époux se promettent de lutter ensemble contre les germes de haine et de désordre, par delà les difficultés de la vie quotidienne.

Puis il laissa un petit blanc le temps de ce décidé sur quelle page ouvrir le livre des vertus
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Greg.

Le jeune Greg de Saint Bertrand de Comminges, c'était absenté quelque peu de ces responsabilités, pour accorder un peu de temps, au grand jour de son amie qui allait ouvrir la page d'une nouvelle vie, qui tous espérons pour elle, meilleure.
Le Commingeois s'était vêtu de son plus beau costume pour l'occasion, les mariages, c'était pas tout les jours, et c'était une des plus belles choses, mais si certains vivaient heureux sans, c'était un choix de vie.
Il espéra en tout cas, pour sa part, venir prochainement avec la mère de ses enfants, s'unir devant Dieu.
Il salua discrètement la foule, fit un signe à Firielle, enfin FiFi, et resta attentif à la cérémonie.
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Philivert

Philivert arriva au galop mais en retard, la cérémonie était déjà commencée.
Il retira son chapeau et épousseta avec ses habits, puis entra furtivement dans la cathédrale. Il vit une chaise libre et s'y dirigea à pas feutrées en saluant d'un signe de tête les personnes qu'il connaissait.

Il se concentra sur la cérémonie en espérant que la force de son recueillement garantirait du bonheur au nouveau couple.
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Yannig

C'était le matin.
Yannig et Maëlya étaient arrivés tard la veille.
Ils avaient loué deux chambres d'auberge pour la nuit malgré le fait que Yannig asticotait Maëlya depuis leur départ pour dormir avec elle.

Il s'était vêtu d'un costume assorti à celui de sa fiancée, blanc et bleu.
Il sorti de sa chambre et vint gratter à celle de Maëlya.

La camériste spécialement embauchée pour l'occasion finissait de serrer le corset de son amour merveilleusement mise en valeur par sa robe blanche et bleue-ciel.

Yannig avait eu le souffle coupé.

Elle fit un tour sur elle même en souriant radieuse à son homme et lui demanda comment il la trouvait.

Après une longue période de silence et de suffocation, Yannig répondit que décidément il devait penser à respirer dans ces moments là.

Elle l'avait alors regardé amoureusement avant de lui faire remarquer que lui aussi était très beau.

C'est le bras passé dans celui de son compagnon que Maëlya parti pour la cathédrale.

A leur arrivée les cloches sonnaient encore, et les invités continuaient de monter les marches du parvis pour entrer. Il n'étaient donc pas en retard.

Alors qu'ils passaient la porte Yannig aperçus son cousin Angel. Il ne savait pas qu'il venait lui aussi à la cérémonie.

Il lui sourit et continua d'avancer la main de son amour dans la sienne...
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"De coeur et d'honneur."

Maelya

Maëlya entra donc dans l'Église, la main dans celle de son fiancé. Elle n'était jamais entrée dans la Cathédrale d'Armagnac, alors ses yeux parcouraient chaque mur, le plafond, les bancs... puis l'autel.

Sa main glissa doucement hors de celle de son fiancé. L'autel était magnifique. Devant l'autel, son Père, Riwenn de Castel Vilar de la Duranxie, superbement vêtu, sa future épouse Firielle, plus jolie que jamais et le célébrant que Maëlya ne connaissait point. La cérémonie ne semblait pas bien avancé, ce qui soulagea Maëlya qui avait peur d'être très en retard. Elle n'avait pas vu son père depuis plusieurs semaines, voir des mois. Sans réfléchir, elle se mit à courir comme une gamine dans l'allée centrale.

Yannig, qui se dirigeait vers son cousin Angel, n'eut pas le temps de la retenir et c'est avec une expression mêlée de surprise et d'amusement qu'il regarda sa fiancée ainsi sauter dans les bras de son Père.

Papa !! Quel bonheur de vous voir ! Cela faisait si longtemps !

Puis elle se rendit compte de la bêtise qu'elle venait de faire... ses joues s'empourprèrent, marmonnant des excuses à Firielle, à son Père puis au célébrant. Puis elle sourit à Yannig, et alla prendre sa place dans un banc tout en avant, pour être proche des époux. Elle y attendit Yannig, le coeur battant... bientôt ce sera leur mariage à eux.
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Yannig

Yannig rit nerveusement près d'Angel, regarda ses futurs beaux parents sur un ton d'excuse, serrât la main de son cousin et vint s'assoir à côté de Maëlya.
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"De coeur et d'honneur."

Bushiro

Le prélat choisi une page du livre des vertus et entreprit la lecture d'un passage de la vie d'Aristote

Citation:

Puis l'archeveque commente :

Vous avez dans ce texte l'exemple d'un père noble et sage, soucieux de son épouse et de l'enfant qui va naitre. Son existence a été marquée par la justice, le travail et l'honneur. Voilà l'exemple que vous devez suivre. L'honneur, la justice, le travail quotidien. C'est là que se trouve la clé du bonheur. Et peut-être alors que vos enfants, suivant vos traces, auront la sagesse d'Aristote et la bonté de Christos.

A la fin de son homélie, il fait un signe aux promis. Le moment solennel s'approchait. Les futurs époux se lèvent, Bushiro poursuit :

Futurs époux présentez vous en quelque mots devant cette assemblée de fidèles et croyants aristotélicien.
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Delmas_louis

Les cloches de la Cathédrale battaient une chamade composée de sons des plus joyeux, appelant la gente Armagnacaise à l'heureux événement trés prochain...

Louis_Delmas sortit de sa torpeur, quand il vît apparaître la Viscomtesse de Gimoez, drapé d'atours les plus merveilleux.

La Dame était de toute beauté, sans doute embellie de donner sa main en ce jour...

