[RP] Vous n'aurez pas mon village.

Luca_blight

Luca vit se rapprocher des ombres dans la forêt. Tôt ou tard, il savait qu'ils allaient attaquer.
Il regardait ce que faisait Neo. Bonne idée, se dit-il. Il la surveillait de temps en temps, isolée sur son arbre.
Il restait concentré et au taquet. Mais ne pu s'empêcher de penser à sa famille, à ses amis, tous présents à ses côtés, ou presque.
Ses regards partaient vers la gauche, la droite.
Il regardait Sirlabeck, lui faisait un petit signe visant la forêt, et lui murmura:

Restez concentrés dans cette direction, je reviens!

Il court discrètement, l'herbe amortissant ses pas, vers les coins des murailles, regardant la direction nord...
La vue était trop difficile, le ciel était noir. Il pensait qu'il n'y avait rien à signaler, mais pas sûr.
Il court vers la direction sud, mais ne pu pas voir grand chose de plus, aveuglé par cette pénombre.
Il revient vers Sirlabeck, en soupirant, et lui dit d'une voix basse:
On ne voit rien, il fait trop noir. Ils sont là, et on ne peut les voir. C'est vraiment frustrant!
Il ne faudrait pas prendre une formation légèrement plus dispersée, s'ils leur prennent l'envie de nous envoyer des flèches?

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* Amoureux de la belle Paullie.
* Fillot de l'adorable Olympe.
* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".

Stella..

Stella regrette de ne pas avoir d'épée pour se défendre....mais.. elle a la dague de son père....bien aiguisée...qui saura la protéger...si un barbare s'approche trop près d'elle....

La brune a le coeur meurtri par ce qui se passe et voit bien que Néo n'a peur de rien...

Elle reste bien aux côtés d'Olympe...qui s'occupe bien d'elle....pas expérimentée et ayant encore beaucoup à apprendre pour se défendre...Stella regarde aux alentours....inquiète...fini le clair de lune où on pouvait distinguer mieux...elle voit Mic....qui vient vers elle....l'épée à la main...pour la protéger sans doute....se sent mieux ...malgré qu'elle sait....pas question de se faire tuer....sans combattre...

Elle imagine un court instant....tous les villageois....main dans la main...bien droits et fiers....faire barrage pour que les ennemis nous prennent pas notre chère ville

--Les_barbares

Le soleil était en fin couché, le groupe servant d'appât était en place. Un jeune barbare grimpa à une branche et mis le feu en haut de l'arbre. Ce fut le signal.

[l'attaque du sud]

le chef de l'attaque du sud attendait au bas de l'arbre en chuchotant à un gamin.

Pssssss, hého, toujourrrrrrrs rien?????, c'est qu'il fait nuit là , j'avais orrrrdonné à la nuit tombée.... hého grrrrouet tu t'es oublié sur ta branche ou tu fais la liste des femmes????

Le gamin sursauta, c'est qu'il avait vu une femelle grimpée sur un arbre et tenter de l'arracher, impressionnante d'ailleurs la greluche. du coup il n'avait pas fait attention à l'arbre un peu plus loin. Il est un mouvement de recul et bascula à moitié dans le vide. Il tomba à terre, sa chute amortie par les branches.

L'arrrrrbreeeee, en feuuuu

Il poussa un long soupir, bon à rien.

Le chef se retint d'éclater de rire, pour ne pas faire de bruit et alerter les forces en presence.

t'es vrrraiment beurrrdin toi, j'me d'mande pourrrquoi qu'on garrrde. T'as plus qu'a rester derrière et te comtenter des restes des autrrres. Reste avec l'enclume, il veut se faire de la noble, tu pourras toujours soulever les jupons de ces garces, je suis sur qu'elles ont hâte de le rencontrer.

Bon allez c'est pas le tout, allons y et qu'il n'en reste aucun, massacrons, pillons, enfin bref amusons nous un peu, nous ferons marche ensuite sur Compiègne je crois bien qu'ils ont de belles garces aussi.

Les brutes se courbèrent, et avancèrent à pas de loups, jusqu'à l'orée du village.

[au même moment l'appat]

le feu avait été allumé, les hommes partirent en hurlant, haches levées prêt à combattre. Ils se découvrirent et chargèrent comme un troupeau fou.

Neoexplorateur

Elle allait redescendre lorsqu'elle vit la cime d'un arbre s'embraser, un peu plus loin.
Figée... elle l'observa quelques instants... puis comprit.
Elle se mit à hurler:

ALLERTE!! Ils arrivent aussi par le sud!!! L'arbre... Regardez!! ALLERTE!!

Neo, affolée, ne cessait de crier, tout en redescendant de son arbre, le plus rapidement possible.
S'étant assurée que Sir Labreck et Luca l'avaient bien entendue, elle se précipita vers les femmes
qui s'affairaient encore à aiguiser les branches d'arbre et les rassembla en un groupe compact.

Ils arrivent... de partout... Restez ensemble... pieux bien tendus vers l'avant...
Faut rester calmes... serrées les unes aux autres.

Son regard, durci par la peur, allait dans tous les sens,
essayant de percevoir les ombres qui se mouvaient autour d'elle...
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Justinien

Justinien avait passé la majeure partie de ces derniers jours dans son bureau, à travailler, à dresser des plans, des projets. Et ce, même si des éclaireurs l'avaient prévenus de la menace qui pesait sur Amiens. Il devait absolument tout terminer avant que ces barbares ne fassent irruption dans ville et saccagent la mairie. Lorsqu'il eut terminé, il confia mis tout les documents qu'il considérait comme important dans une malle et donna le tout à un jeune garçon du nom de Tristan. Il lui ordonna de prendre une charrette et de filer à bride abattue vers Arras, puis de se mettre en sécurité en attendant d'autres ordres.

Après cela, il retourna dans son bureau une dernière fois. Il passa la main sur les murs, les tables, les chaises. Il voulait graver tout ceci dans sa mémoire avant que cela ne disparaisse. Les renforts n'arriveraient jamais à temps, il le savait. Finalement, il sorti, ferma son bureau à clé et su qu'il ne reverrait jamais cet endroit.

Il courut chez lui, pris un simple bâton et se rendit aux portes de la ville pour retrouver Luca et les défenseurs.

Toutes mes excuses Luca, j'avais quelques petites affaires à terminer, je t'expliquerai ça en temps utile.

Je suis là maintenant, et je suis prêt à donner ma vie pour défendre ma ville. Dis moi seulement ce que je dois faire et où je dois me placer. Si tu me demande d'aller en première ligne, je le ferai avec grand plaisir.
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Bourgmestre d'Amiens

Sirlabreck

Se détendant et allant même jusqu'à abaisser son arc, les barbares jouaient avec eux. Néanmoins, il déglutit en voyant Neo et un groupe de femme travailler à l'orée de la forêt. Elles semblaient faire des pieux, l'initiative était louable, mais bien trop dangereuse. Luca revint prêt de lui et lui posa une question.

Nous disperser? Restez groupé est un risque à prendre, on ne peut pas se permettre qu'ils puissent affronter 2 ou 3 à la fois un seul homme. D'ailleurs, je ne crois pas qu'ils aient beaucoup d'arc et qu'ils soient très talentueux, nos barbares à nous sont des brutes qui préfèrent la force pure.

Un arbre pris soudainement feu, éclairant un peu autour. Ça annonçait que du mauvais, un signal? Ou juste une mauvaise tactique qui les obligeraient à sortir? Finalement les ennemis chargèrent et les femmes s'enfuirent rapidement. Labreck évalua la distance. 175 pas, deux flèches plus celles à bout portant.

Les Lynx, prenez cible! À mon signal, feu!

Il décocha sa flèche et commençant à reculer, étant à l'avant des lignes de lancier. Il rencocha. Il venait de faire mouche sur un des gaillards les plus imprudent à l'avant, la volée avait tué un bon nombre des sauvages. Ils étaient à une centaine de pas désormais.

Seconde volée, à mon signal. Feu!

Laissant aller sa flèches, la seconde volée comptait quelques flèches en retard, mais fut aussi efficace que la première. Le tier de leurs ennemis gisaient à terre. Le lieutenant se faufila à travers les deux rangs d'homme. Il remarqua alors à ce moment le maire, le problème de Luca qu'il pensa. Les barbares étaient à 25 pas. Labreck prévint les hommes.

15 pas. 5 pas, shock! Embrochez les. Les autres, combler les brèches, archer, feu à volonté.

Il laissa aller sa flèches entre deux hommes, tirant à bout portant.

De l'autre côté du village, les deux archers positionnés en guetteur commençaient à s'inquiéter. Ils percevaient des bruits, croyaient voir des ombres. La noirceur les empêchaient de voir au clair. Finalement ce fut lorsqu'une lueur, annonçant un feu où les Amiénois défendaient que les soldats eurent leur soupçons confirmés. Ils aperçurent clairement quelques barbares et il ne fallait pas être un génie pour comprendre qu'ils allaient essuyer une tenaille. Lentement et sans bruit les archers reculèrent avant de se mettre à courir vers les défenseurs pour les prévenir.
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Lunadeltounette

Les amiénois couraient dans les rues pavées de la ville, ils rassemblaient leurs maigre affaires dans leurs charrettes, le dos de leur cheval, de leur mulet et pour les plus pauvres d’entre eux sur leur dos recroquevillé par le poids des baluchons.
Des cris de femmes, des pleures d’enfants déchiraient l’atmosphère déjà oppressante de l’attente de l’attaque.
Luna, Sergente de l’armée, se préparait dans sa petite chaumière à l’invasion des barbares. Elle affutait « buena noche » pour qu’elle soit la plus tranchante possible, rassemblait son carquois emplit des flèches et son arc et respirait calmement afin de se concentrer.
La guerre sonnait comme un glas au pas de la porte. Il était temps d’y aller de rejoindre les braves.
Mais avant, il lui restait encore une chose à faire. Car avant …
Luna s’installa devant un morceau de parchemin prit une plume et de l’encre et se mit à écrire :

Citation:

Mon cher Ami,
La guerre tape au porte de mon village, Amiens va être d’ici peu envahi par une horde de barbare sanguinaire.
Il se doit comme tu peux l’imaginer que je vais faire face à la menace et partir l’épée au clair défendre ma ville bien aimée. Je me battrais de toutes mes forces. J’espère ne pas mourir bien que le jour soit merveilleux pour voyager en direction du très haut.
Ce que je souhaite c’est que ma lettre te parvienne quel que soit ou tu te trouves. Que mon pigeon suive les battements de ton cœur.
Ma dernière pensée est pour toi, mon tendre Pegas. J’aurais tant aimé te revoir encore une fois et exprimer ce que je ressens encore pour toi. Tu ne m’as jamais quitté, mon cœur t’appartient encore et jusqu’à la fin.
Nous n’aurons certes plus l’occasion de voyager dans les cieux mais je t’envoie ce dernier baiser en guise de mon tendre amour.
Vie longtemps et si je ne meure pas je prie pour que tu me reviennes.
Au revoir
Luna

La jeune femme attrapa son pigeon pour y attacher son message puis le libera près de la fenêtre.
Elle attrapa ensuite son mantel , cala dans son dos le carquois et l’arc.
Luna regarda encore une fois sa maison avant de sortir d’un pas décidé vers les portes de la ville.

Elle arriva rapidement et reconnu en passant certaines personnes, hochant la tête en signe de bonjour. Mais celle qui l’intéressait se tenait bien au milieu de la troupe en train de discuter tactique. Déjà !

Lieutenant Laberck

Luna fit un salut militaire.

Sergent Luna à vos ordres.

La soldate écouta concentré la stratégie émise par le Lieutenant qui lança l’ordre peu de temps après.

Oui Lieutenant à vos ordres.

Luna commençait à s’éloigner dans la direction requise. Elle se retourna rapidement pour crier.

Hé Labreck tu ne meures pas n’est-ce pas tu me dois un verre. Et d’ailleurs je n’autorise personne à mourir ^^

Elle sourit une dernière fois à tous et continua sa route vers le lieu à surveiller.

Une fois en position, le temps semblait suspendu quand soudain le silence se brisa dans un cri sonore annonçant le début des hostilités.
Le grognement bestial des barbares donna le frisson à la soldate, faisant monter son adrénaline, émoussant ces sens.
En un instant, son arc était tendu près à décocher sa première flèche sur le premier barbare qu’elle verrait.
La soldate ignora tout. Elle ignora les flèches lancées au hasard par Floflo. Elle ignora les voix anxieuses des villageois qui voulaient défendre leur ville. Elle ignora la flèche venu des adverses qui s’était nichée non loin de Lucas.
Luna ignora tout sauf la voix du lieutenant.
Elle s’éleva claire et forte.

Les Lynx à mon signal feu !

L’arc de Luna vibra sous l’effet de la flèche qui prit son envole haut dans le ciel pour retomber et se planter dans le flanc d’un barbare.
Elle céda rapidement sa place à la deuxième vague.

Désolée pour ce retard mais vous postez tellement vite qu'il a fallu que je m'adapte ^^

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Sergent de l'Ost , ne te fie pas à l'eau qui dort

Luca_blight

Ca y est, la charge avait commencée.
Justinien et Lunadeltounette arrivait au dernier moment. Bonne nouvelle.
Il les accueillit rapidement, mais n'eut plus le temps de leur expliquer la stratégie. Il leur dit rapidement en criant, en se baissant pour éviter les flèches ennemies:

Justi, Luna, merci d'être venu. La charge a commencée, soyez prudent, et attaquez!!!

Il vit alors Sirelabeck donner deux ordres de faire feu à leurs archers.
Avec style et grande classe, les archers tiraient un à un vers les barbares, qui s'écroulaient sous la pluie de flèches.
Il regardait alors Sirlabeck, et lui dit:

Waouh, joli coup! Il ne sait pas s'il l'entendrait, tellement il y avait de bruit.
Il se retourna et regardait alors Neo, Stella, Stamat, et sa marraine.

Il vit soudainement un barbare courir en sa direction, il était à 15 mètres de lui, il courait à une vitesse folle.
Mince mince mince... Il perdait ses moyens et ne savait plus quoi faire. Il recula de quelques pas, par réflexe... S'il ne se décide pas à agir, le barbare le tuera.
Le barbare avait avancé de 13 mètres, et ne se trouvait dès lors qu'à 2 mètres de Luca, brandissant une hache en sa direction. Une hache tranchante et impressionnante.
Il leva son épée, et donna un coup du bas, vers le haut... qui transperça la gorge du barbare pour terminer sa course sur le dessus de son crâne, venant s'empaler contre son épée, qui était remplie de sang.
Luca fermait les yeux... Cette scène sera sans doute la plus atroce de sa vie... Pour l'instant.
Il retira l'épée du crane du barbare, qui se trouvait alors sans vie.

Il ouvre alors les yeux, sentant l'adrénaline monter, et ces atroces scènes, ces souffrances, qui se faisaient de plus en plus présents.
Ses mains tremblaient, ses jambes, son corps... Il tentait de garder le maximum de contrôle sur lui même, et tentait alors de retrouver sa lucidité.

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* Amoureux de la belle Paullie.
* Fillot de l'adorable Olympe.
* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".

--Wilfom

Wilfom restait proche de Luca, la charge avait commencé et il avait sorti son arc pour tiré avec les autres archers. Il fit deux belles touches, mais aucune des deux flèches réussirent à tuer un barbares, mais ralentirent la progression à chacun d'eux.

Il observa lorsque la ligne des envahisseurs percuta celles des lanciers, de nombreux hommes s'écroulèrent, tout simplement surpassé par la force des brutes, des brèches se formaient pour être aussitôt refoulé par des épéistes et certains armés de hache.

