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[RP] Vous n'aurez pas mon village.

--Les_barbares
pas de repli prévu, merci de changer ce post. pour les autres, merci de ne pas en prendre compte, les barbares continue l'attaque, je laisse du temps à chacun de poster avant de continuer à vous combattre. Et courage, les amienois triompheront de leurs ennemis, les villageois, mais pas la ville .....
Christine988
Cris restait en position et regardait sa provision de flèches qui baissait mais elle avait toujours son épée s'il advenait une bataille corps à corps.

Courage Amienois, nous sommes plus intelligents que ces brutes barbares...
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Arthur12
[Pendant que les Amiennois se regroupait]

Arthur avait ete prevenu par un envoyé du lieutenant Labreck qu'Amiens etait attaqué , pas Question de les laisser seul , il sella immédiatement son cheval et galoppa jusqu'au couché du soleil jusqu'a Amiens .

[Une fois a Amiens]

Il entendit des hurlements qui venait de derriere lui.Il se retourna et vit une horde de barbare assoifé de sang courir dans sa direction , il degaina son epee et lança son cheval au galop pour rentrer dans la ville.Il fut surpris lorsque que les Lynx decocherent plusieurs salves de fleches en sa direction , dailleurs une fleche le manqua de peu . Arthur voulant rejoindre l'enceinte de ville au plus vite et il ne remarqua meme pas qu'un barbare a cheval le rattrapait et n'etait plus qu'a une dizaine de metres de lui , il enfila son casque et fonça sur le barbare tete baissée , le barbare voulu lui mettre un coup d'epee , mais il le parra avec son bouclier puis lui trancha la poitrine d'un magnifique coup d'epee.
Bon assez perdu de temps se dit Arthur , il faut rentrer a l'abri.

Apres quelques minutes au galop arthur rejoignit l'enceinte de la ville . Il confia son cheval a un page qui trainait dans les ruelles et rejoint le lieutenant Labreck pour se mettre sous ses ordres

Bonjour Lieutenant , je suis venu vous donnez un coup de main !

Vu le visage que faisait certain amiennois arthur se dit qu'il devait avoir le visage plein de sang a cause de ce maudit barbare

Escusez moi de ma tenu , mais j'ai ete obliger de tuer un barbare qui me menaçait...Je suis a vos ordres , que dois je faire?
Sirlabreck
Quant à la cohérence, ma marionnette principale n'est pas au courant de la tenaille, ce sont les guetteurs qui avertissent la sergente Luna, faut faire gaffe avec moi ;P Ha aussi, j'éviterais de donner des nombres, après tout le monde va s'obstiner entre, que c'est pas vrai ing et côté réalisme, etc. etc.


En plus que la ligne de front commençaient à faiblir beaucoup trop, malgré que ceux avec des épées et des haches faisaient un travail formidable pour la garder à flo, les barbares ne semblaient pas s'épuiser, ni avoir tout livré ce qu'ils avaient. Ça l'aurait été trop facile tout de même.

Lorsqu'il vit la cavalerie ennemis s'ébranler, cavalerie qu'il n'avait pas connaissance de son existence, le lieutenant ce maudit. Il aurait du en prendre compte. Le mouvement était logique, les archers étaient ce qui permettait aux Amiénois de ne pas ce faire massacrer, pas encore...

En pointant la place d'où sortait la cavalerie du boisée, il cria de nouveaux ordres.


Lynx! Priorité sur les cavaliers, visez les cavaliers, pas les chevaux! Que ceux qui ont des pieux les interceptent, ont ne peut pas les permettre de nous rentrer dedans.