Le jeune Bertrandais, montât les marche du lieu Saint, avisa le Duc de Donostiri qui attendait déjà sa "belle", salua quelques connaissances, et alla s'assoir discrètement tout prés de son vieil ami Greg.

L'office venait de commencer, la Cathédrale resplendissait de mille feus,

Jamais il ne l'avait encore vu ainsi

Damian.

Damiàn en retard ?? jamais ! bah si en fait. Mais c'était de la faute d'Angecassis elle a mis des heures à se préparer. C'est à moitié en courant que Damiàn arriva en compagnie d'Angecassis sur la place de la cathédrale....Il s'arrêta devant la porte pour réajuster sa tenue.

Il souffla un grand coup et entra... C'est parti ! Le jeune homme alla se placer discrètement à coté de son père, enfin discrètement c'était un bien grand mot vu que tout les regards étaient tourné vers les futurs marié, un témoin en retard ça se remarque toujours.
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Angecassis_lasteyrie

Qui osait dire que les dames étaient longue a ce préparer ? qui osait dire qu'elles n'avaient pas le sens de l'orientation ? Les cavaliers de nos jours n'étaient plus ce qu'ils étaient ....

Les voila arrivaient enfin devant la cathédrale en retard ... les cloches avaient fini leurs carillonnement plus personne sur le parvis .... ben voila .... quelle honte pour la fille de la mariée et le fils du marié .....mais quand on pense que Monsieur avait prit trois bains se pomponnant comme un paon tout ça encore pour charmer une belle donzelle en détresse sans parler de son problème d'orientation .... puis qu'allaient penser les gens en les voyant arrivait ensemble et en retard ....

Une fois tout deux devant la grande porte,le regardant se réajuster elle se mit a rire ,il allait bientôt devenir son demi frère alors qu'il était déjà sa moitié boulet un grand jour vraiment .

Elle le poussa au cul pour qu'il se dépêche d'entré et fit de même le suivant à la trace ....elle avait une sainte horreur de la folle surtout quand elle ne connaissait personne dans l'assemblée .

Une grande respiration pour se donner de la force, une main dans ses cheveux pour les replacer et ses grand yeux bleu se posèrent dans la grande cathédrale .

Elle avançait doucement, Damian était déjà a coté de son père quand a elle ..elle essayait de se faufilé au plus prêt pour voir la cérémonie pas tout les jours qu'on mari ses parents....
Op on écrase pas les pieds des dames on essai de pas tomber au sol comme une crêpe "un pied crac" oups pardon dame .... "un coup de robe en pleine tête " pardonnez moi sieur ....." le talon de la chaussure qui se coince dans un des tapis on se retient op non non on tombe pas la main sur l'épaule d'un homme qu'on connait pas on sourit comme si on le connaissait ....

Et voila l'Ange au premier rang entré discrète comme toujours mais quand elle veut quelques choses la ptite dame .....
Posant son jolie fessier sur le banc

AHHHH ben enfin .......

Le regard de sa mère ,elle baissa les yeux et se fit discrète, une fois n'est pas coutume .....
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Titoan_cv

Le patriarche s'était enfin décidé à quitter son veuvage et Titoan du reconnaistre à son père qu'en matière de femme il avait plutôt bon goût. C'est que Firielle devait bien compter une vingtaine d'années de moins que son futur époux; icelui aurait de quoi passer gaiement ses vieux jours. Il faut croire que les Castel Vilar avaient dans le sang l'art de trouver de bons partis, du moins Titoan voulut-il le croire.

Une fois n'est pas coutume, Titoan avait fait tailler des vestements expressément pour la cérémonie. Chapeau à large bord, chemise brodée, gilet en peau de chèvre rembourré à l'intérieur... Il se devait de faire bonne figure devant la noblesse gasconne et armagnacaise réunie là pour l'occasion. Peut-être le vicomte debout devant lui était-il son futur beau père après tout, mieux valait faire bonne impression.

Les convives prenaient place en la cathédrale. Titoan ne sut où s'assoir: Damian faisait office de témoin et avait donc pris place près des mariés. Quant à Maelya, elle s'était installée avec son fiancé au premier rang. Imaginant que celle-ci serait hystérique durant toute la cérémonie en pensant à l'approche de ses propres épousailles, Titoan ne voulut pas courir le risque de s'assoir près d'elle. Il opta plutost pour la place libre à costé d'une agréable damoiselle. Chut! ça commence.
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Lyrielle

On avait dit à Lyrielle de faire un tour vers la Cathédrale, c'était une place à visiter. On lui avait aussi fait signe de l'importance d'y passer le pied. Elle alla donc porter Eloi à la nourrice puis marcha longuement jusqu'à la cathédrale. Pourquoi voulait-on tant la voir là-bas? Pas trop grave elle en profiterait pour prier. ^Ca sert aussi à ça une cathédrale non...

Elle entra, et compris rapidement ce pourquoi on lui avait dit d'y aller... Elle grimaça un moment, il était trop tard pour ressortir en douce, il fallait se placer, autant se placer derrière pour pas se faire repérer et surtout rester tranquille...
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Angel_wittelsbach

Voilà que les convives étaient tous arrivés pour célébrer l'evenement mondain à ne pas manquer dans les provinces Sud du Royaume de France.

Angel s'approcha de Firielle , en sa qualité de témoin il se devait d'etre pret d'elle.
Avant cela le jeune Von Wittelsbach avait serrer quelques mains chaleureuse notamment son cousin Yannig , et embrassait quelques donzelles dont Maelya ainsi qu'une donzelle et non des moindre AngeCassis , jolie beauté aux yeux remarquable pensa t'il.

