Naluria
Un dernier baiser...
Ses yeux fixait cette masse corporelle... Naluria était pétrifiée... Tout en elle voulait exploser... Mais c'est un tremblement qui commença par les mains qui la prit... Les larmes commencèrent à couler de nouveau... Le silence était omniprésent...
Elle s'avança en tremblant, se rapprochant du cadavre de l'homme. L'individu était allongé son le ventre, le nez face à terre, les mains liées dans le dos. Des tâches pourpres jonchaient le sol en parcimonie autour du cadavre. Naluria ramena doucement ses mains sur son visage. Les index près du creux des yeux comme récolter l'océan qui se déverserait sous peu. Les pouces étaient au niveau des joues, comme pour interdire à sa mâchoire de crier ; le reste des doigts enfermant ses lèvres pour qu'aucun son ne puisse être diffusé.
Son coeur battait à tout rompre, sa respiration était difficile et tandis que des spasmes l'atteignait, elle contourna la dépouille avant de tomber au sol. Son corps n'avait plus aucune retenu.
Fred, Fred gisait là, entouré par son sang. Seul ses cheveux, la forme de son visage et son collier de barbe assurait l'identité de l'homme qu'elle aimait. Ses jambes lâchèrent prise et ne la soutenu plus. Les genoux de Naluria se posèrent lourdement au sol près de la victime. Elle déplaça le corps de Fred en le faisant rouler sur le côté pour que sa dépouille soit sur le dos.
L'amoureuse regardait ce qui restait de son bien-aimé... Rien... Plus rien... Sauf les souvenirs... Elle caressa l'une des joues meurtries de Fred. La tristesse avait empli la jeune femme. Tout ses mouvements étaient tremblant et hésitant. La vision qui s'offrait à elle était l'horreur.
Peut on s'imaginer retrouver un jour l'homme que l'on aime avec le nez cassé, le visage tailladé et brûlé au fer rouge... Naluria avait connu l'horreur des guerres, mais cette horreur était faite avec respect. Pas celle qu'on avait infligé à l'homme qu'elle aimait.
Qu'avait il fait ? C'était un homme bon, doux, empli de qualité.
Elle passa ses bras sous le cou de Fred et serra sa tête contre elle. Les larmes redoublèrent sous le manque de chaleur du corps qu'elle enserrait. Sa rigidité montrait que le corps était la depuis un moment. Qu'elles étaient ses pensées avant de mourir.
Pourquoi, pourquoi l'on t'a enlevé à moi mon amour.... Pourquoi toi ?
Elle desserra sa funeste étreinte et reposa doucement la tête de Fred au sol. Elle se pencha puis approcha ses lèvres de celle de Fred pour s'emparer d'un dernier baiser. Froides, sans douceur ni souplesse... Naluria continuait de pleurer, prenant conscience petit à petit qu'il ne se réveillerait jamais. Tout en elle se liquéfiait. Elle entoura le visage mutilé de Fred de ses bras et ne détacha pas ses lèvres de son fiancé.
En d'autres circonstances elle aurait giflé le cadavre comme pour qu'il revienne à lui, mais pas Fred, pas cette douceur incarné, pas cet homme qui avait su l'aimé mieux que quiconque. Elle ne s'en remettrait jamais, son coeur étant en train de mourir face à cette fatalité.
Elle décolla ses lèvres chaudes de celle de Fred avant de laisser tomber ses larmes sur son visage glacé. Les gouttes salées décoloraient la peau rougit par le sang. Ainsi, des larmes de sang glissaient le long des joues de l'Ours.
Mon amour, mon amour... Je voulais t'épouser, je voulais t'offrir des enfants... Nous avions tout pour être heureux...
Elle resta la un long moment, essuyant les larmes de sang afin que le visage amoureux soit au plus proche de ce qu'il avait été. Puis elle déposa un dernier baiser sur le front de son bien aimé avant de relever la tête soudainement, comme si une voix l'avait appelée ; mais c'est elle qui appela.
AU SECOURS !!!!!!!!!!!!! AU SECOURS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Elle appelait sans relâche. Elle criait tout ce qu'elle pouvait et le plus longtemps possible dans l'espérance que des individus court vers elle.
Elle aurait pu aller chercher de l'aide à Orléans, Fred était mort, il n'y avait plus rien à faire, mais elle ne voulait pas l'abandonner. Ne pas abandonner sa dépouille à qui que ce soit. Déjà, le petit couteau de chasse qu'elle lui avait offert n'était plus à la ceinture de Fred, alors, même la vermine n'aurait pas sa peau....