Le fait que les lanciers étaient tous occupés dérangeait énormément, il en avait besoin à la ligne de front, mais sur les flancs aussi. Les épéistes seraient inutile face à la cavalerie qui les écraseraient. Heureusement c'était une cavalerie plutôt légère, témoignant de la mobilité que le groupe de barbare souhaitaient apparemment conserver. Labreck s'aperçut que de plus en plus d'ennemis se concentraient sur le morceau de la ligne de front où il se trouvait. Le chef de ces brutes avait visiblement décidé de décapiter l'Ost Amiénois. Il recula de quelques pas et décocha une flèche vers un des cavaliers, c'était le plus urgent.

Il fut surpris de voir arriver un soldat, à l'uniforme de Bertincourt, il fut très surpris de le voir arriver sitôt, peut-être que les renforts étaient très proche?


Bonjour Lieutenant , je suis venu vous donnez un coup de main !

Escusez moi de ma tenu , mais j'ai ete obliger de tuer un barbare qui me menaçait...Je suis a vos ordres , que dois je faire?

Se maudissant intérieurement, c'était un autre épéiste, mais il était rompu aux manœuvres militaire.

Bienvenu soldat, heureux de pouvoir compter sur du renfort. Est-ce que vous êtes un éclaireur du reste des forces de Bertincourt, où le seul renfort consenti? La meilleur place que je peux vous utiliser est la ligne de front, elle n'est pas loin de céder, tenter de garder votre tête sur les épaules.

Il lui pointa la section qui subissaient le plus de dégât sous les assauts des barbares.
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Lissandre_di_chimina
Lissandre se sentait de plus en plus petite et inutile devant la bataille.
Des cris, du sang... Comment se préparer à tant de violence ?
Elle restait proche des autres femmes, au centre d'une bataille sans merci. Des maisons étaient déjà en flammes, la sienne, au loin, en faisait aussi partie... Un larme coula le long de sa joue qu'elle effaça rapidement pour ne pas se laisser distraire.
Empoignant fermement son pieux, toujours aux aguets, Lissandre plissa les yeux pour mieux détailler se qu'il se passait autour d'elle.

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Leducg
[A Péronne]

Ayant été prévenu de l'attaque d'Amiens, les cavaliers Péronnais ce rassemblaient dans la cour s'étant équipé le plus rapidement d'une côte de maille légère de leur bouclier et de leur armes.
Bien qu'étant présent, le Sénéchal laissa le Lieutenant Demalay donné ses directives à ses hommes. Une fois qu'ils furent tous rassemblé et prêt pour le départ, le Lieutenant donna l'ordre de marche. Les cavaliers partir donc au galop car la route est plus tôt longue et la moindre seconde peu être cruciale pour les Amiénois .

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Guillemot
Guillemot arrive à cheval très vite dégainant son épée et prêt à parer les barbares qui veulent Amiens!

Guillemot reprend un regard très noir envers les barbares et dit alors:

-Vous n'aurez pas Amiens! je combattrai même si aujourd'hui c'est le dernier jour pour cette ville.

Guillemot est très prudent en se mettant derriere son bouclier à cheval.
Merlin2b
merlin2b avait quitté le secteur sud du village d'Amiens pour rejoindre la ligne de front ... sa hache à la main droite et ses vêtements rouge de sang on pouvait distinguer sur lui et autour de son cou un collier d'oreilles.....une taxe que merlin2b prélevait sur toutes les têtes coupées de ces maudits barbares.
Lunadeltounette
La Sergente avait troqué l’arc contre sa lame. « Boena noche » vibrait tout comme elle de l’ardeur du combat. Des barbares avaient pénétrer leur défense et du coup le corps à corps devenait obligatoire. Luna avait déjà transpercé les cœurs de plusieurs ennemis. La sueur perlait déjà sur son front, elle haletait les narines frémissantes, un sourire carnassier sur les lèvres, des gouttes de sang parsemaient son visage, ses habits et coulaient le long de sa lame.
Elle en était là espérant sa prochaine victime quand elle aperçut deux soldats courir vers elle et lui annoncer qu’un assaut remontait par le nord.


Bien reste avec moi je vais voir le lieutenant pour lui annoncer la nouvelle.