Enfin l'heure n'était pas aux revasseries de jeunes amazones , on parlait mariage , fidélité et d'union il fallait se conditionner pour l'èvenement.

Riwenn

Riw estait arrivé jusqu'à l'autel, il suivait du regard iceux qui pénétraient les lieux. De nombreuses personnes lui estaient inconnues, sans doute des Armagnacais que sa tendre aimée avait invités à la cérémonie. Il puit néanmoins en reconnoistre certaines.

Angel. Le lapin gascon au travers duquel il revoyait sa benjamine Liloïa Reine - paix à son asme, ce jeune homme qu'il considérait comme son élève, cet adolescent au charme indéniable et au caractère bien trempé par qui il estait vu comme un père spirituel. Et il n'y avait pas de doute quant à la réciproque, le Duc ayant faict une grande partie de l'éducation du Von Wittelsbach.

Cominges. Jeune femme dont il ne ocnnoissait guère le nom mais qu'il avait déjà croisée à de nombreuses reprises en la chapelle St Aintoine-le-petit où il aimait se rendre parfois afin de parfaire ses techniques héraldiques.

Et bien entendu ses enfants.

Maëlya Gwenn. Le portrait craché de sa mair. La petite fille malicieuse qu'il avait vue grandir et qui allait bientost prendre pmour époux son fiancé Yannig, lui aussi présent. L'enthousiasme de la jeune fille devait sans doute venir du faict qu'elle se mariait sous peu elle aussi, et la seule réaction du père face à sa fille fut de lui sourire et lui biser le front avant de la laisser filer s'asseoir.

Titoan. Le jumeau esseulé, orphelin de sœur. Qui estait désormais un bel adolescent, presque aussi asgé que le chancelier et secrétaire d'estat gascon. Assez discret lors de son entrée. Mais le banquet montrerait sans doute à quel point il ne l'estait guère.

Et son aisné, Damiàn. Qui serait en ce jour le témoin de l'union de son pay et de sa mairastra*. il avait pénétré les lieux - avec un peu de retard - en compagnie d'Angecassis, sa future demi-sœur avec qui il se comportait comme un véritable gamin, mais l'Ange n'en estait pas moins un petit démon dans ces instants-là. Le patriarche espérait que cette complicité qui s'estait créée entre eux ne s'estomperait ni avec le lien familial qui les unirait à partir de ce jour, ni avec le temps qui pouvait réserver de mauvaises surprises. Si ces deux zigotos avaient voulu faire dans la dentelle en pénétrant la bastisse religieuse, ils estaient à costé de la plaque. Ce qui fit sourire Donostiri qui fut sorti de ses pensées par l'archevesque dont il n'avait ouïe la lecture.

Voilà l'exemple que vous devez suivre. L'honneur, la justice, le travail quotidien. C'est là que se trouve la clé du bonheur. Et peut-être alors que vos enfants, suivant vos traces, auront la sagesse d'Aristote et la bonté de Christos.

Ne l'avait-il pas déjà faict avec Reine et ses enfants ? Il n'allait pas changer maintenant. De toute façon, il estait trop vieux pour se refaire, et ce n'est pas ses progénitures qui diraient le contraire, oh non !

Futurs époux présentez vous en quelque mots devant cette assemblée de fidèles et croyants aristotélicien.

Galanterie oblige : les hommes d'abord ! Le Duc se tourna donc vers l'assemblée et prit la parole.

Je me nomme Riwenn de Castel Vilar de La Duranxie, patriarche de ma famille et noble gascon en les terres de Donostiri. Fidèle aristotélicien depuis mon plus jeune asge, d'ailleurs baptisé, j'ai beaucoup suivi la voix de la sagesse et de la bonté. Marié à 30 ans, j'ai vécu une vie pleine et mouvementée. J'ai eu 4 bels enfants - Damiàn, Maëlya Gwenn, Titoan et Liloïa Reine - avec une femme formidable que le Très-Haut a décidé de ramener à lui. Investi en politique, surtout dans la justice et la communication, j'ai passé mon chagrin dans ma volonté d'approfondir mes connoissances, estant un homme qui aime apprendre et qui sait qu'il ignore beaucoup, et de gravir les échelons. Soif de pouvoir si l'on puit dire. Mais cela me faisait oublier l'estre tant aimé que j'avais perdu. Ainsi devins-je Duc dé Gasconha. Et c'est du haut de mon trosne gascon que j'ai rencontré ma douce Firielle, icelle qui a su rallumer la flamme en mon cœur et avec qui je suis huy en ce sainct lieu.

Beaucoup de blabla sans doute, mais il fallait bien passer par là.

La parole à la fiancée !

*Son père et sa belle-mère

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Héraldique européenne

David064

David était là silencieur, en prière depuis le début de la cérémonie. Il était tout heureux d'avoir été invité au mariage de son amie Firielle. Il profitait de l'occasion pour voir Mgr Bushiro célébrer, ce qu'il appréciait grandement. Il priait pour les futurs mariés.
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David Grégoire Aristote de St Bertrand
Diacre de St Bertrand de Comminges
Novice grégorien
"Chacun a son point faible, moi c'est l'amitié."

Lanceline

Elle se dépêchait.

Une fois de plus, tu es en retard... La cérémonie a déjà dû commencer.

Et la Blonde de râler contre elle, contre lui, contre tout le monde et personne en particulier. Enfin, elle arriva devant l'église, essoufflée. Bon, ben... Quand il faut y aller...
Elle hésita quelques instants avant de pousser la lourde porte de bois. Dieu merci, pas de grincement!

Citation:

Soif de pouvoir si l'on puit dire. Mais cela me faisait oublier l'estre tant aimé que j'avais perdu. Ainsi devins-je Duc dé Gasconha. Et c'est du haut de mon trosne gascon que j'ai rencontré ma douce Firielle, icelle qui a su rallumer la flamme en mon cœur et avec qui je suis huy en ce sainct lieu.