L'archer aperçut finalement un ennemi qui courait vers Luca, ce dernier c'était éloigné de lui, et il ne pouvait réagir. Il pria pour qu'il aille le bon réflexe, ce qui fut le cas à la toute fin. Soulagé, il se dirigea vers le sire, avant de rendre compte qu'il était lui même la cible d'un barbare. Au dernier moment, il dégaina son épée qui alla se loger fermement dans le flanc de la brute. Il la retira et la planta dans le cœur de l'homme en face de lui. Il était temps, la hache de ce dernier étaient qu'à une main de son cou.

Il atteignit finalement le chef des civiles.

Fine lame sire? Prenez garde néanmoins, vous ne serez pas toujours aussi chanceux. Restons proche des autres, vous devez rester en vie.

Il s'assura que son arc était en bandoulière dans son dos et il regarda autour de lui si d'autres ennemi n'essayait pas de les trucider. Clame et confiant, Wilfom sentait la fièvre du combat le gagner, il se devrait de se contrôler.

Sirlabreck

Le lieutenant regarda avec satisfaction la ligne d'homme tenir leur position, les pertes suite à la première collision était un peu élevé à son goût, mais il n'y pouvait rien. Il entendit une injonction en sa direction.

Waouh, joli coup!

Merci bien. Avons-nous des médecins, des médicastres? Les hommes qui tombent doivent être rapidement retiré en arrière de la ligne de combat. Aussi! Si nous avons des gens qui ne peuvent pas participer au combat, qu'ils installent des torches dans les rues, il faudra voir clair pour reculer sans danger.

Il espérait à son tour se faire entendre, le chaos et le bruit des combats augmentaient lentement mais sûrement. Il décocha une autre flèche en direction d'un sauvage qui courait vers lui. À cette distance il fut aisé pour l'archer expérimenté qu'était Labreck de transpercer la jugulaire. Il se devait de rester sur ses gardes, plusieurs ennemis se faufilaient à travers les lignes d'hommes et de femmes, quelques archers étaient obligé de dégainé soudainement et de combattre au corps à corps.

Les archers qui couraient comme des déments, en provenance de l'autre côté de la ville apercevaient le rude combat que livraient leurs concitoyens. Ils n'étaient alors plus très optimistes quant aux chances de faire face à la tenailles. Ils aperçurent la sergente Luna qui combattait avec les autres archers et se rendirent à elle pour rapporter la situation.

Sergente Lunadeltounette. Les ennemis sont entrain de nous flanquer par le nord! À ce moment même ils doivent être entrain de pénétrer dans la ville!

L'autre archer qui ne rapportait pas la situation prit son arc et commença à tirer sur les barbares pour aider à l'effort de combat, l'autre attendant la réaction de la sergente.

Pas grave Luna, le rythme est effectivement rapide pour un rp.

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Luca_blight

--Wilfom a écrit:

Fine lame sire? Prenez garde néanmoins, vous ne serez pas toujours aussi chanceux. Restons proche des autres, vous devez rester en vie.

Il ne trouvait mots à lui répondre, le choc prit le dessus sur lui, il n'arrivait plus à parler, et se contenta de lui faire un petit signe de tête.

Il entendit alors Sirlabeck:

Citation:

... À ce moment même ils doivent être entrain de pénétrer dans la ville!

Il le regardait en fronçant les sourcils. A cette phrase, il ne trouvait pas les mots. Il pensa directement à Paullie, sa compagne, enceinte, qui était restée à l'intérieur de la ville.
Si les barbares sont là, ils lui feront du mal. Ca lui sera insupportable.
Epée en main, il fonça vers la porte d'entrée du village, posa ses mains sur les barreaux et s'apprêtait à ouvrir la porte. Il fermait alors les yeux, s'apprêtant à rentrer dans le village, pour sauver Paullie...

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--Carl_le_barbare

Carl le barbare supervisait tout depuis la forêt, il vit ses hommes en train de se faire massacrer, avec très peu de pertes pour le côté Amiénois.
Saletés d'archer. Il pointa alors du doigt son groupe de cavaliers barbares, et leur dit:

Vous, chargez les sur le flanc, je veux voir tous ces pantins d'archers mourir sous votre charge!!!!!!!!!!!!!!!
Il vit alors Luca Blight tuer un de ses hommes, de sang froid, Sirlabeck donner l'ordre aux archers.

Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Il montrait Sirlabeck du doigt: TUEZ-LE !!!
Il regardait alors, toujours au loin, Luca Blight, qui était prêt à rentrer dans le village.
Depuis son cheval, il fit demi tour et se préparait à contourner le village pour y entrer vers le sud, comptant bien régler le compte de ce nabot blond.
Le combat ne venait que commencer, et ils le savaient... Tant de barbares étaient prêt à donner leur vie. Les Amiénois n'étaient pas au bout de leurs surprises...

Mic..

Sirlabreck venait d'être informé par deux des guetteurs chargés de surveiller le sud du village que des barbares s'avançaient dans la nuit et s'infiltraient dans le village.Il était difficile d'en évaluer le nombre mais ils devaient bien être une bonne trentaine.
Au nord les barbares attaquaient.Luna venait de toucher l'un deux au flanc et celui -ci à genou se tordait de douleur.
Sirlabreck cria un ordre à Luca et celui-ci parti avec un groupe d'une quinzaine de personnes pour épauler les quelques hommes qui défendaient le côté sud du village.
Au nord la bataille faisait rage.Stella se servait de son bâton comme une masse.Elle venait de fracasser le casque d'un grand costaud. L'homme assommé tomba à terre comme un fruit mur. Un second coup lui fracassa le crane.A ses côtés mic faisait tout ce qu'il pouvait pour lui venir en aide.Il se battait avec la rage au coeur, coupant un bras,entaillant un visage.Ses vêtements étaient couverts de sang ,la sueur perlait sur son visage.Néo encourageait un groupe de femmes qui avec leur bâton pointu faisaient merveilles.
Le flanc gauche faiblissait. Des hommes et des femmes tombaient, Sirlabreck s'en aperçu.D'une voix forte il cria
Merlinab, LIssandre,Guillemot,Flo flo, Lison lune allé épauler Stamat qui est en difficulté sur le flanc gauche ,ce flanc est entrain de faiblir.
Le soutient porte ses fruits , le combat redevient plus égal
La bataille fait rage, que de morts des deux côtés.
Au sud l'on entend des cris , la aussi le combat est engagé
Soudain un son de corne , vient trouer ce vacarme, puis un autre, puis un troisième
oh oh un son d' olifant !!! Les barbares se replis, je n'en crois pas mes yeux.
mic regarde Stella avec un sourire. Ouf Nous avons réussi à parer à leur première attaque, mais je doute qu'ils renoncent ...
De partout au nord et au sud l'on entendait des clameurs et des cris de joie.
Nous étions tous heureux et fiers d'avoir gagné cette première bataille.
Stella est fourbue, elle chancelle de fatigue.mic la prend dans ses bras et l'enmène se reposer car demain il faudra encore être fort.

Luca_blight

LJD Mic, essaie de rester cohérent. Tu ne peux décider des mouvements des autres personnages. Et essaie de suivre l'histoire. Les barbares sont en train d'envahir Amiens. Ils sont bien loin de se retirer, et les Amiénois sont loin d'être tout heureux du repli des barbares.
Tente de rester cohérent sinon ça va vite partir en sucette. Merci

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Mic..

Je ne pense pas être incohérent.La deuxième attaque nous sera très certainement fatale
A plus

Vous n'aurez pas mon village.

Luca_blight

17 fevrier 1459,
La nuit tombe sur Amiens. Le soleil commencant à peine à se coucher...
Luca ouvrit les yeux, dans son lit. Il s'était reposé, en pleine journée, fatigué de ces histoires.
Doucement, il se les frottait, puis s’assit sur le bord.
Il restait figé quelques secondes, fixant le mur en face de lui.
Il avait entendu un homme, aussi grand qu'il était gros, rempli de muscles, crier hier soir à Amiens. Il avait mal compris ce qu'il avait crier, il avait juste entendu vaguement "Vous ...... mourir". Mais qu'est-ce que cela voulait dire?

Il respire alors un grand coup, puis se leva immédiatement. Il descendit ses escaliers, traversa quelques pièces de sa maison, pour se diriger vers la sortie.
Il ferme la porte de sa maison, doucement, pour descendre la grande rue, traversant ainsi le centre d’Amiens.
Il ne croisait toujours personne en route, ça avait l’air plutôt calme, et il espérait qu’il ne serait pas seul à entreprendre cette action pour Amiens.

C’était sans doute la première fois que Luca Blight avait un air sérieux dans sa vie. La première fois qu’il commande une action comme cela. Mais c’était pour la bonne cause.
Il ne pu s’empêcher de penser à Paullie, qui était restée à la maison, et qui devait peut-être encore dormir.
Il ne pu s’empêcher aussi de penser à son futur bébé, dont il espérait qu’il allait le voir naître.

Mourir ici, Luca ne le voulait pas non plus. Il est jeune, il a Paullie, elle attend un enfant de lui, il a ses amis.
Mais s’il devait payer de sa vie pour sauver Amiens, il le ferait.

Luca arriva alors à l’entrée du village, il était le premier…
Il se posa, fesses au sol, épée en main. Il l’aiguisa alors quelques coups, pour être sûr qu’elle soit tranchante. Même si tuer n’était pas son objectif premier. Sait-on jamais.

Il regardait au loin, apercevant les arbres, la masse d’arbres, dans la forêt, au loin, sur les chemins.
Il redoutait à chaque instant de voir arriver ces barbares qui viendront détruire le village.
Il était là, au taquet, prêt à se battre contre le premier qui s’approchera de lui, d’Amiens, de sa vie.

Il sait que beaucoup de ses amis n'ont pas approuvé cette dernière défense d'Amiens. Il sait aussi que peu de monde seront présent face à son plan qu'il appelle "le mur de chair".
Peu importe. Il était là, concentré comme jamais. Le stress prenant le dessus peu à peu dans son corps.

hrp: Ce rp est là dans le but de transformer en rp la fin d'Amiens, qui, rp parlant, va être détruit par une invasion de barbares.
Je sais très bien que ça ne ramènera pas Amiens de faire ça. C'est juste pour s'éclater. Aucun mort ne sera à déplorer ^^

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Stella..

Stella triste comme tout ...entre deux sanglots...rejoint Luca...pas question...qu'on démolisse notre ville comme ça..

La brune le voit et vient s'asseoir près de lui...avec pour seule arme...son bâton...et c'est son autre arme...hummm...son pied droit..et elle sait bien où elle visera avec...nom d'une pipe...

Luca...tu me dis quoi faire et je te suis...

Luca_blight

Luca était en train de fixer l'horizon, assis, lorsqu'il vu Stella arriver.

Il se levait alors rapidement, la prit dans ses bras, et lui dit:

Stella... Merci d'être venue...
C'est tellement rassurant...
Pour l'instant, nous attendons qu'ils viennent avec leurs outils et leur désordre qui servira à détruire la ville.

Ils vont nous voir postés devant, j'espère que nous seront plusieurs...
Ils vont comprendre qu'ils ne doivent pas s'approcher.

Luca, en lui parlant, fit les cent pas autour d'elle.

Si par malheur, quelqu'un s'approche... Il dégaina alors son épée... Il faudra lui faire comprendre de ne pas s'approcher, sous peine de mort...

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* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".

Guillemot

Particulièrement, je n'ai pas envie d'utiliser la force pour sauver Amiens car je trouve que c'est une occasion inespéré qui ne changera jamais les choses mais comprenait bien que je dois réagir à ce genre de chose car Amiens a toujours été la ville que je tenais à mon coeur vous n'avez jamais eu la sensation d'être à Amiens même si il y a pas grand monde la bas quand on y rencontre des gens, ce sont des personnes qui sont bien plus exceptionnel que n'importe quelle personnes dans n'importe quel ville alors comme je disais ne détruisais pas tous ce qu'ont effectués toutes cette poignée de gens exceptionnel ont effectué chez eux à Amiens!
Eux mêmes les habitants d'Amiens sont trés importants dans la société du Royaume de France d'après mon point de vue et je sais ce que je dis!
ALORS PAR PITIE NE SUPPRIMER PAS AMIENS!

Et puis encore une chose l'un de nos rêves de ces Amiennois et moi même était de rendre plus animée Amiens et croyais moi on était tellement motivé la dessus qu'on était sur d'y arriver, on a eu plein d'idées je n'en ai même pas compter; alors ne détruisez pas Amiens eux qui ont fait tant d'efforts pour la renouveler en une ville animée de bonheur et d'amusement, Vous savez pas comment ca nous décoit de voir notre ville périr alors qu'on a pris du temps pour toutes les idées qu'on a concevu de faire

Merlin2b

je suis avec vous ....
même si je ne suis pas trop disponible sur les RR
désolé mais HRP oblige

mieux vaut vivre un jour comme un lion que cent ans comme un mouton

Non pour la mort d'Amiens

Luca_blight

Luca vit arriver Guillemot, Merlin2b...
Quelle joie de les voir arriver.
Il n'eut jamais la chance de rencontrer Merlin2b à Amiens, mais avait beaucoup entendu parler de lui, et c'est avec grande joie qu'il l'accueillait, ainsi que Guillemot.

Merci à vous deux d'être là...
Pour le moment, aucun ordre, nous restons postés ici, et attendons qu'ils viennent.
Quand ils viendront, nous nous défendrons.

Ce sera notre dernière chance de sauver Amiens...

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Guillemot

Guillemot vient avec un regard assombri!

et dit alors à Blight:

désolé je ne peut pas t'accompagner jusqu'au bout je vais devoir m'occuper d'une autre affaire

Luca_blight

Ca y est, une personne déjà qui partait... Luca ne montrait pas son inquiétude. Il fit mine de rien, restait fort, et lui dit:

Très bien Gui... Nous nous reverrons... Si pas ici.. Nous nous reverrons ailleurs...

Il prit dans ses bras ce français de malheur, qui était un grand ami à lui.

Je t'écrirai, quand tout ceci sera terminé.
Au revoir, Français de malheur.

Il revint alors vers le groupe, et fixait l'horizon, restant patient...

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Olympe

Olympe avait entendu la nouvelle, la triste nouvelle et s'est inquiète qu'elle le rejoignit devant la ville.

Luca je suis là, je reste près de toi et des villageois!!
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Christine988

Coucou tout le monde, me voici, me voilà ...

Luca_blight

Luca fit les cent pas, toujours en fixant l'horizon, mais personne ne montrait le bout de son nez.

Mais bon sang, que font-ils!
Il nous faut plus d'Amiénois, il faut que quelqu'un surveille le sud de la ville. L'est, l'Ouest, le Nord!
Nous ne pourrons pas nous couper en quatre!
Nous ne sommes que trois là. C'est peu, beaucoup trop peu.
Il frappe alors sur un vieux bout de bois. Puis se retourna alors, et vit sa marraine arriver au loin.

Il court alors dans ses bras, en la serrant bien fort.
Marraine... Toi ici... Je ne sais comment te remercier...
Mille mercis... Sois prudente... Tiens toi à l'arrière quand tout cela commencera, ne reste pas en avant, c'est bien trop dangereux. D'ailleurs, toutes les dames se tiendront à l'arrière.
Les hommes devant. Moi dix mètres devant vous. Vous recevrez alors mes ordres.
Entendons-nous bien, quand je dis "ordres", ce n'est pas moi le chef, nous le sommes tous!

