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[RP] - Des artistes, en veux-tu, en voilą !

--Donatello..


Après la petite rose, c'est une blonde. Une blonde qui salue tout le monde et qui, s'il ne la connait pas personnellement, est une habituée de l'Atelier. Suivie d'une autre blonde qu'il connait cette fois, et d'une encore plus petite qu'il accueille avec un sourire.

A l'arrivée d'Attia, il tourne la tête lui aussi vers Aria puis vers Breiz, à peine un grincement de dents, à peine un soupir. Regardez, je souffre, mais je suis un homme, je serai fort. Par automatisme, le corps de Breiz est resserré contre le sien, et il dépose un baiser sur la masse flamboyante. A Aria, il glisse inquiet, parce qu'on a beau être un homme rejeté, on a beau avoir des femmes pour soit, on en reste toujours là, plus bas que tout, à s'inquiéter pour la femme d'un autre.


- ¿Estás enferma? Elle a l'air fatigué, toi aussi..

Aux retrouvailles à côté, il sourit, avant de se tourner vers Maelice, un haussement d'épaules.

- Nous allons attendre oune poco les clients.. Si personne né vient.. Yé t'achèterai moi-même si tou y tiens tant.

Clin d'oeil masculin à la nouvelle arrivante dans les rangs des Doigts d'Or.
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Robinettedesbois
Quoi de mieux qu'un départ pour Paris pour se changer les idées ?
Quoi de mieux qu'une arrivée à Paris pour dépenser un peu l'argent gagné ?
Quoi de mieux qu'un passage aux Galeries LaFayotte pour revoir certaines connaissances et passer un peu de bon temps pour oublier ?
Moi je vous le dis : Ya Rien de mieux ! - sauf peut-être voyager après Paris et se retrouver de nouveau seul.
Il faudra étudier la question, tiens ! Mais pas tout de suite, non. Là, elle doit vider son esprit et redevenir celle qu'on connait. Le faux, elle connait, elle commence à y être habituée depuis un temps...

Elle arrive donc à l'endroit indiqué par l'invitation de l'espagnol artiste.
Elle prend une bouffée d'air, il est temps, grand temps.
Faire bonne figure à présent, ce ne sera pas choses difficiles, du tout même !

Une, deux, trois... Elle entra donc.
Son regard tourna donc regardant tour à tour les visages. Certains connus, d'autres non.
Il y avait Breiz et l'espagnol, cela faisait une éternité qu'elle ne l'avait pas vu elle, Nadkiroulette, un peu moins longtemps, après tout la soule... Della, dans les bras d'une artiste. L'artiste en chef, Attia et d'autres visages inconnus. Et puis, Jenah et Sarrasin, accompagnés de leurs enfants. C'est vers ceux-ci qu'elle se dirigea donc en premier, saluant ceux qui l'avait vu d'un signe de tête.
Jenah et Sarrasin, dire qu'elle avait reçu une lettre de Jenah quand elle était retirée chez les nones. Elle n'avait eu le temps d'y répondre, elle n'avait pas eu envie de s'attarder sur elle aussi. De plus, étant partie directement pour Paris quand elle était sortie, espérant bien la voir, les mots remplaceraient l'écrit...


Bonjour, bonjour mes amis !

Un regard à l'ange châtain aux yeux verts qu'elle connaissait de par sa description de Jenah... Théo, la nouvelle merveille née de leur mariage. Célia était là aussi, les deux pieds sur terre.
Esquissant un sourire, ses yeux revinrent aux parents.


Comment vous portez-vous, tout les deux ? Ou plutôt tout les quatre ?

A première vue Jenah semblait moins fatiguée, elle savait qu'elle allait mieux de par sa lettre, mais prendre des nouvelles face à face était toujours mieux que par courrier, du moins elle le pensait bien...
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Le sang se lave par les larmes. Et non par le sang [Victor Hugo]
Calyce.
Se vendre le temps d'une journée. L'angevine avait aimé l'idée annoncée par l'espagnol et puis elle avait déchanté en en parlant à sa suzeraine. «  Nan mais c'est quoi ce bouge où on te force à te vendre ?!- C'pas un bouge c'est les Doigts d'Or ! Pis je me vends pas, je vends mon aaaaaart ! ». A bien y réfléchir ça pouvait porter à confusion. Mais pas pour elle, juste pour les gens aux idées mal placées. Vendre une journée de sa vie pour peindre... C'pas la mort, surtout quand il s'agit de faire connaître un peu plus l'atelier. Elle le fera, elle ira à Paris et elle se vendra !