Bon. Tout en écoutant son cousin parler, elle alla s'installer vers les rangs du milieu. Et échangea un regard de connivence avec tous ceux et celles qui, comme elle, n'étaient pas franchement à l'heure. Elle pensa: "Non, moi, je suis à l'heure! C'est eux qui sont en avance!"
Et la jeune femme de rire discrètement sans se faire remarquer.
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Delmas_louis

Installé dans un rang intermédiaire, Louis observait l'arrivée incessante des invités et des derniers témoins.

Le Duc Gascon, futur époux d'une des plus illustre régnante d'Armagnac, semblait avoir moult famille et proches.

Entrèrent deux jeunes gens empressés sans doute par le temps, le stress et l'importance de l'évènement.
Ceux-ci auraient pu passer pour frères et sœurs, si a un détail prés, le jeune homme ne s'était empressé auprès du noble Gascon, et que la jeune fille se mît dans les premiers rangs le regard attaché à Dame Firielle

La jeune Damoiselle, de par sa forte ressemblance avec celle-ci, ne pouvait être que sa fille. Même élégant port de corps, souligné par des traits d'une grande finesse...

L'aîné des Delmas fût subjugué par son regard, duquel aurait pu s'enticher quelconque poète ou peintre, tant ses yeux d'azur prêtaient à la rêverie, et a de plus sombres élans qu'il m'est interdit icelieu de citer...

La muse frôla Louis Delmas d'un fougueux mouvement de robe, qui en un instant pour qu'elle passe s'était remis sur pied, la saluant et croisant un instant son regard empreint de fraîcheur, et la voir prendre place quelques mètres plus loin.

Donostiri se présentait comme le voulait la coutume, invitant à présent Firielle à en faire de même...

Angecassis_lasteyrie

Voila que la cérémonie commençait,un léger regard a Damian comme pour lui indiquer que même avec trois bains ils étaient pas si en retard que ça ,puis elle posa ses yeux sur son futur beau père l'écoutant avec attention ,cet homme était en peu de temps devenu trés important pour elle ,il l'avait aider et soutenu dans sa demande de grâce un geste qu'elle n'oublierait pas Ô grand jamais ,un vrai père et pas des moindres ...

Elle détourna alors le regard vers le témoin, fils spirituel a ce qu'elle avait entendu dire celui la même qui lui avait déposé une bise furtivement ,mais elle ne le connaissait pas ...certes le jeune homme était charmant mais ce baisé l'avait perturbé tiens .....pour perturbé l'Ange il en fallait pourtant .... peut être son air désinvolte ....son regard .....allez savoir .

L'odeur de l'encens ,les eaux parfumé des dames ,les belles fleurs réunit autour de l'autel ainsi le joyeux mélanges de senteur s'installa dans les narines de l'ange qui elle le savait bien la rendait allergique .
Elle plissa son nez serra ses lèvres ferma même les yeux pour se concentré mais d'un coup.....

ATCHUMMMmmmmmm oups ....

Elle s'enfonça dans le banc essayant de se faire aussi petite qu'une souris se retournant discrètement pour observer les invités espérant ne pas avoir fait sursauté toute l'assemblé,elle fut ravie de les voir tous la bouche béat devant les paroles de son beau père, remarquant pourtant un regard insistant sur elle ,le pauvre homme qui avait eu le plaisir de gouter a sa robe elle s'était pourtant excusé ,lui en voulait il ?elle plongea ses beau yeux dans celui du sieur et lui offrit un de ses plus beau sourire avant de se retournait vers ses parents il était temps de suivre la cérémonie et c'etais a sa mère de prendre la parole .
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Firielle

C'est devant l'autel que se tenait Firielle de Lasteyrie, cachant du mieux qu'elle pouvait la panique montant en elle.

Après avoir entendu son fiancé prononçait quelques paroles décrivant ce qu'il était, la brune inspira longuement afin de prendre à son tour la parole.

Firielle de Lasteyrie, c'est ainsi que l'on m'appelle, ou Fifi pour mes amis. Aristolécienne depuis toujours même si prônant une certaine tolérance vis à vis des autres qui n'ont pas eu la chance de recevoir ce don qu'est la foi.

Ma vie ne se résume à rien de bien glorieux, quelques cicatrices acquises sur des champs de batailles, quelques écus amassés "honnêtement" sûrement sur le dos de pauvres gens, car là où l'argent apparait il disparait quelque part.
Autodidacte, mon père ne m'a reconnu comme sa fille que tard dans ma vie, j'ai dû apprendre seule et me forger sans aucune aide.
Aucun père spirituel, peut être un seul mais qui est parti trop vite, Fauville de Chéroy.

Je suis pour le peuple mais pas du peuple, telle est ma conception de ma vie, ce qui m'a amené à faire de la politique. Il ne faut ni se rendre semblable aux hommes mauvais sous prétexte qu'ils ont le nombre pour eux, ni se faire ennemi de la majorité car elle diffère de moi.

Riwenn a toujours été une lumière pour moi depuis que le destin l'a mis sur mon chemin.
Le dessein de ma vie est d'apprendre à vivre, Riwenn est indispensable, il m'apporte ce qu'il me manque.

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--Agyma

Point d’invite.
On lui en voudrait de son inconduite.
Point de remord,
Être discrète était son fort.
Elle voulait voir, la voir …
Dans son innocence feinte,
L’ épousée oublie ses craintes.
Accomplissement.
Cyniquement,
Agenouillement
Et recueillement.

" Tremble Messaline déjà accomplie,
La toile de tes ennemis
Se nourrit de ton arrogance
Et des fils de ta décadence
Annoncée, se tissera
Jusqu’à ton trépas. "

Prière brève,
Frissons sur les lèvres.