Il jette alors à nouveau un coup d'oeil à l'horizon...
Mais que font-ils? Se seraient-ils dégonflés?!

Il vit alors Christine arriver. Il était de plus en plus rassuré de voir tout ce monde autour de lui.
Chris... Toi ici, aussi... Merci, merci infiniment...
Ensemble, nous repousserons les envahisseurs!!!

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* Amoureux de la belle Paullie.
* Fillot de l'adorable Olympe.
* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".

Lissandre_di_chimina

Lissandre, armée de son simple couteau, avait bien décidé de ne pas laisser sa belle ville d'Amiens disparaître sans s'être battue et avoir montré à quel point elle aimait sa ville. C'était la ville où sa mère était née, et elle la défendrait jusqu'à la fin.

Bonsoir à vous tous, nous nous connaissons trop peu mais je me joint à vous pour ce dernier combat. Il n'est pas question de laisser Amiens disparaître sans se battre !
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--Les_barbares

[La veillle]

Un éclaireur avait été désigné. Il monta à cheval et arriva au galop au milieu du petit village et hurla avec un accent horrible

TrRRRRRRRRRRREMBLEZ, DEMAIN VOUS MOURRRRRRRREZ, RAMIENG SERRRRA DETRRRUITTTTTTTTTTT

Aussi vite qu'il était arrivé, l'homme était repartit, laissant le vide et la peur amplir le coeur des amienois.

[Le jour fatal]

les barbares s'étaient rassemblés, ils avaient un plan bien rodé, leur faire croire qu'il attaquait au sud pour prendre le village au nord. Le verger ferait un bon leurre.

La moitié se regroupa et attendis. Un éclaireur, un gamin, revint avec quelques informations.

ils sont pas nombreux un zeu d'enfant capo, on les zaurrrra fachilement. y'a un gusse qui hurrrle des orrdrrres qui sont pas des orrrdrres et pas de soldats.

La grosse brute répondit
Dommage j'aime le sang, y'a des femmes au moins qu'on rrrigole?

Le petit éclaireur hocha la tête
ouep plein

Les autres émirent un grognement de satisfaction. L'aube pointait, l'attaque allait bientôt commencer. Les barbares se séparèrent donc.....

Luca_blight

Luca vit arriver Lissandre_di_chimina.
Il se présentait alors à elle, n'ayant jamais eu le plaisir de la rencontrer:

Bien le bonjour dame. Je suis Luca Blight. Je suis enchanté de vous rencontrer...
Dommage que les circonstances ne sont pas agréables... J'espère qu'après tout cela, nous pourrons boire tous ensemble un bon verre, en taverne...
Je vous remercie d'être venue...

Il lui baisa alors la main.

Il s'isolait alors quelques minutes, préparant une tactique.

Luca n'était pas très musclé, certes. Bien qu'il ait pris quelques muscles depuis son arrivée à Amiens, devenant de plus en plus fort.
Mais ce que Luca n'avait pas en muscles, il le compensait en intelligence.
La devise de Luca est que dans une bataille, un combat, 10 % se passe dans la force, et 90 % dans l'intelligence.
Depuis tout petit, il utilisait cette citation pour la mettre d'application, et ça lui a toujours été bénéfique.
Petit, avec ses amis, c'est toujours lui qui s'occupait des calculs de la distance entre le pigeon et la pierre, la vitesse qu'elle mettrait pour faire un trou dans la tête de l'oiseau, quelle quantité de sang il y aurait, etc.
Luca fut toujours considéré comme le petit intello diabolique du groupe.

Son intelligence, il la mettrait d'application ici, étant un fin stratège.
Il s'isolait donc, et pensait à une stratégie efficace. Qu'il présenterait rapidement à son groupe.

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Sirlabreck

Le lieutenant du fort d'Amiens s'amena, trainant les pas, où était sa fierté, sa satisfaction personnelle qui avait fait que certains le qualifiait de narcissique, abandonné pour un jour. Il venait dire adieu à son village, tenter une dernière résistance. Il marchait sur la ligne mince entre son serment militaire, son devoir et sa fierté. Il arriva sur les lieux où l'inopiné homme qui organisait tous ça c'était placé. Deux carquois à sa ceinture, l'arc long dans son dos, il ne tirerait pas une flèche, mais il restait un militaire et le chaos qu'entrainerait la destruction de la ville par les autorités pourraient être profitable à des bandits.

D'autant qu'hier on avait rapporté d'étrange présence dans les environs, rien pour inquiéter, probablement de simple champignon qui s'amusait. Ses galons absents de ses épaules, Labreck aperçut Christine.

Bonjour Christine, ravi de te voir ici.

Il sourit, tristement, toujours morose. Il alla voir Luca, il ne le connaissait pas personnellement, Labreck ne s'impliquait pas énormément dans Amiens, occupé par son travail d'officier.

Allo, heu, Luca, c'est ça? Je suis Labreck, ça fait plaisir de voir des gens qui tente de mobiliser le village. Peut être réussirons nous...

Le lieutenant n'en était franchement pas sûr, il gardait une main sur le pommeau de son épée, l'atmosphère était malsaine. Il espérait que les autres soldats du fort se présenterait.
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Luca_blight

Luca vit Sirlabreck arriver. Il ne l'avait jamais vu, mais bon sang, quel soulagement de voir un lieutenant de l'ost arriver, combattre à leur côté.

Sire... Je suis si content de vous voir parmi nous! Je suis ravi et suis enchanté de vous rencontrer!
Dans quelques minutes, je vais étudier et élaborer un plan pour contrer les envahisseurs.
Il est évident qu'en tant que lieutenant comme vous, je me ferai une joie d'avoir votre opinion lorsque le moment sera venu...

Il lui adressa alors un petit sourire, de plus en plus rassuré de voir tout ce monde.
Amiens était un bon village, un village vivant, un village soudé. Et ils ont encore réussit à le prouver, malgré des moments de grandes tristesses comme celui ci.
Luca était fier d'être Amiénois.

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* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".

Sirlabreck

En entendant les propos de Luca, Labreck ne put que froncer les sourcils. Il sourit encore tristement, navré de devoir renier cette espoir à cet homme.

Sire... Je suis si content de vous voir parmi nous! Je suis ravi et suis enchanté de vous rencontrer!
Dans quelques minutes, je vais étudier et élaborer un plan pour contrer les envahisseurs.
Il est évident qu'en tant que lieutenant comme vous, je me ferai une joie d'avoir votre opinion lorsque le moment sera venu...

Bel enthousiasme Luca, je suis aussi enchanté de vous rencontrer, mais malheureusement je suis encore Artésien et lié à l'Artois, je suis ici pour me montrer solidaire, mais à moins que nous affrontions une armée ennemi à l'Artois, je ne pourrai pas vous aidez. Je ne m'opposerai pas non plus

Il eut un sourire sincère, une telle inaction si les choses tournaient mal le conduirait en procès militaire.

Si une telle situation, si improbable, arrivait, j'effectuai mon devoir en vous aidant à concevoir un plan et en dirigeant les effectifs militaires.

Il regarda autour de lui, envoyant les gens qui se rassemblait lentement, il eut un peu plus foi, peut être avaient-ils une petite chance de changer l'esprit du HC. Labreck soupira, la journée s'annonçait longue, et le lendemain encore plus.
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Christine988

Heureuse de vous voir Lieutenant Labreck. Je suis prête, j'ai même mon arc et mes flèches. Mieux vaut prévenir que guérir. J'espère seulement ne pas être obligée de m'en servir.

Nous sommes postés ici pacifiquement afin qu'ils comprennent de nous laisser notre Village après tout. Je reste dans le coin, si vous avez besoin, faîtes moi signe.

Oh, Luca, même chose, je ne serai pas loin.

Neoexplorateur

Ayant couru toute la journée, entre la Gargotte et le Château, ce n'est que maintenant que Neo arrivait,
essoufflée comme souvent, et transportant un énorme panier contenant des victuailles...
Luca avait certainement oublié, dans son euphorie, de nourrir ses "troupes".
Elle lui avait promis de venir... même si elle détestait la violence...
Mais la situation étant ce qu'elle était, elle devait laisser de côté ses idéaux pacifiques, pour soutenir le siège qui s'annonçait.
Elle reconnut plusieurs personnes... les salua, heureuse de voir enfin se mobiliser les Amienois!
Elle repensait à tous les gens qui avaient forgé Amiens, à force d'espoir, de passion, de disponibilité...
Elle était ici pour eux tous... afin qu'on ne les oublie jamais...
Tout comme tous ceux ici présents n'oublieraient jamais Amiens...
Secouant la tête... un peu étourdie par la tristesse de la situation... elle vint déposer son panier aux pieds de Luca...

Bon... j'ai pensé que nous aurions peut-être faim... à un moment donné...
Je vais le mettre sous l'arbre, là-bas... Stamat arrivera sous peu.
Il a été un peu retardé. Il apportera sûrement un peu de son bon pain!
T'en fais pas, il viendra! Il te l'as promis... et il m'en a reparlé, ce matin...
Je vois que diverses personnes ont répondues... Super!!
J'ai apporté ma hache... mais je me vois mal zigouiller un Barbare...
Il y a du nouveau, les concernant ?? Tu as eu d'autres signes de leur présence??
Dis... si on envoyait quelqu'un en éclaireur... Voir un peu s'ils sont dans les environs?
Ce serait peut-être plus facile de les contrer, par la suite, non??
Enfin... c'est une idée que je lance comme ça...

Lui sourit et s'approcha pour le bisouiller très fort,
jetant un oeil de temps à autre sur la route, pour voir si Stamat arrivait...
Elle s'écarta un peu, remarquant que Luca était concentré...
sûrement en train de concocter une stratégie... comme il en avait l'habitude!
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Guillemot

Guillemot revient d'un air désolé... à la brume du matin...

Sors son épée et compte une bonne fois pour toute protéger Amiens...

Guillemot marmone alors:
-Je protégerai ma ville bien aimé...

Luca_blight

Luca vit arriver Neo, et se précipita dans ses bras en lui faisant un gros bisous.
Neo... Merci d'être venue.. Nous n'avons toujours aucune nouvelle d'eux, ça ne devrait plus tarder...
Pour l'éclaireur, c'est trop risqué. Nous devons simplement profiter de l'horizon pour les voir arriver de loin.
D'autant plus qu'il nous faudrait 8 éclaireurs. Nous serions largement réduits.
Si ces 8 éclaireurs sont absents lorsqu'ils attaqueront, ça n'ira pas...
Profitons des points les plus hauts du village pour les voir arriver.
Et merci pour la nourriture que tu apportes Neo, nous commencions tous à avoir une faim de loup!!!
Il lui fit alors un petit sourire, content qu'elle soit venue.
Bien, il manque encore Stamat, Justinien... Qui d'autre?

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Stamat77

Stamat s’est levé tôt ce matin… Il n’a pas dormi, pas une minute mais s’est obligé à rester sous sa peau de bête pour reposer son corps meurtri et ses muscles fatigués. La chaleur sous cette peau et une présence, réelle ou rêvée, lui furent d’un grand réconfort…

Il avait promis de rejoindre Luca et les amiénois pour lutter, il l’espère, une dernière fois pour la ville. Il prit un peu de temps pour s’habiller, choisissant avec soin ce qu’il va porter… Sortant de sa maison, son heaume sous le bras et son épée à sa ceinture, il voit Neo se diriger vers le point de ralliement, un panier de victuailles à la main… Il ne peut s’empêcher de sourire… Il lui crie qu’il va arriver… sous peu… et part dans la direction opposée.

Il met son heaume et fait pendre son épée à son poing… Prolongement rassurant de son bras… Son épée, ça fidèle épée… plus dissuasive que mortelle… Il entreprend de faire le tour de la ville… sa ville, menacée comme jamais par des barbares, le destin et toutes sortes de calamités… Il se demande ce que la population a fait pour mériter ce funeste sort…

Il marche, longeant les murs de la ville, la pointe de son épée traçant une saillie dans la terre… Frontière ridicule face à la menace mais limite qu’il ne laissera pas franchir…

Ses pas l’amènent dans toute sorte de lieux, lui rappelant une multitude de souvenirs… les bons comme les mauvais, son arrivée, son isolement, sa renaissance, ses amis, des décès aussi brutaux que soudains, les Requins, les tavernes, la boulasse,… Sentiments diffus, perturbants, où se mêlent le rire et la souffrance… Sans s’en apercevoir, Stamat sourit mais des larmes lui coulent sur ses joues, déposant un peu de sel dans sa barbe naissante…

Il repense alors à ses amis… La destruction de sa ville serait dramatique, éparpillant les amiénois survivants aux quatre coins de l’Artois… La promesse qu’ils se sont faites de rester toujours ensemble, par missives et dans les cœurs à défaut d’une présence physique, membres d’une même confrérie, d’une même fraternité, sera difficile à tenir… Mais il y croit, il veut y croire…

Il relève la tête... Le jour se lève... Laissant là sa rêverie, il se met à courir vers le point de ralliement… Il y retrouve certains des amiénois avec qui il a passés ces derniers mois… Et avec qui il est heureux d’affronter cet instant… Luca semble avoir le contrôle de la situation…

Luca… j'ai un mauvais préssentiment… Je me sens épié... Nous devons… Regarde autour de lui et grimace Mais ! Où sont-ils tous ? Où sont les amiénois ? Pourquoi ne sont-ils tous pas ici ? Se ressaisit Luca… nous devons protéger les habitants… ce combat est inégal… Je n’ai pas peur de mourir mais ce qui m’importe Se tournant vers les habitants présents C’est qu’eux s’en sortent !
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Olympe

Olympe était là près d'eux, près à défendre un village où elle a eu de si beaux souvenirs et des amis. Laissant ses enfants à une amie, elle avait décider de se battre pour Amiens, pour la ville de son fillot. Elle avait revêtu l'armure faite par son frère ainé pour un de ses anniversaire. Lui et ses idées bizarre qui au fond lui sauvera peut être la vie. Bon elle était aux armoiries de l'Anjou, pays de la famille, enfin d'une partie, mais peut importe la blason, son épée artésienne défendrait ce village et ses âmes et son bouclier normand de sa jumelle la protégerait. C'est donc sans mots dire qu'elle écouta les consignes et ne lâcherait pas d'une semelle luca.
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Luca_blight

Luca vit arriver son meilleur ami, Stamat. Il le prit dans ses bras, et lui dit:
Stam... Merci d'être venu...
Voici tous les Amiénois, plus quelques autres d'ailleurs, venus aimablement nous soutenir.
Il reprit alors ce qu'il disait, qu'il ne voulait pas voir un seul Amiénois mourir.
Je te promets de veiller sur eux, il n'y aura aucun mort. Il n'était pas si sûr de ce qu'il disait, mais il voulu se rassurer et le rassurer.

Luca revenait vers son groupe qui commençait à s'élargir de plus en plus, toussote pour s'éclaircir la voix, et cria fort pour se faire entendre:

Bien, écoutez-moi.

Il étala un à un ses vieux parchemins.

Voici mon plan,
Premièrement, voici un schéma du village et de ses environs.
Bien entendu, c'est dessiné grossièrement.

Donc au centre, vous avez le village, c'est le gros rectangle au milieu.
Au nord, au sud, à l'est, à l'ouest, vous avez la foret, l'herbe, etc.

De deux choses, l'une.
Il va de soit que les barbares ne vont pas arriver où il y a de l'herbe. Nous aurions trop de temps pour les voir arriver, et ils n'auraient pas l'avantage de la surprise.
Il y a donc de fortes chances pour qu'ils arrivent par ces bois, là bas. Il montre alors du doigt l'est du village.
Car là, nous avons bien moins de temps de les voir venir.