Paris. Calyce s'était oubliée dans l'essayage de poulaines chez un cordonnier pas loin de là où se tenait la vente. Et c'est en passant une énième commande qu'elle aperçoit l'estrade se remplir... L'acompte demandé par le chausseur et vite déposé sur la comptoir et elle file en criant son nom et qu'elle repasserait chercher sa commande dans les délais. Et c'est à pas de crabe discrets qu'elle rejoint l'estrade, un sourire pour saluer les collègues, le maitre italien et les têtes connues comme la petite cliente aux robes blanches, un battement de cil innocent offert à l'ibère pour se faire pardonner son retard.
Op elle est prête.

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Medso
Medso arriva vers les artistes.

Il les salua, reconnaissant au passage quelques personnes, et regarda leur oeuvres respectives exposées.

Puis s'éloignant, il s'approcha de l'homme - Donatello - qui semblait régir tout cela.


Bonjour, je pense changer de bannière... je suis assez pauvre, mais j'aime l'art du dessin.
Il lui sourit.
Vous pourriez me conseiller quelqu'un?

Il avait volontaire omis de lui donner son nom et de lui signaler que lui aussi dessinait pour vivre...
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Mclegrand
Comme un besoin de calme...
Mc sentait à la fois une profonde lassitude, et un énervement latent... Il n'arrivait plus à rien ces derniers temps, et il avait décidé de passer la journée à se promener -seul- dans Paris pour se changer les idées, et penser à son avenir...
Pas vers le Louvre. Pas vers les institutions. Cela ne le reposerait pas.
Où se promener, alors... Cour des miracles ? Ouaisnanmaisfautpasabuserquandmême.

Pa là, tiens, vers le quartier où on était allé pour trouver des robes magnificentes. Vers les halles. Puis avec un peu de chance il s'y passerait quelque chose...

Et effectivement (quelle coïncidence, cher lecteur, s'pas ? ), il s'y passait bien quelque chose.

Vente, non pas de robes, cette fois, mais de bannières. Mc s'approcha un peu de la scène, voir qui il pourrait reconnaitre. Des vendeurs des doigts d'or, qu'il avait déjà vu à la vente de robes. Della, qui a l'air de connaitre tout le monde, comme partout. Incroyable. 'fin bon.

Indécis, curieux mais pas d'humeur à s'imposer, Mc se plaça dans un coin et attendit de voir la suite de la scène.

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Elisabeth_stilton
Elle était depuis un bon moment dans son coin, déprimant, la grossesse, l'absence d'Ulrich et de Tibère, les ducales à venir, elle avait pas mal de sujets qui la préoccupait la blonde. Aussi elle restait dans son coin ne parlant à personne regardant les différents artistes. Elle connaissait un bon nombre de personnes parmi les futurs clients mais bizarrement elle n'était là que pour soutenir ses collègues.

Oui rester seules dans son coin pour ressasser ses problèmes ...
Maelice_
Enfin la testostérone arrive ! Maelice lance un regard taquin à la remarque de ce bon vieux Profesor d’el Amor, Don’ avant de lâcher quelques mots toujours sur le ton de la plaisanterie.

Ho oui…Don, achète moi !
Elle rit de bon cœur, jouant presque le rôle de la frustrée, la coquine refoulée à la perfection…Faut dire que ça lui va comme un gant, peut être une trace de vrai dans tout ça..qui sait.

L’attention de la brune se porte quand même sur les hommes qui arrivent…Enfin…Elle qui avait le don de ne s’entendre qu’avec des hommes car ne supportant pas les conversations féminine et les langues de vipères, était soulagée…voir même ravie.

Le premier mâle semblait connaitre à la perfection le monde de la rue…Faut dire que les habits et les traits marqués ça aide à se faire une idée. Bon elle l’avoue le « Je suis assez pauvre » l’a aussi mit sur la voie. Un autre apparait, une chevelure plus fournie, une aura plus digne peut être…Il se cale à l’écart et Maelice hausse un sourcil.

Il y avait dans cette masse d’individus que des gens venus avec leur malheur ici...Chacun s’écarte, se tait, sourit pour faire plaisir…Quelle ambiance !

Fallait un peu motiver tout ça, ou alors inviter les âmes perdues à se cloitrer chez eux pour broyer du noir...
Elle se tourne alors vers le chevelu discret et lui fait un signe de la main, comme pour l’inviter à se joindre à eux.

Restez pas à l’écart, il y a suffisamment de place pour tout le monde ici. Je m’appelle Maelice, artiste des Doigts d’Or également, vous connaissez les autres ?...