Elle se dirigea en courant vers Labreck pour lui faire un compte rendu. Elle salua du chef Arthur


Arthur !
Lieutenant ! Des barbares sont entrés dans la ville par le nord, ils veulent nous prendre en tenaille. Je demande la permission de prendre des hommes pour les repousser.

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Sergent de l'Ost , ne te fie pas à l'eau qui dort
Sirlabreck
Labreck vit déboulé sa subordonnée devant lui lui annonçant que l'ennemi les prenaient en tenailles, manœuvre intelligente des barbares. Il réfléchit rapidement, même en continuant de décocher une seconde flèches vers les cavaliers. Ces derniers, affaiblit, rencontrèrent les pieux de fortunes des Amiénois, quelques-uns survécurent, mais ayant perdu le nombre et la vitesse ils ne feraient plus autant de dégât. Ayant décidé de la tactique à prendre, il remit son attention sur la sergente, véritable amazone dans ce combat.

Oui, attendez quelques secondes cependant. Archers, regroupez-vous. Épéistes, formez une ligne défensive devant les archers. Lynx, encochez une flèches, à mon signal, couvrez les lanciers.

Ces mouvements affaiblissaient non loin du point de rupture la ligne de front, mais c'était une nécessité. Où était Luca d'ailleurs, et Wilfom?

Lancier, retraite vers la mairie, sergente Luna, prenez les en charge. Archer, feu! Ceux avec des pieux achevez les cavaliers. Sergente, prenez la moitié des archers et arrêtez les fantassins sur la place de la mairie.

Il recula en faisant signe à Luna de faire de même, la ligne reculant soudainement d'une quinzaine de pas, les barbares allaient les submerger en quelques secondes. Les flèches sifflaient autour de lui et les pertes des barbares étaient de plus en plus élevé, mais les villageois mouraient pratiquement aussi vite maintenant. Revenu en arrière de la nouvelle ligne composé des épéiste, il souffla un instant, en espérant qu'ils seraient assez à la mairie pour empêcher les barbares de les prendre en tenaille.

Le lieutenant aperçut son laquet, Jean, il était temps de voir ce que valait l'entrainement auquel l'avait soumis l'officier pour charger une arbalète.


Jean, espèce de lâche, viens ici! Tu as les deux arbalètes? Bien, donne moi en une et tiens l'autre prête.

Le lieutenant rangea son arc long en bandoulière et prit l'arbalète, plus adapté au tir à bout portant et la soupesa avant de viser.
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--Wilfom
Le soldat suivait sire Luca, qui courait vers le centre du village, qu'est-ce qu'il tentait de faire? Il comprit alors que ce dernier devait avoir appris que des barbares les avaient contournés. Wilfom redoubla d'effort pour le rattraper et l'aider, vu que vraisemblablement il serait tout seul contre une foule de gens.
Luca_blight


Luca ouvrir les yeux... Wilfom était à côté de lui... Prêt à l'accompagner dans le village.
Il lui fit un signe de tête, et, avec sa main, montrait trois doigts, puis décomptait... Deux doigts... Un doigt... Zéro doigt...

GO, dit-il, il ouvrit la porte d'une traite, et laissait passer Wilfom, pour le suivre juste après.
Ils entraient dans le village, et vit quelques barbares.


Mince... Soyons prudents...
Il montrait du doigt une petite ruelle. Il connaissait bien la ville, en tant qu'habitant.
Viens, par là, nous serons plus discrets!

Il couru alors vers la ruelle sombre, et fit signe à Wilfom de l'accompagner. Il voulu secourir Paullie, la mettre en sécurité.

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* Amoureux de la belle Paullie.
* Fillot de l'adorable Olympe.
* Tavernier à la taverne "Chez les Lynx d'Amiens".
Neoexplorateur

Des clameurs fusaient de partout... La pénombre rendait tout encore plus lugubre...
Neo essayait du mieux qu'elle pouvait de garder les femmes en un groupe compact.
Il fallait aussi soulager les blessés... protéger leurs arrières... suivre les ordres afin de ne pas gaffer...
Elle ne savait pas trop où donner de la tête... et se mit à respirer profondément, pour retrouver son calme...