Autre chose, ils peuvent très bien aussi arriver,
Par le nord,
Par le sud,
Par l'est,
Par l'ouest,
Des quatre côtés en même temps. C'est ce que je représente ici:

En noir, ce sont les endroits d'où l'ennemi peut arriver. Il va de soit que si nous restons ensemble, et que, si eux viennent de plusieurs côtés différents, nous serons pris en sandwich. Et nous serions perdus.

Il faut donc que nous nous séparions en 4 groupes.

- Le premier groupe ira au nord, mais à quelques mètres des murailles du villages, on ne se sépare pas!
- Le deuxième groupe au sud,
- Le troisième à l'est,
- Le quatrième à l'ouest.

Retenez bien ceci:
Nous n'attaquerons PAS les premiers!
Nous n'attaquerons que si et uniquement si notre vie est en danger, que si on les voit charger sur nous, que si on les voit attaquer.
Nous serons en mode DEFENSIF, et nous ne courrons pas après l'ennemi!

Nos objectifs, les voici:
1- Défendre et sauver Amiens.
2- Repousser l'envahisseur.
3- Rester en vie.

Autre chose aussi.
La formation du groupe va se faire comme ceci:

Les dames, derrière, que je représente ici en rose.
Les hommes, devant, que je représente ici en bleu.
Et le commandant du groupe, que je représente ici par ce petit point rouge.

Le commandant du groupe, c'est celui qui donnera l'ordre, il devra se poster à environ dix mètres devant les deux lignes alliées: Hommes et femmes.

Pourquoi à dix mètres?
C'est le premier qui décidera à lancer l'assaut ou non,
c'est lui qui ira en premier au contact de l'ennemi.

Il me faut trois volontaires, pour les trois autres groupes manquants.
Ne le faites pas si vous ne vous en sentez pas capable!

Une dernière chose...
Cela va sans doute être la journée la plus rude de toute notre vie.
Je ne peux pas vous promettre de vous ramener tous en vie...
Mais je peux vous promettre de veiller sur chacun de vous.
Faites en de même pour celui et celle qui se trouvera à votre gauche, à votre droite, devant vous, derrière vous.

Il les regardait tous un coup... et reprit:
Des questions?
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Stella..

Stella attendait d'un pied ferme et la rage au coeur.... qu'on lui donne des ordres...elle n'a pas d'épée...mais un bon bâton..et des bonnes dents pour pouvoir les mordre...sans oublier son fameux coup de pied bien placé...héhé...

La brune avant de venir avait cueilli quelques pommes dans leur magnifique verger..ces fruits là...ils les auront pas...nom d'une pipe....

--Carl_le_barbare

[Le Jour-J]

Carl le barbare était avec son groupe, au taquet pour attaquer Amiens.
Une balafre sur les deux joues, une peau trouée et vieillie, des cheveux gris, gras, et un oeil en moins.
Il regardait au loin la bande de joyeux lutins Amiénois qui gesticulaient comme des pantins.

Mouhahahahahahaha, regardez-moi ces pantins articulés.
De la bonne chair à sacrifier. Nos haches vont s'en donner à coeur joie.
Et il y a des femmes aussi... Merveilleux.
Ne tuez pas les femmes. Bloquez-les, attachez-les, violez-les, devant leurs hommes.
Ensuite, tuez les femmes, que leurs époux admirent le spectacle, puis tuez-les. Comme des gros chiens qu'ils sont.

Vérifiez vos armes, vos armures, et choisissez votre femme, mais partagez... Mouahahaha.

Lisonlune

*Lisonlune arriva elle ne pouvait pas laissé passez cela*

Salut Luca désolé du retard, mais je suis la à tes cotés. Je peux aider malgrès que mes années de lieutenant soient bien loin.

Dire que j'ai été la première lieutenant d'amiens.

Je suis a ton écoute et prête à défendre cette belle ville

Sirlabreck

Question, soudainement nos marionnettes savent que ce sont des barbares qui viennent? Je vais m'adapter. Question réalisme, on peu considérer qu'Amiens n,est pas peuplé qu'une centaine de villageois. Ça fera des personnes sans visage et sans nom à utiliser.

Labreck marchait en rond, voyant arriver de plus en plus de villageois. Des soldats s'ajoutaient, de brave archer. Il tressaillit en attendant le mot barbare?

Neo, avez-vous bien dit des barbares?

Il laissa échapper un juron, sûr de la réponse qu'il allait entendre. Il marmonna entre ses dents: «J'ai l'air fin maintenant, le dernier au courant apparemment.»

Luca arriva enfin avec des esquisses et un plan. Il écouta attentivement et soupira à la fin. Le plan montré allaient tous les tuer.

Luca, je ne doute pas de vos talents, mais regardez autour de vous.

Il lui fit signe de ses bras tous les gens autour d'eux, il n'y avait qu'une pognée qui était des militaires, ou capable de vraiment se servir d'une arme.

Si nous divisons nos forces en quatre, nous mourrons tous. Je n'ai pas peur de mourir. Cependant, réfléchissons logiquement, ces barbares ne pourrons pas venir de partout à la fois, ils n'en ont certainement pas le nombre pour. Peut être 2 attaques simultanée mais c'est tout. Et vous l'avez dit, ils ne viendront pas en terrain découvert, les soldats ci présent en tueraient un pour chaque 40 pas qu'ils franchiraient sans protection d'arbre ou se dissimuler à notre vue.

Aussi, il faut penser en terme de défense, que tous ceux qui ont une arme d'hast chez eux aillent la chercher. Regardez Luca, ce que je vous suggère est simple. Nous montons une ligne de défense face au boisé. Deux lignes d'hommes en avant avec des lances ou des hallebardes. Des archers en arrières, et les autres avec épées et hache attendent pour combler les percés et garder les flancs. Nous laissons une poignée d'homme et de femmes sur chaque autre front potentielles et ils accourent si des ennemis tentent de passer par là. Si nous sommes débordés, on recule vers la mairie.

Il resta pensif, Luca était certes libre de faire les changements à son plan, et le lieutenant savait qu'il n'avait aucune autorité sur les civiles.

Je ne prendrai pas en charges les civiles, je vous laisses trouver des volontaires pour. Les Lynx d'Amiens, regroupé vous! Sergente Luna, Arbalétrier Diabolo, où êtes-vous bloody hell!

Luca, vous faites ce que vous voulez, je vous ai donné mes conseils, je répartirai mes archer selon besoin.

Labreck pointa trois hommes et leur fit signe d'avancer

François va prendre ton cheval et rend toi à Bertincourt aussi vite que le vent. Dis au lieutenant qu'Amiens a besoin de renfort. William, même chose, mais à Péronne. Wilfom, tu reste avec Luca, tu es sous ses ordres, compris?

Les trois soldats désignés répondirent en chœur.

Oui Lieutenant, à vos ordres!

L'officier satisfait regarda Luca, il attendait de savoir ce qu'il décidait et agirait en conséquence. S'ils pouvaient tenir jusqu'à la tombé de la nuit, ils pouvaient espérer des renforts de Péronne et de Bertincourt. Peut-être faire retraite vers une des villes, ou vaincre les barbares si c'était possible. Il en doutait, ils seraient probablement en désavantage numérique et trop peu savaient se battre.
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Luca_blight

Oh, merci pour les pommes Stella. J'ai une faim de loup!

Il vit alors arriver Lisonlune. La grande dame d'Amiens.
Oh... Il court alors vers elle, et la prit dans ses bras.
Lison... Content de te voir.. Tu arrives à temps.
Installe toi, il y a à manger; D'ailleurs oui, j'oubliais.

Il s'adressa alors à tout le monde:

Mes amis et mes amies,
J'oubliais de vous dire. Nos amies ici présent, Neoexplorateur et Stella, ont apporté à manger.
Servez-vous, manger, profitez-en. Ayez le ventre rempli pour ce combat qui va être rude.
Le tonneau de bière arrive bientôt, l'eau aussi.
Ne buvez par contre pas trop de bière, histoire d'être lucide avec votre épée.

Il s'absenta quelques minutes, allait derrière un buisson, où il avait caché un fût de bière.
Luca devenait de plus en plus alcoolique depuis quelques semaines. Il bu alors quelques bières, puis amenait le fût.
Au besoin hmm.. Il y a d'autres fûts. Buvez! Ca fera passer le temps!

Le lieutenant l'interpellait alors, et lui donnait ses conseils. Luca ne put qu'écouter ce grand homme, qui savait très certainement ce qu'ils faisaient.

D'accord Sire. Donc, vous me conseillez de regrouper tout que sur un côté. C'est à dire, le côté boisé, donc l'est?

C'est une très bonne idée sire. Nous allons faire cela.
Dans le pire des cas, nous battrons donc en retraite vers la mairie.

réponse à ljd labreck: Oui, j'ai prévenu au premier post de ce rp, j'ai modifié. Le village est attaqué par un groupe de barbare. Ceci afin que tout le monde (citoyens, armée, médecins, etc) de participer au rp sur la fin d'amiens. Ca été convenu avec les joueurs du HC.

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--Wilfom

Wilfom s'avança vers Luca, il avait bien compris les ordre du lieutenant et à quoi il pensait.

B'jour sire Luca, comme l'a ordonné le lieutenant Labreck, je resterai à vos côté, si dans la fureur du combat vous auriez besoin d'envoyer une demande au lieutenant ou lui signaler un problème, je transmettrai vos ordres.

Le soldat en profita pour prendre un morceau et resta proche du commandant des civiles, ayant du respect pour un Amiénois qui cherchait à défendre ses gens et son village.

Neoexplorateur

Fixant les cartes de Luca, Neo sentait l'angoisse l'envahir...
Elle percevait la menace, autour d'eux... ne sachant trop d'où elle viendrait.
Regardant leur petit nombre... elle se demandait bien comment arriver à protéger efficacement Amiens, comme le suggérait Luca.
Stamat et Lisonlune s'étaient joint à leur groupe...
Elle leur sourit nerveusement, cherchant du regard Justinien.
Qu'est-ce qui pouvait bien le retarder ainsi... Et Villette, viendrait-il aussi?
Et Diabolo... et Hedgehog... et Astreria... Luna, Mic.., Sate... et tous les autres!!
Soupirant de découragement, elle se tourna vers Luca afin de bien saisir ses recommandations...
Mais c'est la peur au ventre qu'elle empoignait le manche de sa hache!
Aucun son ne sortait de sa bouche... elle qui avait souvent son mot à dire...
Heureusement... Sir Labreck se manifesta... rationnellement...
avec son expérience des combats et des tactiques à utiliser...
Ce qu'il suggéra était plein de bon sens... Elle fut soulagée lorsque Luca acquiesça, se ralliant à ses propositions!
Elle regarda à nouveau le visage sérieux de Stamat, qui se tenait à ses côtés,
et remarqua de pâles sillons sur ses joues. Elle en fut émue... et peu rassurée...
Elle prit sa main et la serra quelques instants, tentant de lui insuffler un peu de confiance...
Puis reporta son attention sur Luca et Sir Labreck, qui organisaient la défense de la ville.
Des gens arrivaient maintenant de partout... soldats et civiles, certains avec des armes de fortune...
mais tous unis dans un même esprit... Une tension nouvelle était perceptible...
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Astreria

Du haut de la tour de guet, une ombre silencieuse regardait les amienois s'agiter en bas. Astreria avait regagner la ville, tard dans la nuit. Cette ville où elle avait toujours vécu, avait besoin d'un guetteur. Arrivée discrètement par un petit chemin en provenance de Péronne, elle avait cheminé à travers la ville endormie. Petit arrêt à l'église où sa vieille clef en ouvrait encore les portes. Elle avait brûlé un cierge, fait une prière puis était sortie aussi silencieusement.

Le petit jour avait pointé, elle était montée dans la tour de guet. Elle avait relevé Floflo de sa garde et depuis elle veillait sur la ville, telle une ombre immobile. Une clameur était montée d'en bas, un regard, pourquoi tant d'agitation ? Il lui sembla distinguer Néo, Lison, des soldats de son cher Ost...

Elle se mit à scruter dans le soleil couchant ce qui se passait...immobile...
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Floflo02

Bonjour,
je suis venu pour défendre ma si belle ville qui est Amiens et que j'aimerais encore voir jusqu'à ma mort.

Floflo02 prépare ses armes aux combats.
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Luca_blight

Luca vit arriver Wilfom, un habitant très discret mais qu'il a croisé quelque fois au marché, et Floflo02.
Il les accueillit alors. La fatigue commençait à gagner Luca, qui luttait, tout comme ses amis, dans l'attente et la crainte.
Il leur dit alors:

Bien.. Wilfom, Flo... Merci d'être venu.
Prenez place, et gardez vos yeux ouverts partout. Ils pourraient arriver de n'importe quel côté.

Il les laissait alors prendre place, et continua son travail.
Il regardait de temps en temps vers l'entrée du village pour voir si d'autres personnes arrivait.

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* Amoureux de la belle Paullie.
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--Les_nonnes_d_azincourt

Le jour baissait, le moment était venu. Les barbares s'étaient séparé, un groupe au nord, un groupe au sud, les prendre en tenaille, le petit groupe servant d'appâts.
Les hommes se levèrent et marchèrent écrasant l'herbe gelée, souillant de leur pas le chemin qui menait au village.....

pour se donner du courage, les barbares se mirent à hurler.

Au loin, on voyait le village, les cheminées fumaient. Le moment était venu.

vous aviez compris que c'était pas des nonnes mais des barbares^^

Luca_blight

Luca entendait crier, au loin.
Des voix turbulentes, affolantes, criardes, et sans pitié résonnaient au fin fond de la forêt.
Luca restait figé quelques secondes... Puis se retourna et fixe la forêt.

Il s'adressa à tout le monde, et leur dit:

Vous n'avez pas entendu crier?
Ca commence...........

Il dégaine alors son épée, et cria de toutes ses forces, d'une voix aux décibels que même lui ignorait qu'il était capable de crier si fort:

TOUS EN POSITION !!!! LES FEMMES, DERRIERE. LES HOMMES, DEVANT.
SIRLABECK, STAMAT, AVEC MOI !!! DIX METRES DEVANT !!!!!!!
LES AUTRES, EN LIGNE DROITE. SURVEILLEZ LES COTES, SURVEILLEZ LES ARRIERES!!!!!!!!!!!!!!!
ON ECOUTE LES ORDRES, ON APPLIQUE LA POSITION DE SIRLABECK, PLUS LE TEMPS DE S'ORGANISER, A VOUS DE VOUS POSITIONNER AU PLUS VITE!
EN POSITIOOOOOOOOOOOON !!!!!!!!!!!!!

Il crie alors à ceux présents dans les tours de guet:

VOUS, GUETTEZ ET PREVENEZ-NOUS DE LEUR POSITION !!!!!!!!!!!

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* Amoureux de la belle Paullie.
* Fillot de l'adorable Olympe.
* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".

Sirlabreck

Labreck fut surpris par la soudaine agitation qui prenaient tout le monde. C'était le signal, les barbares lançaient leur assaut. Il entendit les ordres que clamait Luca. Il prit son arc et sorti une flèche de son carquois en avançant avec Luca. Il laissa néanmoins échapper un autre juron, se demandant où étaient ses hommes et femmes de confiances.

Les Lynx, en formation, encochez vos flèches! Je veux une volée belle et propre. Amiénois, gardez votre sang froid et vos positions. Que la première ligne de lancier embroche ces fumiers, puis reculé derrière la seconde, alterner ensuite comme ça.