Kachina

Elle est là, sur son banc, les mains posées sur sa jupe de lainage sombre. Ils sont nombreux à être venus.

Ses yeux parcourent l'assemblée, y retrouvent des têtes connues, Sourire discret à Tslisch et Hyann. Elle voit arriver une Lanceline , comme à son habitude en retard, rend le salut à Greg.

Elle remarque Louis, qui pour une fois est sorti de sa chaumière qu'il ne quitte plus depuis la mort de sa belle Lène.

David, non loin d'elle, s'absorbe dans une prière.

Et puis les mariés parlent. Firielle...............Fidèle à elle même. Kachi craint un instant que l'église s'effondre sous la colère du Très Haut lorsque la brune mariée, clame avec aplomb avoir gagné honnêtement sa fortune sur le dos des pauvres gens. Misère.............Firielle !!!!!!!!!!!!!!!

Mais bon, il s'agit d'amour, ici , non ? Alors, Kachi veut seulement voir cette lueur qui brille dans les yeux des mariés.
Le marié, tiens parlons en de celui là. Plutôt pas mal , ma foi. Bien bâti. Pourpoint raffiné. Pas si vieux que ça finalement.

L'important , aujourd'hui, c'est que ces deux là se gardent et qu'ils marchent ensemble sur le chemin de la vie . Le reste n'a rien à faire ici.
Bon, quand est-ce qu'ils s'embrassent ces deux là ?

Discrètement, elle tend un mouchoir de coton blanc à Antoine qui saigne du nez..........
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Thea16

Elle dévale la ruelle en courant ,la main sur son chapeau pour éviter de le perdre en route.
Son prince a elle l'avait encore retenue et là elle était plus-qu'en retard

A l'entrée de la cathédrale elle s'arrête ,reprend son souffle,remets ses cheveux en place et ouvre discrètement la porte.
Elle se faufila dans les rangs ,saluant ceux qu'elle connaissait et alla rejoindre sa jumelle.
Elle lui murmura

-oui ,je sais ,je suis en retard ,mais personne n'a remarqué ,chut....
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Davidgradir

Invité par la futur épouse, le vicomte arriva dans sa voiture la plus sobre flanqué de son écu famillial. Il entra dans les lieux par une abside et vint sur l'extérieur avec son épouse dans un calme religieu.
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Antoineleroy

Toujours la tête penchée vers l'avant, la pince de son pouce et de l'index de sa main droite appuyant la cloison nasale de son nez, quelques gouttes de sang perlaient cependant jusqu'à choir sur le sol pavé de la Cathédrale...
C'est alors qu'une main à ses côté tendit un beau mouchoir blanc. Le Vicomte tourna sa tête dans la direction puis adressa dès lors un grand sourire à sa voisine

" Berci bien ba chère Kachina, le Très Haut bous le rendra "

Puis il épongea les coulées rouges sur son visage tout en continuant le point de compression afin d'éviter que ça ne coule encore
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Bushiro

L'archevêque écouta avec attention les présentations respective des futures marié.

Bien, les présentations faites, disons ensemble le je confesse a Dieu

Maintenant par cette eau que vous allez recevoir vous serez purifier comme le jour de votre baptême, Car dans sa très grande miséricorde Dieu nous pardonne quand nous lui demandons

Bushiro accompagné par un servant de messe passa entre les fidèles pour asperger d'eau bénite

Maintenant Frères et Sœurs, nous allons procédé au Mariage

L'archevêque fit signe au témoins de ce rapproché de l'autel puis regarda les futures epoux droit dans les yeux tout en leur disant :

Vous avez tout deux émis le vœux de vous unir a jamais dans le sacrement du mariage. Cet union je le célèbre aujourd'hui et me fais le représentant de Dieu . Sachez que ce que Dieu à unis , seul Dieu peut le désunir.

Je vais procéder a la lecture des obligations mutuelle des époux :

Les époux se doivent mutuellement fidélité , secours et assistance en toute circonstance et tout au long de leur vie.
Ensemble vous devrez assurez la direction morale et matérielle de la famille au sein d’une vie commune et vous devrez protéger et éduquer du mieux que vous le pourrez votre progéniture.

Que si quelqu'un doit s’opposer à cette union , qu’il parle maintenant sous le toit de cette église, ou se taise à jamais.

Quelques secondes de silence... (suspense ^^)
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Firielle

La brune se retourna un peu et scruta la salle de son regard.

Le premier osant prendre la parole serait foudroyé sur place rien qu'avec ce regard, à coup sûr!
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Riwenn

Et la cérémonie de continuer.

Confiteor Deo Omnipoténti, Et omnes sancti Et vobis, Fratres, Quam Peccàvi Nimis, Coquitatione,Verbo Et Opere.

Mea Culpa, Mea Culpa, Mea Maxima Culpa.
Ideo Precor Omnes Sanctos, Et Vos, Fratres, Orare Pro Me Ad Deum Nostrum.

Amen.

Suite à cela, l'assemblée eut le droit à une douche d'eau bénite...Tahiiiitiiii !

Puis le mariage commença réellement. L'officiant déclara les obligations des époux que Riwenn connoissait déjà pour avoir esté marié une fois déjà par le passé. Vint ensuite la demande habituelle à tout union maritale de l'opposition. Ce face à quoi le futur époux, tout comme sa douce, lança aux présents un regard qui signifiait "Si vous l'ouvrez, ça va tataner vos gueules ! C'est bien compris ?!"

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Héraldique européenne

Bushiro

Bien ! Nous allons pouvoir continuer!

Bushiro fit un signe aux Témoins, porteur des alliances de s'approcher un peut plus.