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Ses yeux fixait cette masse corporelle... Naluria était pétrifiée... Tout en elle voulait exploser... Mais c'est un tremblement qui commença par les mains qui la prit... Les larmes commencèrent à couler de nouveau... Le silence était omniprésent...
Elle s'avança en tremblant, se rapprochant du cadavre de l'homme. L'individu était allongé son le ventre, le nez face à terre, les mains liées dans le dos. Des tâches pourpres jonchaient le sol en parcimonie autour du cadavre. Naluria ramena doucement ses mains sur son visage. Les index près du creux des yeux comme récolter l'océan qui se déverserait sous peu. Les pouces étaient au niveau des joues, comme pour interdire à sa mâchoire de crier ; le reste des doigts enfermant ses lèvres pour qu'aucun son ne puisse être diffusé.
Son coeur battait à tout rompre, sa respiration était difficile et tandis que des spasmes l'atteignait, elle contourna la dépouille avant de tomber au sol. Son corps n'avait plus aucune retenu.
Fred, Fred gisait là, entouré par son sang. Seul ses cheveux, la forme de son visage et son collier de barbe assurait l'identité de l'homme qu'elle aimait. Ses jambes lâchèrent prise et ne la soutenu plus. Les genoux de Naluria se posèrent lourdement au sol près de la victime. Elle déplaça le corps de Fred en le faisant rouler sur le côté pour que sa dépouille soit sur le dos.
L'amoureuse regardait ce qui restait de son bien-aimé... Rien... Plus rien... Sauf les souvenirs... Elle caressa l'une des joues meurtries de Fred. La tristesse avait empli la jeune femme. Tout ses mouvements étaient tremblant et hésitant. La vision qui s'offrait à elle était l'horreur.
Peut on s'imaginer retrouver un jour l'homme que l'on aime avec le nez cassé, le visage tailladé et brûlé au fer rouge... Naluria avait connu l'horreur des guerres, mais cette horreur était faite avec respect. Pas celle qu'on avait infligé à l'homme qu'elle aimait.
Qu'avait il fait ? C'était un homme bon, doux, empli de qualité.
Elle passa ses bras sous le cou de Fred et serra sa tête contre elle. Les larmes redoublèrent sous le manque de chaleur du corps qu'elle enserrait. Sa rigidité montrait que le corps était la depuis un moment. Qu'elles étaient ses pensées avant de mourir.
Pourquoi, pourquoi l'on t'a enlevé à moi mon amour.... Pourquoi toi ?
Elle desserra sa funeste étreinte et reposa doucement la tête de Fred au sol. Elle se pencha puis approcha ses lèvres de celle de Fred pour s'emparer d'un dernier baiser. Froides, sans douceur ni souplesse... Naluria continuait de pleurer, prenant conscience petit à petit qu'il ne se réveillerait jamais. Tout en elle se liquéfiait. Elle entoura le visage mutilé de Fred de ses bras et ne détacha pas ses lèvres de son fiancé.
En d'autres circonstances elle aurait giflé le cadavre comme pour qu'il revienne à lui, mais pas Fred, pas cette douceur incarné, pas cet homme qui avait su l'aimé mieux que quiconque. Elle ne s'en remettrait jamais, son coeur étant en train de mourir face à cette fatalité.
Elle décolla ses lèvres chaudes de celle de Fred avant de laisser tomber ses larmes sur son visage glacé. Les gouttes salées décoloraient la peau rougit par le sang. Ainsi, des larmes de sang glissaient le long des joues de l'Ours.
Mon amour, mon amour... Je voulais t'épouser, je voulais t'offrir des enfants... Nous avions tout pour être heureux...
Elle resta la un long moment, essuyant les larmes de sang afin que le visage amoureux soit au plus proche de ce qu'il avait été. Puis elle déposa un dernier baiser sur le front de son bien aimé avant de relever la tête soudainement, comme si une voix l'avait appelée ; mais c'est elle qui appela.
AU SECOURS !!!!!!!!!!!!! AU SECOURS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Elle appelait sans relâche. Elle criait tout ce qu'elle pouvait et le plus longtemps possible dans l'espérance que des individus court vers elle.
Elle aurait pu aller chercher de l'aide à Orléans, Fred était mort, il n'y avait plus rien à faire, mais elle ne voulait pas l'abandonner. Ne pas abandonner sa dépouille à qui que ce soit. Déjà, le petit couteau de chasse qu'elle lui avait offert n'était plus à la ceinture de Fred, alors, même la vermine n'aurait pas sa peau....
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