Il encocha une flèche et regarda attentivement pour voir d'où surgiraient leurs ennemis. Plus il en abattraient avant qu'ils atteignent leurs lignes, meilleurs seraient leur chance. En temps normale il aurait eu besoin de beaucoup plus d'homme pour avoir une défense solide. Il pria le Très Haut que Péronne et Bertincourt arrive rapidement.
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Floflo02

Floflo02, en tant que Lynx dans l'Ost à Amiens, encocha une flèche puis tira et elle transperça la jambe d'un barbare et maintenant, il boite mais il ne sait c'est qui.

ON VA TOUS LES AVOIR COMME AVEC LA SOULE.
ALLEZ AMIENS!!!

Continue à tirez, tirez, tirez encore et encore jusqu'à leur arrivés.

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Luca_blight

Luca, tout autant affolé que les autres, regardait Sirlabeck, et lui fit un petit signe de tête, en acquiesçant ses paroles.
Il porta son épée à bout de bras, se tenant prêt, fixant la forêt au loin.
Il se retourne alors un coup, et regardait les aidants se mettre en formation.
Il regardait alors Flo, et lui dit:

Flo, ne tire pas maintenant! Cesse le feu!!!
Tu ne vois pas qu'il n'y a personne? Ils ne sont pas loin, mais là, tu tires dans le vide!
Économise tes flèches!!!

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* Amoureux de la belle Paullie.
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* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".

Lissandre_di_chimina

Lissandre regardait ses "frères et sœurs" Amiénois avec anxiété, une légère panique flottait dans l'air, tout le monde était dépassés par les évènements... Perdus.

Courage amis Amiénois ! Essayons d'être lucide dans cette bataille... nous avons peu de chance de vaincre, mais nous ne pouvons pas les laisser nous envahir sans nous défendre !

Se tournant vers Luca :

... J'y pense, ne devrions nous pas nous donner un point de rendez vous au cas où les choses tourneraient en notre défaveur ?... Nous battre pour Amiens et défendre notre Honneur oui, mais survivre doit aussi faire parti de nos priorités.
Si nous devons battre en retraite, il nous faut un lieu où nous retrouver, non ?...

Olympe

Des cris...sont cœur se met à battre la chamade dans sa poitrine. Son bouclier bien contre elle, l'épée sorti Olympe se rappela sa bataille contre une armée d'Alençon et ne voulait pas que cela recommence encore et encore. Elle se battrait jusqu'au bout. Les ordres fusaient, elle se mit en position et attendit...
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Luca_blight

Luca regardait Lissandre, fixant la forêt, concentré comme jamais.
Il lui répondit alors, sans décrocher le regard de la forêt:

Pas faux, dame Lissandre. Je pense que Sirlabeck a déjà prévu, de se replier à la mairie si ça tourne mal.
Est-ce que cela vous va? N'hésitez-pas à le dire si vous voyez un meilleur endroit, dame.

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* Amoureux de la belle Paullie.
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Stella..

Tremblant de tous ses membres...mais ne disant rien...Stella...la mâchoire serrée... reste à côté de son amie...qui est armée...elle veut combattre quand même ces barbares...malgré sa peur..et qu'elle n'aime pas la violence....

Neoexplorateur

La peur au ventre... sentant sa nuque se figer d'horreur en entendant les cris stridents...
quasi déments des attaquants, Neo se rapprocha de Stella et Olympe...
sans trop s'en rendre compte... comme par réflexe de survie...
Elle admirait le courage des trois hommes qui faisaient front,
tandis que les flèchent sillaient à ses oreilles... amplifiant ses craintes...
Elle crispa la main sur sa hache, alarmée, regardant autour d'elle pour comprendre d'où viendraient les coups..
Des ordres fusaient... des hurlements se faisaient entendre...
Les ombres étaient de plus en plus menaçantes... et on y voyait de moins en moins bien...
Neo frissonna... désemparée... levant les yeux au ciel... pour le supplier de leur venir en aide!
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Luca_blight

Luca, toujours le regard fixé à la forêt, se retourne, et vit alors Neoexplorateur et Stella, qui avaient l'air d'avoir peur.
Il s'avança doucement vers elles, et leur murmure alors:

Neo... Stella... Il n'y a aucune obligation de rester... Si vous ne vous sentez pas à l'aise, vous pouvez rentrer chez vous, et attendre que tout cela se termine... C'est une réaction humaine...

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* Amoureux de la belle Paullie.
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Mic..

Luca me voici, j'arrive pour défendre notre bonne ville d'Amiens.Bonjour Stella, tu es courageuse et déterminée, je le vois dans ton regard et ton attitude.Je vois que nous sommes déjà un bon petit groupe d'hommes mais aussi de femmes.Tremblez ennemis , vous qui voulez détruire notre village Nous avons tous la rage au coeur et nos mains ne trembleront pas pour défendre nos femmes ,nos enfants, nos amis et nos biens.Tremblez à la vue de nos épées, de nos haches, de nos arcs et flèches, de nos bâtons .Tremblez car nous serons sans pitié contre qui veulent du mal à notre village.Soyons unis appliquons les ordres donnés. Courage, soyez sans crainte et nous vaincrons

--Carl_le_barbare

Hmmm... Ces chiens nous envoient des flèches.
Mouahaha, regardez moi ces pantins.
On dirait des porcs affolés à la vue d'un boucher, dit-il en riant diaboliquement.

Bon... Fini de rire...
Il prit son arc, le banda, et tira une seule flèche en direction des pantins Amiénois.
La flèche caressait alors le ciel comme un nuage. A une vive allure, se dirigeant droit vers Luca Blight. Mais alla s'échouer quelques mètres derrière lui.

Hmm... Nous ne sommes pas assez loin.
Patience patience, dans quelques minutes, nous chargeons...

Sirlabreck

Le lieutenant fut très surpris de voir une flèche fusé et compris rapidement en écoutant Luca sermonner un des soldats. Labreck pesta en constatant que c'était Floflo, il s'attendait à une discipline exemplaire de sa part, si les soldats commençaient à perdre leur sang froid c'était perdu.

Floflo, reste concentré et attend mon signal!

La main crispé il maintenait sa flèche, scrutant rapidement l'horizon à la recherche d'une silhouette et jetant un coup d'œil par arrière, il essayait de repérer certains soldats qui brillaient par leur absence.

Nerveux de ne pas voir encore les fantassins leur débouler dessus, mais ça le rassurait, ça voulait dire que les barbares n'avaient pas suffisamment d'effectif pour tous les massacrer. Ils avaient leurs chances. Il continuait à échafauder des plans, sans aucun doute qu'ils ne seraient pas capable de maintenir la ligne et Labreck espérait que les 2 archers qu'il avait laissé à l'ouest soit de bon coureur. Le lieutenant avait le pressentiment que s'ils devaient être flanqué, ça serait par là.
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Luca_blight

Mic! Toi ici, merci!
Ensemble, nous repousserons ces envahisseurs!!!

Une flèche s'arrêtait alors à quelques mètres de lui. Mais il ne la vit pas.
Il se retourne alors vers la forêt, à nouveau, et dit de plus en plus inquiet:
Bon sang, que font-ils... Qu'attendent-ils...

Il crie alors à son groupe:

Ne gaspillez pas vos flèches. Affûtez vos épées, vérifiez la solidité de votre bouclier!

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Neoexplorateur

Se tournant vers Luca... les yeux brillants de colère... elle lui répondit:

Non mais... tu nous prends pour qui??? Oui... nous avons peur... mais nous resterons!
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Luca_blight

Bien Neo, très bien.
Ne le prends pas mal, je voulais juste que tu saches que tu n'es, que vous n'êtes pas obligés à assister à tout cela.
Il lui déposa alors un baiser sur la joue, et se remit au travail.
Il regardait Sirlabeck, et lui dit:

Que proposez-vous, Sirlabeck?

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Sirlabreck

Le lieutenant n'aima pas voir arriver une flèches sorti des boisée, encore moins lorsqu'elle s'arrêta qu'à quelques pas de Luca. Celui-ci l'interpellait d'ailleurs.

Qu'allons-nous faire? Attendre, bien entendu. Le temps joue en notre faveur. Sinon...

Il pointa la flèche.

Ils sont à porté de flèches pour mes archers, nos arcs longs tirent bien plus loin que des arcs court ou composite. Je peux soit envoyé une volée comme des longbowmen ou nous attendons qu'ils chargent. La première nous permettrait de tuer quelques barbares par la quantité de flèches et de tirer quelques fois de plus, la seconde d'éclaircir leur rang bien plus efficacement et de semer la panique, ils n'ont pas d'idée exacte de notre nombre et pourrait changer de tactique s'ils croient qu'ils perdraient trop d'homme.

Labreck fronça néanmoins les sourcils, ceci signifiaient soit que les barbares avaient quelques arcs long ou qu'ils étaient à moins de 150 pas. La seconde option était encore plus mauvaise que la première, il comptait pouvoir les tirer à partir de 225 pas, ce qui signifieraient trois bonne flèches par archer, donc trois barbares par archer de neutraliser, voire mort. À leur nombre ceci voulait dire qu'ils leur faudrait qu'ils soient en sous nombre de 3 pour 1 pour êtres dangereux. Très mauvaise perspective donc.
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Luca_blight

Luca écoutait attentivement Sirlabeck. Il regardait le groupe présent, puis les bois.

Hmm... Et lancer des flèches frontales, bien droites lorsqu'ils chargeront, cela donnera quoi?

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Leducg

[A Péronne]

Le Sénéchal était bien au chaud dans sa maison, qui est situé non loin du fort, lors qu'on tambourina à sa porte. Il se dépêcha alors d'aller ouvrir, c'est alors qu'il vit qu'il s'agissait d'un jeune soldat.

Mon Sénéchal, Amiens à des problèmes, ils ont besoin de renfort! Le Lieutenant Demalay rassemble les hommes dans la cours.

Nondijou, retourne au fort, le temps de prendre mes affaires et j'arrive!.

Le jeune soldat salua alors l'officier puis parti a toute jambes vers le fort. Leducg pris alors son épée, enfila son casque et son mantel puis attrapa son bouclier. Une fois équipé il sortit de chez lui et parti en direction du fort, une fois au fort il se rendit directement aux écuries afin de prendre son cheval.

Salut Ombre, on va aller ce dégourdir les pattes ! Il parait que Amiens a des problèmes, je ne sais pas ce qui nous attends, mais ont en a déjà vu de toute les couleurs tout les deux...

Alors qu'il parlait avec son cheval, Leducg le sella puis se dirigea vers la cours où ce rassemblait les soldats Péronnais.
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--Les_barbares

[l'attaque au sud]

les hommes se dispersèrent, et le second groupe atteignit le sous bois

sans faire de bruit, ils se préparaient à attaquer par derrière, lorsque le nuit tomberait.

[ L'appât]

rendu fou par les hurlements et les encouragements des éclaireurs, l'envie de détruire plus forte que l'instinct de survis, le groupe servant d'appat avança, tentant de faire fuir les villageois qu'ils voyaient encore au loin, par leur hurlements de sauvages.

Sirlabreck

Hmm... Et lancer des flèches frontales, bien droites lorsqu'ils chargeront, cela donnera quoi?

Labreck sourit sur la question.

C'est la seconde option que j'ai exposé. En volée bien ordonné chaque archer peut espérer faire mouche. S'ils s'exposent à partir de 225 pas, et qu'ils n'ont pas un trop grand avantage numérique, alors on peut espérer en tuer ou blesser gravement la moitié. Trois volées auraient un effet dévastateur sur leur morale. Bien entendu, les deux premières volées ne seraient pas «bien droite» comme vous le dites, mais tous ces soldats savent tiré et une flèches qui retombe dans le cou est tout aussi mortelle qu'une dans le foie.

Les cris des sauvages augmentèrent, et le lieutenant crut apercevoir des silhouettes. Il pointa sa flèche vers la plus rapproché.

Levé votre bras gauche Luca. Amiénois, restez calme! Ils cherchent à nous faire peur, à nous désorganiser.

Concentré sur sa cible, il gardait du coin de l'œil Luca en vue. Tout semblait annoncer que ça allait commencer. Le Soleil se couchait lentement, la nuit serait longue, et sanglante.
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Stamat77

Stamat entendit des bruits menaçants venant de l'orée de la forêt... La Soule lui avait appris à réagir rapidement, à frapper sans se poser nulle question... Il sortit son épée... Prêt à en découdre...

Il avait écouté les instructions de Labreck, homme sage et militairement avisé, et tenait ses positions....

Sa fougue lui intimait de se porter en avant mais sa raison le faisait rester... prêt à défendre la ville plutôt que d'attaquer ces barbares... De savoir Neo près des autres le rassurait... Pour lui... et pour les autres... Neo... c'était l'assurance d'une défense farouche... Il connaissait sa peur... mais il la savait plus expérimentée... Il espérait qu'elle organiserait la survie des autres habitants...

Pour sa part, le sillon qu'il avait tracé quelques heures auparavant demeurait la limite à ne pas franchir... Il s'en remettait aux ordres de Labreck mais qu'un seul barbare ose franchir la limite.... et ce serait l'hallali
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Christine988

Cris pensait seulement à défendre les gens du Village contre ces barbares

Lieutenant Labreck, j'ai ma provision de flèches, j'attends le signal...

Cris restait immobile et tendait l'oreille essayant de rester le plus calme possible.
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Neoexplorateur

La remarque de Luca l'ayant piquée au vif... Neo sentait l'adrénaline lui redonner un surcroit d'énergie... L'attente lui semblait insupportable... et vaine... Il fallait agir... et vite, avant que les Barbares attaquent. Les habitants se rassemblaient, leur nombre croissant peu à peu... Bien en soi, mais certains étaient venus les mains nus ou avec un canif, d'autres avec un long couteau de cuisine, certains avec des fourches et la plupart avec des bâtons de fortune.
Se retournant, elle scruta les arbres qui bordaient le champ et s'en approcha, les examinant un après l'autre, jusqu'à ce qu'elle en trouve un qui lui semblait suffisamment noueux pour qu'elle puisse y grimper... Elle retira sa cape, la déchira en deux en nouant les deux pans. Elle se ceintura la taille et se mit à gravir l'arbre, lentement, prenant appui comme elle pouvait. Lorsqu'elle atteignit les premières branches, elle remonta le bout de sa cape qui pendouillait, lui fit faire le tour de l'arbre et en fixa l'extrémité à celle qui enserrait sa taille par deux noeuds bien solides. Ainsi stabilisée, elle se mit à couper des branches. Sa hache était bien affutée et le bois était tendre. Après chacune de ses réussites, elle entendait un bruit mat, lorsque la branche atteignait le sol. Elle cria à un groupe de femmes, non loin de là:

Venez chercher les branches, et tirez-les un peu plus loin de l'arbre. Ceux et celles qui ont des haches ou des couteaux, enlever les petites branches et appointez l'extrémité la plus mince... Faute d'épées, je veux au moins que chaque habitant ait son pieu.