Dieu tout puissant , bénis toi même ses alliance , qui vont marquer physiquement l'union et le sacrement du mariage qui unis ces deux fidèles.

AMEN

Riwen, croyant en Dieu notre créateur, Veux tu prendre Firielle ici présente pour légitime épouse?

Le prêtre ferma les yeux et attendit la réponse
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Bichancourt

Bichancourt suivit la cérémonie très assidument après s'être installé confortablement. Il était ravi d'avoir reçu intation à un tel éènement.
Il eut un sourire quand un éternuement se fit entendre non loin de lui. Il aperçut la jeune et charmante dame qui s'enfonçait dans son siège. Il lui tendit un mouchoir mais celle ci ne l'aperçut point...

Il rangea son bien et lui murmura

Ces édifices sont toujours aussi mal chauffés et il est bien facile d'attrapper du mal...

Il se concentra alors sur la cérémonie tout en s'attardant à détailler la mariée fort belle...La nostalgie l'envahit d'un temps passé.
Quand le maitre de cérémonie demanda si quelqu'un avait à redire , il ne put se retenir de toussoter à l'instant où le regard noire de Firielle s'était détourné.
Il s'en amusa...
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Arnauld de Bichancourt, Seigneur de Masseube

Riwenn

Le silence, voilà qui estait bien !

L'homme d'Église reprit la parole après quelques secondes et fit signe à Damiàn et Angel de s'approcher avec les alliances qu'il demanda à Deos de bénir avant de s'adresser au futur marié.

Riwen, croyant en Dieu notre créateur, Veux tu prendre Firielle ici présente pour légitime épouse?

Heureusement qu'à l'oreille, cela ne s'entendait pas, sinon RiwenN aurait pu taper une crise. Son prénom comportait deux N tout comme icelui de sa mair, Orwenn.

Le prestre ayant fermé les yeux en attendant la response, le patriarche aurait pu s'amuser à lui grimacer au visage, à se mettre nu devant l'assemblée ou à parodier le curé. Mais il n'en fit et se contenta de quelques mots.

Oui, je le veux. Ton plein d'assurance.

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Héraldique européenne

Bushiro

Le prélat ce tourna alors vers la future marié

Firielle , croyant en Dieu notre créateur, Veux tu prendre ici présent Riwen pour légitime époux?

Le prêtre ferma une nouvelle fois les yeux et attendit la réponse
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Cl0e

En retard un jour, en retard toujours. Non, ça se dit pas ? Et bien ça devrait. Et pourtant, elle était déjà à Auch. Ce qui justement avait posé problème, puisqu'elle n'avait pas prévu d'y rester si longtemps, alors elle avait dû mander un valet chercher une toilette complète. Déjà qu'elle n'aurait pas Georgia pour l'aider à se préparer, elle n'avait rien de portable pour un mariage dans ses paquets. Alors, quand le valet fut enfin arriver, elle était déjà en retard. Plus le temps de se pomponner un peu, pas besoin de faire un dessin non ?

Une fois sa robe enfilée, elle se rendit à la cathédrale, et entra discrètement. Petite souris qui se fait toute petite, la blonde, toute petite rikiki ...
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Angel_wittelsbach

Le jeune seigneur raide comme un pic assistant au sacrement supreme des deux époux,resta près de Firielle et veilla en sa qualité de Témoin au bon déroulement de la cérémonie.

Quelques gouttes d'eau bénite effleura son visage , c'est non sans rogne qu'il sentit que sa mèche rebelle eut perdu de son volume et de sa splendeur.

Pourtant son coiffeur l'avait assuré d'un maintien implacable,il jura que Franck Provost sera démis de ses fonctions dès la fin du mariage.

Firielle

Sûre d'elle et sans aucune faiblesse dans sa voix.

Oui, je le veux.
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Bushiro

Maintenant Riwenn passe l'anneau au doigt de ta femme Firielle et toi Firielle passe cet anneau au doigt de ton mari Riwenn.

Ces anneaux seront avec vous le long de votre vie pour vous rappeler la promesse que vous vous êtes fait ici en cette Cathédrale Bx-Morgann de Sauvigny d'Auch.

Bushiro se redressa et en signant d'une croix avec sa main par dessus les mains jointes des époux , il dit :

Maintenant, par les pouvoirs qui me sont conférés par la Sainte Église Aristotélicienne, je fais de vous mari et femme. Puisse votre amour rester pur de toute tentation extérieure, jusqu’à ce que Dieu vous rappelle à Lui. Que Dieu vous bénisse et vous garde !

AMEN

Bushiro regarde Riwenn et lui dit :

Tu peux embrasser la marié

L'orgue se mit a raisonner et l'assemblée se leva et applaudit des la Sonnerie de la trompette

Avant de passez a la suite de la célébration , j'invite témoins et nouveau époux a venir signer le Registre
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Lanceline

Le regard que lance Riwenn lui donne envie de rire. Après la douche... Il râlerait, pour sûr. Tiens, pour la peine, elle a bien envie de se lever et de demander à Bushiro de répéter. Juste parce qu'elle n'aurait "pas bien entendu". Une fois de plus elle se camoufle pour rire, afin de ne déranger personne. C'est si bon, de se sentir en vie. D'être libre.
Elle se retourne, elle sent que quelqu'un est entré. C'est Cloé. Plus en retard qu'elle! Comme quoi...
Après un "oui, je le veux" -non mais, la phrase banale, quoi, z'auraient pas pu trouver mieux?- plein d'assurance... les voilà mariés. Pour le meilleur et pour le pire. Elle respire mieux, la Blonde.
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Angecassis_lasteyrie

Un homme se pencha vers elle après son éternuement intempestif ,elle plongea son beau regard dans celui du sieur ,ses joues légèrement rosé et inclina la tête en signe de remerciement puis elle fit comme lui elle se replongea non se plongea tout cours dans la cérémonie .

