Jehan_de_proisy
Ainsi en allait-il des grandes familles...aux heures graves les liens se resserraient. Le plus dur étant ensuite de les maintenir étroits pour peu que les opinions divergent.
C'était une chose de se dire de telle ou telle famille et d'en porter les couleurs, facile cela...Il en était tout autrement de rester loyal à l'esprit de la famille à ses valeurs et à s'arc bouter pour les faire respecter.
L'Hostel particulier de la Comtesse Magoo, bruissait de murmures inquiets et lorsque Cristof ressorti de la chambre mandant un médicastre Jehan espéra que quelqu'un avait mander un clerc...peu convaincu hélas que le médicastre fasse des miracles.
Quand la vie vous abandonne il est parfois doux de se laisser glisser vers cet au-delà dont on parle tant mais que l'on redoute jusqu'à finalement l'apprivoiser et, sans vraiment l'espérer, se laisser emporter estimant qu'il était vain de résister à l'irrésistible volonté du Trés Haut.
Magoo avait vécu les yeux ouverts sur ce monde...Elle n'était pas de ces femmes mielleuses qui vous engluent dans leur rêts à coup de caresses ou de promesses. Pas plus qu'elle n'était de ces précieuses ridicules passant des journées à tergiverser sur la veture qu'elles porteront.
Non Magoo n'avait qu'un crédo, le travail, qu'un seul but, la grandeur du Poitou. Ainsi elle avait vécu dressée devant la bêtise et taillant en pièce l'injustice des sots qui ne savent qu'écouter leur propre voix au point ne ne plus entendre les autres.
Peu connaissait les sacrifices qu'elle avait du et pu faire pour que perdure le Poitou. Surement ce que peu pour ne pas dire aucune autre femme n'eut le courage de faire...
Pour cela elle se moquait comme une guigne des paroles murmurées dans son dos ou des attaques ne réfletant que la jalousie de ceux qui pensaient valoir autant qu'elle et se gonflaient de leur suffisance.
Magoo, attendait sa mort...Sereine, calme espérant juste pouvoir réaliser ce qu'elle avait décider avant de rendre son dernier souffle de vie. Et cela tous les médicastres du monde ne pourraient parvenir à le différer.
La cloche sonna au loin mais Jehan pu l'ouïr et se rendit à la porte puisqu'il semblait que personne ne l'entendisse...
Il ouvrit la lourde porte et se retrouva en face de Dame Cali...
Bonjour Dame Cali, entrez vite vous devez être gelée. Je vais vous conduire vers la chambre de la Comtesse venez, puissiez vous soulager le peu qu'il lui reste de temps parmi nous.
Il lui montra le chemin jusqu'à la chambre écartant les uns et les autres. Secrètement il priait pour que les filles aient pu aller biser leur Grand Ma. Il voulait, autant que faire se peut, leur épargner ou tout au moins alléger si possible cette confrontation avec la "camarde" et sa faux.
Il les chercha donc du regard aux abords de la chambre...
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Famille en deuil de "Grands du Poitou". Toujours en nos curs vous vivrez, Elra...Magoo..et toi mon Isabelle
C'était une chose de se dire de telle ou telle famille et d'en porter les couleurs, facile cela...Il en était tout autrement de rester loyal à l'esprit de la famille à ses valeurs et à s'arc bouter pour les faire respecter.
L'Hostel particulier de la Comtesse Magoo, bruissait de murmures inquiets et lorsque Cristof ressorti de la chambre mandant un médicastre Jehan espéra que quelqu'un avait mander un clerc...peu convaincu hélas que le médicastre fasse des miracles.
Quand la vie vous abandonne il est parfois doux de se laisser glisser vers cet au-delà dont on parle tant mais que l'on redoute jusqu'à finalement l'apprivoiser et, sans vraiment l'espérer, se laisser emporter estimant qu'il était vain de résister à l'irrésistible volonté du Trés Haut.
Magoo avait vécu les yeux ouverts sur ce monde...Elle n'était pas de ces femmes mielleuses qui vous engluent dans leur rêts à coup de caresses ou de promesses. Pas plus qu'elle n'était de ces précieuses ridicules passant des journées à tergiverser sur la veture qu'elles porteront.
Non Magoo n'avait qu'un crédo, le travail, qu'un seul but, la grandeur du Poitou. Ainsi elle avait vécu dressée devant la bêtise et taillant en pièce l'injustice des sots qui ne savent qu'écouter leur propre voix au point ne ne plus entendre les autres.
Peu connaissait les sacrifices qu'elle avait du et pu faire pour que perdure le Poitou. Surement ce que peu pour ne pas dire aucune autre femme n'eut le courage de faire...
Pour cela elle se moquait comme une guigne des paroles murmurées dans son dos ou des attaques ne réfletant que la jalousie de ceux qui pensaient valoir autant qu'elle et se gonflaient de leur suffisance.
Magoo, attendait sa mort...Sereine, calme espérant juste pouvoir réaliser ce qu'elle avait décider avant de rendre son dernier souffle de vie. Et cela tous les médicastres du monde ne pourraient parvenir à le différer.
La cloche sonna au loin mais Jehan pu l'ouïr et se rendit à la porte puisqu'il semblait que personne ne l'entendisse...
Il ouvrit la lourde porte et se retrouva en face de Dame Cali...
Bonjour Dame Cali, entrez vite vous devez être gelée. Je vais vous conduire vers la chambre de la Comtesse venez, puissiez vous soulager le peu qu'il lui reste de temps parmi nous.
Il lui montra le chemin jusqu'à la chambre écartant les uns et les autres. Secrètement il priait pour que les filles aient pu aller biser leur Grand Ma. Il voulait, autant que faire se peut, leur épargner ou tout au moins alléger si possible cette confrontation avec la "camarde" et sa faux.
Il les chercha donc du regard aux abords de la chambre...
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Famille en deuil de "Grands du Poitou". Toujours en nos curs vous vivrez, Elra...Magoo..et toi mon Isabelle