Faisant coulisser un peu plus haut le tissu qui la retenait à l'arbre, elle continua à besogner, faisant pleuvoir les branches, les unes après les autres. D'où elle était, elle pouvait voir la ligne de front, composée d'habiles archers. Elle sentait la tension qui régnait, augmentée par les cris environnants et elle accéléra la cadence. Les muscles de ses bras s'ankylosaient et elle commençait à sentir la fatigue. Elle ralentit le rythme, prenant le temps de chercher Stamat du regard. Il lui tournant le dos. Elle le sentait nerveux, à l'affut... son large dos et ses puissantes jambes l'impressionnaient, même d'où elle était... Elle secoua la tête et poursuivit sa tâche, essayant de ne plus penser à ses bras rassurants, accueillants...
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Olympe

Tension, cris, lueur du jour qui fuit de plus en plus...un nœud au ventre Oly restait immobile, ne cherchant le regard de personne pour ne pas se déconcentrer. Néo se rapprocha d'elle, ce qui au fond la rassurée vu qu'elle avait une hache et un bouclier, en cas de volée de flèche elles pourraient protéger Stella qui n'en avait pas. Son bouclier normand de bonne facture saurez tenir le choc mais son bras peut être moins. La carrure de ses hommes l'impressionnait mais elle plus petite est sans aucune doute plus rapide et vive. L'image de Euse lui traversa l'esprit et celle des enfants aussi, gorge nouée elle chassa vite leurs images de la tête. Elle se battait pour eux, pour leur survit et celle des autres. Néo quitta le groupe et fabriqua des pieux, Oly surveilla ses arrières on ne sait jamais. Elle aida les villageois à vite tailler leur branche et à vérifier leur solidité. Néo avait eu là une brillante idée mais des bruits de hache à la lisière de la forêt risquaient d'ameuter les barbares.

Néo ont a ce qu'il faut c'est bon redescend vite sinon ils vont rappliquer et garde tes forces maintenant!

lui sourit et lui fait signe de vite rejoindre les groupe et Stella qui se retrouvait seule aidant d'autres villageois. Oly machinalement caressa la dague que son époux lui avait offert un jour et se promit de s'en servir si elle se retrouverait sans aux armes. Ils ne l'auront pas comme ça...elle la petite sœur de Romuald de Plantanièvre Dict Le Loup, il serait fière d'elle c'est sur et serait à ses côtés si il le pouvait. Regard pointait sur luca qu'elle protégera comme elle pourra, elle était si fière de son fillot et avait si peur pour lui...
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Luca_blight

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Stella..

--Les_barbares

[au même moment l'appat]

le feu avait été allumé, les hommes partirent en hurlant, haches levées prêt à combattre. Ils se découvrirent et chargèrent comme un troupeau fou.

Neoexplorateur

Justinien

Bourgmestre d'Amiens

Sirlabreck

Lunadeltounette

Citation:

Désolée pour ce retard mais vous postez tellement vite qu'il a fallu que je m'adapte ^^

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Sergent de l'Ost , ne te fie pas à l'eau qui dort

Luca_blight

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* Amoureux de la belle Paullie.
* Fillot de l'adorable Olympe.
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--Wilfom

Sirlabreck

Pas grave Luna, le rythme est effectivement rapide pour un rp.

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Luca_blight

--Wilfom a écrit:

Fine lame sire? Prenez garde néanmoins, vous ne serez pas toujours aussi chanceux. Restons proche des autres, vous devez rester en vie.

Il ne trouvait mots à lui répondre, le choc prit le dessus sur lui, il n'arrivait plus à parler, et se contenta de lui faire un petit signe de tête.

Il entendit alors Sirlabeck:

Citation:

... À ce moment même ils doivent être entrain de pénétrer dans la ville!

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--Carl_le_barbare

Mic..

Luca_blight

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Mic..

Je ne pense pas être incohérent.La deuxième attaque nous sera très certainement fatale
A plus

--Les_barbares

pas de repli prévu, merci de changer ce post. pour les autres, merci de ne pas en prendre compte, les barbares continue l'attaque, je laisse du temps à chacun de poster avant de continuer à vous combattre. Et courage, les amienois triompheront de leurs ennemis, les villageois, mais pas la ville .....

Christine988

Cris restait en position et regardait sa provision de flèches qui baissait mais elle avait toujours son épée s'il advenait une bataille corps à corps.

Courage Amienois, nous sommes plus intelligents que ces brutes barbares...
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Arthur12

[Pendant que les Amiennois se regroupait]

Arthur avait ete prevenu par un envoyé du lieutenant Labreck qu'Amiens etait attaqué , pas Question de les laisser seul , il sella immédiatement son cheval et galoppa jusqu'au couché du soleil jusqu'a Amiens .

[Une fois a Amiens]

Il entendit des hurlements qui venait de derriere lui.Il se retourna et vit une horde de barbare assoifé de sang courir dans sa direction , il degaina son epee et lança son cheval au galop pour rentrer dans la ville.Il fut surpris lorsque que les Lynx decocherent plusieurs salves de fleches en sa direction , dailleurs une fleche le manqua de peu . Arthur voulant rejoindre l'enceinte de ville au plus vite et il ne remarqua meme pas qu'un barbare a cheval le rattrapait et n'etait plus qu'a une dizaine de metres de lui , il enfila son casque et fonça sur le barbare tete baissée , le barbare voulu lui mettre un coup d'epee , mais il le parra avec son bouclier puis lui trancha la poitrine d'un magnifique coup d'epee.
Bon assez perdu de temps se dit Arthur , il faut rentrer a l'abri.

Apres quelques minutes au galop arthur rejoignit l'enceinte de la ville . Il confia son cheval a un page qui trainait dans les ruelles et rejoint le lieutenant Labreck pour se mettre sous ses ordres

Bonjour Lieutenant , je suis venu vous donnez un coup de main !

Vu le visage que faisait certain amiennois arthur se dit qu'il devait avoir le visage plein de sang a cause de ce maudit barbare

Escusez moi de ma tenu , mais j'ai ete obliger de tuer un barbare qui me menaçait...Je suis a vos ordres , que dois je faire?

Sirlabreck

Quant à la cohérence, ma marionnette principale n'est pas au courant de la tenaille, ce sont les guetteurs qui avertissent la sergente Luna, faut faire gaffe avec moi ;P Ha aussi, j'éviterais de donner des nombres, après tout le monde va s'obstiner entre, que c'est pas vrai ing et côté réalisme, etc. etc.

En plus que la ligne de front commençaient à faiblir beaucoup trop, malgré que ceux avec des épées et des haches faisaient un travail formidable pour la garder à flo, les barbares ne semblaient pas s'épuiser, ni avoir tout livré ce qu'ils avaient. Ça l'aurait été trop facile tout de même.

Lorsqu'il vit la cavalerie ennemis s'ébranler, cavalerie qu'il n'avait pas connaissance de son existence, le lieutenant ce maudit. Il aurait du en prendre compte. Le mouvement était logique, les archers étaient ce qui permettait aux Amiénois de ne pas ce faire massacrer, pas encore...

En pointant la place d'où sortait la cavalerie du boisée, il cria de nouveaux ordres.

Lynx! Priorité sur les cavaliers, visez les cavaliers, pas les chevaux! Que ceux qui ont des pieux les interceptent, ont ne peut pas les permettre de nous rentrer dedans.

Le fait que les lanciers étaient tous occupés dérangeait énormément, il en avait besoin à la ligne de front, mais sur les flancs aussi. Les épéistes seraient inutile face à la cavalerie qui les écraseraient. Heureusement c'était une cavalerie plutôt légère, témoignant de la mobilité que le groupe de barbare souhaitaient apparemment conserver. Labreck s'aperçut que de plus en plus d'ennemis se concentraient sur le morceau de la ligne de front où il se trouvait. Le chef de ces brutes avait visiblement décidé de décapiter l'Ost Amiénois. Il recula de quelques pas et décocha une flèche vers un des cavaliers, c'était le plus urgent.

Il fut surpris de voir arriver un soldat, à l'uniforme de Bertincourt, il fut très surpris de le voir arriver sitôt, peut-être que les renforts étaient très proche?

Bonjour Lieutenant , je suis venu vous donnez un coup de main !

Escusez moi de ma tenu , mais j'ai ete obliger de tuer un barbare qui me menaçait...Je suis a vos ordres , que dois je faire?

Se maudissant intérieurement, c'était un autre épéiste, mais il était rompu aux manœuvres militaire.

Bienvenu soldat, heureux de pouvoir compter sur du renfort. Est-ce que vous êtes un éclaireur du reste des forces de Bertincourt, où le seul renfort consenti? La meilleur place que je peux vous utiliser est la ligne de front, elle n'est pas loin de céder, tenter de garder votre tête sur les épaules.

Il lui pointa la section qui subissaient le plus de dégât sous les assauts des barbares.
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Lissandre_di_chimina

Lissandre se sentait de plus en plus petite et inutile devant la bataille.
Des cris, du sang... Comment se préparer à tant de violence ?
Elle restait proche des autres femmes, au centre d'une bataille sans merci. Des maisons étaient déjà en flammes, la sienne, au loin, en faisait aussi partie... Un larme coula le long de sa joue qu'elle effaça rapidement pour ne pas se laisser distraire.
Empoignant fermement son pieux, toujours aux aguets, Lissandre plissa les yeux pour mieux détailler se qu'il se passait autour d'elle.
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Leducg

[A Péronne]

Ayant été prévenu de l'attaque d'Amiens, les cavaliers Péronnais ce rassemblaient dans la cour s'étant équipé le plus rapidement d'une côte de maille légère de leur bouclier et de leur armes.
Bien qu'étant présent, le Sénéchal laissa le Lieutenant Demalay donné ses directives à ses hommes. Une fois qu'ils furent tous rassemblé et prêt pour le départ, le Lieutenant donna l'ordre de marche. Les cavaliers partir donc au galop car la route est plus tôt longue et la moindre seconde peu être cruciale pour les Amiénois .
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Guillemot

Guillemot arrive à cheval très vite dégainant son épée et prêt à parer les barbares qui veulent Amiens!

Guillemot reprend un regard très noir envers les barbares et dit alors:

-Vous n'aurez pas Amiens! je combattrai même si aujourd'hui c'est le dernier jour pour cette ville.

Guillemot est très prudent en se mettant derriere son bouclier à cheval.

Merlin2b

merlin2b avait quitté le secteur sud du village d'Amiens pour rejoindre la ligne de front ... sa hache à la main droite et ses vêtements rouge de sang on pouvait distinguer sur lui et autour de son cou un collier d'oreilles.....une taxe que merlin2b prélevait sur toutes les têtes coupées de ces maudits barbares.

Lunadeltounette

La Sergente avait troqué l’arc contre sa lame. « Boena noche » vibrait tout comme elle de l’ardeur du combat. Des barbares avaient pénétrer leur défense et du coup le corps à corps devenait obligatoire. Luna avait déjà transpercé les cœurs de plusieurs ennemis. La sueur perlait déjà sur son front, elle haletait les narines frémissantes, un sourire carnassier sur les lèvres, des gouttes de sang parsemaient son visage, ses habits et coulaient le long de sa lame.
Elle en était là espérant sa prochaine victime quand elle aperçut deux soldats courir vers elle et lui annoncer qu’un assaut remontait par le nord.

Bien reste avec moi je vais voir le lieutenant pour lui annoncer la nouvelle.

Elle se dirigea en courant vers Labreck pour lui faire un compte rendu. Elle salua du chef Arthur

Arthur !
Lieutenant ! Des barbares sont entrés dans la ville par le nord, ils veulent nous prendre en tenaille. Je demande la permission de prendre des hommes pour les repousser.
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Sergent de l'Ost , ne te fie pas à l'eau qui dort

Sirlabreck

Labreck vit déboulé sa subordonnée devant lui lui annonçant que l'ennemi les prenaient en tenailles, manœuvre intelligente des barbares. Il réfléchit rapidement, même en continuant de décocher une seconde flèches vers les cavaliers. Ces derniers, affaiblit, rencontrèrent les pieux de fortunes des Amiénois, quelques-uns survécurent, mais ayant perdu le nombre et la vitesse ils ne feraient plus autant de dégât. Ayant décidé de la tactique à prendre, il remit son attention sur la sergente, véritable amazone dans ce combat.

Oui, attendez quelques secondes cependant. Archers, regroupez-vous. Épéistes, formez une ligne défensive devant les archers. Lynx, encochez une flèches, à mon signal, couvrez les lanciers.

Ces mouvements affaiblissaient non loin du point de rupture la ligne de front, mais c'était une nécessité. Où était Luca d'ailleurs, et Wilfom?

Lancier, retraite vers la mairie, sergente Luna, prenez les en charge. Archer, feu! Ceux avec des pieux achevez les cavaliers. Sergente, prenez la moitié des archers et arrêtez les fantassins sur la place de la mairie.

Il recula en faisant signe à Luna de faire de même, la ligne reculant soudainement d'une quinzaine de pas, les barbares allaient les submerger en quelques secondes. Les flèches sifflaient autour de lui et les pertes des barbares étaient de plus en plus élevé, mais les villageois mouraient pratiquement aussi vite maintenant. Revenu en arrière de la nouvelle ligne composé des épéiste, il souffla un instant, en espérant qu'ils seraient assez à la mairie pour empêcher les barbares de les prendre en tenaille.

Le lieutenant aperçut son laquet, Jean, il était temps de voir ce que valait l'entrainement auquel l'avait soumis l'officier pour charger une arbalète.

Jean, espèce de lâche, viens ici! Tu as les deux arbalètes? Bien, donne moi en une et tiens l'autre prête.

Le lieutenant rangea son arc long en bandoulière et prit l'arbalète, plus adapté au tir à bout portant et la soupesa avant de viser.
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--Wilfom

Le soldat suivait sire Luca, qui courait vers le centre du village, qu'est-ce qu'il tentait de faire? Il comprit alors que ce dernier devait avoir appris que des barbares les avaient contournés. Wilfom redoubla d'effort pour le rattraper et l'aider, vu que vraisemblablement il serait tout seul contre une foule de gens.

Luca_blight

Luca ouvrir les yeux... Wilfom était à côté de lui... Prêt à l'accompagner dans le village.
Il lui fit un signe de tête, et, avec sa main, montrait trois doigts, puis décomptait... Deux doigts... Un doigt... Zéro doigt...
GO, dit-il, il ouvrit la porte d'une traite, et laissait passer Wilfom, pour le suivre juste après.
Ils entraient dans le village, et vit quelques barbares.

Mince... Soyons prudents...
Il montrait du doigt une petite ruelle. Il connaissait bien la ville, en tant qu'habitant.
Viens, par là, nous serons plus discrets!

Il couru alors vers la ruelle sombre, et fit signe à Wilfom de l'accompagner. Il voulu secourir Paullie, la mettre en sécurité.

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* Amoureux de la belle Paullie.
* Fillot de l'adorable Olympe.
* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".

Neoexplorateur

Des clameurs fusaient de partout... La pénombre rendait tout encore plus lugubre...
Neo essayait du mieux qu'elle pouvait de garder les femmes en un groupe compact.
Il fallait aussi soulager les blessés... protéger leurs arrières... suivre les ordres afin de ne pas gaffer...
Elle ne savait pas trop où donner de la tête... et se mit à respirer profondément, pour retrouver son calme...

Elle entendit Luna... ce qui était loin de la rassurer!

Citation:

Des barbares sont entrés dans la ville par le nord, ils veulent nous prendre en tenaille

Elle regardait autour d'elle... Tous les bien portant s'étaient mobilisés...
Manquaient atrocement les disparus... ceux qui n'avaient pu contrer l'épidémie.
Plusieurs, encore malades, devaient trembler dans leurs chaumières... Il aurait fallu les regrouper, pour les protéger...
Mais tous craignaient l'épidémie presqu'autant que les Barbares...
Qu'avaient-ils donc fait pour attirer autant les foudres divines ??

Les ordres de SirLabreck claquaient... des mouvements se préparaient... pas de replis possible vers la ville.
Neo se mit en devoir de s'occuper des blessés avec son petit groupe,
utilisant des moyens de fortune pour leur venir en aide.

