Magaline
[En route vers la Folie]
Alphonse Fougue, fossoyeur de son état, sétait rendu au monastère des frère Botoxés. Les pieux hommes à la vitalité flanchant commençant à manquer de place dans leur cimetière foisonnant ; le Berrichon avait pour mission de leur arranger le lieu, tout en profitant pour essayer de leur ventre un tas de fioritures pour pierres tombales dont ils navaient absolument pas besoin et de revenir auprès de sa tendre fiancée qui se languissait dune oreille compatissante dans la quelle déverser sa haine pour la marâtre.
La fiancée quant à elle avait promis de trouver un moyen déchanger des nouvelles avec son promis. Tous les moyens étaient bons pour déjouer la vigilance des hommes de foie qui interdisaient toute correspondance dans le monastère. Moine corrompu, missive lancée par-dessus le mur, bougre payé pour sintroduire incognito parmi eux, petit mot glissé dans les pâtisseries livré depuis le couvent voisin, croute de fromage gravées de mots tendres
Et pourtant aucun nouvelles nétaient venues en retour. aucune jusqu'au soir ou un homme au crane poli de près vient à la rencontre de la demoiselle lui déposer ce pli.
Demoiselle,
Inutile de vous obstiner pour contacter de Fougie, il nest plus chez nous. Le zoive nétait pas bien net et certains de nos frères ayant remarqué ses pratiques nous lavons signalé à qui de droit.
Linquisition est venue, son travail fut fait.
Le pli lu, la jeune femme lance regarde hagard au crane poli avant de filer à toute vitesse vers le monastère.
A bout de souffle, paniquée et perdu elle tambourine à la lourde porte pendant ce qui lui semble être des minutes interminable.
-Ouvrez !
Rien, alors elle craque, y donne des coups de pieds et hurle.
-Ouvrez merdailles ou je men vais vous défroquer !
Clap
La tapette souvre et un visage y parait.
-Passez votre chemin femme. Les tentatrices ne sont pas admises ici.
Clap
-Bon Dieu de pignouf, rat putride, chien revenez !
Clap
- Laissez-moi voir le sieur Alphonse Fougue sur lheure où je reviens accompagnée dhommes armés défoncer votre foutue porte.
- Fougue ? Lhérétique. Passez votre chemin demoiselle Ce personnage n'existe pas, ou plus, et avec un regard suspicieux en direction du ventre de la demoiselle si affectée, ou pas encore.
Cest pile à ce moment-là que le monde sécroule. Brusquement, alors que la demoiselle recule de quelques pas maladroit, la terre cesse de tourner sur elle-même. Elle tombe à pic, entrainant la rouquine dans sa chute. Direction de font de labime sans font.
La jeune femme gémit.
Manque dair. Porte les mains à sa nuque qui se contracte en plein crise dangoisse. Elle hallete,inspire l'air mais celui ci refuse d'entrer dans ses poumons. ALors elle tombe en arriere sous le poids de l'atomosphere qui l'écrase.
Lui reviennent les mots échangés avec le fossoyeur juste avant son départ. Un je taime encore inédit, jamais prononcé pour un autre avant cela.
Dorénavant plus rien naura dimportance, ses yeux semplissent de larme tandis que son cur agonisant saigne.
Elle le scellera à jamais. Tout comme Alphonse il n'existe pas, ou plus . ou pas encore.
_________________
Magaline Reudi
Alphonse Fougue, fossoyeur de son état, sétait rendu au monastère des frère Botoxés. Les pieux hommes à la vitalité flanchant commençant à manquer de place dans leur cimetière foisonnant ; le Berrichon avait pour mission de leur arranger le lieu, tout en profitant pour essayer de leur ventre un tas de fioritures pour pierres tombales dont ils navaient absolument pas besoin et de revenir auprès de sa tendre fiancée qui se languissait dune oreille compatissante dans la quelle déverser sa haine pour la marâtre.
La fiancée quant à elle avait promis de trouver un moyen déchanger des nouvelles avec son promis. Tous les moyens étaient bons pour déjouer la vigilance des hommes de foie qui interdisaient toute correspondance dans le monastère. Moine corrompu, missive lancée par-dessus le mur, bougre payé pour sintroduire incognito parmi eux, petit mot glissé dans les pâtisseries livré depuis le couvent voisin, croute de fromage gravées de mots tendres
Et pourtant aucun nouvelles nétaient venues en retour. aucune jusqu'au soir ou un homme au crane poli de près vient à la rencontre de la demoiselle lui déposer ce pli.
Demoiselle,
Inutile de vous obstiner pour contacter de Fougie, il nest plus chez nous. Le zoive nétait pas bien net et certains de nos frères ayant remarqué ses pratiques nous lavons signalé à qui de droit.
Linquisition est venue, son travail fut fait
Le pli lu, la jeune femme lance regarde hagard au crane poli avant de filer à toute vitesse vers le monastère.
A bout de souffle, paniquée et perdu elle tambourine à la lourde porte pendant ce qui lui semble être des minutes interminable.
-Ouvrez !
Rien, alors elle craque, y donne des coups de pieds et hurle.
-Ouvrez merdailles ou je men vais vous défroquer !
Clap
La tapette souvre et un visage y parait.
-Passez votre chemin femme. Les tentatrices ne sont pas admises ici.
Clap
-Bon Dieu de pignouf, rat putride, chien revenez !
Clap
- Laissez-moi voir le sieur Alphonse Fougue sur lheure où je reviens accompagnée dhommes armés défoncer votre foutue porte.
- Fougue ? Lhérétique. Passez votre chemin demoiselle Ce personnage n'existe pas, ou plus, et avec un regard suspicieux en direction du ventre de la demoiselle si affectée, ou pas encore.
Cest pile à ce moment-là que le monde sécroule. Brusquement, alors que la demoiselle recule de quelques pas maladroit, la terre cesse de tourner sur elle-même. Elle tombe à pic, entrainant la rouquine dans sa chute. Direction de font de labime sans font.
La jeune femme gémit.
Manque dair. Porte les mains à sa nuque qui se contracte en plein crise dangoisse. Elle hallete,inspire l'air mais celui ci refuse d'entrer dans ses poumons. ALors elle tombe en arriere sous le poids de l'atomosphere qui l'écrase.
Lui reviennent les mots échangés avec le fossoyeur juste avant son départ. Un je taime encore inédit, jamais prononcé pour un autre avant cela.
Dorénavant plus rien naura dimportance, ses yeux semplissent de larme tandis que son cur agonisant saigne.
Elle le scellera à jamais. Tout comme Alphonse il n'existe pas, ou plus . ou pas encore.
_________________
Magaline Reudi