Ses yeux se baladaient entre sa tendre mère et son pây ,surveillant quand même les deux témoins n'ayant surtout pas confiance en son frérot.

Les réponses positive de ses parents lui aurait bien mit la larme a l'œil elle qui par habitude dormait dans les églises une fois n'est pas coutume elle allait tenir éveillé ce n'était pas un mariage comme les autres .

Elle pensait tellement fort que tout le monde aurait pu entendre "les alliances !!! le bisous le bisous !!!"un léger sourire en coin elle regarda ses parents et attendit ......
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--Thays

Dans la pénombre du fond de l'Eglise la brune gascone était là depuis le debut de la cérémonie. Seule, discrète, ne connaissant personne elle n'avait pas voulu se mêler aux autres invités.
Elle avait suivi le Duc depuis son retour, de la Guyenne à l'Armagnac. Elle avait pu ainsi voir presque tout du Duc: doutes, sentiments, craintes diverses.
Mais en ce jour solemnel il semblait avoir tout oublier pour se concentrer sur ce beau jour. Il rayonnait, heureux de cette union.
Il le méritait.

Tant d'épreuves s'étaient mises sur son chemin qu'il y avait bien droit maintenant.
Une nouvelle vie commençait pour lui, il ne finirait pas ses jours seul. Cette idée réjouit la brune.

Elle savait que, même marié, rien ne changerait à leur relation.
C'est donc sourire aux lèvres qu'elle entendit les deux consentements clairs et distincts
Le baiser final scellait leur union, magnifique moment devant Aristote et amis d'ici bas.

La cérémonie touchait à sa fin. Le registre pour les uns, la suite des festivités pour les autres.
Le temps de se retirer était venu. La brune du lontain pays au delà des mers laissa un simple message pour le Duc. Le dernier banc était éclairé par les vitraux de la rosace, alors, bien en évidence elle laissa un coeur de framboises.
Un dernier regard vers les nouveaux mariés et elle quitta doucement les lieux.

Riwenn

Riw prit l'anneau des mains de son fils ainé et le passa à l'annulaire gauche de Firielle. La laissant par la mesme occasion lui passer également au doigt icelui qu'Angel lui avait donné.

Il estait à noter qu'il ne s'agissait pas de n'importe quels anneaux. En effet, ces bijoux demeuraient l'oeuvre de l'orfèvre parisien le plus célèbre des royaumes : Georges Léonard Watelse. Neveu du Duc par alliance.

Maintenant, par les pouvoirs qui me sont conférés par la Sainte Église Aristotélicienne, je fais de vous mari et femme. Puisse votre amour rester pur de toute tentation extérieure, jusqu’à ce que Dieu vous rappelle à Lui. Que Dieu vous bénisse et vous garde !

AMEN

Voilà, c'estait officiel. Riwenn de Castel Vilar de La Duranxie et Firielle de Lasteyrie estaient époux pour le meilleur et pour le pire.

Sur les ordres du cureton, le vieil homme attrapa la jeune femme par la taille, la serra contre lui et lui roula le plus gros patin de l'histoire médiévale - namého, ça va pas bien ?!! - il l'allongea devant l'autel et déchira sa robe avec ses dents - tu m'écoutes quand je parle ?! - elle se retrouva rapidement nue face à l'assemblée - blablabla...stop j'ai dit ! - et le marié se dévestit lui aussi et - stop - son - fini - pour - zut - la - BAM ! - Outch...

Pour information, il faut savoir que parfois Riw a deux narrateurs, ce sans doute dû aux élans schizophrènes du joueur.

Pour revenir à nostre histoire et à ce qu'il s'estait vraiment passé, l'époux déposa une main sur la hanche de l'épouse et déroba ses lèvres le temps d'un intense baiser qui leur sembla durer une éternité à laquelle il aurait esté beau de ne jamais donner de fin. L'instant magique fut tellement hors du commun que l'on aurait pu s'attendre à voir apparaistre une auréole dorée au dessus de leurs testes.

Trompette, applaudissements.

Avant de passez a la suite de la célébration , j'invite témoins et nouveau époux a venir signer le Registre

Bien entendu ! Mais quel registre ? Lui qui avait déjà assisté à plusieurs mariages, dont son premier, il ne se souvenait en rien d'un registre. Une nouveauté armagnacaise ? Il n'allait pas froisser l'Ecclésiastique...

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Héraldique européenne

Firielle

La scène du baiser, elle l'attendait depuis le début.

Le moment arrivé, Riwenn fort de son expérience du haut du grand nombre de printemps qu'il avait connu, embrassa Firielle d'une manière si parfaite et si romantique que la Duchesse dû reprendre ses esprits quelques instants après cet évènement.
Ayant repris toute sa tête, à l'annonce de Bushiro elle répondit:

On signe ou le contrat prénuptial?
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Kachina

Voilà, ils avaient échangé leurs consentements, les alliances.
Ils étaient unis.

Restait le baiser.

Et là...................il se passa quelque chose dans la tête de Kachi.
Trop fatiguée la brune, nuits trop courtes, étreintes torrides, grossesse qui la mettait sans dessus dessous................elle crut voir.....................

Les yeux écarquillés, elle crut voir le marié coucher la mairesse de St Bertrand devant l'autel.
Elle crut rêver lorsqu'il déchira sa robe............................

Avec les dents.............

Arf, le rêve de toute nouvelle épousée, non ? Quelle femme n'a pas rêvée de ça ? Quoiqu'avec une dague, c'est bien aussi.

Et quand Firielle, se retrouva nue devant l'assemblée,

Kachi.......................................................