Restez regroupées... mais essayer de traîner les blessés près des bosquets, là-bas...
Nous serons une peu moins à découvert... Faites le plus vite possible... Certains sont salement amochés
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Lunadeltounette

Oui, attendez quelques secondes cependant

Le lieutenant donna des ordres puis se retourna à nouveau vers l'amazone.

sergente Luna, prenez les en charge..., prenez la moitié des archers et arrêtez les fantassins sur la place de la mairie.

A vos ordres. Mais lieutenant, faite attention a vous les assaillants ne seront pas long à comprendre qui donne les ordres et monte la stratégie de défense. Si j'étais eux vous serez mon objectif principal , l'homme a abattre !

Luna marqua un temps de pause et le regarda de ces prunelles noires qui luisaient sous l'excitation du combat.

Je vous connais depuis deux ans et demi, nous avons faire l'académie ensemble, vous n'avez ni le droit de mourir, ni le droit d'être blessé. Compris !
J'aimerais que vous aillez un garde personnel qui couvre vos arrières.

Luna savait que ce paroles ne trouveraient aucune résonance . Mais il fallait bien essayer !
Elle haussa les épaules, l'empoigna brutalement par ses habits et l'embrassa tout aussi brutalement sur les lèvres.

Juste pour vous portez chance.

Lieutenant !

Luna fit un salut militaire et ordonna aux archers et fantassins de la suivre.

Les civils suivez moi on se repli vers la mairie

Quand elle arriva aux portes elle les trouva ouverte. Elle ne pris pas le temps de chercher le pourquoi du comment et se dirigea d'un pas pressé vers le nord de la ville.
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Sergent de l'Ost , ne te fie pas à l'eau qui dort

--Carl_le_barbare

Carl, le barbare, avait réussit à s'infiltrer dans le village avec le reste du groupe.
Il fit de petits signes à ses hommes pour qu'ils restent organiser. Quand un barbare, petit, sale et délabré vint le trouver:
Carl, j'ai trouvé votre homme. Il vient d'infiltrer la ville, avec un autre. Ils sont deux, je ne sais pas ce qu'ils cherchent!

Carl répondit alors:
Mon homme, quel homme?

Le petit barbare lui répondit:
Je ne connais pas son prénom. Le blond, qui est celui qui guide les citoyens, pas celui de l'Ost, l'autre!

Carl reprend:
E-x-c-e-l-l-e-n-t, le pantin blond!
Il dégaine son épée, et lui dit: Guide moi à lui.

Il suivait alors son homme, tranquillement sur son cheval, massacrant les pauvres citoyens qui tentaient de fuir en courant, d'un coup d'épée. En en ratant quelques uns.

Il est là, Carl!

Bien, répondit Carl le barbare. Je m'en occupe.

Luca_blight

Luca vit un barbare, assez impressionnant, sur son cheval, accompagné de plusieurs hommes. Deux hommes portant des épées, deux portant des arcs, et trois portant des haches.
Il criait alors du plus fort qu'il pu:

WILFOM, COUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUURS !!!!!!!!!!!!!!!

Luca vit Carl, le barbare, dont il ignorait bien entendu le nom, donner l'ordre à ses fantassins, épées et haches, de poursuivre Wilfom.
Il vit alors Carl faire signe aux archers de tirer sur lui-même.

Ni une, ni deux, Luca cavalait alors vers le fond de la ruelle, cherchant un moyen, coûte que coûte, de rejoindre Paullie, épée en main, voyant les archers qui courraient après lui.

Luca était bloqué, cul de sac. Les deux archers, derrière lui, bandaient leurs arcs.
Luca pris s'approcha d'eux en courant, donnant un grand coup d'épée droit dans le coeur du premier, la retirant du plus vite qu'il pu, et trancha la tête du deuxième, qui était prêt à lâcher une flèche. Il s'écroulait aussitôt.
A la grande surprise de Luca, un troisième fut adossé à un petit mur. Mais la ruelle est tellement sombre, qu'il ne pu que l'apercevoir trop tard.
L'archer lui tira une flèche en plein sur sa poitrine droite, qui fini sa course en transperçant son dos.

Luca se tordait de douleur, une douleur indescriptible, qu'il n'avait jamais connue de sa vie.
Beaucoup de choses lui repassait en tête en un court instant.
Sa naissance, à Sémur... Son père, sa mère, sa soeur... Son déménagement à Espalion... Son adolescence... Ses 400 coups... Son arrivée à Amiens... Ses rencontres... Neo... Stamat... Justinien... Sa marraine, qu'il aimait plus que tout... Paullie... Son amour pour elle... Ses erreurs vis à vis d'elle... Son baptême... Bertincourt... Ses rencontres là bas... Son enfant, que Paullie attendait de lui... Ses amis, ses rencontres... Tout ceci en un seul instant, en un seul flash dans sa tête...
De rage, il reprit le dessus sur son corps, fonça vers l'archer, et le décapitait aussitôt... D'un coup d'épée.
Mais son corps se vidant de toute force possible...

Il s'adossa alors au mur, dans cette ruelle sombre... Mettant son bras autour de sa poitrine, se tordant de douleur, sa chemise commençant à prendre la couleur de son sang.
Et personne pour l'aider... Il pensait à Wilfom, espérant qu'il s'en soit sorti, sain et sauf, mieux que Luca...
Luca était perdu dans cette ruelle, sombre, n'ayant pas la force de bouger de là... Il posa ses fesses au sol en se laissant tomber, tentant de survivre... épuisé... blessé...

Il devait se relever, il le sait... Il ne pouvait laisser Paullie là... Mais, ce fut plus fort que lui, il ne pu, le mal atroce qu'il subissait était plus fort que lui...

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* Amoureux de la belle Paullie.
* Fillot de l'adorable Olympe.
* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".

--Wilfom

Wilfom suivait Luca et écouta son ordre, l'homme semblait connaître quelques rudiments aux tactiques. Il pénétra dans la ville et le suivit dans la ruelle. Il fut tout aussi étonné que le commandant à ses côtés de trouver 7 hommes faces à eux, ils ne pouvaient pas les affronter. Il écouta sans broncher l'ordre que lui donna Luca et passa rapidement entre les barbares, qui ne s'attendrait pas à une telle audace.

Il courut sur quelques dizaines de pas avant d'enfoncer brutalement une porte avec son épaule gauche. Il laissa échapper un grognement plaintif. Wilfom entendait les pas de 5 fantassins derrières lui. Pénétrant la maison, sans se préoccuper si elle était vide, il se cacha sur le côté de la porte. Le sang battait dans ses tempes. Il aperçut le pied d'un ennemi et balança son épée vers où devrait se trouver son cou. Une plainte sourde se fit entendre, l'archer retira son épée, il n'avait pas décapité la brute, mais presque. Il entendit quelqu'un crier que Nick était mort. Wilfom ria intérieurement, Nick quasi-sans-tête, ça avait quelque chose de familier.

L'autre épéiste rentra à son tour et se fit recevoir par un coup dans les jambes puis fut achever, transpercer dans la poitrine par l'épée. Le membre des forces armés n'avait d'autres choix que de se tenir devant le cadre de porte, les autres ne seraient probablement pas assez bête pour charger. Il commença à férailler avec un qui maniait sa hache, il cherchait à le battre en force brute et Wilfom n'avait pas la place pour bouger et feinter. Il fut surpris de voir 3 flèches surgirent de pratiquement nulle part. L'une transperça le cou d'un barbare, les deux autres allèrent se loger respectivement dans l'arrière du crâne et au niveau des intestins. Le moment de distraction lui fut presque fatale et une hache lui fit une entaille sur la joue, tout de même profonde. Le soldat rappliqua par réflexe et embrocha un nouveau malheureux. Il souffla. L'archer vit trois de ses camarades se précipiter vers lui, des guetteurs d'ailleurs dans la ville, quelle veine.

Cependant il aperçut le sieur Luca, blessé, il était peut-être à 30 pas de lui. Il le pointa aux archers, mais réagit plus rapidement, ayant aussi discerner la menace. Il prit une hache à une main d'un barbare et la balança vers l'ennemi, pour l'atteindre dans l'épaule. Il fallait faire vite!

Maldine

Maldine qui passait par là, passait au mauvais moment !
Elle avait à tout moment peur que quelque chose se passe dans ce village
bon moi je rentre à Calais

Elle repars en faisant des déhancher

Guillemot

A pleine vitesse avec son cheval, Guillemot frappe avec son épée tous les barbares qu'il rencontre, et essayent de voir à travers le village s'il n y a pas des barbares qui se sont infiltrés.
Guillemot reste sur ses gardes toujours cacher derriere son bouclier!

Guillemot

Guillemot toujours en pleine vitesse à cheval vois des barbares qui se sont infiltrés à l'intérieur du village et tue une dizaine de barbares qui dormaient encore en passant très vite à cheval en agitant son épée puis il crie alors:

-CA C'EST POUR AMIENS

CA C'EST POUR MES AMIS

CA C'EST POUR MON AMI LUCA BLIGHT

Lissandre_di_chimina

Jamais Lissandre n'avait autant remercié le ciel de lui avoir permis de faire des études de médecine. Elle avait pourtant souvent eu l'impression que cela ne lui était pas utile tant la vie à Amiens était calme... Jusqu'à ce malheureux jour.
Elle c'était portée volontaire pour s'occuper des blessés, c'était son rôle, elle qui avait fini ses études depuis bien longtemps. Elle courrait d'un blessé à un autre, discrètement, pour ne pas qu'un barbare ne la repaire, et donnant des directives aux femmes pour qu'elles prennent le relais et les fasses transporter à la mairie.
Lissandre ne savais plus où donner de la tête, il y avait des hommes partout, des blessés à n'en plus finir, des barbares...
Ses oreilles sifflaient tant les cris étaient constant...Elle s'adossa un instant à un arbre pour reprendre des forces et c'est là qu'elle aperçu la scène. Cet énorme barbare à cheval s'attaquant à Luca...

WILFOM, COUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUURS !!!!!!!!!!!!!!!

Lissandre retint son souffle et les vit courir vers une ruelle... Elle attendit d'interminable minutes... Espérant voir Luca et Wilfom revenir victorieux de cette attaque mais il ne se passait rien... Une boule se forma dans sa gorge. Aucun son ne pouvait en sortir, elle devait pourtant aller les aiders... Trouver quelqu'un pour l'accompagner, Les deux hommes avaient peut être besoin de soins... Elle secoua la tête vigoureusement et retrouva brusquement la voix :

S'il vous plaît... quelqu'un !... Il faut aller aider Luca et Wilfom dans cette ruelle !
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Guillemot

Guillemot entendit une voix, il accoure sur son cheval en pleine vitesse et vit Lissandre adosser contre l'arbre et lui demande:

-QUOI? Luca et Wilfom ont des problèmes!

Guillemot s'agenouille pour parler à la même hauteur à Lissandre

Guillemot

Guillemot entend des bruits et remonte sur son cheval pour aller voir en vitesse ce qui s'y passe laissant derriere lui Lissandre dormir en dessous de l'arbre...

Guillemot arrive sur le champ de bataille et vit 5 barbares tués des femmes et des enfants et foncent vers eux pour les tuer...

Après avoir tué les 5 barbares, Guillemot retourne auprès de Lissandre pour la protéger au cas ou qu'elle se fasse tuer pendant qu'elle est évanoui...

--Les_barbares

L'attaque faisant rage, les villageois se battaient bien les bougres, et les barbares, malgré leur tactique, se faisait massacrer.

Les deux groupes se rejoignirent enfin. Après avoir regardé de chaque coté, les barbares commencèrent leur pillages courant après les femmes, étripant les hommes aux passages.

Les lumières d'un chateau brillait au loin et l'enclume cria en courant.

" - Avec Mouuaaaaaaa, y'a les garrrces de planqué la bas!!!!!! elles n'attendent que nous les grrrreluches.

Abattant sa haches sur le crane d'un villageois, l'enclume et un petit groupe partit en direction du chateau.

Pendant ce temps, un autre groupe de barbares entra dans l'église et commencèrent à piller l'autel, abattant d'un coup de hache le pauvre bedeau qui tentait de défendre des biens de l'église.
Une fois le butin trouvé, les barbares mirent le feu à l'église, et continuèrent leur pillage.

deux autres groupes se battaient contre les soldats et les femmes aux pieux, mais ceux ci n'étaient pas de taille face aux soldats entrainée de l'artois.
Les barbares savaient que le temps leur étaient compté. Ils devaient faire vite avant que le reste de l'armée n'arrive.[/b]

Luca_blight

Luca, qui était en train de tomber dans un état d'inconscience, seul dans sa ruelle, sans force, entendit crier:

"Avec Mouuaaaaaaa, y'a les garrrces de planqué la bas!!!!!! elles n'attendent que nous les grrrreluches."

Il eu la rage face à de telles atrocités. Luca était très protecteur face aux femmes, et le fait qu'il entende qu'elles sont en danger, que les barbares veulent leur faire du mal... Il ne pu le supporter.
Tant pis pour la douleur. Tant pis pour la flèche qui sortait de deux côtés de son corps. Il se releva, tant bien que mal, en vacillant. Il couru vers l'église du village, qui était déjà en feu.
Il les regardait en train de tout piller, il prit son épée qu'il tenait que d'une seule main. Il continuait de se tenir la blessure de l'autre, et crie aux barbares:

Hey!!!!!
Je suis là!!!! Venez me chercher!!!! C'est de la chaire que voulez, non?? C'est me tuer??
ALORS AMENEZ-VOUS !!!!!!!
JE SUIS LA!!!! QU'ATTENDEZ-VOUS???

Sa tête flottait sur son corps. Luca était blanc, se vidant de son sang. Mais il espérait qu'en attirant leur attention sur eux, ils fonceraient vers Luca, laissant ainsi le temps aux villageois de fuir.

Il leva son épée, et les regardait, voulant détourner leur attention, en les provoquant du regard.

Pas assez de cran bande de laids barbares? Vous êtes des femmes vous savez. Vous n'avez aucun courage, vous croyez être des hommes?
Il reprit son souffle, de plus en plus faible, vacillant.
Vous n'êtes que des lopettes, dit-il en riant faiblement, DES LOQUES!!!
Allez... Amenez-vous bande d'idiots de premier choix... Je suis là...

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* Amoureux de la belle Paullie.
* Fillot de l'adorable Olympe.
* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".

Olympe

Olympe parti de suite près de luca et le protégea de son bouclier. Elle regarda ses blessure très vite et lui arracha sans demander son avis a son fillot, fallait faire vite. Elle sorti de sa besace une écharpe et lui enceins le torse pour stopper le sang qui coulait. Puis regarde wil et le soigna au plus vite aussi. Ses gestes étaient rapides et machinales, ses notions devait servir au plus de gens possible.

luca luca je suis là!! t'inquiète pas hein, le premier qui s'approche je lui tranche la tête!!!

elle lui baisa le front et lui transmis toute l'énergie qu'elle pouvait lui donner

luca je reste près de toi on va les attirer vers la place la bas et des ruelles étroites on pourra les ralentir

allez venez!!!
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Luca_blight

Luca laissait faire sa marraine, soulagé de ne plus être seul.
Il commençait à perdre conscience, sa tête se laissait aller. Ses yeux aussi.
Il tentait cependant de les garder ouverts pour ne pas qu'on fasse du mal à sa marraine pendant qu'elle est occupée à le soigner.