« Les autres »..Très poli comme tournure de phrase, ou est-ce là l’art d’être totalement gaffeuse…

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Pour tout RP, contact : maelice_rr@live.fr
Aria_la_rousse
Trio étrange que Don, Breiz et Aria. Toujours proche de l'ibère, la rouquine secoua la tête négativement avant même qu'il ne termine sa phrase. Pourquoi passait-il son temps à appuyer ses faiblesses. N'avait-elle pas l'air bien ? Elle souriait pourtant, répondait, prenait l'air de rien.

Ses agates froides se posèrent sur lui, contrastant énormément avec la douceur du sourire qu'elle esquissait. Si les sourires pouvaient être faux, les yeux ne mentaient jamais et elle espérait que le message serait compris.

Estoy bien Donatello. No te preocupa...

Elle voulait en dire plus, bien plus, mais Medso arriva, ne la saluant même pas alors qu'elle se trouvait face à lui.

Son regard surpris devait se voir sur le visage d'Aria, et si Medso ne souhaitait pas donner son nom, c'était loupé, car elle s'exclama :


Tiens bonjour Medso ! Hé bien tu m'ignores ? A moins que ce superbe Donatello n'attire trop l'attention !

Ironique la rouquine ? C'est toujours mieux que pleurnicharde. Elle posa des yeux interrogateurs sur le brun.
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Jenah
L'artsite discuta un peu avec Della, puis un peu plus tard, tandis que quelques personnes arrivaient Jenah vit avec plaisir et surprise Robi s'avancer vers Sarrasin et elle. Robi à qui elle s'était empressée d'écrire une fois un peu de santé recouvrée afin d'annoncer la naissance.

Bonjour Robi, quelle surprise! Nous avons bien fait de venir. Jenah déposa deux bises sur les joues de leur amie, avant de reprendre la parole, un sourire toujours accroché à ses lèvres. Et bien, ma foi , tu vois, ça va, un peu de fatigue du voyage, mais tout va bien. Oui, elle pouvait bien l'avouer elle était fatiguée la "jeune" mère, plus que ce qu'elle aurait pensé en insistant pour aller tout de même à Paris. Mais c'était de la bonne fatigue, elle avait besoin de divertissement après l'anguoisse et les douleurs de l'accouchement, et puis de toute façon la fatigue, tant que Théo ne ferait pas de longues nuit, elle serait présente quoi que la luxovienne fasse.
Regarde comme il est..., c'est mieux que dans ma brève description lors du courrier! Dit-elle en souriant, riant même à demi, tandis qu'elle tournait le visage du nourrisson vers Robi. Puis elle reporta son regard biebveillant sur le visage de leur interlocutrice.Et toi ma belle, comment vas-tu? Tu as petite mine, le voyage aussi?
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Elim
Je regarde de part et d'autre, je croise les bras, je tape du pied... Je m'impatiente. Ben oui c'est que j'ai aussi plein d'autres choses à faire! S'il y a bien une chose que je commence à comprendre sur les filles... C'est que ça jacte à tout va. Impossible d'aller à l'essentiel quand une gonzesse est dans le coin. Et ça m'exaspère! Côté patience, maman me le dit toujours, j'ai plutôt récupéré le caractère du paternel.

Alors, pour me faire remarquer, et peut-être lancer quelque chose, je toussote...


"Hum HUM!"

Bien entendu ça ne veut rien dire et je regrette assez vite mon geste. Avec ma trogne de mioche, les filles autour vont de suite s'émouvoir en s'imaginant que je suis un pauvre petit qui a perdu sa mère, qui a attrapé une affection aux poumons, et dans quelques secondes, je vais me retrouver noyé sous une dizaine de fourrures féminines aux exalaisons parfumées....

Ou pas.
Attia.
Elle sourit veut s'approcher mais tout le monde semble tellement préoccupé...
Donatello en vrai mâle se rapproche davantage des femmes, comme pour lui passer un message. Elle n'est pas dupe, et fait mine d'ignorer.
Elle aperçoit Blanche, puis Della.
De longs mois qu'elle n'a plus revu l'hermine, lui livrant les robes demandées. A t'elle déjà mis au monde son enfant ? Mystère que ce n'est peut etre pas le moment de percer.
Elle leur fait un signe de la main. Elle n'a pas envie de taper la causette, elle est un peu fatiguée et barbouillée.

Alors elle flâne, distribue sourire et révérences, recherche un endroit d'ou elle pourra observer et pourquoi pas faire jouer sa main pour faire grimper les enchères, car elle les artistes des Do elle pouvait les avoir quand elle voulait oui monsieur!

Elle passa auprès de la petite Josselinière, lui passant une tendre main dans les cheveux.
C'est beau les enfants, tous ne valent pas une Yolanda, mais ils ont leur manière d’être mignons, tout comme le sont les enfants de Jenah, tout comme l'es ce petit bonhomme qui semble perdu et qui toussote.
Alors doucement elle fait un pas, un sourire bienveillant aux lèvres, se penchant légèrement.