Se pinça bien fort et vit le couple s'embrasser tendrement,, intensément, passionnément, et longtemps. Firielle, rayonnante dans sa magnifique robe et Riwen les yeux éperdus d'amour pour sa brune épouse.

Magie de l'Amour quoi ! Vertige de l'Amour !

Kachi reprit une respiration normale , se contentant de s'éventer un peu du plat de la main.

C'est qu'il faisait chaud dans l'église à cet instant.
Chaud.....

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Bushiro

Le registre était ouvert sur le pupitre sous les mains du prelat.... le clerc débité répondit

Ben ce registre là devant vous. Par la suite, il serra conservé Ad vitam æternam en les locaux de la province ecclésiastique d'Auch, consultable par tous, il est la preuve formel et indéniable de votre union.

Les nouveaux mariés et leur témoins signaient alors le registre.

Frères et Sœur avant de partager le repas de noces, partageons ensemble le repas Aristotélicien

Bushiro pris le pain et le vin et dit en prenant le vin :

Dieu tout puissant bénit toi même ce vin symbole du travail des hommes , il sera pour nous le vin de la vie

Puis il prit le pain :

Dieu tout puissant bénit toi même ce pain symbole de la nature que tu nous donne, il sera pour nous le pain de l'Amitié

AMEN

Venez partager le repas de l'Amitié

Avant de nous quittez , la prière et la bénédiction finale

Citation:

Pour le Couple qui vient de s'unir en cette Cathédrale Bx-Morgann de Sauvigny d'Auch, Dieu nous te prions
pour le lien qui unit notre Diocèse dans la même foy, Dieu nous te prions
Pour la Paix dans notre Royaume, et l'Amitié sur la Terre , Dieu nous te prions

Plein de Bonheur et de joie
A Firielle et Riwenn

Puis la procession de fin ce mit en place , Bushiro dans sa belle chasuble suivait les enfant de chœur qui se dirigeait vers le parvis, puis la Cathédrale toute entière se vidait pour ne laisser que les époux qui allait arriver sur le parvis a leur tour....
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Damian.

La cérémonie touchait maintenant à sa fin, et le jeune homme se rendit compte que tout s'était bien passé ! aucun dérapage, rien du tout ! Cette "normalité" était des plus surprenante quand on sait que Damiàn trouve toujours un moyen pour se faire remarquer mais à croire que l'importance de cette cérémonie l'avait rendu doux comme un agneaux.

Le moment de l'échange salivaire était enfin arrivé, Damiàn imagina son père attrapant la jeune femme par la taille, la serrant contre lui et lui roulant le plus gros patin de l'histoire médiévale, l'allongeant devant l'autel et déchirant sa robe avec ses dents,elle se retrouvant rapidement nue face à l'assemblée....Mais non ! Décidément cette cathédrale rendait les gens bien sérieux.

Avant de passez a la suite de la célébration , j'invite témoins et nouveau époux a venir signer le Registre

Ah enfin de l'action ! Damiàn suivit les mariés derrière "l'hôtel"....euh non ! on va plutot garder celui pour plus tard...pour l'instant contentons nous de l"autel".
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Angecassis_lasteyrie

Allez la cérémonie était fini ou presque pas de grosse catastrophe pas d'embrouille une belle cérémonie donc le bisou romantique les alliances les blabla du curetons tout etait la .

Elle gagnait un pére mais aussi des frères et sœur même si elle n'en connaissait qu'un et apparemment pas des moindres ...

Profitant du moment des signatures ,elle se leva et profita pour filer vers le domaine de son pay ,c'est la bas que la suite des évènements avait lieux ,elle avait une ptite course a faire avant alors son départ précipité pourrait permettre a l'Ange de ne pas arrivé a la bourre comme toujours ...

Se faufilant dans la foule en délire qui criait le nom de RIri et FIfi bougies a la main les balançant de gauche a droite laissant les femmes tomber dans les pommes tant elles étaient en transe .....hum la pauvre ange déteint sur son pére ,elle se faufila donc dans la foule qui commençait a avancer vers le parvis et s' éclipsa discrètement bien sur ....
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Lanceline

Soudain, alors que la cérémonie était presque finie, ses noisettes balayèrent le plafond et scrutèrent les moindres recoins. Elle se souvint qu'il manquait quelqu'un. Elle murmura un: Lilo, où es-tu? C'est pas le moment de rater ça! discrètement afin que ses voisins ne l'entendent pas.
Oui, la Blonde espérait croiser ce fantôme de petite fille. Certes, elles ne se connaissaient pas bien, mais ç'aurait dû être sa place. Près de son père... Et de sa belle-mère.
Lilo... La jeune femme sourit ironiquement. Jamais elle n'exécuterait les dernières volontés de la fille de son Cousin. Surtout pas aujourd'hui, alors que l'amour l'animait à nouveau.
Elle se souvenait lui en avoir parlé, elle se souvenait de la moue qu'avait fait la petiote en comprenant que la seule à qui elle pouvait parler ne ferait rien pour ses dernières volontés.
Il n'y avait pas de Lilo. La jeune femme espérait que cette dernière avait retrouvé sa mère...
Elle reporta son attention sur les gens présents.
Le registre, la paperasse...
Puis ensuite, la fête!
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Angel_wittelsbach

Quelques gargouillements pouvait se faire entendre de la panse du jeune jouvenceau.Certainement, qu'il savait qu'après avoir griffouillé sur le registre en tant que témoin , alcool et ripailles étaients au rendez-vous.

Dans un élan digne des plus grands coureurs du royaume , il se dirigea vers le banquet afin d'etre le premier servit.L'appetit n'attend pas !

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[RP] Cathédrale Bx-Morgann de Sauvigny d'Auch