Aphrodyti
Aphrodyti avait du mal à réagir à toutes les personnes qui se trouvaient présentes dans la pièce. Elle se tourna d'abord vers l'inconnu qu'elle avait trouvé en compagnie de sa sur et le remercia d'un signe de tête, puis s'adressa à sa sur.
Merci Mini ... Tu devrais peut-être raccompagner ton ami en bas, et ta fille doit sinquiéter.
La voix était tendue, vibrante comme une corde de luth, la jeune femme tentait de conserver son sang froid. Elle se tourna ensuite vers le vieil homme qui semblait avoir la charge des soins de Medrawt, mais elle évita précautionneusement le regard de la rouge. Ça ne paraissait pas étonnant qu'elle ait usé de menaces contre le vieil homme pour qu'il offre ses services ! Et le sort de cette femme malsaine nintéressait absolument pas la blonde hellène !
Merci de ce que vous avez fait pour lui messire, ensemble nous pourrons peut-être le ramener parmi les vivants ...
Laissant tout ce petit monde décider de ce qu'il voulait faire, elle se dirigea vers le lit et se pencha sur Medrawt ... Ou du moins ce qu'il en restait. Elle sentit une rage dévastatrice l'envahir et s'il n'avait été en si piteux état, elle l'aurait surement frappé elle-même !
Alors qu'il prononçait son nom faiblement, Aphrodyti aperçut la rouge qui fuyait les lieux, puis haussa les épaules. Elle saisit une lame bien aiguisée et découpa tous les vêtements du blessé pour le mettre à nu. La vue des chairs meurtries et putréfiées la fit frémir. Comment était-il possible que ceci soit arrivé à Genève ? Qu'avait-il manigancé ? Où avait-il été se fourrer ? Elle l'avait pourtant prévenu avant de partir !!
Une fois le corps déshabillé, et malgré les faibles protestations de douleur du blessé, elle commença à nettoyer avec un linge humidifié d'eau tiède toutes les plaies qui recouvraient le corps, débutant par son visage.
Je suis là ... Murmura-t-elle, incapable d'en dire plus au risque de voir sa voix se briser.
Il était méconnaissable, elle souffrait de le voir ainsi, elle rageait contre "elle" qui ne semblait avoir souffert de rien. Pourquoi ne l'avait-elle pas protégé ?
La cuvette se teintait lentement de rouge sombre, l'odeur putride envahissait petit à petit la pièce alors que la plupart des plaies suintaient. La jeune femme choisit un des flacons, il était marqué Opion et elle en versa un peu sur un linge pour le passer sous le nez du blessé, puis trempa son doigt dedans et distilla quelques gouttes dans la bouche de l'homme. Cela l'aiderait à supporter quelque peu la douleur.
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Merci Mini ... Tu devrais peut-être raccompagner ton ami en bas, et ta fille doit sinquiéter.
La voix était tendue, vibrante comme une corde de luth, la jeune femme tentait de conserver son sang froid. Elle se tourna ensuite vers le vieil homme qui semblait avoir la charge des soins de Medrawt, mais elle évita précautionneusement le regard de la rouge. Ça ne paraissait pas étonnant qu'elle ait usé de menaces contre le vieil homme pour qu'il offre ses services ! Et le sort de cette femme malsaine nintéressait absolument pas la blonde hellène !
Merci de ce que vous avez fait pour lui messire, ensemble nous pourrons peut-être le ramener parmi les vivants ...
Laissant tout ce petit monde décider de ce qu'il voulait faire, elle se dirigea vers le lit et se pencha sur Medrawt ... Ou du moins ce qu'il en restait. Elle sentit une rage dévastatrice l'envahir et s'il n'avait été en si piteux état, elle l'aurait surement frappé elle-même !
Alors qu'il prononçait son nom faiblement, Aphrodyti aperçut la rouge qui fuyait les lieux, puis haussa les épaules. Elle saisit une lame bien aiguisée et découpa tous les vêtements du blessé pour le mettre à nu. La vue des chairs meurtries et putréfiées la fit frémir. Comment était-il possible que ceci soit arrivé à Genève ? Qu'avait-il manigancé ? Où avait-il été se fourrer ? Elle l'avait pourtant prévenu avant de partir !!
Une fois le corps déshabillé, et malgré les faibles protestations de douleur du blessé, elle commença à nettoyer avec un linge humidifié d'eau tiède toutes les plaies qui recouvraient le corps, débutant par son visage.
Je suis là ... Murmura-t-elle, incapable d'en dire plus au risque de voir sa voix se briser.
Il était méconnaissable, elle souffrait de le voir ainsi, elle rageait contre "elle" qui ne semblait avoir souffert de rien. Pourquoi ne l'avait-elle pas protégé ?
La cuvette se teintait lentement de rouge sombre, l'odeur putride envahissait petit à petit la pièce alors que la plupart des plaies suintaient. La jeune femme choisit un des flacons, il était marqué Opion et elle en versa un peu sur un linge pour le passer sous le nez du blessé, puis trempa son doigt dedans et distilla quelques gouttes dans la bouche de l'homme. Cela l'aiderait à supporter quelque peu la douleur.
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