Elle entendit Luna... ce qui était loin de la rassurer!
Citation:
Des barbares sont entrés dans la ville par le nord, ils veulent nous prendre en tenaille


Elle regardait autour d'elle... Tous les bien portant s'étaient mobilisés...
Manquaient atrocement les disparus... ceux qui n'avaient pu contrer l'épidémie.
Plusieurs, encore malades, devaient trembler dans leurs chaumières... Il aurait fallu les regrouper, pour les protéger...
Mais tous craignaient l'épidémie presqu'autant que les Barbares...
Qu'avaient-ils donc fait pour attirer autant les foudres divines ??

Les ordres de SirLabreck claquaient... des mouvements se préparaient... pas de replis possible vers la ville.
Neo se mit en devoir de s'occuper des blessés avec son petit groupe,
utilisant des moyens de fortune pour leur venir en aide.


Restez regroupées... mais essayer de traîner les blessés près des bosquets, là-bas...
Nous serons une peu moins à découvert... Faites le plus vite possible... Certains sont salement amochés

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Lunadeltounette
Oui, attendez quelques secondes cependant

Le lieutenant donna des ordres puis se retourna à nouveau vers l'amazone.


sergente Luna, prenez les en charge..., prenez la moitié des archers et arrêtez les fantassins sur la place de la mairie.


A vos ordres. Mais lieutenant, faite attention a vous les assaillants ne seront pas long à comprendre qui donne les ordres et monte la stratégie de défense. Si j'étais eux vous serez mon objectif principal , l'homme a abattre !

Luna marqua un temps de pause et le regarda de ces prunelles noires qui luisaient sous l'excitation du combat.

Je vous connais depuis deux ans et demi, nous avons faire l'académie ensemble, vous n'avez ni le droit de mourir, ni le droit d'être blessé. Compris !
J'aimerais que vous aillez un garde personnel qui couvre vos arrières.


Luna savait que ce paroles ne trouveraient aucune résonance . Mais il fallait bien essayer !
Elle haussa les épaules, l'empoigna brutalement par ses habits et l'embrassa tout aussi brutalement sur les lèvres
.

Juste pour vous portez chance.

Lieutenant !


Luna fit un salut militaire et ordonna aux archers et fantassins de la suivre.

Les civils suivez moi on se repli vers la mairie

Quand elle arriva aux portes elle les trouva ouverte. Elle ne pris pas le temps de chercher le pourquoi du comment et se dirigea d'un pas pressé vers le nord de la ville
.
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Sergent de l'Ost , ne te fie pas à l'eau qui dort
--Carl_le_barbare


Carl, le barbare, avait réussit à s'infiltrer dans le village avec le reste du groupe.
Il fit de petits signes à ses hommes pour qu'ils restent organiser. Quand un barbare, petit, sale et délabré vint le trouver:

Carl, j'ai trouvé votre homme. Il vient d'infiltrer la ville, avec un autre. Ils sont deux, je ne sais pas ce qu'ils cherchent!

Carl répondit alors:
Mon homme, quel homme?

Le petit barbare lui répondit:
Je ne connais pas son prénom. Le blond, qui est celui qui guide les citoyens, pas celui de l'Ost, l'autre!

Carl reprend:
E-x-c-e-l-l-e-n-t, le pantin blond!
Il dégaine son épée, et lui dit: Guide moi à lui.

Il suivait alors son homme, tranquillement sur son cheval, massacrant les pauvres citoyens qui tentaient de fuir en courant, d'un coup d'épée. En en ratant quelques uns.

Il est là, Carl!

Bien, répondit Carl le barbare. Je m'en occupe.
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