- Alors mon petit, on est venu tout seul comme un grand ?

Attendant la réponse, le regard passe de gauche a droite cherchant les eventuels parents de ce gamin.

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On ne se bat pas dans l'espoir du succès ! Non,c'est bien plus beau lorsque c'est inutile !(Cyrano)
Medso
Il change de face de visage lorsqu'Aria hurle son nom.
Etre au milieu de tant de Bourguignon alors que la duchesse a mis un contrat de "mise à mort" sur sa tête... y avait qu'une rouquine pour faire une telle gaffe!
Il se demande maintenant si c'était bien le moment de venir ici...

Sourire n°4 de circonstance!
CHCLIINGGG


Salvé Aria!
Heuuu...
....je ne t'avais pas vu!


Il s'approcha d'elle et lui fait la bise.


Il regarde plus intensément le brun nommé Donatello.

Hum, oui on peut toujours faire connaissance.

Alors c'est une vente aux enchères? Moi je viens juste faire un tour et regarder un peu de quoi sont capables les Artistes aux doigts d'or... et j'avoue être agréablement surpris.

Il feuillète les livres laissés à la vue de tous.

Je crois vraiment pas pouvoir mettre beaucoup d'écus dans des enchères!

Puis se rapprochant de son oreille, il lui chuchote:
Mon bordel à Lausanne tourne au ralenti faute de travailleuse! il regarde à droite... à gauche et continue: je pense en ouvrir un à Sémur, là bas les catins pullulent!
Il se marre.
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--Donatello..


Du coin de l'oeil, il l'observe qui passe d'un client à l'autre, il l'observe regardant les enfants en souriant, et il la hait d'afficher cette sérénité maternelle quand elle promène son regard sur la petite blonde ou le petit garçon, il la hait de ne pas le laisser l'aimer assez pour lui faire un enfant qu'elle regarderait avec ce regard.

Et comme pour se sortir de sa torpeur, il frappe dans ses mains plusieurs fois avant de se tourner vers les clients.


- Régardez les toutes, né sont-elles pas belles ? N'ont-elles pas des doigts divins qui font naitre les plous belles oeuvres ? La mise à prix de base pour chacoune des artistes ici présentes est dé cent écous ! Et la prémière en vente est..

Plouf plouf..

- Aria ! Cent écous ? Qui dit Cent écous pour un talent comme lé sien ?
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Mclegrand
Maelice_ a écrit:
Restez pas à l’écart, il y a suffisamment de place pour tout le monde ici. Je m’appelle Maelice, artiste des Doigts d’Or également, vous connaissez les autres ?...

Ralala, s'tun monde... Pas moyen de rester tranquille ! Mc sourit... il l'avait bien cherché, aussi, à rester dans le coin. Action, réaction, il reste à assumer et réagir en fonction. Une vente de bannière... pourquoi pas.

Mc refit un tour d'horizon pour voir qui il connaissait...puis s'avança.



Bonjour, je me nomme Mc... enchanté, dame Maelice.
Je ne connais pas grand monde par ici... Della, au moins à demi-Orléanaise, Elisabeth, dragonne, et je crois bien que c'est tout. Je n'ai même pas la moindre idée de comment se déroule la vente


Bon, sur ce point, Donatello (et ma lenteur à poster ... ) le firent rapidement comprendre...

Une mise par artiste... mais, euh...

Doucement, à Maelice

Vous me conseillez qui ?
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Sarrasin
Sarrasin sourit à la vue de Robi, heureux de la voir. Il la salua chaleureusement en la prenant dans ses bras avant de lui faire les bises

Coucou Robi, je suis heureux de te revoir, je ne pensais pas te croiser en pareille circonstance.
Oui nous allons bien, après cet accouchement tout se déroule plus ou moins calmement au rythme de Théo. J'aurais bien aimé t'écrire mais Jenah avait insisté pour qu'elle t'annonce elle même la nouvelle.
Comment vas tu? tu sembles fatiguée.


Il laissa Célia s'avancer pour faire sa révérence comme une vraie dame pour saluer Robi. Le père ne savait si Célia avait déjà croisé Robi à Mâcon, n'ayant pas gardé un souvenir qu'elle était passée dans la ville.
Il voyait d'autre visage en même temps apparaitre, certains connus d'autres non. C'était une bonne chose, lui qui se demandait si beaucoup de monde viendrait fut rassurer, leur voyage n'a donc pas été vain et elle avait eu raison d'insister pour se rendre à Paris.
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