Citation:

luca je reste près de toi on va les attirer vers la place la bas et des ruelles étroites on pourra les ralentir

Luca lui fit un signe mou de la tête, pour lui dire qu'il avait compris. Il ne bougeait pas, n'ayant pas la force.
Il attendit que sa marraine ait terminé les soins.

Guillemot

Guillemot toujours à cheval depuis des heures durant passe devant Luca et Olympe et s'attaque aux barbares qui terrorise les femmes et se jettent dans la bataille en utilisant toute la force qu'il détient pour tuer le plus de barbares possible...

--Carl_le_barbare

Carl vit Guillemot, à cheval... Comment pouvait-il tuer autant de barbares sans se faire pincer...
Guillemot avait l'air d'être un gros morceau.
Carl soupira... Encore un pantin, cette fois, il est à cheval...
Il se mit avec son cheval, à poursuivre Guillemot, dégainant son épée.

Son cheval était en train de rattraper Guillemot.
Il sourit en coin, ayant hâte de rattraper ce pantin barbu pour lui trancher la gorge...

Olympe

Luca était épuisé il fallait le mettre à l'abri au plus vite. Olympe lui passa un bras autour pour l'aider a avancer? ses armes et son poids était lourd pour elle mais l'envie de vivre était plus fort que tout.

allez lulu encore quelques pas je t'en supplie ils arrivent sur nous

la peur au ventre elle accéléra le pas et le déposa sous un porche et se re tourna suivi de Wil. Elle remis son bouclier en protection et donna des coups d'épée dans tout ceux qui s'approchait d'eux, aidé par quelques personnes dans la ruelle.
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Guillemot

Guillemot tombe brusquement de cheval après avoir recu le coup...
et dit en agonisant de douleur:

-Mince! j'ai du mal à respirer! vite mes feuilles de menthes!

Guillemot se met tout de suite à écraser la menthe pour en faire une pâte à menthe et l'étale a sa grosse blessure à la gorge...

La douleur est telle pour Guillemot que la menthe a du mal a faire partir la douleur et à calmer l'hémoragie...

Guillemot prend son arc avec une fléche bien aiguisé et essaye de cibler Carl qui s'éloigne de plus en plus et voit trouble, il lance une fléche sur la patte du cheval de Carl sans le faire exprès et vit tomber le cheval et Carl...
Voyant que Carl est toujours vivant il monte difficilement sur son cheval et s'évanoui dessus et a commandé à son cheval d'aller dans un endoit discret ou il pourrait se soigner petit à petit...

Guillemot disparait avec son cheval du champ de bataille...

Luca_blight

Citation:

allez lulu encore quelques pas je t'en supplie ils arrivent sur nous

Luca la regardait, et tentait de marcher jusque dans la ruelle.
Il prit sur lui, et tentait d'oublier la douleur pour rattraper un peu de force, pour espérer arriver à destination.

Arrivés dans cette ruelle, Luca regardait à plusieurs reprises aux alentours, voir si un barbare n'était pas présent.
Il s'était fait avoir une fois, mais pas deux.
Il tentait de rester debout. Le combat n'était pas encore terminé, et il ne voulait pas abandonner maintenant.
Il se servait de son épée pour ne pas s'écrouler, comme une canne.

M... Merci marraine...

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* Amoureux de la belle Paullie.
* Fillot de l'adorable Olympe.
* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".

Sirlabreck

Labreck prit un sourire narquois en écoutant les paroles de la sergente.

A vos ordres. Mais lieutenant, faite attention a vous les assaillants ne seront pas long à comprendre qui donne les ordres et monte la stratégie de défense. Si j'étais eux vous serez mon objectif principal , l'homme a abattre !

L'homme à abattre, quelle drôle d'idée, mais elle avait raison et ce sur toute la ligne. C'était un principe élémentaire dans une bataille, couper la tête et le reste s'écroulera. Surtout avec Luca entrain de courir on ne sait où. Il soutint son regard.

Si je suis incapable de commander, ce sera à toi de prendre en charge les hommes.

Je vous connais depuis deux ans et demi, nous avons faire l'académie ensemble, vous n'avez ni le droit de mourir, ni le droit d'être blessé. Compris !
J'aimerais que vous aillez un garde personnel qui couvre vos arrières.

Il haussa un sourcil, espérait-elle qu'il devienne soudainement raisonnable. Si le lieutenant avait souhaité commander à distance et en sécurité et il aurait pu. Mais il devait montrer l'exemple. Lorsque Luna haussa les épaules il pensait qu'elle allait partir et exécuter les ordres, il fut plutôt surpris de se retrouver coller à elle, entrain de l'embrasser. Il ne résista pas. Cette femme portait bien son surnom d'amazone.

Juste pour vous portez chance.

Labreck murmura; «Peut-être que c'est une bonne motivation pour rester en vie.»

Lieutenant !

Sergente!

Finalement, le sous-officier parti appliquer les ordres. Prenant l'arbalète que lui tendais Jean, rechargé celle-ci, il décocha un autre carreau vers un ennemi qui insistait un peu trop pour l'atteindre. Il plaqua son arme dans les bras de Jean, occupé à chargé l'arbalète qu'il tenait lui même, et dégaina son épée, parant à la dernière seconde une hache élancé vers son crâne. Se précipitant à sa gauche, il roula et asséna un coup au flanc du barbare. Ce dernier se tordit de douleur et tomba au sol. Il aurait peut être besoin d'un garde du corps, mais un des hommes en qui il avait le plus confiance surveillait déjà Luca.

Reculons pas à pas, il faut retourner dans le village. Restez face à vos ennemis et conserver les alignements!

Il allia le geste à la parole. Rengainant son épée, il ramassa un marteau solide et bien lourd, il n'était pas un épéiste et cette arme serait bien plus utile pour lui. Ça sentait la fumé...
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Luca_blight

Luca essayait de parler à sa marraine... il eu dur de trouver ses mots... Dur de parler normalement...

M..m.. Marraine.. Paullie... Elle est... à la maison... J.. je dois aller... La retrouver pour .. Il reprit son souffle... Pour la sortir de là...

[hrp: Amiens n'est plus... Je propose de continuer ce rp magnifique, en prenant en compte que le moment actuel du rp se déroule juste avant la fin d'Amiens IG... Qu'en pensez-vous?]

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* Amoureux de la belle Paullie.
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* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".

Olympe

un dernier coup d'épée à un assaillant, olympe donnait sans savoir trop ce qu'elle faisait tout été machinal et désordonné parfois. Du sang sur elle coulait...le sien celui des autres, elle s'en rendait même pas compte, il fallait protéger, ralentir, laisser le temps aux gens de s'échapper de la ville à feu et à sang.

oui luca on y va!!!

recule et laisse les autres prendre le relai, chope vite luca qui se tenait le flanc et l'aida à remonter la ruelle.

plus que deux rues luca!! plus que deux rues on va la sauver je te jure!!!

les minutes interminables, mais la porte de la maison se faisait enfin voir à quelques pas. Olympe était épuisée, sur les nerfs, des douleurs inconnues commençaient à se faire sentir.

Luca vas y...je reste en bas je protège l'accès vite va la chercher!!!
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Maldine

Maldine était toute perdue de voir tout ce qu'il se passait
Elle tremblait elle ne savais plut que faire

Luca_blight

Citation:

Luca vas y...je reste en bas je protège l'accès vite va la chercher!!!

Luca lui fit un petit signe de tête, il marchait tant bien que mal en vacillant, dans sa maison, qui était déjà en feu.
Il devait faire vite. Les piliers s'écroulaient, l'air était irrespirable. Il plaça sa bouche et son nez dans sa main, tentant de respirer comme il peut.
Paullie...... Il espérait qu'elle était toujours en vie, et en sécurité.

Il se mit à crier, en cherchant dans toutes les pièces:

Paullie?????

Il défonça alors une de ses portes:

Paullie?!?!

Pas là... Il monte alors les escaliers étroits. Sa maison était grande, rue des chaudronniers. Et les conditions n'étaient pas des plus agréables.

Il défonça la porte de sa chambre,
Paullie?????
Il la vit, là, autour des flammes qui n'avaient pas encore pris le dessus sur sa maison.

Paullie!!!!!!!!!!!!
Il couru, épuisé, muscles flasques, vers elle.
Il l'embrassa brutalement, heureux qu'elle soit saine et sauve,
Viens, il faut vite partir d'ici!!! Il la prit par la main, il oubliait peut-être d'être doux en la prenant, mais c'était une question d'urgence. La maison était en feu.
Il couru avec Paullie, tentant de partir vite de la maison. En esquivant le feu et les décombres qui tombent.
Ils réussirent à quitter la maison, sain et sauf.

Luca était de plus en plus épuisé, mais tentait de rester conscient.
Il regardait sa marraine, et lui dit:
Nous ne pouvons pas partir... Il reprit un peu son souffle.
Il faut continuer le combat... Allons-y... Tuons toutes ces saloperies de barbares, allons aider les autres... Protégeons-nous mutuellement...

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* Amoureux de la belle Paullie.
* Fillot de l'adorable Olympe.
* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".

--Carl_le_barbare

Carl était touché par Gui. Il tomba de son cheval, mais se releva. Il regardait au loin Guillemot qui fuyait comme un lâche...

Hmm... Saleté de pantin articulé, saleté de barbu.
Tu ne perds rien pour attendre...

Il remonta sur son cheval, dégainant son épée.
Il fit signe à son cheval de courir vers le centre d'Amiens.

En chemin, il vit Maldine...
Hmm bonjour chère madame...
Puis-je vous aider? Vous êtes perdue? Voulez-vous que je vous raccompagne?

Il était évident qu'il voulait du mal de Maldine, et sourit en coin. Avec un regard percent.

Hmm pardonnez moi, je suis Carl. Citoyens de cette hmm... Il regardait sur le côté, puis la fixait... De cette magnifique ville d'Amiens... Qui part en fumée...
C'est triste... N'est-il pas?
Allez, montez sur mon cheval, je vous raccompagne...

Lissandre_di_chimina

Lissandre avait perdu conscience près de l'arbre et à son reveil il était évident que les choses avaient évolués. Elle ne pouvait pas rester là sans rien faire !!
La plupart des maisons étaient en feu à présent, Amiens ne serait plus qu'un malheureux tas de cendres après cette bataille...
Lissandre se mis à courir dans les ruelles, Se cachant avant d'en franchir une afin d'éviter tout ennemis.
Encore des cris... Au loin elle aperçu Dame Olympe devant une battisse en feu et vit Luca en sortir accompagné de sa compagne Paullie. Lissandre courut vers eux et découvrit avec horreur les blessures de l'homme qui était déjà près à repartir dans la bataille.

Attendez Lucas, laissez moi au moins m'occuper de votre blessure !! Je peux vous donner les premiers soins, cette flèches n'a pas atteint les points vitaux heureusement, mais vous perdez beaucoup de sang. Un bandage efficace vous aidera à poursuivre le combat sans trop souffrir ni risquer de vous faire perdre conscience.

Lissandre questionna du regard Olympe et Paullie afin d'avoir leur accord puis elle se mis rapidement à la tache, déchirant un morceau de sa houppelande afin d'en faire un bandage assez long.
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Sirlabreck

Reculant toujours, et les Lynx décochant des volées méthodiques, ils avaient enfin achevé la première vague. Bien sûr le lieutenant ignorait que c'était une simple diversion. Des cadavres gisaient pelle même devant eux, corps ensanglanté, percé de flèches, décapité, transpercer. Autant de brave Amiénois que de barbare avait périt dans cette défense. Mais ce n'était pas le temps de s'apitoyer, de soupirer et de pleurer les morts. C'était le temps de vendre chèrement Amiens, faire regretter à ces brutes d'avoir oser les attaqués.

Labreck se retourna pour voir le désastre, la ville était en feu. Dans moins d'une heure tous les bâtiments important seraient la proie des flammes. Le bon point cependant, la nuit n'avait plus trop d'effet sur leur capacité de combat. Ils pouvaient voir adéquatement, et aucune armée ne pouvait manquer de voir le village d'Amiens de loin.

En ordre Amiénois, les barbares pillent nos maisons, violent nos femmes et massacres nos amis. Ne courons pas la tête basse pour se faire trancher la tête. Allons-y en formation et massacrons les un par un, faisons leur regretter leurs gestes.

Il faut regrouper les survivants sur la place de la mairie. J'ai besoin de volontaire.

Des hommes, et peut-être quelques femmes, l'officier n'ayant pas le temps de faire ce genre de constat, s'avancèrent.

Bien, vous allez parcourir les rues et rameuter le plus rapidement les gens vers le centre du village. Évitez le combat!

Les autres, avec moi, nous allons rejoindre les défenseurs déjà en place à la mairie. Soyez prêt à tuer les fantassins ennemis.

Le lieutenant se précipita pour rentrer dans le village. À l'intérieur il ne put que faire l'amer constat que la situation était pire à l'intérieur qu'à l'extérieur, il avait quitté un champs de bataille pour l'enfer. Les Amiénois sur les talons, il s'élança vers la place centrale.
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--Wilfom

Rejoignant Luca, ce dernier semblait mal en point. Il fut heureux de voir arriver une femme. Utilisant son épée, il égorgeait les ennemis qui tentaient de venir le tuer, pas tant que ça, ces derniers s'étant disperser un peu partout. La femme, protégeait vraisemblablement Luca de son bouclier et Wilfom sut opposé à avoir su qu'elle allait retirer la flèche. Il grimaça et ne donnait plus beaucoup de chance au pauvre homme. L'archer en savait assez sur ce genre de blessure. Il tenta de l'empêcher de soigner sa blessure à la joue, rien d'important pour le moment, mais elle insista plus que lui.

Néanmoins, la médicastre sembla porter Luca vers un lieu, ils marmottaient des choses. Le soldat était trop occupé pour essayer de les écouter et de les comprendre. Il les suivaient, son devoir et sa mission étant de protéger Luca.

Arriver devant la maison, Luca rentra dedans tandis que Wilfom gardait l'entrée.

Luca_blight

Luca se débattait doucement et du mieux qu'il pu et leur dit:

Non... Bandez mes plaies, donnez moi un autre cheval! Je veux continuer à combattre.
Je suis en très mauvais état, mais jamais je n'abandonnerai Amiens! ... Jamais...

Il est vrai, il était épuisé, et laid à voir. Et il reprit, d'une voix douce et fatiguée:

Je préfère mourir que de les abandonner!
Allons-y, on peut les avoir... Il reprit sa respiration... Epuisé à l'extrême, d'une petite voix:
Il n'en reste pas beaucoup... Bien sûr, nous ne sauverons plus Amiens... Mais il y a des civils ici qui ont besoin de nous...

Il regardait alors Lissandre, et lui dit:

Dame, on s'est déjà occupé de moi pour ma blessure, je crois. Mais, demandez à Olympe ce qu'il reste à faire, ce qu'elle a fait.
Soignez moi, et qu'on en finisse avec ces ordures...

C'est évident, Luca lutait et allait au delà de ses forces. Mais se sauver sans se battre jusqu'au bout, il ne pu le faire.

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* Amoureux de la belle Paullie.
* Fillot de l'adorable Olympe.
* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".

--Chrono

Chrono arrive dans le champ de bataille d'Amiens se disant qu'il n'y a plus aucun barbares ni d'Amiennois, il se dit:

-Mince! je n'ai pas pu Guillemot et ses amis!

Chrono reprend son cheval et fonce vers Arras espérant que son ami Guillemot est là-bas...

Lisonlune

je peux aider pour les blessures amenez moi ceux qui sont blessé.

*Lison prépara bandage eau pour nettoyer*

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